13 juillet, 2011

Cinq soldats français tués dans un attentat-suicide

Cinq soldats français tués dans un attentat-suicide
Cinq soldats français et un civil afghan ont été tués mercredi lors d'une attaque-suicide dirigée contre un convoi de l'armée française dans la province de Kapisa. Les Taliban ont revendiqué l'attentat dans un SMS envoyé à l'AFP.
Par Dépêche (texte)

REUTERS - Cinq soldats français et un civil afghan ont été tués mercredi matin par un attentat à la
bombe dans la province de Kapisa, en Afghanistan, a annoncé la présidence française dans un communiqué.

Les soldats protégeaient une assemblée de notables à Joybar, dans la vallée de Tagab, et "un terroriste a déclenché sa bombe à proximité" des militaires, précise l'Elysée.

Selon le communiqué présidentiel, quatre autres soldats français et trois civils afghans ont été grièvement blessés.

La France serait-elle menacée à son tour par l’appréciation des marchés financiers ?

Crise de la dette européenne et démocratie politique

La crise de la dette est mondiale. Elle concerne les Etats Unis dont la dette est financée par l’épargne chinoise. Elle porte aussi sur l’Europe et donc sur l’Euro avec les difficultés de financements et les stratégies incohérentes de la part des 27 pays membres de l’Union européenne.



La singularité de la crise de la dette actuelle est qu’elle est amplifiée par l’œil des marchés financiers dont la responsabilité n’est pas aussi grande qu’on veut bien le dire, dans la mesure où ces marchés financiers sont d’abord formés par des acteurs privés et publics aux comportements d’anticipations contradictoires. Les acteurs publics, ce sont les Etats qui, pendant les périodes de croissance, ont levé des fonds considérables sans toujours se préoccuper des recettes qui rembourseraient l’endettement. Les acteurs privés sont constitués d’un ensemble complexe d’agences de notation, de fonds d’investissement, de spéculateurs qui peuvent être soit des personnes physiques, soit des personnes morales plus préoccupées par les rendements des actions et des obligations qui se trouvent dans leur portefeuille.



Il y a donc une contradiction de taille entre les comportements publics et les attentes des marchés financiers qui ne sont nullement des représentations abstraites ou symboliques, mais bel et bien des acteurs en chair et en os générés par les politiques de libération de l’économie et des finances mises en place par ces mêmes Etats qui crient au loup à partir des années 80 au nom de la lutte contre l’Etat providence qui serait trop dépensier et qui gaspillerait les ressources dont auraient besoin les acteurs privés. C’est le serpent qui se mord la queue. C’est grave car les Etats se moquent de leur opinion publique qui est l’œil de la Démocratie. A cet œil s’ajoute un autre, sous forme d’épée de Damoclès, les marchés financiers.



La crise de la dette est donc connue en Irlande, en Grèce, en Italie, en Espagne et demain en France. Il ne faut pas se raconter d’histoire et se couvrir la tête de cendres : les Etats européens sont responsables de l’émergence des marchés financiers qui ont profité de la liberté donnée pour élaborer leurs propres stratégies et contrôler les Etats qui les ont créés.



Une chose est sure en France : quelque soit le vainqueur de l’élection présidentielle, à droite ou à gauche, le ou la Président(e) élu(e) devra réduire les dépenses de fonctionnement, valoriser celles d’investissement et augmenter les impôts. Il n’y a pas d’autres marges de manœuvre que celles là, à moins que l’économie française retrouve un dynamisme fort à l’image de l’Allemagne qui, il faut le rappeler, a un endettement moins important que le reste de l’Europe grâce à sa politique d’exportation, alors que dans les autres pays c’est la consommation comme arme de croissance qui est privilégiée.



Le vainqueur de l’élection présidentielle en France devra expliquer aux Français les choix rationnels en matière de politique économique de la France membre fondateur de l’union européenne ; une Europe qui refuse des choix communs (création d’un gouvernement économique, solidarité sans limite en matière financière en cas de crise, harmonisation des politiques budgétaires, fiscales et sociales).



La crise de la dette est une chance pour l’Europe et pour la France. Pour l’Europe, c’est le temps de la réflexion d’un modèle économique solidaire, voire fédéraliste, c’est le temps de la vertu qui doit s’appuyer sur le modèle allemand porté en exemple dans la plupart des pays européens. L’Allemagne a su faire les efforts nécessaires en matière d’austérité alors qu’elle était confrontée à un enjeu de taille : la réunification après la chute du mur de Berlin. Les Allemands ont réussi cet effort tous seuls grâce à des choix démocratiques clairs et à un modèle économique organisé et structuré, quelques soient les alternances politiques.



Pour notre pays la France, il faut retrouver des choix politiques structurés et organisés (le grand emprunt, c’est bien mais pour quoi faire concrètement ?). Il faut que le Politique donne des orientations très précises et évaluables à l’économie et à la finance et non pas se laisser guider par eux. Il faut que le Politique valorise les évaluations quinquennales de l’argent distribué aux entreprises du secteur privé. C’est une façon de sauvegarder l’épargne collective des Français et leurs impôts. Voilà un des enjeux de l’élection présidentielle de 2012 pour que nos concitoyens n’aient pas l’impression de vivre sous l’influence de l’épée de Damoclès représentée par les marchés financiers.

Candidats aux élections présidentielles tenez un langage démocratique et citoyen crédible dans les domaines économiques et politiques en direction des Français. C’est à ce prix que la démocratie politique retrouvera ses lettres de noblesse en France.

larepubliqueenmouvement.blogs.nouvelobs.com

Ted Danson joins 'CSI' cast

USA TODAY


By Evan Agostini, AP
Laurence Fishburne is out. And Ted Danson is in.

CBS has announced that the Cheers, Curb Your Enthusiasm and Damages favorite will join the cast of CBS' popular CSI in a series regular role in the fall. His character will debut in the Season 12 premiere on Wednesday, Sept. 21 at 10 p.m.

Danson, who fills the slot left by Fishburne in May, will play the new CSI supervisor who is joining the team from a crime lab in Portland. He joins them as they are still grappling with the professional and personal fallout from last season's take-down of serial killer, Nate Haskell.

Danson will remain a series regular on HBO's Bored to Death series. He'll also be seen starring opposite Drew Barrymore and John Krasinsky in Everybody Loves Whales to be released in January 2012.

See photos of: Ted Danson

British Leader, Under Fire, Seeks Distance From Murdoch

Parliament.uk

This image taken from television shows Prime Minister David Cameron of Britain speaking at the House of Commons on Wednesday.


At the weekly encounter in Parliament called Prime Minister’s questions, Mr. Cameron came under renewed pressure form the opposition Labour leader Ed Miliband to explain his relationship with his former director of communications, Andy Coulson, a former editor of The News of the World — a top selling Sunday at the epicenter of the scandal which the Murdoch family ordered closed last weekend.

A lawmaker also asked if there was evidence that journalists at News International, a British subsidiary of Mr. Murdoch’s News Corporation, had tried to hack into the voice mails of victims of the Sept. 11 attacks in the United States, as they are accused of doing in Britain after the July 7 bombings.

Speaking in advance of broader debate, Mr. Cameron offered his most forthright comments yet on Mr. Murdoch’s $12 billion bid for the shares in British Sky Broadcasting which he does not already own, saying his companies should “stop the business of mergers and get on with cleaning the stables.”

The latest exchanges came a day after Mr. Murdoch’s once-commanding influence in British politics seemed to dwindle to a new low on Tuesday, when all three major parties in Parliament joined in support of a sharp rebuke to his ambitions and a parliamentary committee said it would call him, along with two other top executives, to testify publicly next week about the growing scandal enveloping his media empire.

But the argument was also marked with sharp exchanges between Mr. Cameron and Mr. Miliband. “He just doesn’t get it,” Mr. Miliband said, referring to the worries provoked by Mr. Cameron’s decision to hire Mr. Coulson, who was forced to resign from Mr. Cameron’s office in January as the phone-hacking scandal gathered pace. But Mr. Cameron replied: “The person who is now not getting it is the leader of the opposition.”

“What the public wants us to do is to deal with this firestorm,” Mr. Cameron said.

Since the scandal broke last week, Mr. Miliband had taken the lead in demanding strong action both against News International and its chief executive, Rebekah Brooks, and in calling for Mr. Murdoch to abandon the contentious $12 billion to complete his ownership of British Sky Broadcasting. On Wednesday, Mr. Cameron also distanced himself more abruptly than in the past from Ms. Brooks, reportedly a personal friend.

In an effort to save the broadcasting deal from the scandal’s fallout, Mr. Murdoch has already shut down the tabloid at the heart of the scandal, The News of the World. But the accusations have spread to other papers in his News International group, and have taken in an ever wider and more outrage-provoking list of victims.

The House of Commons is scheduled to vote on Wednesday on a motion declaring that “it is in the public interest for Rupert Murdoch and News Corporation to withdraw their bid for BSkyB,” a motion pushed by the opposition Labour Party that the governing Conservatives decided on Tuesday to support. The Conservatives’ coalition partners, the Liberal Democrats, have been vocal in their condemnation of Mr. Murdoch and his executives. With the three parties holding more than 600 of the 650 seats in the house, the motion is expected to be approved overwhelmingly.

Though it would have little direct effect, the motion represents a powerful political headwind blowing against the deal and against Mr. Murdoch, a figure so powerful in Britain that until the current scandal, politicians and others in public life have rarely risked invoking his ire. And it threatened to undercut a last-ditch step that the News Corporation took on Monday, when it withdrew promises it had made to satisfy antitrust concerns about the deal, most notably that Sky News, the target company’s 24-hour news channel, would be spun off.

Before the scandal flared up, the Conservative government had shown readiness to waive a formal antitrust review of the deal, based on those promises. A regulatory review would now not just delay the deal for months, but may kill it.

A parliamentary committee said Tuesday that it would call Mr. Murdoch, his son James and Rebekah Brooks, the chief executive of News International, to testify next week about accusations of phone hacking and corruption at the News International papers. John Whittingdale, chairman of the Culture, Media and Sport Committee, said it would seek to determine “how high up the chain” knowledge of the newsroom malpractices in the Murdoch newspapers went.

New and alarming charges came on Tuesday from the former prime minister Gordon Brown, who said that one of the most prestigious newspapers in the group, The Sunday Times, employed “known criminals” to gather personal information on his bank account, legal files and tax affairs.

Obama, Republicans trapped by inflexible rhetoric

President Barack Obama and GOP lawmakers, hundreds of billions of dollars short of their goal and seemingly trapped in inflexible bargaining positions, are struggling for agreement on $2 trillion-plus in budget cuts as the price for maintaining the government's ability to borrow.

Lawmakers were asked to return to the White House for talks Tuesday afternoon after a 90-minute Monday session produced no progress other than to identify the size of the gap between Republicans and Obama. Neither side showed any give that might generate hopes for a speedy agreement. Instead, Republicans again took a firm stand against revenue increases while Obama and his Democratic allies insisted that they be part of any equation that cuts programs like Medicare.

"I do not see a path to a deal if they don't budge, period," Obama said.

At the same time, the president turned up the pressure by announcing he won't sign any short-term debt limit increases.

"We are going to get this done," Obama insisted during a news conference.

Obama's declaration seemed aimed at pressuring lawmakers to continue to strive for the largest deficit reduction plan possible, even though hopes for a "grand bargain" mixing a complete overhaul of the tax code with cuts to benefits programs like Medicare and Social Security fizzled over the weekend.

An advocate of the bigger bargain, House Speaker John Boehner, R-Ohio, explored the idea but scotched it in its infancy after learning the extent of White House demands for tax increases.

"The American people will not accept -- and the House cannot pass -- a bill that raises taxes on job creators," Boehner said Monday before heading to the White House.

Rep. Paul Ryan of Wisconsin, Republican chairman of the House Budget Committee, said Tuesday that "we are already taxing our job creators and our businesses more than our foreign competitors are taxing theirs."

Ryan told CBS's "The Early Show" he believes there must be more than a dollar in spending cuts for every dollar in granted to Washington in new borrowing authority.

Ryan said the United States must get spending under control because the mounting federal debt "is a recurrent threat to our economy." He said he believes an international debt crisis looms and "we want to get ahead of it."

Despite lingering hopes for a larger deal, the goal of the White House talks is to produce spending cuts of at least $2.4 trillion or so over the coming decade. Such cuts wouldn't do enough to address deficits that threaten the economy, but they would represent a down payment on further reductions that would be imposed after next year's elections.

The $2.4 trillion figure would meet the House Republicans' own standard of a debt-cutting package: one that would exceed the size of the increase in the debt limit, and provide enough borrowing room to get the country through 2012.

The group of negotiators includes Obama, other top administration officials and a bipartisan group of the eight top leaders of Congress. At Monday's session, they heard competing versions of how much progress had been made in talks led by Vice President Joe Biden in May and June.

House Majority Leader Eric Cantor, R-Va., a participant who left the Biden talks last month because of Democratic demands on taxes, spelled out potential spending cuts that had been identified. But Democratic lawmakers made clear that such a cutting-only approach without tax increases on wealthier Americans would never pass the Democratic-led Senate or the House, where Democratic votes would be needed, too.

Cantor, aides said, outlined up to $2.3 trillion in spending cuts over the upcoming decade, with $1.3 trillion coming from squeezing the day-to-day budgets of Cabinet agencies, including the Pentagon.

Cantor erred on the high end of the savings range in virtually every instance. The White House countered that the cuts really approached $1.7 trillion or so, which would leave negotiators $700 billion short of the $2.4 trillion being sought.

Republicans are also suspicious that Democrats want most of the spending cuts to be concentrated in the later years of a deal. They say that despite promising cuts of $1.1 trillion from Cabinet agency operating budgets, the White House is insisting on a two-year freeze in such spending at the current level of $1.05 trillion. At issue is the amount approved by Congress each year in annual appropriations bills.

Obama spent most of his time encouraging lawmakers to reconsider a bigger deal, on the order of some $4 trillion in spending cuts and tax hikes over 10 years. Democrats familiar with the talks said it was clear after the meeting that negotiators are going to have come up with some new ideas in hopes of finding a compromise.

As a measure of the political peril Obama is courting, the president is willing to discuss raising the Medicare eligibility age from 65 to 67 years, provided Republicans would allow Bush-era tax cuts for the wealthy to expire at the end of 2012 and agree to other unspecified demands, according to a Democratic congressional aide.

All the officials familiar with the talks spoke on condition of anonymity to disclose details of the private discussions

Democrat Janice Hahn wins House race in California

USA TODAY


By Reed Saxon, AP
Democrat Janice Hahn easily won a congressional seat in the Los Angeles-area beach cities, fending off a challenge from Republican Craig Huey in a sometimes bitter campaign.

Hahn, a Los Angeles City Councilwoman and member of a political dynasty, earned about 55% of the vote to Huey's 45% when all ballots were counted late Tuesday.

She succeeds Democrat Jane Harman, who resigned to run a Washington think tank, in California's 36th District.

For a special election whose outcome would have little impact on the partisan balance in the U.S. House, the run-off race between Hahn and Huey at times turned nasty.

A conservative super PAC ran an ad depicting Hahn as a stripper that also used racist imagery and language. Hahn called Huey, a businessman who publishes Christian voter guides, "extreme" for his views on issues such as abortion. Huey tried to portray Hahn as a career politician, and tapped Tea Party support in the campaign.

After the vote, Hahn vowed to press for more jobs and aid for veterans. "When they come home, we have to do a better job making sure they get their health benefits. They deserve that and we owe it to them," she's quoted as saying in The Daily Breeze.

The district, which runs along the southern California coast from Venice to San Pedro, also includes inland South Bay communities such as Torrance near the Los Angeles airport.

Netflix rates rise up to 60 pct for DVD, streaming

Netflix is raising its prices by as much as 60 percent for millions of subscribers who want to rent DVDs by mail and watch video on the Internet.

The company is separating the two options so that subscribers who want both will have to buy separate plans totaling at least $16 per month. Netflix Inc. had been bundling both options in a single package, available for as low as $10 per month.

New subscribers will have to pay the new prices immediately. The changes take effect Sept. 1 for Netflix's current customers.

Netflix isn't changing the $8 monthly price for an Internet streaming-only option, which the company began offering late last year. But instead of charging $2 more for a plan that also offers one DVD at a time by mail, the company will charge $8 for a comparable DVD-only plan. That brings the total to $16.

Those who want to rent up to two DVDs at a time with streaming will pay $20 per month, or 33 percent more. Those wanting three DVDs at a time with streaming will pay $24 per month, or 20 percent more.

When Netflix unveiled the streaming-only option, it also raised the rates for its most popular DVD rental plans by $1 to $3 per month. Those plans included unlimited online streaming too, as had been the case since Netflix began sending video over high-speed Internet connections in 2007. That means longtime subscribers who want both entertainment options will get their second price increase in eight months.

Netflix's willingness to risk alienating subscribers signals that it needs to bring in more money to cover its rising costs.

The company's earnings would likely be squeezed if it continued to cover the overhead for buying and shipping the discs while also spending heavily to license more video for its streaming library. In the first three months of this year, Netflix spent $192 million on streaming rights after pouring $406 million into the library last year.

Jessie Becker, Netflix's vice president of marketing, wrote Tuesday on Netflix's blog that charging just $2 more for a bundled plan "neither makes great financial sense nor satisfies people who just want DVDs."

On the flip side, Netflix customers who haven't embraced Internet streaming will be getting a price break. They can now subscribe to a DVD-only plan for just $8 per month for one DVD at a time, a 20 percent reduction from the current package that included streaming.

Netflix, which is based in Los Gatos, has never said how many subscribers get the streaming-only options, but most households prefer getting both because each has its advantages.

Internet streaming provides more immediate gratification and the convenience of getting video on mobile devices, but the selections typically don't include the latest theatrical releases. That's where DVD rentals come handy. Netflix cut deals with several movie studios last year to delay sending out some DVD releases for their first 28 days on sale in return for better deals on Internet streaming rights. Far more titles are available on DVD than through streaming though.

Investors seemed to welcome the higher prices in stride. Netflix's stock rose 53 cents to close Tuesday at $291.27.

Netflix's market value has increased by seven-fold and created about $13 billion in shareholder wealth during the past two years, largely because its total subscribers have more than doubled during the same stretch. As of March, Netflix had 22.8 million subscribers in the U.S. -- about 34,000 more than the number of households subscribing to Comcast Corp.'s cable-TV service.

The higher prices could slow Netflix's growth as some customers cancel their plans in protest and potential new subscribers balk at the rates.

Subscribers rankled by the latest price increase vented their outrage in comments on Netflix's blog as well as its Facebook page, where there were more than 9,500 comments, mostly negative, by Tuesday evening.

Many of the posters were vowing to leave Netflix to try out rivals such as Apple Inc., Amazon.com Inc. and Hulu.com, which is currently looking for a buyer. Some of the critical remarks likened Netflix to greedy oil and cable companies, while others blasted it for betraying loyal customers who had been recommending the service to their friends and neighbors long before it became a household staple.

Although it's preparing to deliver DVDs through the mail for many more years, Netflix sees Internet streaming as its main lure for new subscribers, as Internet connections become even faster and an array of mobile devices make it easier to watch video on the go. The company is only selling streaming packages in Canada, where it expanded last year, and in Latin America, where it will enter 43 countries by the end of this year.

Why Obama's pushing for a mega-deal

By David Gergen, CNN
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STORY HIGHLIGHTS
  • David Gergen: An administration official explained to him Obama's push for mega-deal on debt
  • He says Obama thinks Dems will agree to entitlement cuts, but GOP not bending on taxes
  • He says Obama fears losing grand-bargain chance, damage to U.S. credit rating, markets
  • Gergen: Obama right to seek big deal, but should be ready for mini-deal rather than default

Editor's note: David Gergen is a senior political analyst for CNN and has been an adviser to four presidents. He is a professor of public service and director of the Center for Public Leadership at Harvard University's Kennedy School of Government. Follow him on Twitter.

(CNN) -- With a debt-ceiling crisis building in Washington, the administration on Tuesday opened another window into President Obama's thinking about the best ways to bring resolution.

On Monday, I wrote a piece arguing that the major players in the debt negotiations have all painted themselves into corners.

The Republicans were the first to lock themselves in, signing pledges during their campaigns promising not to raise taxes -- period. Democrats insist they won't accept any deal that doesn't have significant new revenues. And Obama on Monday promised to kill any compromise that is short term. If we are to avert a default, I wrote, all three parties must find ways out of their corners and compromise.

On Tuesday, a high-ranking official familiar with the president's thinking explained to me why Obama's opposition to a short-term solution makes sense. He made some persuasive points, though I still think that Obama may need some wiggle room before this is over.

The president clearly sees himself as the man in the middle trying to pull off a historic grand bargain. So far, he thinks that while Democrats will strongly resist, they would ultimately go along with entitlement reforms as a way to get a mega-package of some $4 trillion in savings over 10 years. There is give on their side, he believes. But there are no Bob Doles and Pete Domenicis on the Republican side willing to show similar flexibility on taxes.

With prospects dimming for a mega-deal, the president is driving hard to ensure that whatever agreement emerges will keep the country below a new debt ceiling until February 2013. The administration calculates that it will need to raise the current debt ceiling between $2.5 trillion and $2.7 trillion to get to that point.

So far, the cuts in spending under discussion in the White House are significantly below that number. There is an additional "cut" that is available, but it has the appearances of a gimmick: The Congressional Budget Office has assumed that the costs of Iraq and Afghanistan will continue indefinitely, but get rid of those estimates, and presto, you get hundreds of billions in "savings."

Gimmicks alone will not suffice. So, from Obama's point of view, the Republicans should agree to some forms of revenue increases, and House Speaker John Boehner must drop his insistence that spending cuts must exceed -- dollar for dollar-- the size of the debt ceiling increase.

The president feels strongly that an interim agreement for 30, 90 or even 180 days is a very bad idea. That would let a moment of opportunity slip away. It would push negotiations closer and closer to elections, so that agreements would be harder to reach. And, very importantly, it could easily spook the financial markets, which will worry that U.S. politicians truly are unable to solve the problem.

The White House is very aware of the warnings that Standard and Poor's and other credit agencies have issued, threatening to downgrade the country's AAA credit rating if a long-term plan is not in place by January 2013. A downgrade, the president believes, would be like a new tax on Americans, costing billions.

For all these reasons, the president is adamantly against a short-term solution and wants a deal that is at least in the range of $2.5 trillion to $2.7 trillion.

He's exactly right about his arguments -- just as he deserves more credit than he is getting for trying to get both Democrats and Republicans to compromise. A short-term solution has always been the least desirable option.

But here's the catch: What if the parties won't compromise on a mid-level deal? What if all they can come up with is an interim patch that keeps talks going, even though our credit rating is threatened?

I have argued for some weeks that a short-term fix seems likely. former President Bill Clinton argued the same thing last week in his appearance at the Aspen Institute. The highly respected Bill Galston argued the same Monday in The New Republic.

So, Mr. President, go for a big deal -- the country needs it -- but in the event that a mini-deal is the best you can get, it is far better than a default. Keep some wiggle room, please.

The opinions expressed in this commentary are solely those of David Gergen.

18 dead in bloody Ciudad Juarez day

At least 18 people including a preteen boy have died in a single day of cartel violence in Ciudad Juarez.

Attorney General's office spokesman Arturo Sandoval said Tuesday was one of the bloodiest days of 2011 in the border town. At least 20 homicides were recorded there on Feb. 18.

He said among the 18 killings were three hospital parking attendants shot to death at midday by unidentified gunmen.

Later, gunmen opened fire on a youth soccer game, killing four people and leaving four others in critical condition.

Authorities also say a 12-year-old boy was followed into a restaurant by assailants and killed.

It is not immediately clear if the killings are related. Ciudad Juarez has been plagued by violence between warring cartels.

Copyright 2011 The Associated Press. All rights reserved. This material may not be published, broadcast, rewritten or redistributed.

Coast Guard ends search for missing California fishermen

The Coast Guard ended a search on Tuesday for seven California sports fishermen, now presumed dead, who have been missing since the boat they were on capsized off western Mexico earlier this month.

The Coast Guard said it had used C-130 cargo planes and HH-60 Jayhawk helicopters to look for the men in a search that had covered more than 7,000 square miles.

The seven California men were among 43 people aboard a 115-foot chartered fishing boat dubbed the Erik that left San Felipe on Mexico's Sea of Cortez on July 2.

The ship encountered a storm on its first night and sank in the early morning hours of July 3.

Thirty-five of the people aboard the boat swam to shore or were rescued, and Mexican police recovered the body of one passenger who died.

Search and rescue teams had continued to scour the Sea of Cortez for the remaining seven men, and at first officials expressed hope the sea's warm waters could allow for survival.

But the Coast Guard said on Tuesday that the Mexican Navy ended its rescue operation and was no longer requesting assistance from the Coast Guard.

"Despite the thorough search of the region by Mexican and U.S. search teams, no signs of the missing men were found," Rear Admiral Joseph "Pepe" Castillo, commander of the U.S. Coast Guard's 11th District, said in a statement.

"Our deepest sympathies go out to all those impacted by this tragic incident," he said.

Copyright 2011 Thomson Reuters. Click for restrictions.

UK PM Cameron blasts Murdoch's News International

By the CNN Wire Staff
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Tabloid journalism's dark arts
STORY HIGHLIGHTS
  • NEW: Cameron says it would be a "matter of deep regret" if Coulson had lied to him
  • Murdoch's media group needs "root and branch change," David Cameron says
  • If Murdoch does not testify before lawmakers, he will "effectively have said goodbye to Britain," an MP says
  • U.S. Sen. Jay Rockefeller warns that anyone who violated 9/11 victims' privacy faces severe consequences

London (CNN) -- Media baron Rupert Murdoch's News International needs "root and branch change," British Prime Minister David Cameron said Wednesday in the wake of accusations that the company illegally eavesdropped on thousands of people and bribed police to get confidential information.

The prime minister also defended his decision to hire Andy Coulson, who had worked at the News of the World tabloid at the center of the unfolding scandal. Cameron, who hired Coulson as his spokesman, said Coulson assured him he had done nothing wrong.

"If I was lied to, if the police were lied to, if the select committee were lied to, it would be a matter of deep regret and a matter for a criminal prosecution," Cameron said.

The prime minister's remarks came in a raucous appearance before parliament.

Condemnation of Murdoch came from many British politicians a day after a senior American senator warned that any Murdoch journalists who illegally eavesdropped on 9/11 victims would face "severe" consequences.

Sen. Jay Rockefeller, a West Virginia Democrat, said reported hacking by journalists at Murdoch's News Corporation was "offensive and a serious breach of journalistic ethics," as well as a potential violation of U.S. law.

The Senate Commerce Committee chairman urged authorities to "investigate to ensure that Americans have not had their privacy violated."

British lawmakers investigating the scandal have called Murdoch, his son James and former News of the World editor Rebekah Brooks to testify before them next week.

Parliament's Culture, Media and Sport Committee asked the three to appear on July 19, a representative told CNN.

"Senior executives" of Murdoch's British newspaper company "will cooperate," News International said in a statement, without specifying who.

If the Murdochs do not answer the summons, they "will effectively have said goodbye to Britain," Labour lawmaker Chris Bryant told CNN Wednesday. He believes he, too, is a hacking victim.

Lawmakers are expected to vote Wednesday on a motion telling Murdoch to drop his bid to take full control of British satellite broadcaster BSkyB.

The vote will not have force of law, but if it is supported by lawmakers across the spectrum, as is expected, it will be an unusual and powerful statement from the country's political establishment.

The news represents a further threat to Rupert Murdoch's plans to create Britain's largest media company by acquiring the satellite broadcaster. News Corp. has been seeking to buy the 60.9% of the BSkyB shares it does not already own.

Labour leader Ed Miliband and Deputy Prime Minister Nick Clegg are among lawmakers who have already urged Murdoch to reconsider the bid.

Former British Prime Minister Gordon Brown Tuesday accused Murdoch's newspaper group of illegally obtaining private information about him.

Speaking to the BBC about allegations that The Sunday Times illegally obtained private information about him, Brown accused Murdoch's newspapers of having "links with criminals."

Brown said the paper appeared to have gotten access to his legal files. He said he was "genuinely shocked" by its methods.

The Sunday Times denied Brown's allegations and said it pursued the story about his purchase of an apartment at below-market prices in the public interest.

"We had reasonable grounds to investigate this matter," the company said Tuesday in a statement. "We believe no law was broken in the process of this investigation, and contrary to Mr. Brown's assertion, no criminal was used and the story was published giving all sides a fair hearing."

Brown's allegations, however, widen the scandal that brought down Britain's best-selling newspaper, News of the World, to other newspapers also owned by Murdoch's News International media group.

News International is accused of attempting to bribe police officers for information -- including personal contact details for members of the royal family -- in addition to the violation of privacy allegations.

The latest allegations follow Sunday's closure of the News of the World over other allegations of illegal breach of privacy.

The decision to pull the plug on the 168-year-old paper came amid accusations that its reporters illegally eavesdropped on the phone messages of murder and terrorist victims, politicians and celebrities, as well as claims it may have bribed police officers. Police said Thursday they had identified almost 4,000 potential targets of phone-hacking.

Murdoch flew Sunday to London, hours after the final edition of News of the World hit the stands. The publication was the first British national paper Murdoch bought, in 1969, as he began to propel himself from Australian newspaper proprietor to international media magnate.

With its closure, News International now owns the Sun, The Times and The Sunday Times in Britain.

Murdoch's News Corporation also encompasses Fox News, The Wall Street Journal, the New York Post and Harper Collins publishers.

CNN's Richard Allen Greene contributed to this report.

Mourinho préfère Adebayor à Neymar ou Agüero

LOS ANGELES (© 2011 Afriquinfos) - José Mourinho, Iker Casillas et Cristiano Ronaldo se sont exprimés face à la presse, après l’arrivée du Real Madrid aux États-Unis.
Mourinho préfère Adebayor à Neymar ou Agüero

CC BY apasciuto. José Mourinho, en août 2010)


L’entraîneur du Real Madrid a tenu une conférence de presse lorsque son équipe est arrivée à Los Angeles dans le cadre du stage de pré-saison de l’équipe madrilène.

José Mourinho a déclaré: "Neymar joue à Santos, Agüero appartient à l’Atlético de Madrid et Adebayor à Manchester City. Mais s’il y en a un des trois qui est proche du Real, c’est sûrement ce dernier car il a déjà joué avec nous pendant 6 mois. Je pense que ce sera l’un des trois, mais je suis serein car nous avons construit déjà une très belle équipe".

Le portugais a demandé aux dirigeants de l’équipe un nouvel attaquant, même s’il dispose déjà de Crisitano Ronaldo, Gonzalo Higuain et Karim Benzema. Parmi les joueurs potentiels, le Togolais est celui qui a le plus de chances d'intégrer le club espagnol.

Après que le Real Madrid ait refusé d'exercer son option d'achat sur Adebayor le mois dernier, voilà enfin une bonne nouvelle pour le footballeur! Le Togolais en avait grandement besoin, lui qui est actuellement en froid avec son club, Manchester City. En effet, Adebayor ne fait pas partie des Blues actuellement en stage aux États-Unis car son entraîneur, Roberto Mancini, ne compte plus sur lui et l'a donc laissé de côté. Cette situation à mis le feu aux poudres. Le Togolais a ainsi refusé de se présenter à l’entraînement du City, une décision qui pourrait lui coûter 420.000 euros d’amende.

Emmanuel Adebayor attendra donc encore l’appel du Real Madrid, selon ses propres dires, jusqu’à la dernière minute.

Les Palestiniens plus que jamais déterminés à aller à l’ONU

Proche-Orient Le quartette n’a pu que constater l’impasse du processus de paix à cause de l’écart entre les parties.

Le président palestinien Mahmoud Abbas et le négociateur Saëb Erakat ont estimé hier qu’il n’y avait plus d’autre voie que la demande d’adhésion à l’ONU d’un État de Palestine, après l’échec de la réunion du quartette pour le Proche-Orient. De son côté, Israël n’a pas réagi de source officielle à cet échec.
« Nous irons à l’ONU et nous espérons que les États-Unis n’utiliseront pas leur veto, mais que nous irons avec leur accord », a déclaré M. Abbas. « Nous espérions la publication d’une déclaration du quartette, mais l’absence de déclaration est un signe de division entre ses membres », a-t-il souligné, au lendemain de la réunion du quartette (États-Unis, Russie, Union européenne, ONU) à Washington, qui s’est achevée sans déclaration finale. « Nous voulons qu’ils s’entendent pour revenir à notre choix fondamental, les négociations, si la colonisation s’arrête et si Israël accepte les lignes de 1967 comme base de référence des négociations », a réaffirmé le dirigeant palestinien. « Si toutes les occasions sont épuisées et qu’il n’y a pas de reprise des négociations, la dernière option qu’il nous reste est d’aller aux Nations unies », a-t-il ajouté. Auparavant, M. Erakat avait déclaré à l’AFP qu’il n’existait « aucune autre option pour quiconque que de soutenir la démarche palestinienne à l’ONU pour demander l’adhésion à part entière de l’État de Palestine sur les frontières de 1967 ». « La tentative d’établir une égalité entre la victime palestinienne et le bourreau israélien qui occupe notre terre et de rejeter sur les deux parties la responsabilité de l’arrêt des négociations est fausse et injuste », a jugé M. Erakat.

Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, et les chefs de la diplomatie américaine, Hillary Clinton, russe, Sergueï Lavrov, et de l’Union européenne (UE), Catherine Ashton, ont renoncé à publier une déclaration à l’issue de leur dîner, qui concluait une journée de travail de leurs conseillers, en raison de « l’écart » entre les parties, selon un haut responsable de l’administration américaine. Selon cette source qui a voulu garder l’anonymat, le quartette a affirmé son soutien à l’idée du président américain, selon lequel les parties doivent discuter de l’établissement de deux États sur la base des lignes de 1967, antérieures à la guerre des Six-Jours. C’est sur ces bases, a rapporté la source, que le quartette a « réitéré le besoin urgent d’en appeler aux parties pour qu’elles surmontent les obstacles et trouvent le moyen de reprendre des négociations directes, sans retard ni conditions préalables, et de commencer par une phase préparatoire afin d’augmenter les chances de réussite ». Dès lors, a noté le responsable, « le quartette estime en tout réalisme qu’il reste encore du travail pour combler l’écart, avant que le quartette ne puisse présenter publiquement une déclaration qui permettrait aux parties de dépasser l’impasse ». « Au bout du compte, c’est aux parties de prendre les décisions difficiles. Nous sommes prêts à les aider », a-t-il conclu. Le responsable américain n’a pas annoncé quels seraient les prochains efforts de l’administration Obama. Il n’a pas non plus évoqué la proposition française d’une conférence de la dernière chance en septembre à Paris, juste avant l’Assemblée générale de l’ONU.
De son côté, la France estime qu’il est « un peu tôt pour dresser un constat d’impasse » sur le Proche-Orient, a affirmé le ministère français des Affaires étrangères. « À notre connaissance, les discussions se poursuivent (...) », a déclaré le porte-parole du ministère, Bernard Valero. Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a assuré pour sa part que la réunion du quartette a été « bonne ». « Le fait que nous n’ayons pas publié de déclaration ne signifie pas que nous sommes en désaccord ou que nous avons abandonné nos efforts. Nos experts continuent à travailler », a affirmé M. Lavrov.
(Source : AFP)

Le Premier ministre belge refuse l’importation du conflit du Moyen Orient en Belgique et la déligitimation de l’état d’Israël

fr.ejpress.org/
Le Premier ministre belge Yves Leterme: "Je continuerai à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que l’antisémitisme soit, comme toute autre forme de racisme, combattu et le cas échéant sanctionné".
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Voici le texte du message video du Premier ministre belge Yves Leterme à l’occasion de la récente remise des David d’or de Radio Judaica à Bruxelles.


"Tout d’abord je tiens à vous dire à quel point je regrette de ne pas être parmi vous ce soir, alors que j’avais bien volontiers accepté cette invitation. Les aléas de la vie politique, dont vous êtes certainement familiers, m’ont imposé un autre emploi du temps.

Je suis très honoré de recevoir cette distinction d’Etoile de David d’Or.

Je connais aussi entretemps les trois raisons qui vous ont amené à me la remettre.

D’abord, ma condamnation inconditionnelle de toute forme d’antisémitisme, comme nous en connaissons effectivement, et malheureusement, aussi dans notre pays.

La deuxième raison est mon refus de l’importation du conflit du Moyen Orient en Belgique, importation qui est un facteur important de la résurgence de l’antisémitisme et qui menace, au-delà de la communauté juive, la paix civile de notre pays.

Enfin, la troisième raison est mon refus répété de la déligitimation de l’état d’Israël.

En ce qui concerne l’état d’Israël et le Moyen Orient, ma conviction reste qu’une paix durable ne peut être installée dans cette région que par la solution dite des deux états, l’un à côté de l’autre et non l’un à la place de l’autre. Cette solution, qui est et qui reste la politique officielle de la Belgique, de l’Union Européenne et des Nations Unies, implique le droit des deux états de vivre en paix, dans des frontières sûres et reconnues, à l’abri de toute violence et de toute attaque extérieure.

Pour ce qui est de la première raison pour m’attribuer cette distinction, je continuerai à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que l’antisémitisme soit, comme toute autre forme de racisme, combattu et le cas échéant sanctionné.

J’aimerais revenir un instant à ce que j’ai dit à une réunion du Congrès Juif Européen en novembre 2008. Je cite : « Nous devons être très vigilants à l’égard d’un nouvel antisémitisme parfois et trop souvent banalisé. Nous devons être vigilants à l’égard d’un antisionisme qui est un antisémitisme déguisé, et qui, en réalité, n’a pas accepté l’existence de l’état d’Israël, même plus de soixante ans après sa création. » Fin de citation.

Cette cérémonie de 2008 commémorait la tragédie de la nuit de cristal.

Recevant alors la distinction de la boussole de Jérusalem, j’avais dit, et je cite à nouveau: « Le nord de cette boussole est marquée du nom de la vieille ville de Jérusalem. La boussole nous rappelle ainsi l’origine de notre vision européenne de l’homme et de la civilisation. La culture européenne est impensable et inexplicable sans l’héritage spirituel, religieux, philosophique, culturel et scientifique en provenance de Jérusalem».

« De Jérusalem nous avons aussi appris que nous devons maitriser l’art du doute et du débat pour avancer dans la connaissance et dans la sagesse. La discussion et le débat appartiennent à la substance du judaïsme. Discussion et débat, cela signifie le droit aux opinions propres et divergentes, et donc la tolérance. C’est d’une importance vraiment fondamentale. Parce que, comme nous l’avons souvent constaté, là où s’arrête la tolérance, commence la fin de l’humanité et du genre humain. » Fin de citation.

Ces mots sont aujourd’hui prononcés avec autant de conviction qu’à l’époque, à la mesure d’ailleurs de ma reconnaissance pour l’Etoile de David d’Or que vous m’attribuez".

David Beckham veut jouer sous les ordres de José Mourinho

football | Samedi, Los Angeles Galaxy recevra le Real de Madrid en match amical. L'occasion de montrer ses talents pour David Beckham, qui rêve de jouer pour José Mourinho.

© KEYSTONE | Ce sera la première fois que Beckham jouera contre son ancien club du Real de Madrid.
AFP |

Le joueur anglais David Beckham, des Los Angeles Galaxy (Etats-Unis), a déclaré que son "rêve" est de jouer sous les ordres de l’actuel entraîneur du Real Madrid, le Portugais José Mourinho.

Beckham a joué quatre saisons au Real Madrid de 2003 à 2007.

Le milieu de terrain international aura l’occasion de rencontrer Mourinho lors du match amical entre les Los Angeles Galaxy et le Real Madrid, samedi à Los Angeles.

Ce sera la première fois que Beckham jouera contre son ancien club.

HRW dénonce les exactions des rebelles dans l'ouest de la Libye

LEMONDE.FR avec AFP


Les rebelles sont notamment accusés d'avoir perpétré des pillages.

Les rebelles sont notamment accusés d'avoir perpétré des pillages. AP/Sergey Ponomarev

L'organisation non gouvernementale Human Rights Watch a accusé mercredi 13 juillet les rebelles libyens d'incendies, de pillages et de mauvais traitements sur des civils lors de leur offensive sur Tripoli à partir du djebel Nafousa (ouest).

L'organisation de défense des droits de l'homme "a été témoin de certains de ces actes, a interrogé des témoins pour d'autres et a parlé avec un commandant rebelle de ces abus", a déclaré l'organisation dans un communiqué. HRW indique que ces exactions ont eu lieu en juin et juillet et jusqu'à la semaine dernière, alors que les rebelles engageaient leur offensive à partir du djebel Nafousa, une région montagneuse au sud de Tripoli.

"Dans quatre villages capturés par les rebelles dans les monts Nafousa ces derniers mois, les combattants rebelles et leurs sympathisants ont saccagé des biens, brûlé certaines habitations, pillé des hôpitaux, des maisons et des commerces, et frappé certaines personnes soupçonnées de soutenir les forces gouvernementales", écrit HRW. "Les chefs rebelles ont le devoir de protéger les civils et leurs biens, particulièrement les hôpitaux, et de sanctionner quiconque se livre au pillage ou à d'autres abus", déclare encore l'organisation.

LE CNT MUET

Un commandant rebelle de la région, que l'organisation identifie comme le colonel El-Moktar Firnana, a admis des abus et affirmé que certains combattants ou sympathisants avaient été punis. "Si nous n'avions pas donné des instructions, les gens auraient brûlé ces villages jusqu'au dernier", a déclaré le responsable, cité par HRW, qui précise que deux de ces villages abritent une tribu proche du colonel Kadhafi.

Dans le bastion rebelle de Benghazi, à l'est, le Conseil national de transition (instance de commandement des rebelles) n'a pas répondu aux questions sur la réalité de ces violations. Après plusieurs semaines d'enlisement du conflit, les insurgés ont déclenché la semaine dernière, à partir des montagnes du djebel Nafousa, une offensive dans l'ouest de la Libye. Ils visent désormais deux verrous stratégiques pour prendre Tripoli en tenaille au sud et à l'ouest.

Ces accusations pourraient ternir l'image des rebelles, qui combattent le régime de Mouammar Kadhafi, en place depuis près de quarante-deux ans, avec le soutien des Occidentaux et de l'ONU. La France, qui a admis récemment avoir procédé à des parachutages d'armes légères dans le djebel Nafousa, a prolongé mardi son engagement en Libye lors d'un vote au Parlement qui a réuni majorité et opposition.

Libye, Afghanistan, Côte d'Ivoire... l'armée est-elle en surchauffe ?

Alors que les parlementaires viennent de prolonger l'intervention française en Libye, le budget de l'armée est tendu.

Avion de chasse français - Montage Lepost d'après Reuters
Avion de chasse français - Montage Lepost d'après Reuters | REUTERS/© Alessandro Garofalo / Reuters

L'appareil militaire serait "au taquet", dixit le ministre de la Défense Gérard Longuet lui-même mais "nous ne sommes pas en surchauffe", promet le chef d'Etat-major des armées, l'amiral Edouard Guillaud, dans Les Echos, mercredi.

Et pourtant, il reconnaît lui-même que "nous subissons actuellement trois phénomènes : la multiplication des "Opex", les opérations extérieures, une contrainte financière forte et un chantier de transformation énorme. Et, pour la première fois depuis 1962, nous devons faire face à ces contraintes de façon simultanée ! L'ensemble du système est donc forcément sous tension."

Un budget en roue libre

En effet, l'année dernière, un peu moins de 9.000 hommes étaient engagés en opération. Cette année, ils sont 13.000. 4.300 sont en Libye, 4.000 sont toujours en Afghanistan et dans la région, 1.300 au Liban, 900 en Côte d'Ivoire...

Le député de la Manche, Bernard Cazeneuve, a averti que les 630 millions d'euros budgétés pour les opérations extérieures en 2011 ne suffiraient pas et que les dépenses s'élèveront plutôt à un milliard d'euros. Valérie Pécresse, nouvelle ministre du Budget, a déclaré au Journal du dimanche que la guerre en Libye avait coûté jusque-là 160 millions d'euros. "Le budget de la Défense est de 40 milliards. Nous pouvons l'absorber."

Le député UMP, Louis Giscard d'Estaing, prévient dans La Tribune que "l'opération française en Libye n'était en rien budgétée".

"Suractivité" pour le matériel

Outre l'aspect financier, il y a toute l'intendance à gérer.

La période est à la "suractivité" comme l'a dit le chef d'état-major de la marine, l'amiral Pierre-François Forissier, cité par Le Monde. "Pendant que la marine et l'armée de l'air remplissent leur mission en Libye, la formation des jeunes pilotes est arrêtée", indique le quotidien du soir.

Il explique également que l'unique porte-avions français devra rester au port en 2012 pour renouveler les équipements et rattraper le retard accumulé sur le planning de formations sur le Charles-de-Gaulle. A l'arrière du front, les matériels manquent pour l'entraînement. Le Post vous signalait déjà mi-juin que les équipages étaient épuisés.

Retrait progressif d'Afghanistan

"Il faut savoir finir une guerre", a déclaré Nicolas Sarkozy en Afghanistan mardi, avant d'expliquer qu'un quart des troupes françaises sera retiré de ce pays avant la fin 2012. Ce qui permettra aux forces françaises de souffler un peu.

En attendant, on nous signale dans l'oreillette qu'on a trouvé des militaires disponibles pour défiler le 14 juillet. Tout n'est pas perdu.

Sources : La Dépêche.fr, Les Echos, Le Journal du dimanche, La Tribune (payant), Le Monde, Le Progrès

Corne de l’Afrique: 12 millions de personnes manquent de nourriture

sécheresse | Suite à la sécheresse et aux conflits armés, douze millions de personnes manquent actuellement de nourriture dans la Corne de l’Afrique.

© KEYSTONE | En Somalie, les habitants lèvent le camp à la recherche d'eau et de nourriture.

Douze millions de personnes manquent actuellement de nourriture dans la Corne de l’Afrique suite à la sécheresse et aux conflits armés. Cette estimation a été faite mardi par un économiste de l’Organisation mondiale de l’Alimentation et de l’Agriculture (FAO).

Dans une interview au siège de l’organisation à Rome, l’économiste Shukri Ahmed a indiqué que dans les zones les plus affectées de Djibouti, de l’Ethiopie, du Kenya, de la Somalie et de l’Ouganda, les populations avaient besoin d’une «aide alimentaire immédiate», y compris de bétail sur pied.

La semaine dernière, le Programme alimentaire mondial (PAM) a estimé que 10 millions de personnes avaient besoin d’aide alimentaire, soit une augmentation de 4 millions par rapport à la dernière estimation.

«La plupart de ces gens sont des pasteurs. Ils vivent de leur bétail et il est urgent que leurs troupeaux soient reconstitués», notamment en facilitant leur accès à l’eau et en les protégeant des maladies, a souligné Shukri Ahmed.

«Nous devons également leur fournir des graines ainsi que les équipements qui leur permettront de se ressaisir avant la prochaine saison des pluies qui commence en octobre», a-t-il ajouté. Pour ce faire, il faut que les gouvernements accroissent leurs investissements dans ce secteur.

Selon Shukri Ahmed, le long conflit qui ravage la Somalie est «au coeur du problème». «Pour faire quelque chose, il est clair qu’on a besoin de stabilité et d’une situation où tout un chacun peut se déplacer et aller aider les gens qui en ont besoin» a-t-il poursuivi.

Des chaussettes sales pour lutter contre le paludisme

Un enfant se protège sous une

MONTREAL — La mauvaise odeur des chaussettes sales viendra peut-être à bout un jour du paludisme, une maladie transmise par des moustiques qui tue chaque année quelque 800.000 personnes dans le monde, espère une équipe de chercheurs basée en Afrique.

Cette équipe dirigée par le Dr Fredros Okumu de l'Institut de la santé Ifakara, en Tanzanie, a découvert que la senteur des pieds était le meilleur moyen d'attirer les insectes piqueurs dans un piège mortel.

Fort du soutien de la fondation Bill et Melinda Gates, l'équipe a donc mis au point deux prototypes de pièges odorants qui attirent et tuent les moustiques.

"Ces pièges attirent quatre fois plus de moustiques qu'un humain", a dit le Dr Okumu à l'AFP, joint par téléphone en Tanzanie, où les dispositifs ont été testés.

Les prototypes, qui ont la forme d'une boîte, renferment des chaussettes sales ou des objets synthétiques qui reproduisent l'odeur typique et désagréable des pieds qui transpirent.

"Lorsque les moustiques pénètrent dans le piège, ils sentent quelque chose qu'ils croient être un humain, ils tentent de le piquer et plutôt que de sucer du sang, ils se font tuer" par un insecticide ou un agent biologique, ajoute le le Dr Okumu.

Le Dr Okumu espère d'ici deux ans être en mesure d'implanter ses pièges dans un certain nombre de villages en Tanzanie et de tester leur impact global sur la santé des habitants, et ce grâce à une nouvelle bourse de 775.000 dollars que lui remet mercredi la Fondation Gates et l'ONG canadienne Grand Challenges.

Entomologiste de formation, le Dr Okumu dit avoir senti le besoin de mettre au point une nouvelle méthode de lutte contre les moustiques en constatant les limites des principaux moyens actuellement employés, comme les moustiquaires de lits et les répulsifs.

L'avantage des pièges, selon lui, est qu'ils seront utilisés à l'extérieur des habitations et qu'ils seront donc une méthode complémentaire de lutte contre les moustiques qui transmettent le paludisme par piqûre.

"Ils vont peut-être nous permettre de franchir un jour le seuil nécessaire pour qu'on cesse de parler d'élimination du paludisme", espère-t-il.

Selon les chiffres de l'Organisation de mondiale de la Santé (OMS), le paludisme a causé près de 800.000 morts en 2009. Environ 90% de ces décès touchaient l'Afrique, dont 92% d'enfants de moins de cinq ans.

Outre le paludisme, les moustiques sont aussi des vecteurs de la dengue, une infection virale qui touche quelque 50 millions de personnes chaque année, de la fièvre jaune, de la filariose et du virus du Nil occidental.

Peter Singer, président de Grand Challenges Canada, une ONG financée par le gouvernement canadien, ne tarit pas d'éloges pour l'invention simple et originale du Dr Okumu: "Qui aurait pensé qu'un panier à linge pouvait cacher une technologie permettant de sauver des vies?", a-t-il dit à l'AFP.

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Forces républicaines de Côte d`Ivoire / Le Gal Bakayoko installé dans le fauteuil de Mangou - Le ministre ghanéen de la Défense et 10 CEMA de la CEDEA

L'Inter


Forces
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Forces républicaines : le Passation Le Général Bakayoko Soumaila prend le commandement de l`état major - Reuters
Mardi 12 juillet 2011. Abidjan. Etat major des armées au plateau ceremonie de passation de commandement entre Le Général Philippe Mangou Photo : Le General Philippe Mangou et le Général Bakayoko Soumaila



Le Premier ministre ivoirien, Guillaume Soro, estime que la prise de commandement du général de division Soumaïla Bakayoko au camp Galliéni au Plateau est le signe que la cohésion est revenue au sein de l’armée nationale. Le nouveau chef d’état-major (CEMA) général des Forces républicaines de Côte d’Ivoire a été intronisé hier mardi 12 juillet 2011 à l’état-major des armées en même temps que le nouveau commandant supérieur de la gendarmerie nationale, Gervais Kouassi Kouadio. En présence de nombreux ambassadeurs, de militaires étrangers, de l’ONUCI, de la force Licorne et des membres du gouvernement ivoirien. Le général Soumaïla Bakayoko a pris les commandes des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et a même donné son ordre du jour numéro 1 aux troupes. Une double cérémonie solennelle à laquelle ont assisté les ex-Forces armées des Forces nouvelles (FAFN) et les ex-Forces de défense et de sécurité (FDS). « La Côte d’Ivoire est en train de construire la paix et la réconciliation. La cérémonie d’aujourd’hui est chargée de symbole, j’y vois des actes de réconciliation. C’est un acte de réconciliation que de voir tous les anciens de l’armée, tous les commandants des groupements tactiques avec les autres officiers supérieurs pour marquer le retour de la paix et de l’union au sein de notre armée », a soutenu M. Soro. Qui a lu la formule consacrée mettant les forces armées nationales sous le commandement du général Bakayoko et la gendarmerie nationale sous celui du colonel-major Gervais Kouassi Kouadio. Leurs missions, selon Guillaume Soro, c’est de construire une armée accrochée aux valeurs d’éthique et de moralité républicaines. Tous les chefs militaires nommés hier et ceux installés hier, devront ramener le niveau de sécurité à un degré acceptable en favorisant le retour des forces de premier et de deuxième degré en première ligne. « Le gouvernement poursuivra de façon plus vigoureuse sa lutte contre le racket sous toutes ses formes et renforcera la libre circulation des personnes et des biens. Mon général, mon colonel, vous devez combattre inlassablement toutes les formes d’insécurité sur l’ensemble du territoire national », a-t-il enjoint les nouveaux patrons de la nouvelle armée ivoirienne. Il faudra aussi instaurer la discipline, force principale des armées et ramener la cohésion au sein de cette armée réunifiée. Les nouveaux patrons de la grande muette s’emploieront donc à enseigner à leurs hommes les vertus cardinales des armées, entre autres le courage, la loyauté et la rigueur. « Cette cérémonie scelle définitivement le retour de la cohésion en votre sein », a estimé M. Soro. 10 chefs d’état-major de la sous-région notamment du Ghana, du Bénin, du Burkina Faso, du Mali, du Niger, du Togo, du Sénégal, de la Guinée du Liberia et du Nigeria, et le ministre de la Défense du Ghana, Joseph Smith, étaient présents à ces passations de commandement. Très caressé au cours de cette double cérémonie, le Ghana était fortement représenté. L’on pouvait apercevoir les commandants de la marine, de l’armée de l’air et d’autres officiers supérieurs ghanéens à la tribune officielle. « Ah oui, je précise que le Ghana est venu au grand complet pour dire que le Ghana et la Côte d’Ivoire sont deux amis frères et que personne ne s’y méprenne sur notre degré d’amitié », a-t-il déclaré, faisant allusion certainement aux rumeurs de préparation d’une éventuelle déstabilisation de la Côte d’Ivoire à partir du Ghana. Le Gal Soumaïla Bakoyoko a dit compter sur les troupes sous son commandement pour redonner à l’armée ivoirienne ses lettres de noblesse. Ainsi à l’en croire, « c’est le temps de la renaissance » pour cette institution d’autant que « l’unité de la République implique l’unité dans l’armée ». Le colonel-major Gervais Kouassi Kouadio n’a pas dit autre chose et a promis de s’appuyer sur son prédécesseur, le Gal Edouard Kassaraté Tiapé, si besoin en était. Les organisateurs de cette cérémonie militaire ont fait intervenir au pupitre le Gal Gaston Ouassénan Koné, le plus vieux commandant supérieur de la gendarmerie encore en vie et le seul gendarme ayant exercé la fonction de chef d’état-major des armées en Côte d’Ivoire. Le Gal Soumaïla Diabagaté, CEMA de décembre 1999 à octobre 2000, s’est également prononcé. Notons que Soumaïla Bakayoko et Gervais Kouassi Kouadio sont respectivement 10ème chef d’état-major et 10ème commandant supérieur de la gendarmerie depuis l’indépendance du pays en 1960.

Hervé KPODION

Libye : les rebelles commettent des exactions dans l'ouest

Les rebelles libyens se sont rendus responsables d’incendies, de pillages et d’abus sur des civils lors de leur offensive sur Tripoli à partir du Djebel Nafusa (ouest) selon Human Right Watch (HRW).

« Saccagé des biens, brûlé certaines habitations, pillé des hôpitaux »

L’organisation de défense des droits de l’homme « a été témoin de certains de ces actes, a interrogé des témoins pour d’autres et a parlé avec un commandant rebelle de ces abus », a déclaré l’organisation dans un communiqué.

HRW indique que ces violences ont eu lieu en juin et juillet et jusqu’à la semaine dernière, alors que les rebelles engageaient leur offensive à partir du Djebel Nafusa, une région montagneuse au sud de Tripoli. « Dans quatre villages capturés par les rebelles dans les monts Nafusa ces derniers mois, les combattants rebelles et leurs sympathisants ont saccagé des biens, brûlé certaines habitations, pillé des hôpitaux, des maisons et des commerces, et frappé certaines personnes soupçonnées de soutenir les forces gouvernementales », écrit HRW.

« Les chefs rebelles ont le devoir de protéger les civils et leurs biens, particulièrement les hôpitaux, et de sanctionner quiconque se livre au pillage ou à d’autres abus », déclare encore HRW.

« Les gens auraient brûlé ces villages jusqu’au dernier »

Un commandant rebelle de la région, que l’organisation identifie comme le colonel El-Moktar Firnana, a admis que des abus avaient été commis et que certains combattants ou sympathisants avaient été punis. « Si nous n’avions pas donné des instructions, les gens auraient brûlé ces villages jusqu’au dernier », a déclaré le responsable, cité par HRW, qui précise que deux de ces villages abritent une tribu proche du colonel Kadhafi.

« Al-Awaniya et Zawiyat al-Bagul sont les villages de la tribu des Mesheshiya, connue pour sa fidélité au gouvernement libyen et à Mouammar Kadhafi », indique HRW.

Ces accusations pourraient affecter l’image des rebelles, qui combattent le régime de Mouammar Kadhafi, en place depuis près de 42 ans, au nom du respect des droits de l’homme et des libertés, gagnant le soutien des Occidentaux et de l’ONU.

Affaire “un footballeur tabasse une chanteuse”

Aristide Bancé: “Vitale m’a supplié...”
Jeudi 07 juillet 2011. Nous recevons un coup de fil de Yanez de Souza qui se présente à nous, comme étant le Président du Fan Club du footballeur Burkinabé Aristide Bancé. Il nous donne rendez- vous, dans la matinée, ce même jour, à la résidence du joueur située à Angré 8e tranche, pour que dit-il, Bancé donne sa version des faits. A la résidence du joueur où nous nous sommes rendus avec Yanez de Souza, Aristide Bancé est là et nous invite à prendre place au salon. Quelques minutes après, il nous montre des blessures causées selon lui, lors de la bagarre avec la chanteuse Vitale. Une blessure à la cheville recouverte d’un sparadrap, des griffures au bas-ventre et à l’épaule. “Pensez-vous que quelqu’un qu’on agresse, a le temps de vous blesser de la sorte? Non! Au contraire, c’est Vitale qui m’a agressé “révèle t-il, avant de poursuivre “Tout ce que son manager Kanté Farôt raconte est un tissu de mensonges. Je n’ai jamais harcelé Vitale. Au contraire, c’est elle qui me harcelait au téléphone et Kanté le sait très bien. Tout a commencé quand j’étais au Quatar. J’étais sur Facebook, quand j’ai reçu un message d’une certaine Vitale que je ne connaissais pas. Elle s’est présentée en me racontant qu’elle est ‘’managée’’ par Kanté Farôt que je connais bien. Ma femme, la petite sœur d’Aruna Dindane, qui était à mes côtés n’a pas apprécié la démarche de Vitale. Elle m’a même dit de me méfier d’elle. ‘’C’est comme ça, a-t-elle dit, que des chanteuses, à Abidjan procèdent pour forcer des footballeurs à entretenir des relations sexuelles avec elles. Sur Facebook donc, elle m’a envoyé une demande d’amis. J’ai alors contacté Kanté pour savoir à qui j’ai affaire. Il m’a dit: ‘’ C‘est mon artiste, n’aies pas peur, cause avec elle comme une amie. C’est ainsi que j’ai accepté sa demande d’amis. Vitale voulait me voir si j’arrive à Abidjan. Sur Facebook, elle regardait mes photos et me faisait des compliments. Je ne répondais jamais à ces compliments. Quand je suis arrivé à Abidjan, j’ai rencontré El Phaso, un ami avec qui, je ‘’tournais’’ de temps en temps. Quand Kanté a appris que j’étais à Abidjan, il m’a appelé pour me demander pourquoi je ne cherchais pas à le voir. Je lui ai dit que je n’avais pas le temps. Il a insisté pour me passer Vitale au téléphone. Elle et moi avons causé et nous nous sommes donné rendez-vous ce soir-là. C’était dans le mois de juin. A l’heure indiquée, Kanté m’appelle pour me dire qu’il pleut, mais insiste pour que j’aille chercher Vitale. Je l’ai donc prise chez elle, en face du New Ice, aux Deux Plateaux. Ce jour-là, elle était avec sa sœur. Dans le bar de Kanté, à Yop, où nous nous sommes rendus, l’ambiance était bonne… Nous sommes allés ensuite dans un maquis à la Rue Princesse. Aux environs de 1h30 mn, j’étais fatigué et je voulais rentrer.

Vitale: “Allons passer du bon temps dans une résidence...”
J’ai donc proposé à Vitale de la déposer chez elle. Lorsque que nous sommes arrivés devant chez elle, sa sœur est descendue de la voiture. Vitale m’a alors demandé où je l’inviterais le lendemain. Je lui ai dit d’aller ‘’doucement’’ parce que nous venons à peine de nous connaître. Mais qu’en plus, je suis marié. Elle a rebondit, cette fois, pour me dire : ‘’quand tu m’invites dans une résidence, pour qu’on passe du bon temps ? Tu verras, tu ne regretteras pas‘’. Avant de descendre de la voiture, elle m’a brusquement agrippé pour m’embrasser violemment : Je n’ai pas cédé. Elle m’avait badigeonné la bouche de son rouge à lèvres. Dégoûté, je l’ai essuyé. C’est peut-être mon geste qui l’a frustrée, mais elle n’était pas contente. Quelques jours plus tard, elle m’a appellé pour m’inviter au New Ice. Ce que j’ai refusé. Le jour de la bagarre, Kanté m’a téléphoné pour me dire que Vitale voulait me voir. Comme j’avais effacé son numéro de mon répertoire, j’ai demandé à Kanté de me le redonner. Quand j’ai eu Vitale au téléphone, elle m’a donné rendez-vous dans une ‘’boite de nuit’’, au Quartier Maroc. J’y suis allé, mais quand elle m’a dit qu’elle était avec Shola Bobaraba, je n’ai pas voulu entrer dans la boite. Je lui ai signifié que je ne m’entendais pas avec Shola Bobaraba. Je lui ai dit ‘’Va t’amuser, lorsque tu finiras on se verra. Mais elle a insisté. En fait, elle voulait que je lui paie à boire. Vu que je ne cédais pas, elle s’est énervée et a martelé. ‘’Tu fais le malin. Toi un Burkinabé comme ça, tu fais le malin’’. Je lui ai demandé de descendre de ma voiture. Franchement, je n’ai pas supporté qu’elle utilise ma nationalité pour m’insulter. Enervé, je suis descendu pour lui ouvrir la portière afin de la faire descendre. Alors, elle s’est mise à m’agresser. Elle m’a mordu à la jambe, au bras et m’a griffé le bas-ventre. J’ai appelé Kanté pour qu’il vienne ...Et je suis rentré chez moi. Je saignais. Après, mon ami El Phaso m’a appelé pour me signifier que Vitale a appelé les FRCI et que ces derniers me demandaient de me rendre urgemment dans une de leurs bases. Les éléments des FRCI, sans m’entendre, m’ont intimé l’ordre de la soigner. A l’hôpital, j’ai dépensé 225000 Fcfa.’’ Alors pourquoi n’a-t-il pas porté plainte quand Vitale l’a agressé ? lui ai-je demandé. “Je n’ai pas porté plainte contre elle parce que je voulais préserver mon image. Je dois dire aussi que je n’ai jamais menacé Vitale. Ils racontent que depuis le Burkina Faso, j’ai proféré des menaces de mort contre Vitale et Kanté. La preuve, je suis en face de vous. J’ai aidé des artistes tels que Gohou Michel, Bohiri Michel, Eric Patron, Popolaye…Je n’ai jamais considéré Vitale comme une Star, au contraire, je l’ai aidée. Savez -vous qu’a deux jours de la bagarre, elle et Kanté Farôt sont venus me voir pour que je leur prête ma voiture? Ils m’ont dit qu’ils devaient faire une prestation à San-Pédro. Vitale m’a supplié en pleurant. Je leur ai remis la somme de 180.000 Fcfa pour leur transport. Je voudrais dire, pour terminer, que je me suis trompé sur le compte de Vitale. Je croyais que c’était une fille sérieuse. Elle traquait un joueur professionnel Ivoirien du nom de Vignon. Et d’ailleurs, ce dernier m’a dit: “Fais attention, elle est dangereuse’’. Après m’avoir harcelé et agressé, elle a déclaré devant ceux qui ont assisté à la scène, qu’elle allait montrer les messages d’amour que je lui envoyais. Je lui demande de les faire publier. Enfin, je demande à Vitale d’avoir moins d’emprise sur Kanté Farôt. Elle le manipule comme elle veut.’’

JFK
abidjan.net/

Comment vivez-vous la fin d'Harry Potter?

Par LEXPRESS.fr


Comment vivez-vous la fin d'Harry Potter?

Les fans d'Harry Potter avant l'ouverture des portes de Bercy, mardi 12 juillet.

REUTERS/Benoit Tessier

Ce mardi, vous étiez nombreux à assister à l'avant-première de Harry Potter 7 à Bercy. A minuit, 320 salles projetaient le dernier volet de la saga. Vous l'avez vu? Donnez-nous votre avis.

Après Londres jeudi dernier, c'était au tour de la France de célébrer le dernier opus de la saga Harry Potter au cinéma. Ce mardi, malgré l'absence des trois acteurs principaux, le Palais Omnisport de Bercy a quasiment rempli tous ses gradins. De nombreux spectateurs - déguisés pour une grande partie - sont venus assister aux dernières aventures de ces jeunes sorciers qui depuis dix ans font vibrer petits et grands. Un écran de plus de 30 mètres de large et une entrée dans le Guinness World Records pour la plus grande projection 3D au monde a aussi marqué cette soirée.

A minuit, 320 salles françaises projetaient le film avec parfois une première partie de soirée consacrée au premier épisode du dernier Tome. Sur la Toile et en particulier sur Twitter, les réactions sont unanimes. "Magique, Incroyable, Phénomal, Inoubliable, Monstrueux" s'exclame imHendrix, "les gens applaudissaient à chaque scène" tweet JulienBc. L'émotion était au rendez-vous. "A la sortie des gens pleuraient sur les marches et dans la salle aussi" s'émeut ItsWilliaam.

Vous étiez à Bercy ? Racontez-nous cette avant-première.
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