Flickr via ElphHK
Depuis 13 ans, la Chine interdit la vente de console
de jeux vidéo sur son territoire. Un embargo auquel pourrait mettre fin
l’Etat chinois à condition que les consoles soient fabriquées dans le
nouvel espace de libre échange de Shanghai, selon le South China Morning Post.
Les entreprises étrangères, y compris Nintendo et Sony, devraient ainsi pouvoir vendre leurs consoles sur le territoire, mais auront toujours besoin de l'approbation du ministère de la culture et des organismes gouvernementaux concernés, précise le journal qui cite des sources non identifiées ayant eu accès à des documents gouvernementaux.
Une opportunité pour les constructeurs de console
Si la Chine a interdit la vente de consoles depuis Juin 2000 afin, estime l’Etat chinois, de «préserver la santé physique et mentale de ses jeunes concitoyens», certains Chinois aisés ont tout de même pu profiter des dernières consoles par la voie du marché noir. Les ordinateurs et les smartphones à écran tactile, comme l'iPad et l’iPhone d’Apple, ne sont en revanche pas considérés comme des produits de jeux et sont donc disponibles légalement. Un statut paradoxal alors que les jeux se multiplient sur ces supports.
Cette ouverture du marché chinois pourrait représenter une occasion considérable pour les trois constructeurs historiques que sont Sony, Nintendo et Microsoft. Dans les colonnes du South China Morning Post, Satoshi Nakajima, un porte-parole de Sony basé à Tokyo affirme : «Nous voyons la Chine comme un marché attractif, et nous avions toujours considéré le développement de l'activité».
Du côté de Nintendo, le président Satoru Itawa déclarait en janvier dernier : «Si un changement drastique est opéré, il y aura des possibilités pour nous». Et d’ajouter: «Nous nous sommes préparés pour cela.»
Si rien n'est encore décidé, une levée de l'embargo cette année pourrait tomber à pic pour les grands constructeurs, Microsoft et Sony ayant programmé la sortie de la Xbox One et de la PS4 avant fin 2013.
Les entreprises étrangères, y compris Nintendo et Sony, devraient ainsi pouvoir vendre leurs consoles sur le territoire, mais auront toujours besoin de l'approbation du ministère de la culture et des organismes gouvernementaux concernés, précise le journal qui cite des sources non identifiées ayant eu accès à des documents gouvernementaux.
Une opportunité pour les constructeurs de console
Si la Chine a interdit la vente de consoles depuis Juin 2000 afin, estime l’Etat chinois, de «préserver la santé physique et mentale de ses jeunes concitoyens», certains Chinois aisés ont tout de même pu profiter des dernières consoles par la voie du marché noir. Les ordinateurs et les smartphones à écran tactile, comme l'iPad et l’iPhone d’Apple, ne sont en revanche pas considérés comme des produits de jeux et sont donc disponibles légalement. Un statut paradoxal alors que les jeux se multiplient sur ces supports.
Cette ouverture du marché chinois pourrait représenter une occasion considérable pour les trois constructeurs historiques que sont Sony, Nintendo et Microsoft. Dans les colonnes du South China Morning Post, Satoshi Nakajima, un porte-parole de Sony basé à Tokyo affirme : «Nous voyons la Chine comme un marché attractif, et nous avions toujours considéré le développement de l'activité».
Du côté de Nintendo, le président Satoru Itawa déclarait en janvier dernier : «Si un changement drastique est opéré, il y aura des possibilités pour nous». Et d’ajouter: «Nous nous sommes préparés pour cela.»
Si rien n'est encore décidé, une levée de l'embargo cette année pourrait tomber à pic pour les grands constructeurs, Microsoft et Sony ayant programmé la sortie de la Xbox One et de la PS4 avant fin 2013.
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