Selon
une étude du cabinet Deloitte, le Qatar va dépenser 156 milliards
d'euros en dix ans pour accueillir la Coupe du monde de football en
2022 !
Le chiffre donne le tournis. Il permet également
de mesurer encore un peu plus, si besoin en était, la puissance
financière du Qatar. Selon un rapport publié par le cabinet Deloitte, le
petit émirat du Golfe Persique projette en effet d'investir 200
milliards de dollars (156 milliards d'euros) durant les dix prochaines
années pour accueillir la Coupe du monde 2022 de football ! Des sommes
vertigineuses qui seront évidemment dépensées en équipements sportifs
(stades, centres d'entraînement…) mais ceux-ci sont loin d'être le poste
d'investissement numéro 1.
Dans un pays majoritairement occupé par le sable, nombre d'infrastructures de transport sont en effet à bâtir. L'étude du cabinet Deloitte chiffre ainsi à quelques 140 milliards de dollars (110 milliards d'euros) les investissements à réaliser dans les routes, les métros ou les aéroports, précisant au passage que seuls 13% de ces marchés ont déjà été conclus. Avec une augmentation de la fréquentation touristique de 15% par an, les infrastructures hôtelières sont également aujourd'hui insuffisantes pour accueillir les quelques 400.000 touristes attendus pour la Coupe du monde. Une vingtaine de milliards de dollars devrait donc être dépensé pour augmenter ces capacités hôtelières.
lefigaro.fr
Dans un pays majoritairement occupé par le sable, nombre d'infrastructures de transport sont en effet à bâtir. L'étude du cabinet Deloitte chiffre ainsi à quelques 140 milliards de dollars (110 milliards d'euros) les investissements à réaliser dans les routes, les métros ou les aéroports, précisant au passage que seuls 13% de ces marchés ont déjà été conclus. Avec une augmentation de la fréquentation touristique de 15% par an, les infrastructures hôtelières sont également aujourd'hui insuffisantes pour accueillir les quelques 400.000 touristes attendus pour la Coupe du monde. Une vingtaine de milliards de dollars devrait donc être dépensé pour augmenter ces capacités hôtelières.
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