08 août, 2013

L'UE travaille sur une directive qui limitera les retraits d'argent des clients de banques en faillite à 100 ou 200 euros par jour


Les gouvernements européens travaillent à un compromis sur la directive de l'UE pour le paiement de la garantie des dépôts des clients lors de faillites bancaires. Un document de travail de la présidence de l'UE, qui est assurée depuis le 1er Juillet par la Lituanie, montre que la directive pourrait être prête dès cette année.
Le Parlement européen veut que les épargnants puissent retirer leurs dépôts jusqu’à concurrence de 100.000 euros dans les cinq jours ouvrables qui font suite au dépôt de bilan d'une banque. Cependant, à l’origine, le Conseil de l'Europe avait réclamé un délai de 20 jours. Les États membres cherchent maintenant un compromis. Grâce aux progrès technologiques auxquels on peut s’attendre pour l’avenir, il est probable que le délai qui sera finalement adopté.
Dans tous les cas, les dépôts supérieurs à 100.000 resteront bloqués. A Chypre, il aura même fallu trois mois complets avant que les détenteurs de dépôts supérieurs à ce montant connaissent combien ils pourront finalement récupérer sur la somme qui excède ce seuil. 47,5% de ce montant ont été convertis en actions de la Bank of Cyprus.
Le journal allemand Börsen-Zeitung rapporte que l’Europe examine maintenant aussi la possibilité de qualifier cette période de «circonstances exceptionnelles». Pendant cette période, les citoyens pourraient effectuer quotidiennement des retraits d’argent de 100 à 200 euros maximum, comme ce fut le cas à Chypre.

Le dernier site de destruction d'armes chimiques mis en service en Russie fin 2013

Izvestia

Le septième et dernier site de destruction d'armes chimiques sera mis en service en Russie en décembre 2013, écrit jeudi 8 août le quotidien Izvestia.
Les dépôts de Kizner, en Oudmourtie, abritent plus de la moitié de l'arsenal russe de "munitions toxiques". Les capacités de cette usine permettront de neutraliser ces réserves en moins de deux ans.
"Le site de Kizner sera capable d'éliminer 3 500 tonnes de substances toxiques par an, ce qui permettra de vider les entrepôts en Oudmourtie pour la fin du programme de désarmement chimique, d'ici le 31 décembre 2015, a déclaré Nelli Solianik, porte-parole de la Direction fédérale pour la conservation sûre et l'élimination des armes chimiques. Deux locaux de désintoxication de substances chimiques fonctionneront à Kizner. A l'heure actuelle, on termine les travaux pour la mise en service du site."
L'usine située à 4 km de Kizner prendra en charge 5 744,7 tonnes de substances toxiques sur les 9 711,9 tonnes qui restent en Russie. Les entrepôts militaires de Kizner abritent 55 498 obus d'artillerie avec du sarin, du soman, du gaz VX et de la lewisite. Les trois premières substances représentent 98% du stock, tandis qu'il reste moins de 130 tonnes de lewisite en Russie. Il s'agit d'une substance datant de la Première guerre mondiale et qui n'est plus conservée nulle part sous sa forme pure.
La deuxième ville la plus grande abritant des armes chimiques est Potchep, région de Briansk, où se trouvent 2 774,3 tonnes de substances neuroparalytiques. 976,1 tonnes de produits toxiques restent à Chtchoutchie, région de Kourgan. Il ne reste plus qu'à neutraliser 206,7 tonnes de produits toxiques à Maradykovski, région de Kirov, et 41,3 tonnes de substances toxiques à Leonidovka, région de Penza.
Le programme de désarmement chimique en Russie a été reporté à plusieurs reprises. Avant tout pour des raisons de sécurité. L'explosion sur un site chimique pourrait avoir des conséquences plus graves qu'une explosion dans un arsenal classique d'obus et de missiles.
Ce sont les obus d'artillerie doté d'un détonateur inamovible qui posent problème. Bien que la part de ces munitions soit inférieure à 1% (on les retrouve à Maradykovski, Leonidovka et Chtchoutchie), Leur recyclage est possible uniquement en les faisant exploser, ce qui ralentit considérablement le processus. La technologie utilisée a été conçue par les spécialistes de divers centres de recherche russes et n'a pas d'égales dans le monde. Toute incident est minimisé et exclu – une seule munition est traitée à la fois, et on analyse constamment les résidus des substances toxiques.
En dépit de l'automatisation maximale de la procédure, l'élimination des munitions conformément aux normes de sécurité prend du temps. Ce qui a ses avantages – l'infrastructure des communes aux alentours se développe pendant que les entreprises travaillent.

Mercato : Eto'o à Chelsea, Benzema à Arsenal ?

Mercato : Eto'o à Chelsea, Benzema à Arsenal ?
© archive

À dix jours du début de la saison, le marché des transferts est en pleine ébullition en Angleterre. Alors que le Camerounais Samuel Eto'o pourrait quitter la Russie pour Chelsea, le Français Karim Benzema serait dans le viseur d'Arsenal.

Par Stéphanie TROUILLARD (texte)
 
Après avoir été sacré l’année dernière meilleur joueur du championnat de Russie, Samuel Eto’o n’est désormais plus la priorité de son club du Anzhi Makhachkala. En pleine crise financière et énervé par les piètres résultats du début de saison, le propriétaire de l’équipe, le milliardaire Suleiman Kerimov, a annoncé mercredi qu’il allait faire des économies et se séparer de certaines de ses stars.
"Nombre de nos coûteuses vedettes vont quitter Anzhi, et le budget du club va baisser de 50 -70 millions de dollars par an", a ainsi expliqué sur Twitter Konstantin Remchukov, le président délégué du club, qui pointe actuellement à la 13e place du championnat.
Les retrouvailles entre Eto’o et Mourinho ?
Recruté en 2011, le Camerounais Samuel Eto’o, qui reçoit le plus gros salaire au monde versé à un footballeur (20 millions d’euros par an), est donc prié de se chercher un nouveau club. Selon le "Guardian", le Lion indomptable pourrait trouver une voie de sortie du côté de Chelsea.
Son ancien entraîneur à l’Inter Milan, José Mourinho, avec qui il a remporté la Ligue des champions en 2010, est à la recherche d’un buteur et souhaiterait le faire venir dans la capitale anglaise. Reste à savoir si Chelsea sera capable de débourser un salaire de plus de 400 000 euros par semaine pour le joueur âgé de 32 ans.
Le club d’Arsenal est également à la recherche d’un attaquant. D'après le "Daily Star", l’entraîneur Arsène Wenger serait notamment intéressé par Karim Benzema. Après avoir échoué à recruter Gonzalo Higuain et après les difficultés dans le dossier Luis Suarez, les Gunners seraient prêts à débourser 46 millions d’euros pour s’offrir le buteur français du Real Madrid. Après avoir inscrit 87 buts en 183 rencontres en Liga, Karim Benzema, sous contrat jusqu’en 2015, serait à la recherche d’un nouveau challenge.
Bale enfin au Real ?
Le feuilleton continue également pour le Gallois Gareth Bale. Convoité par le Real Madrid, le joueur de Tottenham n'a toujours pas finalisé de contrat. Comme le rapporte le "Daily Mail", les négocations devraient aboutir dans les prochains jours pour un montant record de 120 millions d'euros.
En France, l'Argentin de l'Olympique lyonnais Lisandro a créé la surprise avec son départ pour le club Al-Gharafa Sports Club au Qatar, comme le rapporte le journal "l'Équipe". Arrivé en 2009 à l'OL en provenance du FC Porto, l'attaquant avait inscrit 11 buts en 31 rencontres de Ligue 1 la saison dernière.

Douane: Plus de 14 millions F CFA de faux billets saisis


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La Brigade mobile des douanes de Tenkodogo, a saisi dans un car de transport en commun un lot de faux billets d’une valeur de 14.400.000 F CFA, des mains de Christine Somé, en provenance de Cotonou (Benin).
Les agents de la douane ont saisi cinq sacs soigneusement dissimulés dans  un car en provenance de Cotonou (Benin), dont quatre contenant un lot de bijouterie de contrebande et un rempli de faux billets de banque, contenant 1.040 billets de 5.000 F CFA et 952 autres de 10.000 F CFA, soit un total de 14 400 000 F CFA.
Selon les douaniers, une passagère du nom de Christine Somé a reconnu être la propriétaire des sacs saisis sans pour autant s’étendre sur la provenance du contenu.

burkina24.com

'Plus une femme est intelligente, et moins elle est susceptible de devenir mère'


Il existe une relation inverse entre l’intelligence des femmes et leur fécondité, a établi une étude de la London School of Economics, rapportée par The Guardian. Dans son livre, The Intelligence Paradox: Why the Intelligent Choice Isn't Always the Smart One, le psychologue évolutionnaire Satoshi Kanazawa a démontré que pour chaque tranche de 15 points de QI additionnelle, la probabilité qu'une femme ait des enfants chute de 25%. Plus les femmes sont intelligentes, et moins il est probable qu’elles deviennent mères un jour, affirme-t-il. Kanazawa a étudié les données d’une étude britannique, la United Kingdom’s National Child Development Study, et après avoir contrôlé le rôle de facteurs tels que les facteurs économiques ou l’éducation, il est parvenu à la même conclusion.
Cette étude montre que le nombre de femmes sans enfants a presque doublé en Grande-Bretagne depuis 1990, et qu’une femme sur 5 âgée de 45 ans n'a pas d'enfants. Cette proportion grimpe même à 43% pour les femmes nées entre 1965 et 1978 titulaires d’un diplôme d’études supérieures.
Cela a des conséquences importantes pour la société, affirme Kanazawa dans son ouvrage. Il y explique que les gènes déterminent 80% de la variance de l’intelligence adulte. En moyenne, les parents les plus intelligents ont aussi des enfants plus intelligents. Les gènes qui ont une influence sur l’intelligence sont portés sur le chromosome X. Ceci signifie que les hommes héritent leur intelligence de leur mère, alors que les femmes l’héritent de leurs deux parents.
Les pères héritant leur intelligence de leur seule mère (la grand-mère paternelle), ce sont donc les femmes qui influencent le plus fortement l’intelligence des générations futures par l’intermédiaire de leurs fils et de leur petites filles paternelles. Cela implique qu’une société où des femmes intelligentes font moins d’enfants évolue potentiellement vers plus de stupidité.
Une autre étude menée par le professeur de sciences sociales, le Dr. Nattavudh Powdthavee, de l'Université de York, montre que la notion selon laquelle les enfants apportent le bonheur est illusoire et que c'est la raison pour laquelle tant de femmes intelligentes choisissent de ne pas avoir d’enfants : « Les parents consacrent une grande partie de leur temps aux tâches centrales liés aux soins des enfants : gérer les problèmes de l’école, cuisiner, faire les lessives. Ce sont ces expériences négatives, quoique petites, qui sont le plus susceptibles de conditionner les niveaux de bonheur et de satisfaction de la vie au quotidien », écrit-il.

Afrique du Sud: Une école accueille les adolescentes enceintes

PRETORIA (© 2013 AFP) - A Pretoria, une école s'est spécialisée dans l'accueil des jeunes filles enceintes, souvent rejetées par les autres établissements, afin de leur garantir une formation et un avenir.

Afrique du Sud: Une école accueille les adolescentes enceintes © AFP Stéphane de Sakutin. Une étudiante enceinte pose, le 29 juillet 2013, dans l'école publique Pretoria Hospital School
La Pretoria Hospital School, école publique ouverte dans les années 1950 et à l'origine dédiée aux enfants malades, est le seul établissement scolaire de ce type en Afrique du Sud.
Située dans le centre de la capitale sud-africaine, elle compte actuellement 108 élèves, adolescentes ou jeunes filles enceintes, parfois à peine âgées de 13 ans.
"L'objectif de notre structure est de faire en sorte que ces jeunes ne ratent pas leur éducation uniquement parce qu'elles attendent un enfant", explique la principale Rina Van Niekerk, qui ne souhaite pas que ses élèves parlent aux journalistes.
L'établissement, qui suit le même programme d'enseignement que les autres écoles publiques, autorise les élèves à interrompre leur scolarité pour accoucher avant de les réintégrer.
Une flexibilité peu répandue dans le pays où, en l'absence de règles claires sur le sujet, chaque établissement adopte sa propre politique, beaucoup choisissant l'exclusion des adolescentes.
Cette pratique pourrait toutefois changer puisque la Cour constitutionnelle a, le mois dernier, obligé deux établissements à revoir leur règlement intérieur prévoyant l'exclusion en cas de grossesse.
Le sujet fait débat en Afrique du Sud, confrontée à un fort taux de grossesses précoces, avec 94.000 adolescentes dans ce cas en 2011 selon le ministère de l'Education.
Une étude sur les comportements à risques chez les jeunes, publiée en 2002 par le Conseil de la recherche médicale, avait montré qu'une adolescente sur trois dans le pays était enceinte avant l'âge de 19 ans.
L'idée d'un établissement spécialisé ne séduit cependant pas tous les spécialistes du problème: "Avec ce système, on gère la grossesse mais on ne fait pas de prévention", estime la directrice de l'organisation de jeunesse LoveLife, Andile Dube.
"Si nous multiplions ce type d'initiative dans le pays, cela revient à dire que la grossesse est un état à part, ce n'est pas comme cela qu'il faut procéder", ajoute-t-elle.
"Nous offrons à ces jeunes filles un cadre dans lequel elles peuvent continuer à étudier malgré leur état, cela ne veut pas dire que nous encourageons les grossesses précoces", se défend Rina Van Niekerk.
Cette dernière reconnaît d'ailleurs les difficultés d'enseigner dans ces conditions, mettant en avant la nécessaire patience des professeurs face aux problèmes de concentration ou de santé des adolescentes.
La Pretoria Hospital School a commencé à accueillir des jeunes filles enceintes dans les années 1980 alors que les grossesses hors mariage étaient un tabou.
Ces dix dernières années, le nombre d'élèves inscrites a fluctué, avec un pic de 134 étudiantes en 2011.
L'une d'entre elles, Naledi Vuma, âgée de 18 ans et ayant accouché l'an passé, se félicite d'avoir pu poursuivre sa scolarité malgré l'arrivée de son enfant.
Elle explique aussi s'être sentie plus à l'aise que dans une école classique car entourée d'autres jeunes filles vivant la même chose qu'elle.
Le nombre de grossesses précoces continue d'augmenter en Afrique du Sud, pays de 53 millions d'habitants, en dépit des campagnes de sensibilisation sur les rapports sexuels non protégés et les risques de contamination par le sida.
Les difficultés socio-économiques de la population, avec un taux de chômage dépassant les 25%, sont mises en avant pour expliquer l'absence de progrès dans ce domaine.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), 95% des grossesses précoces chez les adolescentes de 15 à 19 ans interviennent dans des pays en voie de développement.

Anzhi : Samuel Eto’o bientôt vendu aux enchères

MOSCOU (© 2013 Afriquinfos) – Sale temps pour le joueur camerounais : depuis deux ans, il est le sportif le mieux payé au monde, mais le club russe est sur le point de lui dire ‘dasvidania’ à cause de réductions budgétaires radicales.
Anzhi : Samuel Eto’o bientôt vendu aux enchères
© Facebook. Samuel Eto'o

Kerimov, le milliardaire russe à qui appartient l’Anzhi Makhatchkala, n’est pas content. Il a des problèmes de santé, il aurait perdu 500 millions de dollars en une journée à la Bourse et en plus le club s’est montré très faiblard ces derniers temps. Ça fâche.
C’est pourquoi ont été annoncées de drastiques réductions budgétaires concernant le club, baissant « de 50-70 millions de dollars par an », témoigne Remchukov, le directeur de l’Anzhi, au journal Nezavissimaïa Gazeta. « Nombre de nos coûteuses vedettes vont quitter l’Anzhi » prévient-il.
La mesure devrait concerner en premier chef l’attaquant camerounais Samuel Eto’o. S’en débarrasser ferait économiser 20,5 millions de dollars annuels au club, soit le salaire du joueur. Manifestement, le jeu du footballeur de renommée internationale est loin de justifier de tels honoraires, dernièrement.
Eto’o et plusieurs de ses coéquipiers devraient ainsi se retrouver rapidement sur le mercato, cherchant une nouvelle allégeance (et de nouveaux chèques). En ce qui concerne le Camerounais, sa route pourrait bien le mener du côté de Chelsea, fortement intéressé. Le club de la Premier League serait même en train de fomenter une offre à 20 millions d’euros.
Qui dit mieux ?

Les gouvernements locaux du monde se donnent rendez-vous au Maroc

RABAT (Xinhua) - La capitale du Maroc, Rabat, accueillera du 1er au 4 octobre prochain, le second Sommet mondial des dirigeants locaux et régionaux et le quatrième Congrès des Cités et gouvernements locaux unis (CGLU).
Les gouvernements locaux du monde se donnent rendez-vous au Maroc

L’annonce a été faite lors d’une conférence de presse organisée mercredi à Rabat par Fathallah Oualalou, maire de Rabat, président de la commission des finances locales de la CGLU et vice-président de CGLU Afrique du Nord.
Selon lui, c’est la première fois qu’un tel événement est organisé dans un pays d’Afrique ou du monde arabe. Le Président du conseil de la ville de Rabat a également révélé que ce sommet, coïncidera avec la célébration du centenaire du mouvement municipal mondial et verra l’organisation du salon Rabat Expo, ouvert aux publiques et privées impliquées dans les travaux et services aux collectivités locales.
Il s'agit d'un espace d'exposition de 10 000 m2 obéissant aux normes de qualité des salons d' affaires internationaux, pour permettre aux entreprises, gouvernements, collectivités territoriales, associations, bureaux d'études, universités, associations professionnelles et ONG de présenter une offre diversifiée d' équipements, technologies, services et savoir-faire.
Selon M. Oualalou, également président de l'association "Rabat 2013", créée en vertu d'un accord de partenariat entre le ministère marocain de l'Intérieur et la commune urbaine de Rabat, destiné à garantir les conditions de réussite à cet évènement mondial, le choix de Rabat pour accueillir le 4ème Congrès de CGLU traduit non seulement une volonté de respecter le principe de rotation entre les différentes régions du monde pour l' organisation des congrès d' une organisation  implantée mondialement, mais également de marquer une certaine reconnaissance pour l' effort mené par le continent africain en matière de décentralisation, ainsi qu' un soutien à une dynamique impulsée par les collectivités locales africaines, qui ne cesse de se renforcer.
Rabat est devenue en 2008 le centre des pouvoirs locaux africains depuis qu’elle accueille le siège de  la section régionale pour l’Afrique, CGLUA, qui jouit dans la capitale marocaine d’un statut diplomatique en tant qu’organisation internationale panafricaine. La ville de Rabat a constitué un large réseau de coopération avec de nombreuses villes du monde avec lesquelles elle a conclu des accords de partenariat ou de jumelage soit 18 jumelages (dont 10 villes arabes  et Africaines, 8 villes européennes) et 12 accords de coopération (dont 7 villes européennes, 3  villes asiatiques et 2 villes africaines). Elle entretient à ce titre des relations étroites et fructueuses articulées autour de la réalisation de programmes de travail établis conjointement de façon concertée, et évalué annuellement.

Mali: Le putschiste Sanogo a tout intérêt à voter IBK contre Cissé

BAMAKO (© 2013 AFP) - Le capitaine Amadou Sanogo et les co-auteurs du putsch de mars 2012 ayant déstabilisé le Mali ont tout à craindre d'une victoire à la présidentielle de Soumaïla Cissé, qu'ils avaient arrêté, et devraient lui préférer son rival Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), selon des analystes.
Mali: Le putschiste Sanogo a tout intérêt à voter IBK contre Cissé
© AFP/Archives Issouf Sanogo. Le leader du putsch Amadou Sanogo parle à ses supporters le 29 mars 2012 à l'aéroport de Bamako
Soumaïla Cissé, qui affrontera dimanche au second tour de la présidentielle Ibrahim Boubacar Keïta, a été un des plus farouches opposants au coup d'Etat militaire du 22 mars 2012 ayant renversé le président Amadou Toumani Touré (ATT), appelant les Maliens "à se tenir debout" face aux putschistes.
Economiste chevronné de 63 ans, ancien ministre des Finances, il a participé à la création d'une large coalition anti-putsch, le Front pour la défense de la démocratie et la République (FDR), et a été brutalement arrêté parmi d'autres par les hommes armés du capitaine Sanogo dont il réclame aujourd'hui qu'il soit mis à l'écart de la scène politique.
Selon Gilles Yabi, analyste à International Crisis Group (ICG), Ibrahim Boubacar Keïta, cacique de la vie politique malienne de 68 ans, "est sans doute celui qui peut apparaître comme capable d'offrir certaines garanties au capitaine Sanogo et à l'ancienne junte".
"Contrairement à Soumaïla Cissé, Modibo Sidibé (ex-Premier ministre qui a aussi été arrêté par la junte en 2012 et a appelé à voter Cissé au second tour, ndlr) et à d'autres, IBK était celui qui avait pris ses distances avec le régime ATT depuis quelques années, et le putsch ne l'a donc pas menacé", ajoute-t-il.
"Sanogo pense certainement que ceux des candidats qui ont été personnellement agressés et maltraités aux premières heures du coup ne sont pas près d'oublier cet épisode et pourraient être tentés de prendre leur revanche s'ils arrivaient au pouvoir", note Gilles Yabi, poursuivant: "Les meneurs de la junte ont beaucoup à craindre d'éventuelles poursuites judiciaires et sont, sans doute, d'abord soucieux de leur protection, donc de leur impunité, au lendemain des élections".
Ibrahim Boubacar Keïta avait rejoint le FDR mais l'avait rapidement quitté, restant très discret sur un putsch qu'il a "condamné par principe", selon Souleymane Drabo, directeur de publication de L'Essor, un des plus grands quotidiens maliens, mais dont il pensait qu'il "n'était pas totalement injustifié" et avait "des côtés positifs".
"Sanogo n'est pas un épouvantail"
Bien qu'issu du sérail, IBK, ancien Premier ministre dans les années 1990 et ex-président de l'Assemblée nationale pendant le premier mandat d'Amadou Toumani Touré de 2002 à 2007, a récemment déclaré à des journalistes à Paris que "l'Etat malien est devenu une source d'enrichissement pour une élite, sans souci d'efficacité de l'action publique, sur le dos des populations".
Un discours ne pouvant que plaire au capitaine Sanogo qui avait justifié son coup d'Etat par l'incapacité d'un Etat corrompu à lutter contre la montée des périls en tous genres dans le nord du Mali, groupes jihadistes et criminels, rébellion touareg.
D'ailleurs, IBK dit ne pas craindre l'influence de Sanogo, promu en 2012 par le régime malien de transition à la tête d'une structure chargée de réformer une armée alors totalement démoralisée par sa débâcle dans le Nord face aux rebelles touareg et aux groupes islamistes armés liés à Al-Qaïda qui ont occupé cette région pendant près d'un an avant d'en être chassés par une intervention armée internationale initiée par la France.
"Sanogo n'est pas un épouvantail. Dans mon bateau, il n'y aura pas deux capitaines" après la présidentielle, affirme l'ancien Premier ministre.
Même si les putschistes de mars 2012 "sont inquiets pour l'avenir", ne sachant pas "ce que le nouveau pouvoir va leur réserver, ils ont l'impression qu'avec IBK, ils ont des chances d'être ménagés ou bien d'être recasés", estime Souleymane Drabo.
Selon Gilles Yabi, il ne faut cependant "pas réduire l'analyse des rapports entre IBK et les militaires à une éventuelle préférence de Sanogo pour lui".
Homme à poigne qui n'a pas hésité à réprimer des étudiants et des grévistes pendant qu'il était Premier ministre, IBK "semble bénéficier aussi, par rapport à ses rivaux, de l'estime ou du respect de militaires qui n'étaient pas associés à la junte et qui en ont même été victimes", estime l'analyste d'ICG.

Congo: 10 milliards FCFA pour la construction d'un complexe industriel du bois

BRAZZAVILLE (Xinhua) - La société forestière Sipam, branche exploitation forestière et industrialisation va construire, pour un coût de 10 milliards FCFA, une unité intégrée de transformation de bois dans le département de la Lékoumou au sud-est du Congo, a constaté jeudi Xinhua.
Congo: 10 milliards FCFA pour la construction d'un complexe industriel du bois
Coupe d'un tronc d'arbre.
Première industrie du genre dans ce département, l’usine dont l'inauguration est prévue pour août 2014 sera composée d'une usine de menuiserie, d'un espace de stockage, d'un séchoir et d'un centre de formation pour le renforcement des capacités des employés. L’unité industrielle produira, en vitesse de croisière, un volume de 3000 mètres cube en grumes et 1300 en bois débité.
"Nous envisageons de fournir le marché national, africain et international et veillerons, en tenant compte des exigences du département de l’économie forestière, afin que nous soyons éligible au marché international du bois", a déclaré le directeur général de Sipam, Fernand Massala.
Au plan socio-économique, le complexe industriel devra créer à terme entre 400 et 450 emplois en phase de croisière pour un effectif initial de 241 agents. Il s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la politique de gestion durable prônée par le gouvernement congolais engagé dans l’aménagement durable et la certification de l’ensemble des concessions forestières.

Les 5 bonnes raisons de vouloir vivre en Afrique

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L’Afrique terre mère et de l’avenir. Une terre où tout reste à exploiter, à condition de bien le faire. Et si retourner vivre en Afrique relevait plus de l’opportunité plutôt qu’une aventure ? Vous avez mille et une raisons de le faire.
 
La fuite des cerveaux d’Afrique vers d’autres destinations, notamment l’Europe ou l’Amérique est souvent pointée du doigt comme cause du recul politique et économique du continent. Aujourd’hui, la diaspora africaine est la plus importante dans le monde. Une diaspora composée d’hommes d’affaires, experts en tous genres, étudiants, sportifs et hommes influents. Leur retour en Afrique est attendu comme le vrai déclenchement de la croissance économique et du développement du continent-mère. Prendre une telle décision ne relève pas de la facilité pour nombreuses personnes originaires du continent, pourtant, il y a de quoi y songer. Voici de bonnes raisons qui font que l’Afrique reste la terre du futur, et surtout d’accueil.
 
1. Une bonne qualité de vie
 
L’indice HPI (Hapy Planet Index) mesure le niveau de bonheur d’un pays. Dans ce classement, on se rend vite compte que les pays les plus heureux ne sont pas forcément les plus développés. Un paradoxe qui joue en faveur de l’Afrique. Ces mesures publiées par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), prend en compte l’espérance de vie, l’environnement, mais aussi des critères objectifs d’éducation, hissent certaines villes africaines plus haut que des capitales occidentales. Bien que cela soit étonnant, Madagascar serait plus heureuse que la France, malgré la pauvreté et une crise politique qui secoue le pays depuis 2009. Ce cas illustre bien la particularité de nombreuses villes d’Afrique. Et si on enlevait les troubles politiques et autres, le baromètre ne ferait qu’augmenter à une vitesse phénoménale.
 
 
La qualité de vie est en nette progression, avec un taux prévisionnel de croissance de 5,5% en 2013. Dans le classement des villes à qualité de vie évidente, on trouve plusieurs grandes villes et capitales africaines. Parmi les villes africaines où il fait bon vire, on trouve Port-Louis (Île Maurice), Cape Town et Johannesburg (Afrique du Sud), Victoria (Seychelles), Tunis (Tunisie), Rabat et Casablanca (Maroc), Windhoek (Namibie), Gaborone (Botswana), Lusaka (Zambie), le Caire (Egypte), Dakar (Sénégal) et Libreville (Gabon). D’autres villes méritent aussi d’être citées.
 
 
2. La politique en progression
 
Pendant longtemps, la corruption et les détournements de fonds publics avaient été érigés en mode de gestion en Afrique, la tendance affiche un meilleur profil. On assiste aujourd’hui à des dénonciations jamais connues auparavant. Regardez l’ex super ministre sénégalais, Karim Wade, aujourd’hui inculpé pour enrichissement illicite pendant la présidence de son redoutable et célèbre père, Abdoulaye Wade. Il semblerait que plusieurs Présidents africains ont rompu avec le cordon ombilical et les pratiques ancestrales, qui menaient la politique à tort et à travers. Macky Sall (Président sénégalais) a donné à la Cour de justice le droit d’enquêter pour mettre la lumière sur cette affaire. Aux Comores, il y a quelques mois, un ministre a été contraint à la démission et de comparaître en justice pour des faits similaires. Du jamais vu dans cet archipel de l’océan indien. En Côte d’Ivoire, c’est l’ « affaire Bolloré » dans la session du 2ème terminal à conteneurs qui a secoué l’exécutif. Le ministre du Commerce, Jean-Louis Billon, avait ouvert les hostilités en contestant l’attribution en mars dernier du contrat de plus de 400 millions d’euros au groupe français Bolloré Africa Logistics. Le ministre avait alors voulu se servir de sa qualité de membre du gouvernement, pour imposer une décision qui ne serait pas conforme à une démocratie. Une affaire qui a suscité les questions sur la bonne gouvernance, et qui nous mène à conclure sur une bonne note en matière de politique et de justice. Aujourd’hui, c’est devant le tribunal des affaires de l’UEMOA (Union monétaire Ouest africain) qu’on connaîtra l’épilogue de cet épisode.
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3. Croissance économique
 
Avec une croissance stable de 4,9% depuis 2009, l’Afrique est en progression. Les finances internationales ; Banque mondiale et FMI, prévoient même une hausse de taux de 5 à 5,5%. Alors qu’à l’inverse, de nombreux pays développés sont pris dans une spirale descendante ; chômage élevé, une faiblesse de la demande globale exacerbée de l’austérité budgétaire, un endettement public élevé et un système financier toujours fragile. La croissance économique en Afrique est due notamment à la hausse de l’exploitation des ressources pétrolières, minières et gazières et à un assainissement de la gestion économique. Ce qui laisse prévoir une croissance à deux chiffres d’ici à l’horizon 2020.
 
 
4. Hausse du pouvoir d’achat
 
La hausse de la classe moyenne, qui a triplé en trente ans pour représenter le tiers de la population (soit un peu plus de 350 millions de personnes), d’après des sources de la Banque africaine de développement (BAD), concorde avec la hausse du pouvoir d’achat des Africains. D’autres analystes du McKinsey Global Institute estiment que les dépenses générales en consommation à travers le continent vont dépasser la barre des 1 000 milliards de dollars pour cette année 2013. Une aubaine pour les investisseurs.


 
5. Absence de concurrence
 
L’Afrique est un continent à fort potentiel de croissance, mais sans concurrence. Ce qui laisse de la marge aux probables investisseurs. On dit que les Chinois auraient tout compris en renforçant de plus en plus leur présence sur le continent, il n’est pas trop tard pour que la diaspora fasse de même.
 
D’autres éléments viennent renforcer ces critères qui font de l’Afrique un continent riche et bon à vivre. Par les Infrastructures économiques ; routes, aéroports, bâtiments officiels, hôpitaux, aujourd’hui, nombreux dirigeants africains ont enfin compris l’importance à accorder aux infrastructures. Une clef primordiale pour passer d’un pays pauvre à un pays émergent. On assiste aujourd’hui au développement de l’énergie, les télécommunications en Guinée Equatoriale, au Tchad, au Congo, au Cameroun, entre autres. L’agriculture constitue aussi une référence de la croissance. Et l’Afrique tient une majeure partie de cette production. « Le continent abrite actuellement 60% du total mondial des terres arables et non cultivées », selon McKinsey Global Institute. Le Happy Planet Index, place plusieurs pays africains dans une bonne perspective de l’empreinte écologique.
 
 
Avec des secteurs d’activités insolites et basiques, le continent offre l’authenticité et la beauté de ses paysages. Des produits certes en manque d’une touche technologique, mais simples, efficaces et peu chers. Ajouter à cela, une facilité pour les visiteurs et la diaspora de rencontrer les autorités, l’Afrique vous offre des bonnes raisons d’aller faire un tour, et invite sa diaspora entre autre, à saisir leur part d’opportunité sur le continent.
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Source

Les cinq façons les plus étranges d'avoir un orgasme

orgasme chez la femme
On atteint généralement l'orgasme en faisant l'amour avec un partenaire ou en se masturbant. Mais certains ont expérimenté la chose à d'autres moments, plus étonnants. 
 
1. En faisant de l'exercice. La salle de sport est l'endroit où l'on sue et où l'on peut également jouir. Une étude parue en 2012 annonçait que 45% des femmes avaient déjà eu un orgasme grâce au sport. Certaines en faisant des abdominaux, d'autres en levant des poids, en faisant du yoga, du vélo, de la course à pieds ou de la marche. Une femme de 41 ans témoignait: "Je faisais du vélo sur une colline. J'ai commencé à avoir des crampes, j'ai cru que c'était à cause du frottement du siège. Je me suis dit que j'allais m'arrêter mais je ne l'ai pas fait. J'ai eu un orgasme juste après."
 
2. En stimulant les seins. Lorsque les mamelons sont stimulés, l'ocytocine est libérée, ce qui provoque les mêmes contractions utérines et vaginales associées à l'orgasme, selon la gynéco Christiane Northrup, auteur de "Women's Bodies, Women's Wisdom". Le flux sanguin se dirige vers les organes génitaux et peut déclencher une explosion des sens.
 
3. Rien qu'en y pensant. Lady Gaga avait un jour déclaré qu'elle arrivait à se faire jouir uniquement par la force de son mental. La sexologue Gina Odgen, auteur de "Women who love sexe", confirme: "C'est une combinaison de respiration, de fantasmes et de concentration".
 
4. En accouchant. L'accouchement est généralement associé à la douleur mais certaines femmes atteignent l'orgasme au moment où leur bébé voit le jour. Il s'agit d'à peine 0,3% des naissances mais quand même.
 
5. En mangeant de la junk food. On vous avait déjà parlé de Gabi Jones. Cette femme d'une vingtaine d'années a des orgasmes quand elle mange de la malbouffe. Une info qui nous fait regarder l'enseigne du McDo autrement...
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Sexe: Se faire surprendre au lit par un enfant, comment réagir ?


Vous avez des enfants et cela ne vous empêche d’avoir une vie sexuelle très épanouie. Tant mieux et bravo. Mais vos chers petits vivent sous le même toit et à mesure qu’ils grandissent vous devez vous montrer de plus en plus discrets sur votre intimité. Comment réagir si le petit dernier pousse la mauvaise porte ? Les réponses de Stéphane Clerget, pédopsychiatre.
 
Le dimanche après-midi, quand toute la maison fait la sieste, par bonheur la vôtre tourne au câlin, voire à une séance de sexe complètement torride avec l’homme qui partage votre lit/vie. Il suffit d’une porte mal fermée, ou d’un cri de plaisir qui vous échappe, pour que vos chers petits fassent connaissance avec la sexualité. Faut-il pour autant se planquer chez soi et se bâillonner de peur de les traumatiser ?
 
Qu’est-ce qui peut inquiéter un enfant qui vous surprend en train de faire l’amour ?
S’il a moins de 11 ans, un enfant, a priori, ne sait pas de quoi il est question. Inutile donc de vous interrompre pour lui faire un cours, schéma à l’appui, sur la sexualité. Vous devez vous interrompre, mais pour le rassurer. « Un jeune enfant sera surpris par les bruits ou le mouvement, et croira que vous êtes en train de vous bagarrer », explique le pédopsychiatre Stéphane Clerget*. Votre seul but doit être non pas de vous justifier, mais de lui expliquer que vous ne vous faites pas de mal, et que vous jouez à un « jeu d’adulte ». 
 
Pour ne pas lui donner de mauvaises idées, cette distinction a son importance. « Si un enfant est amené à vous voir faire l’amour, et qu’il assiste à la scène sur un certain laps de temps, il faut veiller à ce qu’il ne cherche pas à faire la même chose avec ses camarades » ; on insistera donc, quel que soit l’âge de l’enfant, sur le fait que ces câlins-là ou ces jeux-là, ne doivent pas être reproduits entre enfants ou entre un enfant et un adulte. 
 
L’erreur à ne surtout pas commettre serait de vous excuser ou d’avoir l’air gêné. Évidemment vous serez mortifiés, honteux et vous culpabiliserez d’avoir manqué de discrétion au point de réveiller le pauvre petit. Là encore, le Dr Clerget nous invite à dédramatiser. « Le parent doit être disponible quand un enfant lui pose des questions sur la sexualité, mais il n’est pas question de culpabiliser ou d’avoir l’air de vous excuser auprès de lui, ce serait lui donner un pouvoir sur votre vie sexuelle, et créer un problème là où il n’y en a pas. » Inutile donc de vous abstenir jusqu’aux 18 ans de vos trois bambins, ni de capitonner votre chambre. Imposez-vous simplement un code de bonne conduite sexuelle.
 
Si l’on suit le conseil de Françoise Dolto, le parent responsable se comporte à la maison avec ses enfants comme il le ferait avec un invité de marque. Il appliquerait en fait les règles de base du savoir-vivre : il ne pète ni ne rote à table, ne se balade pas nu dans la maison, et importune le moins possible son voisin de chambre. À propos de nudité...
 
Jusqu’à quel âge peut-on se montrer nu devant son enfant ?
Une question qui pourra trouver des réponses plus ou moins personnelles selon les habitudes et la mentalité des parents. Pour autant, tous que les enfants atteignent un jour ou l’autre cette étape dérangeante de l’obsession des parties génitales. « Quand l’enfant commence à regarder, à vouloir toucher, qu’éventuellement il se masturbe et fait la différence entre filles et garçons, on peut dire que le moment est venu d’éviter les bains et le corps à corps nu avec lui », préconise le Dr Clerget. C’est aussi le moment propice pour faire comprendre à votre petit(e) obsédé(e) qu’il y a certains gestes qu’on ne doit pas faire et d’autres qu’on ne doit pas accepter des autres. 
 
Mon enfant peut-il être traumatisé s’il nous voit faire l’amour ?
« Un enfant traumatisé ne mange pas ou se met à faire de mauvaises nuits », prévient le Dr Clerget. Un seul conseil : lui parler, et lui poser des questions. Bien plus que les jeunes enfants qui comprennent et passent très vite sur l’explication du « jeu d’adulte », ce sont les adolescents qui ont tendance à être perturbés lorsqu’ils réalisent que leurs parents ont une sexualité. « Les adolescents ne sont pas toujours au clair dans leurs désirs, et il se produit parfois un retour de l’Oedipe, en particulier en cas de séparation des parents. » De fait, l’enfant de 13 ans qui surprend son père ou sa mère au lit avec son nouveau conjoint pourrait bien réagir violemment, mais, là encore, les parents ne doivent pas s’excuser. 
 
« Surprendre ses parents en train de faire l’amour peut aider un enfant à grandir », explique le pédopsychiatre, qui rappelle que pour la plupart des jeunes, les parents sont surtout des parents, et non un couple. « Le malaise de l’adolescent vient de cette réalité refoulée qui devient concrète, il réalise qu’il doit se détacher pour devenir lui-même un adulte. » 
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Facebook tire son fil d’actualité vers le haut

Facebook annonce le remplacement de l’algorithme EdgeRank. Dorénavant les publications les plus populaires seront les plus vus sur le fil d’actualité. Bonne nouvelle pour les annonceurs qui devraient y trouver leur compte.

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Facebook met à jour l’algorithme de son fil d’actualité pour valoriser la popularité des publications.
L’ancien algorithme EdgeRank fait place à une nouveauté censée être bien plus efficace.
Le fil d’actualité de Facebook valorisera bientôt la popularité des publications.
Ainsi, selon la description faite sur le blog business de la compagnie, on apprend que la visibilité des posts dans le flux d’actualité du réseau dépendra du nombre de « likes », de partages, et de commentaires qu’ils auront reçus.
De ce fait, même les publications les plus anciennes pourront conserver la première place de l’affichage si tant est qu’elles sont populaires.
Des éléments personnels rentrent aussi en ligne de compte pour proposer un fil d’actualité différent pour chaque utilisateur et adapté à leur profil.
La fréquence à laquelle un membre de Facebook aura interagi avec  des publications similaires ou avec leurs auteurs influencera la position donnée au post.
Dans tous les cas, si ce nouvel algorithme tient ses promesses, il sera certainement riche en potentiel publicitaire.
Les annonces présentes dans le flux d’actualité de Facebook répondent aux mêmes exigences en termes de positionnement.
La différence c’est que la plupart des marques disposent d’un total de « likes », de partages et d’interactions supérieur à toutes les publications que peuvent effectuer les utilisateurs lambda.
De la même manière, le système de valorisation en fonction de la navigation de l’internaute devrait aisément permettre d’affiner la présentation sélective des publicités.
Selon Facebook, ce nouvel algorithme améliore considérablement la visibilité de l’ensemble des publications puisque sous EdgeRank, seulement 57% des posts étaient lus (les 43% restants étant trop bas dans le fil d’actualité pour intéresser).
Avec le nouveau mécanisme, ce serait 70% des publications qui trouveraient des lecteurs.
Le réseau social promet toutefois que différentes options de filtrage devraient être préservées (en haut à droite du fil d’actualité).
Il devrait ainsi être possible de présenter les publications les plus récentes en premier et de se passer du nouvel algorithme.
La mise à jour est actuellement en cours de déploiement partout dans le monde. Les Etats-Unis en voient déjà le résultat.
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Avec le nouvel algorithme du fil d’actualité de Facebook, mêmes les publications les plus anciennes pourront occuper les meilleures positions.

itespresso.fr

Washington pense que vous êtes stupides – Paul Craig Roberts


troupeau-de-moutons-13762235Il y a un vieux dicton qui dit que si le gouvernement craint le peuple, il y a la liberté, mais si le peuple craint le gouvernement, il y a tyrannie. Les criminels à Washington, non seulement ne nous craignent pas, ils ne nous respectent pas. Washington voit les Américains comme un troupeau de moutons stupides.
Washington estime qu’il peut dire n’importe quoi à la population et les gens vont le croire. Par exemple, la ligne officielle est que la récession, qui a commencé en Décembre 2007, s’est terminée en Juin 2009. Beaucoup d’Américains le croient alors même qu’’ils n’ont pas personnellement vécu la reprise économique. En effet, ils s’enfoncent davantage dans la pauvreté et côtoient la misère.
Et n’oubliez pas ces armes de destruction massive qui n’existent pas et que Saddam Hussein a été accusé par Washington de posséder. Ou le faux événement du golfe du Tonkin lorsque Washington a affirmé que son navire avait été attaqué par le Nord-Vietnam. Oui, la liste des mensonges officiels est très longue. Toute personne qui croit tout ce que Washington dit est trop naïve pour qu’on la laisse sortir de chez elle toute seule. Mais les Américains croient aux mensonges, parce qu’ils pensent que le patriotisme l’exige.
S’appuyant sur la crédulité éprouvée de la majeure partie de la population américaine, Washington prétend avoir découvert un complot d’Al-Qaïda pour attaquer les ambassades américaines en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Pour déjouer le complot, Washington a fermé 19 ambassades pour le week-end passé et pour cette semaine aussi.
Washington n’a pas expliqué comment le fait de fermer les ambassades déjoue l’intrigue. Si Al-Qaïda veut faire sauter les ambassades, il peut les faire sauter qu’elles soient ouvertes ou fermées.
Si Al-Qaïda veut tuer le personnel de l’ambassade, ils peut les tuer chez eux ou sur le chemin du travail ou plus tard dans les ambassades lorsque l’alerte sera passée.
J’ai vérifié dans les médias presstitués afin de m’assurer que mon estimation actuelle de leur prostitution pour Washington était exacte. Peut-être aurais-je raté quelque expression de scepticisme quant à la dernière menace terroriste. Mais j’ai entendu le NPR (NDT : National Public Radio). Avant, dans les années Reagan, le NPR avait une voix indépendante. Aujourd’hui, il fait partie des médias presstitués. NPR ment pour Washington avec les meilleurs d’entre eux.
Les médias américains ont ignoré le fait évident que dès que la population américaine, le Congrès et les alliés marionnettes de Washington, comme l’Allemagne, ont posé sur la table la question de l’espionnage universel clairement anticonstitutionnel et totalement illégal de la NSA, le régime Obama a poussé le bouton de la peur et monté un nouveau complot terroriste dans le but de faire taire les critiques et de ramener le Congrès et l’Allemagne sur la ligne  droite
Washington a affirmé qu’une «menace» a été découverte qu’Al-Qaïda – une organisation qu’il utilise dans ses efforts pour renverser le gouvernement Assad en Syrie et celui dont les groupes affiliés en Afghanistan sont enrichis par des contrats militaires américains – va faire exploser des ambassades américaines au Moyen-Orient et Afrique du Nord. Washington n’a pas expliqué pourquoi al-Qaïda, récipiendaire des largesses de Washington, allait fermer le robinet de l’argent en attaquant les ambassades des États-Unis.
Je suis surpris que des bombes n’aient pas été déclenchées dans les ambassades afin de prouver la valeur de l’espionnage de l’Agence nationale Stasi, ainsi faire honte à ceux qui au Congrès et parmi les États de marionnette en Europe s’opposent à l’espionnage.
Si vous réfléchissez un instant à ses déclarations, vous constatez que Washington révèle son incapacité à bien monter un tel scénario de menaces inexistantes. Officiellement, les Etats-Unis sont en guerre contre Al-Qaïda depuis le 7 Octobre 2001. La «superpuissance» a dû faire face à quelques milliers d’hommes d’Al-Qaïda légèrement armés depuis près de 12 ans, et quel est le résultat?
Malgré ses affirmations d’avoir tué les hauts dirigeants d’Al-Qaïda, dont Oussama ben Laden lui-même, Washington a perdu la guerre. Al-Qaïda est devenu si puissant que non seulement ils combattent en Syrie contre Assad, avec l’aide des Etats-Unis, mais également ont empêché l’armée américaine d’occuper l’Afghanistan. Par ailleurs, en plus des succès militaires d’Al-Qaïda contre la «superpuissance» et le chaos qu’ils continuent à produire en Irak, Al-Qaïda est désormais si puissant qu’il peut faire fermer les ambassades américaines dans tout le Moyen-Orient et Afrique du Nord. La «menace» qui était censée renforcer la position de la NSA prouve en fait l’impuissance de Washington.
Nous ne pouvons que prier pour que bientôt Al-Qaïda ferme Washington lui-même. Imaginez le sentiment de libération américaine si Washington était simplement fermé, ou encore mieux s’il pouvait être recouvert d’une couverture magique du Pendjab et disparaître. Pour les 99 pour cent, et le reste du monde, Washington n’est rien d’autre qu’un oppresseur.
Traduction : Avic
http://www.paulcraigroberts.org/2013/08/06/washington-thinks-you-are-stupid-paul-craig-roberts/
Craig Roberts withkitties_150_120Le Dr Roberts fut Secrétaire Adjoint au Trésor US de la politique économique dans l’administration Reagan. Il a été rédacteur en chef adjoint et éditorialiste du Wall Street Journal, chroniqueur pour Business Week et du Scripps Howard News Service. Il a occupé de nombreux postes universitaires. Son dernier livre, The Failure of Laissez Faire Capitalism and Economic Dissolution of the West est disponible ici: http://www.amazon.com/Failure-Capitalism-Economic-Dissolution-ebook/dp/B00BLPJNWE/
 
avicennesy.wordpress.com

Les révélations de Snowden provoqueront des pertes astronomiques pour Microsoft

RBC Daily
L'industrie américaine du Cloud pourrait perdre entre 21,5 et 35 milliards de dollars de revenus ces trois prochaines années, écrit jeudi 8 août le quotidien RBC Daily.
Selon la Information Technology & Innovation Foundation (ITIF), les plus grandes pertes sont à prévoir pour Amazon, Google et Microsoft en raison des révélations d'Edward Snowden.
Les fournisseurs américains de services Cloud risquent de perdre 10-20% de ce marché en dehors du pays d'ici les trois prochaines années, ont conclu les experts de l'ITIF. Cette fondation est la première organisation à avoir calculé les pertes potentielles des opérateurs américains suite au scandale Prism qui a éclaté en juin dernier. L'ex-analyste de la CIA Edward Snowden a divulgué des informations sur le programme de surveillance permettant aux renseignements américains d'avoir accès aux serveurs de Google, Facebook, Microsoft, YouTube, Skype, Apple et, par conséquent, aux informations sur leurs utilisateurs.
Encore en juin, 71% des personnes interrogées dans le cadre du sondage de Informa Telecoms and Media estimaient que les USA étaient un leader dans les services et innovations Cloud. Cependant, désormais, les partenaires étrangers des compagnies américaines craignent que toute information confidentielle puisse se retrouver entre les mains des renseignements américains. "Il est crucial que les gouvernements européens se penchent sur ce problème, car si toutes les informations étaient sous contrôle américain, cela serait nuisible pour les Européens", a déclaré Jean-François Audenard, superviseur de la sécurité Cloud chez France Telecom.
Une personne interrogée sur dix parmi 500 participants de Cloud Security Alliance, qui réunit les compagnies du secteur Cloud, a l'intention de renoncer aux projets avec les fournisseurs américains. Plus de la moitié des personnes interrogées auront moins souvent recours à leurs services, comme en témoignent les résultats de l'étude de juillet. Les révélations de Snowden ont été très inopportunes pour le Cloud américain : entre 2012 et 2016, les dépenses pour les services et les ressources Cloud doubleront et atteindront 207 milliards de dollars, tandis que le marché informatique connaîtra une croissance de seulement 3% par an, prédit la société Gartner.
Avant le scandale, les concurrents étrangers renforçaient déjà la pression sur les compagnies américaines du secteur. Sur les 13,5 milliards de dollars d'investissement des services Cloud dans leur développement, 5,6 milliards ont été dépensés par des compagnies non américaines. Par exemple, la France a investit 135 millions de dollars. Alors que la compagnie suisse Artmotion a annoncé une hausse de 45% de ses bénéfices en juillet, c'est-à-dire après le scandale provoqué par Snowden.
Les analystes de l'ITIF pensent que pour réduire le préjudice pour le secteur national Cloud, le gouvernement américain doit révéler quelle information lui est accessible et s'il dispose de cet accès dans d'autres pays. "La prise de telles mesures permettrait de trouver un équilibre entre les intérêts de l'économie et de la sécurité nationale. Cela permettrait aux compagnies Cloud américaines d'être compétitives au niveau mondial", résument les auteurs du rapport.
Toutefois, des experts ne pensent pas que le scandale provoqué par Snowden affectera fortement les opérateurs Cloud aux USA, car les avantages de leur utilisation dépassent l'inconvénient d'une éventuelle fuite. "De plus en plus de compagnies renoncent au stockage physique au profit des services Cloud, par exemple, Amazon Cloud, Google Cloud, etc. On pourrait parler d'une percée technologique dans l'industrie", a expliqué Trip Chowdhry de Global Equities Research.

Pakistan : menacé de mort pour sa moustache

Malif Afridi à Peshawar (Pakistan), le 24 juillet.
Malif Afridi à Peshawar (Pakistan), le 24 juillet.
Crédit : AFP / A MAJEED

Un groupe islamiste proche des talibans demande à un Pakistanais à la moustache de 76 centimètres de long, 500 euros mensuels contre leur "protection" lui permettant de garder ses poils.

Kidnappé par des islamistes armés, menacé de mort, contraint de quitter sa famille... C'est le calvaire qu'a traversé un commerçant pakistanais pour une unique raison : son refus obstiné de couper sa noble moustache en forme d'arche. S'il avait vécu dans un village d'irréductibles Gaulois, Malik Afridi aurait sans doute fait pâlir de jalousie tous ses habitants, tant sa longue moustache finement tressée de 76 centimètres attire l'attention.

Elle ressemble à s'y méprendre à une paire de cornes dressées et solidement attachées sous son nez. "Les gens m'ont toujours respecté" à cause de ma moustache, se targue se solide gaillard âgé d'une quarantaine d'années. "Ils aiment prendre des photos avec moi. C'est mon identité", dit-il.

Moustache contre barbe longue

Pendant des siècles, le port de la moustache était le gage de virilité par excellence dans le sous-continent indien. Mais aujourd'hui, avec la montée en puissance des talibans et du salafisme au Pakistan, la barbe longue s'impose. De fait, elle y est de plus en plus imposée. Il y a encore quelques années, Malik Amir Mohammad Khan Afridi était encore une star locale dans le district tribal de Khyber, repaire d'insurgés aux portes de l'Afghanistan. Il devait ce rang au système pileux de son visage qui lui confère des airs princiers.

Mais les hommes du Lashkar-e-Islam, un groupe islamiste armé aujourd'hui allié aux talibans, ne l'ont pas entendu de cette oreille : ils ont exigé de lui le versement mensuel de 500 dollars, en échange d'une "protection" lui permettant d'arborer sa moustache en toute quiétude.
Je peux vivre éloigné des miens, éloigné du Pakistan, mais je ne pourrai jamais couper à nouveau ma moustache.Mali Afridi, commerçant pakistanais
De mauvais poil, le commerçant, qui importe au Pakistan des vêtements et du matériel électronique de Chine, a refusé de céder au chantage. Jusqu'à ce jour de 2009 où des insurgés ont frappé à sa porte. Il venait pour le kidnapper, raconte-t-il. Après un mois de captivité, une assemblée tribale locale, la traditionnelle 'jirga', a négocié sa libération en échange de sa moustache.

Contraint de la raser, Malik Afridi, avoue avec regret avoir eu "peur qu'ils me tuent". "C'est pourquoi j'ai sacrifié ma moustache", confie-t-il. Deux mois plus tard, il a quitté les zones tribales pour Peshawar, métropole du nord-ouest pakistanais. Entretemps, sa moustache a repoussé. Mais l'an dernier, l'intimidation à nouveau. Des hommes menaçaient de l'égorger dans des appels téléphoniques anonymes.

Malik a alors été contraint de s'éloigner de sa famille à Peshawar pour s'établir à Faisalabad, cœur de l'industrie textile dans le centre du Pakistan.  "Parfois, ma famille me dit : 'tu devrais couper ta moustache et rester avec nous'. Je peux vivre éloigné des miens, éloigné du Pakistan, mais je ne pourrai jamais couper à nouveau ma moustache", explique-t-il avec gravité.

Malik Afridi rêve désormais d'obtenir l'asile à l'étranger, aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Canada, ou aux Émirats arabes unis. Ou encore représenter le Pakistan dans des concours internationaux de belles moustaches.

Coucher avec son ex, bonne ou mauvaise idée ?

Revoir son ex permettrait de mieux vivre la rupture et le deuil. Convaincus ? (Crédit : Reporters)
Revoir son ex permettrait de mieux vivre la rupture et le deuil. Convaincus ? (Crédit : Reporters)
Un détour par la chambre à coucher – ou ailleurs – permettrait effectivement d’atténuer la souffrance psychologique post-rupture.
“Remettre un coup dans une ex, mauvaise idée.” Le rappeur français Orelsan a beau partager – avec l’élégance qu’on lui connait – son avis sur les relations sexuelles avec une ancienne compagne, une enquête réalisée par des chercheurs de l’Université d’Arizona avance qu’une partie de jambes en l’air avec un(e) ancien(ne) conjoint(e) peut parfois s’avérer bénéfique.
Cette étude, publiée par le Journal of Social and Clinical Psychology et relayée par nos confrères du Huffington Post, s’est concentrée sur 137 cobayes, fraîchement divorcés. Ceux-ci devaient répondre à une série de questions sur leur relation avec leur ancien partenaire: êtes-vous restés en contact? Combien de fois vous êtes-vous vus? Et surtout: avez-vous succombé à la tentation de recoucher ensemble?
Le bilan: 82% des sondés sont restés en contact, et plus d’une personne sur cinq a cédé à la tentation. Et ils auraient eu raison.
Un détour par la chambre à coucher – ou ailleurs – permettrait effectivement d’atténuer la souffrance psychologique post-rupture. Certains psychologues avancent même que cela offrirait plus de sécurité dans cette période de solitude.
Attention, toutefois, ce “traitement” un peu particulier ne conviendrait pas à tout le monde: les personnes qui auraient déjà fait le deuil de leur relation ne retirant pas grand-chose de l’expérience, si l’on en croit toujours les psychologues à l’origine de cette étude. À part du plaisir, peut-être…
G.Ga (LaLibre.be)

Deux jeunes Britanniques attaquées à l'acide à Zanzibar

ZANZIBAR (Tanzanie) - Deux jeunes femmes britanniques ont été attaquées mercredi soir à l'acide à Zanzibar, une agression encore inédite contre des étrangers sur le touristique archipel semi-autonome de Tanzanie, a annoncé jeudi la police locale.

La police à Zanzibar a lancé une chasse à l'homme pour retrouver les agresseurs des deux jeunes femmes de 18 ans, a ajouté le numéro deux de la police locale, Mkadam Khamis.

Selon un haut responsable du ministère de la Santé de Zanzibar, Saleh Mohammed Jidawi, les Britanniques ont été blessées à la poitrine, au visage et aux mains, mais leurs vies ne seraient pas en danger.

Elles ont été rapidement envoyées à Dar es Salaam (la capitale économique de la Tanzanie) pour traitement, a-t-il ajouté.

Les deux jeunnes femmes travaillaient comme bénévoles dans une école.

Elles ont été attaquées un peu avant 20H00 locales (17H00 GMT), alors que la population de l'archipel à grande majorité musulmane célébrait la fin du ramadan, a précisé le responsable policier.

Elles ont été agressées par deux jeunes gens conduisant un scooter, alors qu'elles marchaient dans les rues étroites de Stone Town, le centre historique de Zanzibar, classé au patrimoine de l'Unesco, a-t-il précisé.

Le motif de l'attaque n'a pas été établi, a-t-il ajouté.

Zanzibar a été le théâtre de plusieurs attaques ces derniers mois, mais perpétrées contre des locaux.

En novembre, un imam avait été attaqué à l'acide. Le mois suivant, un prêtre catholique avait été blessé par balle, et un autre abattu en février.


(©AFP /

Premières arnaques aux médicaments en vente sur internet



Depuis le 12 juillet, la loi française autorise la vente sur le Net des médicaments non soumis à ordonnance .

Depuis le 12 juillet, la loi française autorise la vente sur le Net des médicaments non soumis à ordonnance . | (LP/Thomas Morel-Fort.)


Il aura fallu attendre à peine moins d’un mois pour voir fleurir sur la Toile des pharmacies en ligne… illégales. Trois semaines après l’entrée en vigueur, le 12 juillet, de l’arrêté encadrant la vente de médicaments sur , l’Ordre national des pharmaciens vient de déposer plainte contre 11 sites n’ayant pas obtenu la moindre autorisation pour exercer leur commerce. Un feu vert qu’ils n’auraient de toute façon jamais reçu, et pour cause. Pour le recevoir, la nouvelle réglementation stipule que toute pharmacie en ligne doit être adossée à une officine en dur. Or, selon l’Ordre, les sites suspects sont belges, voire russes. Surtout, impossible de savoir qui se cache derrière.

Certes, la présence sur le Web de fausses pharmacies n’est pas nouvelle. Des sites spécialisés dans la vente de certains remèdes — la plupart du temps contrefaits — existent depuis longtemps. Mais jusqu’ici, ils étaient tous étrangers, la ayant jusque-là interdit la vente en ligne de tout produit à caractère médical. La nouveauté, c’est que les sites visés par la plainte de l’Ordre, qui a également alerté le ministère de la , s’évertuent tous à faire croire à l’internaute qui n’y prêterait pas attention qu’il est sur un site français dûment autorisé. La langue, les couleurs utilisées, souvent tricolores, les logos, les noms de domaine choisis… Tout est mis en œuvre pour abuser et tromper le consommateur…

La loi assouplie après l’intervention du Conseil d’Etat

Ces invasions étaient redoutées par la ministre de la Santé, Marisol Touraine, dont le décret initial du 19 décembre ne faisait qu’entrouvrir la porte au commerce en ligne de médicaments. A l’époque, seuls 450 références devaient être autorisées sur Internet. Et les prix affichés devaient être identiques à ceux pratiqués en boutique par le créateur du site. C’était sans compter sur le Conseil d’Etat qui, en plus d’un sérieux rappel à l’ordre de l’Autorité de la concurrence, avait enjoint le ministère d’élargir la liste des produits autorisés à tous les médicaments non soumis à prescription. Et à suivre les recommandations de Bruxelles — et des lobbys qui y opèrent — désireux d’ouvrir au libre marché le monopole des pharmaciens, dont une majorité n’était pas franchement favorable au commerce en ligne.

Pouvait-on éviter l’émergence de pareilles arnaques? Sans doute pas. Il y en aura certainement d’autres. La plainte de l’Ordre vient simplement rappeler la prudence dont on doit toujours faire preuve dès qu’on achète sur Internet. A fortiori des médicaments.

Le Parisien

Recul de l’obésité chez les enfants américains pauvres

Selon un rapport des autorités sanitaires fédérales américaines, publié mardi, l’obésité a reculé pour la première fois depuis des décennies chez les enfants américains de deux à quatre ans, issus de famille modestes.

C.P. avec AFP
L'obésité des jeunes enfants américains en baisse pour la première fois (photo d'illustration - BFMTV)
L'obésité des jeunes enfants américains en baisse pour la première fois (photo d'illustration - BFMTV)
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Une première encourageante. L'obésité recule légèrement pour la première fois parmi les très jeunes enfants américains issus de familles à bas revenus et ce après des décennies d'augmentation, selon un rapport des autorités sanitaires fédérales publié mardi.
L’indice de masse corporelle (IMC- le poids est divisé par la taille au carré) de 12 millions d’enfants dans 40 états a été surveillé. Le résultat du rapport a été rendu public par Tom Frieden, directeur des Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC).
Le recul observé concerne 19 états de l’Union et des territoires américains d’Outre-mer entre 2008 et 2011. Le dernier rapport national sur l’obésité des très jeunes enfants (entre 2003 et 2008) montrait un accroissement dans 24 Etats.
Les baisses les plus marquantes sont observées en Floride, en Géorgie, dans le Missouri, le New-Jersey, le Dakota du Sud avec une diminution de plus de 1%.
La Californie, l’Iowa, l’Idaho, le Kansas le Massachusetts, le Maryland, le Michigan, le Minnesota, le Mississippi, le Montana, le New Hampshire et le Nouveau Mexique enregistrent également un amélioration mais plus modeste. Hawaï enregistre le taux le plus bas d’obésité (9%) tandis que la Californie connait le taux le plus élevé (17%).
Trois états enregistrent une augmentation similaire durant la même période (2008 à 2011), il s’agit du Colorado, la Pennsylvanie et le Tennessee.
Un enfant américain sur 8 en âge d’entrer à l’école maternelle est toujours en surpoids. Les taux sont plus élevés chez les Noirs et les Hispaniques, les plus pauvres de la population.
Le directeur des CDC souligne que "l’obésité reste une épidémie… le recul est modeste mais pour la première fois en une génération les choses vont dans le bon sens". Il souligne par ailleurs que "les très jeunes enfants obèses ont un risque accru de graves problèmes de santé durant toute leur vie".
Actuellement un tiers des enfants et adolescents américains et deux tiers des adultes sont toujours en surpoids ou obèses.
Michelle Obama s’est récemment préoccupé de la santé de ces enfants, montrant même l’exemple lors de sa visite à la Middle School Alice Deal (Washington) les invitant à se dépenser pour ne pas grossir (let’s move). La first Lady a d’ailleurs montré l’exemple, dansant sur Beyoncé accompagnée par tous les étudiants.