Un militaire en mission Vigipirate
dans le quartier d'affaires de La Défense (Hauts-de-Seine) a été
poignardé, notamment à la gorge, à l'aide d'un cutter, samedi, par un
homme actuellement en fuite.
Selon nos informations, l'agression s'est produite en fin d'après-midi, vers 18 heures, devant le magasin Virgin, situé sur l'immense parvis de La Défense.
Le militaire, qui appartient au 4e régiment de Chasseurs de Gap, était en tenue. Blessé à la gorge, il a été soigné dans un local de la RATP tout proche. Ses jours ne sont pas en danger.
L'agresseur est lui en fuite. La police le décrit comme un homme de type nord-africain, âgé d'environ 30 ans. Il est porteur d'une barbe, d'un blouson noir et d'une djellaba de couleur claire.
L'agression s'est produite dans le quartier de La Défense
Selon nos informations, l'agression s'est produite en fin d'après-midi, vers 18 heures, devant le magasin Virgin, situé sur l'immense parvis de La Défense.
L'agresseur est lui en fuite. La police le décrit comme un homme de type nord-africain, âgé d'environ 30 ans. Il est porteur d'une barbe, d'un blouson noir et d'une djellaba de couleur claire.
Hollande estime qu'«il faut regarder toutes les hypothèses»
En l'absence d'éléments sur la personnalité et les motiviations de l'agresseurs, François Hollande estime qu'«il faut regarder toutes les hypothèses». «Nous n'en négligerons aucune, nous regarderons tous les éléments», a affirmé le président de la République depuis Addis Abeba, en Ethiopie, où il participe aux festivités du 50e anniversaire des efforts d'unité africaine.
Le chef de l'Etat s'est ainsi refusé à faire un lien avec le meurtre d'un soldat britannique, mercredi, à Londres. Deux hommes ont tué ce militaire à l'arme blanche en pleine rue, affirmant aux témoins agir «au nom d'Allah». Le gouvernement britannique a estimé que c'était un acte «manifestement de nature terroriste».
En l'absence d'éléments sur la personnalité et les motiviations de l'agresseurs, François Hollande estime qu'«il faut regarder toutes les hypothèses». «Nous n'en négligerons aucune, nous regarderons tous les éléments», a affirmé le président de la République depuis Addis Abeba, en Ethiopie, où il participe aux festivités du 50e anniversaire des efforts d'unité africaine.
Le chef de l'Etat s'est ainsi refusé à faire un lien avec le meurtre d'un soldat britannique, mercredi, à Londres. Deux hommes ont tué ce militaire à l'arme blanche en pleine rue, affirmant aux témoins agir «au nom d'Allah». Le gouvernement britannique a estimé que c'était un acte «manifestement de nature terroriste».
L'agression s'est produite dans le quartier de La Défense
LeParisien.fr
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