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M. Zuma a dit à des journalistes que le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi ne devrait pas se présenter à ces négociations visant à une transition politique dans le pays d'Afrique du Nord en crise.
Il n'a toutefois pas donné de détails sur la date à laquelle vont démarrer ces pourparlers entre gouvernement et insurgés.
Jacob Zuma, porte-parole du Comité ad hoc de haut niveau de l'UA pour la Libye, a fustigé la poursuite des bombardements dans le pays.
De son côté, le président équato-guinéen, Teodoro Obiang Nguema, qui assume la présidence de l'UA, a déclaré que le conflit menaçait d'aboutir à une partition de la Libye en deux, s'il n'était pas réglé de toute urgence.
L'UA n'acceptera pas qu'une telle chose se produise, a martelé le président Obiang, soulignant que les aspirations légitimes des rebelles et les préoccupations du gouvernement devront être mises sur la table lors des négociations.
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