13 décembre, 2013

Le FC Barcelone obtient 18 millions d’euros pour un sponsor sous le maillot


FOOTBALL - Un choix original…

Pour le voir, il faudra convaincre Lionel Messi de se mettre torse nu. La société Intel, spécialisée dans la fabrication de microprocesseurs, est devenue l’un des nouveaux sponsors du FC Barcelone. Pour un contrat d’un montant d’environ dix-huit millions d’euros pendant cinq ans selon Forbes, Intel occupera une place très particulière sur le maillot du club catalan puisque son logo sera placé à l’intérieur de la tenue des équipiers de l’attaquant argentin.
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Un clin d’œil pour l’entreprise dont le slogan est «Intel Inside» et un choix toujours plus économique que Qatar Airways, principal sponsor maillot du club. L’entreprise du Golfe débourse 170 millions d’euros pour occuper pendant trois ans une place de choix sur la tunique d’une équipe extrêmement médiatisée.

Ukraine: le gouvernement veut rétablir les relations économiques avec Moscou

Nikolaï Azarov

Le gouvernement ukrainien fera tout son possible pour rétablir les relations économiques et commerciales avec la Russie, a déclaré vendredi le premier ministre Nikolaï Azarov rencontrant les représentants des principales entreprises industrielles et agricoles du pays.
"Il est clair que pour éviter le krach de l'économie, et vous (les participants à la réunion) avez cité des chiffres très importants attestant de la chute des échanges commerciaux avec la Russie, nous devons, comme je l'ai déjà signalé, rétablir complètement nos échanges  avec la Fédération de Russie. Soyez sûrs que nous ferons tout notre possible pour atteindre cet objectif", a assuré le chef du gouvernement ukrainien.

Israël-Union douanière: vers un accord de libre-échange avec la Russie (Lieberman)

Israël-Union douanière: vers un accord de libre-échange (Lieberman)
Un accord de libre-échange entre Israël et les trois pays membres de l'Union douanière (Russie, Biélorussie, Kazakhstan) pourrait être signé en 2014, estime le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman qui a participé cette semaine à Moscou à une réunion de la commission intergouvernementale russo-israélienne dont il est coprésident.



"En 2014, un accord prévoyant la mise en place d'une zone de libre-échange sera élaboré et signé entre Israël, la Russie et les deux autres pays de l'Union douanière: le Kazakhstan et la Biélorussie", lit-on dans un communiqué publié par M. Lieberman sur sa page officielle Facebook.


La signature de cet accord montrerait aux milieux d'affaires que "les relations de partenariat entre la Russie et Israël sont considérées de façon positive en haut lieu", a ajouté le ministre israélien. Selon lui, "la signature d'un accord de libre-échange traduit le niveau élevé des relations politiques". 

Début 2014, les deux pays doivent également achever la mise au point d'un accord engageant la Russie à payer des retraites aux anciens citoyens soviétiques d'origine juive qui ont émigré en Israël.

Cet accord revêt une grande importance pour l'Etat hébreu, car le nombre de ceux qui ont quitté l'URSS pour s'établir en Israël s'élève à plusieurs centaines de milliers de personnes.

A l'heure actuelle, la communauté russe d'Israël compte plus d'un million de personnes.

L'ONU confirme l'utilisation d'armes chimiques en Syrie

 
Le secrétaire général des Nations unies a reçu jeudi le rapport des experts sur l'utilisation des armes chimiques en Syrie.
Le secrétaire général des Nations unies a reçu jeudi le rapport des experts sur l'utilisation des armes chimiques en Syrie.
Image: Keystone

Des armes chimiques ont été utilisées en Syrie, de manière probable ou certaine, dans cinq des sept attaques sur lesquelles ont enquêté les experts des Nations unies. Leur rapport a été rendu public jeudi soir.
Du gaz sarin a sans doute été utilisé dans quatre de ces bombardements, dont une fois en grande quantité, précisent les experts. Dans plusieurs cas, des membres des forces gouvernementales et des civils figurent parmi les victimes, mais il n'a pas toujours été possible d'établir des liens entre les attaques, les victimes et les sites.
Le document cite des «preuves» ou des «informations crédibles». Celles-ci tendent à prouver l'utilisation d'armes chimiques notamment dans la Ghouta près de Damas, et à Khan al-Assal (prés d'Alep, nord).
L'enquête ne portait que sur le type d'armes utilisées, pas sur les auteurs des bombardements. Damas et la rébellion s'accusent mutuellement d'avoir eu recours à des armes chimiques.
Dépôts militaires
Selon les Nations unies, les rebelles se sont emparés de toutes sortes d'armes dans les dépôts militaires tombés entre leurs mains. Les puissances occidentales assurent en revanche qu'ils ne disposent d'aucune arme chimique.
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon doit informer l'Assemblée générale de ses conclusions vendredi. Il les exposera lundi au Conseil de sécurité.
«Affront à l'humanité»
«L'usage d'armes chimiques constitue une grave violation du droit international et un affront à l'humanité. Nous devons rester vigilants pour assurer l'élimination de ces armes odieuses, pas seulement en Syrie mais partout», a-t-il déclaré jeudi.
Au total, 16 cas évoquant l'utilisation d'armes chimiques dans le conflit syrien ont été signalés à l'ONU, notamment par la Syrie, la France, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis. La commission, formée d'experts de l'organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), s'est donc penchée sur sept de ces cas. (ats/Newsnet)