18 juillet, 2013

Se faire vacciner est mortel et l’État se tait

прививка вакцина корь полиомелит врач шприц

Encore un secret d’État, même si tout ça sort finit par sortir petit à petit, comme le dit Didier Lambert, 60 ans, porte-parole de l'association E3M, qui a entamé une grève de la faim devant le ministère de la santé à Paris depuis le 5 juin. C'est souvent dans la presse spécialisée que ce genre d'informations sortent. Des médias comme Libération, Le Nouvel Observateur ou Le Parisien sont étrangement silencieux, tout comme les autres grands médias, sur le sujet de l'aluminium dans les vaccins. Des journalistes auraient interdiction de parler du sujet. Pourtant, plusieurs centaines de milliers de personnes, à commencer par les enfants, seraient concernées par les vaccins.

Historique. « L'aluminium a été ajouté en 1926 dans les vaccins par l'ancêtre de la société GlaxoSmithKline. L'aluminium renforcerait le système immunitaire et aurait un côté bénéfique. Jusqu'à maintenant, aucune étude n'a été faite sur les conséquences de l'aluminium dans le corps car on partait du principe que le corps éliminait l'aluminium dans les 15 jours. Dans les années 2000, les chercheurs ont prouvé que cet aluminium restait dans le corps sur plusieurs années et atteignait le cerveau. 70 % des vaccins contiennent de l'aluminium. Dans les années 1970, on a eu déjà des alertes sanitaires. On a assisté à un accroissement des allergies sous toutes ses formes, comme les allergies au pollen ou aux poils des animaux. L'institut Pasteur a décidé en 1974 de retirer l'aluminium de tous ses produits. En 1984, l'institut Mérieux a racheté Pasteur. Pour des questions de rentabilité, ils ont réintroduit l'aluminium dans les vaccins. Les chercheurs de l'institut pasteur ont écrit en 1987 une lettre au ministère de la santé pour prévenir des conséquences», explique Didier Lambert. Les responsables politiques n'auraient pas réagi à ce courrier. « En 1993, deux personnes qui souffraient de douleurs musculaires ont subi des biopsies et de l'aluminium a été trouvé. En 1998, un chercheur en physique nucléaire confirme que c'est de l'aluminium. Les autorités sanitaires commencent à s'inquiéter et une étude épidémiologique est lancée. Les vaccins sont mis en cause. Mais la majorité des membres du conseil scientifique s'accorde pour conclure que cette étude ne suffisait pas pour montrer la dangerosité de l'aluminium dans les vaccins. Ainsi, en 2004, les scientifiques décident de ne pas remettre en cause la vaccination et les effets secondaires avec l'aluminium», rajoute Didier Lambert. Mais c'est l'affaire Médiator qui va faire rebondir l'affaire. Dans des documents concernant le Médiator, des preuves montrant les conflits d'intérêts auraient été retrouvées et dévoileraient une situation de lobby de la part de l'industrie pharmaceutique. « A titre d'exemple, l'un des rapporteurs du comité scientifique de 2004 avait sa femme qui était directrice médicale du syndicat de l'industrie pharmaceutique et deux autres rapporteurs de l'étude touchaient de l'argent de leur laboratoire», apporte sous forme de témoignage Didier Lambert, pour montrer que le monde scientifique et sanitaire et pharmaceutique sont scandaleusement très liés.
Personnes touchées en France. Depuis 2004, donc selon Didier Lambert, le lobby pharmaceutique aurait la volonté de refermer l'affaire. « Des documentaires ont été faits sur Arte mais je peux vous assurer que les journalistes ont interdiction de parler de ça. On peut se poser des questions sur la liberté de la presse en France. Dans le Parisien, un article a été écrit la semaine dernière, reprenant mots pour mots les dires de l'académie de médecine. Il faut de la transparence dans la presse. Il faut des débats». En France, les pouvoirs publics expliquent qu'officiellement, environ 500 personnes sont touchées de maladies à cause de l'aluminium contenu dans les vaccins. En fait, on en aurait plusieurs centaines de milliers, toujours selon Didier Lambert. « Tous les pays du globe sont concernés alors qu'il existe en plus des alternatives avec le phosphate de calcium ».
Grève de la faim. L'association E3M se targue de financer toutes les recherches, même si 80 % de membres de l'association sont en situation d'invalidité et ne travaillent donc pas. « Il n'y a pas de financement d’État. Il faut un vaccin sans aluminium comme c'était le cas jusqu'en 2008. Pendant la campagne de François Hollande la ministre de la Santé avait promis d'intervenir en notre faveur. Mais rien n'a changé. On avait arrêté notre première grève de la faim car un accord avait été signé dans le cadre d'un comité de pilotage qui devait se mettre en place mi-janvier 2013. Rien n'avait été fait. Depuis le 5 juin, nous avons 5 personnes qui font la grève de la faim devant le ministère de la santé à Paris. Le ministère de la santé continue de ne rien vouloir entendre». Depuis le 17 juillet, E3M a lancé une pétition soutenue par des députés et des sénateurs sous forme d'un appel qui sera remis au ministère de la santé avec 70 000 signatures le mardi 23 juillet, jour où E3M va arrêter la grève de la faim dans un premier temps. « Les Français devraient actuellement savoir que c'est la roulette russe, le fait de vacciner ses enfants. Les membres des autorités sanitaires savent mais se taisent ». On est sidéré d'apprendre que Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, aurait dit « on ne négocie pas avec des gens qui font la grève de la faim». « Que ça soit la gauche ou la droite, c'est la même chose, mais nous ne lâcherons pas », termine Didier Lambert qui montre des signes de fatigue dans sa voix mais une forte détermination à remporter cette longue lutte. N
 
http://french.ruvr.ru/2013_07_18/Se-faire-vacciner-est-mortel-et-l-Etat-se-tait-2285/ 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire