17 juin, 2011

Etats-Unis : LeBron James numéro 3 des sportifs les mieux payés

Comme tous les ans, le magazine Sports Illustrated a sorti son classement des sportifs américains les mieux payés. Si LeBron James n’a pas gagné de titre cette année, il n’a cependant pas tout perdu.

En effet, il se place à la troisième place du classement, derrière Tiger Woods et Phil Mickelson, tout deux joueurs de golf.

Un salaire sensiblement inchangé

Le salaire de la star de Miami est connu : 14,5 millions de dollars par an. Mais Sports Illustrated estime le montant de ses revenus issus des contrats publicitaires à 30 millions, soit un total d’environ 44,5 millions de dollars cette année.

Selon le magazine, c’est un peu moins que la saison dernière, où il pointait à 45,8 millions. Est passée par là la réduction acceptée pour rejoindre Miami. Mais cela ne l’empêche pas de gagner une place dans le classement. Il prend la place de Floyd Mayweather, Jr., boxeur de son état, absent des rings pendant 1 an.

18 joueurs NBA dans le Top 50

Le classement permet d’observer que 18 joueurs issus de la NBA se glissent parmi les 50 sportifs les mieux payés aux Etats-Unis.

Voici leurs places respectives.

# Joueur Salaire (en millions)
6 Kobe Bryant 34,8
7 Kevin Garnett 32,8
10 Dwight Howard 28,6
11 Dwyane Wade 28,2
16 Amar’e Stoudemire 24,5
21 Carmelo Anthony 23,1
24 Tim Duncan 22,3
27 Vince Carter 20,5
29 Rashard Lewis 20,3
31 Kevin Durant 20
34 Michael Redd 18,6
36 Gilbert Arenas 18
37 Zach Randolph 17,8
40 Kenyon Martin 16,8
43 Joe Johnson 16,6
’45 Elton Brand 16,5
49 Paul Pierce 15,7
50 Chris Bosh 15,5

La NBA est la ligue la mieux représentée dans ce classement, avec pas moins de 36% des membres du Top 50.

Par ailleurs, si de nombreux joueurs touchent un grande partie de leur revenus en publicité (LeBron James : 30 millions, Kobe Bryant : 10 millions, Garnett : 14 millions, Howard : 12 millions, Wade : 14 millions, Stoud : 8 millions ou encore Melo : 6 millions), celui des autres joueurs moins médiatisés se limite à leur salaire.

Encore des chiffres qui risquent de faire parler dans les couloirs de la négociation entre propriétaires et joueurs. Les premiers ne vont pas manquer de pointer du doigt les gros salaires de joueurs dont l’apport sur le terrain est contestable, et les autres d’indiquer que personne n’a obligé les propriétaires à proposer et signer de tels contrats…

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