Quel parcours !
Le mardi 19 novembre 2013 sera à jamais gravé dans les mémoires de deux
nations. Celle d’Algérie et celle du Burkina Faso. Si la première a
triomphé, l’étalon de l’air a atterri en catastrophe. Les étalons ont
beau faire, le Brésil s’est éloigné. Nous sommes conscients qu’un match
se gagne sur le gazon et non dans la rumeur. Seulement, tout en étant
pas de mauvais perdant, nous avons des doutes sur la crédibilité des
acteurs du Football mondial.
D’une
part, l’arbitre du match, le sénégalais Badara avait visiblement choisi
son camp. Celui de l’Algérie. La coutume a l’habitude de dire que tout
le monde peut se tromper. Mais la coutume ne dit pas de faire toujours
les mêmes erreurs tout le temps. La coutume ne dit pas de causer du tort
de manière continue à autrui. Cet adage Badara l’a compris de travers.
Sinon le but de Charles Kaboré aurait été accordé. Sinon le joueur qui
avait taclé sévèrement Charles Kaboré serait sorti en rouge. Sinon
l’entraineur Algérien qui était sorti hors de sa
ligne aurait été renvoyé aux vestiaires. Bref. Badara a eu des raisons
de choisir les fennecs. D’abord, c’est un arbitre qui partait à la
retraite. C’est donc un homme influençable vu qu’il n’aurait plus rien
après avoir abandonné le terrain. C’était visible que la fédération
Algérienne avait les moyens de corrompre le Sénégalais. Ce qui n’est
d’ailleurs pas impossible. Cette hypothèse est à prendre au sérieux. En
plus, il faut le dire et le reconnaitre. Le peuple Algérien est un
peuple barbare et à la limite sauvage. Sinon comment empêcher les
joueurs de s’entrainer en coupant sciemment l’électricité ? Comment les
empêcher de dormir en faisant du bruit autour de leur hôtel? Il est
claire que si le match était autrement, l’arbitre n’allait pas sortir
indemne encore moins la délégation Burkinabé. Ce sont les policiers
eux-mêmes qui allaient les violenter.
D’autre
part, Le Burkina Faso ne fait pas l’affaire de la FIFA. Et il faut le
reconnaitre. Le Burkina au Brésil ne pourra pas rapporter de l’argent à
sep Blatter et ses camarades. Le pays des hommes intègres ne pouvaient
pas envoyer plus de 500 supporteurs. Alors il était très claire qu’il
était mieux qu’on mette fin aux rêves de plus de 16 millions de
personnes. Par contre l’Algérie est capable d’envoyer des milliers de
supporteurs au Brésil. Donc la restauration, les hôtels et les billets
de stade verront leur chiffre d’affaires en hausse. Ainsi est le monde
des affaires. La cruauté. Si cela a été facile, c’est grâce à un homme
peu catholique. Il s’agit du vieux crocodile Camerounais de la
presqu’ile de Bakassi sous les conseils du peu démocrate Sepp Blatter.
Celui qu’on appel Issa Ayatou. Il avait une dette envers le président de
la fédération Algérienne de Football Mohamed Raouraoua.
C’est ce dernier qui a été à l’origine du rejet de la candidature de
l’ivoirien Jaques Anouma la présidence de la CAF. Il est l’auteur de la
reforme qui disait que pour être président, il fallait d’abord être
membre du comité exécutif de la CAF. Issa Ayatou devait récompenser
l’Algérie en sacrifiant sur l’autel de RIO le Burkina Faso.
Enfin
de compte, on s’étonne que Ayatou fasse cette mascarade aux burkinabés.
A moins que les situations soient évoluées, Issa était un ami personnel
de Blaise Compaore le président Burkinabé. Blaise Compaore a-t-il été
mis devant les faits accomplis ? Ou bien l’argent des algériens a
prévalu l’amitié ? Ce qui est sur, AYATOU et Blatter n’ont pas rendu
service à l’Algérie, encore moins le football en général. Badara
et AYATOU peuvent être sûres, loin d’être raciste, quel qu’en soit le
service qu’on les rendra, les Arabes considéreront toujours les noirs
comme des singes, des esclaves. Les Burkinabé peuvent être fiers de leur
équipe, elle est tombée les armes dans les mains. Chapeau bas aux
étalons.
Windemi de kikideni
http://kikideni.cowblog.fr
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