18 décembre, 2013

Vivo Xplay 3S : le premier smartphone 2K 2560 x 1440 pixels est officiel

Evoqué à la mi-octobre après un teasing plutôt agressif de la part de son constructeur, le Vivo XPlay 3S, premier smartphone au monde arborant une résolution d’écran 2K 2560 x 1440 pixels, ce qui équivaut à deux fois une résolution Full HD et à une densité de pixels de l’ordre de 490 ppi, est enfin officiel. Autrement dit le futur standard du haut gamme, qu’on pourrait d’ailleurs fort bien retrouver au sein du Galaxy S5.
Autre élément qu’on remarque lorsqu’on observe l’appareil, ses bords d’écrans très fins, la dalle d’affichage représentant pas moins de 84% de la face avant de l’appareil. C’est d’ailleurs loin d’être la seule surprise que réserve l’appareil puisque sur le dos on retrouve un lecteur d’empreintes digitales placé juste entre le capteur photo 13 Megapixels et son flash. Enfin, bien que les dimensions du smartphone, n’ai pas été communiquées, il apparait que la partie la plus fine du châssis de fait que 4,5 mm d’épaisseur.
Vivo XPlay 3S prix date de sortie fiche technique
Le premier smartphone 2K est officiel.

Vivo lance le premier smartphone 2K avec écran 2560 x 1440 pixels

Retrouvez, ci-dessous, les principaux éléments de la fiche technique du Vivo Xplay 3S
  • Ecran : 5,7 pouces de résolution 2K  2560 x 1440 pixels (490 PPI)
  • Processeur : quad-core Qualcomm Snapdragon 800 MSM8974AB cadencé à 2,3 GHz avec GPU Adreno 330
  • Ram : 3 Go
  • Stockage interne : 32 Go
  • Multimédia : capteur photo 13 Megapixels f/1.8 et haut-parleurs stéréo audio DTS
  • Réseau : 4G LTE
  • Divers : lecteur d’empreintes digitales
  • Autonomie : batterie 3200 mAh
  • Poids : 172 gammes
Comme vous pouvez le constater, une fiche technique au top niveau, mais aucun prix ni date de sortie annoncée pour l’Europe pour ce Vivo XPlay 3S qui pourtant mériterait largement d’être exporté en dehors de la Chine, d’autant plus quand on sait à quels tarifs avantageux sont commercialisés les appareils chinois.

Les savons antibactériens pointés du doigt aux États-Unis

SANTE - L'importante utilisation des savons antibactériens et l'accumulation d'informations scientifiques montrant certains risques pour la santé des consommateurs ont conduit une agence sanitaire américaine à réévaluer les agents chimiques présents dans ces produits.


savon Bien que les savons antibactériens soient considérés comme sûrs et efficaces, il n'existe à ce jour aucune preuve qu'ils soient plus efficaces que les savons ordinaires. Photo :  CLOSON/ISOPIX/SIPA
On les utilise tous les jours, sans savoir ce qu'ils contiennent vraiment. Aux États-Unis, les agences sanitaires sont bien décidées à lever le doute sur la nocivité des savons antibactériens. Les fabricants de ces produits doivent prouver qu'ils sont non seulement efficaces mais aussi inoffensifs pour la santé. Pour l'agence américaine des produits alimentaires et pharmaceutiques (FDA), les fabricants qui ne parviendront pas à satisfaire ces demandes devront modifier leur formule ou leur étiquetage pour rester sur le marché.

Cette mesure intervient dans le cadre d'un réexamen plus large des agents antibactériens mené par la FDA pour les mêmes raisons. Cette décision concerne bien les savons et non les désinfectants pour les mains ni les antibactériens utilisés en milieu médical. Aux yeux des consommateurs ils sont présentés comme étant sûrs pour la santé et efficaces contre la propagation des germes. Mais la FDA précise qu'il n'existe à ce jour aucune preuve scientifique attestant qu'ils sont plus efficaces que les savons ordinaires.

Résistance bactérienne et dérèglements hormonaux

D'autres études indiquent même qu'un usage régulier et prolongé de ces savons pourrait entraîner une résistance bactérienne ou provoquer des dérèglements hormonaux. Certains des agents antibactériens contenus seraient en cause comme le triclosan dans les savons liquides et le triclocarban dans les savons en barre. Le triclosan est très connu par les scientifiques car il est utilisé depuis plus de 40 ans dans des produits d'hygiène personnelle comme le dentifrice ou le déodorant.

Ce conservateur est non seulement soupçonné d'être un perturbateur endocrinien comme le bisphénol A, mais il pourrait également altérer la fonction musculaire. "Les savons antibactériens et autres produits similaires sont très fréquemment utilisés (…). Du fait de cette exposition très importante, nous pensons que leur bienfait doit être clairement établi par rapport à tous les risques potentiels", souligne le Dr Janet Woodcock, directrice du centre de recherche et d'évaluation des médicaments de la FDA.

Ces mêmes inquiétudes ont également été soulevées en Europe. Depuis 2012, la Commission a ouvert une consultation publique sur le triclosan. "En 2009, le comité scientifique pour la sécurité des consommateurs (SCCS) a émis un avis visant à limiter les catégories de produits cosmétiques dans lesquels le triclosan peut être utilisé en tant que conservateur à une concentration maximale de 0,3 %", précise l'Agence nationale du médicament (ANSM). Aucune date de rendu d'un verdict n'est pour l'instant annoncé.

Microsoft annoncera son nouveau patron début 2014

Il faudra encore attendre avant de savoir qui remplacera Steve Ballmer à la tête de Microsoft. L'éditeur informatique se donne quelques semaines supplémentaires pour trouver la perle rare.
Steve Ballmer, qui a remplacé Bill Gates en 2000, a décidé en août dernier de quitter l'entreprise. Conscient de la difficulté à lui trouver un remplaçant, il a donné un large délai de douze mois au conseil d'administration et au comité spécial créé pour l'occasion afin de dénicher le candidat idéal.

Microsoft : à la recherche de la perle rare

Si la plupart des observateurs s'attendaient à un remplacement avant la fin de l'année, il leur faudra patienter encore. Le comité va mettre à profit le temps disponible pour trouver le PDG idéal - la décision n'interviendra ainsi qu'au début de l'année prochaine, a prévenu John Thompson, président du comité et membre du conseil d'administration de Microsoft.
Thompson donne quelques précisions sur le processus de sélection, qui au départ a compté une centaine de candidats de tous horizons. Cette liste s'est réduite à une vingtaine de prétendants, « tous extrêmement talentueux ». Parmi eux, la rumeur a annoncé Alan Mulally, l'actuel PDG de Ford, mais ce dernier n'a cessé de démentir.
Microsoft n'a eu en tout et pour tout que deux CEO en 38 ans d'histoire.