Fereydoun Abbassi Davani
© AFP/ SAMUEL KUBANI
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Téhéran possède 18.000 centrifugeuses
servant à enrichir l'uranium, dont 10.000 sont déjà mises en
exploitation, a annoncé samedi l'agence Isna se référant à une
déclaration du directeur sortant de l'Organisation iranienne de
l'énergie atomique Fereydoun Abbasi-Davani.
"Au début de Mordad (mois iranien qui débute le 23 juillet et s'achève le 22 août) nous possédions 17.000 centrifugeuses de première génération, dont plus de 10.000 sont en activité et 7.000 prêtes à entrer en activité", a-t-il indiqué cité par l'agence Isna.
En outre, un millier de centrifugeuses ont déjà été installées et sont prêtes à entrer en activité, a poursuivi M.Abbasi-Davani.
Cette déclaration est conforme aux données publiées en mai dernier par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Dans leur rapport, les experts parlaient alors de 17.600 centrifugeuses à uranium, dont près d'un millier de nouvelle génération.
Les Etats-Unis, Israël et d'autres pays reprochent à l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire sous couvert du programme nucléaire qu'il prétend réaliser à des fins pacifiques. Téhéran reconnaît enrichir de l'uranium à 20%, mais affirme que ses activités nucléaires ont pour seul objectif de satisfaire les besoins du pays en électricité et de réaliser des recherches médicales.
"Au début de Mordad (mois iranien qui débute le 23 juillet et s'achève le 22 août) nous possédions 17.000 centrifugeuses de première génération, dont plus de 10.000 sont en activité et 7.000 prêtes à entrer en activité", a-t-il indiqué cité par l'agence Isna.
En outre, un millier de centrifugeuses ont déjà été installées et sont prêtes à entrer en activité, a poursuivi M.Abbasi-Davani.
Cette déclaration est conforme aux données publiées en mai dernier par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Dans leur rapport, les experts parlaient alors de 17.600 centrifugeuses à uranium, dont près d'un millier de nouvelle génération.
Les Etats-Unis, Israël et d'autres pays reprochent à l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire sous couvert du programme nucléaire qu'il prétend réaliser à des fins pacifiques. Téhéran reconnaît enrichir de l'uranium à 20%, mais affirme que ses activités nucléaires ont pour seul objectif de satisfaire les besoins du pays en électricité et de réaliser des recherches médicales.
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