NATIONS
UNIES, New York (Etats-Unis) – Les Etats-Unis ont l’art de revenir sur
le devant de la scène avec fracas. Alors que tous les voyants sont au
rouge pour leurs protégées en Syrie, avec en plus, selon nos
informations, la défaite actée à Qusseir et le cap mis sur Alep puisque
les criminels n’ont plus d’approvisionnements possible, Susan Rice, le
négresse de maison, représentante des USA à l’ONU, ainsi que les
ambassadeurs du Qatar et de la Turquie -ne riez pas-, dénoncent la
«détérioration de la situation des droits de l’Homme en Syrie, et
souhaitent qu’un débat ait lieu la semaine prochaine…au Conseil des
droits de l’Homme de l’ONU. A qui la faute au juste ?
Toute honte bue, les Etats-Unis, la
Turquie et le Qatar ont fait leur demande vendredi au président du
Conseil des droits de l’Homme de l’ONU. Ils veulent la tenue d’un débat
urgent sur la «détérioration de la situation des droits de l’Homme en Syrie, et sur les récentes tueries à Qousseir». Crier,
vociférer ou l’art de revenir par le trou de la serrure alors que tout
va mal. Ils arment ces gens, leur donnent des millions de dollars mais
rien n’y fait.
Le président du Conseil, le Polonais
Remigiusz Henczel, va-t-il répondre favorablement à ce courrier
hypocrite ? De quel débat parlent ces gens ? Avec qui ? Si c’est encore
l’entre-soi, tant pis pour eux. Ces monstres et leur témérité font froid
dans le dos. Les Etats-Unis avec la prison illégale de Guantanamo
"respectent" tellement les droits de l’homme que c’est à pleurer. Le
Qatar qui emprisonne des poètes pour délit d’opinion doit être applaudi.
Quant à la Turquie, pays qui respecte les droits des Kurdes, son
premier-ministre terroriste Erdogan mérite un prix Nobel de la paix.
Sur le terrain, l’armée arabe syrienne avance triomphalement. Nous y reviendrons ce soir…
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