26 octobre, 2010

Foot - FIFA Ballon d'Or फ्फ Les 23 nommés 2010





Le nom du FIFA Ballon d'Or France Football 2010 sera connu le lundi 10 janvier 2011 à Zurich. Le lauréat se trouve dans cette liste de 23 nominés communiquée ce mardi.
Wesley Sneijder et David Villa, deux finalistes de la Coupe du monde, et deux prétendants au Ballon d'Or.(AFP)
Wesley Sneijder et David Villa, deux finalistes de la Coupe du monde, et deux prétendants au Ballon d'Or.(AFP)

Iker Casillas
Espagnol. 29 ans. Poste : gardien. Club : Real Madrid
Daniel Alves
Brésilien. 27 ans. Poste : défenseur. Club : FC Barcelone
Didier Drogba
Ivoirien. 32 ans. Poste : attaquant. Club : Chelsea
Samuel Eto'o
Camerounais. 29 ans. Poste : attaquant. Club : Inter Milan
Cesc Fabregas
Espagnol. 23 ans. Poste : milieu. Club : Arsenal
Diego Forlan
Uruguayen. 31 ans. Poste: attaquant. Club: Atletico Madrid
Asamoah Gyan
Ghanéen. 24 ans. Poste : attaquant. Clubs : Rennes puis Sunderland
Andres Iniesta
Espagnol. 26 ans. Poste : milieu. Club : FC Barcelone
Julio Cesar
Brésilien. 31 ans. Poste : gardien. Club : Inter Milan
Miroslav Klose
Allemand. 32 ans. Poste : attaquant. Club : Bayern Munich
Philipp Lahm
Allemand. 26 ans. Poste : défenseur. Club : Bayern Munich
Maicon
Brésilien. 29 ans. Poste : défenseur. Club : Inter Milan
Lionel Messi
Argentin. 23 ans. Poste : milieu. Club : FC Barcelone
Thomas Müller
Allemand. 21 ans. Poste : milieu. Club : Bayern Munich
Mesut Özil
Allemand. 22 ans. Poste : milieu. Clubs : Werder Brême puis Real Madrid
Carles Puyol
Espagnol. 32 ans. Poste : Défenseur. Club : FC Barcelone
Arjen Robben
Néerlandais. 26 ans. Poste : milieu. Club : Bayern Munich
Cristiano Ronaldo
Portugais. 25 ans. Poste : attaquant. Club : Real Madrid
Bastian Schweinsteiger
Allemand. 26 ans. Poste : milieu. Club : Bayern Munich
Wesley Sneijder
Néerlandais. 26 ans. Poste : milieu. Club : Inter Milan
David Villa
Espagnol. 28 ans. Poste : attaquant. Clubs : Valence CF puis FC Barcelone
Xabi Alonso
Espagnol. 28 ans. Poste : milieu. Club : Real Madrid
Xavi Hernandez
Espagnol. 30 ans. Poste : milieu. Club : FC Barcelone

Qui sera entraîneur de l'année ? Dix candidats ont été sélectionnés pour recevoir le Prix d'entraîneur de l'année FIFA 2010, remis au cours d'un gala le 10 janvier 2011. Parmi eux, quatre sélectionneurs, mais également les coaches des équipes ayant remporté les quatre principaux championnats européens. La liste : Carlo Ancelotti (Chelsea), Vicente Del Bosque (Espagne), Alex Ferguson (Manchester United), Josep Guardiola (FC Barcelone), Joachim Löw (Allemagne), José Mourinho (Inter Milan puis Real Madrid), Oscar Tabarez (Uruguay), Louis van Gaal (Bayern Munich), Bert van Marwijk (Pays-Bas), Arsène Wenger (Arsenal).

Foot - FIFA Ballon d'Or फ्फ Les 23 nommés 2010





Le nom du FIFA Ballon d'Or France Football 2010 sera connu le lundi 10 janvier 2011 à Zurich. Le lauréat se trouve dans cette liste de 23 nominés communiquée ce mardi.
Wesley Sneijder et David Villa, deux finalistes de la Coupe du monde, et deux prétendants au Ballon d'Or.(AFP)
Wesley Sneijder et David Villa, deux finalistes de la Coupe du monde, et deux prétendants au Ballon d'Or.(AFP)

Iker Casillas
Espagnol. 29 ans. Poste : gardien. Club : Real Madrid
Daniel Alves
Brésilien. 27 ans. Poste : défenseur. Club : FC Barcelone
Didier Drogba
Ivoirien. 32 ans. Poste : attaquant. Club : Chelsea
Samuel Eto'o
Camerounais. 29 ans. Poste : attaquant. Club : Inter Milan
Cesc Fabregas
Espagnol. 23 ans. Poste : milieu. Club : Arsenal
Diego Forlan
Uruguayen. 31 ans. Poste: attaquant. Club: Atletico Madrid
Asamoah Gyan
Ghanéen. 24 ans. Poste : attaquant. Clubs : Rennes puis Sunderland
Andres Iniesta
Espagnol. 26 ans. Poste : milieu. Club : FC Barcelone
Julio Cesar
Brésilien. 31 ans. Poste : gardien. Club : Inter Milan
Miroslav Klose
Allemand. 32 ans. Poste : attaquant. Club : Bayern Munich
Philipp Lahm
Allemand. 26 ans. Poste : défenseur. Club : Bayern Munich
Maicon
Brésilien. 29 ans. Poste : défenseur. Club : Inter Milan
Lionel Messi
Argentin. 23 ans. Poste : milieu. Club : FC Barcelone
Thomas Müller
Allemand. 21 ans. Poste : milieu. Club : Bayern Munich
Mesut Özil
Allemand. 22 ans. Poste : milieu. Clubs : Werder Brême puis Real Madrid
Carles Puyol
Espagnol. 32 ans. Poste : Défenseur. Club : FC Barcelone
Arjen Robben
Néerlandais. 26 ans. Poste : milieu. Club : Bayern Munich
Cristiano Ronaldo
Portugais. 25 ans. Poste : attaquant. Club : Real Madrid
Bastian Schweinsteiger
Allemand. 26 ans. Poste : milieu. Club : Bayern Munich
Wesley Sneijder
Néerlandais. 26 ans. Poste : milieu. Club : Inter Milan
David Villa
Espagnol. 28 ans. Poste : attaquant. Clubs : Valence CF puis FC Barcelone
Xabi Alonso
Espagnol. 28 ans. Poste : milieu. Club : Real Madrid
Xavi Hernandez
Espagnol. 30 ans. Poste : milieu. Club : FC Barcelone

Qui sera entraîneur de l'année ? Dix candidats ont été sélectionnés pour recevoir le Prix d'entraîneur de l'année FIFA 2010, remis au cours d'un gala le 10 janvier 2011. Parmi eux, quatre sélectionneurs, mais également les coaches des équipes ayant remporté les quatre principaux championnats européens. La liste : Carlo Ancelotti (Chelsea), Vicente Del Bosque (Espagne), Alex Ferguson (Manchester United), Josep Guardiola (FC Barcelone), Joachim Löw (Allemagne), José Mourinho (Inter Milan puis Real Madrid), Oscar Tabarez (Uruguay), Louis van Gaal (Bayern Munich), Bert van Marwijk (Pays-Bas), Arsène Wenger (Arsenal).

UN Again Urges End to US Embargo on Cuba

The United Nations General Assembly has voted again to condemn the U.S. trade embargo against Cuba.

With 187 votes in favor, two against and three abstentions, the assembly approved the non-binding resolution for the 19th year in a row.

The United States and Israel were the only two countries voting against the measure, which calls on the U.S. to repeal its embargo of communist Cuba, in place since the early 1960s.

U.S. Ambassador Ronald Godard defended the decision to vote against the resolution. He said said “a new era” in relations with Cuba can not be fully realized until the Cuban people enjoy economic and political freedoms.

U.S. President Barack Obama has taken steps to ease restrictions on travel to Cuba, and financial transactions by Cuban Americans to relatives still living on the island. He has not indicated any intention to lift the embargo.

Clinton: Women Peacekeepers a “Global Security Imperative”

U.S. Secretary of State Hillary Clinton says more needs to be done to empower women in peacekeeping processes, 10 years after the United Nations set a framework for that initiative.

Clinton told a meeting of the U.N. Security Council Tuesday that women’s participation in peace activities is a “necessary global security imperative.” She said it also promotes political stability, economic growth and human rights.

Security Council members were discussing the U.N. secretary-general’s report on the progress of Resolution 1325, passed 10 years ago, which acknowledges the importance of including women in peace negotiations.

Former Chilean president Michelle Bachelet heads the U.N. agency on gender equality, known as U.N. Women. She told the Security Council that some progress has been made in empowering women in the peace process over the last decade, noting that more women peacekeepers have been sent to conflict zones, such as Sudan.

But she said the U.N. needs to set more specific goals and targets in order to better judge the effectiveness of empowerment initiatives.

U.N. Secretary-General Ban Ki-moon, currently touring Southeast Asia, addressed the meeting by video. He told Security Council members that the past decade has been marred by instances of abuse. He said the “recent horrifying mass rapes in the Democratic Republic of Congo are just the latest reminder of the challenges we face.”

Several other Security Council members spoke about the rape of at least 300 women, men and children during a rebel assault on a village in North Kivu province in August. The U.N. peacekeeping force in Congo was criticized for failing to stop the attack.

Also Tuesday, Secretary Clinton announced that the United States will allocate $44 million to initiatives to empower women. The largest portion of the funding, $17 million, will go to support civil society groups helping women in Afghanistan.

Other funding will go toward making clean water available in conflict zones. Clinton said women and girls are at a higher risk of being attacked while out looking for water in these areas.

Le désert français

Le désert français


1988. La France touche le fond. Un an après la retraite de Michel Platini, alors que son équipe nationale est embourbée dans des éliminatoires de Coupe du monde dont elle ne sortira pas indemne, le football hexagonal est proche du néant. Si l'Olympique de Marseille sauve les meubles en atteignant les demi-finales de la Coupe des Coupes (face à l'Ajax Amsterdam), le bilan tricolore est famélique. Et, au palmarès du Ballon d'Or, aucun joueur Français ne sera cité au moment de désigner Marco van Basten roi d'Europe.

Vingt-deux ans après cette triste année, la France est revenue au même point. Mathématique tout au moins. En 2010, aucun joueur tricolore ne sera classé. Et pour cause, dans la liste des nommés pour le Ballon d'Or 2010 révélée mardi matin par France Football, pas de trace de footballeur made in France. Zéro. Niet. Est-ce vraiment étonnant ? Evidemment, non.

En 2009, sur 30 nommés, ils étaient quatre à porter les espoirs de la France : Franck Ribéry, Thierry Henry, Karim Benzema et Yoann Gourcuff. Ces joueurs ont été rayés de la carte en un an. Mon premier est constamment blessé, mon deuxième est en semi-retraite, mon troisième cire le banc du Real et mon dernier tente, tant bien que mal, de retrouver le niveau qui était le sien il y quelques mois. Bref, rien de très joyeux. Surtout, mis à part Benzema, les trois joueurs cités ci-dessus ont un point commun. Celui d'avoir passé le 20 juin dernier une heure dans un car du côté de Knysna, à la pointe sud de l'Afrique du Sud. Et ça, personne n'a oublié.

Si tous n'étaient pas - à proprement parler - meneurs dans cette affaire, tous resteront associés à ce fiasco qui est avant tout le leur et qui a fait de la France la risée du monde. Quelques mois après, ils continuent à en payer les conséquences. Et ce n'est sans doute pas fini.

Il y a un peu plus de deux ans, Franck Ribéry assurait dans les colonnes de L'Equipe qu'il rêvait de tout gagner, "même le Ballon d'Or. C'est un rêve, je vais essayer de l'avoir." Comme Zinédine Zidane, son modèle dont il était censé devenir le successeur, au moins dans les coeurs. Ce ZZ qui a glané le dernier Ballon d'Or attribué à un Français. C'est en 1998. Et Zidane le sait mieux que quiconque, ce trophée il le doit à son talent tout autant qu'à l'équipe de France. Un "détail" que tous les touristes de Knysna ont oublié le 20 juin dernier. eurosport.fr

MAXIME DUPUIS (http://twitter.com/MD_eurosportfr)

US Congressional Election Campaign Enters Final Week

Voters stand in line to cast their ballots during the early voting period at the Sun City Aliante Community Center , in Las Vegas, 25 Oct 2010
Photo: AP

Voters stand in line to cast their ballots during the early voting period at the Sun City Aliante Community Center , in Las Vegas, 25 Oct 2010

The battle for control of the U.S. Congress has entered its final week and both major political parties are engaged in a furious last-minute push for votes.



According to the opinion polls and political pundits, Republicans continue to have the upper hand heading into the final days of the 2010 congressional midterm election campaign.

Most Americans say the domestic economy is the number-one issue this year, and the public's dismal view of the economic climate is bound to hurt Democrats and help Republicans on Election Day, November 2.

Among those campaigning for Republican candidates is Ohio Congressman John Boehner, who is likely to become speaker of the House if Republicans win back a majority next week.

"If you are tired of the high unemployment, if you are tired of all the takeovers and bailouts, [then] that is what elections are for," he said.

Polls also give Republicans an edge in voter enthusiasm, though there are signs that lethargic Democrats may be waking up in the final days of the campaign.

Much of that Republican intensity is being driven by the Tea Party movement, a loose coalition of conservative and libertarian-leaning groups around the country that is demanding spending and tax cuts and a smaller role for the central government generally.

"We are angry," noted a Tea Party member at a recent rally in Massachusetts. "I do not have to ask people to join the Tea Party. I just say, hey, I am in the Tea Party, what can I do?"

In recent days there are signs that some key Senate races may be tightening, giving hope to beleaguered Democrats who fear the possibility of losing control of both the House of Representatives and the Senate to Republicans.

Republicans need a gain of 39 seats to win back control of the House and a pickup of 10 seats to regain a majority in the Senate.

Richard Wolffe is a political analyst for MSNBC television and a guest on VOA's Issues in the News program.

"But it is a very closely fought election, in spite of what the predictions are," said Wolffe. "You look at the polls here and you look at state by state and district by district, pretty much all the important races are within the margin of error."

Democrats are well aware that they will do poorly if voters see the election merely as a referendum on the party in power, given the weak national economy.

So as he campaigns for Democratic candidates around the country, President Barack Obama is urging voters to see the election as a choice between going backward and moving ahead.

"Their whole campaign strategy is amnesia," said President Obama. "And so you need to remember that this election is a choice between the policies that got us into this mess and the policies that are leading out of this mess."

Despite the polls that show some of the key Senate races tightening in recent days, the overall polling picture looks much better for Republicans than Democrats.

"All polls show that the public remains deeply dissatisfied with the president, with the Congress, with the parties and with the way things are going in the country today," said Karlyn Bowman who monitors public opinion at the American Enterprise Institute in Washington.

But Bowman is quick to point out that Republicans are likely to do well in next Tuesday's election despite the fact that many voters view them even more negatively than Democrats.

"Democrats understand that voters are upset and they are likely to vote against them because of the direction of the country. But Democrats are trying to make this a choice between Democrats and Republicans because Democrats are not popular, but Republicans are not popular either," says Nathan Gonzales, the political editor of the Rothenberg Political Report, a non-partisan newsletter in Washington. He was a guest on VOA's Encounter program.

Campaign monitoring groups say this could be the most expensive U.S. midterm election ever, and they estimate that $2 billion could be spent by the end of the campaign next week. That is due in part to a Supreme Court ruling earlier this year that changed campaign finance laws and allows corporations and unions to spend unlimited amounts of money on independent television ads calling for the election or defeat of specific candidates.

Une forte tempête balaie le centre des Etats-Unis

Le centre des Etats-Unis était balayé mardi par une forte tempête accompagnée de vents aussi puissants qu'un ouragan, qui ont entraîné l'annulation de plus de 300 vols à l'aéroport international O'Hare de Chicago et l'interruption du trafic des bateaux sur les Grands Lacs. Outre les annulations de vols, départs et arrivées accusaient en moyenne des retards de 30 minutes, selon des sources aéroportuaires à Chicago.

La météorologie nationale américaine a indiqué que de puissants orages pourraient générer des vents dangereux et des tornades sur plusieurs Etats du nord et du centre du pays: Illinois, Indiana, Kentucky, Michigan, Ohio et Wisconsin. «C'est vraiment en train de souffler très fort», a relevé Pat Slattery, porte-parole de la météorologie nationale. «Cela risque de durer jusqu'à demain», mercredi.

La tempête atteignait une intensité comparable à un ouragan de catégorie 2 ou 3 sur l'échelle de Saffir-Simpson, qui en compte 5, et pourrait de ce fait entrer dans l'histoire des phénomènes météorologiques de plusieurs Etats, selon Pat Slattery. Par endroits, les puissantes rafales de vent ont couché des arbres, endommagé des lignes électriques, voire des bâtiments.

Avec AFP 20minutes.fr

Choléra en Haïti: 25 nouveaux décès, 284 au total (officiel)

L'épidémie de choléra en Haïti a fait 284 morts, selon un nouveau bilan fourni mardi par les autorités sanitaires du pays qui fait état de 25 décès de plus que la veille, et 3।612 personnes ont été hospitalisées। tf1.fr

Somalia Designated as World's Most Corrupt Country

Somalia is the most corrupt country in the world, according to Transparency International's annual Corruption Perceptions Index. With Afghanistan and Iraq also near the bottom, the group says conflict and corruption often go hand in hand.

Transparency International's index lists 178 countries, with Somalia designated the most corrupt nation. Its closest competitors at the bottom of the list are Afghanistan, Myanmar, and Iraq.

Transparency International's Shantal Uwimana says conflict is a major contributing factor in the spread of corruption. "Countries where there is a level of political, social, and economic instability, corruption tends to find a fertile ground," he said.

The index is composed of surveys conducted between January 2009 and September 2010. It is based on perceptions of corruption in the public sector, rather than concrete measures.

Countries are scored on a scale of zero through 10, with zero the most corrupt. Transparency International says three-quarters of countries scored below five. That, it says, is a sign that corruption remains a major global problem.

Uwimana says it is the world's poorest countries that are worst hit by corruption. But she says wealthier countries are also at risk - and a number have slipped in the ranks this year. "You realize countries like Greece, Italy and the USA, where compared to the score they had in previous years, you can see that the situation has worsened," he said.

The United States has fallen out of the top 20 least corrupt countries. It is in 22nd position, behind Qatar and Chile.

Transparency International U.S. chief Nancy Boswell says political funding disputes, the sub-prime mortgage crisis, and the disclosure of Bernard Madoff's ponzi scheme were factors in the perception that corruption levels in the United States have gone up.

Uwimana says increased corruption in some countries, such as Greece, may in part be due to the global financial crisis.

She says corruption affects every sphere of society all over the world - from coping with climate change to eradicating poverty. She says plans to improve the lives of people around the world cannot succeed if corruption remains at the heart of the public sector.

She says the U.N. Millennium Development Goals are an example of where corruption must be wiped out. "When you look at the goal for achieving universal education you realize that bad governance and corruption is a key element in the fact that we are not able to achieve the goals, because resources that are allocated, for example to the education sector, are then diverted for other use," he said.

Denmark, New Zealand, and Singapore were seen as the least corrupt countries, each scoring more than nine points. The 2010 report is the 15th Transparency International has published. It is used by governments and the business community to track investment climates around the world.

Christine O'Donnell, le Tea Party et Obama

Portrait - Candidate du mouvement populiste issu du parti républicain pour un poste au Sénat lors des législatives de mi-mandat du 2 novembre, Christine O'Donnell est la nouvelle star de la droite dure américaine aux côtés de Sarah Palin. Sa cible préférée : le président.Christine O'Donnell, le 16 septembre 2010, à Dover (Etats-Unis)Christine O'Donnell, le 16 septembre 2010, à Dover (Etats-Unis) © TF1/LCI

Inconnue il y a encore quelques mois, Christine O'Donnell est aujourd'hui, et au moins jusqu'au soir du 2 novembre, l'une des figures principales de la politique américaine. Agée de 41 ans, elle est la candidate emblématique du Tea Party, ce mouvement populiste de droite issu du parti républicain. Après avoir battu un républicain modéré dans la primaire du parti de l'éléphant, elle brigue désormais l'un des deux postes de sénateurs de l'Etat du Delaware à l'occasion des élections législatives de mi-mandat. Et pas n'importe quel siège : il s'agit en effet de celui détenu auparavant par Joe Biden, l'actuel vice-président de Barack Obama.

Le Tea Party fait référence à la révolte des colons contre la monarchie britannique de 1773 qui déboucha ensuite sur la guerre d'Indépendance. Ses positions radicales contre les impôts fédéraux et pour le désengagement de l'Etat dans l'économie ont fait une entrée remarquée au 1er semestre 2009. Barack Obama, qualifié de socialiste (une insulte aux Etats-Unis), et l'establishment de Washington, sont ses cibles préférées. Sarah Palin, l'ancienne colistière de John McCain pour la vice-présidence en 2008, en est devenue l'égérie. Mais ayant passé son tour pour ces élections, c'est donc Christine O'Donnell qui symbolise actuellement le mieux ce basculement vers la droite du parti républicain.

Droite religieuse

C'est peu dire que les positions de Christine O'Donnell, dont le parcours universitaire est sujet à caution, sont tranchées. Proche de la droite religieuse, dont les thèses épousent celle du Tea Party sur les sujets de société, elle réfute la théorie de l'évolution et croit dur comme fer au créationnisme. Prônant l'abstinence sexuelle, cette célibataire, qui n'exclut pas de se marier, est logiquement opposée à l'avortement. Il y a quelques années, dans une interview télévisée, elle avait également comparé la masturbation à l'adultère. Sans surprise, elle bénéficie aussi du soutien du puissant lobby de la National rifle association (RFA).

Les médias et ses adversaires, aussi bien républicains que démocrates, mettent en avant son inexpérience politique et son extrémisme. Et ont trouvé quelques vidéos croustillantes, dont l'une (une interview remontant en 1999 où elle a annonçait avoir participé à des séances de sorcellerie) l'a obligée à expliquer qu'elle n'était pas une sorcière ! "Ce sont des politiciens de carrière, taillés pour diriger, qui ont placé le pays dans la situation où il est. Comme beaucoup de gens, je sais à quel point il est difficile de gagner le moindre dollar et c'est pour cela que je veux aller à Washington, pour aider à protéger ce dollar", réplique-t-elle. Il n'empêche : si elle a donc remporté la primaire républicaine dans le Delaware, elle est aujourd'hui moins bien placée, malgré sa médiatisation, que ne l'était le républicain qu'elle a battu pour la victoire finale face au candidat démocrate. C'est aussi souvent le cas pour sa dizaine de collègues du Tea Party en lice, sauf Marco Rubio en Floride.

Obama sauvé ou coulé ?

Et c'est là tout le paradoxe actuel du mouvement et de ses représentants. Nul doute qu'ils sont en train de bouleverser non seulement la donne future du parti républicain, qui peine à se relever et à trouver un nouvel héraut capable de tenir la dragée haute à Barack Obama en vue de la présidentielle de 2012, mais aussi celles de la société et de la politique américaines.

Mais, ce 2 novembre, pour leur première grande sortie, leur 'extrémisme" pourrait permettre aux démocrates et au président, malmenés par les républicains "classiques" qui profitent du haut niveau du chômage (10%), de limiter la casse. Effrayés par ce virage à droite, les électeurs républicains modérés pourraient en effet s'abstenir, voire voter pour le parti de l'âne.

Colombia Condemns California Bid to Legalize Pot Amid Battle With Cartels

Colombia’s President Juan Manuel Santos criticized efforts in California to legalize marijuana use while the Andean nation is investing millions of dollars and losing lives in the fight against drug trafficking.

Santos, who last month called on U.S. President Barack Obama to support a regional strategy for curbing drug violence, said governments worldwide need to act consistently.

“It’s confusing for our people to see that while we lose lives and invest resources in the fight against drug trafficking, in consuming countries initiatives are promoted, like the California referendum, that would legalize production, sale and consumption of marijuana,” Santos said at the opening of a meeting of government officials from Central America and Mexico in the coastal city of Cartagena.

Santos made his remarks ahead of a November referendum that would ask California voters if they want to allow the cultivation and sale of small amounts of marijuana. The initiative would allow people 21 years and older to possess as much as an ounce (28.3 grams) of the drug, and allow local governments to regulate and tax sales even though it is illegal under U.S. law.

“If we don’t act in a consistent manner on the issue, if all we are doing is sending our citizens to prison while in other latitudes they legalize the market, then we should ask ourselves: Isn’t it time to revise the global strategy against drugs?” Santos said.

Marijuana Market

The South American country isn’t known as a major supplier of marijuana to the U.S. It’s the source of almost 90 percent of the cocaine seized in the U.S. and 60 percent of heroin, according to the U.S. Drug Enforcement Agency.

Supporters of the California initiative say legalizing the cultivation of marijuana for personal use would undermine drug cartels by reducing demand for their product.

The U.S. Justice Department “strongly opposes” California’s initiative, Attorney General Eric Holder said in an Oct. 13 letter to former administrators of the DEA. The measure would “complicate” U.S. drug enforcement efforts, he said.

Santos, a former defense minister, has pledged to step up policies aimed at ending violence by drug-funded groups such as the Revolutionary Armed Forces of Colombia, known as FARC, that are battling with the government.

Kidnapping and homicides related to the nation’s drug trade have fallen 92 percent and 45 percent respectively since 2002, partly as a result of as much as $7 billion in U.S. anti- narcotics and counterinsurgency aid.

Even as violence falls in Colombia, crime has increased in Mexico and Central American countries where trafficking has risen.

To contact the reporters on this story: Helen Murphy in Bogota at hmurphy1@bloomberg.net

To contact the editor responsible for this story: Joshua Goodman at jgoodman19@bloomberg.net

L'ONU demande aux Etats-Unis de lever l'embargo cubain

L'Assemblée générale des Nations unies a de nouveau exhorté mardi par une majorité écrasante de 187 voix contre deux les Etats-Unis à lever l'embargo économique qu'ils imposent depuis 50 ans à Cuba.

Cet embargo est resté en vigueur après l'arrivée de Barack Obama à la Maison Blanche, malgré la volonté d'ouverture affichée du président.

L'organe plénier des Nations unies, où siègent les 192 Etats membres, a adopté une résolution en ce sens pour la 19e fois depuis 1992, à l'issue d'un débat devenu rituel.

PRÉSIDENTIELLE 2012 Le rêve américain du Parti socialiste

Par Charlotte Chaffanjon

Le rêve américain du Parti socialiste

Martine Aubry a demandé à Arnaud Montebourg de plancher sur le processus de désignation du candidat PS à la présidentielle 2012 © Sipa

"It's a revolution !" Un cri du coeur comme une inestimable récompense. Lorsque Howard Dean, président du Parti démocrate américain pendant la présidentielle 2008, s'adresse en ces termes à Arnaud Montebourg et Olivier Ferrand, début octobre, les socialistes français savent qu'ils sont sur la bonne voie. Le secrétaire national à la rénovation du PS et le président du think tank Terra Nova passent trois jours à Washington pour parler "primaires" avec une vingtaine de dirigeants du Parti démocrate.

C'est qu'Arnaud Montebourg, chargé par la patronne du PS Martine Aubry de mettre en oeuvre ce processus très ouvert de désignation du candidat à la présidentielle 2012, compte s'inspirer largement du modèle américain. Du rêve américain, à entendre Olivier Ferrand qui raconte ainsi les primaires qui ont consacré Barack Obama : "Vingt-cinq millions de votants, onze millions de personnes inscrites sur le site de campagne d'Obama, trois millions de personnes qui ont fait des dons pour sa campagne, deux millions de personnes mobilisées sur le terrain..." Autant dire qu'à Washington, leurs interlocuteurs sont jugés maîtres.

"Une dynamique électorale, politique et personnelle" (Ferrand)

De ces entretiens, Montebourg et Ferrand ont tiré un rapport qu'ils remettront à leur première secrétaire dans les prochains jours. L'adaptation du processus dans l'Hexagone est délicat, question de mentalité, question de moyens aussi, alors que le financement de la vie politique est ici beaucoup plus restreint. "Les primaires françaises seront plus artisanales, les candidats auront de quoi se payer le train pour faire le tour des départements", souligne Olivier Ferrand. De toute façon, l'important semble ailleurs. "Les primaires vont constituer une dynamique électorale, politique et personnelle", pense-t-il.

Dans un premier temps, la dynamique électorale doit venir de la mobilisation du peuple de gauche. Moyennant une contribution financière, un euro minimum, tout le monde peut participer. Arnaud Montebourg, grandiloquent, affirme qu'il voit déjà "4 millions de personnes" se rendre aux urnes le jour J, en octobre 2011... Olivier Ferrand avance plus raisonnablement : "Au-delà d'un million de votants, l'opération sera un succès." Il s'agirait, en effet, d'une petite victoire, alors que le PS compte aujourd'hui quelque 200.000 militants, seuls jusqu'ici à pouvoir s'exprimer lors des votes internes. Cela permettrait également d'engranger des fonds en vue de la campagne finale.

Une vaste base de données

Toujours en s'inspirant du modèle américain, le PS profiterait de la primaire pour se lancer dans un grand chantier : constituer une vaste base de données. Le parti veut coupler ses listes électorales avec ses fichiers de militants. Innovant. Et légal. Aux bénévoles, ensuite, de faire du porte-à-porte pour convaincre les uns et les autres d'aller voter ! Et de collecter les adresses mails afin de mobiliser dans la dernière ligne droite.

La dynamique politique doit, elle, venir d'une campagne plus longue que celle de 2006 qui opposa, trois semaines durant, Dominique Strauss-Kahn, Ségolène Royal et Laurent Fabius. Le dépôt des candidatures devrait avoir lieu dès le mois de juin 2011, top départ de deux mois de campagne officieuse pour les candidats qui se jetteront dans le grand bain d'une campagne officielle en septembre et en octobre. "Les primaires doivent servir à peaufiner le discours du futur candidat, à travailler son positionnement, à approfondir le travail de fond. C'est une répétition", résume Ferrand.

Le scénario Hillary Clinton

Pour ce qui est de la pratique, Ferrand et Montebourg relèvent que le Parti démocrate organise plusieurs sortes de présentation des candidats, comme "des débats vivants avec la presse, pas des trucs complètement aseptisés", lâchent le premier et des "forums". Chacun est alors seul sur scène. Une manière de lancer la dynamique personnelle. Le vainqueur de la primaire est consacré lors d'une "grande convention de lancement de campagne", que les partisans français du modèle veulent à tout prix importer.

Alors que le PS a toujours eu du mal avec la personnalisation du pouvoir, Olivier Ferrand n'hésite pas à dire qu'il faut tenir en novembre 2011 une "convention préparée, structurée" : "Il faut scénariser le ralliement au vainqueur।" Et de se rappeler 2006, l'adoubement de Ségolène Royal à la Mutualité (Paris), "dans une ambiance lugubre, devant 300 militants, avec un micro qui ne marchait pas et des perdants muets au premier rang"। Si les perdants ne devront cette fois pas être muets, ils devront être disciplinés, à l'image d'une Hillary Clinton en 2008। Les socialistes français pourront-ils, là aussi, adapter le modèle américain ? lepoint.fr

Rama Yade veut exclure Christian Vanneste de l'UMP

Rama Yade, la Secrétaire d’Etat aux sports, le 10 mars 2010 à Paris.

Rama Yade, la Secrétaire d’Etat aux sports, le 10 mars 2010 à Paris. I.SIMON/SIPA

POLITIQUE - Le député du Nord souhaite un rapprochement avec le FN...

Elle lui décoche une bonne droite. Rama Yade a estimé mardi que le député Christian Vanneste devait être exclu de l'UMP après les déclarations de l’élu du Nord. «Christian Vanneste a fait son “coming out” en prônant l'idée d'une alliance honteuse et contre nature entre le centre, l'UMP et le Front national», écrit sur son blog la secrétaire d'Etat aux Sports.

«Initiative déshonorante»

«Son positionnement, sans ambiguïté, est inacceptable et l'UMP ne peut tolérer de compter dans ses rangs un homme qui ne partage pas ses valeurs. Elle doit donc engager sans tarder à son encontre une procédure d'exclusion qui permettra à M. Vanneste de rejoindre ses amis d'extrême droite», poursuit-elle. Selon Rama Yade, «l'UMP s'est créée sur l'idée d'un large rassemblement autour de valeurs partagées que sont la liberté, la fraternité, la solidarité et l'égalité».

A propos du député du Nord, elle ajoute: «Le débat qu'il essaie de provoquer trahit ce pacte fondateur. Son initiative déshonorante le met au ban de l'UMP» et «il doit en tirer toutes les conséquences».

«Pas de quoi fouetter un chat»

Invité à réagir sur LCI, Christian Vanneste a affirmé trouver cette réaction «très drôle, très pavlovienne». «Ceux qui veulent exclure alors qu'ils sont ministres, ils feraient bien de se taire. Manifestement elle [Rama Yade] n'a pas du tout lu mes déclarations», a déclaré l’élu.

Vendredi, le député du Nord s'était dit favorable «à moyen ou long terme», et non dans la perspective de 2012, à l'émergence d'une «droite large» regroupant le centre, l'UMP mais aussi le FN, à condition qu'il «change» et «renonce» à certaines positions. La direction nationale de l'UMP a précisé que ces déclarations, «qui ont choqué tout à fait légitimement», seraient examinées par un prochain bureau politique, «qui en tirera les conclusions nécessaires».

«Y avait vraiment pas de quoi fouetter un chat. Je n'ai reçu que des marques de sympathie, des félicitations, des soutiens pendant tout le week-end dans ma circonscription» de la métropole lilloise, a-t-il ajouté, affirmant avoir simplement usé de sa «liberté de parole». «Moi je revendique le droit de tout dire au sein de l'UMP. (...) Parce que ça suscite le débat, la discussion», a-t-il fait valoir, dénonçant les «censeurs» et «inquisiteurs».

J.C. avec अफ 20minutes.fr

Transformation du sorgho rouge en alcool La commercialisation du spirigho, officiellement lancée


Le lancement officiel de la commercialisation de l’eau de vie, "spirigho", a eu lieu samedi 23 octobre 2010 à Ziniaré. La cérémonie présidée par Son Excellence Zhang Ming Zhong, ambassadeur de la République de Chine–Taïwan, a connu la présence des autorités régionales et des partenaires taïwanais et burkinabè. Ce lancement consacre également la reprise des activités de l’unité de transformation du sorgho rouge en alcool par Sorghum S.A.

La République de Chine-Taïwan procédait le 31 décembre 2009 à la remise officielle de cette unité au gouvernement burkinabè tout en souhaitant qu’elle soit privatisée mais surtout qu’elle se pérennise et connaisse un succès de par sa gestion et sa production. Ce souhait est devenu réalité depuis juillet 2010 avec la reprise de l’unité de transformation du sorgho rouge en alcool par Sorghum S.A, une co-entreprise taïwano-burkinabè.

Sorghum S.A est une société spécialisée dans la production et la commercialisation d’alcool alimentaire et médical. Elle est le fruit d’une synergie entre investisseurs taïwanais et burkinabè dans une logique de co-spécialisation, chacun apportant une compétence unique dans la mise en œuvre du projet.

Doté d’une solide expérience dans la production de liqueurs depuis plus d’une trentaine d’années à Taïwan, le partenaire taïwanais assure le volet technique en fournissant l’équipement de l’unité-pilote, ainsi que le volet financier en mobilisant les ressources nécessaires à la conduite du projet. Par sa connaissance du marché local et des procédures administratives, Wendyam distribution, le partenaire burkinabè, se charge d’assurer l’accès aux réseaux de distribution afin de garantir le succès commercial du produit.

La production d’alcool médical et de l’éthanol envisagée à court et moyen terme par Sorghum S.A

En reprenant cette unité, l’ambition de Sorghum S.A est de développer une industrie viable d’alcool médical et de consommation au Burkina Faso, tout en travaillant à valoriser les spéculations locales. Ainsi, en plus de la transformation du sorgho rouge local en eau de vie destinée à la consommation, il est envisagé à court terme, la production d’alcool médical à base de manioc.

Pour l’administrateur général adjoint, Mamadou Ouattara, le marché de l’alcool médical est à la fois stratégique pour notre pays et porteur pour peu qu’un certain nombre de conditions soient réunies. Il est également souhaité produire à moyen terme de l’éthanol, élément essentiel pour la fabrication du biocarburant. Cela permettra d’accompagner cette industrie naissante dans notre pays.

Au regard des investissements envisagés par Sorghum S.A., M. Ouattara a fait des sollicitations à l’Etat burkinabè et à la République de Chine-Taïwan. De l’Etat burkinabè, les investisseurs attendent des facilités fiscales et administratives pour poursuivre la réalisation de l’objectif initial du projet. Cet objectif demeure la création d’une nouvelle filière économique, la valorisation de produits céréaliers locaux, la lutte contre les alcools frelatés, la promotion de l’investissement privé et la création de richesses pour le Burkina Faso.

De la coopération taïwanaise, ils attendent un accompagnement financier pour faire connaître le spirigho des consommateurs burkinabè. Pour sa part, Sorghum S.A s’engage à faire venir un technicien taïwanais pour renforcer les compétences des techniciens burkinabè pour une exploitation optimale de l’unité. Le renforcement de l’équipement de l’usine et le développement des activités de production de l’alcool médical aboutiront à un important transfert de technologies au Burkina Faso.

Le lancement officiel de cette eau de vie, le "spirigho", permet de mettre sur le marché de l’alcool de bonne qualité, accessible à tous et de lutter contre les liqueurs frelatées très nocifs pour la santé, a relevé Son Excellence Zhang Ming Zhong. C’est pourquoi, il a tenu à remercier très vivement le gouvernement burkinabè pour sa confiance et son accompagnement.

Il a également félicité le personnel et les ouvriers de l’usine et rendu un hommage aux vaillants producteurs qui cultivent le sorgho rouge, matière de base du spirigho. Une mention spéciale a été faite à la GTZ, la coopération allemande qui a assuré l’assistance technique du projet.

Son Excellence Zhang a exhorté les acteurs à répondre et à faire face à l’environnement commercial complexe et concurrentiel qui impose à toute entreprise désirant positionner son produit sur le marché, des contraintes, des exigences de qualité et de fabrication. Pour ce faire, il a manifesté sa détermination à soutenir le projet pour son succès. Comme le dit un adage, « quand le vin est tiré, il faut le boire », l’ambassadeur de Chine (Taïwan) a pour sa part conclu « Spirigho est là, consommez-en, mais avec modération ».

Le projet de transformation du sorgho rouge en alcool est né en 2006 grâce à la volonté du Burkina Faso et de la République de Chine-Taïwan. La réalisation du projet a coûté plus de 2,25 milliards de F CFA. L’objectif de ce projet est la transformation du sorgho rouge en eau de vie, le « spirigho ». Le spirigho est une eau de vie de 43 degrés et aromatisée, fabriquée à base de sorgho rouge et de blé, produits locaux. Il sera vendu à un pris compétitif sur le marché.

Abdias Cyprien SAWADOGO

Côte d’Ivoire : enfin le bout du tunnel ?

L’horizon semble se dégager pour une tenue de l’élection présidentielle ivoirienne le 31 octobre 2010. Le Premier ministre Guillaume Soro a réussi après moult discussions, à résoudre le problème du mode de comptage des suffrages de l’élection présidentielle. Il a obtenu l’accord des acteurs du processus électoral sur le comptage électronique des voix par la Société informatique de localisation et de sécurité, (SILS Technology), filiale du Bureau national d’études techniques et de développement. Cependant, le comptage électronique se fera sous le contrôle d’un comité d’experts issus du cabinet du Premier ministre, de la Commission électorale indépendante (CEI), de la Facilitation, de la Mission des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) et d’une Société informatique suisse.

On se rappelle que la semaine dernière, une polémique était née sur le comptage électronique des voix parce que l’opposition estimait que le patron de la SILS est un proche du président Laurent Gbagbo. Elle avait donc proposé un comptage manuel accepté entre temps par la CEI. Mais, cette solution comportait de nombreux risques car selon la Constitution ivoirienne, les résultats provisoires des élections doivent être livrés trois jours après le scrutin. Ce qui apparaissait comme une gageure au regard notamment du nombre d’inscrits sur la liste électorale : 5,7 millions d’Ivoiriens.

Cette décision traduit la volonté d’écouter les doléances, inquiétudes émises par les parties et de travailler à assurer la crédibilité du scrutin et la publication rapide des résultats. En effet, sous la supervision du comité d’experts, la SILS devrait pourvoir transmettre rapidement et de manière sécurisé, au siège de la CEI à Abidjan, les images des procès verbaux contenant les résultats des 22 000 bureaux de vote disséminés sur l’ensemble du territoire. Plus rien ne s’oppose pour le moment à une tenue du premier tour de l’élection présidentielle le dimanche prochain. Actuellement, la campagne bat son plein et les quatorze candidats sillonnent le pays pour faire le plein des voix.

Un tiercé se détache du lot, avec le président sortant Laurent Gbagbo du Front populaire ivoirien (FPI), l’ex Premier ministre Alassane Dramane Ouattara du Rassemblement des républicains (RDR) et l’ancien président Henri Konan Bédié du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI). On peut se féliciter de l’ambiance paisible dans laquelle se déroule la campagne électorale ivoirienne. Exit les messages de xénophobie et place au débat « civilisé » avec même une forte dose d’humour du candidat Adama Dahico. La distribution des cartes d’identité et d’électeurs se poursuit.

L’acheminement du matériel et la formation des quelque 60 000 agents électoraux connaît un coup d’accélérateur quand bien même les autorités prévoient un léger report du scrutin au 14 novembre en cas de problèmes notamment logistiques. La Côte d’Ivoire voit-elle enfin le bout du tunnel ? Tout porte à le croire. En effet, le pays de « de feu Félix Houphouët-Boigny » revient de très loin. Depuis le milieu des années 80, la politique de l’« ivoirité » avait créé des tensions ethniques et politiques. Cette crise aboutit à une rebellion le 19 septembre 2002 qui a entrainé une scission de la Côte d’ Ivoire avec les Forces nouvelles au Nord. C’est finalement l’Accord politique de Ouagadougou signé en mars 2007 sous la houlette du Président du Faso Blaise Compaoré qui a permis d’aller résolument vers la sortie de crise.

Cet accord engage notamment les parties à créer les conditions « d’élections libres, ouvertes, transparentes et démocratiques » et à entretenir « un esprit de dialogue permanent basé sur la confiance mutuelle ». Depuis la signature de l’accord, le médiateur est au four et au moulin pour le retour de la Côte d’Ivoire sur le chemin de la paix et de la démocratie. Le Premier ministre Guillaume Soro déclarait récemment que « tant de choses ont été réalisées avec l’Accord politique de Ouagadougou. Et cet accord a donné à la Côte d’Ivoire une paix vraie, une paix sans hypocrisie et la présidentielle est une étape pour amorcer la paix totale ».

Les hommes politiques ivoiriens doivent donc garantir un bon déroulement du scrutin. Ils doivent avoir pitié du peuple qui a longtemps souffert de la guerre, de la partition du pays et de ses conséquences. En Afrique, la crainte des violences se situe surtout au cours et après les élections. En Côte d’Ivoire même, on est mémoratif des troubles qui avaient accompagné l’élection du président Gbagbo en 2000 et contestée notamment par son adversaire de l’époque feu le général Robert Guéï.

Au soir de la présidentielle de 2010 et lors de la proclamation des résultats, les leaders doivent se garder d’instrumentaliser leurs militants à des fins de violences. Il est impératif pour le vainqueur et les vaincus de respecter le verdict des urnes au risque de saper les efforts de la communauté internationale et de l’ensemble des Ivoiriens. En effet, la voix des urnes est la seule que doivent entendre aussi bien les candidats au « palais de Cocody » que toute l’Eburnie.

L’Afrique de l’Ouest et le monde entier ont les yeux tourné vers ce pays, poumon économique de la sous-région et premier producteur mondial de cacao. Sans cesse reportée depuis 2005, l’élection présidentielle de 2010 doit consacrer définitivement la sortie de crise et le retour à la stabilité de la Côte d’ivoire. « L’éléphant » doit retrouver sa superbe.

.sidwaya.bf/

In Colorado, Voters Voice Uncertainty and Anger

Matthew Staver for The New York Times

“I’m not the small business they talk about, I’m the small, small business.” Erica Michel, an owner of two small businesses, one of which has closed.

LOVELAND, Colo. — That Americans are angry and anxious heading toward the Nov. 2 elections has become a truism, an assumption built into candidate calculations from the lowest local alderman on up. Plot a voter’s place on the rage scale, and voilà, out pops a prediction of the expected anti-Democrat, or anti-establishment, backlash.

Voters like Daryl Pike have a different word for it: lost.

“Everything is fractured,” said Mr. Pike, 63, a roofing salesman and lifelong Democrat from this city in northern Colorado.

Mr. Pike said he felt that the country was on an uncharted course, economically and politically. That belief has torn him from the moorings of loyalty that he felt for decades to the Democrats. There is not one on the ballot in Colorado he really likes, he said. But he is not sure he’s quite ready to vote for a Republican, either. “I have no idea what I’m going to do,” he said.

In dozens of interviews in Loveland and across Larimer County, a similar conclusion emerged time and again: uncertainty or trepidation about the future — with the election simply an expression of those deeper currents.

On issues from the economy to the state of democracy, many people described themselves as out to sea and adrift. Some said they feared that lost jobs might never return. Others were clinging more tightly than ever to the things they thought worth fighting for: family, school, church.

That diffuse, hard-to-pin-down mood — despairing or resolute, and, yes, sometimes simply angry — will be transmuted into the black-or-white binary code of win or lose on Election Day. And Larimer will be pivotal to the outcome. Hard-fought races rage across this state, from governor to United States Senate, to seven seats in the House of Representatives, and this swing county an hour north of Denver — historically Republican, recently more mixed — could help decide the final tilt.

Though Republicans are widely expected to make big national gains, interviews and polls confirm that Americans are not ideologically driven any more now than they were when they made history and elected Barack Obama president in 2008.

What they want is reassurance — a steady hand holding the helm in a direction that seems sure and true. Anger, people here said, is just insecurity tied in knots.

Uncharted Waters

Volatility and a kind of jumpy inclination against party fealty is easy to find in Larimer, with many people saying they plan to vote Republican in one race, Democratic in the next, while leaving some lines blank if they have come to detest all sides. A predictable surge in one direction? Maybe not.

Rachel Howes, for example, a 29-year-old dental hygienist in Fort Collins, the county’s largest city, said she planned to vote mostly for Democrats, except in the governor’s race, where she likes a conservative third-party candidate, Tom Tancredo, a former congressman. She opposes tax measures that would increase school financing, though she has children in public school.

Her measure of stability and how good to feel about the world is her husband’s job as a carpenter.

“He’s not finding work,” she said.

Or consider James Cherry — no handy label for him either. He is a structural engineer and an unaffiliated voter who leans, he said, toward the Republicans on gun rights and abortion.

But he is also heavily involved in philanthropy, and the federal health care overhaul passed by the Democrats touches on his passions about caring for others. He enthusiastically supported the change and has no patience for Republicans or Tea Party enthusiasts who want repeal. Indeed, he is unhappy with both parties that the law does not include a single-payer government option that liberal Democrats had favored. His wife, Julia, is on the same page.

“I’ve always volunteered for those underserved who don’t have a voice,” she said.

A former mayor of Fort Collins, Ed Stoner, a Republican, said he would vote mostly for Democrats — including Betsy Markey for the local Congressional seat — but abstain from the United States Senate race between Senator Michael Bennet, a Democrat, and his challenger, Ken Buck, a Republican.

Roslyn Merrill, a stay-at-home mother, said she was so unhappy with both major party Senate candidates that she would support a third-party candidate.

Larimer County itself seems in transition to an uncertain place. The collapse of the dot-com bubble around 2000 hit the county hard, with its concentration of tech jobs, and by some measures things never returned to normal. Median income fell as the economy churned toward lower-paying employment, even before the recession.

College students, an important political constituency in 2008 in Larimer’s — and Colorado’s — shift toward the Democrats, have also been thrown a curve heading toward November.

The federal economic stimulus propped up the economy through money that flowed into Colorado State University, a dominant presence in Fort Collins. But with timing that creates its own pre-election wild card, the university said earlier this month that dwindling financial support could force big tuition increases.

News as Attack Ad

Combative, distorted, partisan information and news have been a huge factor in this election, making people like Patrick Piscani angry not just at politicians, but also at the system itself that has cranked and whirred its machinery to reach him.

Colorado’s Senate race alone ranked first in the nation as of last week in the flood of money from outside groups, with more than $23 million spent mostly for attack ads, according to the Sunlight Foundation, which tracks campaign spending. Three close Congressional races, including the Fourth District here in Larimer County, drew $6.7 million more among them, mostly again to pay for invective.

“If I were to base it on what I’ve heard up until now, I wouldn’t vote for anybody — it’s been horrible,” Mr. Piscani said.

SANTE L’Hôpital national Blaise Compaoré est né

Sa première pierre a été posée le mardi 10 juillet 2007 par le président du Faso. Les travaux de sa construction ont démarré le 12 mars 2008. Et le lundi 25 octobre 2010, son ruban d’inauguration a été coupé par le même président. Lui, c’est le Centre hospitalier moderne de Tengandogo. Il est le plus grand du Burkina et se veut être un centre d’excellence dans le domaine des soins dans la sous-région ouest-africaine. Il s’appellera désormais, Hôpital national Blaise Compaoré (HNBC).

"Un hôpital moderne de dernière génération", c’est l’expression qu’a utilisée le ministre de la Santé, Seydou Bouda, pour désigner l’hôpital moderne de Tengandogo. Timothy C.T. Yang, ministre des Affaires étrangères (MAE) taïwanais a, lui, assuré que ce centre de santé a les mêmes traits que ceux des plus performants hôpitaux taïwanais. 16 hectares de terrain, 600 lits, une plate-forme de gestion automatisée intégrant les dernières technologies de l’information et de la communication, un héliport, le tout forgé par 65 milliards de F CFA. Voici en chiffres et en lettres, le résumé de cet hôpital qui est destiné à "offrir des soins de santé spécialisés, sécurisés et de qualité aux populations ; contribuer à réduire les évacuations sanitaires vers l’extérieur et assurer une formation adéquate des ressources humaines en santé".

L’idée est de Blaise Compaoré

Le maire de Komsilga, Julien Nonguierma, qui a dit être honoré d’accueillir cette infrastructure d’envergure nationale sur le sol de sa commune, a exprimé sa reconnaissance au président Blaise Compaoré. Comme l’a rappelé le ministre de la Santé, appuyé par son homologue taïwanais, cet hôpital est la concrétisation d’une idée du président du Faso. Une idée nourrie par la prise de conscience que les trois hôpitaux burkinabè sont saturés. Une idée qui, soumise au président taïwanais, a acquis l’adhésion de ce dernier. Adhésion qui s’est traduite par l’octroi du prêt de 60 millions de dollars US, acquis auprès d’une banque taïwanaise, et par l’appui technique des entreprises taïwanaises. Mais cet appui ne s’arrêtera pas là. En effet, Timothy C.T. Yang a assuré que son pays assistera le personnel de l’hôpital dès son ouverture. Seydou Bouda, qui est revenu sur ce point en détail, a indiqué que c’est l’hôpital chrétien de Puli à Taïwan qui assurera ce soutien et dans les prochains jours, le directeur général de l’hôpital, déjà recruté, et son staff suivront une formation en management dans le sus-cité hôpital. Une formation qui sera à propos pour assurer aussi une bonne santé à cette maison de santé. Comme pour rendre hommage à celui qui a pensé cet hôpital, il a été décidé qu’il s’appellera Hôpital national Blaise Compaoré. "C’est comme une charge pour moi, a dit ce dernier. Mais c’est aussi un message d’encouragement à plus d’incitation à un engagement plus élévé pour (la promotion de) la santé".

Photo écrite de l’Hôpital national Blaise Compaoré

L’Hôpital est composé de six séries de bâtiments. A l’entrée, la première série se compose de l’administration, des services d’admission, d’urgences et sociaux ; des services des associations et ONG et un bâtiment VIP avec deux suites et des chambres climatisées. La deuxième série de bâtiments abrite l’imagerie, les laboratoires, les cabinets dentaires, stérilisants, les blocs opératoires et la chirurgie cardiaque. La troisième série de bâtiments abrite les chambres d’hospitalisation. Ces dernières sont composées de fluides médicaux, d’appel infirmier et du confort possible avec des lits conformes aux standards internationaux. La quatrième série comprend un amphi de 212 places, une salle de conférences de 80 places, des salles de cours, des bureaux, un restaurant pour accompagnants et travailleurs, un espace de culte avec une mosquée, une église et un temple ; deux terrains de sport et deux bâtiments pour l’hébergement des étudiants et des hôtes de l’hôpital. L’avant-dernière série de bâtiments abrite un incinérateur, une bâche à eau pour les sapeurs-pompiers et une autre pour la consommation de l’hôpital, un atelier de maintenance et ce qu’on peut appeler une morgue moderne. La dernière série comporte les salles de consultations extérieures, la cuisine, la buanderie, la pharmacie, des bâtiments pour l’hémodialyse et les grands brûlés. Au fond de l’hôpital se trouve une station de récupération et de traitement des eaux usées de l’hôpital, qui seront réutilisées pour entretenir les 66 693 m2 d’espaces verts du centre de santé.

Source : Extrait du discours du ministre de la Santé

Abdou ZOURE

House Democrats Fight To Survive in Arizona

Ruth Fremson/The New York Times

Ruth McClung, 28, has the support of Tea Party activists and is mounting a serious challenge to Representative Raul M. Grijalva, a Democrat.

TUCSON — When it comes to endangered species in Arizona, there are the bonytail chub, the Sonoran pronghorn and, perhaps soon, the Congressional Democrat.

Of the state’s eight House members, five are Democrats. That may change next Tuesday, with four of the five in varying degrees of trouble. Democrats, Republicans and independents are about evenly split in Arizona, but Republicans could soon have a virtual lock on the upper reaches of power in the state.

“It’s high anxiety for Democrats everywhere, but it’s especially so in Arizona,” said Barry Dill, a Democratic strategist in Phoenix who is still hopeful that the party’s incumbents can rebound in the final days before Election Day.

Representative Ed Pastor, who represents western Phoenix, is considered safe. And in the race for the open seat in the Third Congressional District, Jon Hulburd has been locked in a close contest against Ben Quayle, son of former Vice President Dan Quayle. But elsewhere in Arizona, Democrats are on the defensive, even incumbents who were thought to dominate their districts, like Representative Raúl M. Grijalva in the Democratic-leaning Seventh District.

In Congress since 2003, and before that a county supervisor and a school board member, Mr. Grijalva enjoyed relative cakewalks in his previous elections. But not this time.

In a humbling reversal, Mr. Grijalva, 62, is fighting for his political life against a virtual unknown, Ruth McClung, an Idaho native who moved to Arizona in 2000 to go to college. Ms. McClung, 28, has the support of Tea Party activists and is receiving major support from outsiders like Sarah Palin and Americans for Tax Reform.

The tables have clearly turned. It is usually the challengers who struggle to persuade entrenched incumbents to debate them. This time around, with incumbency a dirty word, some challengers are playing hard to get.

Ms. McClung debated Mr. Grijalva once but then backed out of a second debate last week, citing a scheduling conflict. The Grijalva campaign is accusing her of dodging a face-to-face discussion of her conservative views.

A few days before, Mr. Grijalva learned that Ms. McClung was going to a candidate forum sponsored by the Hispanic Chamber of Commerce, so he rejiggered his schedule to make sure he was there as well. “If she’s there, I’m there,” he told aides.

And there she was, standing in a park with other candidates from the Tucson area, most of them Democrats. On the sidelines, Ms. McClung did engage in some debate with Grijalva supporters, who challenged her support for school vouchers and Arizona’s crackdown on illegal immigration.

“You need more education,” Isabel Garcia, a local activist, said to Ms. McClung, pointing her finger at the candidate. “You need knowledge to have strong opinions.”

Ms. McClung brushed off the harsh words. “You just smile and listen,” she said later.

There has been little smiling, however, in the battle that Ms. McClung is waging on the airwaves. She knocks Mr. Grijalva for supporting the economic boycott of Arizona that was put in place after the state passed its tough anti-immigration law. Mr. Grijalva subsequently backtracked on the boycott.

But in a district where the unemployment rate is among the nation’s highest and with many families facing foreclosure on their homes, the idea that a congressman would support sticking it to his own state has won Ms. McClung support. That it has angered some in Mr. Grijalva’s district is clear: a bullet was fired into one of his offices, and last week a package arrived scrawled with swastikas and containing a suspicious substance, later determined to be harmless.

Across Arizona, other Democratic members of Congress are similarly vulnerable.

Considered even more in danger than Mr. Grijalva are Representative Ann Kirkpatrick, who represents the sprawling First District in northern Arizona; Representative Harry E. Mitchell, a second-term congressman who represents parts of Phoenix and communities to the northeast; and Gabrielle Giffords, whose Republican-leaning Eighth Congressional District covers southeastern Arizona.

Ms. Kirkpatrick, 60, who is in her first term representing a centrist district, and Ms. Giffords, 40, in her second term, are both in tight races against political newcomers who are trying to link them to President Obama.

Facing Ms. Kirkpatrick is Paul Gosar, 51, a dentist who sold his practice to run for office; Ms. Giffords is opposed by Jesse Kelly, 28, a former Marine who works at his family’s construction business.

Ms. Kirkpatrick promotes her advocacy of a pay cut for members of Congress in these tough economic times as evidence of her independence from her party’s leadership. She has been sending 5 percent of her salary to the Bureau of Public Debt, which has done little to quell attacks from Mr. Gosar that her votes have been fiscally irresponsible. He has avoided debating her as well.

Ms. Giffords, a conservative Democrat who does not toe her party’s line, spoke at a recent candidate forum about how party labels mean little to her. In a debate on Oct. 18 at the University of Arizona, she linked herself to the state’s two Republican senators, Jon Kyl and John McCain.

But Mr. Kelly, at the debate, said Ms. Giffords had shown herself to be more allied with Speaker Nancy Pelosi. “Are you happy with Congress right now?” he asked. “If you’re happy with Congress, if you’re happy with Obamacare, with bailing out Wall Street, if you’re happy with high taxes, continue to vote for Representative Giffords.”

In the Fifth District, Mr. Mitchell is facing David Schweikert, a former treasurer of Maricopa County, in a rematch of a 2008 contest that Mr. Mitchell won, 53 percent to 44 percent. This year’s race is expected to be much closer.

nytimes.com

Marisa Gerber contributed reporting.

What Does Iran's Cash Buy in Afghanistan?

Hamid KarzaiAbedin Taherkenareh/European Pressphoto Agency President Hamid Karzai of Afghanistan and Mahmoud Ahmadinejad of Iran at a regional summit in Tehran in August.

President Hamid Karzai of Afghanistan has admitted that Iranian officials are regularly giving his government bags of cash worth millions of dollars, and he makes no apologies for these payments. An article in The Times on Saturday by Dexter Filkins quoted several Afghan officials close to Mr. Karzai as saying that the government used the money to buy the allegiance of Afghan elected officials, tribal leaders and insurgent commanders.

What is Iran getting for its money? Does its financial help influence the Karzai government and generally affect the geopolitical balance in the region? What are Iran's interests in Afghanistan, beyond wanting to challenge the United States? nytimes.com

Balloter Blaise avec Me Sankara

A 6 jours du début de la campagne électorale, les partis regroupés au sein de la "Coalition Burkind-lom" (intégrité en mooré), qui ont décidé de soutenir Me Bénéwendé Sankara, ont donné une conférence de presse au Centre national des archives. Il s’est agi d’expliquer aux journalistes que ce regroupement, loin d’être circonstanciel, vise à offrir au Burkina Faso une alternance crédible, qui commencera par le ballotage de Blaise le 21 novembre prochain, voire par sa défaite.

L’Alliance pour la démocratie du Faso (ADEFA), l’Alliance des démocrates révolutionnaires (ADR), le Front démocratique républicain (FDR), le Parti des patriotes progressistes (PPP), l’Union pour la démocratie et le développement (UDD) et, naturellement, l’Union pour la renaissance/Parti sankariste (UNIR/PS) ont décidé de miser sur un même champion : Me Bénéwendé Sankara.

Le début de la déclaration liminaire annonce clairement cet objectif primordial : "Notre coalition (Burkind-lom) est une alliance souveraine de partis politiques de l’opposition qui ont foi en une alternance crédible à travers un projet de société et un programme de gouvernement reflétant les aspirations du peuple burkinabè".

A l’heure où l’introuvable unité de l’opposition est une réalité, la coalition "Intégrité" vise "l’alternance qui intègre à la fois l’élection présidentielle de novembre prochain et les scrutins à venir, tout en ouvrant de grandes perspectives au-delà".

Me Sankara a décliné le programme de sa coalition, qui privilégie les idéaux de démocratie, lesquels sont aux antipodes de la "stratégie de pérennisation du pouvoir et de la malgouvernance", qui caractériseraient le régime de Blaise Compaoré selon lui.

Pour cette Coalition, après deux décennies de pouvoir Compaoré, le résultat est catastrophique. D’où la nécessité d’une alternance et de relèvement de défis relatifs à la santé, à l’éducation, à l’agriculture, à l’eau et à l’assainissement, à l’emploi...

La campagne de la Coalition sera battue autour des thèmes de la gouvernance, de la lutte contre la corruption, la question de l’article 37... Aux journalistes, qui ont interrogé les conférenciers sur les clauses de cette coalition, la réponse suivante leur a été donnée : "Notre coalition n’est pas conjoncturelle, elle s’inscrit dans la durée, et l’expérience à court terme que constitue la présidentielle va nous permettre d’envisager le long terme...

Il y a des accords-cadres et un programme de gouvernement qui lient les membres de cette coalition...".

Pourquoi dénoncer la présidentielle du 21 novembre ; qui serait une "parodie", et y participer ? Pour la Coalition "Burkind-lom", ce n’est pas parce qu’il y a des dénis de justice qu’il faut arrêter d’ester en justice ; la Coalition va aller donc à ce scrutin "quelles que soient les conditions que va imposer le CDP".

Comme les 6 autres candidats, Me Sankara, a reçu un peu plus de 28 millions de l’Etat pour cette campagne. Combien va-t-il consacrer au vote ? "Nous allons mettre l’effort de tous nos militants", a dit Me Sankara, faisant dans l’esquive.

En cas de ballotage, derrière quel candidat fera chorus la coalition "Burkind-lom" ? "Nous soutiendrons celui qui aura mis en ballotage Blaise, nous soutiendrons celui qui terrassera Blaise".

Z. Dieudonné Zoungrana lobservateur.bf