Paris - La France a salué vendredi la démission du président burkinabé
Blaise Compaoré, chassé du pouvoir par une contestation populaire sans
précédent, et appelé à la tenue rapide d'élections démocratiques dans le
petit pays sahélien en crise.
La France salue la démission du président de la République du Burkina Faso qui permet de trouver une issue à la crise, a déclaré la présidence française dans un bref communiqué.
Affichant sa solidarité avec les victimes des violences de ces derniers jours, le président François Hollande a renouvelé l'appel de Paris au calme et à la retenue de l'ensemble des acteurs.
La France rappelle son attachement à la Constitution et donc à la tenue rapide d'élections démocratiques, souligne la déclaration de l'Elysée.
Le président Compaoré a annoncé vendredi qu'il quittait le pouvoir après 27 ans de règne à la tête du Burkina Faso, pays pauvre enclavé au coeur du Sahel.
Sa démission intervient au lendemain de violentes émeutes contre le régime, provoquées par un projet de révision constitutionnelle qui aurait permis au chef de l'Etat, arrivé au pouvoir lors d'un putsch en 1987, de se représenter à la présidentielle prévue en 2015.
Le chef d'état-major de l'armée burkinabè, le général Honoré Traoré, a annoncé vendredi après-midi qu'il assumait à compter de ce jour (les) responsabilités de chef de l'Etat.
(©AFP
La France salue la démission du président de la République du Burkina Faso qui permet de trouver une issue à la crise, a déclaré la présidence française dans un bref communiqué.
Affichant sa solidarité avec les victimes des violences de ces derniers jours, le président François Hollande a renouvelé l'appel de Paris au calme et à la retenue de l'ensemble des acteurs.
La France rappelle son attachement à la Constitution et donc à la tenue rapide d'élections démocratiques, souligne la déclaration de l'Elysée.
Le président Compaoré a annoncé vendredi qu'il quittait le pouvoir après 27 ans de règne à la tête du Burkina Faso, pays pauvre enclavé au coeur du Sahel.
Sa démission intervient au lendemain de violentes émeutes contre le régime, provoquées par un projet de révision constitutionnelle qui aurait permis au chef de l'Etat, arrivé au pouvoir lors d'un putsch en 1987, de se représenter à la présidentielle prévue en 2015.
Le chef d'état-major de l'armée burkinabè, le général Honoré Traoré, a annoncé vendredi après-midi qu'il assumait à compter de ce jour (les) responsabilités de chef de l'Etat.
(©AFP
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