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Leonardo et Carlo Ancelotti, deux pointures que les Qataris ont pu attirer pour rejoindre l'encadrement du club
L’argent ne fait pas tout. Ce qui a toute les allures d’un truisme est pourtant une réalité que le PSG version carnet de chèque Qatari vient d’apprendre à ses dépends, avec l’échec de trois transferts de stars internationales (Beckham, Kaka et Pato pour ceux qui reviennent de leur voyage sur la Lune) dans ses rangs. Ainsi la rancune populaire parfois trop confortablement installée dans des idées toutes faites sur le caractère mercenaire des footballeurs, redécouvre que les demi-dieux du stade sont des êtres humains n’ayant pas que le salaire et les émoluments annexes dans la batterie des paramètres qui guident leurs choix de carrière.
Certes, le "premier sexe" en souffrira une fois de plus, on redécouvre, avec les cas de Beckham et de Pato, que, comme tous les autres mâles, même ceux qui courent 90 minutes à une vitesse où nous en tenons une seule, contrôlent les ballons, en maîtrisent la course, et ne prétextent pas avoir à faire pur s’échapper du mur lorsqu’un tireur est bien décidé à le propulser de toutes ses forces dans leur direction, bref ces sportifs que nous ne seront pas, sont à l’écoute de leur épouse et prennent en compte le bien de leur famille dans leurs décisions. Rassurons-nous donc, ils n’échappent pas à la règle voulant que derrière les plus grandes joies et les plus grandes peines d’un homme, se trouve la plupart du temps l’ombre courbée d’une femme…
Les agents ne font pas tout non plus. Alors que ceux-ci vivent des "coûts de transaction" entre clubs et joueurs et ont tout intérêt à multiplier le va-et-vient des marchandises (si, si) qu’ils gèrent, on s’aperçoit dans les tractations frénétiques de Leonardo et Ancelotti que la logique sportive des entraîneurs n’est pas un concept vide dans le foot (...)lire la suite sur Atlantico
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