23 septembre, 2013

Insolite: Les fesses coincées dans une balançoire, 12 pompiers viennent la sauver.

Insolite: Les fesses coincées dans une balançoire, 12 pompiers viennent la sauver.
23 septembre
18:52 2013

On aurait pu croire qu’elle avait le feu aux fesses. Mais non, elle était juste coincée.

C’est pourtant 12 pompiers dans 3 camions qui sont arrivés sur les lieux de l’incident. La jeune fille était coincée sur la balançoire, impossible de se sortir de ce qui s’était transformé en étau. Les pompiers ont libéré la jeune fille morte de honte en enlevant le siège de la balançoire.
Balançoire coincée2
Un passant raconte:
Elle se tenait la tête à deux mains, embarrassée en plus d’être filmée par sa famille. Elle n’était pas blessée, juste embarrassée que tout le monde s’arrête et la regarde.
Alors pourquoi 12 pompiers pour un problème aussi peu important? Un porte-parole de La Brigade du Feu de Londres s’explique:
Nous prenons tout ce qui concerne les enfants très sérieusement, et nous avons envoyé le nombre de personnes qui nous semblait juste pour parer à toute éventualité. Vous ne savez jamais vraiment sur quoi vous allez tomber avant d’arriver sur place.
Balançoire coincée3
Vu la honte qu’elle vient de se payer, pas sûr qu’elle remonte rapidement sur une balançoire.

5 systèmes qui pourraient succéder à Android

Si Android est incontestablement le système d’exploitation mobile qui a conquis le cœur des utilisateurs, la résistance s’organise. Nous vous proposons aujourd’hui de découvrir les cinq systèmes d’exploitation mobiles qui pourraient renverser un jour l’OS de Google sur smartphones.

SailFish

Gros atout de SailFish : il permet de faire tourner des applis Android...
Gros atout de SailFish : il permet de faire tourner des applis Android…
Conçu par des ex-employés de Nokia et passionnés d’informatique, SailFish est ce qu’on pourrait appeler un système hybride, qui tente de se démarquer avec une interface ergonomique, des visuels modernes et surtout des contrôles intuitifs. Tout comme BlackBerry 10, Sailfish permet de faire tourner des applications sous Android, ce qui devrait lui donner un net avantage sur la concurrence puisque dès le lancement de l’appareil, les utilisateurs auront accès à plusieurs centaines de milliers d’applications. Côté hardware, un seul terminal a été officiellement annoncé, un terminal milieu de gamme qui rappelle la gamme Lumia, et qui a été entièrement financé par les internautes. Néanmoins, l’entreprise finlandaise espère rapidement licencier son système d’exploitation à d’autres fabricants.

Tizen

Avec Tizen, Samsung ambitionne de concurrencer Google avec un OS propriétaire.
Avec Tizen, Samsung ambitionne de concurrencer Google avec un OS propriétaire.
S’il demeure très mystérieux, Tizen est incontestablement le système d’exploitation mobile au plus gros potentiel. Et pour cause puisqu’il est actuellement entre les mains de Samsung, qui n’est autre que le plus gros vendeur de smartphones et GSM au monde. Vif supporter d’Android depuis ses débuts, Samsung souhaite se décrocher progressivement de Google pour créer son propre écosystème. En théorie, Samsung pourrait donc intégrer Tizen à tous ses appareils électroniques, de la Smart TV au smartphone en passant par la tablette et même le frigo. En pratique, il est fort probable que l’entreprise coréenne prenne le risque de perdre des millions de clients en faisant volte-face. Si le fabricant finit par se détacher d’Android, tout cela se fera de manière progressive, et surtout, seuls quelques terminaux d’entrée de gamme devraient embarquer Tizen dans un premier temps.

Windows Phone

S'il  n'est pas encore aussi populaire qu'Android, Windows Phone séduit de plus en plus.
S’il n’est pas encore aussi populaire qu’Android, Windows Phone séduit de plus en plus.
Déjà bien implanté, Windows Phone atteint jusqu’à 10 % de parts de marché dans certains pays d’Europe. Le système d’exploitation de Microsoft a cependant pris des années à se développer, et beaucoup souffert du manque de soutien des fabricants. Son principal atout ? Incontestablement la facilité d’utilisation, son design « metro » et certains terminaux emblématiques, comme le Lumia 1020 qui se démarque avec un capteur de 41 mégapixels. Destiné tant aux néophytes qu’à ceux qui apprécient Windows 8, Windows Phone se promet un bel avenir depuis le rachat de Nokia par Microsoft. Il vise cependant un public cible très différent d’Android en marchant sur les plates-bandes d’Apple, avec un écosystème à moitié fermé.

Firefox OS

Dans un premier temps, Firefox OS ne devrait viser que l'entrée de gamme.
Dans un premier temps, Firefox OS ne devrait viser que l’entrée de gamme.
Nouveau venu sur le marché des OS mobiles, Firefox est parvenu à créer la surprise en visant l’entrée de gamme. Le système d’exploitation de Mozilla s’adapte parfaitement aux faiblesses des appareils d’entrée de gamme. Pour le moment réservé exclusivement aux marchés émergents, l’OS pourrait rapidement évoluer et viser les « high-end consumers » d’Europe et d’Amérique du Nord. Plusieurs fabricants, comme LG ou Sony, ont déjà marqué leur intérêt pour ce produit, qui pourrait faire de l’ombre à Android dans les marchés émergents.

Ubuntu

Ubuntu Touch est le système d'exploitation le plus ambitieux.
Ubuntu Touch est le système d’exploitation le plus ambitieux.
Si la campagne de financement de l’Ubuntu Edge, le premier smartphone à embarquer Ubuntu Touch, a été un cuisant échec pour Canonical, ce système d’exploitation très ergonomique réserve pourtant un immense potentiel et pourrait même s’avérer être un sérieux concurrent à Android, s’il reçoit tout du moins le support d’autres fabricants… Si le projet est pour l’instant au point mort, il est fort probable qu’Ubuntu fera bientôt à nouveau parler de lui. Le fait est que la technologie unique de l’appareil, qui embarque une version complète du système d’exploitation qu’on connait sur PC, se veut plus moderne que les autres systèmes. Ubuntu Touch permet en effet de se déplacer avec ses données et ses programmes pour les utiliser ensuite sur un ordinateur fixe en connectant simplement le smartphone à l’écran. Une fonctionnalité unique qui en fait un « poste de travail » mobile et ultra-connecté, qui devrait réjouir autant les professionnels de l’informatique que les entreprises.

Cancers du rein et de la vessie : le tabac est le principal ennemi

Le tabagisme est le principal facteur de risque des cancers du rein et de la vessie. A l'occasion de la semaine de l'urologie, les spécialistes soulignent l'intérêt du sevrage contre ces cancers.
Cancers du rein et de la vessie : le tabac est le principal ennemi
Une image en 3D d'un cancer du rein. GOMBERGH/SIPA

Certaines personnes manquent parfois de motivation pour arrêter de fumer. Les organisateurs de la semaine de l’urologie qui débute ce 23 septembre vont peut-être réussir à les convaincre de se lancer dans l’aventure du sevrage tabagique. En effet, les urologues tiennent cette année à attirer l’attention sur l’impact du tabac sur les cancers de la vessie et du rein. Le tabac n’est pas délétère que pour nos poumons, nos artères et notre ceur.

L'arrêt du tabac, principale arme contre le cancer de la vessie

Avec 11 965 nouveaux cas en 2012, le cancer de la vessie occupe la 5ème place des cancers en incidence. C’est le deuxième cancer urologique par sa fréquence, après celui de la prostate. Il est responsable de 3% des décès par cancer, et surtout son incidence est en augmentation d’environ 1% par an. Ses facteurs de risque sont principalement le tabagisme et l’exposition, notamment professionnelle, à des toxiques environnementaux. On sait depuis les années 50 qu’il y une association entre la consommation de tabac et le risque de développer un cancer de la vessie, mais l’information n’est pas connue. L’association française d’urologie (Afu) tient donc à rattraper le temps perdu et insiste sur le fait que « le principal levier de la prévention du cancer de la vessie dans la population française consiste en la lutte contre le tabagisme ».

1 cancer du rein sur 5 est lié au tabac

Quant au cancer du rein, il arrive juste après celui de la vessie, avec 11 573 nouveaux cas en 2012. Et là encore, certains facteurs de risque restent méconnus du grand public. Les urologues tiennent à signaler que « 21 % des décès liés au cancer du rein sont imputables au tabac. » Et selon le centre international de recherche sur le cancer (Circ), un homme fumeur a un risque de cancer du rein augmenté de 50% par rapport à un non fumeur. Pour une femme fumeuse, le risque de cancer du rein est augmenté de 20% par rapport à une non fumeuse. En outre, plus on fume longtemps et plus on fume de cigarettes par jour, plus le risque est élevé. Dix ans après l’arrêt du tabac, le sur-risque de cancer du rein disparaitrait.

Pourquoi les pharmacies ont-elles des croix vertes ?

Pourquoi les pharmacies ont-elles des croix vertes ?
Photo
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Des enseignes de pharmacies
Pour les distinguer des médecins, il fut décidé à la fin du XVIIIe siècle que le parement de manches des pharmaciens de l’armée serait vert.

Une couleur rappelant l’origine végétale de nombreux médicaments. Quant à la croix, elle était au départ rouge.
Le symbole des officines françaises est en fait emprunté à l’organisation internationale de la Croix-Rouge créée à la fin du XIXe siècle.
A cette époque, de nombreux fabricants de produits pharmaceutiques ont ajouté cet emblème sur leurs productions et les pharmaciens l’ont adopté comme enseigne.
Mais en 1913, la législation restreint l’usage de la croix rouge. Les pharmaciens ont finalement gardé la croix mais ont changé la couleur.

La gifle allemande à l'Europe

Romaric Godin
En reconduisant Angela Merkel, les électeurs allemands ont nié la réalité actuelle de l'Europe. Ils ont choisi de poursuivre une politique dénoncée ailleurs.

En reconduisant au pouvoir, avec la manière, Angela Merkel, les Allemands ont mis à jour un fossé béant. Celui qui les sépare des autres peuples du Vieux continent. Car il faut bien le reconnaître, ce contentement dans la politique actuelle de son chef de gouvernement - et singulièrement dans la politique européenne - apparaît comme une singularité germanique.
Le mécontentement européen
Partout ailleurs, en effet, le mécontentement règne en maître. Les gouvernements évoluent dans un contexte empoisonné d'impopularité record, de paupérisation croissante et d'impuissance économique. Et le président français n'est certes pas le seul - comme on le croit trop souvent en France - à devoir faire face à une telle situation. Elle est évidente en Grèce, au Portugal, en Italie ou Espagne. Elle n'épargne pas même les « peuples nordiques et vertueux », alliés traditionnels de l'Allemagne dans les jeux de pouvoir de la zone euro. Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte, un des rares à ne pas avoir été chassé du pouvoir pendant la crise, doit désormais agir alors que les extrêmes de droit et de gauche sont majoritaires dans l'opinion. Et dimanche prochain, lors des élections législatives autrichiennes, le gouvernement de grande coalition devrait subir un recul historique. Sa majorité devrait être fortement réduite et, là encore, les extrêmes (seulement de droite cette fois) devraient encore faire une percée.
Le contentement allemand
Partout en Europe, ces situations sont nées des mesures d'austérité budgétaire prises dans l'urgence. L'application sévère et aveugle d'une politique qui a fait de la consolidation budgétaire la seule priorité a conduit à une destruction progressive et plus ou moins rapide des structures économiques (l'Italie s'est rapidement désindustrialisée pendant la crise) et à une fragilisation des équilibres sociaux. Angela Merkel a évidemment une grande part de responsabilité dans cette situation. C'est elle qui, dès mai 2010, a imposé cette stratégie « de politiques d'ajustement » pour régler la crise. C'est elle qui, au printemps dernier, a défendu becs et ongles cette politique en martelant, avec son ministre des Finances Wolfgang Schäuble, qu'il n'y avait pas de différence entre austérité et croissance. C'est elle enfin qui a construit les bases d'une austérité durable et d'un modèle économique européen uniquement fondée sur la dévaluation compétitive par les salaires grâce aux nouveaux cadres européens que sont les « six pack », « two pack » et surtout le pacte budgétaire, écrit quasiment de sa main. Dans ce contexte, le vote des Allemands ce 22 septembre, est un camouflet au reste de l'Europe.
« Faites comme nous »
En accordant 47 % des voix à la coalition sortante et seulement 33 % des voix aux formations qui - très timidement - demandaient un peu plus de solidarité et une politique moins strictes, les Allemands ont fait savoir au reste du continent qu'ils trouvaient parfaitement satisfaisante la situation actuelle. Ils ont déçu les espoirs d'une Europe qui, si l'on en croit le pourtant très merkélien quotidien Les Echos, « espérait une Allemagne plus généreuse et plus constructive. » En plébiscitant Angela Merkel, les électeurs allemands ont envoyé ce message au reste du continent que la seule issue pour les autres peuples résidait dans l'acceptation des mesures « allemandes. » Ce qui a triomphé dimanche, c'est ce leitmotiv que l'on entend en boucle depuis trois ans outre-Rhin : « Mais pourquoi ne font-ils pas comme nous ? » Même les développements inquiétants de la semaine passée n'ont pas eu raison de cette certitude. Ni le chaos grec et l'assassinat d'un musicien communiste par des néo-nazis, ni les inquiétants développements au Portugal. Tout ceci ne serait donc décidément que mauvaise volonté et refus de voir dans la « solution allemande », le remède universel.
« L'Europe parle allemand »
Peu importe que ce leitmotiv n'ait aucun sens si l'on prend en compte la diversité des économies de la zone euro et la situation actuelle (bien différente de celle de 2003 lorsque Gerhard Schröder a entamé ses réformes qui n'ont du reste fonctionné qu'à partir du retour de la croissance mondiale en 2005). Mais ce leitmotiv a cet avantage remarquable de flatter les Allemands. C'est ce qui a tant profité à Angela Merkel qui en a fait la pierre angulaire de sa politique européenne. Plus que jamais, comme le signifiait voici deux ans un dirigeant CDU, « l'Europe parle allemand. » De gré ou de force.
Politique européenne à bon compte
Pour bien comprendre la victoire d'Angela Merkel, il faut en comprendre l'esprit. Ce n'est pas par grandeur d'âme que Berlin a cherché à transmettre ses « bonnes recettes. » C'est bien plutôt parce que c'est la méthode la moins coûteuse pour le contribuable. Pour sauver l'euro, instrument de puissance économique et politique si nécessaire à l'Allemagne, la République fédérale n'aura finalement versé que quelques dizaines de milliards d'euros en cash pour le capital du MES (Mécanisme européen de stabilité). C'est assez peu. Et c'est bien pourquoi les électeurs allemands ont eu ce sentiment que la chancelière défendait au mieux les intérêts allemands. Peu importe qu'il ne s'agisse là que d'une illusion et que le poids des dettes en Grèce et au Portugal rend inéluctable un défaut sur la dette garantie par l'Allemagne.
AfD, gage de l'immobilisme allemand
Confirmée, la politique d'Angela Merkel, celle qui est tant contestée partout ailleurs en Europe, devrait donc se poursuivre. Elle pourrait même se durcir. Car la chancelière sait qu'elle a été réélue sur la défense des contribuables. Il lui sera difficile de mettre en cause ses intérêts. Surtout, la poussée du parti anti-euro, l'AfD, qui a été à deux doigts d'entrer au parlement, place sur sa tête une épée de Damoclès. L'AfD pense qu'Angela Merkel va trop loin dans la solidarité européenne. Nul doute que la chancelière ne perdra pas de vue son évolution future. Et qu'elle n'aura de cesse de ne pas froisser les électeurs tentés par cette nouvelle formation. Dans les futures négociations sur le système de résolution de l'union bancaire et sur l'effacement des dettes des pays périphériques. C'est un gage certain de la poursuite de la politique d'immobilisme allemande en Europe.
Défaite de François Hollande
Après un tel soufflet, l'Europe n'a plus qu'à courber l'échine et à accepter la « solution allemande. » Ceux qui, comme François Hollande, espérait un « tournant » n'ont plus qu'à se soumettre. Le rapide communiqué de l'Elysée dimanche soir invitant Angela Merkel à « venir discuter des dossiers », sonnait comme une demande d'armistice de la part d'une armée défaite. Le président français est donc condamné à poursuivre son « merkélisme de gauche » à coup de hausses d'impôts afin de satisfaire aux critères fixés par le futur pacte budgétaire et au regard de Berlin. Et peu importe que l'on prenne le risque de détruire la croissance renaissante. Ainsi en ont décidé les électeurs allemands, vrais maîtres d'une Europe dont, en vérité, ils ne se soucient guère.

latribune.fr

A 8 ans, il est retenu par sa mère et violé sur une chaise au parloir d'une prison



Faits divers Une mère et un beau-père sont jugés pour le viol d'un enfant de 8 ans.
Une mère de 25 ans et un beau-père de 31 ans sont jugés à partir de lundi à Strasbourg (est de la France) pour le viol répété d'un enfant de quatre ans survenu au parloir d'une prison où l'homme était détenu.
Le beau-père, Lionel Barthélémy, a reconnu avoir violé le fils de sa compagne lors de visites au parloir à la maison d'arrêt de Toul (est) en février 2010, après avoir changé plusieurs fois de versions au cours de l'enquête.
Ce jour-là, dans le parloir, Sabrina Bonner aurait fait mettre à genoux son fils sur une chaise avant de lui bander les yeux avec son écharpe, puis elle l'aurait maintenu par les bras pendant que son beau-père le violait.
Les surveillants de la prison n'ont rien remarqué. Selon des éléments de l'enquête, des sacs poubelle obstruaient la porte vitrée du parloir de cette prison.
Le représentant légal du petit garçon, aujourd'hui âgé de 8 ans et placé en foyer, Me Yannick Pheulpin, a décidé "d'assigner le centre de détention de Toul en responsabilité à la fin du procès".
Incarcéré depuis août 2009, l'homme, que les experts psychiatriques décrivent comme agressif à tendances schizophrènes, purgeait une peine de trois ans pour des violences sur son ex-compagne.
"Mme Bonner s'est rendue complice du crime en conduisant son fils au parloir par deux fois dans la même journée: une fois le matin où il y a eu un premier viol et une seconde fois l'après-midi en sachant parfaitement ce qui allait à nouveau se produire", a accusé le représentant légal de l'enfant.
De son propre aveu, la mère du garçon se serait elle-même livrée à plusieurs viols et agressions sexuelles sur son fils entre 2009 et 2010.
Elle s'était présentée volontairement à la gendarmerie de Wissembourg le 30 mai 2011. Selon l'un de ses avocats, elle aurait toujours agi sous le coup de la menace et des instructions données par son compagnon.
De nombreuses vidéos contenant des images de viols et d'agressions sexuelles mettant en scène la mère et l'enfant ont été retrouvées lors des perquisitions.
Les deux accusés, en détention provisoire depuis le 1er juin 2011, encourent 20 ans d'emprisonnement.

Blaise Compaoré candidat en 2015 : « C’est à moi de choisir »

Le Président du Faso, Blaise Compaoré, s’est  confié à un média international sur une question importante : 2015.  Selon la Voix de l’Amérique (VOA), le Président du Faso a laissé entendre qu’il n’excluait pas de se présenter à l’élection présidentielle de 2015. Il affirme que ce choix lui appartient. Le Président du Faso s’est également prononcé sur le sénat.
Le Président du Faso Blaise Compaoré sur son éventuelle candidature en 2015 : "C'est à moi de choisir" (Ph : DR)
Le Président du Faso Blaise Compaoré sur son éventuelle candidature en 2015 : « C’est à moi de choisir » (Ph : DR)
Le Président du Faso, en séjour aux Etats-Unis, a été interviewé par le média américain, la Voix de l’Amérique (VOA). La présidentielle de 2015 a été évoquée. Mais Blaise Compaoré a tenu un discours déjà entendu, estimant que cette date était encore « lointaine » et qu’il ne souhaite pas devancer l’iguane dans l’eau, son souci essentiel étant de mener à bien son mandat actuel.
Le Président a tout de même affirmé au média américain qu’il a « toujours respecté la constitution » et reconnaît qu’il poursuit son dernier mandat. Toutefois, Blaise Compaoré n’exclurait pas de se représenter en 2015, selon les interprétations de la VOA qui ne cite pas les propos exacts du Chef de l’Etat.
« Je sais aussi où sont les limites de mes forces »
Le Président du Faso a  néanmoins indiqué qu’il connaît les limites de ses forces. « Je sais aussi où sont les limites de mes forces« , a déclaré le Président du Faso à la VOA.
Quoi qu’il en soit, Blaise Compaoré a laissé entendre que se représenter ou non en 2015 ne dépend que de lui.  « C’est à moi de choisir », rapporte la VOA. Le Président du Faso avait cependant indiqué dans une interview  datant du 15 octobre 2012 que cette décision dépendait aussi de l’avis des Burkinabè. « Notre Constitution est très claire : le terme de mon mandat est en 2015. Pour changer cela, il ne suffit pas que je le décide dans mon coin. Sauf à considérer que la voix des Burkinabè ne compte pas », avait-il dit en son temps.
Un consensus assez large pour la mise en place du Sénat
Concernant la mise en place du sénat, le Président du Faso s’est prononcé pour la deuxième fois sur la contestation de l’opposition. Pour lui, la position  de l’opposition est « politique » et  elle n’a pas la majorité à l’Assemblée nationale pour contrer le processus.
« L’opposition n’a pas une majorité pour modifier. Même si elle veut modifier ce Sénat, elle doit avoir l’accord ou l’adhésion des forces politiques qui sont dominantes au niveau de l’Assemblée nationale, et pour l’instant ce n’est pas le cas », a-t-il au média américain.
Se référant aux dernières concertations avec les représentants des communautés religieuses et coutumières ainsi qu’avec les déclarations de certains partis politiques qui se disent favorables au sénat, le Président du Faso estime qu’un consensus assez large, même si elle n’atteint pas l’unanimité,  se dégage pour la mise en place de la deuxième chambre du Parlement.
Abdou ZOURE
Pour Burkina 24