29 juillet, 2011

Hattrick de Kanouté

SEVILLE (© 2011 Afriquinfos) – L’entraîneur du Séville a fait jouer un 11 similaire à celui qui pourrait débuter le premier jour du championnat.
Hattrick de Kanouté

CC BY Frobles. Frédéric Kanouté

Ça c’est le Frédéric Kanouté que tout le monde aime! Le hattrick du malien a donné la victoire face au Jerez (0-3).

Le Séville a dominé le match depuis la première minute. L’équipe andalouse a marqué son premier but à la 4ème minute. Une belle passe d’Álvaro Negredo a permis que Kanouté de finir l’action en beauté.

À la 27ème minute un centre de Jesús Navas a été profité par le malien. Son tir a rebondi sur un joueur du Jerez et a atterri dans le filet du gardien. Le troisième but est arrivé à la minute suivante du deuxième. Même combinaison que pour le premier, passe de Negredo et but de Kanouté.

L’entraîneur du Séville, Marcelino García Toral, a décidé de changer le malien à la deuxième mi-temps. Le Jerez a alors essayé de réagir, mais il était trop tard pour surmonter le score.

L’inter reçoit une offre milliardaire pour Eto’o

MILAN (© 2011 Afriquinfos) – Samuel Eto’o est l’un des joueurs les plus désirés du football international.
L’inter reçoit une offre milliardaire pour Eto’o

CC BY Steindy. Samuel Eto'o, en 2009

Pendant que les médias italiens spéculent sur un possible tandem de rêve entre Samuel Eto’o et Carlos Tévez, l’équipe russe Anzhi s’est réuni avec les dirigeants de l’Inter de Milan pour faire une offre à l’équipe pour le camerounais.

Selon le journal italien La Gazzetta dello Sport, Marco Branca, le Directeur Sportif de l’inter, se serait réuni avec le représentant de Tevez, Kia Joorabchian, qui est aussi l’intermédiaire du club russe Anzhi.

La réunion entre Joorabchian et Branca été censée se centrer sur le possible futur milanais de Tevez, mais elle a fini avec une offre de 71 millions de dollars pour Eto’o.

De toute façon la même source a assuré au journal sportif que Eto’o n’a même pas considéré la proposition du club russe. Cependant, le camerounais serait ouvert à un échange entre lui et Tevez.

Le Premier ministre tanzanien défend le projet d'extraction d'uranium

DAR ES-SALAAM (Xinhua) - Le Premier ministre tanzanien Mizengo Pinda a défendu le projet d'extraction d'uranium entrepris par la société Mantra Resources basée en Australie dans la réserve de Selous Game dans le sud-est de la Tanzanie, le qualifiant d'un un projet important pour booster l'économie du pays.
Le Premier ministre tanzanien défend le projet d'extraction d'uranium

Etat final : yellowcake

Le projet, dont le coût est estimé à 400 millions de dollars, va poursuivre avec l'approbation de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), a affirmé M. Pinda lors de la session hebdomadaire question-réponse organisée vendredi au parlement national à Dodoma, nouvelle capitale au centre de la Tanzanie.

Selon lui, le gouvernement tanzanien avait expliqué clairement à l'UNESCO l'importance du projet, disant qu'il ne va affecter seulement qu'une petite partie de ce site inscrit au patrimoine mondial, qui abrite un grand nombre d'éléphants, de guépards, de rhinocéros noirs et de crocodiles, ainsi que d'autres animaux sauvages.

Plus tôt cette année, le ministre tanzanien des Ressources naturelles et du Tourisme avait promis au comité du patrimoine mondial de l'UNESCO que le projet allait seulement affecter moins de 1% des cinq millions d'hectares du territoire de la réserve, la plus grande réserve en Afrique.

Le projet devrait être approuvé par l'UNESCO l'année prochaine sur la base d'une évaluation de l'impact environnemental et social faite par les experts.

Mantra et d'autres sociétés qui seront autorisées à exploiter les mines dans la réserve devraient gagner plus de 200 millions de dollars par ans et payer 5 millions au trésor d'Etat, selon les médias.

Alarmia met une nouvelle technologie au service de l’alarme et de la télésurveillance

Alarmia

Alarmia met une nouvelle technologie au service de l’alarme et de la télésurveillance


La marque d’alarme Alarmia présente les nouveaux dispositifs techniques dont elle équipe désormais ses systèmes d’alarme et de télésurveillance. Ces différents dispositifs ont tous pour objectif de simplifier l’alarme aux clients et de les rendre plus autonomes et indépendants dans le domaine de la protection de leurs biens, au meilleur prix. Les services de Télésurveillance sont disponibles à partir de 18,90 € / mois.

Pourquoi la marque d’alarme Alarmia a-t-elle décidé de mettre au point ces différents dispositifs ?

Tout d’abord, en dotant ses systèmes d’alarme et de télésurveillance de ces nouveautés, Alarmia a pour objectif de simplifier l’alarme à ses clients.

Ensuite Alarmia veut mettre l’alarme à la portée de tous en proposant une gestion et un contrôle plus facile du système.

Alarmia permet ainsi à ses clients de bénéficier d’un système d’alarme et de télésurveillance à la pointe de la technologie.

Le paramétrage en ligne, l’alerte email ou sms et l’installation des systèmes par les clients eux-mêmes transforment vraiment le monde de l’alarme. « Nos services de Télésurveillance comprennent les dernières évolutions des technologies de sécurité, comme le Paramétrage en ligne, l’Alerte email ou SMS à chaque événement en temps réel », commente la société Alarmia.

Comment ces différents dispositifs se mettent-ils en place ?

Alarmia offre désormais à ses clients une solution de sécurité complète, tout en leur donnant l’opportunité d’être plus autonomes et indépendants concernant le choix de leur système d’alarme et son installation. Pour permettre à ses clients d’installer eux même leurs systèmes, la société d’alarme Alarmia a mis au point des systèmes d’alarme et de télésurveillance sans fil pour une pose rapide et simplifiée. « Nous avons mis tout notre savoir faire au service de nos clients, pour leur permettre d’installer eux-mêmes leur système. Le matériel que nous proposons est intégralement sans-fil et Plug-and-Play, pour une installation simple et rapide en moins d'une heure », explique plus loin la société Alarmia.

Tous les systèmes d’alarme et de télésurveillance de la marque Alarmia sont composés d’une centrale d’alarme, qui est le cerveau du dispositif et des périphériques de détection. Pour fixer l’équipement qui compose le système d’alarme, les clients n’auront besoin que d’un tournevis et d’une perceuse. Comme les éléments sont tous sans fil, l’intégration du système d’alarme se fera en toute discrétion et ne gâchera rien de la décoration intérieure des habitations. Les périphériques disposent de la technologie Plug and Play, ce qui signifie qu’il suffit de les poser et de les activer pour qu’ils fonctionnent. Les efforts fournis par la société Alarmia pour mettre au point cette technologie permet à ses clients d’avoir un système d’alarme et de télésurveillance opérationnel en moins d’une heure. Tous les paramétrages du système se font en ligne avant l’installation elle-même.

Ensuite, toujours dans une volonté de faciliter l’alarme à ses clients et leur garantir une grande autonomie dans ce domaine, Alarmia enrichit désormais le contrôle de ses systèmes d’alarme et de télésurveillance d’un dispositif de paramétrage en ligne. Le paramétrage des systèmes d’alarme et de télésurveillance de la marque Alarmia se fait par l’intermédiaire du compte client Alarmia. Ceci veut dire que tous les réglages concernant le fonctionnement du système peuvent être effectués à distance depuis tout ordinateur ou téléphone équipé d’un accès internet. Les utilisateurs ne sont pas forcés de se tenir devant leur centrale d’alarme pour la régler. Depuis le compte client Alarmia, il est possible d’activer totalement ou partiellement le système d’alarme et de télésurveillance, mais aussi de le désactiver complètement pour l’adapter à votre vie dans la maison. En cas d’absence, l’activation totale du système met tous les détecteurs en alerte. Il est également possible d’opter pour une activation partielle si des occupants se trouvent dans l’habitation; que ce soit simplement pour surveiller les accès en journée ou encore sécuriser toute une partie de la maison la nuit. Ce dispositif de surveillance partielle est très utile pour prévenir du home hacking. Le home jacking concerne le cas dans lequel des cambrioleurs s’introduisent dans les habitations pour s’emparer par exemple des voitures en dérobant les clés à l’intérieur de la maison.

De plus, toujours depuis le compte client Alarmia il est possible de configurer d’autres dispositifs d’alarme comme l’attribution des codes d’utilisateur ou des télécommandes pour gérer le contrôle d’accès, de mettre en place des codes de détresse ou un mot de passe sous contrainte. Toutes ces dispositions et ces réglages, Alarmia permet maintenant à ses clients de les réaliser eux-mêmes depuis leur compte client, sans passer par le service clients.

Enfin, Alarmia a également mis au point l’alerte email ou sms qui avertit les personnes désignées de tout événement survenant sur le site protégé. Ce système d’alerte garantit à ses clients une information en temps réel et leur permet ainsi de toujours avoir un œil sur leur bien. Ce dispositif contribue à leur tranquillité lorsqu’il quitte leur domicile et leur simplifie la vie.


A propos d’Alarmia

Alarmia est une société française spécialisée dans la Télésurveillance et les matériels de sécurité pour particuliers et professionnels. L’entreprise, basée à Bordeaux, se consacre exclusivement à la sécurité. Alarmia distribue dès aujourd’hui tous ses nouveaux dispositifs dans toute la France via son internet http://www.alarmia.fr.

Le Mali perd 50 milliards de F CFA et 8 000 emplois à cause de la menace terroriste

BAMAKO (Xinhua) - Les menaces terroristes dans la bande sahélo-saharienne, depuis 2009, ont fait perdre à l’économie du Mali quelque 50 milliards F CFA et 8 000 emplois, selon une estimation officielle.
Le Mali perd 50 milliards de F CFA et 8 000 emplois à cause de la menace terroriste

Transports collectifs à Bamako

Cette indication a été donnée au cours de la réunion du Comité de défense présidé ce vendredi par le président Amadou Toumani Touré, en présence du Premier ministre, des membres du gouvernement, du Coordinateur du Programme Spécial de développement des Régions du Nord et des officiers généraux et officiers des différents corps des Forces armées et de sécurité du pays.

Les participants à cette rencontre ont dénoncé le «lynchage médiatique dont le Mali est victime» et qui a entraîné «la baisse notoire des recettes touristiques durant ces deux dernières années », selon un communiqué officiel.

Au cours la rencontre, le président Amadou Toumani Touré a insisté sur l'harmonisation des démarches et des stratégies ainsi que les approches en matière de sécurité et de développement du secteur touristique. Il a également souligné la nécessité d' intégrer dans les stratégies à définir contre les menaces terroristes dans la bande sahélo-saharienne la « dimension communication » afin de «mieux vendre la destination Mali».

Libye – Statut de Rome : Guerre mondiale à nos portes

Bombarder des villes en paix comme tripoli relève obligatoirement de crime contre l’humanité, de terrorisme, de barbarie. Les preuves photographiques circulent par centaines sur internet prouvant au monde entier et à la CPI que la résolution de 1973 est largement détournée de son objectif pour mener une véritable guerre barbare contre la Libye afin de tirer profit de ses richesses et renflouer les déficits colossaux des pays de l’Otan.

Jusqu’à parachuter des armes françaises aux rebelles, interdit par la résolution ; Armes que les rebelles disent ne jamais avoir reçu parce que l’un de ces groupes les a revendus à des mouvements islamistes. Et tenter de faire accoster un bateau du Katar au pavillon Tunisien, bourré d’armes Françaises destinées aux rebelles, mais intercepté par l’armée Libyenne qui a récupérer tout le chargement…

Ce sont trois chefs d’accusation : crime contre l’humanité, terrorisme et barbarie, que la majeure partie du monde lance contre Nicolas Sarkozy en tête suivis des principaux acteurs de l’Otan.

La CPI n’a plus aucun droit de légitimité dans de telles conditions, pour agir en soutient aux massacres de l’Otan, les nations ne peuvent plus faire confiance à cette soi-disant cour de justice qui enterre les condamnations envers les plus grands voyous sanguinaires de la planète pour de surcroît, les soutenir dans une vraie guerre de croisade contre le peuple Libyen, au mépris de toutes conventions de l’ONU et des résolutions de 1970 et 1973 méprisées à volonté. La CPI a très bien compris dès le début de l’action militaire qu’il s’agissait d’une croisade terroriste et barbare, mais a laissé faire. Et c’est pour tenter de cacher sa complicité envers la barbarie de l’OTAN que cette CPI diabolique a lancée un mandat d’arrêt contre le clan Kadhafi qui n’a jamais ordonné de massacrer des civils. Civils que la coalition de l’Otan décime par centaines.

Cependant la CPI a constaté que Sarkozy avait menti en annonçant 6000 civils tués par Kadhafi alors que l’enquête en a relevé 200 dont la plupart ont été tués par des insurgés armés, les autres par des dommages collatéraux de l’armée. Sarkosy en mettant toutes ces victimes sur le compte de Kadhafi et en ayant prit soins de les multiplier par 30 croit pouvoir tout se permettre jusqu’à terroriser sous des pluies de bombes des villes en paix comme Tripoli. Sarkosy ne doit pas savoir que c’est déjà un crime de sa part de faire peser sur quelqu’un des assassinats qu’il n’a pas commis. Le monde devrait se révolter contre l’Otan, ou le monde entier en subira les conséquences.

Ces faits-là sont définis par le statut de Rome [traité fondateur de la CPI] : Déclarant que ce sont des crimes de guerre dès lors que des bombardements sont effectués sur des objectifs situés à proximité des populations civiles, mettant celles-ci en danger ; Et particulièrement sur des villes en paix comme Tripoli, où les civils qui étaient en paix avant l’intervention du 19 mars se retrouvent terroriser et massacrer sous une pluie de bombes larguées par l’Otan sous le regard indifférent de la CPI.

L’exclusion aérienne était terminée le 24 mars. Alors que Sarkozy et jupé ne cesse de prendre le monde pour des imbéciles en vociférant toujours le même mensonge qui consiste à essayer de faire croire qu’ils protègent les civils, qu’ils livrent des armes aux rebelles pour protéger les civils. Livraisons d’armes de gros calibres avec canons, commencé début mars par la France à Benghazi, cachées dans un bateau de ravitaillement, avant même l’assaut de l’Otan. Livraisons poursuivis par la mer au centre de la Libye, par la frontière du Niger dans des camions, ensuite parachutés par hélicoptère, puis dans un bateau du Katar, toujours pour venir soi-disant au secours des civils dont le régime lybien assure la protection dans les villes en paix comme Tripoli.

Lorsque « François Fillon » déclare : « Nous ne voulons pas que Benghazi devienne Sébrénica », il ment aussi tout en omettant de dire que l’intervention de l’Otan a permis à Benghazi de devenir le même enfer que Sébrénica avec des épurations ethniques, lynchages, tortures et massacres commis par des insurgés, où affluent désormais de nombreux terroristes et où le CNT et les Islamistes radicaux et autres organisations islamiques se disputent âprement le pouvoir…

Mais la Libye est un Gâteau financier que l’Otan veut se partager sous le couvert d’innombrables mensonges. Pour preuves supplémentaires Kadhafi a proposé de nombreux et des élections transparentes refusées par l’Otan et les rebelles, il n’a jamais ordonné de massacrer son peuple ou de mitrailler des civils. Mais l’Otan a peur que Kadhafi reste le maître du pétrole Libyen en gagnant les élections.

La réalité est désormais évidente ! C’est que L’OTAN a crée le chaos dans toute la Libye, avec le même déchainement furieux et sauvage que le fureur Hitler l’avait fait pour tenter de conquérir l’Europe ; Menaçant de conduire à une guerre mondiale pouvant être nucléaire. Depuis le 19 Mars nous entendons sans cesse que kadhafi massacre son peuple, cette grossièreté guerrière n’est qu’un mensonge de Sarkosy, Jupé, reprise en cœur par les leaders de l’Otan, pendant que les insurgés préparent de frauduleux montages filmés en toutes occasions pour soutenir leurs mensonges. Ils ya eu bien moins de dommages collatéraux découlant de l’armée libyenne que les bombardements de l’Otan qui ont fait des villes libyennes en paix un champ de ruine, un tas de gravât de nombreux bâtiments publics, écoles, magasins, usines de fabrique non militaire, administrations, musés etc. avec des centaines de civils tués et blessés et les casernes dans lesquelles Sarkosy demandaient aux soldats Libyens de rentrer pendant qu’elles étaient toutes bombardées. Preuve supplémentaire d’une folie meurtrière.

Chaque bombardement de l’Otan sur la Libye ne manquera pas de se traduire contre les pays de cette alliance par d’innombrables calamités conséquentes au fur et à mesure que le grand ordinateur cosmique fera le « scan » de la planète। Qui prend les armes pour une croisade périra par les armes ou les foudres du ciel tôt ou tard.

donnetonavis.fr/

Gabon : Maintien des législatives 2011 pour boycotter la CAN ?


La société a adressé une lettre ouverte, le 28 juillet, à la Fédération international de football association (FIFA) et à la Confédération africaine de football (CAF), dans laquelle elle exprime ses inquiétudes sur l’état d’avancement des chantiers de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2012, à cinq mois du début de cette compétition. Dans ce courrier, publié in extenso, la société civile alerte également qu’«Ali Bongo et le Parti démocratique gabonais au pouvoir ont décidé de "boycotter" la réussite de la CAN au Gabon» en organisant «les élections législatives dont la décision est déjà contestée par l’opposition et la société civile sans garantie de transparence un mois avant le coup d’envoi des compétitions avec les promesses de contestations politiques qui risquent de démobiliser les populations de cette grande messe du football africain».
© D.R.
Lettre ouverte de la société civile gabonaise

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Fédération International de Football Association (FIFA)

Confédération Africaine de Football (CAF)



En tant qu’acteurs de la vie socio-politique gabonaise, nous croyons qu’il est de notre devoir de vous écrire pour attirer votre attention sur une préoccupation qui ne saurait être ignorée quant à vos attentes de la réussite de l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nation (CAN) en terres gabonaise et équato-guinéenne en janvier 2012.

Lorsque vous attribuez l’organisation de la CAN, vous avez le souci, sinon, la conviction que cet événement soit une occasion, pour les pays organisateurs, de renouveler les infrastructures sportives, d’en construire des nouvelles, de bâtir un cadre d’hébergement et de restauration des visiteurs adéquats. Vous vous attendez également à la mise en place d’un système de transport viable et fiable pour le déplacement des équipes, de leur délégation et supporteurs et de tous ceux qui doivent venir vivre cet événement d’importance. Vous escomptez y trouver une cohésion nationale et une paix sociopolitique qui offrent un contexte d’accueil et de sécurité propice à un événement de cette importance.

Quand l’État gabonais et l’État équato-guinéen avaient présenté en 2006 leur candidature de l’organisation de la CAN en 2010, vous avez refusé de leur accorder la tenue de l’organisation des jeux en 2010, préférant les attribuer à l’Angola qui présentait une promesse plus adéquate du respect des exigences des cahiers de charge de cet événement. Dans votre décision, vous vouliez laisser plus de temps aux deux pays de disposer des infrastructures sportives, hôtelières, de transport et de sécurité conséquentes.

Tout indique, que pour ce qui est de la partie équato-guinéenne de l’organisation de la CAN, vos attentes seront satisfaites. Nous avons par contre le regret de constater que la partie gabonaise ne semble pas mesurer l’importance de l’événement, contrairement à ce que ses autorités pourront déclarer à cette fin.

A cinq (5) mois de l’échéance de la CAN 2012, le Gabon est à la traîne concernant la construction des stades et autres hôtels pour loger les délégations. A ce jour, aucune installation sportive n’est prête, nous ne savons pas par quel moyen de transport les supporters vont se rendre à Franceville au regard de l’état de vétusté du chemin de fer et du piteux état de la route à moins qu’on ait opté pour l’avion avec le coût que cela comporte.

De plus, au-delà des retards considérables pris dans la construction des installations sportives devant abriter les matches de la compétition et même l’absence patente des infrastructures hôtelières adéquates, Ali Bongo et le Parti démocratique gabonais au pouvoir ont décidé de «boycotter» la réussite de la CAN au Gabon. Ils ont notamment décidé d’organiser les élections législatives dont la décision est déjà contestée par l’opposition et la société civile sans garantie de transparence un mois avant le coup d’envoi des compétitions avec les promesses de contestations politiques qui risquent de démobiliser les populations de cette grande messe du football africain.

L’entêtement du gouvernement pour organiser ces élections sans les garanties de transparence supplémentaires favorise un climat de tension politique grave. À cinq mois de cet événement d’importance, le pays est dépourvu de couleurs, de symboles et de la mobilisation des populations illustrant l’intérêt manifeste pour cet événement. Rien dans les médias d’État, dans la ville, dans la vie des Gabonais n’indique que la CAN se tiendra au Gabon dans cinq moins.

Au moment où tous les Gabonais attendent que le Chef de l’État en appelle à une union sacrée de toutes les forces vives de la nation autour de la réussite de cette compétition, la première en Afrique centrale depuis 1972, c’est «une boule puante» que constitue les prochaines consultations électorales qu’on lance sur la CAN.

Depuis l’élection présidentielle anticipée d’août 2009, le pays traverse une crise politique latente qui, à l’occasion, entraîne des manifestations sporadiques. Malgré l’accalmie apparente, il couve dans les chaumières du pays une frustration et une colère qui n’attendent qu’une occasion propice pour se manifester.

Il y a une douzaine de jours, un membre du Conseil Économique et social a pris sur lui de sacrifier sa vie en observant une grève de la faim pour manifester son mécontentement de la gouvernance de notre pays et des accords qui lient le Gabon à la France. Les autorités policières et sanitaires ont été contraintes d’intervenir pour éviter que le pire n’arrive à ce compatriote. Ce sont là des nouvelles et des faits qui ne sont pas de nature à offrir la garantie de mobilisation pour la tenue de la CAN au Gabon. Si les délais de livraison des infrastructures sportives ne sont pas respectés, seule une mobilisation du peuple pour cet événement constitue un gage de réussite. Nous pensons que le report de ces consultations électorales après la CAN est nécessaire et présente à nos yeux la seule alternative pour la réussite de cet événement.

Lors de la tenue de la CAN en Angola, alors même que des avertissements d’un certain manque de sécurité des délégations sportives vous avaient été adressés, on a déploré l’assassinat d’un joueur de la délégation togolaise. Faut-il rappeler que le climat politique qui prévalait en ce moment-là en Angola était plus adéquat que celui régnera au Gabon dans quelques semaines.

Il n’est pas dans l’intérêt économique de la FIFA ou de la CAF d’organiser une compétition internationale du calibre de la CAN dans un climat de conflits politiques ou sociaux. Déjà, En plus de ses incapacités à honorer dans les délais raisonnables le cahier des charges de la Confédération Africaine de Football (CAF), on parle également avec insistance des retombées économiques qui risquent de ne pas combler les attentes. Si en plus de cela, il fallait que les populations se détournent de la CAN au Gabon, la situation n’est pas de nature à encourager des gains ou donner une image favorable de la CAN sur le plan international.

Nous sommes d’avis qu’il serait de bons conseils de demander aux autorités politiques gabonaises de reporter la tenue des élections législatives après la CAN. Un tel report devant leur permettre de donner de meilleurs gages de sécurité à la tenue des compétitions.

Nous savons qu’une condition de l’attribution de l’organisation de la CAN est la garantie de sécurité de tous les participants et l’engouement des populations des pays hôtes pour la tenue des compétitions. Vous avez le devoir d’exiger de l’État gabonais qu’ils préservent un climat de paix politique et de sécurité pendant toute la durée des compétitions et bien au-delà.

Messieurs les Présidents, nous savons que vous êtes déjà au courant de certains faits qui vous sont déclinés dans notre correspondance et que vous vous êtes assurés auprès des autorités gabonaises de certaines garanties. Nous vous prions cependant d’aller au-delà de ces garanties pour vous assurer que vous ne tomberez pas dans une duperie.

En espérant que notre lettre trouvera auprès de votre bienveillante attention l’examen soutenu qu’il faut, nous vous prions d’accepter, Messieurs les Présidents, l’expression de haute considération।
letempsdz.com

Klinsmann nommé sélectionneur des Etats-Unis

Klinsmann, un grand coach après avoir été un grand joueur. [Thomas Kienzle - Keystone]
Klinsmann, un grand coach après avoir été un grand joueur. [Thomas Kienzle - Keystone]
Après avoir emmené l'Allemagne en demi-finale de la Coupe du Monde 2006, Jürgen Klinsmann démarre une nouvelle aventure à la tête des Etats-Unis. Il succède à Bob Bradley, démis de ses fonctions. Le Paraguay change également d'entraîneur.

Thierry Henry très, très agacé par les questions d'un journaliste

Puremedias by Ozap
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Exilé aux Etats-Unis où il joue depuis l'an passé, Thierry Henry a visiblement du mal à supporter les journalistes français et les questions. Un journaliste du 10 Sport en a fait l'amère expérience à l'issue d'un match du joueur.

La scène a été filmée et mise en ligne par l'hebdomadaire : on voit le champion agacé dès la première question des Français alors qu'il vient de terminer de répondre à des médias américains. D'abord interrogé sur sa préparation physique, il répond : "Je l'ai déjà dix mille fois". Rebelote quand on le questionne sur sa nouvelle vie à New York : "J'ai déjà répondu à ça plein de fois. C'est la cinquantième fois qu'on me pose la question. C'est très bien". Coup de grâce quand un journaliste tente de l'interroger - avec le sourire pourtant - sur son nouveau look et sa nouvelle barbe : "Ce sont des questions que vous me posez, sérieux ? La saison sera longue..." répond alors Thierry Henry avant de quitter précipitemment les micros.

Mais l'épisode ne s'arrête pas là et le journaliste du 10 Sport a choisi de continuer à filmer la conversation qu'il a ensuite eue avec Thierry Henry. Beaucoup plus calme et cordial, le footballeur explique alors qu'il est agacé de ne plus être interrogé sur ses performances sportives.

Les maisons les plus chères du monde

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Une chasse d’eau qui fuit sans arrêt, du papier-peint qui se décolle des murs et une moquette qui sent les pieds, c’est ce qu’on peut appeler un taudis. Et vous méritez ce qu’il y a de mieux, oui. Mais pour ça, il faut y mettre le prix. Et de l'argent, il vous faudra beaucoup pour rivaliser avec les 10 maisons les plus chères du monde (en 2011).

1. Antilia, Bombay (Inde) – $1 milliard : Mukesh Ambani est connu pour avoir le portefeuille le plus garni d’Inde. Du coup, une gigantesque tour de 27 étages avec environ 37 000 mètres carrés habitables n’est pas vraiment au dessus de ses moyens. 600 employés sont nécessaires (oui) pour entretenir la maison et veiller au bonheur de toute la petite famille (seulement 5 personnes).

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Crédits photo (creative commons) : Jhariani

2. Villa Leopolda, Villefranche-sur-Mer (France) – $525 millions : construite en 1902 par le roi Léopold II de Belgique, cette luxueuse villa appartient désormais à l’épouse d’Edmond Safra, richissime homme d’affaire libanais. 50 jardiniers sont nécessaires pour entretenir les 8 hectares de propriété.

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Crédits photo (creative commons) : Miniwark

3. The Penthouse One Hyde Park, Londres (Angleterre) – $200 millions : situé en plein coeur de Londres, ce tout récent complexe résidentiel de 35800 m2 est composé de 86 appartements de luxe. Prix de départ : un petit $10 millions. Le loft plus cher (avec 6 chambres) a été vendu pour la modique somme de $200 millions.

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Source photo : One Hyde Park

4. Fairfield Pond, Southampton (Etats-Unis) – $198 millions : il s’agit de la maison la plus chère des Etats-Unis, elle appartient à l’homme d’affaires Ira Rennert. En chiffres : 10,000 m2 de surface habitable, 39 salles de bain ... mais seulement 29 chambres.

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Crédits photo (creative commons) : Cfijames

5. Hearst-Davies Mansion, Berverly Hills (Etats-Unis) – $95 millions : cette maison (de 29 chambres et 3 piscines) est célèbre pour avoir servi de décor au film « Le Parrain » (scène de la tête de cheval). Pour cette coquette somme, vous aurez comme voisins les couples Tom Cruise / Katie Holmes ainsi que les Beckham’s.

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Source photo : Hilton Hyland

6. Elena Franchuk Villa, Londres (Angleterre) – $161 millions de dollars : cette maison londonienne comporte une dizaine de chambres « villa », en plus du traditionnel combo théâtre-piscine-sauna-salle de gymnastique.

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Source photo : most expensive things

7. Aaron Spelling’s Manor, Los Angeles (Etats-Unis) – $150 millions : 123 chambres, bowling, patinoire, piscines et courts de tennis répartis dans 56 000 mètres carrés. Parfait pour ceux qui ont toujours voulu faire partie d’une sitcom américaine des années 90.

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Crédits photo (creative commons) : wikipedia.org

8. Hala Ranch, Aspen (Etats-Unis) – $135 millions : terrains de tennis, écuries ou encore pistes de ski privées, rien n’est trop beau, ni exagéré pour se sentir bien chez soi. Le Hala Ranch comporte aussi une station service et une station d’épuration. De quoi créer un coup de coeur.

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Source photo : tiptoptens

9. Updown Court, Windlesham (Angleterre) – $116 millions : 22 salles de bains parsemées d’or (la moindre des choses), 5 piscines et un bowling. Pour habiter dans ce palace situé au sud de l’Angleterre, il vous faudra débourser un sacré paquet d'argent.

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Source photo (creative commons) : wikipedia.org

10. Château de Bran (château de Dracula), Brasov (Roumanie) – $80 millions : ce monument national, de 57 chambres, s’est retrouvé sur le marché de l’immobilier il y a 4 ans. Pas de vis-à-vis mais environ plusieurs milliers de touristes chaque année. C’est sûr, c’est vivant.

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Source photo (creative commons) : wikipedia.org

A la Une : les « démocraties émergentes » d'Afrique à l'honneur à la Maison Blanche

Par rfi.fr

Ils seront quatre chefs d'Etat de l'Afrique noire francophone à être reçus ce vendredi par le président américain Barack Obama : le Béninois Boni Yayi, le Guinéen Alpha Condé, le Nigérien Mahamadou Issoufou et l’Ivoirien Alassane Ouattara. Quatre personnalités représentatives de leur époque aux yeux du site d'information Fasozine qui écrit à leur propos : « Le quatuor (...) reflète, tout bien pensé, une certaine réalité, mais surtout une certaine idée de la gouvernance politique. Choisis avec minutie, les pays représentés à ce conclave (...) font partie du cercle de ce que l’on appelle les démocraties émergentes ».

Et au sujet cette fois de leur hôte, pour le site burkinabé, Barack Obama reste fidèle au cap qu'il avait lui même fixé en 2008 à Accra, capitale du Ghana, quand il avait jugé que «l’Afrique n’a pas besoin d’homme forts, mais d’institutions fortes».

Fasozine note au passage que sur les quatre distingués dans la capitale des Etats-Unis, trois ont des parcours politiques très comparables : Issoufou, Condé et Ouattara font figure de « vétérans de la politique africaine ». Ces trois nouveaux élus ont décroché leur Graal après avoir été des opposants historiques aux régimes de leurs pays respectifs.
Pour le site du Burkina Faso, ils « bénéficient déjà de la prime à la démocratie version Obama, qui les reçoit à la Maison Blanche seulement quelques mois après leur accession au pouvoir ».

Cerise sur le gâteau

Parmi les trois, il y a donc le numéro un ivoirien : Alassane Ouattara dont la présence à la Maison Blanche est saluée par le quotidien de son pays le Patriote : « Ce sera à la fois l’instant le plus solennel et la cerise sur le gâteau de sa visite au pays de l’Oncle Sam ». Le Patriote rappelle que ce sera d'ailleurs la première d'un président ivoirien depuis Houphouët-Boigny sous Kennedy.

Le site Afrik.com, lui, revient sur l'engagement pris par Alassane Ouattara à l’ONU, à New York : il s'est engagé à poursuivre tous les auteurs de crimes perpétrés en Côte d’Ivoire, « spécialement dans la partie ouest du pays », « sans exception », et annoncé que l’ancien chef de l’Etat Laurent Gbagbo serait jugé par un tribunal ivoirien pour « ses crimes économiques ».

L'inquiétude est grande dans le monde des médias, et de façon générale chez les défenseurs des valeurs démocratiques, après l'interdiction prise à Conakry d'évoquer la tentative d'attentat contre le président Condé, il y a une dizaine de jours.
Au Burkina Faso, le journal le Pays relaie cette inquiétude quand il écrit : « Cette tentative d’assassinat dont on attend de connaître les tenants et les aboutissants est révélatrice du fait que les vieux réflexes de l’ancien régime sont omniprésents et n’attendent que la bonne occasion pour se manifester. Ces vieux réflexes sont au cœur du système actuel en voie de démocratisation. Une seule élection, réussie difficilement d’ailleurs, ne permet pas aujourd’hui de dire que la Guinée est un pays démocratique. C’est un pays en transition et qui peut basculer à tout moment, si l’on n’y prend garde ».

A quoi joue Alpha Condé ?

Le ton est le même, mais avec encore plus de virulence, dans les colonnes du Monde : le journal français se demande si le président Condé, « un homme qui tarde à combler les espoirs placés en lui », est « un démocrate sincère, ou bien un autocrate en puissance, un de plus sur un continent qui n'en compte que trop ? ».
L'éditorialiste du Monde recense tous les indicateurs qui sont en train de passer au rouge en Guinée : atteinte à la liberté d'expression, absence de dialogue avec l'opposition, tergiversations sur le calendrier électoral...
Conclusion de ce commentaire : « C'est grave, parce que l'élection de M. Condé était un message pour toute l'Afrique : même dans un pays martyr il n'y a pas de fatalité au malheur. A Conakry, ils sont nombreux à vouloir encore le croire ».

Une partie de la presse revient sur la mort d'un général libyen qui s'était rallié à la rébellion : le général Abdel Fatah Younès, responsable du régime du colonel Kadhafi avant de rejoindre les insurgés en guerre contre ce régime depuis presque six mois.
Il vient de mourir assassiné à Benghazi dans des circonstances encore floues. En Algérie, le journal el Watan rapporte que le général Younès a été tué par un groupe d'hommes armés après avoir été convoqué pour un interrogatoire à Benghazi, et que deux colonels de l'armée rebelle ont été tués en même temps que lui.
Quant aux autorités du Conseil national de transition, elles ont rejeté indirectement la mort de Younès sur les forces loyales au régime de Mouammar Kadhafi.

Africajarc

Terminons par un détour à Cajarc, dans le sud de la France, qui accueille le festival Africajarc. C’est un reporter du quotidien français Libération qui s'est rendu dans cette localité de Midi-Pyrénées. Elle devient, le temps d'un week-end, « la place forte de la scène africaine ».
Pendant trois jours, Cajarc va offrir aux touristes « un supplément d'exotisme » car l'Afrique débarque à travers ses artistes : les Staff Benda Bellili, Femi Kutti, Omar Pene, tous bien connus des amateurs de world music. Et à leurs cotés, comme à chaque fois, toute une ambiance dans laquelle vont baigner non seulement les touristes mais une population, « du maire au marchand de journaux » : à lire dans Libé, l'un de ces journaux…

Dette américaine: le Sénat va agir pour un vote ce week-end

WASHINGTON - Le chef de la majorité démocrate du Sénat américain, Harry Reid, a indiqué vendredi qu'il allait prendre les mesures nécessaires pour obtenir un vote sur un texte de compromis afin de relever le plafond de la dette et éviter un défaut de paiement des Etats-Unis.

C'est probablement notre dernière chance de sauver ce pays du défaut de paiement, a déclaré M. Reid.

Concrètement, M. Reid devrait décider la fin des débats afin de provoquer un premier vote procédural, qui pourrait intervenir vers 01H00 dimanche (05HGMT), sur un projet élaboré par ses soins.

Un second vote interviendrait ensuite lundi à 07H30 (11H30 GMT), avant un passage final mardi, date-butoir après laquelle les Etats-Unis seront en défaut de paiement, a indiqué un responsable démocrate.

Jeudi soir, la Chambre des représentants, où les adversaires républicains du président Barack Obama sont majoritaires, a reporté le vote sur un plan de relèvement du plafond de la dette, le président de l'assemblée John Boehner n'ayant apparemment pas réussi à rassembler ses troupes derrière son texte.

Des semaines de discussions n'ont jusqu'ici pas suffi pour trouver un accord sur un plan de réduction des déficits accompagné d'un relèvement du plafond de la dette, qui a atteint à la mi-mai sa limite fixée par la loi de 14.294 milliards de dollars, soit presque 100% du PIB.

Après le 2 août, les Etats-Unis perdront leur capacité d'emprunt et risqueront un défaut de paiement aux conséquences catastrophiques, selon le Trésor.


(©AFP

Vaste manifestation "unitaire" au Caire dominée par les islamistes

© AFP Des Egyptiens réunis sur place Tahrir, au Caire, le 29 juillet 2011
© AFP Khaled Desouki

LE CAIRE (AFP) - (AFP) - Des dizaines de milliers de personnes participaient vendredi à une manifestation dominée par des groupes islamistes sur la place Tahrir au Caire, en signe d'unité sur fond de fragile transition politique après la chute en février du président Hosni Moubarak.

Des milliers de protestataires s'étaient déjà regroupés dans la nuit et dans la matinée en vue de ce rassemblement officiellement prévu après la prière hebdomadaire musulmane à la mi-journée. Certains scandaient des slogans en faveur de l'instauration d'un "Etat islamique".

Cette manifestation, à l'appel des puissants Frères musulmans, alliés à divers groupes musulmans fondamentalistes, faisait craindre des heurts avec les militants des organisations laïques qui campent sur la célèbre place Tahrir du Caire depuis le 8 juillet.

La semaine dernière, les islamistes avaient mis sur pied leur propre défilé, accusant les contestataires laïques d'aller à l'encontre de "l'identité islamique" de l'Egypte.

Mais après deux jours de négociations, laïcs et islamistes ont convenu de laisser de côté leurs dissensions pour sauver les idéaux de la révolte populaire de janvier-février qui avait abouti au départ de M. Moubarak.

Debout sur les podiums montés autour de la place, les orateurs ont exhorté au partenariat et à l'unité, mais la foule appelait l'Egypte à "mettre en oeuvre la loi de Dieu".

Dans l'après-midi, des centaines de personnes tentaient toujours de se frayer un chemin vers le centre de la place Tahrir, sous une chaleur étouffante.

Signe de tensions, des centaines de protestataires se sont rués vers l'extérieur de la place en criant et causant un mouvement de panique momentané, pour revenir plus tard et constater que rien ne s'était passé.

"Ne vous inquiétez pas, les gens scandaient Allah Akbar ! (Dieu est le plus grand !)" et l'intensité des cris a pu effrayer certaines personnes et laisser croire que quelque chose s'était passé, a expliqué un des manifestants.

Au moins 15 partis et autres formations politiques prenaient part au rassemblement. Parmi leurs revendications, figurent la fin des procès militaires de civils, la comparution des dignitaires de l'ancien régime et la redistribution des richesses.

Depuis le 8 juillet, des protestataires, en majorité laïques - les islamistes ayant refusé jusqu'à présent de participer aux sit-in - occupent la place Tahrir, épicentre de la contestation, pour dénoncer la lenteur des réformes promises par l'armée au pouvoir. Les militaires sont également accusés de violations des droits de l'Homme et de recourir aux méthodes de l'époque Moubarak pour écarter les opposants.

Les groupes islamistes avaient, de manière générale, gardé leurs distances vis-à-vis du sit-in et avaient récemment organisé leur propre manifestation, reprochant aux contestataires campant place Tahrir d'aller à l'encontre de l'"identité islamique" de l'Egypte.

La semaine dernière, l'armée avait accusé le mouvement du 6 avril (les militants pour la démocratie) de "diviser le peuple et l'armée". Le Conseil suprême des forces armées (CSFA) avait en outre appelé "le peuple à la vigilance et à ne pas tomber dans le complot suspect visant à miner la stabilité de l'Egypte".

Le maréchal Hussein Tantaoui, à la tête du CSFA, qui tient les rênes du pays, a promis de mettre en place les "piliers d'un Etat démocratique défenseur de la liberté et des droits de ses citoyens".

Des législatives ont été annoncées pour l'automne et elles doivent être suivies de la rédaction d'une nouvelle Constitution et d'une élection présidentielle.

Prendre du poids: plus dangereux pour les Asiatiques du Sud que les Blancs


Des Indiens marchent dans une

WASHINGTON — Prendre du poids peut s'avérer plus dangereux pour les populations originaires du sud-est asiatique que pour les Blancs, car la graisse a tendance à s'accumuler chez eux dans le foie et non sous la peau, selon une étude réalisée au Canada et publiée jeudi.

La principale différence entre les Blancs et les personnes originaires d'Asie du Sud-Est a trait à la quantité d'espace dont le corps dispose pour stocker les graisses, et aux endroits où ces graisses s'emmagasinent, explique Sonia Anand, principal auteur de cette étude publiée dans la version en ligne du journal PLoS One.

"Les Asiatiques du Sud ont moins d'espace pour stocker la graisse sous la peau que les Blancs", explique cette professeur de médecine et épidémiologiste à l'Université McMaster.

"Leur excès de graisse se retrouve en conséquence dans des réceptacles non prévus à cet effet dans l'abdomen et dans le foie, dont le fonctionnement risque d'en être affecté", explique-t-elle.

Si la graisse excédentaire se fixe dans ces organes, elle peut provoquer de hauts niveaux de glucose et de lipides, facteurs de risque de maladies cardiovasculaires.

Cela signifie que certains Asiatiques du Sud dont le rapport poids/taille --ou indice de masse corporelle (IMC)-- serait considéré comme normal pour des Blancs nécessitent une surveillance accrue des risques de diabète ou de maladies cardiovasculaires, par exemple.

Cette étude a été menée au Canada auprès de 108 personnes au total, pour partie des immigrés de la première ou de la deuxième génération originaires d'Inde, du Pakistan, du Sri Lanka et du Bangladesh. Le reste de l'échantillon était constitué de Blancs dont les ancêtres étaient originaires d'Europe.

"Des personnes originaires d'Asie du Sud-Est qui sont jeunes et apparemment en bonne santé présentent plus de troubles métaboliques que les Blancs, dont le métabolisme a tendance à changer lorsqu'ils atteignent un certain niveau d'obésité ou un certain âge", explique l'étude.

Copyright © 2011 AFP. Tous droits réservés

Vaucluse : un bébé de 7 mois découvert dans les bras de sa mère morte

Les gendarmes venaient annoncer à cette maman qu'ils avaient retrouvé son fils fugueur de 13 ans. Ils l'ont retrouvée morte avec son bébé de quelques mois, inconscient. Elle aurait pu succimber à une crise cardiaque.

Image d'archives.Image d'archives.

Ils étaient venus l'informer que son fils fugueur de 13 ans avait été retrouvé. A la place les trois gendarmes de la brigade d'Apt ont découvert la mère morte, avec dans ses bras son nourrisson de sept mois. Les agents, ne parvenant pas à joindre cette jeune femme de 35 ans pour la prévenir que son fils avait été récupéré par la police à Marseille, se sont rendus à son domicile, à Rustrel dans le Vaucluse, où ils ont trouvé porte close.

Ils se sont aperçus que la porte vitrée était fermée de l'intérieur, avec les clés sur la serrure. Inquiets, les trois gendarmes "ont pris une échelle pour regarder ce qui se passait à l'étage et ont vu, à travers la fenêtre, la dame allongée sur son lit". Ils ont aussitôt forcé la porte et sont montés au premier étage où ils n'ont pu que constater son décès, avec son bébé inconscient à ses côtés.

"Aucun élément suspect" révélé

En état de déshydratation avancée, le nourrisson a été transporté à l'hôpital d'Avignon en urgence. Ses jours ne sont pas en danger, mais il est encore hospitalisé, précisent le capitaine de gendarmerie Claude Fichot. Selon le parquet d'Avignon, la date du décès n'a pas pu être déterminée, mais il ne remonterait vraisemblablement pas à plusieurs jours.

L'autopsie pratiquée jeudi "n'a révélé aucun élément suspect", toujours selon la même source qui a donc écarté la piste criminelle. "Il est possible que ce soit une crise cardiaque. Des expertises toxicologiques sont en cours pour regarder s'il y avait quelque chose au niveau médicamenteux ou autre", a-t-il ajouté। L'enfant de 13 ans a lui été placé auprès de sa tante.

lci.tf1.fr

Dernière sortie des avions norvégiens en Libye samedi

BRUXELLES - L'aviation norvégienne effectuera sa dernière mission de combat en Libye samedi, deux jours avant la fin officielle de sa participation à l'opération aérienne dirigée par l'Otan contre les forces du régime du colonel Kadhafi, a indiqué vendredi un responsable de l'alliance.

La Norvège, l'un des huit pays de l'Otan à avoir pris part depuis quatre mois à l'opération Protecteur unifié, a été le premier à annoncer une date finale pour sa participation, la fixant le mois dernier au 1er août.

Dans les faits, le dernier appareil norvégien effectuera sa sortie le 30 juillet, a déclaré vendredi à l'AFP ce responsable s'exprimant sous le couvert de l'anonymat.

Nous apprécions et respectons les décisions de tous les pays qui ont apporté ce qu'ils pouvaient à la mission, a-t-il ajouté. La Norvège a pris sa part, mais finalement, la mission continue sans elle, a souligné ce responsable à Bruxelles.

Un porte-parole militaire norvégien, le colonel Petter Lindqvist, a refusé de confirmer que la sortie de samedi serait la dernière.

Nous redéployons notre mission le 1er août. Le moment précis de la dernière sortie ne sera pas rendu public pour des raisons de sécurité. Elle aura lieu dans les prochains jours, a dit M. Lindqvist à l'AFP.

La Norvège avait initialement déployé six chasseurs F-16 dans le cadre de l'opération de l'Otan, avant de réduire son engagement à quatre chasseurs en juin. Oslo avait expliqué que sa force aérienne, à la capacité limitée, l'empêchait de poursuivre un engagement aussi important sur une longue période.

Seuls huit des 28 Etats membres de l'Alliance atlantique ont participé aux bombardements destinés à protéger les populations civiles des attaques des forces fidèles au dirigeant libyen Mouammar Kadhafi depuis que l'Otan a pris les commandes de l'opération le 31 mars: La Norvège, le Royaume-Uni, la France, le Canada, la Belgique, le Danemark, l'Italie et les Etats-Unis.

Londres a renforcé sa contribution en ajoutant quatre chasseurs Tornado à ses forces impliquées en Libye, compensant dans les faits le retrait des avions norvégiens.

Selon l'Otan, le départ des chasseurs norvégiens n'affectera pas le rythme de l'opération aérienne. Actuellement, les chasseurs effectuent plus de 100 sorties par jour, dont une cinquantaine ont pour but de frapper des cibles.

La Norvège, touchée la semaine dernière par un double attentat dans le centre d'Oslo et sur l'île d'Utoya, maintiendra 10 officiers au centre de commandement aérien de l'Otan en Italie.


(©AF

Claude Guéant, l'intermédiaire secret entre un marchand d'armes libyen et l'Elysée?


Copyright Reuters
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Dans sa série de révélations sur les liens opaques entre l'Elysée et la Libye, Mediapart met cette fois-ci en cause Claude Guéant, le ministre de l'Intérieur. Le site n'hésite pas à présenter l'ancien secrétaire général de l'Elysée comme "le pivot des deals financiers de la France avec le dictateur libyen Kadhafi" et ce, par le biais du marchand d'armes libyen Ziad Takieddine.

Le marchand d'armes libyens Ziad Takieddine, suspect numéro un dans le volet financier de l'affaire Karachi aurait, selon Mediapart, été en contact avec Claude Guéant, lorsque ce dernier était directeur de cabinet du ministre de l'intérieur, puis secrétaire général de l'Elysée. Tout en se demandant jusqu'où est allé l'actuel ministre de l'Intérieur avec le marchand d'armes, le site, notes confidentielles à l'appui, affirme que les deux hommes ont été "le pivot des deals financiers de la France avec le dictateur libyen Mouammar Kadhafi, de 2005 à 2007".

Plus précisement, le site affirme que c'est par l'intermédiaire de Claude Guéant que Ziad Takeddine a pu obtenir 4,5 millions d'euros de commissions occultes en avril 2007, à un mois de l'élection présidentielle française. Entre autres. En servant ainsi d'intermédiaire à plusieurs reprises, Claude Guéant se serait vu promettre "un contrôle total sur les futurs marchés signés en Libye", poursuit le site.

"Ces faits engagent bien évidemment la responsabilité de l'ancien ministre de l'intérieur et actuel président de la République, Nicolas Sarkozy, sous le couvert duquel ces agissements ont été opérés", lit-on encore. L'Elysée n'a pas souhaité répondre aux questions de nos confrères.

.latribune.fr

L'UMP veut censurer le rap français ! Un député UMP stigmatise les "rappeurs issus de l'immigration"

Définitivement, l'UMP et les rappeurs français ne feront jamais bon ménage. Le député Michel Raison, élu des Haute Saône, lors des questions au gouvernement de ce mardi a interpellé le ministre de la culture avec une analyse qui reprend voir dépasse les thèses du Front National... Celui-ci souhaitait 'attirer' l'attention du gouvernement "sur les chansons écrites par certains groupes de musique rap issus de l'immigration". L'élu de Haute-Saône estime en effet que "sous couvert de liberté d'expression", "ces groupes se livrent à de véritables appels à la haine raciale et religieuse en proférant des paroles obscènes, racistes et misogynes". Il demande donc au ministère de la Culture "les mesures qui ont été prises pour censurer ces chansons et mieux contrôler la diffusion de certaines oeuvres musicales"...

En s'exprimant à la tribune de notre parlement, Michel Raison, prend acte et signe une fois de plus une stigmatisation par un élu de la république d'une tranche de la population. Nous avions eu le droit aux "rappeurs anti-blanc" quand le député François Grodidier en 1995 s'était fait remarquer par le grand public en portant plainte contre plusieurs groupes tel que le 113, Sniper, Ministere Amer pour appel au racisme anti-français et anti-blanc. Il y a eu la stigmatisation des "rappeurs anti-républicains" menaçant les forces de police... comme NTM et La Rumeur dont les membres ont été victimes d'une procédure de plus de 8 ans qui a vu le déboutage du ministère de l'intérieur, représenté à l'époque par Nicolas Sarkozy. En Juillet 2011, nous avons le droit à la menace "des groupes de rap issus de l'immigration" qui par leurs textes appellent à la haine raciale et religieuse ! ( d'ailleurs le documentaire "Rimes et Chatiments" met parfaitement en lumière ces faits)

"Comme chaque été" (petit clin d'oeil au morceau de Fat Cap ft Joeystarr ! ), le rap français a le droit à sa boule puante, souvent balancée par un député en manque de notoriété et qui a pour unique but de le faire remarquer au sein de la cour de l'élysée. Ces élus profitent donc du désert politique de la saison estivale pour occuper un espace médiatique nécessaire à leur réélection et satisfaire au passage leur soutien politique locaux à tendance extrême. Il apparait clair que le député Michel Raison n'a surement pas décortiqué les textes de rap avant sa plaidoirie à l'assemblée, d'autres s'en chargent et remontent l'information en la publiant sur internet (comme le site Francais de Souche).

Ces offensives envers les rappeurs se succèdent depuis le début des années 90. Le paroxisme de ces attaques ,souvent orchestrées de plus haut, est que dans quasiment 100 % des cas, ces plaintes, sont vouées à l'échec. Le plus étonnant, est que malgré ces débâcles judiciaires, l'UMP revient à la charge de manière récurrente sur le rap français afin de le faire taire. Au delà des effets d'annonces et des nominations de personnalités dites de "la diversité", l'UMP combat autant que le FN , les artistes exprimants dans leurs textes une réalité française trop éloignée du quotidien des élites de droite.

Le plus grave dans cette sortie "raciste" du député Miche Raison est la demande officielle à notre ministre de la culture, ministre en charge des médias, de censurer tout bonnement les artistes "issus de l'immigration". Le mot "Censure" fait donc sa réapparition à l'assemblée, en 2011 en France, à l'image de pays comme la Chine ou la Corée du Nord, ou des artistes reconnus dans le monde deviennent des réfugiés politiques que nous accueillons les bras ouverts en Europe. Est-ce l'hôpital qui se moque de la charité ? ou notre gouvernement qui joue un double jeu ? Pour faire un juste rappel historique, la censure a disparu en France aux 19 ème siècles et n'a été utilisée dans le passé par les gouvernements en place qu'à deux reprises: le régime de Vichy et la guerre d'Algérie...sans commentaires.

D'un point de vue artistique, bien évidemment, certains rap, comme toutes autres formes d'expression artistique, utilisent le provocation et les images chocs ou propos douteux pour susciter la polémique et attirer la curiosité des consommateurs. Cette recette "commerciale" est parfois limite et a bien entendu le droit d'être critiquée. Le principe de la liberté d'expression doit fonctionner dans les deux sens et quand celle-ci dérape réellement, les lois en place suffisent amplement pour condamner les écarts de language, mais on ne peut en aucun cas imposer une censure étatique au sens ou l'entend Michel Raison ou un code de conduite pour la création artistique. De l'autre côté de l'atlantique, les lois américaines sont très claires, une censure est appliquée par les médias sur les mots à connotations sexuelles ou insultants mais en aucun cas la loi américaine ne s'est attaquée à la liberté d'expression !

En conclusion, les rappeurs "issus de l'immigration', désormais les nouvelles proies de l'UMP, en écrivant leurs textes aiguisés, ne sont-ils pas la meilleur réponse à une classe d'artistes coutumiers des dérapages racistes jamais condamnés comme Michel Sardou et son hymne "Le temps des colonies" à la gloire de la France "blanche" profitant en Afrique de pleins " de serviteurs noirs et de quatre filles dans son lit, Au temps béni des colonies." ... (Michel Sardou, 1976)

@francoislaf1

facebook.com/francois.laforestrie

Sardou - Le temps des colonies :

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24 Commentaires – Laisser un commentaire
kasstoo 29/07/2011 13:41:25
+1 -1 +1
Ils parlent du rap francais mais ils oublient des chanteurs comme gainsbour ou alors Renaud et j'en passe même balavoine qui dénoncé aussi beaucoup de chose mais que c'est blaireaux écoute en boucle par contre qu'ils censurent des trou du cul comme la fouine ou sexion d'assaut pour foutage de gueule la je signe :p
tbib 29/07/2011 10:13:32
+1 -1 +4
Moi ce qui m'enerve par dessous tout, c'est qu'on vise le rap en premier. Le rap fr n'est pas irréprochable, loin de la, mais dans tous les styles de musique on peut retrouvé le même discourt, c'est juste que c'est plus facile d'accusé les immigrés. Toute facon, plus ca va, plus la france est un pays raciste, grace a la montée en puissance de sarko :s, La seul censure qu'il faut appliquer, c'est a ces abrutis de politiciens qui marchent qu'aux clichés!
gizzo 29/07/2011 08:39:56
+1 -1 -1
Fuck You, fuck la France, Fuck Alek!!!

Si t'aime pas le rap casse-toi du site Génération et retourne à ta vie de tapette!!
moneymitch 29/07/2011 03:35:41
+1 -1 +1
c'est juste que sa leur plaise pas que certain dise la vériter sur le paye alors qu'il veule tout cacher vraiment un pays de merde
nasircarter 28/07/2011 14:34:14
(je précise qu'alek est un no life qui passe son temps a écrire nul ou "à chier" en commentaires). Ca me fait bien rire, il dit ça juste pour avoir un peu de "buzz".Le mec il désigne des gens et les décrits comme dangereux, alos qu'en fait ce sont ces idées qui sont plus dangereuses qu'autre chose !
alek 28/07/2011 14:31:20
bonne nouvelle
barz13 28/07/2011 14:20:41
Le pire dans tout ça c' est que ce couillon de député vient te parler de démocratie juste aprés t' avoir parlé de censure, quel con
nigga3 28/07/2011 14:05:15
Sa a l'air d'un nouveau sale coup foireux de l'etat mais bon j'dis rien vu que j'ai la flemme de lire tout sa

Les habitants de l'Est libyen privés d'argent avant le ramadan

BENGHAZI (© 2011 AFP) - A l'approche du ramadan, des centaines de Libyens de Benghazi, "capitale" des rebelles dans l'Est libyen, tentent chaque jour de retirer de l'argent. Mais ils reviennent le plus souvent les mains vides, les banques étant confrontées à une crise de liquidités.
Les habitants de l'Est libyen privés d'argent avant le ramadan

© AFP Gianluigi Guercia. Des Libyens font la queue devant une banque à Benghazi, dans l'est de la Libye, le 28 juillet 2011

Une centaine de personnes sont assises ce jeudi sur les marches de la banque BNP, priant pour être appelées à l'intérieur.

"Cela fait cinq jours que je viens et je n'ai pas encore eu d'argent", déplore un policier à la retraite.

"C'est honteux, le ramadan arrive. Nous avons des besoins supplémentaires, mais il n'y a pas d'argent", s'emporte Yasmine Mouhammad, 62 ans, qui explique que les grandes familles peuvent dépenser jusqu'à 3.000 dinars libyens, soit 10 fois le salaire moyen d'un fonctionnaire, pendant le mois sacré musulman.

Selon Najit Ali, mère de six enfants, "il n'y a pas d'argent ou de salaires depuis avril". "Nous allons supporter (cette épreuve) car Dieu est généreux, mais je suis inquiète. La vie est difficile, plus rien n'est pas bon marché désormais", ajoute cette femme de 35 ans.

Si elle fait la queue devant la banque depuis dix jours, certains sont là depuis des semaines. La majorité n'a pas reçu un centime de leurs salaires depuis mars ou avril, tandis que d'autres n'en ont perçu qu'une faible part, les retraits bancaires étant souvent limités à 100 ou 200 dinars libyens par personne.

"Dieu merci, Kadhafi nous a habitués à la pauvreté!", plaisante Ahmad Misrati, un chauffeur. "Les gens qui dépendent de l'Etat et n'ont pas de deuxième emploi sont les plus durement touchés, cela représente un tiers de la population", estime-t-il.

Une employée de banque, s'exprimant sous couvert de l'anonymat, reconnaît la gravité de la situation: "Les gens viennent de toute la Libye libérée pour de l'argent. Mais il n'y en a pas. Personne ne sait où est notre argent. Que pouvons-nous faire?"

Pour Hamed Salhin El-Raeid, de la Banque du Commerce et du Développement, le problème de liquidités s'explique en partie par le fait que de nombreuses banques ont une partie importante de leurs fonds dans leurs succursales à Tripoli, capitale sous contrôle du dirigeant Mouammar Kadhafi.

Une loi impose également aux banques de conserver 20% de leurs actifs à la banque centrale de Tripoli.

Autre difficulté, selon lui: l'attitude des commerçants. "A Benghazi, les gens utilisent du liquide pour acheter des marchandises. Mais les commerçants ne placent plus cet argent à la banque".

"Nous attendons que la communauté internationale aide notre Conseil de transition (CNT, organe politique de la rébellion) à ouvrir des comptes à l'étranger, ce qui nous permettrait d'ouvrir des lettres de crédit, ou à autoriser le secteur privé à importer des biens lui-même", poursuit-il.

Le chef du CNT, Moustafa Abdeljalil, a expliqué à des journalistes à Benghazi qu'il espérait verser des salaires début août, pour le début du ramadan.

"On entend toujours qu'il y aura de l'argent, on continue à venir mais il n'y a rien", dit Fadila Hamad, 62 ans, venue chercher sa pension de veuvage et l'allocation de sa fille handicapée.

"C'est sûr que ce ramadan sera bien plus dur que les autres: on est en guerre et on n'a pas d'argent", explique Hussein Mohammad, un policier qui attend lui aussi d'être payé par l'Etat. "On est libres mais fauchés", plaisante Farah al-Misrati.

D'autres soulignent que du temps de Kadhafi, les payes étaient "toujours en retard, parfois de six mois".

Personne ne semble en vouloir au CNT, qui n'a toujours pas touché un centime des fonds gelés à l'étranger débloqués, comme le répète M. Abdeljalil.

"La solution doit venir de l'extérieur, dit Khaled al-Mabny. Nous avons des fonds gelés partout dans le monde. Les Libyens sont riches".

Gabon: plainte d'Ali Bongo contre le porte-parole d'Eva Joly

LIBREVILLE (© 2011 AFP) - Les autorités gabonaises ont déposé une plainte en France contre le porte-parole de la candidate écologiste à la présidentielle, Eva Joly, pour des déclarations sur le président Ali Bongo considérées comme une "insulte", a annoncé jeudi la présidence gabonaise.
Gabon: plainte d'Ali Bongo contre le porte-parole d'Eva Joly

© AFP/Archives Stan Honda. Le président du Gabon, Ali Bongo, le 7 juin 2011 à New York

La plainte "a été déposée par les conseils et elle suit son cours", a déclaré à l'AFP la porte-parole du président Bongo, Clémence Mezui Me Mboulou.

Dans une interview publiée le 16 juillet par le quotidien français Libération, le porte-parole de la candidate d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV), M. Yannick Jadot, a qualifié M. Bongo de "dictateur africain" qui fait partie "des personnes qui massacrent leur peuple", a dénoncé Mme Mezui Me Mboulou.

"M. Bongo Ondimba est le président de tous les Gabonais, il a été élu démocratiquement (...) et quand on insulte la première institution de ce pays, on insulte le Gabon", a fait valoir la porte-parole.

"C'est extrêmement violent", a-t-elle estimé, jugeant que "les propos de M. Jadot relèvent soit d'une ignorance totale de la réalité actuelle du Gabon, soit d'une grossière manipulation pour prendre en otage le Gabon".

"Nous (les Africains) sommes fatigués de nous faire insulter, c'est pour ça que nous répondrons systématiquement par une procédure judiciaire", a dit Mme Mezui Me Mboulou.

"Je maintiens que je considère que les élections gabonaises ont été truquées et que Bongo est impliqué dans les affaires des biens mal acquis", avait déclaré M. Jadot.

Mme Mezui a estimé qu'il y avait un "glissement" dans les déclarations du porte-parole d'Eva Joly et que "plutôt que d'avoir l'honnêteté de reconnaître ses erreurs, M. Jadot tente par un tour de passe passe (...) de s'en sortir", signe, selon elle, qu'il est "uniquement intéressé par la polémique et non la réalité".

La naissance d'un état palestinien aux forceps ?

Après des années de négociations avec Israël, les palestiniens ont décidé de déposer la candidature d'un état de Palestine à l'ONU. Une démarche pas vraiment du goût des Etats-Unis, dont l'efficacité est discutée au sein de la classe politique palestinienne, et qui a déjà donné lieu à des déploiements de force de l'armée israélienne le long de la frontière syrienne en cas de mouvements de populations.



cc flickr jfgornet
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Après 20 de négociations infructueuses avec Israël, les palestiniens auraient-ils choisi le passage en force ? C’est une bataille pour la reconnaissance qu’a entamé mercredi le président palestinien Mahmoud Abbas en déposant la candidature d’un état de Palestine à l’ONU.
« Nous allons au Conseil de sécurité via une requête au secrétaire général des Nations unies pour obtenir une adhésion à part entière à l'ONU et la reconnaissance de la Palestine sur les frontières de 1967 », a-t-il déclaré au début de la réunion de l'OLP (Organisation de libération de la Palestine).
L’été –et la rentrée- s’annonce particulièrement chaud au proche-orient. Plus de 120 nations du Moyen-Orient, d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine ont déjà approuvé cette initiative, le gouvernement d'Israël et les Etats-Unis, au conseil de sécurité ont déjà exprimé leur opposition à cette démarche.
De la sueur donc, et des larmes.

Si dans un premier temps, Benyamin Netanyahou s’était montré ouvert aux négociations, les relations se sont largement tendues depuis le début de la semaine. Chacun jouant désormais une partie d’échecs diplomatique délicate.

Mardi à New York, Riyad Mansour, le représentant palestinien s’est effondré en pleurs devant les membres du Conseil de sécurité, appelant l’ONU à reconnaître l’Etat de Palestine. Moins sentimental, l’ambassadeur israélien auprès de l’ONU, Ron Prosor a pris à partie Riyad Mansour en lui demandant « au nom de qui il allait présenter le projet de résolution en septembre ? Monsieur Abbas ou le Hamas ? ».

Un déploiement de forces le long de la frontière syrienne

Décidé, Mahmoud Abbas n’en reste pas moins prudent, souhaitant éviter « une confrontation avec les Américains », certains observateurs palestiniens s’interrogent même sur l’honnêteté de sa démarche et voient dans son attitude le souci de chercher une porte de sortie. C’est que le pari est risqué : une simple mesure symbolique, voire un échec de l’opération affaiblirait d’autant la position de l’Autorité palestinienne et de Mahmoud Abbas. Connu pour son opposition à l’autorité palestinienne, le think tank politique Al Shabaka craint même l’avènement d’un bantoustan palestinien, sorte d’état-mirage réservé à une population de seconde zone.

L’heure est donc aux opérations de sauvetage. La France et la Ligue arabe travaillent ensemble afin d'éviter des confrontations irréversibles à l'Assemblée générale des Nations unies en septembre.

Mais sur le terrain, les couteaux sont tirés. Avigdor Lieberman, le Ministre des affaires étragères d’Israel a déjà menacé les palestiniens de « représailles ». Selon l’agence de presse Guysen News, Tsahal s’entrainerait le long de la frontière syrienne. L’armée israélienne se prépare à l’éventualité d’un déploiement de soldats syriens le long de la frontière nord de l'Eat juif qui défendraient activement les hommes tentant d’infiltrer le plateau du Golan en septembre : « Tsahal envisage de réagir en déployant des chars le long de la frontière, et en disposant des troupes capables de prévenir une violation de la souveraineté israélienne et de se confronter aux soldats syriens si nécessaire » précise l’agence.

Un responsable du Ministère de la défense a prévenu de son côté que « le commandement des forces terrestres a institué un ensemble de règles à respecter, à destination des snipers qui auront pour mission de stopper les marcheurs et les manifestants, précisant notamment à partir de quelle distance ils sont autorisés à ouvrir le feu ». De la sueur, des larmes et du sang ?

Syrian revolt still spontaneous and leaderless

BEIRUT — That ordinary Syrians have braved bullets and tanks to take to the streets for 18 consecutive weeks seeking the ouster of President Bashar al-Assad is an indicator of their movement’s resilience. Courage is one quality the protesters do not lack.

Just about every other ingredient that usually goes into building a revolution — organization, strategy or leadership — is still missing, however.

The nationwide uprising that erupted spontaneously on the streets of Syrian cities remains a largely ad hoc affair, inspired by the revolts in Egypt and Tunisia, driven by anger and frustration with decades of dictatorship, but lacking a clear direction or structure beyond the unanimous demand that Assad should go.

“This is the purest people’s revolution there ever was,” said a Damascus-based activist who is affiliated with two of the groups engaged in encouraging protests. Leaders are nonexistent, he said, and they wouldn’t be welcomed. “Anyone who puts his head above sea level is taken down,” he said.

As the weeks turn to months with no sign that either side is prepared to give way, the question of how the protesters will translate their momentum into concrete steps to replace the regime — and who will do it — is gaining urgency. The United States and other world powers are increasingly distancing themselves from Assad, while a growing number of think tanks and experts are becoming convinced that his regime will not survive.

At the same time, scattered incidents of sectarian violence in some protest flash points, such as the city of Homs, have focused concerns on the risk that the unrest in Syria could degenerate into chaos and civil war should the regime fall suddenly without a transition plan in place.

Officially, the United States is adopting a hands-off position, saying it is up to the Syrian people to determine their future. But behind closed doors, “a lot of people are obsessed with this issue,” said Andrew Tabler of the Washington Institute for Near East Policy. “As the regime degrades, the necessity of the opposition coming together grows.”

Efforts by exiled opponents of Assad to form a united front have faltered, in part because of an acute awareness that the Syrian street is driving the uprising. No one, least of all the Syrians, said a Western diplomat in Damascus, wants to see a repeat of the Iraq experience, in which exiled leaders with no street credibility are foisted upon those living inside the country.

Yet such is the severity of the crackdown that the real protagonists of this youthful revolt cannot gather to strategize, debate the way forward or select representatives. An attempt to link a conference of exiles in Istanbul with an assembly of domestic opponents in Damascus this month was abandoned because security forces surrounded the site and killed demonstrators the day before, making it too dangerous for participants to attend.

Youth activists inside Syria say that in any case they are too focused on organizing the protests while evading arrest to find time to address the future। Operating as tightly knit groups with names such as Trust Circle, the Syrian Creative Revolution and the Revolution of Syrian Youth, they communicate in code, know one another by fake names and exist largely on the Internet.

washingtonpost.com