Facebook et Twitter sont accessibles depuis lundi soir en Iran sans pare-feu.
REUTERS/Dado Ruvic/Files
Les réseaux sociaux sont d'habitude filtrés en Iran. Mais
depuis lundi, ce n'est plus le cas. Un signe d'ouverture du nouveau
président Hassan Rohani ? Non, une simple erreur technique ! « Chers
amis aux Etats-Unis, croyez vous aux miracles ? Eh bien, un miracle
vient juste de se produire en Iran et le gouvernement a enlevé le
filtrage sur Facebook ! ». Voilà, par exemple, ce que l'on peut
lire depuis lundi sur Twitter. Une situation saluée avec sourire par les
internautes iraniens : « Twitter et Facebook sont autorisés. Merci Rohani » !
Ouverture involontaire
Cette ouverture, involontaire, n'est pas du goût de tous. Abdolsamad Khoramabadi, un responsable chargé des délits sur internet assure que toute la lumière sera faite sur ces défaillances techniques et ajoute que si des fautes sont constatées, des mesures seront prises. Signe que la souplesse espérée par les internautes iraniens n'est pas encore d'actualité concernant la navigation sur le réseau.
Cela n'empêche pourtant pas certains responsables d'assurer leur communication politique via des pages officielles sur ces réseaux sociaux tant craints, comme par exemple l'ayatollah Khameneï qui est présent à la fois sur Twitter et sur Facebook !
Ouverture involontaire
Cette ouverture, involontaire, n'est pas du goût de tous. Abdolsamad Khoramabadi, un responsable chargé des délits sur internet assure que toute la lumière sera faite sur ces défaillances techniques et ajoute que si des fautes sont constatées, des mesures seront prises. Signe que la souplesse espérée par les internautes iraniens n'est pas encore d'actualité concernant la navigation sur le réseau.
Cela n'empêche pourtant pas certains responsables d'assurer leur communication politique via des pages officielles sur ces réseaux sociaux tant craints, comme par exemple l'ayatollah Khameneï qui est présent à la fois sur Twitter et sur Facebook !
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