C’est
ce qu’assure un correspondant de la télévision satellitaire arabophone
AlMayadeen, Ali Hâchem, qui a couvert la sécurisation de la localité de
Qousseir dans le gouvernorat de Homs.
Selon le journal libanais AlJoumhouriyya, Hâchem assure sur son compte Twitter avoir vu de ses propres yeux le secrétaire général du Hezbollah en personne durant sa couverture de la libération de cette localité, achevé la première semaine de juin, mais n’a pu lui parler.
« Le dernier jour de ma présence à Qousseir, j’ai constaté d’importantes mesures de sécurités inhabituelles. Lorsque j’ai demandé de quoi il s’agit, on m’a répondu qu’il se peut que ce soit le président syrien Bachar Al-Assad qui pourrait avoir voulu visiter la localité comme il l’a fait avec Baba Amr », raconte le correspondant qui fait partie des 8 journalistes qui ont quitté la chaine de télévision satellitaire qatarie AlJazira, pour protester contre sa couverture biaisée des évènements syriennes.
Hâchem poursuit qu’en continuant sa tournée, il a vu un véhicule 4*4:
« À côté du chauffeur était assis un homme aux traits familiers. J’étais sûr que c’était bel et bien Sayed Nasrallah. Mais il n’était pas en tenue cléricale mais militaire. Il m’a souri et m’a fait un signe de la tête, avant que la voiture ne disparaisse en un clin d’œil ».
Rentré à Beyrouth, Hâchem dit avoir fait ses contacts avec des éléments du Hezbollah qui lui ont confirmé ses doutes.
Selon lui, le numéro un du Hezbollah a visité Qousseir à deux reprises : la première fois, un jour avant le lancement de la bataille. Il y a rencontré les commandants militaires et a prononcé une allocution d’une demi-heure.
Quant à la deuxième visite, elle a été effectuée après la sécurisation de la localité, lorsqu’il l’a vu.
almanar.com.lb
Selon le journal libanais AlJoumhouriyya, Hâchem assure sur son compte Twitter avoir vu de ses propres yeux le secrétaire général du Hezbollah en personne durant sa couverture de la libération de cette localité, achevé la première semaine de juin, mais n’a pu lui parler.
« Le dernier jour de ma présence à Qousseir, j’ai constaté d’importantes mesures de sécurités inhabituelles. Lorsque j’ai demandé de quoi il s’agit, on m’a répondu qu’il se peut que ce soit le président syrien Bachar Al-Assad qui pourrait avoir voulu visiter la localité comme il l’a fait avec Baba Amr », raconte le correspondant qui fait partie des 8 journalistes qui ont quitté la chaine de télévision satellitaire qatarie AlJazira, pour protester contre sa couverture biaisée des évènements syriennes.
Hâchem poursuit qu’en continuant sa tournée, il a vu un véhicule 4*4:
« À côté du chauffeur était assis un homme aux traits familiers. J’étais sûr que c’était bel et bien Sayed Nasrallah. Mais il n’était pas en tenue cléricale mais militaire. Il m’a souri et m’a fait un signe de la tête, avant que la voiture ne disparaisse en un clin d’œil ».
Rentré à Beyrouth, Hâchem dit avoir fait ses contacts avec des éléments du Hezbollah qui lui ont confirmé ses doutes.
Selon lui, le numéro un du Hezbollah a visité Qousseir à deux reprises : la première fois, un jour avant le lancement de la bataille. Il y a rencontré les commandants militaires et a prononcé une allocution d’une demi-heure.
Quant à la deuxième visite, elle a été effectuée après la sécurisation de la localité, lorsqu’il l’a vu.
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