20 décembre, 2010

CONFIDENCES DU WEEK-END : Une découverte macabre à Namissiguima

Le 16 décembre 2010 aux environs de 16h, un homme a été interpellé par la gendarmerie sur le site aurifère de Namissiguima. Selon nos sources, c’est après avoir reçu le reste d’une soupe des mains de cet homme que des talibés ont constaté la bizarrerie du morceau de viande. Les deux mendiants ont alors jeté ce morceau de viande devant quelques travailleurs miniers.

Au vu de ce fameux morceaux de viande, ces derniers ont estimé qu’il s’agissait du sexe d’un homme. Voilà qui va susciter la curiosité des uns et des autres, qui ont tiré la même conclusion. Très vite, la gendarmerie de Ouahigouya qui est alertée, a immédiatement procédé à l’interpellation de l’homme qui a offert la soupe en question. Celui-ci avoue avoir payé la soupe chez une femme. Cette dernière qui est vite retrouvée reconnaît à son tour avoir vendu la soupe, mais nie avoir mis un sexe masculin dans le plat. En attendant que la gendarmerie fasse toute la lumière sur cette affaire, la restauratrice et son client ont passé leur première nuit chez les pandores.


SNAID : le mot d’ordre de grève suspendu

Le Syndicat national des agents des impôts et du domaine (SNAID) avait annoncé un mot d’ordre de grève pour les 20 et 21 décembre 2010. Nous apprenons que le 15 décembre dernier, le bureau dudit syndicat et le ministre de l’Economie et des finances, Lucien Marie Noël Bembamba, ainsi que le Directeur général des Impôts, Michel Filiga, se sont mis autour de la table du dialogue et de la concertation. A l’issue de cette concertation, le bureau du SNAID, selon des sources bien informées, a été sensible à l’attention que les responsables ont portée sur la résolution de ses préoccupations. C’est ainsi que la grève prévue ce matin a été suspendue.


CAPDEV : un dîner-débat sur les politiques publiques au Burkina

Le Club africain pour la prospective et le développement (CAPDEV) organise le 21 décembre prochain, un dîner - débat autour du thème "Les politiques publiques au Burkina depuis les indépendances, quelles leçons pour l’avenir ?" Ce sera à l’hôtel Azalaï de Ouagadougou, à partir de 18h30. Le débat qui sera animé par Pierre Claver Damiba, consultant international, verra en même temps le lancement officiel des travaux du club.


Investiture du président du Faso : des invités chez Blaise Compaoré

Le président de la commission de la CEDEAO, James Victor Gbeho, est arrivé hier 19 décembre 2010 à Ouagadougou en fin de matinée. Il a affirmé être venu à Ouagadougou dans le cadre de l’investiture du Président du Faso. "Ma présence se place sous le signe de l’amitié et de la fraternité", a-t-il ajouté. Le président de la Commission a profité de sa présence à Ouagadougou pour échanger avec le facilitateur de la crise ivoirienne, Blaise Compaoré, sur la situation ivoirienne. Là- dessus, James Victor Gbeho a insisté sur le fait que sa position reste celle de la CEDEAO communiquée lors du dernier sommet tenu à Abuja, où les chefs d’Etat ont condamné et sanctionné les turpitudes de Laurent Gbagbo.

Ce dernier a perdu les élections et doit laisser la place à Alassane Ouattara le vainqueur, a réaffirmé le président de la Commission de la CEDEAO. Il a conclu en disant que la position de la CEDEAO n’a pas évolué malgré l’évolution de la situation en Côte d’Ivoire. A la suite du président de la commission de la CEDEAO, le président du Faso a reçu le président du CES (Conseil économique et social) du Gabon, Antoine de Padoue Mboumbou Miyakou. Ce dernier était porteur d’un message de Ali Bongo Ondimba, président de la république du Gabon, à son homologue Blaise Compaoré. Pour Antoine de Padoue Mboumbou Miyakou, le message du président Ali Bongo est un message de fraternité et d’amitié à l’occasion de la réélection et de l’investiture de Blaise Compaoré. "Il serait étonant que le Gabon soit absent à une telle cérémonie", a confié Antoine de Padoue Mboumbou Miyakou.

Le Pays

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