20 avril, 2012

Adele, Rihanna et Obama parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde

  • Adele, Rihanna et Obama parmi les 100 personnalités les plus influentes du mondeAfficher la photoAdele, Rihanna et Obama parmi les 100 personnalités les plus influentes du monde
Pour la neuvième année, le magazine Time a publié cette semaine la liste des 100 personnes les plus influentes dans le monde. Et en cette année de campagne électorale, ce sont sans surprise les personnalités politiques qui ont la part belle dans cette liste, dont les heureux élus ne sont pas classés par ordre mais juste inclus. Barack Obama fait évidemment partie du classement. L'actuel président des États-Unis reste très populaire, grâce à une image très bien travaillée .
Aidés par la très forte médiatisation des primaires républicaines, on retrouve aussi dans ce top 100 Mitt Romney, le candidat favori ainsi que son principal adversaire, Ron Paul. La Secrétaire d'État Hillary Clinton , qui crée le buzz sur Internet depuis quelques semaines, fait aussi partie du classement. Côté européen, on retrouve aussi le nouveau président du Conseil italien, Mario Monti, au pouvoir depuis le mois de novembre 2011.
Politiques et... stars de la pop !
Les politiques côtoient les stars de la pop dans ce classement. Si la chanteuse Lady Gaga dominait la catégorie artistes il y a deux ans , elle n'apparaît plus dans le classement cette année. A la place, on retrouve la chanteuse britannique Adele , dont l'album "21", qui est toujours classé dans les meilleures ventes en France et en Europe , s'est vendu à plus de 20 millions d'exemplaires en un peu plus de douze mois. La chanteuse Rihanna , originaire de la Barbade, est également classée : au rythme d'un album par an, elle enchaîne les succès, ses deux dernières tournées ont été des succès, et son image très travaillée inspire beaucoup dans le monde.
Les sportifs sont aussi présents dans la liste du Time : parmi eux, le tennisman Novak Djokovic, qui a remporté l'Open d'Australie au mois de janvier dernier après un match épique face au champion espagnol Rafael Nadal. Le footballer argentin Lionel Messi fait aussi partie du classement : une jolie (...) ... Lire la suite sur Puremedias

Il vit sans argent depuis 12 ans

Cela fait douze ans que l'Américain Daniel Suelo n'a pas gagné, reçu ou dépensé un seul dollar.
En 2000, il a pris la décision de vivre sans un seul centime, et s'est établi dans une grotte de l'Utah. Il n'a pas abandonné que l'argent, mais aussi ses papiers d'identité et son permis de conduire, et également son nom: de Shellabarger, il est devenu Suelo, l'espagnol pour «sol».
Il vit de la cueillette, de la pêche, de nourriture offerte par des amis ou des passants ou trouvée dans des poubelles, et parfois de la chasse.
«Je vis sans un centime depuis l'automne 2000 [...]. Je n'utilise ni n'accepte d'argent ou de troc, et je n'utilise pas de bons alimentaires ou d'aides du gouvernement», explique-t-il sur son site Internet. Un site Internet qu'il utilise également pour répondre à des questions comme: «est-ce que les gens vous harcèlent», «je veux vivre sans argent, mais que faire si j'ai une famille et des enfants», «est-ce que vous pensez que l'argent c'est le diable», «comment faites-vous pour les lunettes et les soins dentaire», «êtes-vous un extrémiste», ou «et l'hygiène?».
Si Daniel Suelo a fait le choix de ne pas faire de troc «avec d'autres individus dans ce monde», c'est parce qu'il préfère faire du commerce «avec l'Univers, Dieu, si vous préférez, à la manière des animaux sauvages». Comme l'explique le Daily Mail, Suelo vient d'une famille fondamentaliste très conservatrice, ce qui l'a amené à considérer la religion très sérieusement et à conclure que l'argent et les conflits qu'il crée ne sont ni justes, ni chrétiens.
Daniel Suelo a également un blog, qu'il tient depuis une bibliothèque publique depuis 2006. Il y raconte par exemple sa tournée à l'occasion de la sortie en mars 2012 du livre que Mark Sundeen lui avait commencé à lui consacrer au lendemain de la crise financière de 2008 (The Man Who Quit Money, L'homme qui arrêta (...) Lire la suite sur Slate.fr

31.000 euros pour 2 gifles: la peine confirmée par un tribunal français

La cour d'appel d'Aix-en-Provence a condamné mercredi une jeune femme, qui avait donné deux gifles à une collègue qui, selon elle, avait proféré des propos racistes, à 31.000 euros de dommages-intérêts, "une dérive à l'américaine", a affirmé à l'AFP son avocat.
La cour d'appel d'Aix-en-Provence a condamné mercredi une jeune femme, qui avait donné deux gifles à une collègue qui, selon elle, avait proféré des propos racistes, à 31.000 euros de dommages-intérêts, "une dérive à l'américaine", a affirmé à l'AFP son avocat.
La cour d'appel d'Aix-en-Provence a condamné mercredi une jeune femme, qui avait donné deux gifles à une collègue qui, selon elle, avait proféré des propos racistes, à 31.000 euros de dommages-intérêts, "une dérive à l'américaine", a affirmé à l'AFP son avocat.
"C'est une première en France qu'un expert auprès des tribunaux accorde 4 mois et demi d'ITT (Incapacité totale de travail) pour deux gifles", s'est étonné l'avocat de la gifleuse de 28 ans, Me Mohamed Maktouf, affirmant que la cour d'appel d'Aix créait ainsi "un grave précédent" en confirmant le "montant exorbitant" accordé par le tribunal de police de Nice en octobre 2010.
Outre une amende de 300 euros pour des faits de violences, le tribunal avait accordé 31.000 euros de dommages-intérêts à une serveuse de 52 ans, au moment des faits, sur la base d'une expertise médicale et alors que celle-ci avait été licenciée pour inaptitude permanente.
En avril 2006, alors que les deux femmes étaient serveuses dans une sandwicherie de Nice, la plus jeune avait giflé son aînée qui l'avait traitée de "sale Arabe", avait-elle expliqué.
"C'est une décision qui viole le principe du contradictoire", a affirmé à l'AFP Me Maktouf, s'offusquant que la juridiction aixoise ait rejeté sa demande d'une nouvelle expertise alors que la première s'était déroulée irrégulièrement, selon lui, en se faisant "hors de la présence de (sa) cliente".
L'avocat de la gifleuse a indiqué qu'elle allait se pourvoir en Cassation, affirmant que celle-ci, aujourd'hui sans emploi et venant de faire une demande de RSA, "ne pourra jamais payer".
L'AFP n'a pu contacter mercredi après-midi l'avocat bordelais de la victime.