Selon Zouheir Ben Jemaa, président de cette association, l'Office national de l'huile importe de l'huile qui s'avérerait cancérigène. Cette huile de palme est importée d'Indonésie et de Malaisie, depuis une dizaine d'années. Les conditions de stockage de cette huile dans des barils rouillés et exposés au soleil auraient de graves conséquences selon Ben Jemaa qui ajoute que les conventions internationales interdisent l'huile de palme à cause de ses composants cancérigènes.
Ces révélations ont été faites sur les colonnes du journal Attounsia.
Prenant l'affaire très au sérieux, le ministère de la Santé a aussitôt réagi par la voix de Mohamed Rabhi, directeur de l'Hygiène qui a annoncé récemment sur Shems FM l'ouverture d'une enquête et une batterie de tests.
Qu'en est-il vraiment ? Quels sont les responsables ? Nous ne devrions pas tarder à le savoir.
webdo.tn
Vrai ou non, à ce stade on ne sait pas. Il faut faire davantage de recherches et d'analyses pour prouver ou contredire les accusations. Par contre ce qui est certain, c'est que le problème ici n'est pas l'huile elle même mais son stockage. Malheureusement, ça va juste donner plus de forces aux dénigrement fait par greenpeace quant à l'huile. Par un procédé douteux, ce problème de baril rouillé va devenir un problème de déforestation et entacher le débat public. C'est dommage.
RépondreSupprimerSi un camion plein de cigarette écrase un passant, ça ne veut pas dire qu'il est mort du tabac...