15 juillet, 2011

Nafissatou Diallo "dit la vérité"

NEW YORK (© 2011 Afriquinfos) – Le site internet de Paris Match a publié l'interview de la psychothérapeute de Nafissatou Diallo.
Nafissatou Diallo "dit la vérité"

CC BY Guillaume Paumier22. Dominique Strauss-Kahn, en 2007

Dans l’entretien pour Paris Match, la psychothérapeute de Nafissatou Diallo, défend la version de la guinéenne.

Alors que la crédibilité de sa patiente s’est vue fortement questionnée, Mariama Diallo n’a aucun doute : "Elle ne ment pas, elle a dit la vérité. Je connais ce genre de femmes, je viens de la même ethnie, on parle la même langue".

La psychothérapeute, Spécialiste de la Communauté Africaine de l’organisation Sanctuary for Life à New York, est en contact avec la plaignante régulièrement. Elle assure que le viol a bien eu lieu et que sa patiente va "très mal".

Du côté de la défense, William Taylor, un des avocats de Dominique Strauss-Kahn, a un discours totalement opposé à celui de Mariama Diallo et celui de l’avocat de l’accusatrice. En conférence de presse le 13 juillet dernier, Taylor a assuré que "Le dossier médical de l'accusatrice est vide. Il n'y a aucune preuve. Pas de blessure à l'épaule, pas de marques de violences, pas de bleus".

Strauss-Kahn, actuellement en liberté sous parole, comparaîtra devant le juge le 1er août prochain, date de sa nouvelle audience.

Crise alimentaire en Afrique de l'Est: la main de l'homme, pas la fatalité

NAIROBI (© 2011 AFP) - La crise alimentaire en Afrique de l'Est a été déclenchée par une sécheresse exceptionnelle, mais son ampleur s'explique avant tout par des facteurs humains, que ce soit la guerre ou le sous-développement, soulignent plusieurs experts interrogés par l'AFP.
Crise alimentaire en Afrique de l'Est: la main de l'homme, pas la fatalité

© AFP Abdurashid Abikar. Des réfugiés somaliens attendent une distribution de nourriture, le 13 juillet 2011 à Mogadiscio

QUESTION: Quelle est l'origine de la crise humanitaire ?

REPONSE: L'élément déclencheur est une sécheresse provoquée par deux saisons consécutives sans pluie. Le Haut commissariat des Nations unies aux réfugiés évoque "la pire sécheresse en 60 ans" dans la région.

Il est difficile d'établir scientifiquement un lien avec le changement climatique, relève Alun McDonald, porte-parole d'Oxfam pour l'Afrique de l'Est. Ce qui est indéniable, c'est que les sécheresses surviennent de plus en plus fréquemment, et durent de plus en plus longtemps.

Q: Pourquoi ces crises humanitaires à répétition ?

R: "Les sécheresses sont cycliques et inévitables, ce qui ne l'est pas, c'est que cela débouche chaque fois sur une crise humanitaire", selon Alexander Matheou, représentant régional de la Fédération des sociétés de la Croix rouge en Afrique de l'Est.

En Somalie, la guerre civile depuis 1991 a destabilisé la société. 2,85 millions de Somaliens ont besoin d'une aide humanitaire, mais ils étaient déjà 2,4 millions en janvier.

Le nord du Kenya et le sud-est de l'Ethiopie, peuplées de nomades, ont été négligés pendant des décennies par leurs gouvernements. Dans le nord du Kenya en particulier, la quasi-absence de routes goudronnées, de centres de soins, de réseau électrique amplifie les effets de la sécheresse.

Q: Quelle est la gravité de la crise actuelle ?

R: Dix millions de personnes ont besoin d'une aide humanitaire. En Somalie, le niveau de malnutrition sévère des enfants est désormais le plus élevé au monde. Dans le nord du Turkana (extrême nord du Kenya), le taux général de malnutrition est monté à 37% contre 15% l'an dernier.

"Par rapport à 2008 ou 2009, la crise touche un nombre plus réduit de personnes, mais en terme d'acuité, c'est sans doute la pire depuis les années 9O", selon M. McDonald.

Il ne s'agit toutefois pas d'une famine comme dans les années 80 en Ethiopie.

Q: L'aide internationale fonctionne-t-elle ?

R: Elle est trop tardive. "L'aide d'urgence au stade ultime n'est certainement pas la meilleure façon d'agir. Elle devient nécessaire parce que d'autres mesures n'ont pas été prises avant", souligne M. Matheou.

"Nous devons acheminer l'eau de la ville vers les villages, cela peut prendre une journée, c'est beaucoup plus coûteux que si on avait construit en temps voulu un système d'approvisionnement en eau", relève M. Mc Donald.

Les appels de fonds des Nations Unies depuis fin 2010 ont été médiocrement suivis, quand des mesures préventives pouvaient encore être prises. En avril, seulement un quart des 529 millions de dollars d'aide demandée avait été reçu.

Q: Le pire est-il à venir ?

R: "Malheureusement oui. Nous nous attendons à un pic en août-septembre", prévient M. McDonald, en espérant que la prochaine saison des pluies en octobre sera cette fois au rendez-vous.

Q: Que faire sur le long terme ?

R: Tenter de ramener un peu de paix en Somalie. Développer les infrastructures dans les régions déshéritées du Kenya et de l'Ethiopie. Donner aux nomades davantage d'accès aux terres de pâturage et aux points d'eau, et aider ceux qui souhaitent se sédentariser en leur fournissant un minimum de semences, d'outils et de savoir-faire.

Faire naître des revenus de substitution, insiste Shep Owen, responsable de l'organisation Food for the Hungry au Kenya. Son organisation encourage la plantation d'acacia sénégal, un arbre résistant à la sécheresse dont la sève donne la gomme arabique, un émulsifiant pour l'industrie agro-alimentaire.

"Laisser les enfants à l'école", ajoute M. Matheou. La sécheresse incite les parents à déscolariser leurs enfants pour les envoyer loin chercher de l'eau, au risque d'en faire les victimes désignées, car sans éducation ni formation, des sécheresses à venir.

13 personnes tuées dans un glissement de terrain dans le centre-ouest du Népal

Par Fa Wenshixisheng, © Chine Nouvelle (Xinhua)

Au moins 13 personnes ont été tuées vendredi matin dans un glissement de terrain qui a enterré deux maisons d'un village du district de Rukum, dans le centre-ouest du Népal.

Selon le reportage en ligne de la THT, une équipe de policiers issue de l'agence de police du district a été envoyée sur place en vue des opérations de sauvetage, a indiqué Kishan Singh Thapa, chef de l'agence de police de Rukum. Pourtant, une équipe de policiers, venant de l'agence de police locale, est en train de s'efforcer d'exhumer les cadavres. Le lieu de l'accident se trouve à quatre heures de marche du quartier général de Khalanga.

Environ trois dizaines de maisons du village de Purtimakada sont menacées par un glissement de terrain.

Samsung annonce un processeur ARM gravé en 20 nm

Samsung vient d'annoncer avoir gravé son premier CPU ARM dans sa technologie avancée HKMG 20 nm. C'est le gage d'une plus grande intégration au sein des SoC (System On a Chip), mais aussi de rendements plus élevés.

Les technologies submicroniques n’en finissent pas de nous étonner. Devra-t-on abandonner le mot « micro-électronique » au profit de celui de « nano-électronique » ?

Rien n’est moins sûr car des limites physiques pourtant repoussées grâce à des prouesses technologiques risquent de se présenter tel un mur infranchissable à moins qu’un quelconque (effet) tunnel ne permette de le passer. Toujours est-il que Samsung vient d’annoncer avoir gravé un CPU ARM dans sa technologie 20 nm.

Il s’agit de sa technologie de pointe 20 nm utilisant une grille (de transistor MOS) métal à haute conductivité (HKMG pour High-K Metal Gate), l’inverse de la résistivité.

C’est avec plusieurs partenaires que Samsung a effectué le tape-out de ce test chip. Il s’agit d’ARM pour l’architecture employée dans ce design ainsi que les librairies prototypes ARM Artisan, les mémoires custom et les structures de test prêtes à être instanciées.

Mais aussi Cadence pour le flow de design numérique RTL to GDSII (RTL étant la synthèse de layout grâce à du code reposant sur une description comportementale et GDSII étant le fichier final de tape-out prêt à être utilisé en fab) et Synopsys pour la plate-forme Synospys Galaxy.

C’est un CPU ARM Cortex-M10 qui a été le premier à bénéficier de cette finesse de gravure. Il s’agit du processeur le plus petit du constructeur asiatique. C’est un gage de rendement accru avec un nombre de puces élevé par galette de silicium (wafer) et donc d’une baisse de prix de chaque puce.

S’il ne s’agit pour l’instant que d’un prototype (test-chip) permettant de peaufiner les derniers réglages de la fab, cette technologie devrait permettre à l’avenir une plus grande intégration au sein des SoC. C’est la voie que semble prendre Qualcomm en intégrant le module 3G (voire 4G) au SoC, mais aussi Intel avec l’acquisition récente d’Infineon ainsi que NVIDIA qui a récemment fait l’acquisition d’Icera qui conçoit des puces 3G et 4G.

itespresso.fr

Un homme boit de l'essence pendant 42 ans

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Un homme boit de l'essence pendant 42 ans (Chongqing)

Il a été récemment raporté dans les médias chinois qu'un homme malade buvait quotidiennement de l'essence depuis 42 ans pour atténuer ses douleurs physiques.

Chen Dejun, un chinois de 71 ans, vit dans une petite cabane en bois sur une colline du canton de Shuijiang, municipalité de Chongqing.

Le vieil homme dit boire entre 3 et 3,5 kilogrammes d'essence tous les mois.

Connu localement comme artisan dans la sculpture de pierres et le tissage du bambou, il achète son essence dans une station au pied de la colline.

La mauvaise habitude de Chen a commencé en 1969 alors qu'il a commencé à ressentir des douleurs à la poitrine. Après avoir essayé différents médicaments, ne voyant aucun résultat, il a commencé à boire du kérosène, rapporte le Chongqing Evening News.

Se sentant mieux après chaque tasse, il est vite devenu dépendant. Puis il est passé à l'essence.

On estime que durant sa vie, l'homme a avalé près de 1,5 tonnes d'essence en 42 ans.

Sa femme et ses trois enfants ont essayé à de nombreuses reprises de le persuader d'arrêter, mais l'homme, fatigué de ces remontrances s'est retiré du foyer familial pour aller vivre seul dans sa petite cabane en bois.

Des médecins venus sur place pour faire un bilan de santé à Chen ont déclaré que sa santé était plutôt bonne malgré la présence d'emphysème.

La Rédaction

L’Afrique est aussi partagée dans les arts

En 1885, l’Europe se rencontrait à Berlin pour procéder au partage de l’Afrique comme un gâteau sur un plateau. Les frontières des états ont ainsi été délimitées consécutivement aux intérêts des différents colonisateurs. Un peu plus d’un siècle plus tard, le même partage semble intervenir encore dans le domaine des arts. Les grands rendez-vous culturels du continent sont organisés dans des zones « imposés » par les mécènes et les financiers européens. On assiste ainsi à un nouveau partage de l’Afrique, un nouveau « Berlin », celui des arts.


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Quand l’Occident procédait au partage de l’Afrique à la Conférence de Berlin en 1885, c’était pour balkaniser le continent et assouvir ses besoins capitalistes. Ce partage de l’Afrique s’est fait en raison des intérêts colonialistes des pays occidentaux. Au moins, plus de cent ans après, on observe le même procédé ou phénomène dans le monde des arts. Nous témoignons d’un nouveau partage de l’Afrique, c’est-à-dire un nouveau « Berlin » des arts. Les plus grands rendez-vous culturels africains semblent minutieusement organisés selon les intérêts des mécènes et des bailleurs de fonds européens.

Pour réussir les arts visuels, il faut impérativement s’aligner sur Dakar avec sa Biennale de l’art africain contemporain. Dans ce domaine précis, la capitale sénégalaise est le lieu de convergence attitré. C’est pourquoi quand la biennale de Dakar arrive, toute l’Afrique au Sénégal. Bamako ne pourrait jamais jouer ce rôle car le choix a déjà été fait et le tour déjà joué. De la même manière, toute l’Afrique se retrouve tous les ans à Brazzaville au Congo pour savourer le Festival panafricain de musique (Fespam).

Même si officiellement c’est l’Union africaine (Ua) qui avait confié l’organisation au Congo, il y a quinze ans, il faut bien comprendre que le budget de 3 à 4 milliards FCFA qui lui alloué est versé par en majorité par les bailleurs de fonds européens. C’est ici d’ailleurs l’occasion de demander ce qui sera fait du financement de la 8e édition qui était prévue du 9 au 16 juillet 2011, et malheureusement annulée par le Président Dénis Sassou Nguessou à la suite du décès de sept personnes par asphyxie au courant d’une bousculade au stade Félix Eboué.

Cette suite des évènements a entraîné l’annulation du marché de la musique africaine (Musaf) qui devait se dérouler en même temps avec des expositions-ventes de supports phonographiques et vidéographiques, d’instruments de musique, mais aussi de rencontres professionnelles sur l’industrie culturelle et musicale. Bref, c’est un report regrettable dans la mesure où c’est toute une valeur ajoutée qui est ainsi remise en question. Alors pourquoi n’a-t-on pas déplacé l’évènement dans un pays voisin ? Cela semble alors conforter la thèse selon laquelle les bailleurs veulent cet évènement à Brazzaville et non ailleurs. C’est évident.

Ouagadougou (Burkina Faso) est la capitale africaine du cinéma. Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco) est le grand rendez-vous culturel qui accueille tous les ans tous les acteurs du cinéma (producteurs, réalisateurs, metteurs en scène, acteurs, interprètes, presse, etc.). De la même sorte, le Togo ou le Bénin jouent les premiers rôles dans le domaine du design. Voilà en définitive comment s’est fait le « Berlin » des arts, le nouveau partage de l’Afrique. Un découpage qui n’est pas mauvais en soi, car il permet de répartir les valeurs ajoutées de la culture et de corriger les inégalités.

BURKINA FASO Révision article 37 : Le CCRP dit NON !

Trois semaines après avoir donné le "la" des travaux du Conseil consultatif sur les Réformes politiques (CCRP), le Premier ministre, Luc Adolphe Tiao, a procédé, hier 14 juillet, à leur clôture à Ouaga 2000. A partir de cette date, les aspects consensuels des réformes sont connus, ainsi que les non-consensuels. Place aux tournées explicatives régionales et aux assises nationales, tribune où, selon le chef du gouvernement, "les dirigeants et formations politiques" peuvent toujours venir s’exprimer. Une porte toujours grande ouverte donc.

Les échanges des 68 conseillers du CCRP ont donné les résultats suivants :

Des propositions consensuelles, il y a :

- la création des cadres périodiques de dialogue direct entre autorités et populations aux niveau national, régional, provincial et communal ;

- la création d’un cadre permanent de concertation dénommé Conseil national de sages ;

- la Constitutionnalisation de la chefferie coutumière et traditionnelle et l’élaboration de son statut ;

- l’institutionnalisation du Conseil national de la jeunesse ;

- la création d’un observatoire national de prévention et de gestion des conflits ;

- la création d’un cadre de concertation entre le pouvoir, les syndicats et les autres acteurs de la société civile ;

- l’organisation d’un débat national sur la laïcité ;

- la création de cadres de rencontre entre le pouvoir et les partis politiques ;

- la création de cadres de rencontre entre la majorité politique et l’opposition politique ;

- 35 ans minimum et 70 ans maximum pour l’âge du candidat à l’élection présidentielle ;

- amnistie limitée dans le temps pour tous les chefs d’Etat de 1960 à la date d’adoption de la disposition y relative ;

- la nomination du Premier ministre au sein de la majorité ;

- le Premier ministre est responsable devant le Parlement ;

- le Premier ministre doit soumettre sa déclaration de politique générale (DPG) dans les 30 jours avant le Parlement ;

- le droit de censurer la DPG du Premier ministre ;

- l’adoption des plans et programmes de développement par voie législative ;

- la maîtrise par le Parlement de son ordre du jour lors des sessions ;

- l’avis du Parlement pour les nominations à certaines hautes fonctions de l’Etat ;

- la création au sein du Parlement d’une commission chargée d’examiner et de proposer les avis de non-objection ou de rejet ;

- la création d’un Sénat ;

- le président du Faso est le président du Conseil supérieur de la magistrature ;

- un des vice-présidents est le premier président de la Cour de cassation ;

- le président du Conseil constitutionnel élu parmi les membres dudit conseil ;

- les anciens chefs d’Etat pourraient siéger au sein du Conseil constitutionnel ;

- le création d’un Tribunal des conflits ;

- la saisine du Conseil constitutionnel par les citoyens à travers la représentation nationale à hauteur d’un dixième des élus ;

- la constitutionnalisation du Conseil supérieur de la communication (CSC) ;

- le président du CSC élu par les conseillers ;

- la constitutionnalisation du Médiateur du Faso ;

- la relecture de la loi portant charte des partis politiques ;

- la relecture de la loi sur le statut de l’opposition politique et la révision du statut du chef de file de l’opposition ;

- l’interdiction des cellules et réunions politiques dans les services publics ;

- le plafonnement et le contrôle des dépenses de campagne ;

- la réorganisation de la CENI (sa forme actuelle restera jusqu’aux élections de 2012) ;

- l’identification des électeurs (instauration de la CNIB, adoption d’une carte d’électeur) ;

- le maintien de la liste nationale au scrutin législatif ;

- la constitutionnalisation du genre.

Des propositions de réformes non consensuelles, le CCRP a répertorié celles suivantes :

- la création de l’observatoire de la laïcité ;

- la journée des partis politiques ;

- le maintien ou la relecture de l’article 37 de la Constitution ;

- la proposition relative à l’instauration des audiences foraines présidées par des magistrats en remplacement des tribunaux départementaux ;

- la création d’un Conseil supérieur de la magistrature de l’ordre administratif ;

- la modification du code de procédure pénale en vue d’admettre la présence d’un avocat dès la phase de l’enquête préliminaire ;

- l’abolition de la peine de mort ;

- l’élargissement à tous les partis du financement public des activités politiques lors de la campagne ;

- l’interdiction du financement privé des activités politiques ;

- la région comme circonscription électorale ;

- la suppression des budgets pendant les périodes électorales ;

- les candidatures indépendantes aux élections législatives et municipales.

Pour le Premier ministre, le consensus qui a été la règle de base des travaux augure des lendemains de dynamisme politique. Satisfecit du chef du gouvernement, mais il invite les absents à revenir (aux prochaines assises nationales) pour apporter leur contribution à l’édification de cette œuvre qualifiée d’historique ; car désormais, foi de Luc Adolphe Tiao, la preuve est faite que cette mission du CCRP ne s’est pas accomplie sous le diktat d’une main invisible.

Un homme heureux, c’est aussi Bongnessan Arsène Yé, patron de la structure, qui a parlé de "résultats fructueux" au sujet des travaux du CCRP.

Zowenmanogo Dieudonné Zoungrana

L’Observateur Paalga