24 juillet, 2013

Jacques Chirac renonce à ses vacances à Saint-Tropez

Jacques Chirac renonce à ses vacances à Saint-Tropez
Fickr via cvrcak1
Jacques Chirac ne passera pas son mois d'août à Saint-Tropez. L'ancien président de la République ne se rendra pas dans la villa du milliardaire François Pinault, chez qui il a ses habitudes. Officiellement, un problème d'agenda de la famille Pinault empêcherait les vacances communes. En réalité, Jacques Chirac serait de plus en plus faible, et n'aurait donc plus la force de voyager.
Rencontre entre présidents
L'état de santé de Jacques Chirac serait en train de se dégrader. «C'est un homme âgé qui n'a plus toute sa tête», confie un proche cité par Le Parisien. «Il entend de moins en moins bien et doit marcher en permanence avec une canne, quand il n’est pas épaulé par des infirmiers ou des aides-soignants. Parfois il se souvient avec précision d’événements passés, il est capable de suivre une conversation construite. Mais cela ne dure pas très longtemps», a également confié un élu au quotidien.
Présent en Corrèze samedi 20 juillet, François Hollande a rendu visite à l'ancien Président, au château de Bity. Le chef de l'Etat a affirmé avoir trouvé son interlocuteur «alerte et plaisantant», et qu'ils avaient discuté «de questions internationales, des pays arabes et de la Russie notamment», note 20 Minutes.
«Une vie au ralenti»
Jacques Chirac n'arpentera donc pas les rues de Saint-Tropez, ni ne se rendra à la terrasse du café Sénéquier. Il y a plusieurs semaines, le président a pourtant été vu à une exposition, assis dans un fauteuil roulant. «C'était pour lui éviter la fatigue» avait alors rassuré un proche de l'ancien chef d'Etat.
Déjà l'année dernière, à Saint-Tropez, Jacques Chirac était apparu aminci et s'appuyait sur ses proches pour marcher. «Une vie au ralenti», comme la qualifie un de ses amis, et pour laquelle deux secrétaires sont chargées d'expédier les affaires courantes, dans ses bureaux parisiens de la rue de Lille.

newsring.fr

La Pro League va se découvrir de nouveaux diamants



Football Ils sont jeunes, ils ont du talent et ils ont tout en main pour devenir les révélations de la nouvelle saison. Passage en revue de ces perles promises à suivre l’exemple des Praet, Bruno et Ezekiel la saison dernière.
Tielemans: un Witsel à Anderlecht

Nom : Youri Tielemans.

Âge : 16 ans.

Position : milieu défensif.

Son profil : c’est Jean Kindermans, le big boss des jeunes à Anderlecht, qui avait lancé la comparaison dans les colonnes de la DH au mois de juin : "Youri Tielemans, c’est une sorte d’Axel Witsel." Depuis, on a pu voir le garçon à l’œuvre et il est difficile de donner tort à Kindermans. À seize ans, Tielemans présente déjà d’étonnantes qualités pour un si jeune joueur : calme, vision du jeu, protection de balle, capacité de dribble et même frappe de balle. Très courtisé par de grosses écuries européennes, Tielemans a finalement décidé de signer pro à Anderlecht il y a quelques mois. Formé depuis son enfance au Sporting, ce vrai ket possède un magnifique avenir.

Cissé, successeur de Vainqueur

Nom : Ibrahima Cisse.

Âge : 19 ans.

Position :
médian défensif.

Son profil :
Ono aurait eu sa place dans cette rubrique, mais le talentueux Japonais s’est gravement blessé au genou et ne reprendra pas les entraînements avant janvier dans le meilleur des cas… Cisse paraît donc mieux placé pour être la révélation rouche. Le joueur de 19 ans est polyvalent. Il a déjà été utilisé au back droit et au back gauche, mais sa place de prédilection, c’est médian défensif. Vu la blessure de Vainqueur, n°1 pour le poste, Cisse va avoir l’occasion d’y jouer en ce début de saison. L’occasion de démontrer qu’il est une alternative fiable pour cette saison et le remplaçant idéal de Vainqueur lorsque le médian français décrochera un transfert.

Thiaré, le super joker carolo

Nom :
Jamal Thiaré.

Âge :
20 ans.

Position :
attaquant.

Son profil : prêté par le CNEPS de Thiès en fin de saison dernière, Jamal Thiaré s’est fendu de débuts tonitruants. Les dirigeants zébrés ont donc dans la foulée fait le forcing pour l’engager à titre définitif, pour lui offrir un contrat de longue durée. Très à l’aise depuis le début de la préparation, il doit encore malheureusement composer avec un physique plutôt fragile. Lorsqu’il aura gagné en puissance, il devrait faire des ravages dans les rectangles de l’élite. Fin technicien, il possède une frappe puissante et précise. Il n’a pas son pareil non plus pour s’infiltrer en profondeur. Dans un premier temps, Felice Mazzu devrait l’utiliser avec parcimonie, en renfort du duo Rossini-Pollet. Mais guère de doute qu’au fil des semaines, il va pouvoir briguer davantage qu’un rôle de subalterne. Les supporters l’ont en tout cas déjà pris en affection.

Vandeputte, le petit Özil des Buffalos


Nom :
Jari Vandeputte.

Âge : 17 ans.

Position : médian offensif.

Son profil : il n’a que 17 ans, mais il a été la bonne surprise de la préparation des Buffalos. Médian offensif de petite taille, il allie vista et vitesse. Ses modèles sont Iniesta, Özil et Isco. Et ce n’est pas hasard : Vandeputte entre exactement dans le même moule. Durant les derniers matches amicaux, il a démontré un niveau technique supérieur à la moyenne mais aussi une certaine sobriété : il ne fait pas le geste de trop et lit très bien le jeu. Il a notamment pu participer au match d’inauguration de la Ghelamco Arena. "Un rêve de gosse", sourit-il. Il devra faire face à une solide concurrence (Neto, Van Der Bruggen ou Lepoint), mais Vandeputte a assez de talent pour déjà faire parler de lui cette saison.

Vanaken, pour remplacer Leko

Nom : Hans Vanaken.

Âge : 21 ans.

Position : médian offensif.

Son profil : Ivan Leko ne sera pas éternel. L’élégant médian croate de 35 ans a rempilé, mais cette saison, il pourrait laisser progressivement sa place à Hans Vanaken, en qui beaucoup voient son successeur. Ce jeune talent n’est autre que le fils de Vital Vanaken, avec qui a joué un certain… Peter Maes. Lokeren est allé dénicher ce jeune joueur à Lommel et croit beaucoup en lui. Durant la préparation, le médian, formé au PSV, a été très utile comme infiltreur et efficace à la finition. "Hans a fait d’énormes progrès en peu de temps", se félicite Peter Maes. Reste maintenant le plus difficile : confirmer dans des matches de D1, un niveau qu’il découvre à 21 ans. D’après les observateurs, ce ne sera pas un souci.

Ryan, un Aussie pour devenir n°1

Nom : Mathew Ryan.

Âge : 21 ans.

Position : gardien.

Son profil : avec la venue de Gretarsson, Bruges va davantage jouer la carte des jeunes. Le Suisso-Portugais Monteiro et le Diablotin Brandon Mechele pourraient s’illustrer derrière, tout comme le Chinois Wang dans le milieu. Mais celui dont on attend le plus est sans doute Matthew Ryan. Élu meilleur gardien du dernier championnat d’Australie, il jouait jusqu’alors à Central Coast Mariners. Kujovic, qui aura bientôt 35 ans, n’a pourtant pas démérité la saison dernière : il a même régulièrement sauvé des points pour le Club, mais les dirigeants voient tout de même en Ryan le prochain n°1. Quand ? Là est toute la question. Mais ce sera sans doute déjà cette saison. Il se dit que ce robuste gardien a une excellente mentalité et une très bonne relance au pied.

Schrijvers, sur les traces de De Bruyne

Nom : Siebe Schrijvers.

Âge : 17 ans.

Positions : médian offensif, attaquant.

Son profil : depuis l’éclosion de jeunes talents comme Courtois ou De Bruyne, la qualité du centre de formation de Genk n’est plus à démontrer. La saison dernière, les Limbombe, Croux ou Ayub Masika ont pointé le bout de leur jeune nez sans vraiment s’imposer. Cette année, le grand public devrait faire plus ample connaissance avec Siebe Schrijvers. Avant qu’il ne signe un contrat pro à Genk, Anderlecht, le PSV et Manchester United avaient manifesté un intérêt. Déjà incorporé au noyau A la saison passée, il avait été prudemment ménagé. Désormais, à tout juste 17 ans, l’international U19 a déjà eu l’occasion de montrer de bonnes choses lors de cette préparation, le plus souvent en soutien des attaquants. Et certains de le comparer déjà à Kevin De Bruyne. "C’est un joueur très doué. Physiquement, il est encore frêle vu son âge, mais il est pourtant premier aux tests physiques", décrit Jelle Vossen. "Il se comporte davantage en attaquant que Kevin. Il marque très facilement. Il pourrait constituer la révélation à Genk, cette saison."

Cerigioni veut faire son nid petit à petit


Nom : Alessandro Cerigioni.

Âge : 20 ans.

Position : attaquant.

Son profil : son arrivée cet hiver à Louvain n’avait pas fait de bruit et avait surtout des allures de pari sur l’avenir. En allant débaucher, dès janvier, Alessandro Cerigioni à Lommel son club formateur, OHL a mis la main sur un jeune joueur patient qui a préféré faire ses gammes en D2 (94 matches) avant de rejoindre un club de l’élite ambitieux à son image. Et après avoir bien pris la température de la Pro League où, en neuf apparitions, il a signé deux buts et trois assists, Cerigioni a confirmé ses prédispositions lors des matches de présaison où il a fait trembler les filets à cinq reprises. "Il m’a impressionné durant la préparation", avoue Ibou, au sujet d’un attaquant qui démarre la saison en tant que joker. En attendant mieux...Jo. L. 
 
dhnet.be

Trayvon Martin : les stars américaines s'inspirent de Stevie Wonder et boycottent la Floride

Trayvon Martin : les stars américaines s'inspirent de Stevie Wonder et boycottent la Floride
Mary Altaffer/AP/SIPA
Kanye West, Jay Z, Beyoncé, Kim Kardashian, Madonna, Usher ou encore Rod Stewart. Tous ont suivi les traces de Stevie Wonder et prévoient de boycotter l'Etat de Floride pour manifester contre la loi «Stand Your Ground», qui a permis la libération de Georges Zimmerman, meurtrier de Trayvon Martin.
La longue liste des artistes rejoignant le mouvement
Si la liste, révélée par la journaliste de American Urban Radio Networks (AURN) April D. Ryan, n'est pas encore définitive, plusieurs personnalités auraient répondu à l'appel de Stevie Wonder. On retrouve pêle-mêle les noms de Justin Timberlake, les Rolling Stones, Kanye West, Jay Z, R. Kelly, Will I Am, Madonna... Selon la journaliste, plusieurs de ces stars auraient même déjà annulé certains de leurs concerts prévus en Floride.
D'autres personnalités comme Kim Kardashian ou Miley Cirus ont exprimé leur soutien en réagissant sur leur compte Twitter. «Ni justice, ni paix», a écrit la seconde, en reprenant le slogan des manifestants. De son côté, la chanteuse Beyoncé a demandé une minute de silence au cours d'un de ses concerts à Nashville samedi 13 juillet dernier, en mémoire de Trayvon Martin et en soutien à sa famille. La diva s'est d'ailleurs joint, avec son mari le rappeur Jay Z, aux manifestants qui réclamaient une autre justice, le 20 juillet dernier à Manhattan, après l'acquittement du meurtrier de Trayvon Martin.
Stevie Wonder, chantre de l'opposition à la loi «Stand Your Ground»
La liste des célébrités et artistes à s’engager dans cette affaire ne cesse donc de prendre de l’ampleur. Bruce Springsteen a dédié un titre au jeune homme assassiné lors de son concert à Limerick, en Irlande. Alicia Keys, Keyshia Cole ou Usher ont également réagi à l'acquittement de Georges Zimmerman.
«J'ai décidé que jusqu'à ce que la loi "Stand Your Ground" soit abolie en Floride, je n'y chanterai plus jamais. Plus largement, partout où je découvre qu'une loi de ce type existe, je ne chanterai pas dans cet Etat ou cette partie du monde», avait lancé le chanteur Stevie Wonder lors d'un concert qu'il donnait à Québec dimanche 14 juillet en réaction au verdict du procès de George Zimmerman.
Georges Zimmerman, coupable du meurtre de Trayvon Martin, jeune afro-américain de 17 ans, le 28 février dernier, a été acquitté par la justice de Floride, aux Etats-Unis, le jury ayant estimé que l'auteur du crime avait agi en état de légitime défense. Un verdict rendu possible en vertu de la loi «Stand Your Ground» adoptée en Floride en 2005, et selon laquelle un individu armé peut choisir de ne pas fuir un affrontement s'il se croit en danger.

Japon : Une chirurgie des lignes de la main pour modifier le destin

Insolite Japon : Une chirurgie des lignes de la main pour modifier le destin

Au Japon, il y a une nouvelle tendance dans le domaine de la chirurgie esthétique. Certains se font opérer des lignes de la main.

Au Japon, la lecture des lignes de la main (chiromancie) est prise très au sérieux. Certains habitants qui ne sont pas satisfaits ont décidé de changer leur destin en subissant une opération chirurgicale. Cette pratique a commencé à susciter un réel engouement et il faut débourser près de 860 dollars. À ce tarif, le chirurgien intervient sur les lignes de la chance, du cœur et de la vie avec un scalpel électrique.

37 interventions en 2 ans

Pendant une quinzaine de minutes, la main est brûlée en suivant le tracé des nouvelles lignes. Le chirurgien exécute donc la volonté du patient qui doit utiliser un marqueur pour changer l’orientation des lignes de sa main. Cette dernière possède par la suite une cicatrice et les Japonais sont convaincus qu’elle agira sur leur destin. Entre janvier 2011 et mai 2013 selon le Japan Daily Press, près de 37 interventions ont été observées. Généralement, ce sont des femmes et des hommes âgés d’une trentaine d’années qui ont recours à cette pratique.

Une nouvelle mesure pour calculer la seconde


PARIS (Reuters) - Des horloges atomiques plus précises ont été mises au point par des chercheurs de l'Observatoire de Paris, ouvrant la voie à des avancées dans de nombreux domaines scientifiques, dont la prévention de séismes et la réalisation des cartes.
L'équipe Systèmes de référence temps-espace (Syrte) conduit des recherches sur les fréquences optiques depuis 14 ans afin de parvenir à une définition plus fine de la seconde.
Les horloges optiques mises au point par les membres de la Syrte sont trois fois plus précises que les horloges atomiques existantes et peuvent donner l'heure juste pendant 300 millions d'années sans perdre une seconde, disent ses chercheurs.
Elles fonctionnent via un piège de lumière où des atomes de strontium sont mis à l'arrêt par des lasers puis étudiés à une vitesse 0, ce qui permet de définir la fréquence de leurs oscillations et donc la durée d'une seconde.
Les précédentes horloges utilisent des atomes de césium qui ne donnent pas un résultat aussi précis du fait de leurs oscillations moins fréquentes. Le nouveau dispositif utilise des atomes capables d'osciller plus vite.
"C'est deux fois plus précis que les horloges au césium", déclare Rodolphe le Targat, physicien de l'Observatoire.
Des horloges à ions développées aux Etats-Unis peuvent garder l'heure exacte pendant 3,7 milliards d'années, mais elles sont beaucoup moins stables.
Les horloges mises au point à l'Observatoire de Paris sont des capteurs sensibles aux perturbations extérieures qui réagissent selon les températures et certains facteurs non ressentis par l'homme. Ces dispositifs peuvent à un certain degré permettre la prévention de séismes et la réalisation de cartes. Elles peuvent aussi aider au développement de systèmes de géolocalisation plus précis.
Le téléchargement de données et le trading à haute fréquence sur les marchés, déjà effectué en microsecondes, pourraient aussi se faire plus rapidement.
"On est quasiment persuadés que ces horloges-là peuvent encore progresser", explique le physicien de la Syrte.
Mais il faudra encore beaucoup de travail pour réduire la taille des deux horloges qui occupent un laboratoire de 15 mètres carrés empli de câbles connectés à des dizaines de machines.
Capucine Fachot-Charbonneau, avec Nathalie Huet, édité par Yves Clarisse

Lors d’un concours, il boit six litres de bière et meurt

Faits Divers Lors d’un concours, il boit six litres de bière et meurt
> Lors d’un concours, il boit six litres de bière et meurt
Joaquin Alcaraz Garcia âgé de 45 ans participait à un concours pour devenir le « Roi de la bière ». Pendant 20 minutes, il a donc bu près de 6 litres de cette boisson et la situation a dégénéré quelques minutes après la fin du concours. Le quadragénaire a commencé à vomir selon Midi Libre.
Il a ensuite perdu connaissance. Pourtant, après avoir bu les 6 litres de bière, il avait été récupéré son trophée et il semblait en bonne santé.
Son organisme n’aurait pas supporté la quantité trop importante d’alcool.

24matins.fr

Syrie/aide humanitaire : les critiques de Suheir Atassi, vice-présidente de la Coalition

PARIS (France) - La vice-présidente de la Coalition nationale syrienne (opposition), Suheir Atassi, a regretté mercredi à Paris que l'aide humanitaire à la population soit devenue dans certains cas un outil de pouvoir et que celle de l'ONU n'atteigne pas ceux qui en ont le plus besoin.

Pour beaucoup, l'aide humanitaire est devenue un outil de pouvoir. Certains partis, groupes militaires essaient d'acheter la loyauté des Syriens en contrepartie de l'aide humanitaire allouée, a déclaré Mme Atassi, lors d'une rencontre avec la presse.

Cette femme déterminée, d'une quarantaine d'années, l'un des trois vice-présidents de la Coalition, accompagne le chef de l'opposition syrienne, Ahmad Jarba, pour sa première visite en France depuis son élection début juillet.

Fin 2012, pour lutter contre le phénomène d'aide sous conditions, la Coalition a créé l'ACU (Unité de coordination de l'aide humanitaire), que préside Mme Atassi.

Nous ne concevons pas l'aide humanitaire comme un moyen d'obtenir un soutien. Le principe est de donner l'aide humanitaire à tous les Syriens qui en ont besoin, sans conditions. La distribution doit se faire sur cette base rigoureuse, sans autres considérations, a-t-elle insisté.

La responsable a mis l'accent sur les difficultés de la Coalition à imposer ses structures et à réduire les canaux parallèles. Nous demandons aux pays donateurs de passer par notre structure, pour remédier à la désorganisation qui règne à l'intérieur du pays où certaines régions sont négligées. Malheureusement, certains pays passent par des structures autres, a-t-elle déploré, sans vouloir les désigner.

Ce sont les mêmes qui perturbent le travail de l'Armée libre syrienne (ALS) et nous les tenons pour responsables de ce qui se passe en Syrie, a-t-elle dit. Selon elle, 13 millions de personnes ont besoin d'aide dans tout le pays.

La France et les Emirats arabes unis ont été les deux premiers pays à apporter leur soutien à l'ACU, a-t-elle précisé, mais il y a un grand décalage entre les besoins sur le terrain et ce que nous donnons.

Elle a insisté sur le besoin de redonner vie aux régions libérées, pas seulement avec de l'aide alimentaire ou médicale mais en termes d'infrastructures et de soutien à des projets pour renforcer le rôle de la femme et de la société civile.

Par ailleurs, a-t-elle indiqué, la majorité des dons passe par les Nations unies qui considèrent encore le gouvernement de Bachar al-Assad comme le gouvernement de la Syrie. Nous ne nous opposons pas à ce que les Nations unies aident les régions sous contrôle du régime mais, ce qui nous gêne, c'est que cette aide n'atteigne pas ceux qui en ont le plus besoin.

Selon Mme Atassi, l'ONU est pieds et poings liés par le régime syrien et les efforts de coordination de l'ACU avec les agences onusiennes ont réussi dans certains cas mais échoué dans d'autres.

Nous devons faire pression sur les Nations unies pour qu'elles accèdent aux régions assiégées par le régime, a-t-elle affirmé, alors que Ahmad Jarba et une partie de sa délégation se rendent à New York pour y rencontrer vendredi les membres du Conseil de sécurité de l'ONU.

La vice-présidente de l'opposition a plaidé pour une reconnaissance juridique de la Coalition car la seule reconnaissance politique n'a pas eu d'effet positifs sur le terrain. C'est une simple rhétorique. Ce dont nous avons besoin, c'est d'une reconnaissance juridique qui délégitimera le régime de Bachar al-Assad, a-t-elle affirmé.

La formation d'un gouvernement provisoire que M. Jarba a dit mardi espérer d'ici un mois peut être l'occasion d'ôter sa légitimité à Bachar al-Assad en permettant à la Coalition d'être représentée dans les instances internationales, à commencer par la Ligue Arabe, a encore estimé Mme Atassi.

L'opposition ne siège toujours pas à la Ligue Arabe malgré la décision de cette organisation de lui accorder le siège de Damas, faute d'avoir formé un gouvernement, a-t-elle rappelé.


(©AFP /

Google Earth: simulez l'impact d'une bombe nucléaire en 3D

Google Earth: simulez l'impact d'une bombe nucléaire en 3D
Capture d'écran Nukemap
Nukemap est un site permettant de visualiser, sur Google Map, les dommages causés par une bombe nucléaire sur une zone géographique préalablement choisie. Une nouvelle fonctionnalité vient enrichir le site: visualiser en 3D la taille du champignon et la zone touchée par l'impact d'une bombe nucléaire.
Pour arriver au résultat, il suffit de sélectionner un point d'impact, en tapant le nom d'une ville, puis de choisir la charge de la bombe souhaitée, de «Little Boy» et ses 15 kilotonnes largués sur Hiroshima, pour la plus modeste à la bombe soviétique «Tsar» de 100 mégatonnes. Appuyez sur le bouton "détonation" pour voir s'élever un champignon au dessus de la zone frappée. Visualiser les effets d'une bombe nucléaire fait froid dans le dos. Avec la bombe «Tsar» de 100 mégatonnes, la ville de Paris serait réduite en cendres, et les dégâts s'étendraient de Tours au sud, jusqu'au littoral normand, au nord de la capitale. Les pertes humaines s'élèveraient à plus 8.8 millions de personnes, et 2.5 millions de personnes seraient blessés, avec des brûlures au troisième degrés au minimum.
Nukemap a été créé par Alex Wellerstein, historien des sciences spécialisé dans l'histoire des armes nucléaires. Il travaille au Centre d'histoire de la physique à l'American Institute of Physics, dans le Maryland.

newsring.fr

Egypte/Sinaï: 3 tués dans l'explosion de leur voiture piégée

LE CAIRE (Qahirah) - Trois personnes ont été tuées mercredi dans la péninsule égyptienne du Sinaï par l'explosion prématurée de la voiture piégée à bord de laquelle elles circulaient, a-t-on appris de sources de sécurité.

La bombe a explosé au moment où le véhicule entrait dans la ville d'El-Arich, chef-lieu du gouvernorat du nord-Sinaï, où plusieurs attaques meurtrières contre des policiers et des militaires ont eu lieu ces dernières semaines, a-t-on précisé.

Auparavant, deux soldats égyptiens avaient été tués par des hommes armés dans la ville, un à un barrage militaire et un autre dans une attaque contre un réservoir d'eau, selon les mêmes sources.

Une trentaine de soldats, policiers et civils ont été tués dans cette région depuis le renversement le 3 juillet du président islamiste Mohamed Morsi, traduisant un fort regain de violence dans la péninsule.

L'armée égyptienne, qui a intensifié sa présence et ses opérations dans le Sinaï, frontalier d'Israël et de la bande de Gaza, a fait état la semaine dernière d'une dizaine de jihadistes tués.

Le Sinaï est majoritairement peuplé de bédouins qui entretiennent des relations difficiles avec le pouvoir central. La région connaît également un regain d'activité de groupes radicaux islamistes qui s'en servent comme base arrière pour des opérations contre Israël.


(©AFP /

Incendie sur une plateforme gazière dans le Golfe du Mexique


Un incendie s’est déclaré mardi soir sur une plateforme d’extraction de gaz dans le Golfe du Mexique après la découverte d’une fuite qui a provoqué l‘évacuation des employés, dont aucun n’a été blessé, a-t-on appris auprès du Bureau américain de la sécurité et de l’environnement (BSEE).
La plateforme, baptisée Hercules 265, est exploitée par la société Walter Oil and Gas Corporation basée à Houston, au Texas. Elle “est située à environ 88 km au large des côtes (de l’Etat américain) de la Louisiane”, a précisé Eileen Angelico, porte-parole du BSEE, dans un email envoyé à l’AFP.
Selon le BSEE, une fuite de gaz s’est déclarée dans la journée mardi, engendrant l‘évacuation des 44 employés présents sur la structure.
Puis, dans la soirée, vers 23H50 (04H50 GMT), le gaz qui s‘échappait de la fuite a pris feu.
Au moment de la déflagration “personne n‘était à bord (de la plateforme) et personne n’a été blessé”, a souligné Mme Angelico.
Dans la matinée de mercredi, un bateau-pompe était à pied d’oeuvre pour tenter de maîtriser l’incendie.
Les garde-côtes ont dépêché sur place une vedette, un hélicoptère et un avion.
En 2010, c’est dans cette même zone du Golfe du Mexique qu’une explosion sur la plateforme Deepwater Horizon avait fait 11 morts et provoqué une fuite de pétrole que la firme BP avait mis 87 jours à arrêter en cimentant le gisement, à 4.000 mètres sous le fond de la mer.
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Crime organisé: 870 milliards de dollars de revenus annuels


Le crime organisé international rapporte 870 milliards de dollars par an (658 milliards EUR) grâce aux trafics de drogue et d‘êtres humains et à la cybercriminalité, selon une estimation du responsable d’une agence de l’ONU.
“Ils font 870 milliards de dollars par an, c’est une énorme somme d’argent”, a déclaré mercredi à l’AFP le patron de l’Office des Nations unies de lutte contre la drogue et le crime (ONUDC), le Russe Youri Fedotov.
“C’est ce qui motive les criminels. L’argent, pour être influent, avoir un certain statut et du pouvoir”, a-t-il déploré ajoutant que “les groupes criminels sont mieux financés que n’importe quelles autorités publiques”.
Mais la question des fonds n’est pas le seul défi dans cette bataille qui, loin de se terminer, est entrée dans une nouvelle dimension grâce à internet, qui permet aux groupes mafieux d’agir avec encore plus de rapidité pour échapper aux enquêteurs, relève M. Fedotov.
“Nous devrions être plus flexibles, et ne pas se contenter de suivre la vague. Il faut aussi prévenir et anticiper”, a-t-il expliqué.
Alors que désormais un tiers de la population mondiale dispose d’un accès à internet, la cybercriminalité préoccupe toujours plus les polices.
Les revenus annuels liées aux vols d’identités sur internet sont estimés à un milliard de dollars par an, selon le haut responsable de l’ONU, qui souligne toutefois que ce montant reste encore très inférieur aux 20 milliards de dollars engrangés par le trafic d’espèces animales et végétales menacées d’extinction.
Pour ce qui est du trafic de drogue, plusieurs nouvelles tendances inquiètent les autorités, selon M. Fedotov: la multiplication des drogues de synthèse et le développement d’une nouvelle route de la drogue passant par le Sahel et l’Afrique de l’Ouest, via notamment la Guinée-Bissau.
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Grande-Bretagne: le bébé royal s’appelle George Alexander Louis


. © Leon Neal Le fils de Kate et William, né lundi, s’appelle George Alexander Louis, a annoncé mercredi le palais de Kensington, résidence du duc et de la duchesse de Cambridge.
“Le Duc et la Duchesse de Cambridge sont ravis d’annoncer qu’ils ont nomé leur fils George Alexander Louis”, a indiqué le Palais dans un communiqué. “Le bébé sera connu sous le nom de son Altesse Royale le Prince George de Cambridge”, ajoute le texte.
George était le prénom donné favoris par les bookmakers ces derniers jours.
S’il accède au trône et s’il décide de garder le prénom de George, le nouveau-né, troisième dans l’ordre d’accession, serait le septième du nom dans la lignée royale.
Ses parents ont décidé de dévoiler le prénom de leur fils deux jours seulement après sa naissance.
Il avait fallu une semaine pour connaître le prénom de William, né en 1982, et même un mois pour apprendre celui de son père, le prince Charles, né en 1948.
Interrogé alors qu’il présentait son fils aux médias devant l’hôpital St Mary, le prince William avait dit que le couple “réfléchissait encore au prénom”.
Les deux parents ont communiqué leur choix quelques heures après être arrivés à Bucklebury dans la villa des parents de Kate où ils doivent passer les prochains jours.
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Des missiles thermiques à Raqqa, 200 terroristes tués à Alep

IRIB- Selon une source militaire syrienne, "les soldats syriens ont découvert un stock de missiles thermiques à rif de Raqqa au nord de la Syrie".
La découverte a eu lieu mardi et alors que les soldats de l'armée nationale menait une vaste opération dans la banlieue de Raqqa . Outre ces missiles une grosse quantité d'armes et de munition a également été découverte. : 6 RPG, deux mitraillettes de 14.5 millimètres, un fusil à feu thermique, 3 bombes prêtes à exploser, plusieurs engins à phosphore, des armes en stock . les équipements satellite, des taki waki, des téléphones sans file ont été découverts . A Alep , les soldats ont libéré un syrien pris en otage par les terroristes . A Al Houti d'Alep, 200 terroristes ont été tués . ces derniers se sont vengés en attaquant un bus sur la route Hama-Alep . 5 passagers ont été tués et des dizaines d'autres blessés.

Un homme armé d’une hache a été tué par un policier

Un homme armé d’une hache a été tué par un policier
Hier, un homme de 36 ans est décédé des suites de blessures par balle. Le trentenaire, très agité, était entré dans un commissariat du Val-de-Marne muni d’une hache


Le poste de police de Chevilly-Larue dans le Val-de-Marne a été témoin d’une scène hors du commun hier, aux alentours de 18h. Un homme de 36 ans a en effet fait irruption dans le commissariat armé d’une hache. Très menaçant et visiblement agité il a été mortellement blessé par un policier.

Le forcené est mort dans la nuit

L’homme a été conduit à l’hôpital mais atteint par trois balles, deux au thorax et une au bras, il est décédé dans la soirée de mardi. L’agresseur était rentré dans le commissariat visiblement très en colère, détruisant tout ce qui était à sa portée. Les cinq policiers présents auraient alors tenté de le raisonner, puis de le maîtriser. Mais ayant réussi à se libérer de leur emprise, le trentenaire se serait précipité sur l’un des policiers, qui aurait alors utilisé son arme pour se défendre.

Laure Estival

mcetv.fr

RDC: la rébellion M23 affirme avoir tué plus de 400 militaires


La rébellion Mouvement du 23 mars (M23) a affirmé mercredi qu’elle avait tué plus de 400 militaires depuis la reprise, le 14 juillet, des combats qui l’opposent à l’armée près de Goma, dans l’Est de la République démocratique du Congo.
“Depuis le 14 juillet, 401 militaires ont été tués et plusieurs blessés du côté des FARDC (Forces armées de la RDC, armée régulière), et côté M23 on compte 6 morts et 14 blessés”, a précisé à l’AFP le lieutenant-colonel Vianney Kazarama, porte-parole militaire de la rébellion.
Lundi, ce responsable avait assuré que le M23 avait “tué 35 militaires et FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda, une rébellion hutu)” et qu’il avait “capturé 20 militaires et FDLR”. Le groupe de rébellion et l’armée s’accusent mutuellement de collaborer avec les FDLR.
Le M23 actif depuis mai 2012 au Nord-Kivu
Le bilan du M23 n‘était pas dans l’immédiat vérifiable de source indépendante. De même que celui délivré le 15 juillet par le gouvernement qui avait déclaré que 120 rebelles et 10 soldats des FARDC avaient péri dans les combats. Depuis, Kinshasa n’a plus délivré de décompte des victimes.
Le M23 est actif depuis mai 2012 dans la province riche et instable du Nord-Kivu. Il est essentiellement composé de Tutsi congolais intégrés dans les FARDC à la faveur d’un accord de paix signé en 2009. Ils se sont mutinés en avril 2012, estimant que cet accord n’avait jamais été pleinement respecté.
Kinshasa et l’ONU ont accusé le Rwanda et l’Ouganda de soutenir le M23, ce que ces deux pays voisins de la RDC ont toujours démenti.
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dward Snowden autorisé à sortir de l’aéroport de Moscou


La situation de l’ex-consultant du renseignement américain Edward Snowden semblait se débloquer mercredi, la Russie, à laquelle il a demandé un asile provisoire, l’ayant selon des sources autorisé à sortir de l’aéroport de Moscou où il est confiné depuis un mois.
“L’Américain se prépare à sortir”, a dit une source proche du dossier à Interfax. Une autre source a précisé à cette agence de presse que le fugitif américain pourrait quitter l’aéroport dans les prochaines heures.
Une journaliste de l’AFP sur place, a constaté la présence de très nombreux journalistes au terminal E de l’aéroport Cheremetievo, sans qu’aucune information ne soit disponible sur place sur le lieu où se trouve Edward Snowden.
“Snowden n’est plus dans sa chambre. Il est encore dans la zone de transit. Cependant, il a récupéré toutes ses affaires personnelles de la chambre”, a affirmé la source citée par Interfax.
“Actuellement, on se prépare pour le contrôle de la frontière et des douanes. Edward Snowden va vraisemblablement effectuer ces formalités dans un couloir réservé”, a indiqué une source au sein de l’aéroport à cette même agence.
L’agence RIA Novosti, citant une source au sein des forces de l’ordre, a, de son côté, précisé que le Service des Migrations avait délivré au fugitif américain le document lui permettant de quitter la zone de transit.
Joint par l’agence officielle Itar-Tass, ce service n’a cependant pas confirmé cette information.
Interfax a précisé que l’avocat russe de M. Snowden, Anatoli Koutcherena, s‘était rendu à l’aéroport pour lui remettre ce document.
Selon RIA Novosti, cet avocat proche du Kremlin se trouve actuellement à l’aéroport.
“Je vais voir Snowden. Je pourrai dire quelque chose seulement après ces consultations”, a-t-il déclaré depuis l’aéroport, selon cette agence, affirmant qu’il portait un grand sac.
Il n’a pas été possible de le contacter par téléphone pour le moment.
Joint par l’AFP, un porte-parole de WikiLeaks, le site internet fondé par Julian Assange et qui a joué un rôle actif dans la fuite du jeune informaticien américain réfugié depuis le 23 juin dans la zone de transit de Moscou-Cheremetievo, a, lui, dit ne pas pouvoir commenter cette information dans l’immédiat.
Edward Snowden, ex-consultant du renseignement américain, a officiellement demandé la semaine dernière un asile provisoire à la Russie, faute de pouvoir rejoindre un des pays d’Amérique latine, dont le Venezuela, qui s‘étaient déclarés prêts à lui accorder l’asile.
Me Koutcherena avait alors expliqué que le Service des migrations devait lui fournir dans les sept jours suivant le dépôt de sa demande une attestation selon laquelle son dossier était recevable. Ce certificat lui donne le droit de séjourner et de se déplacer en Russie dans l’attente d’une décision sur sa demande d’asile.
L’asile provisoire est une solution a minima, valable un an, prévue par la législation russe.
L’avocat russe a cependant affirmé que le fugitif américain envisageait de demander la citoyenneté russe.
“Il m’a dit : +je n’ai pas l’intention de quitter la Russie+”, a déclaré l’avocat devant la presse la semaine dernière.
Les États-Unis ont toutefois d’autres projets pour l’ex-consultant des services de renseignement et ont réitéré à plusieurs reprises leur demande d’extradition de l’informaticien inculpé d’espionnage dans son pays en raison de ses révélations sur la surveillance électronique américaine à l‘étranger.
Le Kremlin, dont les réactions ont révélé un certain embarras, a soigneusement pris ses distances avec l’affaire Snowden, soulignant souhaiter que ce dossier ne nuise pas aux relations avec Washington.
Le président Vladimir Poutine a notamment posé comme condition qu’Edward Snowden cesse ses révélations sur les programmes américains tant qu’il est en territoire russe.
Le jeune fugitif est arrivé le 23 juin à l’aéroport de Moscou-Cheremetievo, en provenance de Hong Kong, où il s‘était réfugié avant de faire ses révélations fracassantes sur la surveillance électronique américaine dans le monde.
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La Reine rend visite à son premier arrière-petit-fils


. © Tanya Lokshina La reine Elizabeth II est arrivée peu après 11H00 au palais londonien de Kensington pour faire la connaissance de son premier arrière-petit-fils, qui a quitté mardi soir la maternité avec ses parents Kate et William.
Mardi soir, la reine avait fait savoir qu’elle était “ravie”.
Avant de rejoindre leur résidence londonienne, le couple princier a présenté aux médias internationaux le futur roi.
Plus tôt dans l’après-midi, les grands-parents maternels et paternels avaient fait le déplacement jusqu‘à l’hôpital St-Mary pour rencontrer leur petit-fils.
“Absolument magnifique”, s’est ainsi exclamée Carole Middleton, la mère de Kate qui devient pour la première fois grand-mère.
“Merveilleux, absolument formidable”, a renchéri le prince Charles venu avec son épouse Camilla et visiblement ravi de sa rencontre avec son premier petit-fils.
Le bébé royal est né lundi après-midi et a quitté mardi soir la maternité avec ses parents. C’est “un beau bébé” qui pèse 3,8 kg et “a une bonne paire de poumons”, selon son père, le prince William.
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Syrie: arrivée des experts de l’ONU pour les armes chimiques


Des experts de l’ONU sont arrivés mercredi pour la première fois en Syrie afin d‘établir la vérité sur l’utilisation présumée d’armes chimiques par le régime ou les rebelles qui s’accusent mutuellement d’y avoir eu recours.
Dans le nord du pays, l’Arabie saoudite a intensifié, selon des sources de l’opposition, ses livraisons d’armes aux rebelles pour qu’ils emportent Alep, la capitale économique, et sa province. Plus à l’est, 17 combattants ont péri dans des combats entre Kurdes et jihadistes.
Angela Kane, haute représentante des Nations Unies pour les Affaires de désarmement, et Ake Sellstrom, chef de la mission d’enquête de l’ONU sur les armes chimiques en Syrie, sont à Damas pour discuter avec les autorités de leur accès à tout le territoire syrien pour les besoins de l’enquête concernant notamment l’utilisation de gaz sarin.
Visite officielle de 2 jours
“En réponse à une invitation du gouvernement syrien, Mme Kane et M. Sellstrom sont arrivés en Syrie pour une visite officielle de deux jours au cours de laquelle ils rencontreront des hauts responsables syriens”, a indiqué à l’AFP Khaled al-Masri, responsable de la communication et conseiller de l’ONU basé à Damas.
Le 11 juillet, l’ONU avait annoncé que M. Sellstrom et Mme Kane “avaient accepté l’invitation du gouvernement syrien à se rendre à Damas pour terminer les consultations sur les modalités de coopération requises” pour une éventuelle mission sur place.
Ils devraient en principe rencontrer mercredi le ministre syrien des Affaires Etrangères Walid Mouallem, selon une source proche de la délégation.
Mais leur mission s’avère très difficile car le régime, appuyé par Moscou, insistait pour qu’ils se concentrent sur un incident attribué par Damas à l’opposition et survenu en mars à Khan al-Assal, près d’Alep (nord).
Or cette ville est tombée lundi aux mains des rebelles et l’armée a depuis envoyé des renforts pour la reprendre déclenchant de violents combats, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) et une source au sein des services de sécurité.
Selon l’ONU, Damas refusait que les enquêteurs se penchent aussi sur des accusations portées contre l’armée par Londres et Paris concernant des incidents similaires à Homs (centre) en décembre 2012. Depuis, l’opposition a fait état de l’usage de ce gaz dans d’autres villes et localités où les soldats affrontent les rebelles.
Cette divergence avait empêché jusqu‘à présent la mission d’enquête des Nations unies de se rendre sur place pour recueillir témoignages et échantillons.
“Ligne rouge” franchie
Or cette affaire est particulièrement sensible et peut changer le cours de cette guerre civile, car le 20 août 2012, le président américain Barack Obama avait affirmé qu’avoir recours à de telles armes ou même les déplacer reviendrait à franchir une “ligne rouge”.
L’Otan et les Etats-unis avaient promis en décembre 2012 que le recours à ces armes entraînerait “une réaction internationale immédiate” et en juin 2013 la Maison Blanche avait estimé qu’une “ligne rouge” avait été franchie, accusant M. Assad d’avoir utilisé des armes chimiques, dont du gaz sarin. Mais aussitôt Moscou avait jugé les accusations des Etats-Unis “pas convaincantes”.
Dans le nord, au moins 17 combattants kurdes et jihadistes ont péri mercredi au huitième jour de violents combats dans la province de Hassaké (nord-est), rapporte l’OSDH.
Les combattants kurdes progressent dans cette région, où ils cherchent à établir une zone autonome, à la lisière de la Turquie.
Au moins 13 combattants de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) et du Front Al-Nosra, deux groupes affiliés à Al-Qaïda ont été tués dans ces violents combats dans le village de Mechrafé au cours desquels les Kurdes ont perdu quatre hommes, selon l’OSDH.
Mechrafé se situe au sud de Ras al-Aïn, la ville kurde frontalière de la Turquie d’où l’EIIL et Al-Nosra ont été chassés le 23 juillet.
Toujours à Hassaké, dans la localité de Jal Agha, un kamikaze a fait exploser une voiture devant un barrage kurde, faisant deux morts parmi les combattants.
Plus à l’ouest, une source de l’opposition a assuré que l’Arabie saoudite avait “décidé qu’Alep, ville et province devaient tomber aux mains des rebelles. Des armes et des munitions, dont des roquettes anti-char arrivent tous les jours aux rebelles”.
Dans cette région, l’armée est sur la défensive faute d’avoir assez d’hommes pour mener des attaques, selon une source pro-régime dans la région.
Selon l’OSDH, huit bataillons islamistes, notamment Al-Nosra et Al-Mouhajirine (composé entièrement de jihadistes étrangers), ont créé une “chambre d’opérations communes dans la ville d’Alep”.
La journée de mardi a été particulièrement meurtrière avec 203 morts, dont 72 rebelles, 71 civils et 60 militaires.
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Syrie: les "colombes" sauvent Damas

RG

Les ministères américains sont divisés sur la question syrienne et ça commence à se voir, écrit le quotidien Rossiïskaïa gazeta du 24 juillet 2013.
De même que pendant la crise des missiles de Cuba, la Maison-Blanche hésite entre la paix et la guerre.
Paradoxalement, c’est le secrétaire d'Etat John Kerry qui propose de bombarder l'armée de Bachar al-Assad et Martin Dempsey, président du Comité des chefs d'état-major des forces armées, penche pour la non-intervention. Ce dernier met en garde les hommes politiques contre les conséquences que pourraient avoir des actions irréfléchies en Syrie. "Nous ne pouvons par lâcher quelques bombes ou lancer quelques missiles contre la Syrie en espérant que cela suffira pour mettre un terme au conflit", livre-t-il notamment à la presse américaine.
Cette fois le Pentagone sort ses arguments : des chiffres. Selon le New York Times, dans sa lettre adressée au président de la commission des forces armées du sénat américain Carl Levin, Dempsey estime que des centaines d'avions, y compris embarqués, seraient nécessaires pour des attaques limitées à distance contre les positions de l'armée syrienne (plus de 700 vols opérationnels). La prise de contrôle des arsenaux d'armes chimiques devrait être soutenue par plusieurs milliers de soldats des unités d'élite. L'opération aérienne coûterait aux contribuables américains un milliard de dollars par mois pendant au mois un an. Compte tenu des opérations au sol, les dépenses seront significativement supérieures.
Selon Dempsey, les risques liés à la mise en place d'une zone-tampon le long de la frontière syrienne pour protéger l'opposition "sont les mêmes que pour l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne, à cela près que l'armée syrienne pourrait attaquer ces positions". Inutile d'énumérer tous les difficultés liées à la participation directe des USA au conflit syrien citées par le général. Le sens de la lettre est évident : le Pentagone est persuadé que l'opération en Syrie serait comparable à l'opération en Afghanistan en termes d'ampleur et de dépenses financières pour les USA.
Les différends sur ce sujet ne s’expriment pas qu’entre les républicains et les démocrates mais aussi entre les ministères. Après de longs débats avec la Maison blanche les commissions spéciales pour le renseignement des deux chambres du congrès américain ont approuvé le plan modifié pour les livraisons d'armes à l'opposition syrienne – plan qu'elles avaient jusqu’ici rejeté à l'unanimité. Selon la presse américaine, cet accord est devenu possible grâce aux explications et aux précisions apportées par le vice-président, le secrétaire d'Etat et le directeur de la CIA. La décision de lancer les livraisons a une signification politique pour l'administration Obama : elles étaient le principal atout des USA pendant les conférences internationales auxquelles participait l'opposition syrienne.
Début août le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov se rendra en visite aux Etats-Unis. Il devrait rencontrer son homologue à plusieurs reprises. A l'ordre du jour : la situation en Syrie et les perspectives d'une nouvelle conférence internationale pour le règlement du conflit dans ce pays. La Maison blanche espère que d'ici là, grâce aux livraisons d'armes américaines, l'opposition syrienne stoppera l'armée d'al-Assad et reprendra au moins une partie des positions perdues. Dans le cas contraire les représentants de l'opposition refuseront de participer à une conférence sur la Syrie pour ne pas se retrouver dans la position désavantageuse du camp défait. A son tour, le vice-premier ministre syrien Qadri Jamil a confirmé en Russie que tous les contrats militaires russo-syriens conclus précédemment restaient en vigueur.

fr.rian.ru

L'ouragan Sandy provoque un mini baby-boom au New Jersey

L'ouragan Sandy provoque un mini baby-boom au New Jersey
Master Sgt. Mark Olsen/AP/SIPA
Neuf mois après le passage de l'ouragan Sandy sur la côte Est des Etats-Unis, les maternités du New Jersey enregistrent un mini baby-boom. Alors que l'Etat peine encore à se remettre des dégâts causés par la tempête, plusieurs hôpitaux de la région ont constaté une augmentation du nombre de naissances prévues pour juillet et août, selon le tabloïd américain The New York Post.
Certaines maternités prévoient ainsi jusqu'à 30% de naissances en plus, rapporte le magazine Time. Environ 500 bébés devraient ainsi voir le jour en juillet au centre médical Monmouth de Long Branch, contre 371 en 2012. Le Jersey Shore University Medical Center de Neptune devrait quant à lui enregistrer environ 200 naissances ce mois-ci, contre 160 l'année dernière. Face à cet afflux de nouveaux nés, les deux hôpitaux ont dû embaucher du personnel supplémentaire pour assûrer le bon déroulement des accouchements, rapporte Le Figaro.
Une situation courante après une catastrophe de l'ampleur de l'ouragan Sandy, selon les médecins. «Il y a eu un pic [de naissances] après le 11 septembre, comme il y en a après les pannes d'électricités ou les cyclones», explique le docteur Jacques Moritz, directeur du service de gynécologie de l'hôpital St. Luke’s-Roosevelt à New York, au New York Post. «Dans toute la région, il y a probablement eu une augmentation du nombre de femmes n'ayant plus accès à la contraception», ajoute-t-il. Sans compter que beaucoup de personnes «n'avaient pas la télé» et ont donc dû trouver une autre occupation, à en croire le docteur Steven Morgan, du Jersey Shore Medical Center.

newsring.fr/

Yémen : une fillette de 11 ans explique son refus d'être mariée de force (en vidéo)

Yémen : une fillette de 11 ans explique son refus d'être mariée de force (en vidéo)
MEMRITV via Youtube
Nada Al-Ahdal, 11 ans, a fui de chez ses parents. Alors que ces derniers voulaient la marier de force, cette jeune Yémen a pris la décision de refuser et d’aller vivre avec son oncle pour avoir «une vie» et «une éducation». C’est ce qu’elle explique dans une vidéo diffusée sur Youtube début juillet, et traduite par l’Institut de recherche des médias du Moyen-Orient (Memri), qui l’a republié le 21 juillet, rapporte FTVi.
Vidéo d'indignation
C’est l’histoire d’une petite fille, Nada Al-Ahdal, qui se retrouve mariée de force à «10 ans et 3 mois exactement», d’après l’oncle de la fillette, qui l’a élevé depuis l’âge de 3 ans. S’interposant à l'union en appelant le riche prétendant saoudien auquel Nada était destinée, l'oncle explique que «Nada n’est pas pour lui».
Mais les parents de la jeune Yémenite n’en restent pas là. Prétextant la célébration du Ramadan pour voir leur fille, ces derniers tentent une seconde fois de l’unir à un beau parti. S’en est trop pour Nada, qui décide de fuir sa famille et d’exprimer son indignation à la terre entière via une vidéo Youtube.
Le mariage forcé, un phénomène fréquent au Yémen
«N’ont-ils aucune compassion» s’interroge Nada Al-Ahdal en parlant de ses parents, mais également des nombreuses familles yéménites qui forcent leurs jeunes enfants à se marier. Car elle estime ne pas être un cas isolé, au contraire. «Il y a de nombreux enfants innocents qui sont forcés au mariage et qui finissent par se suicider. Il s’immolent, se jettent dans la mer (...) Que faites-vous de l’innocence des enfants?», s'indigne la fillette.
«Si vous me mariez, je n'aurai pas de vie, pas d'éducation», ajoute-t-elle, en s'adressant directement à ses parents. «Allez-y, mariez-moi de force et je me tuerai !», menace-t-elle, déterminée. L’oncle de la jeune fille explique également les raisons pour lesquelles il a choisi d'aider sa nièce. «Je ne pouvais pas les laisser la marier de force et détruire son futur, a-t-il affirmé. Surtout alors que sa tante a été mariée à 13 ans et s'est immolée par le feu» a précisé l'homme au site d'information libanais Now.

Schwarzenegger est derrière la reconnaissance des insurgés du Hezbollah comme les terroristes

актер Арнольд Шварценеггер москва

Les médias israéliens ont déclaré que l'un des personnages clés de l'intrigue autour de l’inscription de l'aile militaire du Hezbollah dans la liste des organisations terroristes dans l'UE, a été l'acteur et l’ancien gouverneur de Californie, Arnold Schwarzenegger.

Selon les rapports, l'Autriche, avec la Malte, la Grèce, l'Irlande, la République tchèque et la Slovaquie ont montré l'indécision jusqu’au dernier moment. Schwarzenegger a fait ce que ne pouvaient pas faire les politiciens israéliens. Il a persuadé le chancelier autrichien, Werner Faymann, de la nécessité de reconnaître les insurgés du Hezbollah comme les terroristes.

french.ruvr.ru

Les Français pessimistes quant au futur de l'UE (sondage)

Les Français pessimistes quant au futur de l'UE
Selon un sondage publié par le secteur analyse de la Commission européenne, la majorité des Français ont une vision plutôt sombre de l'avenir de l'Europe.
Ainsi, selon l'"eurobaromètre", 52% des Français se disent pessimistes, 68% estiment que "le pire de la crise économique en Europe est encore à venir", et 92% pensent que la situation économique de la France est "très mauvaise".
Dans le même temps, 58% des sondés estiment que leur opinion n'est pas pris en compte par les dirigeants européens, et 38% ne se considèrent en rien citoyens de l'Europe. 67% admettent qu'ils ne connaissent pas leurs droits et devoirs en tant que citoyens de l'Union européenne.
Sur fond de cet euroscepticisme croissant, on dénote néanmoins que 72% des personnes interrogées estiment que l'UE a encore une influence sur la scène internationale, et 62% sont d'accord avec l'introduction de la monnaie unique en 2002.
L'enquête a été réalisée en France en mai et a ensuite été comparée avec les résultats de sondages similaires menés dans les 27 autres Etats membres. Il s'avère que les Français sont loin d'occuper la première position sur ces questions, et qu'ils arrivent à la toute dernière place du classement en ce qui concerne la connaissance des droits et devoirs européens.

Les 3 leçons de vie que j'ai apprises lors du crash de mon avion


Ric Elias se trouvait à bord du vol 1549 de l’US Airways, il y a deux ans de cela. Il occupait le siège 1D, tout à fait à l’avant de l’appareil, et il était le « seul qui pouvait parler à aux membres du personnel de bord ». Ceux-ci  s’étaient montrés rassurants, tandis qu’il leur avait demandé pourquoi l’avion se remplissait de fumée et que les moteurs émettaient un inquiétant bruit de « clac-clac-clac » : « Ne vous inquiétez pas, nous avons probablement heurté des oiseaux en vol ».
Quelques instants plus tard, le commandant avait dit brièvement "préparez-vous à l'impact", et, comme les autres passagers, il se vit en train de mourir, tandis que l’avion semblait devoir s’écraser. Heureusement, le commandant parvint à faire atterrir l’avion sur la rivière Hudson, et l’équipage réussit à évacuer les 153 passagers qui s’y trouvaient.
A quoi pensent les passagers tandis qu’ils s’attendent au pire ? Ric Elias a tiré les leçons de cette expérience, qu’il a confiées à TED.com.
- Il applique le dicton du "collectionneur de mauvais vins" : parce que lorsqu'il a du bon vin, il n'hésite plus à ouvrir une bouteille lorsqu'une personne qu'il apprécie se présente chez lui. Il ne veut plus remettre les bonnes choses à plus tard.
- Il a réalisé qu'il avait passé trop de temps à discuter des sujets qui n'en valaient pas la peine avec les gens qu'il appréciait. Il a décidé d'éliminer l'énergie négative de sa vie. Désormais, il ne cherche plus à avoir raison. Il n'a pas eu de dispute avec sa femme depuis deux ans, explique-t-il. 
- Il a pensé qu'il aurait voulu voir ses enfants grandir. Plus tard, l'idée lui est venue que son but ultime dans la vie, c'était d'être le meilleur père possible pour ses enfants.

express.be

Vidéo : Ronaldo casse le bras d’un enfant en manquant le cadre sur coup franc

Vidéo : Ronaldo casse le bras d’un enfant
Photo
ci-dessus
Cristiano Ronaldo après avoir marqué un but contre Dortmund en demi-finale aller de Ligue des champions, le 24 avril 2013
Ce week-end, face au club anglais de Bournemouth, Cristiano Ronaldo a manqué sa cible en tirant un coup franc et a malencontreusement cassé le bras d’un petit garçon dans le public.

Le week-end dernier, le Real Madrid de Cristiano Ronaldo a écrasé les Anglais de Bournemouth 6 à 0, en match amical et pour la première de Carlo Ancelotti sur le banc madrilène.
Mais un incident est venu gâcher la fête : en manquant le cadre sur coup franc, Ronaldo a envoyé la balle directement dans le public. La frappe était tellement puissante qu’elle a cassé le bras de Charlie, 11 ans, assis derrière la cage.
Pour se faire pardonner, le club du Ronaldo a offert au jeune garçon un maillot signé par tous les joueurs du Real.

Burkina Faso: la succession de Blaise Compaoré risque d’être difficile, selon Crisis Group

Burkina Faso: la succession de Blaise Compaoré risque d’être difficile, selon Crisis Group
A moins de trois ans de l’élection présidentielle au Burkina, la situation politique est tendue. La question de la succession de Blaise Compaoré se pose désormais dans les débats internes mais également ailleurs, chez les analystes de l’International Crisis Group qui estiment que cette succession risque d’être difficile. Et pour cause?
Si le président Compaoré ne parvient pas à bien préparer sa succession, son pays pourrait connaitre une crise politique grave dans une région de plus en plus troublée. C’est en quelques mots, ce que l’on peut retenir du dernier rapport de l’International Crisis Group, intitulé Burkina Faso : avec ou sans Compaoré, le temps des incertitudes.  Ce rapport, le premier de Crisis Group sur le Burkina Faso, analyse la situation politique dans ce pays. Même si le président Compaoré respecte la Constitution et quitte le pouvoir à cette date, sa succession risque d’être difficile tant il a dominé la vie politique de ces dernières décennies. Ce rapport explique comment les tensions internes s’ajoutent à des facteurs transnationaux pour menacer la sécurité et la stabilité en Afrique de l’Ouest.
Les recommandations principales issuedu rapport sont :Au pouvoir depuis 26 ans, Blaise Compaoré a construit un régime semi-autoritaire. Militaire et ré-pressif au départ, ce régime a évolué vers un système démocratique de façade, qui est resté sous le contrôle total du président. Il lui a permis de stabiliser un pays qui a connu cinq coups d’Etat entre 1960 et 1987.
  • Toute tentative de modifier la Constitution pour permettre au président Compaoré de briguer un cinquième mandat pourrait provoquer une révolte populaire comme celle de 2011.
  • Le président Compaoré dispose d’un peu moins de trois ans pour préparer sa succession et faciliter la transition. Les partenaires extérieurs, notamment les puissances occidentales, ne devraient pas uniquement s’intéresser au rôle de Blaise Compaoré dans la médiation de la crise malienne et la surveillance sécuritaire des foyers de tensions en Afrique de l’Ouest. Leur attention doit également porter sur l’évolution politique interne et la consolidation démocratique du Burkina Faso.
  • Préserver la stabilité du Burkina Faso est d’autant plus important que la région ouest-africaine vit une période difficile. Le Mali voisin traverse un conflit politico-militaire qui a déjà eu des conséquences graves sur le Niger, pays également frontalier du Faso.
« Le Burkina Faso a jusqu’ici pu échapper à de graves bouleversements grâce à sa stabilité interne et un solide appareil sécuritaire », affirme Rinaldo Depagne, analyste principal de Crisis Group pour l’Afrique de l’Ouest. « Mais la détérioration du climat politique à l’horizon 2015 pourrait rendre le pays plus vulnérable ».
« Le Burkina Faso exerce une influence diplomatique significative en Afrique de l’Ouest », explique Gilles Yabi, directeur du projet Afrique de l’Ouest de Crisis Group. « Le président et ses hommes ont réussi à se positionner comme des médiateurs indispensables pour la résolution des crises régionales. Des turbulences au Burkina Faso ne signifieraient pas seulement la perte d’un allié clé et d’une base stratégique pour la France et les Etats-Unis, mais affaibliraient également davantage la capacité de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) à faire face aux conflits et aux crises politiques ».
By Justin Yarga
Source: Burkina24

Coopération Côte d’Ivoire / Burkina Faso :Ouattara et Compaoré tracent les sillons du futur ,les travaux s’ouvrent demain à Yamoussoukro




2ème
© Présidence par Aristide
2ème Sommet du Traité d’amitié et de coopération entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire: les Présidents Ouattara et Compaoré président un Conseil des ministres conjoint
Vendredi 18 novembre 2011. Ouagadougou (Burkina Faso). Conseil des ministres conjoint, sous la présidence des chefs d`Etat Alassane Ouattara (Côte d`Ivoire) et Blaise Compaoré (Burkina Faso)











En prélude au 3ème Traité d’amitié et de coopération Côte d’Ivoire-Burkina-Faso qui sera présidé lundi prochain par les Présidents Alassane Ouattara et Blaise Compaoré, une réunion préparatoire des experts des deux pays, s’ouvre, jeudi, à Yamoussoukro, la capitale politique et administrative ivoirienne, a appris APA mardi de source officielle à Abidjan.

La troisième conférence au sommet du Traité, prévue, pour le lundi 29 juillet, toujours à Yamoussoukro, sera précédée d’une réunion des experts, d’une rencontre ministérielle sectorielle et d’une réunion de Conseil de Gouvernement.

Selon le programme officiel transmis à APA mardi par le ministère ivoirien de la Communication, les travaux des experts dureront deux jours (jeudi et vendredi) pour faire place à une réunion ministérielle, samedi, en présence des Chefs de diplomatie de la Côte d’Ivoire, Charles Koffi Diby et du Burkina Faso, Djibrill Yipènè Bassolé.

Le dimanche 28 juillet, un conseil de gouvernement conjoint sera tenu sous la présidence de leurs excellences Daniel Kablan Duncan et Beyon Luc Adolphe Tiao, premiers ministres et chefs de gouvernement des deux pays.

La conférence au sommet, prévue pour lundi prochain, dans la capitale politique ivoirienne sera présidée par les Chefs de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara et burkinabè, Blaise Compaoré. Un communiqué conjoint sanctionnera cette conférence.

La deuxième Conférence au Sommet s’était tenue à Ouagadougou, le vendredi 18 novembre 2011, sous la co-présidence des deux Chefs d’Etat.


news.abidjan.net

Burkina Faso : Les évêques rejettent la mise en place du Sénat



Ouagadougou, 23 juillet 2013 – Les évêques du Burkina Faso ont rejeté, à l’instar de l’opposition politique, la mise en place prochaine d’un Sénat estimant que «les institutions ne sont légitimes que si elles sont socialement utiles».

«Dans un climat de grande pauvreté où les besoins essentiels de base (santé, éducation, emploi, logement, nourriture) ne sont pas suffisamment couverts et un contexte d’une montée de jeunes à l’avenir incertain, on peut s’interroger légitimement sur l’opportunité de la mise en place d’un Sénat», lit-on dans une lettre pastorale adressée aux fidèles de l’église catholique.

Estimant qu’il est possible de faire un meilleur emploi des ressources financières limitées dont dispose le Burkina Faso pour mieux couvrir les besoins fondamentaux des populations en santé, éducation et emploi, le clergé se « quelle valeur ajoutée un tel Sénat va-t-il apporter, réellement, à notre pays et à ses pratiques démocratiques ?».

Rappelant les arguments ayant conduits à la suppression de la Chambre des Représentants en 2002, les Évêques, estimes que ces raisons «sonnent encore plus vrais au regard de la configuration donnée au Sénat et ce, d’autant plus qu’une telle configuration, contrairement au principe de sa création, n’a nullement fait l’objet d’une approbation consensuelle».

A travers ce long message épistolaire, les Évêques burkinabé, qui n’entendent pas faire obstacle aux choix institutionnels, ont indiqué «ne pas restés insensibles à la situation politico-sociale qui prévaut ces temps-ci, situation faite de tensions sociales et d’agitations, notamment autour de la mise en place du Sénat».

Cette situation, a mis en garde le clergé, "fait craindre que le Burkina Faso ne devienne une poudrière sociale" car la population à majorité jeune a "une image négative du pouvoir car elle est brouillée par la corruption et le clientélisme ; d’où la tentation pour une partie de cette jeunesse de couver la violence fondée sur des ressentiments".

Estimant que le Burkina Faso a besoin de justice, de réconciliation et de paix, l’Eglise catholique a alors invité «les protagonistes des tensions sociales actuelles (partis politiques de la majorité et de l’opposition, mouvements et associations, société civile), à éviter toute violence, tout débordement et toute action qui seraient de nature à aggraver les tensions, à porter atteinte à la dignité de la personne humaine et au bien commun, et à conduire notre pays vers le chaos ».

Le débat sur la création du Sénat agite de plus en plus la classe politique et la société burkinabé.
L’opposition politique, hostile à un tel projet et soupçonnant le président Compaoré de vouloir modifier l’article 37 pour briguer un autre mandat en 2015, avait organisé une marche de protestation le 29 juin.

Une nouvelle descente dans la rue est prévue pour le vendredi 28 juillet prochain, jour des élections sénatoriales sur l’ensemble du territoire national.

Au pouvoir depuis le putsch de 1987, le président Compaoré, dont le régime avait failli être emporté par une vague de mutineries en 2011, entretient toujours le flou sur ses intentions.

BOA

koaci.com

Les kurdes menacent la Turquie d’une révolution!!


IRIB-Le chercheur et expert turc dans les affaires du terrorisme Dogu Arguil a mis en garde contre toute intervention militaire turque en Syrie.
« Toute intervention turque contre la Syrie provoquera une révolution kurde contre la Turquie, ce qui sabotera un règlement de la question kurde dans le pays. Le fait que la Turquie ait soutenu le front annosra contre les combattants kurdes a provoqué des manifestations dans la région de Jazra. Les Kurdes ont trouvé une grande opportunité en Syrie, et la Turquie voit cette opportunité comme une menace. Si les liens n’étaient pas étroits entre le parti de l’union démocratique et le parti des travailleurs du Kurdistan, la réaction de la Turquie n’aurait pas été de cette ampleur », a-t-il dit.
Et de qualifier de « mauvais » le soutien turc au front annosra affilié à alQaida. « Les menaces d’intervention de la Turquie au cas où les kurdes proclament une région autonome en Syrie auront des répercussions négatives. Et si la Turquie essaie d’interdire une région pareille, les kurdes de la Turquie recourront à la désobéissance et à la révolte », a averti ce chercheur turc, qui participait à une importante réunion regroupant des kurdes de Syrie, Turquie, Irak et Iran à Erbil (nord de l’Irak).
Pour sa part, le vice-président du parti de l’opposition turque « parti du peuple républicain », Farouk Oglu a appelé le ministre turc des affaires étrangères Ahmad Davutoglu à changer de politique envers la Syrie ou à démissionner. « Afin de mettre la Turquie à l’abri des répercussions négatives des développements en Syrie, le ministre Oglu doit démissionner ou bien changer toutes les politiques sur la Syrie. Les événements au nord de la Syrie sont le résultat de la politique suivie par le parti de justice et développement contre ce pays », a-t-il dit.
Farouk Oglu a mis en doute le comportement turc face à ce qui se passe sur le terrain, émettant des craintes quant à une possible intervention officielle turque en Syrie. Commentant les propos du Premier ministre Recep Tayib Erdogan selon lesquels « sa patience a des limites », Oglu a dit que cette position n’a aucune valeur parce que les Turcs ont pris l’habitude ces deux dernières années d’entendre des déclarations pareilles.
« La propagation des conflits syriens en Turquie est une question de temps », a estimé ce chef de l’opposition, précisant que l’appel de Davutoglu à une intervention du Conseil de sécurité de l’ONU est une preuve sur l’incapacité et la faiblesse officielle turque, parce que tout le monde sait que ce conseil ne se mobilisera pas.
« Les frontières syro-turques sont actuellement fictives, elles sont devenues une voie libre pour le passage des organisations terroristes et des contrebandiers. Ces frontières sont hors du contrôle de la Turquie », a-t-il encore déploré.
Et de demander : « Est-il vrai que les groupes armés kurdes en Syrie ont détenu des membres de renseignements turcs ? Est-ce que la Turquie coopère avec les Kurdes ? La Turquie et alQaida vont-ils s’allier pour empêcher la mise en place d’un Etat kurde autonome au nord de la Syrie ? La Turquie doit désormais choisir entre le front annosra et l’union démocratique kurde. Est-ce logique ? La Turquie est devenue un pays qui dialogue avec toutes les organisations terroristes et peut-être elle tiendrait des conférences de presse conjointes avec elles dans l’avenir ! »
 De son côté, l’un des membres du comité des sages pour le règlement de la question kurde, le président de l’association des droits de l’homme, Ozturk Turk Dogan a critiqué le soutien turc au front annosra, le qualifiant de « contraire aux conventions internationales, et appelant le gouvernement à revenir à la raison ». Il a qualifié la politique turque envers la Syrie d’erronée.
Le congrès du « conseil national kurde » s’est tenu au palais présidentiel à Erbil. Cent délégués représentant 39 partis kurdes de Syrie, de la Turquie, de l’Iran et de l’Irak y ont pris part. A l’initiative   d’Abdallah Ocelan et à l’appel du président du Kurdistan Massoud Barazani, ce congrès survient à l’ombre de multiples appels à établir une zone autonome kurde en Syrie et les défis que pose une telle proposition sur les équilibres régionaux.
Source assafir, par Mohammad Noureddine