29 janvier, 2012

CAN: la Zambie arrache la qualif et la 1re place à la Guinée Equatoriale

ALABO (© 2012 AFP) - La Zambie a obtenu sa qualification pour les quarts de finale de la CAN-2012 en battant la Guinée Equatoriale (1-0), dimanche à Malabo, un succès qui lui permet d'arracher la première place de la poule A au pays-hôte, déjà assuré de sa présence au prochain tour.CAN: la Zambie arrache la qualif et la 1re place à la Guinée Equatoriale

© AFP Alexander Joe. Le milieu de terrain de Zambie Christopher Katongo (à droite) avec le défenseur de la Guinée Equatoriale Jose Bogung le 29 janvier 2012 à Malabo.

Le petit but inscrit par Chris Katongo (67e), son deuxième de la compétition, vaut de l'or pour les Chipolopolos, qui accèdent ainsi pour la 2e fois d'affilée au Top 8 continental et devraient surtout éviter le grand favori ivoirien. Une preuve de plus de la solidité de la sélection dirigée par Hervé Renard, qui confirme ainsi les belles dispositions déjà entrevues en 2010 en Angola.

Le revers est en revanche cruel pour le co-organisateur de la Coupe d'Afrique, la nation la moins bien classée du tournoi au classement Fifa (151e), qui pensait pouvoir boucler en beauté un premier tour miraculeux mais dont le parcours invraisemblable risque de prendre fin face aux Eléphants.

Un petit point suffisait pourtant pour faire le bonheur des deux équipes, quel que soit le résultat de la rencontre entre le Sénégal et la Libye (1-2) mais Equato-Guinéens et Zambiens ont tout fait pour empêcher que le match sombre dans une parodie de football et un ennui mortel.

Le technicien français des Chipolopolos avait d'ailleurs prévenu: pas question de se contenter d'un score de parité, l'objectif étant de ne pas croiser la route de la Côte d'Ivoire en quarts de finale.

La partie n'a certes pas été un sommet sur le plan technique, loin de là, mais difficile d'affirmer que les deux formations ont tout fait pour jouer le nul.

Les Zambiens ont ainsi globalement dominé les débats avec un Chris Katongo toujours aussi incisif et dangereux (3e, 36e) avant son but salvateur.

Quant au Nzalang Nacional, souvent malmené et acculé dans sa moitié de terrain, il a eu le malheur de tomber sur un portier zambien vigilant, comme sur ce face-à-face remporté avec autorité devant Bolado (40e).

Après ses exploits retentissants contre la Libye et surtout le Sénégal, la Guinée-Equatoriale n'aura pas donc pas réussi la passe de trois mais l'essentiel, à savoir un billet pour la suite du tournoi, avait déjà été garanti bien avant.

Avec un quart de finale théoriquement à sa portée, la Zambie peut de son côté se dire que tous les espoirs lui sont désormais permis.

CAN: la Libye avec les honneurs, le Sénégal sans

BATA (© 2012 AFP) - La Libye a quitté la CAN-2012 avec les honneurs en décrochant une victoire symbolique face au Sénégal (2-1), qui s'en va la tête basse, sous le poids d'un échec cuisant qui met son sélectionneur Amara Traoré sur un siège éjectable, dimanche à Bata.
CAN: la Libye avec les honneurs, le Sénégal sans

© AFP Abdelhak Senna. Omar Daf du Sénégal (à droite) avec Ahmed Osmane de Libye le 29 janvier 2012 à Bata.

Tout s'est joué au début et à la fin, avec une égalisation sénégalaise à la 11e minute et le but décisif libyen à la 84e. Entre-temps... rien, ou presque. Pour la Libye, qui avait besoin d'une victoire combinée à une défaite zambienne, c'est la 67e minute qui a sonné son glas, lorsque Christopher Katongo a marqué l'unique but du match à Malabo pour la Zambie.

C'est donc le zéro pointé pour le Sénégal, un des trois grands favoris du tournoi (avec le Ghana et la Côte d'Ivoire), incapable de ramener le moindre point à la tanière malgré un secteur offensif de premier choix (Sow, Ba, Papiss Cissé, Ndoye, Niang, Dia)...

Les Lions de la Téranga avaient visiblement la tête déjà au pays, ou en Europe auprès de leurs clubs. Pas de solidarité, pas de liant, pas d'application. Ce fut un festival de centres mal ajustés et de relances hasardeuses. Ce qui avait le don de faire sortir leur entraîneur Amara Traoré de ses gonds. Avant de prendre la porte ?

Et encore une fois, les Sénégalais ont raté leur entame. L'égalisation de Deme Ndiaye d'une tête sur corner (11e) n'était qu'un trompe-l'oeil. Car hormis une frappe de Souleymane Camara déviée par Samir Aboud (33e) et un lob non cadré de Papiss Cissé, qui semblait immanquable (71e), les Lions n'ont guère rugi. Cela ressemblait à un match amical de pré-saison. Dans la touffeur tropicale, ça sentait les vacances !

Le Libye, elle, a de nouveau réussi son entame, comme contre la Zambie, en marquant dès la 5e minute par Ihab al-Boussifi, profitant d'un trou dans la défense centrale et d'une mauvaise sortie du gardien Khadim Ndiaye.

Le même al-Boussifi a clos la marque de près (84e) et achevé l'histoire des Chevaliers de la Méditerranée dans cette CAN de manière... chevaleresque. Car l'idée était de terminer sur une bonne note un tournoi de toute façon réussi vu les événements traversés par cette sélection composée presque exclusivement de joueurs privés de compétition en club (le championnat domestique est suspendu depuis début 2011).

Libye et Sénégal éliminés de concert, mais ce n'était définitivement pas la même histoire.

CAN: la Libye avec les honneurs, le Sénégal sans

BATA (© 2012 AFP) - La Libye a quitté la CAN-2012 avec les honneurs en décrochant une victoire symbolique face au Sénégal (2-1), qui s'en va la tête basse, sous le poids d'un échec cuisant qui met son sélectionneur Amara Traoré sur un siège éjectable, dimanche à Bata.
CAN: la Libye avec les honneurs, le Sénégal sans

© AFP Abdelhak Senna. Omar Daf du Sénégal (à droite) avec Ahmed Osmane de Libye le 29 janvier 2012 à Bata.

Tout s'est joué au début et à la fin, avec une égalisation sénégalaise à la 11e minute et le but décisif libyen à la 84e. Entre-temps... rien, ou presque. Pour la Libye, qui avait besoin d'une victoire combinée à une défaite zambienne, c'est la 67e minute qui a sonné son glas, lorsque Christopher Katongo a marqué l'unique but du match à Malabo pour la Zambie.

C'est donc le zéro pointé pour le Sénégal, un des trois grands favoris du tournoi (avec le Ghana et la Côte d'Ivoire), incapable de ramener le moindre point à la tanière malgré un secteur offensif de premier choix (Sow, Ba, Papiss Cissé, Ndoye, Niang, Dia)...

Les Lions de la Téranga avaient visiblement la tête déjà au pays, ou en Europe auprès de leurs clubs. Pas de solidarité, pas de liant, pas d'application. Ce fut un festival de centres mal ajustés et de relances hasardeuses. Ce qui avait le don de faire sortir leur entraîneur Amara Traoré de ses gonds. Avant de prendre la porte ?

Et encore une fois, les Sénégalais ont raté leur entame. L'égalisation de Deme Ndiaye d'une tête sur corner (11e) n'était qu'un trompe-l'oeil. Car hormis une frappe de Souleymane Camara déviée par Samir Aboud (33e) et un lob non cadré de Papiss Cissé, qui semblait immanquable (71e), les Lions n'ont guère rugi. Cela ressemblait à un match amical de pré-saison. Dans la touffeur tropicale, ça sentait les vacances !

Le Libye, elle, a de nouveau réussi son entame, comme contre la Zambie, en marquant dès la 5e minute par Ihab al-Boussifi, profitant d'un trou dans la défense centrale et d'une mauvaise sortie du gardien Khadim Ndiaye.

Le même al-Boussifi a clos la marque de près (84e) et achevé l'histoire des Chevaliers de la Méditerranée dans cette CAN de manière... chevaleresque. Car l'idée était de terminer sur une bonne note un tournoi de toute façon réussi vu les événements traversés par cette sélection composée presque exclusivement de joueurs privés de compétition en club (le championnat domestique est suspendu depuis début 2011).

Libye et Sénégal éliminés de concert, mais ce n'était définitivement pas la même histoire.

EN DIRECT - Sarkozy : "J'ai un rendez-vous avec les Français, je ne me déroberai pas"

MINUTE PAR MINUTE. Revivez l'intervention télévisée du président de la République qui a lieu dimanche soir.

EN DIRECT - Sarkozy : "J'ai un rendez-vous avec les Français, je ne me déroberai pas"

Le Point.fr vous propose de revivre, minute par minute, l'intervention télévisée de dimanche soir de Nicolas Sarkozy.

21 h 25 : à la toute dernière seconde, le chef de l'État est interrogé sur la question des parrainages de Marine Le Pen. Il juge "toujours préjudiciable" qu'un "courant politique ne soit pas représenté" dans une élection. Mais finit par s'agacer : "Vous ne voulez tout de même pas que je m'occupe d'elle ?"

21 h 18 : dans les dernières minutes de l'émission, Nicolas Sarkozy s'exprime sur le ton de la confidence. "Est-ce que j'ai des regrets ? Oui. Est-ce que je m'en expliquerai le moment venu ? Oui." Questionné sur un éventuel slogan de campagne, il répond : "Si j'avais un mot à dire, je dirais sincérité."

21 h 18 : Nicolas Sarkozy dément la rumeur selon laquelle il s'apprête à écrire un livre.

21 h 14 : Nicolas Sarkozy n'a jamais été si près d'annoncer sa candidature. "Ne jouons pas au chat et à la souris. Mon intérêt serait de dire voilà, j'ai décidé. Mais je suis président de la République du cinquième pays au monde !" Fustigeant "l'arrogance" de certains - une allusion certaine au candidat socialiste, François Hollande -, Sarkozy confie : "J'ai un rendez-vous avec les Français, je ne me déroberai pas." Et de s'amuser : "De toute manière, il y a une date limite, c'est le 16 mars !"

21 h 13 : réaction de Bernard Cazeneuve, porte-parole de François Hollande, sur la TVA sociale, annoncée par Nicolas Sarkozy. "La TVA sociale, c'est le triple A : Antisocial, Antiéconomique, Antidémocratique."

21 h 10 : sur Twitter, Alain Lambert ironise encore : "Puisqu'on légifère pour le mois d'octobre, autant supprimer les 35 heures."

21 h 8 : "Je ne dis pas qu'après les élections on rasera gratis !" Nicolas Sarkozy se défend de prendre des mesures électoralistes, et affirme même que certains dans son entourage ont voulu le décourager de "prendre le risque" d'aller à la télévision...

21 h 7 : sur la déduction des intérêts d'emprunt immobilier, le chef de l'État fait son mea culpa : "Sans doute, ça devait être une erreur, ça coûtait fort cher."

21 h 6 : le journaliste de BFMTV, François Lenglet, plus combatif que ses trois confrères, enflamme la twittosphère. "Alerte, alerte à l'Élysée ! Un vrai journaliste (F. Lenglet) a réussi à s'introduire dans la salle...", tweete par exemple le directeur de la rédaction du Nouvel Observateur, Renaud Dély.

21 h 5 : "Je suis totalement opposé à la remise en cause du quotient familial." Nicolas Sarkozy est très clair sur cette réforme proposée par François Hollande, dont il estime qu'elle touchera les classes moyennes.

20 h 59 : justement questionné sur le timing politique de son annonce sur la TVA sociale - on se souvient du couac dans la majorité quand, en 2007, Jean-Louis Borloo l'avait évoquée -, le chef de l'État répond : "J'accepte les critiques sur le sujet, je comprends qu'on me dise que je n'en ai pas fait assez." Jean Arthuis obtient sa réponse.

20 h 56 : soutien de François Bayrou, Jean Arthuis, qui défend la TVA sociale (en vain) auprès du patron du MoDem, tweete : "TVA sociale. Excellent argumentaire de Nicolas Sarkozy. Mais pourquoi si tard et si peu ?"

20 h 56 : le chef de l'État ne cesse de marteler cet argument : avec sa TVA sociale, la France se trouvera dans la moyenne des TVA européennes.

20 h 54 : Nicolas Sarkozy use d'une drôle de formule : "J'ai le sens du ridicule, Mme Chazal. Ce n'est pas à moi de juger mon propre bilan. C'est aux Français de juger mon bilan."

20 h 52 : la taxe sur les transactions financières sera créée dès le mois d'août, indique Nicolas Sarkozy.

20 h 50 : Nicolas Dupont-Aignan, vachard, tweete : "Sarkozy, on dirait Louis de Funès, me dit ma fille !"

20 h 49 : le très libéral Alain Madelin, ancien ministre de l'Économie, a les oreilles qui sifflent. Alors qu'on rapporte au chef de l'État les critiques émises par Madelin sur la TVA sociale, Sarkozy ironise : "J'ai beaucoup d'amitié pour Alain Madelin, mais je n'adhère nullement à ses thèses de libéralisme sans frein et sans limites."

20 h 40 : "Un homme de grande qualité, M. Schröder...", glisse Nicolas Sarkozy au milieu de sa démonstration. L'ombre de l'ancien chancelier allemand plane sur le plateau. Le président de la République annonce une autre mesure attendue : les accords "compétitivité-emploi", qui permettent d'adapter le temps de travail en fonction de la conjoncture, avec des baisses de salaire à la clé dans le cas où l'activité de l'entreprise ralentit. "Cet accord s'imposera dans l'entreprise, et sera supérieur à la loi", confie-t-il. "On tournera la page des 35 heures ?" lui demande-t-on. "Exact", répond Nicolas Sarkozy.

REGARDEZ l'annonce de Nicolas Sarkozy sur les accords "compétitivité-emploi"

20 h 39 : Nicolas Sarkozy indique une hausse de 2 points de la CSG, mais uniquement sur les revenus financiers. "Les salariés ne paieront pas plus de CSG sur leur travail", commente le chef de l'État. Selon lui, la concurrence évitera les augmentations de prix.

20 h 39 : soutien du président du MoDem François Bayrou, l'ex-ministre Alain Lambert tweete : "Je n'ai pas été élu pour augmenter les impôts, au fait qui avait dit cela ?" Le Parti socialiste, lui aussi, ironise sur le réseau social : "Il n'y a pas de troisième plan de rigueur... Mais augmentation de la TVA... #sarkoshow."

20 h 35 : le terme de "TVA sociale" est lâché pour la première fois sur le plateau. Très sec, Nicolas Sarkozy rétorque que ce "mot n'a aucun sens", rappelant ne jamais l'avoir employé. Il se lance dans un laïus sur le made in France. Nicolas Sarkozy, comme François Bayrou, préfère l'expression "produire en France" au "consommer français", qui, selon lui, n'a pas de sens non plus... "Je veux que la France reste une terre de production", commence-t-il. "En France, ce sont les entreprises qui paient la politique familiale. Pourquoi ?" s'interroge-t-il. La décision du gouvernement tombe enfin : Nicolas Sarkozy propose d'exonérer de la totalité des cotisations sociales et patronales les salaires qui vont de 1,6 à 2,1 fois le smic. Les exonérations seront ensuite décroissantes de 2,1 à 2,4 fois le smic. Outre les exonérations, la hausse de la TVA de 1,6 point est confirmée.

REGARDEZ l'annonce de Nicolas Sarkozy sur la hausse de la TVA


20 h 34 : Nicolas Sarkozy s'engage pour l'usine Lejaby : "Je ne laisserai pas tomber les gens de Lejaby et dans quelques jours, j'espère, on aura trouvé la solution".

20 h 29 : le président de la République fait une deuxième proposition, qui vise cette fois particulièrement le chômage des jeunes : pour "développer l'alternance", "les entreprises de plus de 250 salariés devront avoir au moins 5 % de jeunes en alternance et en apprentissage". Une semaine après le premier grand meeting de François Hollande, le chef de l'État fait à son tour des promesses : il y aura des "résultats tout de suite".

20 h 25 : toujours dans l'objectif de "développer puissamment la croissance", Nicolas Sarkozy dévoile une nouvelle mesure : la création d'une "banque de l'industrie", "dotée de 1 milliard d'euros de fonds propres". Cela avait déjà été révélé le 18 janvier, lors du sommet de crise à l'Élysée.

20 h 20 : Nicolas Sarkozy fait une première annonce sur le logement. "Tout terrain, toute maison, tout immeuble verra ses possibilités de construction augmenter de 30 %. Les prix de l'immobilier à la vente et à la location vont enfin pouvoir baisser, car c'est en augmentant l'offre de logements que nous ferons pression sur les prix", explique-t-il. Cette mesure sera présentée au Parlement dès le mois de février, fait-il savoir. Et de tacler implicitement François Hollande sur sa politique du logement : "Si on fait l'encadrement des loyers, plus personne ne louera et plus personne ne construira. C'est le contraire de ce qu'il faut faire."

REGARDEZ l'annonce de Nicolas Sarkozy sur le logement

20 h 15 : interrogé sur le rôle des agences de notation à la suite de la dégradation de la note française par Standard & Poor's, Nicolas Sarkozy en parle une fois de plus comme d'un "thermomètre", et non comme de "la cause de la maladie". "Pas de troisième plan de rigueur ?" questionne Laurent Delahousse. "Non !" répond Sarkozy, qui justifie sa réponse par les chiffres du déficit qu'il vient d'annoncer (5,4 % ou 5,3 % en 2011).

20 h 13 : première nouvelle : le chef de l'État annonce un déficit "bien meilleur que ce qui était prévu", selon ses termes. Au lieu de "5,7 % de notre richesse nationale", il évoque le chiffre de 5,4 %, et peut-être 5,3 % en 2011. Il devrait être annoncé "dans les semaines qui viennent".

20 h 10 : Claire Chazal ouvre le bal, dans le studio installé dans la salle des fêtes de l'Élysée, avec à ses côtés le journaliste de France 2, Laurent Delahousse. Nicolas Sarkozy affiche une mine sérieuse. Première question sur l'annonce par le numéro deux de la CDU de la participation d'Angela Merkel à des meetings du futur candidat Sarkozy : "C'est une bonne nouvelle ?" demande Laurent Delahousse. "Je n'ai pas noté qu'elle votait dans le corps électoral français. Je n'ai pas pour l'instant annoncé quoi que ce soit ni sur ma candidature, ni sur mes meetings", tranche le chef de l'État, qui ne souhaite manifestement pas s'éterniser sur cette question.

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"Je ne me déroberai pas "

C'est le premier mensonge de ce discours ! Oui il se dérobe, ne se déclare pas candidat. C'est au contraire de ce qu'il affirme : sa stratégie, c'est la dérobade ! Je zappe : demain boulot, oui, j'ai cette chance !

le dernier des mohicans le 29/01/2012 à 21:51

Il devrait expédier les affaires courantes au lieu de semer de peaux de banane à son successeur. Vivement Mai 2012, sa sortie de l’Élysée va être mémorable.

RobinRoger le 29/01/2012 à 21:51

Du lard ou du cochon ?

Monsieur Sarkozy nous fait du grand Sarkozy ce soir, le voilà identique à celui de 2007, "les allemands y arrivent pourquoi pas nous ? ", "doper la croissance sans nuire au budget de la France", des plans sur la comète pour nous faire encore gober des couleuvres, j'ai tout gobé en 2007, là désolé mon pote mais la mayonnaise ne prend plus ! Il faut se réapproprier toute les entreprises de service national, banque, poste, téléphonie, transport ferroviaire, aérien, énergie, gestion de l'approvisionnement, supprimons les revenus des actionnaires pas celui des fonctionnaires ! En créant une taxe sur les transactions financière Monsieur Sarkozy ne fait que revenir sur ses pas, il voulait en 2007 tout faire pour que reviennent les investisseurs étrangers en France. Il veut créer une banque nationale de l'industrie qui prête à l'économie réelle, très bien, c'est ce que propose le Front de Gauche, c'est un virage ! Dommage qu'il ne l'ait pas fait pendant son quinquennat mais nous dit-il il avait d'autres chats à fouetter, comme de recapitaliser les banques, de livrer le livret A, de faire des bancassurances partout... Quel orateur, dommage que la démagogie soit son seul axe directeur.

Barth le 29/01/2012 à 21:48

Convaincant

Et bien moi je trouve qu'il a assuré. Un président crédible, tout simplement.

Vanille le 29/01/2012 à 21:46

Rien de nouveau

Et le contraire aurait été étonnant : voilà cinq qu'il est aux manettes et si aujourd'hui seulement une bonne idée lui venait à l'esprit cela aurait créé la surprise ! On ne peut rien attendre de plus que ce qu'il a fait : creusement de la dette, asphyxie de l'économie par une austérité trop grande et sans contre-partie, accroissement du chômage !

piedsgris le 29/01/2012 à 21:45

Pour ça pas de problème

Nous t'attendons de pied ferme dans 3 petits mois pour te notifier ton licenciement pour fautes très graves envers le peuple français des travailleurs, des retraités avec mise en danger de leur famille dans toutes les composantes de leur vie.

juliette le 29/01/2012 à 21:45

Le président de la République

J'ai apprécié le discours du président de la république. Je lis toujours le même style de commentaires des internautes. Ce président est le meilleur depuis des décennies. Les réformes se poursuivent et c'est bien pour la France. Je voterai pour lui. Pour certains français, il faudrait ne rien changer. Le monde bouge et vous allez vous faire dépasser si vous n'acceptez pas d’évoluer. Bonne soirée.

dédé2 le 29/01/2012 à 21:44

Même ritournelle pour les enfants

On avait l'impression de l'avoir entendu mille fois. Ce qu'il baratinait, avec les mêmes tics, la même façon de poser des questions aux journalistes.

Deimos le 29/01/2012 à 21:44

Bravo ! Au président Sarkozy

Quel ton de responsabilité, quelle lucidité et quel bon sens ! Sans mentir, les propos du président montrent combien les propositions de Hollande sont décalées et dangereuses pour notre économie. J'ai constaté que le président Sarkozy poursuit avec courage son chemin pour conduire la France en dehors des ornières creusées par les socialistes. D'ailleurs, le président n'en était pas à la moitié de son intervention que les internautes socialistes de la rue de Solférino, inondaient les sites de critiques et d'insultes comme d'habitude. Le président Sarkozy a raison. Ce n'est pas celui qui parle le plus fort, ce n'est pas celui qui critique tout, ce n'est pas celui qui propose n'importe quoi pour se faire élire qui sera entendu par les français. Non ! La vraie France ne se lèvera pas pour le messager de la ruine, pour Hollande qui veut dépenser plus en faisant payer plus d'impôts aux français. Non ! Les français se lèveront comme un seul homme pour soutenir le président Sarkozy, car les promesses toujours démenties de Hollande où totalement irréalistes économiquement sont trop dangereuses pour l'avenir des français. Le président Sarkozy reste le seul rempart contre le chaos et le flou que veulent installer les socialistes dans le pays. Un président qui assume, qui à le sens du devoir et qui sait bien qu'il n'a pas tout réussi, mais qui veut que le destin des français soit préservé loin de l'aventureuse vision d'un Hollande qui ne peut conduire la France que vers un désastre économique et social.
Enfin je voudrais dire à ces socialistes qui prétendent être des gens de droite qui ont voté pour Sarkozy en 2007 et que maintenant c'est fini, que leurs propos sonnent faux. Car celui qui a voté pour Sarkozy ne votera pas Hollande tant est profond le fossé qui sépare les idées surannées et décalées de Hollande avec le sens de la France qui anime celui qui soutient Sarkozy.

Simple remarque le 29/01/2012 à 21:44

35h

La faute aux 35h ? Mais pourquoi ne les a-t-il pas supprimées en 5 ans ce président qui ne vante d'être si courageux ?

Brad Pitt : « Achète une bague à maman »

Depuis le temps qu'il aime leur maman, il serait temps que papa Brad passe aux choses sérieuses !

Il semblerait d'ailleurs sur le point de le faire...

Hormis l'amour inconditionnel qu'il porte à Angelina Jolie, la raison pour laquelle l'acteur passerait la bague au doigt de l'actrice serait d'abord l'amour pour leurs six magnifiques enfants.

Ces derniers le harcèleraient pour qu'il épouse leur mère et ce, depuis un petit moment maintenant.

Dans une interview donnée au CBS Sunday Morning, Brad Pitt avoue que ses enfants se font carrément insistants : « Les enfants nous mettent la pression. (...) Ça représente quelque chose pour eux. » Cela n'a rien d'étonnant. Un mariage c'est symbolique.

Après bientôt sept ans d'amour, le couple pourrait tout de même se dire oui ! A moins que Brad y aile à reculons, à cause de son précédent mariage échoué ?

L'acteur avoue n'avoir jamais su comment expliquer pourquoi Angelina et lui se sont toujours pas mariés. A chaque fois que les enfants abordent le sujet, il se contente de répondre : « On le fera un jour. On le fera. »

Une promesse évasive qui, aujourd'hui, ne satisfait plus sa petite famille. Car les enfants sont de plus en plus précis dans leur demande : « Achète une bague à maman. »

Une phrase qui sonne un peu comme un ordre et à laquelle Brad rétorque : « Ok, je vais le faire ! Je vais le faire ! » Ben oui... tu vas le faire quand Brad ?

Retrouvez cet article sur voici.fr

Sommet de l'Union Africaine: le Béninois Yayi élu nouveau président

  • Le chef de l'Etat béninois, Thomas Boni Yayi, a été élu dimanche président de l'Union africaine (UA), un poste à rotation annuelle, a annoncé le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema, qui occupait la fonction jusqu'ici.Agrandir la photo

    Le chef de l'Etat béninois, Thomas Boni Yayi, a été élu dimanche président de l'Union africaine (UA), un poste à rotation annuelle, a annoncé le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema, qui occupait la fonction jusqu'ici.

Le chef de l'Etat béninois, Thomas Boni Yayi, a été élu dimanche président de l'Union africaine (UA), un poste à rotation annuelle, a annoncé le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema, qui occupait la fonction jusqu'ici.

"Je félicite le nouveau président de l'Union africaine (...) Boni Yayi," a déclaré M. Obiang. "Je n'ai aucun doute sur le fait que grâce à votre grande autorité (...) vous saurez mettre en oeuvre notre objectif de paix et de sécurité," a-t-il poursuivi lors du 18e sommet de l'UA à Addis Abeba.

"Je souhaite exprimer ma gratitude (...) aux chef d'Etat présents pour la confiance qu'ils m'ont apportée", a de son côté déclaré le président béninois. "Nous allons continuer à travailler ensemble étroitement pour faire en sorte de consolider tout ce que nous avons accompli jusqu'ici," a-t-il poursuivi.

Les noms de deux autres candidats à la présidence de l'UA avaient circulé ces derniers jours : ceux des présidents gambien, Yahya Jammeh, et nigérian, Goodluck Jonathan.

Mais selon des responsables, les pays d'Afrique de l'Ouest, dont le tour était venu d'assurer cette présidence, avaient décidé dès samedi soir de retenir la candidature du Béninois.

A l'occasion de cette réunion, les dirigeants africains doivent aussi élire le nouveau président de la Commission de l'UA, son organe exécutif, et choisir entre le sortant, le Gabonais Jean Ping, et la ministre sud-africaine de l'Intérieur, Nkosazana Dlamini-Zuma, ancienne ministre des Affaires étrangères et ex-épouse du président Jacob Zuma.

Syrie: 16 militaires tués dans deux attentats

Seize militaires ont été tués, dimanche 29 janvier, dans deux attentats distincts en Syrie, ont rapporté l'agence officielle Sana et l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Dix militaires ont péri dans l'explosion d'une bombe au passage de leur convoi à Kansafra, dans la région de Jebel al-Zaouia (nord-ouest), a annoncé l'OSDH. Et six soldats ont été tués à Sahnaya, près de Damas, dans une embuscade tendue par un 'groupe terroriste armé', selon Sana.

Trois civils ont également péri dans la province de Damas, où des violents combats opposaient dimanche des déserteurs aux forces gouvernementales qui se sont déployées à Kfar Batna et à Aïn Terma, dans la région de Ghouta, près de la capitale, a affirmé l'OSDH.

Depuis mardi, date d'un regain des violences selon le chef des observateurs arabes, les violences (répression, attentats, affrontements entre armée et déserteurs) ont fait au moins 229 morts, dont 145 civils, selon des chiffres compilés par l'AFP à partir d'informations officielles et de l'OSDH.

Invoquant une 'recrudescence des violences' contre les civils, la Ligue arabe a annoncé samedi la suspension de sa mission d'observateurs en Syrie et accusé le régime du président Bachar al-Assad d'avoir 'choisi l'option de l'escalade'.

Retrouvez cet article sur lemonde.fr

A 7 ans, il fait des pompes sur des bouteilles

Giuliano Stroe, ce gymnaste roumain âgé de 7 ans n'as rien à envier aux grands. Dans sa dernière vidéo, il montre qu'il est capable de réaliser une série de pompes en étant installé sur quatre bouteilles.

Ce jeune Roumain, Giuliano Stroe, n'a que 7 ans et se présente déjà comme un très grand gymnaste. Ses performances sont bien connues des internautes et pour cause, ce n'est pas tous les jours que l'on voit un enfant avec des abdos d'acier.

Dans sa dernière vidéo, ce garçon fait une série de pompes et pour ajouter une difficulté supplémentaire, il le fait en étant posé sur quatre bouteilles. Giuliano Stroe est vraiment fascinant. Il réalise ce numéro avec une facilité déconcertante. Au bout d'une minute, on peut voir qu'une des bouteilles qui maintient son pied vacille légèrement, mais Giuliano Stroe arrive facilement à retrouver l'équilibre et va jusqu'au bout de son exercice.

Cet enfant nous revient donc plus fort que jamais dans cette nouvelle vidéo. Très à l'aise, l'enfant est même fier de montrer ses tablettes à la caméra, comme pour rappeler qu'il est l'un des enfants les plus forts du monde. Le site du dailypicks and flicks souligne même que malgré son jeune âge, cet enfant compte déjà deux records du monde, reconnu par le Guinness des Records, à son actif.

Découvrez la vidéo en cliquant ci-dessous:

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Shakira, très sexy, décorée à Cannes devant ses parents et Patricia Kaas

C'est incontestable, la France l'aime à mourir : grande animatrice de la 12e cérémonie des NRJ Music Awards hier soir à Cannes, qu'elle a inaugurée avec sa reprise de Francis Cabrel validée par l'intéressé, Shakira a été doublement distinguée sur la Croisette, samedi 28 janvier 2012.

Quelques heures avant d'apparaître sur le tapis rouge du Palais des congrès et des festivals azuréen, pulpeuse et à tomber à la renverse dans une robe bustier minimale et colorée, et de recevoir un Award d'honneur (sa septième récompense en huit ans aux NRJ Music Awards) pour son rayonnement international des mains de Johnny Hallyday, la bomba colombienne de 34 ans, était à l'origine d'une véritable émeute dans les murs chic du Majestic, très sexy dans une robe sans manche tendance school girl ou pom pom girl (chacun décidera).

Le ministre français de la Culture et de la Communication Frédéric Mitterrand, qui a déserté les salons de la rue de Valois pour intervenir à Cannes dans le cadre du 46e Midem (Marché international du disque et de la musique enregistrée), y était présent pour l'honorer et affirmer encore un peu plus les liens intenses entre la popstar latine et la France : sous le regard évidemment très fier de ses parents Nidia et William, Shakira s'est laissé épingler avec le sourire, recevant les insignes de chevalier des Arts et des Lettres. "Je suis très touchée de recevoir cet honneur dans un pays tel que la France, qui a partagé avec le reste du monde un héritage culturel important", a notamment déclaré une Shakira absolument rayonnante, qui devient ainsi la première Colombienne à accéder à cette distinction. Il ne manque plus que la Légion d'honneur à celle qui interprétait avec audace et panache la Marseillaise, en français s'il vous plaît, lors des NRJ Music Awards 2011, où deux prix lui avaient été remis (Artiste féminine internationale et chanson internationale de l'année).

Prompt, comme on le sait, (...) Lire la suite sur purepeople.com

Ouverture du 18e sommet de l'Union Africaine à Addis Abeba

Le 18e sommet des dirigeants de l'Union africaine (UA), qui promet d'être dominé par les batailles de pouvoir interne, s'est ouvert dimanche à Addis Abeba, dans des locaux flambant neufs offerts par la Chine.

Le 18e sommet des dirigeants de l'Union africaine (UA), qui promet d'être dominé par les batailles de pouvoir interne, s'est ouvert dimanche à Addis Abeba, dans des locaux flambant neufs offerts par la Chine. | Tony Karumba

Le 18e sommet des dirigeants de l'Union africaine (UA), qui promet d'être dominé par les batailles de pouvoir interne, s'est ouvert dimanche à Addis Abeba, dans des locaux flambant neufs offerts par la Chine.
Jia Qinglin, membre du comité permanent du bureau politique du chinois, est l'invité d'honneur de ce sommet, dans un siège que son pays a construit et offert pour 200 millions de dollars (154 M EUR).

Ce siège qui domine Addis Abeba a été inauguré samedi par M. Jia, qui a souligné que son pays était désormais le premier partenaire commercial de l'Afrique avec 150 milliards de dollars l'an dernier.
Le thème du sommet est le commerce intra-africain, mais les questions institutionnelles devraient surtout occuper le débat: l'UA doit élire le nouveau de sa Commission, son organe exécutif, et choisir entre le sortant, le Gabonais Jean Ping, et la Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, ancienne ministre des Affaires étrangères et ex-épouse du président Jacob Zuma.
Locomotive économique du continent aux ambitions régionales désormais affichées, l'Afrique du Sud a fait une campagne intense pour sa candidate, ignorant la tradition accorder d'office un second mandat au président sortant souhaitant se représenter.
L'UA va aussi élire un nouveau président pour la représenter, une fonction assez largement symbolique revenue l'an dernier à l'Equato-guinéen Teodoro Obiang Nguema, en dépit des critiques des organisations de droits de l'homme sur son bilan en la matière.
Selon des sources concordantes, lespays d'Afrique de l'Ouest, dont le tour est venu d'assurer cette présidence, ont décidé samedi soir de retenir la candidature du président béninois, Boni Yayi.
Ces derniers jours, deux autres noms avaient circulé pour le poste : ceux des présidents gambien, Yahya Jammeh, et nigérian, Goodluck Jonathan.

Liga VILLARREAL - FC BARCELONE : 0-0 )Ça coûtera cher au Barçअ

Le Barça cale - FOOTBALL - Liga
AFp

Incapables de s'imposer sur la pelouse de Villarreal (0-0), samedi soir, lors de la 21e journée de Liga, les Barcelonais ont sans doute dit adieu au titre de champion d'Espagne. Les voilà relégués à sept longueurs du Real Madrid, qui a conforté son fauteuil de leader en dominant Saragosse (3-1).

VILLARREAL - FC BARCELONE : 0-0

Le Clasico a donc bien laissé des traces. Samedi soir, le Barça n'était apparemment pas remis de sa double-confrontation face au Real Madrid. Les Blaugrana avaient laissé trop de forces au Camp Nou pour s'imposer au Madrigal, dans l'antre de Villarreal (0-0). Leurs rivaux merengue, qui avaient dominé Saragosse un peu plus tôt (3-1), peuvent se frottent les mains : ils comptent désormais sept longueurs d'avance sur le champion d'Espagne. Autant dire qu'à l'occasion de cette 21e journée, les Catalans ont considérablement réduit leurs chances de se succéder à eux-mêmes.

Porte-drapeau de leur inefficacité offensive, Lionel Messi a, une fois n'est pas coutume, vendangé des occasions nettes. A deux reprises, le lutin argentin s'est retrouvé seul devant Diego Lopez. La première fois, son lob du gauche a filé le long de la cage de Villarreal (17e). La seconde, il a buté sur le gardien du Sous-Marin Jaune (87e). Et comme si cela ne suffisait pas, Cesc Fabregas a trouvé la transversale dans le dernier quart d'heure.

Conscients de l'enjeu, les Barcelonais ont bien tenté de forcer la décision dans les ultimes minutes. Mais ils étaient trop brouillons et trop peu inspirés pour venir à bout du 17e de Liga. La bande à Guardiola a décidément du mal à l'extérieur, où elle a déjà laissé filer 13 points. Elle n'aura pas trop le temps de ruminer cette contre-performance. Dès mercredi, elle se mesurera à Valence, en demi-finale de la Coupe du Roi.

Eurosport - Gil BAUDU