17 juillet, 2013

Etats-Unis : Paypal vire par erreur 92 millions de milliards de dollars à un Améri


Aux Etats-Unis, Paypal a versé en juin dernier par erreur la somme pharaonique de 92 233 720 368 547 800 dollars à un utilisateur d'eBay.

Aux Etats-Unis, Paypal a versé en juin dernier par erreur la somme pharaonique de 92 233 720 368 547 800 dollars à un utilisateur d'eBay. | Capture d'écran/CNN


Les chiffres alignés les uns à la suite des autres sont presque impossibles à lire, tant la somme est colossale ! Paypal a versé accidentellement 92 233 720 368 547 800 dollars à Christopher Reynolds, un Américain habitant la Pennsylvanie, responsable de relations presse et habitué à vendre des pièces détachées de voiture sur eBay, selon une information révélée ce mercredi par la chaîne de télévision CNN.


Si le compte de Christopher Reynolds avait été crédité de cette somme, Christopher Reynolds serait tout simplement devenu l'homme le plus riche de la planète. Loin, très loin devant Carlos Slim, le plus riche du monde, dont la fortune est un million de fois moins élevée que cette incroyable somme.

Le bénéficiaire aurait «effacé la dette nationale»

«C'est une chose curieuse. Je ne sais pas, peut-être que quelqu'un s'est amusé», a expliqué, incrédule, Christopher Reynolds. La surprise a toutefois été de courte durée puisque le jour même de l'alerte de virement, le compte Paypal de l'Américain était à nouveau revenu à la normale. Si ne serait-ce qu'une toute partie de la somme avait été réellement virée, les conséquences auraient pu être dramatiques pour le service de paiement en ligne qui se serait retrouvé sans le moindre fonds !

Paypal, qui a reconnu son erreur, a proposé à Christopher Reynolds de faire un don (dont le montant n'a pas été défini mais évidemment sans rapport avec le somme initiale) à l'oeuvre de charité de son choix.
«C'est évidemment une erreur et nous apprécions le fait que Monsieur Reynolds l'ait compris», a déclaré dans un communiqué Paypal. Le responsable de relations presse a précisé que, s'il avait touché une telle somme, il aurait probablement offert généreusement d'effacer la dette publique des Etats-unis, qui s'élève à 16 394 milliards de dollars.



LeParisien.fr

Ce que vous ne saviez pas forcément sur les abeilles !


Toutes les abeilles ne produisent pas du miel
Abeille est un nom vernaculaire ambigu désignant en français certains insectes hyménoptères de la superfamille des Apoidea. Au moins 20.000 espèces d’abeilles sont répertoriées sur la planète dont environ 2.500 en Europe et 1.000 en France.
En Europe, l’espèce la plus connue est Apis mellifera qui, comme la plupart des abeilles à miel, appartient au genre Apis. Cependant, la majorité des abeilles ne produisent pas de miel.
Seule les femelles abeilles piquent
L’abeille utilise son dard pour injecter du venin à son agresseur. Cet aiguillon dentelé, dont seules les femelles sont pourvues, reste fiché dans la peau de la victime et est arraché de l’abdomen de l’abeille lorsque celle-ci s’éloigne. Le dard entraîne avec lui une partie des organes internes de l’abeille, dont son sac à venin. Cette déchirure est presque toujours fatale à l’abeille piqueuse (à la différence de la guêpe qui pique avec beaucoup d’ardeur car son aiguillon n’est pas équipé de harpon ; de ce fait elle peut piquer à répétition sans perdre la vie).
Remèdes de grand-mère
En cas de piqure, le jus d’oignon fraîchement coupé est assez efficace pour soulager la douleur. Plonger la partie blessée dans du vinaigre pendant 30 minutes permet aussi une très nette diminution de la douleur et du gonflement.
Le Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles
Le Syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles ou CCD (pour l’expression anglaise “Colony Collapse Disorder”) est le nom donné à un phénomène d’abord appelé “syndrome de disparition des abeilles” ou également “Fall-Dwindle Disease” (maladie du déclin automnal des abeilles).
Ce syndrome est jugé très préoccupant par les apiculteurs, mais aussi par de nombreux écologues, économistes et experts en raison de l’importance économique et écologique de l’abeille en tant que pollinisatrice.En 2007, un pic alarmant de disparition d’abeilles est jugé catastrophique, menaçant la pollinisation de plusieurs cultures maraîchères et fruitières aux États-Unis notamment. Les pommiers, mais aussi les amandiers, les avocatiers, les cerisiers, les oignons, les concombres, le coton, l’arachide, le melon, etc. dépendent de 90 %, voire à 100 % des abeilles pour leur pollinisation. Les services rendus à la pollinisation par les abeilles sont estimés à environ quinze milliards de dollars par an aux États-Unis . Certains apiculteurs ont perdu 70 % de leurs abeilles.  En Europe, la production de 84% des espèces cultivées dépend directement des pollinisateurs, qui sont à plus de 90% des abeilles domestiques et sauvages. De nombreux pays ont annoncé des pertes importantes (France, Belgique, Italie, Allemagne, Suisse, Espagne, Grèce, Pologne, Pays-Bas), dès l’an 2000. Dans les ruchers les plus touchés, jusqu’à 90 % des abeilles sont supposées mortes, car non rentrées à la ruche.

La différence entre un fruit et un légume

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“Fruit” et “légume” ont une double acception selon que l’on se place dans le cadre de la cuisine ou de la science botanique. En botanique, “légume” désigne le fruit des Légumineuses ou Fabaceae, que l’on nomme également “gousse”. Le terme légume vient d’ailleurs du latin legumen, plante à gousse et est attesté en français depuis 1531 selon le Robert historique. Féminin à son origine, il a d’abord désigné les graines de légumineuses et de céréales anciennement la base de l’alimentation végétale.Au plan botanique, un fruit, de type charnu ou non, est la structure issue de l’évolution arrivée à maturité de l’ovaire, dont le rôle est de protéger et d’assurer la diffusion des graines. De nombreux fruits botaniques ne sont pas comestibles et peuvent même être toxiques. 
Au sens culinaire, le terme “fruit” désigne des fruits charnus, mais parfois aussi d’autres parties de plantes, qui sont à la fois comestibles, de goût agréable, que l’on peut généralement consommer crus et qui conviennent à la préparation de plats sucrés et de desserts, comme par exemple les fraises, pêches, prunes, etc. A contrario, nombre de fruits botaniques comestibles, tels que la tomate, l’aubergine ou le poivron, se préparent sans sucre et entrent habituellement dans la confection de recettes salées. Ils sont donc considérés en cuisine comme des légumes, et plus particulièrement des légumes-fruits. Ainsi, une partie de plante peut tout à fait être désignée comme fruit dans un contexte scientifique, même si elle se prépare en cuisine comme un légume. Dans certains cas, la distinction entre fruit et légume devient délicate, certains fruits pouvant être consommés comme légumes, par exemple dans le cas du Melon (plante), fruit couramment consommé en entrée, ou de certains fruits cuisinés en accompagnement de plats de viande, par exemple le canard à l’orange, et inversement certains légumes, parfois naturellement sucrés, peuvent s’accommoder en dessert, par exemple la patate douce. La question de savoir si la tomate était un fruit ou un légume a été portée en 1893 devant la Cour suprême des États-Unis. Cette dernière décida à l’unanimité dans l’affaire Nix / Hedden que, dans le cadre de la loi de 1883 sur les droits de douane applicables aux produits importés, la tomate devait être assimilée à un légume et taxée comme tel. La Cour reconnut toutefois le caractère de fruit botanique de la tomate. 
En revanche, la Commission européenne a décidé d’assimiler à des fruits certains légumes, dont la tomate, la carotte et la patate douce lorsqu’ils entrent dans la composition de confitures, bien que les deux derniers ne soient en rien des fruits botaniques. Il s’agissait en réalité de se conformer à la Directive 2001/113/CE du 20 décembre 2001, qui définit la confiture comme un mélange à base de sucre et de fruits, tout en préservant certaines traditions locales de production de confitures à base de légumes. C’est notamment le cas de la Doce de cenoura, confiture de carottes portugaise.

Les 10 ingrédients les plus dégoûtants cachés dans la nourriture industrielle


Tous les jours, et sans même en avoir conscience, on avale des substances plus dégoûtantes les unes que les autres, et dont l’origine risque d’en surprendre plus d’un.
1) Des traces d’engrais - dans le pain : cachées sous la douce appellation scientifique d’ammonium sulfate, on peut trouver des traces d’engrais dans les baguettes et pains industriels, notamment ceux de la chaîne de restauration rapide Subway...
2) Des glandes anales de castor - dans les bonbons : les sécrétions de glandes anales de castor, ou castoreum pour les intimes, entrent dans la composition des parfums et eau de cologne, mais aussi des bonbons... Elles réhaussent le goût de framboise des sucreries.
3) De la graisse de boeuf - dans les biscuits. Nombre d’entre vous ne seront pas surpris d’apprendre que certaines marques agrémentent leurs biscuits ou barres chocolatées de graisse de boeuf. On zappe le goûter ?
4) Des insectes écrasés - dans les colorants alimentaires rouges. L’idée de manger des insectes vous répugne? Et bien sachez que vous en avalez déjà une petite dizaine lorsque vous mangez des aliments qui contiennent de “l’acide carminique”. Certains industriels essaient même d'apposer une mention “colorant naturel” sur les produits dont les colorants sont issus d’insectes écrasés. Ça donne envie.
5) Du jus de coccinelle - pour le glaçage des bonbons. On a tous déja goûté aux bonbons de type skittles ou aux paillettes colorées comestibles utilisées pour décorer un gâteau... Leur glaçage solide à effet “laqué” est issu des sécrétions des femelles coccinelles, “gomme-laque” ou “shellac” dans le jargon scientifique.
6) De la laine de brebis - dans les chewing gum. Le lanoline est une substance obtenue à partir de la purification et raffinage du suint, partie grasse de la laine. Elle se cache sous le nom de “gomme base” ou “gum base”. Un repas, un café... Une brosse à dent ?
7) Des cheveux humains et des plumes de canard - dans le pain. La cystine ou la L-cysteine est un acide animé que l’on retrouve notamment dans les cheveux humains et les plumes de canard. Il n’est pas rare de retrouver la mention “L cystéine” sur l’étiquette des produits halal et kasher... Cette substance est aussi présente dans la plupart des pains industriels.
8) Du goudron de houille - colorant pour bonbons roses. Bien que le goudron de houille soit classé 199ème par l’ONU dans la liste des substances dangereuses, les industriels continuent à l’utiliser comme colorant alimentaire, notamment pour les bonbons et autres sucreries auxquels on veut donner une couleur rouge ou rosée.
9) De l’estomac de veau - dans le fromage. Un bon nombre de fromages contiennent de la présure, un coagulant naturel extrait du 4ème estomac de veau. Au Royaume-Uni, les consommateurs sont informés de la présence de présure dans le fromage pour aider les végétariens à choisir en toute connaissance de cause, mais dans le reste du monde, aucune indication n’est donnée à ce sujet. Vous n’avez plus qu’à essayer de deviner!
10) Du sable - dans le chili. Votre chili a un goût de vacances ? Rien d’étonnant, puisque certaines marques utilisent de la silice, autrement dit du sable, comme anti-agglomérant.
Alors, lesquelles de ces substances avez-vous ingérées aujourd’hui ?

Snowden envisage de devenir Russe, Poutine tente de calmer le jeu


Le président russe Vladimir Poutine s’est efforcé mercredi de calmer le jeu autour d’Edward Snowden, assurant privilégier les bonnes relations avec les Etats-Unis, alors que le fugitif américain a demandé un asile temporaire et envisagerait même de devenir Russe.
“Les relations entre Etats sont beaucoup plus importantes que des chamailleries autour des activités de services spéciaux”, a déclaré le président russe à la télévision. “Nous avons prévenu Snowden que toute activité de sa part susceptible de porter atteinte aux relations russo-américaines était inacceptable”.
L’ex-consultant du renseignement américain Edward Snowden, bloqué depuis plus de trois semaines dans un aéroport de Moscou, a officiellement demandé mardi un asile provisoire à la Russie.
Son avocat Anatoli Koutcherena a cependant déclaré mercredi que Snowden pourrait demander la citoyenneté russe.
“Il n’a pas exclu la possibilité de demander la citoyenneté russe. Il m’a dit : +je n’ai pas l’intention de quitter la Russie+”, a déclaré l’avocat devant la presse.
Me Koutcherena a également expliqué que l’Américain pourrait bientôt quitter la zone de transit de l’aéroport Moscou-Cheremetievo.
“Le Service des migrations doit lui fournir dans les sept jours suivant le dépôt de sa demande une attestation selon laquelle son dossier est recevable. Ce certificat lui donne le droit de voyager en Russie”, a dit l’avocat.
“Il peut vivre dans un hôtel”, a-t-il poursuivi.
L’avocat n’a pas exclu que leur prochaine rencontre puisse se dérouler “sur la place Rouge”.
“Je vais lui montrer le mausolée (de Lénine) et la galerie Tretiakov (un des plus célèbres musées de la capitale russe, ndlr). Il doit connaître notre culture !”, a dit l’avocat.
Les États-Unis ont toutefois d’autres projets pour l’ex-employé de la CIA, et ont réitéré leur demande d’extradition de l’informaticien, qui est inculpé d’espionnage dans son pays en raison de ses révélations sur la surveillance électronique américaine à l‘étranger.
“Notre position est que M. Snowden devrait être expulsé et renvoyé aux Etats-Unis, et qu’il ne devrait pas être autorisé à voyager davantage à l‘étranger, sauf pour rentrer aux Etats-Unis”, a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche, Jay Carney.
Le Kremlin, dont les réactions ont révélé depuis trois semaines un certain embarras, a soigneusement pris ses distances avec l’affaire Snowden.
Le porte-parole du président russe, Dmitri Peskov, avait expliqué mardi que sa demande d’asile temporaire ne “concernait pas le président”, mais le Service fédéral des migrations.
“Nous avons nos propres objectifs dans le développement des relations avec les Etats-Unis (...) Nous sommes un pays indépendant avec une politique extérieure indépendante”, a souligné Vladimir Poutine.
Il a cependant laissé entendre qu’il voyait dans l’affaire Snowden un exemple de ce qu’il perçoit comme une hypocrisie des États-Unis en matière de droits de l’homme.
“Le défense des droits de l’homme présente certains risques pour ceux qui s’en occupent. Si une telle activité est menée sous l‘égide des États-Unis, c’est une activité assez confortable. Dès que quelqu’un critique les États-Unis, cela devient beaucoup plus compliqué”, a observé le président russe.
“La situation qui a impliqué l’avion du président bolivien l’a bien montré”, a-t-il ajouté.
Soupçonné à tort d’avoir emmené M. Snowden dans son avion en provenance de Moscou, le président bolivien Evo Morales a dû faire début juillet une escale forcée de treize heures à Vienne après le refus de survol de leur territoire par plusieurs pays européens.
Vladimir Poutine a laissé entendre que Snowden finirait par quitter la Russie : “J’ai l’impression qu’Edward Snowden ne s’est jamais fixé comme objectif de rester indéfiniment en Russie”, a-t-il, dit.
“C’est un jeune homme et à vrai dire je ne comprends pas très bien comment il s’est décidé (à publier les révélations, NDLR), comment il a l’intention de faire sa vie, mais c’est son destin, son choix”, a-t-il conclu.
Vendredi, le fugitif américain a affirmé devant des défenseurs des droits de l’homme qu’il avait invités à une rencontre dans la zone de transit de l’aéroport Cheremetievo qu’il voulait obtenir l’asile en Russie pour pouvoir ensuite se rendre en Amérique latine où le Venezuela, la Bolivie et le Nicaragua se sont dits prêts à l’accueillir.
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Kerry estime que Palestiniens et Israéliens se rapprochent


. © HO Le secrétaire d’État américain John Kerry a estimé mercredi qu’Israéliens et Palestiniens se rapprochaient d’une reprise des négociations de paix, après une nouvelle rencontre avec le président palestinien Mahmoud Abbas, qu’il avait déjà longuement vu la veille.
Selon un responsable palestinien, M. Kerry est “déterminé à annoncer avant son départ vendredi la reprise des négociations” de paix, au point mort depuis 2010.
“Par des efforts intenses et déterminés, nous avons pu réduire ces divergences (entre Israéliens et Palestiniens) de manière très significative”, a assuré M. Kerry lors d’une conférence de presse à Amman.
“Nous continuons à nous rapprocher et je continue d’avoir l’espoir que les deux parties vont venir s’asseoir à la même table”, a-t-il ajouté, après avoir rencontré M. Abbas ainsi que des représentants de pays arabes.
M. Kerry, qui n‘épargne pas ses efforts pour faire redémarrer les négociations israélo-palestiniennes, n’a pas souhaité donner de détails sur le contenu de ces dicussions, expliquant qu’il “y a encore des formulations qui restent à élaborer”.
La délégation de la Ligue arabe a de son côté “convenu que les propositions de Kerry offr(aient) un fondement et un climat convenables pour relancer des négociations sérieuses, avec en particulier des éléments nouveaux sur le plan économique, politique et de la sécurité”, a rapporté l’agence officielle jordanienne Petra.
Mardi soir, M. Kerry avait passé cinq heures avec le président palestinien dans un hôtel d’Amman pour l’iftar, le repas de rupture du jeûne du ramadan.
“Ils ont poursuivi la conversation qu’ils mènent depuis quelques mois et ont abordé certains développements récents dans la région”, a fait savoir le département d’État américain dans un communiqué.
Plan pour soutenir l‘économie palestinienne

Les deux hommes ont également “discuté des détails d’un plan économique pour soutenir l‘économie palestinienne” en attirant environ 4 milliards de dollars d’investissements privés dans les Territoires palestiniens.
Le responsable palestinien, s’exprimant sous couvert de l’anonymat, a fait lui aussi état de “progrès dans les réunions avec Kerry”.
Toutefois, le négociateur palestinien Mohammad Chtayyeh a mis en doute la volonté de paix du gouvernement israélien, évoquant le fait que l’administration militaire devait examiner la construction d’un millier de logements dans des colonies de Cisjordanie.
M. Kerry a entamé mardi son sixième voyage au Proche-Orient depuis sa prise de fonctions en février, pour tenter de remettre sur les rails le processus de paix israélo-palestinien.
Sa nouvelle tournée survient alors qu’Israël a manifesté sa colère à propos de la décision de l’Union européenne d’exclure clairement les territoires occupés de sa coopération avec l’État hébreu.
La nouvelle réglementation européenne, qui doit être officiellement publiée vendredi, impose que tous les accords entre Israël et l’UE indiquent explicitement qu’ils ne s’appliquent pas aux territoires occupés par Israël depuis 1967, excluant donc la Cisjordanie, Jérusalem-Est, la bande de Gaza et le plateau du Golan.
Plusieurs ministres du Likoud (droite) du gouvernement israélien de Benjamin Netanyahu ont assuré que cette initiative européenne — saluée par les Palestiniens comme un “grand pas en avant” — sapait les efforts du secrétaire d’Etat américain John Kerry pour renouer les négociations.
M. Kerry n’a aucun rendez-vous prévu dans l’immédiat avec M. Netanyahu, contrairement aux précédentes tournées qui l’avaient vu faire la navette entre Amman et Jérusalem.
Dans un entretien à un journal allemand, M. Netanyahu a dénoncé la règlementation européenne comme “une tentative de tracer les frontières d’Israël de force à travers une pression économique, plutôt que par les négociations”.
Cela “fait perdre à Israël la confiance dans la neutralité de l’Europe”, a-t-il insisté.
Pour revenir à la table des négociations, M. Abbas exige un gel total de la colonisation et une référence aux lignes d’avant l’occupation israélienne des Territoires palestiniens en juin 1967 comme base de discussions.
Mais M. Netanyahu veut discuter sans “condition préalable” et n’envisage que des “gestes de bonne volonté”, comme un gel partiel de la colonisation, selon les médias.
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Chasseur T-50: les pilotes ne manqueront plus d’oxygène

Izvestia
Le chasseur russe de cinquième génération T-50 est désormais doté d'un système d'oxygène illimité pour la respiration du pilote, écrit le quotidien Izvestia du 17 juillet 2013.
Ce dispositif est nécessaire pour les vols à des altitudes supérieures à 4 kilomètres : à cette hauteur le pilote "s'endort" et perd connaissance à cause du manque d'oxygène. Tous les avions russes actuellement en service possèdent des ballons d'oxygène mais ils ont une durée d’utilisation limitée. Le T-50, par contre, est désormais muni d'un système spécial qui produit l'oxygène à partir de l'air environnant, conçu par l'entreprise Zvezda.
"L'oxygène est pompé dans l’air environnant pour être ensuite compressé et envoyé dans l’appareil respiratoire du pilote. Grâce à cette technique le temps de vol ne dépend plus des réserves d'oxygène et le pilote peut rester dans l'air plus longtemps avec plusieurs ravitaillements en combustible. Dans les avions existants le pilote est obligé de contrôler tout le temps le niveau d’oxygène, qui pourrait s'épuiser plus vite que le carburant", explique Mikhaïl Doudnik, spécialiste en chef de l’entreprise Zvezda.
Ce système fournit un volume d'oxygène illimité mais permet aussi d'économiser la charge utile de l'appareil : il ne pèse que 30 kg alors que le poids des ballons d'oxygène nécessaires pour deux heures de vol s'élève aujourd’hui à 90 kg.
"C'est crucial.  Tout d'abord pour les chasseurs qui ont toujours un déficit d'espace et de charge. Il ne sont donc pas en mesure de stocker des volumes importants d'oxygène comme le font les bombardier, plus spacieux", précise Mikhaïl Doudnik.
La conception de ce système a occupé l’entreprise pendant ces cinq dernières années. Il vient finalement d’être installé sur quatre prototypes de T-50 qui sont actuellement testés dans la région de Moscou.
"Les premiers prototypes du T-50 produits à Komsomolsk-sur-l'Amour sont arrivés ici par leurs propres moyens : ils ont été obligés de se ravitailler en combustible mais pas en oxygène", ajoute-t-il.
Aucun avion moderne ne peut se passer d'oxygène : les pilotes sont tout physiquement incapables de respirer à des altitudes de plus de 4 kilomètres. Et si un avion de ligne ou de transport peut embarquer sans problème de gros ballons d'oxygène, cette diminution de 60 kg est plus que considérable pour un chasseur qui compte chaque centimètre d'espace et chaque gramme de charge.
Ce nouveau système a servi de base pour un équipement similaire destiné aux avions d'entraînement Iak-130. Les chasseurs embarqués MiG-29K seront également doté de ce dispositif au cours de l'année. Les armées algérienne et malaisienne sont parfaitement au courant des avantages de ces équipements et les ont déjà commandés pour leurs chasseurs Su-30.
"Les premiers prototypes du Iak-130 étaient doté de ballons d'oxygène classiques, indique le pilote d'essai Roman Taskaev. En 1999, nous avons décollé vers l'usine italienne d'Aermacchi dans l’un de ces appareils en embarquant le volume nécessaire d'oxygène pour tout le vol. Mais une dépressurisation partielle des ballons a augmenté notre consommation, nous forçant à atterrir à Bratislava pour un ravitaillement. Le nouveau système exclut en principe ces problèmes".
L'armée russe produit, jusqu’à maintenant, l'oxygène sur terre. Ce procédé nécessite un personnel compétent et des équipements spéciaux. Et toute erreur peut provoquer une explosion.
"Les bataillons techniques des forces aériennes possèdent actuellement des stations automobiles de production d'oxygène, raconte Anatoli Kornoukov, ancien commandant en chef de l'armée de l'air. Les soldats et les sergents doivent suivre un cours de six mois pour être en mesure de manier cet équipement, alors que la formation des officiers dans ce domaine prend cinq ans. La sélection est très stricte en raison des risques d'incendie liés à l'oxygène".  
Selon lui, le nouveau système permettra de réduire le personnel des aérodromes et d'augmenter l'efficacité des chasseurs longue distance. Cela résout également le problème des aérodromes de campagne qui ne sont pas équipés pour la production d’oxygène.
L'armée américaine possède elle-aussi le même système, OBOGS, qui est installé dans les avions de cinquième génération F-22 et les chasseurs embarqués F-18.

fr.ria.ru

Haverskerque : un enfant du centre de loisirs oublié au zoo de Lille, une plainte déposée

Un petit garçon de 3 ans a été oublié après une sortie avec le centre de loisirs d’Haverskerque au zoo de Lille hier, mardi.

Le zoo de Lille est une destination très prisé des centres de loisirs en été. Photo Pierre LE MASSON 

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L’enfant était parti avec le centre de loisirs d’Haverskerque, visiter le zoo de Lille.
À la sortie du parc zoologique, aux alentours de 15 h 30, les quarante enfants remontent dans le bus, sauf M., âgé de trois ans et demi.
Une heure plus tard, le groupe s’apprête à prendre le goûter au centre de loisirs d’Haverskerque. C’est à ce moment-là que les animateurs constatent qu’un enfant manque à l’appel. Pensant qu’il a échappé à leur vigilance à la descente du bus, ils préviennent les gendarmes qui ratissent le centre ville à la recherche du garçonnet disparu.
Pendant ce temps-là, M. a été recueilli au zoo par une femme, qui a alerté la police. Le petit garçon est conduit au commissariat de Lille.
À 17 h, la maman rentrant du travail, apprend de son deuxième fils, la disparition de M.
Accompagnée par la directrice et un animateur du centre, elle récupère à 19 h, au commissariat de Lille, son garçonnet sain et sauf. Ce dernier a le sourire. « J’ai passé une bonne journée au zoo. J’ai fait pin-pon avec les gyrophares de la police ! » M. est même reparti avec une casquette.
Joint par téléphone, le maire d’Haverskerque, Hubert Bouquet, ne cache pas sa colère. Il n’a pas encore vu la famille, qu’il a essayé de contacter ce matin. Une plainte a été déposée auprès de la gendarmerie. La sûreté urbaine de Lille a été saisie de l’enquête.

lavoixdunord.fr

Dubai : la municipalité paie ses habitants pour maigrir

Dubai : la municipalité paie ses habitants pour maigrir
Flickr via Malingering
Des kilos contre des euros. C’est ce que promet la municipalité de Dubaï aux habitants qui perdront plus de deux kilos en un mois. Un concours qui pourrait rapporter gros et qui s’inscrit dans le cadre de la lutte contre l’obésité.
«Plus vous perdrez du poids, plus vous gagnerez d'or», a assuré Hussein Lootah, directeur général de la municipalité de Dubaï, rapporte l’AFP. L'initiative intervient en plein mois de jeûne du ramadan, commencé début juillet. Durant ce mois de privation, les fidèles satisfont leur faim une fois le soleil couché. Une pratique déconseillée par les nutritionnistes.
Près de 60.000 dollars à se partager pour les participants
Les gagnants de ce concours d’un nouveau genre pourront participer à un tirage au sort. A la clé, une pièce d’or d’une valeur de 20.000 dirhams (5.400 dollars environ). Les autres se partageront des récompenses d'une valeur globale de 200.000 dirhams (54.000 dollars).
L’argent n’est pourtant pas le seul but de cette initiative. Les participants recevront aussi des conseils de nutritionnistes et de médecins pour les aider à perdre du poids, mais devront s'engager à ne pas avoir recours à des «méthodes malsaines», précise Le Parisien.
Les personnes souhaitant participer à ce régime inédit devront se faire peser dans des parcs publics de Dubaï, une première fois ce vendredi puis à nouveau le 16 août.

Les 10 interdictions les plus surprenantes au monde


Le site d’actualités Russia Today a réalisé une sélection des dix choses de la vie quotidienne interdites par la loi de certains pays.
Les trotteurs pour bébé
Au Canada, votre bébé devra apprendre de la manière traditionnelle car le pays a interdit les trotteurs en 2004 après avoir déterminé que ce mécanisme pouvait ralentir le développement moteur et physique de l’enfant. Ainsi, la possession ou la vente d’un trotteur pourra vous coûter jusqu’à 100.000 euros d’amende ou six mois de prison.
Le ketchup
En octobre 2011, la France a interdit la célèbre sauce rouge dans les restaurants scolaires et ce pour des raisons culturelles, explique Courier International. Il s’agirait ainsi de préserver la cuisine française. A l’origine de cette interdiction, Christophe Hébert, président de l’Association nationale des directeurs de la restauration municipale (Agores) qui voit dans le ketchup « l’incarnation de l’américanisme » et qui souhaitait veiller à ce que les enfants soient familiarisés avec les recettes françaises afin de les transmettre aux générations suivants. Pour lui, le ketchup cache le goût de tout aliment.
Les ampoules incandescentes
En 2005, Cuba a été le premier pays à interdire complètement les ampoules incandescentes et à les remplacer par des lampes fluorescentes, aussi appelée lampes fluorescentes compactes (LFC). La vente et l’importation d’ampoules traditionnelles ont par ailleurs été interdites. L’Argentine a appliqué les mêmes mesures en 2010. En Europe et en Asie, la substitution se fait progressivement.
La coupe de cheveux « mullet »
En 2010, le ministère de la Culture de la République Islamique d’Iran a interdit plusieurs coupes de cheveux occidentales jugées décadentes comme la « nuque longue » ou « mullet ». En cas d’infraction, la personne recevra une amende. En 2012, en Australie, un homme utilisant cette même coupe de cheveux depuis dix ans s’était vu renvoyé d’un bar car sa coiffure avait été jugée « inélégante ».
Les sacs en plastique
Le Bangladesh a été le premier pays à interdire les sacs de plastique en 2002 afin de protéger l’environnement. Ce type d’interdiction a par la suite appliquée dans d’autres pays comme la France, la Tanzanie, Mexico ainsi que plusieurs villes des Etats-Unis.
La fessée
Les punitions physiques dans les écoles sont encore permises dans plusieurs pays du monde. C’est le cas de 19 Etats américains. Par contre, en 1979, la Suède a interdit la fessée « même légère ». Actuellement, 24 pays du monde interdisent ce type de pratique « punitive » chez les enfants.
Le chewing-gum
Le chewing-gum (ou gomme à mâcher, pâte à mâcher, chiclette, chique) est interdit à Singapour depuis 1992. Toutefois, cette loi a été légèrement modifiée en 2004 et les personnes souhaitant améliorer leur hygiène buccale grâce à la mastication d’un chewing-gum pourront obtenir une ordonnance médicale afin de se procurer cette substance légalement.
Les McDonald’s
Pendant 5 ans, de 1997 à 2002, Mc Donalds a fait l'impossible afin de s’implanter en Bolivie et de s'adapter aux goûts du consommateur bolivien. Tous ses efforts se sont révélés inutiles. Après de faibles recettes, l'entreprise nord-américaine a décidé de fermer ses huit restaurants installés dans les trois principales villes du pays.
Les prénoms d’enfants
Au Danemark, les parents doivent choisir le prénom de leur enfant au sein d’une liste officielle de l’Etat contenant environ 7.000 prénoms, 3.000 pour les garçons et 4.000 pour les filles. S’ils refusent de choisir dans cette liste, les parents devront obtenir l’approbation de l’église pour le prénom qu’ils souhaitent donner à leur enfant. La Nouvelle-Zélande et la Suède ont pour leur part créé une liste de prénoms interdits comme Lucifer, liste qui augmente chaque année.
Le tabac
En 2006, une enquête du BusinessWeek classait le Bhoutan comme le huitième pays le plus heureux du monde. Quatre années plus tard, le Bhoutan est devenu le premier pays au monde à interdire de fumer en public et á prohiber la vente de tabac. Selon les autorités, les fumeurs ne représentaient qu’1% de la population totale du pays dans les années 90. Les fumeurs doivent maintenant faire importer leur tabac et payer une taxe 100% sur le prix de vente ainsi qu’une taxe de 100% de droits de douane sur les produits du tabac. Les raisons de cette interdiction sont « sociales, spirituelles et sanitaires », confiait un responsable du ministère du Commerce.

Buzz : François Hollande reprend Get Lucky des Daft Punk

Buzz : François Hollande reprend Get Lucky des Daft Punk
Après Barack Obama, François Hollande reprend Get Lucky des Daft Punk devant une centaine de socialistes à la maison de la Mutualité
Il y a quelques semaines, une vidéo de Barack Obama reprenant Get Lucky des Daft Punk faisait le buzz sur internet.
Après le président américain, François Hollande a voulu y apporter sa «french touch» en reprenant à son tour Get Lucky des Daft Punk.
De nombreuses heures des discours de François Hollande ont été découpées pour arriver à réaliser cette vidéo qui se termine par une standing ovation devant une centaine de socialistes à la maison de la Mutualité.
Selon vous, quel sera le prochain président à reprendre Get Lucky des Daft Punk ?

La Chambre des Communes s’oppose à la livraison d’armes aux « rebelles » en Syrie

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La Commission de surveillance parlementaire des services secrets britanniques a rendu son rapport annuel, le 10 juillet 2013.
Elle écrit : « Les agences et le Centre d’analyse antiterroriste (JTAC) évaluent que des éléments d’Al-Qaïda et des djihadistes à titre individuel combattant en Syrie représentent actuellement la menace terroriste la plus inquiétante pour le Royaume-Uni et l’Occident. Il existe un risque provenant d’éléments extrémistes en Syrie qui, profitant de l’environnement favorable, pourraient élaborer des plans d’attaque externes, y compris contre des cibles occidentales. Un grand nombre d’individus radicalisés ont été attirés par ce pays, y compris un nombre important provenant du Royaume-Uni et de l’Europe en général. Ils sont susceptibles d’acquérir une expertise et une expérience qui pourrait accroître de manière significative la menace quand ils rentrent chez eux. En outre, il est à craindre des groupes extrémistes en Syrie le risque que représente l’accès aux stocks d’armes chimiques du régime ». [1]
Sur ce, la Chambre des Communes a adopté, par 114 voix contre 1, une motion, déposée par le conservateur John Baron [photo], précisant qu’« aucun support létal ne pouvait être dispensé aux forces anti-gouvernementales en Syrie sans accord explicite préalable du Parlement » [2].
Répondant indirectement aux députés, le ministre des Affaires étrangères, William Hague, a informé le Parlement par écrit qu’il envoyait aux rebelles du matériel de protection face aux gaz de combats pour 656 800 livres (soit environ 750 000 euros) [3].
La décision de la Chambre des Communes correspond à une décision identique du Congrès des États-Unis [4]. Celle de M. Hague ressort plutôt de la communication politique.

voltairenet.org

ARNAQUE. La "révolution" syrienne : où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ?



ArnaqueUne « révolution » ne peut exister que s’il y a les médias mainstream qui en parlent en faisant d’un épiphénomène, un événement majeur. Mais, une préfabrication ne peut être construite sur des bases saines. C’est cet échec retentissant dont sont victimes aujourd’hui les pays occidentaux et leur guerre par procuration en Syrie. Tel un ouragan, l’effet boomerang est entrain de faire des ravages considérables dans leurs rangs. En face du président syrien Bachar al-Assad, comme on le constate jour après jour, personne de crédible.
Un événement récent a vu la chute de Mohamed Morsi, président égyptien, en 48h. C’est un indicateur, la preuve que le peuple syrien, en majorité, soutien son raïs. Si c’était un mensonge, ça se saurait depuis : tentative de coup d’état et autres allaient se multiplier. Or, les terroristes qui se sont levés contre le pouvoir syrien, ne l’ont fait que pour de l’argent et pas du tout pour la religion. Une personne qui laisse tout tomber, sous prétexte de djihad, compte forcément sur quelque chose.
Que reste-t-il aux terroristes aujourd’hui ? Rien, si ce n’est, tuer aveuglement. La ville de Deir Atiyeh a connu, avant-hier, un attentat suicide. 13 personnes tuées, 10 policiers et 3 civils dont un enfant. Le kamikaze a fait exploser une voiture chargée d’explosifs dans un quartier résidentiel de la ville. La presse mainstream ne parle pas du désarroi de l’ASL qui ne combat plus, dépassé sur le terrain par les groupes djihadistes plus armés et surtout les seuls a avoir de l’argent. Plus aguerri donc, Al-Qaïda a le soutien de la coalition morbide qui veut la destruction de la Syrie.
Sur le front, les combattants d’Al-Qaïda ont pris le dessus sur l’ASL et, s’ils arment cette dernière, à savoir l’ASL, aussi terroriste que les autres, ce serait même une bonne chose. En effet, la lutte d’influence fera que, ces groupes qui ne peuvent fédérer, se battront encore plus entre eux. Une guerre d’influence qui est déjà en marche depuis des lustres et que la presse aux ordres tente de minimiser. Le président syrien Bachar al-Assad dormira tranquille, sachant que les renégats s’auto-détruiront.
De violents affrontements suivis de l’assassinat de chefs rivaux, dont l’un a été décapité, montrent le vrai visage de la fameuse révolution syrienne. La résistance des Syriens a montré aux uns et aux autres, la grande falsification. D’entendre les factions dites « modéréas » accuser publiquement les extrémistes d’essayer de prendre le contrôle de la rébellion doit siffler dans les oreilles de ceux qui l’ont permis, en refusant toute négociation. La propagande ne passe plus. Les luttes intestines qui font dire à certains que la révolution a échoué font sourire. A-t-elle jamais existé cette révolution ?
Quant aux salmigondis du général Salim Idris qui déclare :"Nous ne voulons pas des combattants étrangers. Nous avons assez d’hommes et nous voulons les sortir de Syrie", il y a de quoi crier de rage. Sans ces terroristes étrangers, ils seraient tous aujourd’hui en Turquie. Il fait donc la promesse que, s’ils ont des armes, ils pourront jeter les terroristes étrangers de Syrie. Dans son interview sur la chaîne Al-Arabiya, le général Idris accuse le nouveau groupe qui vient de se faire connaître en Syrie, l’Etat islamique d’Irak et du Levant (EIIL) d’être des « agents du gouvernement syrien » et des «criminels». Très drôle en effet…
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Or, ce groupe -nous en avions parlé-, formé en avril et composé des branches d’al-Qaïda en Irak et la Syrie, a pris un rôle de plus en plus dominant dans la guerre civile syrienne. Bon nombre de ses combattants sont des Africains du nord, des Irakiens, des Afghans, des Pakistanais et des Européens qui ont afflué vers la Syrie pour rejoindre le soulèvement… sunnite majoritairement contre Assad. Donc, quand le général Idris s’évertue à dire que ces gens sont au service du président Bachar al-assad, il faut qu’il s’en prenne au gouvernement turc qui les laisse entrer en toute illégalité en Syrie.
Des hommes armés de l’Etat islamique d’Irak et du Levant, veulent, par leurs assassinats ciblés, décapiter l’ASL, certainement, à la demande d’une puissance financière. Laquelle ? Certains pensent au Qatar. Ces combattants djihadistes, des « résistants » pour DJ Fabulous aka Laurent Fabius, qui devrait plus s’occuper des affaires de son fils que du président Assad, sont leurs alliés. Du moins, en Syrie. Vous parlez de la "révolution" syrienne ? Elle a eu lieu où, quand, comment ? Pourquoi ?…Elle n’a jamais existé..

allainjules.com

Beckham passe à l'ovale à Biarritz !

Depuis plusieurs saisons, Imanol Harinordoquy a des étés plutôt chargés. Le vice-champion du monde a créé des stages à son nom "Stage Imanol" qui, de juillet à août, à Biarritz, font le bonheur de jeunes rugbymen en herbe, âgés de 9 à 14 ans, ravis de se perfectionner non seulement dans leur sport favori, mais également de pratiquer et de s'initier à d'autres disciplines typiques de la région, telles que le surf, la pelote, la force basque,... Le tout sous l'oeil bienveillant du troisième ligne international et de son équipe, soucieux de sensibiliser les jeunes stagiaires aux valeurs essentielles véhiculées par le rugby.
Une véritable institution, dont la réputation à l'évidence a dépassé les frontières. Au point même d'attirer la star absolue du ballon rond, David Beckham, qui s'est essayé à manier l'ovale, comme en atteste le cliché relayé par Harinordoquy via son compte Twit
ter, évoquant un "nouveau stagiaire surprise". Retraité des terrains depuis sa pige éclair sous le maillot du PSG, le "Spice Boy" a de toute évidence choisi de prolonger son séjour dans l'Hexagone.

sports.fr

Le nouveau projet de parc national américain: les sites d'alunissage de la mission Apollo


 
Deux membres du Congrès Américain, les démocrates Donna Edwards, du Maryland, et Eddie Bernice Johnson, du Texas, veulent créer un nouveau parc national : l’Apollo Lunar Landing Sites National Historical Park. Ainsi que son nom l’indique, il serait situé sur la Lune.
Mais comme il serait probablement illégal pour les Etats-Unis de s’octroyer le droit sur les terres lunaires en vertu des règlements internationaux, il se limiterait à la collection d’objets laissés sur place par les 17 missions réalisées entre 1969 et 1972, dont les modules lunaires de la mission Apollo. Selon le Outer Space Treaty de 1967, dont les Etats-Unis sont signataires, il n’est pas possible pour un pays de s’approprier « l’espace et les corps célestes par les moyens de l’occupation, ou par tout autre moyen »
« C’est logique », estime Joshua Keating de Foreign Policy. « Les navires américains sont généralement considérés comme faisant partie du territoire américain, donc pourquoi pas les vaisseaux spatiaux ? ».
Les deux politiciens expliquent que leur projet se justifie par l’imminence du démarrage du tourisme dans l’espace. « Comme des entreprises commerciales sont en train d’acquérir la possibilité d’atterrir sur la Lune, il est nécessaire de protéger les sites d’alunissage de la mission Apollo pour la postérité », écrivent-ils dans leur projet de loi. Celui-ci prévoit de solliciter l’autorisation de l’UNESCO pour le classement de ce parc national en site du patrimoine mondial de l’Unesco.

express.be

Panama: cargo nord-coréen arraisonné, les armes appartiendraient à Cuba


Cuba a confirmé mardi que des armes retrouvées à bord d’un navire nord-coréen arraisonné lundi à Panama lui appartenaient et a indiqué qu’elles devaient être réparées avant de revenir dans l‘île, tandis que les autorités panaméennes poursuivaient l’inspection du navire.
“A bord du navire concerné (le cargo Chong Chon Gang), étaient transportées 240 tonnes d’armes défensives obsolètes – deux missiles complets sol-air Volga et Pechora, neuf fusées en pièces détachées, deux avions de type Mig-21 et 15 moteurs pour ce type d’appareil-, toutes fabriquées au milieu du siècle passé et qui devaient être réparées et revenir dans notre pays”, a indiqué dans un communiqué le ministère cubain des Affaires étrangères.
“Les accords souscrits par Cuba dans ce domaine reposent sur la nécessité de maintenir notre capacité défensive pour préserver la souveraineté nationale”, a ajouté le ministère cubain.
Selon celui-ci, le navire a appareillé depuis un port cubain vers la Corée du Nord avec un chargement de quelque 10.000 tonnes de sucre et des armes.
La Corée du sud a exprimé mercredi sa “satisfaction” après l’arraisonement du navire et a appelé les Nations Unies à se saisir de l’affaire s’il s’avérait que le transport de ces armes violait les résolutions de l’ONU.
Le cargo Chong Chon Gang a été intercepté côté atlantique du canal et conduit au port de Colon, à 80 km de la capitale, Panama.
D’après le groupe de consultants IHS Jane’s, basé à Londres, qui a étudié une photo du chargement diffusée sur Twitter par le président du Panama Ricardo Martinelli, il s’agirait d’un radar de contrôle de tir de batterie de missile sol-air SA-2, d’une conception remontant à l‘époque de l’Union soviétique.
Selon Neil Ashdown, spécialiste de la région Asie-Pacifique chez IHS, Cuba pourrait avoir expédié le radar en Corée du Nord pour le faire moderniser. “Dans ce cas, il serait sans doute réexpédié vers Cuba et la cargaison de sucre (du Chong Chon Gang) pourrait être un troc en échange de ce service”.
Cuba, seul régime communiste d’Amérique et un des rares alliés de la Corée du Nord, détient effectivement de l’armement soviétique datant de la fin des années 80 et n’ayant pas acquis d’armes depuis, a besoin de les moderniser, selon les aveux-mêmes de La Havane.
“Les Etats-Unis soutiennent fermement la décision souveraine du Panama d’inspecter le navire battant pavillon nord-coréen” et “se tiennent prêts à coopérer”, a de son côté déclaré un porte-parole du département d’Etat américain, Patrick Ventrell.
Les Nord-Coréens, qui produisent des missiles de tous types, ont lancé en décembre dernier une fusée à trois étages qui a placé un satellite en orbite.
Des analystes à Séoul ont jugé que la Corée du nord était capable de vendre à l‘étranger un service de réparation de missiles.
“Mais on ne peut exclure la possibilité que la Corée du nord importe des pièces pour ses propres missiles datant de l‘ère soviétique”, a dit à l’AFP Shin In-Kyun, président du Korea Defence Network, un centre d‘études privé.
En 1962, l’installation par les Soviétiques de missiles nucléaires à Cuba avait placé le monde au bord de l’affrontement nucléaire.
“Ce navire est parti de Cuba, du port de La Havane. Samedi, de hauts fonctionnaires cubains se sont rendus au Panama à une réunion avec le président de la République à ce sujet, mais à ce moment-là, pour nous, les informations évoquaient (un chargement) de drogue”, a expliqué mardi le ministre de la Sécurité, José Raul Mulino.
M. Mulino a précisé qu’un magistrat anti-drogue était monté à bord du navire, suivi le vendredi par des fonctionnaires disposant d‘équipements spéciaux, quand l‘équipage a tenté d’empêcher l’inspection.
D’après le porte-parole de la présidence, Luis Eduardo Camacho, les 35 membres d‘équipage ont été arrêtés et le capitaine du navire a eu “un début d’infarctus et ensuite a tenté de se suicider”.
Panama a demandé aux Nations unies et au Conseil de sécurité d’envoyer des experts pour examiner la cargaison, mais l’inspection “peut prendre une semaine. Nous avons ouvert seulement une soute et il en reste quatre”, a précisé M. Camacho.
Des navires transportant du matériel militaire peuvent emprunter le canal de Panama, mais ces cargaisons font l’objet d’un protocole spécial, a expliqué un employé du canal, par où transite environ 5% du commerce de marchandise mondial.
Le président conservateur Martinelli, richissime homme d’affaires allié de Washington, a été élu en 2009 à la tête du Panama, petit pays de 3,5 millions d’habitants à l’importance stratégique incalculable depuis la mise en service du canal en 1914.
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Immigration: Obama s’oppose à l’approche de la Chambre


Le président des Etats-Unis Barack Obama s’est opposé mardi à l’approche de la réforme de l’immigration empruntée par les républicains de la Chambre des représentants, en particulier leur méfiance envers une régularisation des clandestins.
Mais il a aussi reconnu que les désaccords au Congrès rendraient difficile l’adoption d’un texte d’ici aux vacances parlementaires d’août, alors qu’il espérait jusqu’ici que le dossier serait bouclé avant la fin de l‘été.
Dans un entretien accordé à l’antenne locale de Denver (Colorado, ouest) de la télévision américaine en espagnol Telemundo, M. Obama a renouvelé son appel à ses adversaires, pour qu’ils emboîtent le pas au Sénat.
Ce dernier, où les démocrates détiennent une majorité relative et ont reçu le renfort de républicains, a adopté le 27 juin une réforme de l’immigration qui conduira à des millions de régularisations et à un renforcement de la surveillance de la frontière mexicaine.
Mais la Chambre ne l’entend pas ainsi, les influents élus les plus conservateurs du parti républicain s’opposant à toute mesure qui pourrait s’apparenter à une “amnistie” de clandestins. Le groupe républicain de l’assemblée a décidé d‘élaborer sa propre réforme, graduellement et par volets, en donnant priorité à la sécurité de la frontière.
M. Obama, sur Telemundo, a affirmé que “ça me paraît insensé, si nous faisons cet effort sans précédent en une génération pour remettre le système en ordre, de laisser le statut de 11 millions de personnes sans solution”.
Il s’est opposé à l’idée de voir “deux classes de gens dans ce pays, des ressortissants de plein droit et des gens résignés à un statut inférieur, en permanence”.
Quant à l’idée de la Chambre de disjoindre le texte du Sénat pour le faire passer petit à petit, “le danger (...) est que beaucoup de groupes veulent des choses différentes”, a-t-il remarqué.
“Et il existe une tendance à remettre à la fin les choses les plus difficiles. Et si l’on a mangé son dessert avant ses légumes, on finit par ne pas manger ses légumes, en tout cas c’est comme cela que ça se passe avec mes enfants”, a-t-il plaisanté.
Interrogé sur l’issue de cette réforme, l’une de ses promesses de campagne, il a concédé “ne pas penser que nous la verrons (aboutir) avant les vacances parlementaires d’août”, alors qu’il avait auparavant évoqué l‘échéance de la fin de l‘été.
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Al-Qaïda admet la mort de son homme fort au Yémen


Al-Qaïda dans la Péninsule arabique (Aqpa) a confirmé la mort de son homme fort au Yémen, le Saoudien Saïd al-Chehri, dans un raid d’un drone américain, ce qui porte un coup dur au réseau déjà affaibli.
Dans une vidéo mise en ligne mercredi sur des sites islamistes, Aqpa a fini par admettre la mort de son co-fondateur, annoncée le 24 janvier par les autorités.
“Cheikh Saïd al-Chehri, alias Abou Sofiane Al-Azdi, a été tué dans un raid d’un drone américain”, a annoncé un responsable d’Aqpa, Ibrahim al-Rubeish, dans la vidéo.
Un “relâchement des mesures de sécurité, lors des contacts téléphoniques” de Chehri, a permis “à l’ennemi” de le repérer, a-t-il expliqué.
Il a également indiqué que Chehri avait organisé l’enlèvement du vice-consul d’Arabie saoudite à Aden (sud), Abdallah al-Khalidi, détenu depuis mars 2012 par Aqpa, qui réclame notamment la libération de femmes prisonnières en Arabie saoudite.
Les autorités yéménites avaient annoncé le 24 janvier que Chehri avait “succombé à ses blessures subies lors d’une opération antiterroriste” en novembre dans le nord du pays, mais le réseau n’avait pas confirmé.
Chehri, un ancien détenu de Guantanamo remis aux autorités saoudiennes en 2007, avait suivi un programme de réhabilitation mis en place par Ryad pour ses ressortissants de retour de la prison américaine, mais s‘était échappé pour rejoindre les rangs d’Al-Qaïda au Yémen.
Traqué par les autorités yéménites et par les Etats-Unis, il avait déjà été donné pour mort à plusieurs reprises par Sanaa.
Vaste offensive de l’armée
Le réseau extrémiste avait profité de l’affaiblissement du pouvoir central en 2011, à la faveur de l’insurrection populaire contre l’ancien président Ali Abdallah Saleh, pour renforcer son emprise sur l’est et le sud du Yémen.
Les combattants d’Aqpa ont cependant été chassés en juin 2012, à la faveur d’une vaste offensive de l’armée, de la plupart des localités de la province sudiste d’Abyane qu’ils ont contrôlées pendant un an.
Ils se sont repliés dans les zones montagneuses et dans le Hadramout (sud-est), mais leurs opérations ont baissé d’intensité, sous la pression des forces yéménites, soutenues par les drones américains.
“Aqpa a réduit ses opérations pour deux raisons: sa restructuration après la perte de son fief à Abyane, et son infiltration de l’intérieur par les Américains comme en témoignent ses pertes humaines”, a déclaré à l’AFP un chef tribal connu pour ses contacts avec des membres du réseau.
Signe de ces difficultés, Aqpa avait annoncé en mars avoir négocié en vain une trêve avec Sanaa, proposée par des dignitaires religieux et tribaux.
Cette initiative sans précédent avait buté sur un refus du président Abd Rabbo Mansour Hadi, qui avait exigé que les combattants du réseau “déposent les armes, annoncent leur repentir et renoncent à leurs idées extrémistes”.
Aqpa n’a pas encore annoncé le successeur de Saïd Chehri. “Ce ne sera assurément pas un Yéménite et le nom d’Ibrahim al-Rubeish est le plus cité pour remplacer Chehri”, a indiqué le chef tribal.
M. Rubeish, Saoudien comme Chehri, est actuellement l’idéologue d’Aqpa et proclame les édits religieux du réseau, selon lui.
Aqpa, dirigée par le Yéménite Nasser al-Whaychi, est née en janvier 2009 de la fusion des branches saoudienne et yéménite d’Al-Qaïda, après les coups durs portés au réseau extrémiste en Arabie saoudite.
Nasser al-Whaychi avait affirmé en juillet 2011 son allégeance à Ayman al-Zawahiri, nouveau chef d’Al-Qaïda après la mort d’Oussama ben Laden dans un raid des forces spéciales américaines en mai 2011 au Pakistan.
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Visite historique mais discrète en France du président birman


Le président birman Thein Sein, qui a engagé son pays dans un processus de transition vers la démocratie entaché de violences contre la minorité musulmane, effectuait mercredi une première visite officielle discrète à Paris.
Le président français, qui accueillera Thein Sein à l’Elysée à 15H00 (13H00 GMT), et le Premier ministre Jean-Marc Ayrault qui le reçoit à déjeuner à 13H00 (11H00 GMT) comptent l’encourager “à poursuivre la transition et à la consolider”.
“Le président lui exprimera notre souhait que ce processus de transition se poursuive, s’accélère et que les libérations de prisonniers politiques interviennent le plus vite possible”, a indiqué l’entourage de M. Hollande.
En visite à Londres lundi, Thein Sein s’est engagé à faire libérer tous les “prisonniers d’opinion” avant la fin de l’année. Des associations birmanes de défense des droits de l’homme l’ont aussitôt appelé à “transformer ses paroles en actes”
“Le retour du Comité international de la Croix-Rouge dans les prisons birmanes constitue un signe positif”, a souligné l’entourage du président français.
Mais la France est “préoccupée par la persistance des violences contre la minorité musulmane des Rohingyas” dans la région Rakhine (ouest), a-t-on précisé.
L’armée conserve en Birmanie un rôle central et des violence religieuses ont mis en lumière une islamophobie parmi la majorité bouddhiste de la population. Le Parlement européen a appelé le 13 juin à la fin des “persécutions” contre les Rohingyas, citant des arrestations, emprisonnements arbitraires, actes de torture, viols, destruction des propriétés ou des lieux de culte.
Cette minorité traitée comme apatride dans son pays est parmi les populations les plus persécutées du monde, selon l’ONU.
En 2012, des affrontements entre Rohingyas et bouddhistes de l’ethnie rakhine avaient fait plus de 200 morts et 140.000 déplacés dans l’ouest.
Les violences anti-musulmans se sont ensuite propagées dans d’autres régions du pays où plus de 40 personnes ont été tuées, mettant en lumière une islamophobie latente dans un pays majoritairement bouddhiste. Thein Sein a promis une “tolérance zéro” pour ceux qui “alimentent ces haines ethniques”.
Mais l’ONG internationale cybermilitante AVAAZ a estimé que la Birmanie présente des “facteurs avant-coureurs” d’un possible génocide contre les Rohingyas, dans un document mis en ligne lundi.
AVAAZ a annoncé une manifestation mercredi place de la République à Paris “pour alerter François Hollande sur les risques d’un prochain Rwanda en Birmanie”.
L’ONG et d’autres associations, dont la fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), avaient appelé lundi François Hollande à “ne pas passer sous silence la situation des droits humains” en Birmanie.
“La France ne doit pas se laisser guider uniquement par ses intérêts économiques, alors que de grandes entreprises françaises, comme Vinci, Bouygues, Total et Orange sont en train de négocier des contrats en Birmanie”, ont-elles réclamé.
Intérêts économiques
Le président birman a commencé sa visite par une rencontre avec des représentants du patronat, a-ton appris auprès du Medef, la principale organisation patronale. Un rendez-vous discret auquel les médias n‘étaient pas conviés.
Il n’est pas non plus prévu de point de presse après le tête à tête entre François Hollande et Thein Sein.
“Nous souhaitons pouvoir accompagner l’ouverture du pays” alors que pour l’heure les relations bilatérales franco-birmanes “restent modestes avec des échanges commerciaux qui représentent 18 millions d’euros par an”, a souligné un conseiller diplomatique du président français.
La ministre du Commerce extérieur Nicole Bricq doit prochainement se rendre en Birmanie (les 30 et 31 juillet), après Pascal Canfin, chargé du Développement qui y a déjà effectué une visite en mars.
En mai, Thein Sein, qui a sorti la Birmanie de son isolement diplomatique en réintégrant l’opposante Aung San Suu Kyi dans le jeu politique, avait effectué une visite historique aux Etats-Unis. Le président Barack Obama avait salué les réformes entreprises par cet ancien Premier ministre de la Junte devenu chef de l’Etat en 2011, mais avait réclamé aussi la fin des violences anti-musulmanes.
Le dirigeant birman s’est également déjà rendu en mars en Europe, notamment en Norvège, en Autriche et à Bruxelles.
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Syrie: les jihadistes chassés d'une localité kurde

BEYROUTH - Des combattants kurdes syriens ont chassé les groupes jihadistes affiliés à Al-Qaïda d'une localité frontalière de la Turquie à la suite de violents combats, rapporte mercredi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Les comités de protection du peuple kurde (YPG) ont expulsé les combattants du Front Al-Nosra et de l'Etat islamique islamique en Irak et au Levant (EIIL), ainsi que d'autres groupuscules extrémistes de la localité de Ras al-Ein (nord), par laquelle les jihadistes transitaient entre la Syrie et la Turquie.

Au moins neuf combattants d'Al-Nosra et de l'EIIL et deux combattants kurdes ont été tués dans les combats en 24 heures dans la ville, a précisé l'OSDH, qui s'appuie sur un vaste réseau de militants et de sources médicales et militaires.

Les affrontements ont commencé lorsque des combattants d'Al-Nosra ont attaqué une patrouille de combattantes kurdes, qui sont parvenues à s'enfuir, a expliqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, président de l'OSDH.

Selon les militants à Ras el-Aïn, des combattants d'Al-Nosra, partisans d'un islam rigoriste, faisaient pression depuis le début du mois du ramadan sur les habitants pour qu'ils observent le jeûne, et s'en prenaient aux femmes ne portant pas le voile.

Ces accrochages surviennent au moment où les tensions sont fortes entre la rébellion modérée soutenue par des pays arabes et occidentaux et représentée par l'Armée syrienne libre (ASL) et Al-Nosra et l'EIIL, avec une multiplication des attaques des deux bords.


(©AFP /

Syrie : les USA privent les anti-Assad d'une aide de 50 millions de dollars!!!


IRIB- C'est le journal World Tribun qui le confirme :
les Etats Unis sont incapables de connaitre les réelles intentions des miliciens sunnites en action en Syrie d'où leur refus d'octroyer une aide de 50 millions de dollars aux rebelles ". " Dans le dossier syrien, le problème pour le congrès d'une part et Obama de l'autre est la méfiance qu'ils ressentent vis à vis des rebelles liés à Al Qaida et leur incapacité à les reconnaitre" " la politique et l'action d'Obama sont marquées de point d'ombre sur la Syrie, affirme le journal citant la sénatrice US et membre de la commission du renseignement Suzane Collins. selon les sources bien informées, la CIA a pris en charge depuis novembre 2012 une partie de l'aide technique et de formation prodiguée aux terroristes mais ces six derniers mois , de nombreux rebelles ont décidé de renoncer et ils ont été rempalcés par les combattants qaidistes. Selon World Tribun, "Obama a promis en juin dernier d'aider les rebelles sunnites en Syrie. or les sources dignes de foi confirment l'absence de toute aide ou formation supplémentaires aux rebelles depuis cette date. George Little , porte-parole du Pentagon a d'ailleurs annoncé le 9 juillet n'avoir pris aucune décision sur la date ou les modalités de l'aide à acheminer aux rebelles. Little a dit qu'aider les rebelles est l'objectif des Etats Unis et que son pays cherchait les voies susceptibles de le réaliser. le journal évoque ensuite les réticences des représentants US face aux rebelles . le numéro deux de la CIA Micheal Morel a reconnu l'emprise de deux groupes rivaux salafistes c'est a dire Al Nosra et Etat islamique en Irak et au Levant sur la rébellion. or ces deux milices figurent sur la liste des organisations terroristes . World Tribun revient sur les inquiétudes exprimées par les différentes commissions du congrès US au sujet des milices liées à Al Qaida car plusieurs d'entre elles avaient effectivement cette alliance mais la reniaient pour éviter les sanctions US . deux principaux sujets d'inquiétude existent pour les représentants us : 1 les rebelles sunnites iront oui ou non vendre les armes qui leur arrivent au régime Assad? 2 ces rebelles utiliseront -ils oui ou non ces armes contre les civils syriens? la livraison d'armes aux terroristes divise en tout cas les rangs des représentants US. l'article de World Tribun est publié alors que New York Times a fait état d'une réunion secrète entre Biden et chef de la Cia au sujet de l'armement des rebelles.

Homs : comment expliquer la victoire d'Assad?


IRIB- Selon une source militaire syrienne , les avancées fulgurantes  à Homs sont les fruits des plans militaires bien réfléchis de l'armée arabe syrienne.
" les points stratégiques de la province sont contrôlés par l'armée et celle-ci s'apprête à lancer le grand ratissage à rif de Damas, une fois ses opérations achevées dans l'axe nord de la banlieue damacène" "l'armée syrienne a réussi à tromper les terroristes en leur faisant croire qu'après Qusseir, elle prendrea d'assaut Alep. cette manière de faire à dévoyé l'attention des miliciens , les a exhorté à se rendre massivement à Alep et a laissé à l'armée la liberté de mùener à bon terme son offensive à Homs. .. l'armée a concentré donc ses opérations au centre de Homs surtout à Al Khalediyah , à Bab Houd, à Bab Darib à Joratal Chiyah, à Al Gharabis . ses renforts ont pris positions dans les régions de l'est et de l'ouest de Goms , non loin de Talaklakh , pres des frontières avec le Liban . Al Al Gharitin , l'armée a su ainsi surveiller de près les agissements des terroristes et ces derniers ont été quasiment mis au pas à Al Rastan" selon cette source militaire, la reprise d'Al Khalediya et de Bab Houd a resséré l'étau autour des terroristes qui se voient désormais piégés dans une zone bien réduite. cette stratégie vise à mettre fin au terrorisme dans la banlieue nord de Homs". " la prochaine bataille de l'armée syrienne aura lieu à rif de Damas surtour sur l'axe du nord dans des localités Harsata, Al Qabun, Barzé et Jobar , l'objectif étant le nettoyage total de l'axe international Damas/Homs. c'est un gros artère de trafic d'armes qui une fois coupé, privera les terroristes d'une grosse partie de leur fourniture en armements. es convois d'armes en provenace de la Jordanie vers Ghoutiya Charghiya ou encore ceux transités depuis le Liban vers Homs puis vers Yabroud seront stoppé".

Les 10 interdictions les plus surprenantes au monde


Used chewing-gums
Le site d’actualités Russia Today a réalisé une sélection des dix choses de la vie quotidienne interdites par la loi de certains pays.
Les trotteurs pour bébé
Au Canada, votre bébé devra apprendre de la manière traditionnelle car le pays a interdit les trotteurs en 2004 après avoir déterminé que ce mécanisme pouvait ralentir le développement moteur et physique de l’enfant. Ainsi, la possession ou la vente d’un trotteur pourra vous coûter jusqu’à 100.000 euros d’amende ou six mois de prison.
Le ketchup
En octobre 2011, la France a interdit la célèbre sauce rouge dans les restaurants scolaires et ce pour des raisons culturelles, explique Courier International. Il s’agirait ainsi de préserver la cuisine française. A l’origine de cette interdiction, Christophe Hébert, président de l’Association nationale des directeurs de la restauration municipale (Agores) qui voit dans le ketchup « l’incarnation de l’américanisme » et qui souhaitait veiller à ce que les enfants soient familiarisés avec les recettes françaises afin de les transmettre aux générations suivants. Pour lui, le ketchup cache le goût de tout aliment.
Les ampoules incandescentes
En 2005, Cuba a été le premier pays à interdire complètement les ampoules incandescentes et à les remplacer par des lampes fluorescentes, aussi appelée lampes fluorescentes compactes (LFC). La vente et l’importation d’ampoules traditionnelles ont par ailleurs été interdites. L’Argentine a appliqué les mêmes mesures en 2010. En Europe et en Asie, la substitution se fait progressivement.
La coupe de cheveux « mullet »
En 2010, le ministère de la Culture de la République Islamique d’Iran a interdit plusieurs coupes de cheveux occidentales jugées décadentes comme la « nuque longue » ou « mullet ». En cas d’infraction, la personne recevra une amende. En 2012, en Australie, un homme utilisant cette même coupe de cheveux depuis dix ans s’était vu renvoyé d’un bar car sa coiffure avait été jugée « inélégante ».
Les sacs en plastique
Le Bangladesh a été le premier pays à interdire les sacs de plastique en 2002 afin de protéger l’environnement. Ce type d’interdiction a par la suite appliquée dans d’autres pays comme la France, la Tanzanie, Mexico ainsi que plusieurs villes des Etats-Unis.
La fessée
Les punitions physiques dans les écoles sont encore permises dans plusieurs pays du monde. C’est le cas de 19 Etats américains. Par contre, en 1979, la Suède a interdit la fessée « même légère ». Actuellement, 24 pays du monde interdisent ce type de pratique « punitive » chez les enfants.
Le chewing-gum
Le chewing-gum (ou gomme à mâcher, pâte à mâcher, chiclette, chique) est interdit à Singapour depuis 1992. Toutefois, cette loi a été légèrement modifiée en 2004 et les personnes souhaitant améliorer leur hygiène buccale grâce à la mastication d’un chewing-gum pourront obtenir une ordonnance médicale afin de se procurer cette substance légalement.
Les McDonald’s
Pendant 5 ans, de 1997 à 2002, Mc Donalds a fait l'impossible afin de s’implanter en Bolivie et de s'adapter aux goûts du consommateur bolivien. Tous ses efforts se sont révélés inutiles. Après de faibles recettes, l'entreprise nord-américaine a décidé de fermer ses huit restaurants installés dans les trois principales villes du pays.
Les prénoms d’enfants
Au Danemark, les parents doivent choisir le prénom de leur enfant au sein d’une liste officielle de l’Etat contenant environ 7.000 prénoms, 3.000 pour les garçons et 4.000 pour les filles. S’ils refusent de choisir dans cette liste, les parents devront obtenir l’approbation de l’église pour le prénom qu’ils souhaitent donner à leur enfant. La Nouvelle-Zélande et la Suède ont pour leur part créé une liste de prénoms interdits comme Lucifer, liste qui augmente chaque année.
Le tabac
En 2006, une enquête du BusinessWeek classait le Bhoutan comme le huitième pays le plus heureux du monde. Quatre années plus tard, le Bhoutan est devenu le premier pays au monde à interdire de fumer en public et á prohiber la vente de tabac. Selon les autorités, les fumeurs ne représentaient qu’1% de la population totale du pays dans les années 90. Les fumeurs doivent maintenant faire importer leur tabac et payer une taxe 100% sur le prix de vente ainsi qu’une taxe de 100% de droits de douane sur les produits du tabac. Les raisons de cette interdiction sont « sociales, spirituelles et sanitaires », confiait un responsable du ministère du Commerce.

Pourquoi les couples divorcent: 10 statistiques


- En blanc -Mark Ralston
Un quart des relations amoureuses se termine dans les 6 ans, et la moitié prend fin avant d’atteindre une durée de 25 ans, ont conclu des chercheurs universitaires australiens de l’Australian National University dans une étude intitulée «What's Love Got To Do With It » . Ils ont suivi 2.500 couples mariés ou vivant en concubinage pendant six ans pour découvrir quels étaient les facteurs qui font que certains couples restent ensemble tandis que d'autres couples divorcent ou se séparent. Voici leurs conclusions :
✓ Un homme qui est plus âgé de 9 ans ou plus que sa femme a deux fois plus de chances de se séparer, et cela s'applique également aux hommes qui se marient avant l'âge de 25 ans.
✓ Les couples qui ont eu des enfants avant le mariage (que ce soient leurs propres enfants ou des enfants issus de relations précédentes) se séparent dans 20% des cas.
✓ En revanche, les couples qui ont eu leurs enfants après le mariage ne se séparent que dans seulement 10% des cas.
✓ Les couples où la femme a un plus grand désir d’enfants que son mari sont aussi plus susceptibles de se séparer.
✓ 16% des personnes qui sont enfants de parents divorcés se séparent elles-mêmes.
✓ Ceux dont les parents ne se sont pas séparés ne sont que 10% à se séparer eux-mêmes.
✓ Les membres des couples qui sont issus d’un premier ou d’un second mariage ont 90% de chances supplémentaires de se séparer par rapport aux couples dont les deux membres n’ont jamais été mariés précédemment.
L'argent joue également un rôle important:
✓ 16% des familles à faible revenu ou dont le mari était au chômage se sont séparés au cours de l'étude.
✓ Seulement 9% des couples disposant d’une bonne situation financière ont divorcé.
✓ Enfin, les relations où un seul des deux conjoints fume, ou lorsque la femme boit plus que son mari sont plus susceptibles de se briser.
Les facteurs les moins importants sont l'origine ethnique, la religion et de le niveau d’éducation.