16 septembre, 2013

Etats-Unis : Un SDF rend un sac rempli de billets de banque à la police

Etats-Unis : Un SDF rend un sac rempli de billets de banque à la police

Incroyable, ce sans-abri a trouvé un sac à dos rempli d’argent liquide et l’a rendu à la police !

Faire preuve d’autant de bon cœur et d’honnêteté quand on est dans le besoin, est plutôt rare de nos jours…
Le samedi 14 septembre, un SDF trouve un sac à dos rempli de billets de banque, soit plusieurs milliers de dollars, dans une rue de Boston. Il s’est alors rendu au commissariat pour rendre le sac à la police. Les policiers ont pu retrouver le propriétaire qui avait laissé son passeport avec ses billets.
Ce que l’histoire ne nous dit pas, c’est pourquoi cet homme avait autant de liquide sur lui ? Est-ce qu’au moins, les policiers ou le propriétaire on fait un geste envers ce sans-abri ? Ce qui serait quand même un minimum…

Syrie: les rebelles multiplient les crimes (Onu)

Syrie: les rebelles multiplient les crimes (Onu)

Les experts des Nations unies constatent depuis juillet dernier sur le territoire syrien une hausse des crimes de guerre perpétrés par les rebelles et des mercenaires étrangers combattant à leurs côtés, rapportent lundi les médias internationaux se référant au rapport des enquêteurs de l'Onu.
"Dans le nord de la Syrie, il y a eu une brusque augmentation des crimes et des violations des droits de l'homme commis par des groupes extrémistes armés antigouvernementaux qui opèrent aux côtés de djihadistes venus de l'étranger", a déclaré devant le Conseil des droits de l'homme (CDH) de l'Onu à Genève Paulo Pinheiro, chef de l'équipe onusienne chargée de faire un rapport sur les crimes de guerre en Syrie.
Depuis mars 2011, la Syrie est en proie à un conflit sanglant entre les autorités et l'opposition qui aurait déjà fait environ 100.000 morts. Damas déclare faire face à la résistance de commandos bien armés et entraînés, soutenus depuis l'étranger.

Tireurs à Washington : 4 morts et 8 blessés

Le porte-parole de la Navy affirme qu'il y aurait au moins deux tireurs. Deux policiers font partie des blessés. Le FBI a été dépêché sur le site.

Les secours interviennent après une fusillade dans un immeuble de la Marine américaine à Washington, lundi 16 septembre 2013. (Manuel Balce Ceneta/AP/SIPA)
Les secours interviennent après une fusillade dans un immeuble de la Marine américaine à Washington, lundi 16 septembre 2013. (Manuel Balce Ceneta/AP/SIPA)
Au moins un tireur a fait feu dans un immeuble de bureaux de la Marine américaine, lundi 16 septembre, dans le quartier de Navy Yard à Washington. Quatre personnes ont été tuées et huit autres blessées selon les derniers rapports communiqués par Ed Buclatin, porte-parole du CNIC (Commander, Navy Installation Command) sur son compte Twitter.

Le New-York Times précise que deux officiers de police font partie des blessés.
De son côté, George Little, porte-parole du Pentagone, a affirmé sur CNN que qu'il croit "croit qu'il y a eu des pertes humaines", mais assure ne pas avoir plus de détails.
Les tirs se sont produit à 8h20 (14h20 heure de Paris). Le tireur, vêtu intégralement de noir, a fait feu à au moins trois reprises dans l'un des immeubles de cette enceinte où travaillent 3.000 employés de la Marine américaine. 
"Les services de secours sont sur place", selon la Marine qui a ordonné aux employés du site de chercher "un abri sur place".
Une équipe d'intervention du FBI a été dépêchée sur le site qui était survolé par des hélicoptères tandis que des policiers pénétraient dans l'immeuble 197 où le tireur se serait barricadé dans l'une des pièces.

Le site de Navy Yard à Washington abrite le quartier général du Commandant des systèmes navals de la Marine américaine (NAVSEA), chargé de la conception et de la construction des navires et sous-marins américains. Il abrite également la résidence du chef d'état-major de l'US Navy, l'amiral Jonathan Greenert.

iPhone 5s : le lecteur d'empreintes est "mal avisé et stupide", selon un membre de la Cnil allemande

Sécurité : Johannes Caspar, ardent défenseur de la protection des données personnelles estime qu'il est dangereux d'utiliser la biométrie pour simplement améliorer le confort d'utilisation de son smartphone.
Apple doit enrager : la seule vraie innovation technologique de son nouveau iPhone 5s, celle qui intéressera d'ailleurs le plus les entreprises, est celle qui est aujourd'hui la plus décriée.
On parle bien sûr de Touch ID, le lecteur d'empreintes digitales intégré au bouton Home qui permet de déverrouiller le terminal ou encore de valider certains achats. 
Très vite, Apple tente de désamorcer les inquiétudes en promettant la main sur le coeur que les données biométriques ne sont pas envoyées sur ses serveurs et ne sont stockées que dans la nouvelle puce A7 du smartphone.
Mais pour certains experts, cela n'est pas suffisant. D'autres comme Johannes Caspar, commissaire à la Cnil allemande, estime même que le jeu n'en vaut pas la chandelle.
Technologie surdimensionnée
Johannes Caspar est un  ardent défenseur de la protection des données personnelles. On l'a vu monter en première ligne contre la fonction de reconnaissance des visages activée par défaut sur Facebook en 2011, lançant un ultimatum avant de faire plier le géant américain.
Aujourd'hui, le commissaire estime que la technologie est dangereuse, surtout par rapport à l'usage qui en est fait. En d'autres termes : utiliser des données aussi sensibles (ses empreintes) pour simplement déverrouiller son iPhone, est-ce bien nécessaire ?
Pour Johannes Caspar, c'est tout simplement "mal avisé et stupide". Et d'expliquer à Der Spiegel (traduit par Numerama) : "Les spécificités biométriques de votre corps, telles que vos empreintes digitales, ne peuvent pas être effacées ou supprimées. Elles restent avec vous jusqu'à la fin de vos jours et restent constantes, elles ne peuvent pas être modifiées"
"Il faut donc éviter d'utiliser les technologies d'identification biométrique pour des utilisations quotidiennes ou non-vitales, comme allumer son smartphone. C'est particulièrement vrai si une identité biométrique, telle que votre empreinte digitale, est conservée dans un fichier sur l'appareil électronique que vous utilisez".

Le spécialiste pointe également du doigt les risques d'interaction entre données biométriques stockées dans le terminal et applications installées : "l’utilisateur-moyen d'un iPhone est incapable de vérifier, au niveau technique, ce qui se passe avec son empreinte lorsqu'elle est sur l'iPhone. Il ne peut pas dire avec certitude ou avec facilité à quels types de données privées les applications téléchargées sur l'iPhone ont accès".
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Prism : la NSA espionne aussi les échanges financiers via SWIFT et Visa

Réseaux : Nouvelle révélation due à Edward Snowden: le Spiegel annonce que la branche "Follow the Money" de la NSA accède aux données de transactions des sociétés de cartes de crédit et du réseau interbancaire SWIFT.
La NSA surveille largement les paiements internationaux, les transactions bancaires et les opérations par carte de crédit, selon des documents consultés par le Spiegel. Ces informations, venues à nouveau du lanceur d’alertes Edward Snowden, montrent que l’agence américaine de renseignement a une branche appelée "Follow the Money" (FTM, "Suivez l’argent") qui mène un programme d’espionnage financier.
Il alimente une base de données financière de la NSA, nommée Tracfin*, qui en 2011 contenait 180 millions d’enregistrements. 84% de ses données viennent de transactions par carte de crédit.
Europe, Moyen-Orient et Afrique ciblés
D’autres documents de la NSA de 2010 montrent que l’agence cible aussi les transactions des clients de grandes entreprises de cartes bancaires comme Visa. Des analystes de la NSA ont décrit à une conférence interne cette année comment ils ont, semble-t-il avec succès, cherché des possibilités d’interception dans le réseau de transaction de Visa, rapporte le journal allemand.
Selon une présentation, leur objectif était de "recueillir, analyser et intégrer des données de transaction pour des associations de cartes de crédit prioritaires, en centrant sur des zones géographiques prioritaires". Le but dans les recherches chez Visa étaient d'obtenir accès aux transactions de ses clients en Europe, au Moyen-Orien et en Afrique.
Interrogé par le Spiegel, Visa a répondu par une déclaration selon laquelle "nous ne sommes pas au courant d’un quelconque accès non autorisé à notre réseau » et ajoutant que sa politique est de « ne seulement fournir d’information de transaction qu’en réponse à une citation à comparaître ou autre processus légal valide".
La base de données de la NSA contenait aussi des données du réseau SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication, société interbancaire basée à Bruxelles et utilisé par des milliers de banques et d’organismes financiers pour échanger de façon sécurisée de l’information sur les transactions. SWIFT a été qualifié de "cible", selon les documents, qui montrent également que la NSA a espionné l’organisation à plusieurs niveaux, dont la branche d’"opérations d’accès sur mesure" de l’agence de renseignement.
Des espions britanniques trouvent que les opérations vont trop loin
Depuis plusieurs années, le partage de données bancaires entre Europe et Etats-Unis (dit accord Swift) au nom de la lutte anti-terroriste fait polémique
(dès 2006, des révélations sur l’espionnage américain des données Swift par le Terrorist Finance Tracking Program (TFTP) faisaient scandale).
Cependant, même des agents secrets peuvent avoir des doutes: un des documents vus par le Spiegel montre qu’au GCHQ, l’homologue (et partenaire) britannique de la NSA, on admet que dans ce contexte, collecter, stocker et partager des données politiquement sensibles est une grave violation de la vie privée, et comprend des "données en vrac" pleines de riches informations personnelles", dont beaucoup "ne concernent pas nos cibles".
L’opérateur téléphonique Belgacom victime d’une intrusion

Belgacom annonce ce lundi avoir détecté "des traces d'une intrusion digitale dans le système informatique interne de l'entreprise", repérant "un virus inconnu dans certains appareils de notre système informatique interne". L’opérateur belge a nettoyé son système et estime que "au stade actuel il n'y a aucune indication d’impact pour les clients ou leurs données. A aucun moment la livraison des services de télécommunications n'a été compromise."

L’entreprise a déposé une plainte contre X. Le Soir rapporte que "quelques dizaines de machines - sur les 25.000 qui sont reliées au système informatique interne de Belgacom - auraient été infectées", et que la plainte remonte au 19 juillet. Les services de sécurité belges sont persuadés que cette intrusion était l’œuvre de la NSA, a rapporté De Standaard, mais n’en ont pas de preuve formelle.

* A ne pas confondre avec son homonyme français TRACFIN (Traitement du Renseignement et Action contre les Circuits FINanciers clandestins), organisme du ministère de l’Economie de lutte contre le blanchiment d'argent.

zdnet.fr

Côte d'Ivoire: Un infirmier abuse sexuellement d'une malade dans une ambulance

Elle n'en revient toujours pas après avoir surpris ce dimanche soir un infirmier entrain d'abuser de sa sœur à l'arrière d'une ambulance.

Après avoir été victime d'une grave chute d'escalier, une habitante du remblais de Koumassi à Abidjan sera évacuée par ambulance jusqu'à une clinique située au plateau.
 
A l'arrivée sur les lieux, la sœur de la blessée qui avait suivi l'ambulance en taxi s'est approchée du véhicule pour tenter de prendre des nouvelles de sa grande sœur. C'est alors qu'ouvrant la porte elle prendra un des infirmiers, resté resté seul avec la blessée à l’intérieur de l'ambulance une main sous la robe de sa sœur et l'autre sur l'un de ses seins.
 
Choquée le témoin improbable a de suite crié et l'infirmier comme pris de panique se jeta sur elle pour lui flanquer une gifle afin de la faire taire alors que sa soeur était toujours sous assistance respiratoire dans l'ambulance en attendant d'être admise aux urgences.
 
Ne sachant que faire, n'ayant pas confiance en la police pour porter plainte, c'est vers KOACI.COM que se tournera la témoin d'attouchements sexuels pour dénoncer les faits et prendre conseil.
 
Après l'avoir conseillé de porter plainte, cette dernière nous avouera attendre le rétablissement de sa soeur pour prendre la juste décision.
 
Au delà de ce cas, notons qu'en Côte d'Ivoire, les cas d'abus sexuels sur les patients sont des réalités dans les établissements de santé de la capitale économique ivoirienne, certains vont même jusqu'à abuser des morts avant et lors de leurs évacuations dans les morgues.
 
Nous y reviendrons.
 
Akissi Kouamé - Source

EN DIRECT. Washington : plusieurs morts après des tirs dans une base de la marine

Plusieurs coups de feu ont été tirés ce lundi matin dans un immeuble de bureaux de la Marine américaine dans le quartier de Navy Yard à Washington, blessant au moins une personne, a annoncé l'USA Navy dans un communiqué.

Plusieurs coups de feu ont été tirés ce lundi matin dans un immeuble de bureaux de la Marine américaine dans le quartier de Navy Yard à Washington, blessant au moins une personne, a annoncé l'USA Navy dans un communiqué. | AFP/Saul Loeb

  

Des coups de feu ont été tirés ce lundi dans un immeuble de bureaux de la Marine américaine dans le quartier de Navy Yard à Washington, faisant aux moins quatre morts et plusieurs blessés. Les tirs ont commencé à 8h20 heure locale (14h20 à ). Un ou plusieurs tireurs auraient fait feu dans cette enceinte où travaillent quelque 3 000 employés de la Marine américaine.


Le site de Navy Yard à Washington abrite le quartier général du Commandant des systèmes navals de la Marine américaine (NAVSEA), chargé de la conception et de la construction des navires et sous-marins américains. Il abrite également la résidence du chef d'état-major de l'US Navy, l'amiral Jonathan Greenert.

Suivez les évènements minute par minute.


16h40. La police affirme avoir mis mis hors d'état de nuire l'un des tireurs. Sans préciser toutefois si ce dernier a été tué ou interpellé.

16h40. D'après le Washington Post, il n'y aurait pas un mais trois tireurs. L'hypothèse d'un acte terroriste bien préparé prend forme.

16h30. Au moins quatre morts, selon NBC. La chaîne de télévision américaine, qui cite un officier de la marine affirme que quatre personnes ont péri dans la , qui aurait également fait huit blessés.

16h20. Vols suspendus à l'aéroport de Washington. A la suite de ces tirs, les autorités ont immédiatement décidé la suspension de tous les vols au départ de l'aéroport , situé dans la capitale américaine.

16h10. L'US Navy affirme que la fusillade a fait plusieurs blessés. Dans un communiqué, la marine évoque un tireur retranché et l'évacuation du personnel de l'immeuble.

16 heures. Les premières photos des témoins, sur Twitter.







LeParisien.fr

Philippines: frappes aériennes contre les rebelles du Sud


. © Mohammed Huwais L’armée des Philippines a lancé lundi des frappes aériennes contre des indépendantistes musulmans qui attaquent depuis une semaine une grande ville du sud de l’archipel, ont annoncé les autorités locales.
Deux hélicoptères militaires ont tiré des roquettes contre les rebelles du Front moro de libération nationale (MNLF) terrés dans des villages et quartiers à la périphérie de Zamboanga.
Le 9 septembre à l’aube, quelque 200 rebelles de ce mouvement indépendantiste musulman avaient débarqué près de Zamboanga, une ville portuaire de près d’un million d’habitants, située sur l‘île de Mindanao (sud).
“C’est un soutien aérien de précision coordonné par les forces terrestres pour supprimer l’ennemi”, a indiqué à l’AFP Ramon Zagala, porte-parole de l’armée. Il s’agit de frappes “précises” pour éviter de blesser des civils, a-t-il ajouté.
L’ONG Human Rights Watch a exprimé son inquiétude sur le sort des civils. Ces frappes “élèvent avec certitude le niveau de danger pour les civils dans cette zone”, a déclaré à l’AFP Carlos Conde, représentant de l’ONG à Zamboanga.
“Il s’agit de zones résidentielles. Comment peuvent-ils (les soldats) savoir quelle zone ou quelle maison viser?”, a-t-il ajouté.
Selon le porte-parole de l’armée, une centaine de rebelles ont encore les armes à la main, et sont regroupés dans deux villages voisins de Zamboanga, sur la côte.
Ces insurgés continuent de se battre mais “nous savons de façon certaine que la fin est proche et qu’ils tentent de fuir”, a ajouté Ramon Zagala. “Certains essayent de se faire passer pour des civils, il est donc capital que les chefs des villages nous aident à déterminer ceux qui n’appartiennent pas à leur communauté”.
Les militants du MNLF ont pris des dizaines d’habitants en otages pour leur servir de boucliers humains.
L’armée a mobilisé 3.000 soldats d‘élite et abattu 51 rebelles. Six soldats, un policier et quatre civils ont également été tués, selon l’armée.
Près de 70.000 habitants on dû fuir et se réfugier dans des abris de fortune. Zamboanga, un des principaux carrefours commerciaux de l‘île de Mindanao, est quasiment ville-morte depuis une semaine. Les liaisons par ferry et avion sont suspendues depuis huit jours.
Le MNLF, mené par Nur Misuari, un ancien professeur d’université, s’estime marginalisé par les négociations en cours entre le gouvernement et les groupes séparatistes, en vue de créer une région autonome — et non indépendante — dans le sud des Philippines, une région majoritairement musulmane dans le plus grand pays catholique d’Asie.
Benigno Aquino, élu en 2010, a fait de la signature d’un véritable accord de paix l’un des principaux objectifs de son mandat, qui s’achève en 2016.
L‘île méridionale de Mindanao, où se trouve Zamboanga, dispose d’importantes ressources naturelles mais est une des régions les plus déshéritées de ce pays déjà pauvre, en raison de décennies de violences. On estime que plusieurs zones de l‘île échappent de fait au contrôle de l’Etat.
La guérilla indépendantiste, qui a commencé dans les années 1970, a fait 150.000 morts et déplacé des centaines de milliers de personnes. Depuis 2003, date d’un cessez-le-feu, la violence meurtrière, à défaut de la pauvreté, a cependant baissé d’intensité.

Copyright 2013 Agence France-Presse.

Afghanistan: ouverture des candidatures à la présidentielle


. © Shah Marai Les prétendants à la présidentielle d’avril en Afghanistan peuvent déposer depuis lundi leur candidature, première étape d’un scrutin qui doit déterminer le successeur de Hamid Karzaï à la tête de l’Etat et fait figure de test pour ce pays en guerre depuis 12 ans.
Cette journée a toutefois été assombrie par la mort de la femme la plus gradée de la police du Helmand, province instable et fief taliban dans le sud du pays, qui avait été la cible dimanche de tirs par des hommes armés à moto.
L’assassinat de Nigar, 38 ans et mère de deux enfants, est le dernier en date contre des femmes cadres dans la fragile fonction publique afghane endeuillée par des attaques à répétition des talibans qui ont déjà annoncé leur boycott des élections.
La présidentielle, qui doit marquer la première transition démocratique en Afghanistan, aura lieu le 5 avril dans un contexte d’incertitudes alimenté par l’instabilité persistante dans le pays et le départ prévu fin 2014 de la majorité des 87.000 soldats de l’Otan.
Elle désignera le successeur de Hamid Karzaï, seul homme à avoir dirigé le pays depuis la chute du régime des talibans, chassés par une coalition militaire menée par les Etats-Unis dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001.
M. Karzaï, 55 ans, ne peut briguer un troisième mandat, selon la Constitution.
Les prétendants à sa succession pourront déposer leur candidature jusqu’au 6 octobre. Si aucun ne s’est encore officiellement déclaré, quelque “29” personnes ont déjà reçu les formulaires de candidature, a déclaré à l’AFP Noor Mohammad Noor, porte-parole de la Commission électorale indépendante (IEC), chargée de veiller au bon déroulement du scrutin.
“Certains sont des indépendants, d’autres sont affiliés à des partis politiques, mais jusqu‘à présent il n’y a pas de femmes”, a dit M. Noor.
Désireuses de limiter le nombre de participants par souci de clarté par rapport à la précédente élection en 2009, où une quarantaine de personnalités étaient en lice, les autorités afghanes ont durci les conditions pour se porter candidat.
“Un candidat doit avoir la nationalité afghane, avoir au moins 40 ans, ne pas avoir été condamné pour des crimes, fournir” l‘équivalent de 100.000 signatures d‘électeurs ainsi qu’un dépôt de garantie d’environ 18.000 dollars, a expliqué M. Noor.
Une fois cette phase de dépôt des candidatures achevée, la liste officielle des candidats sera publiée le 16 novembre, à la veille du lancement de la campagne électorale.
Pour l’heure, cette élection n’a ni candidat déclaré, ni favori, M. Karzaï n’ayant laissé, selon des observateurs, aucune personnalité émerger dans le paysage politique afghan.
Mais en coulisses, des alliances se nouent entre les partis pour présenter un candidat en position de force le jour du scrutin, et la capitale bruisse de rumeurs.
Les noms d’Abdullah Abdullah, rival de M. Karzaï lors de la présidentielle de 2009, d’Abdul Rasul Sayyaf, ancien seigneur de guerre, ou encore du ministre des Affaires étrangères, Zalmai Rassoul, sont souvent cités comme d‘éventuels présidentiables.
Le scrutin fait figure de test majeur pour un pays qui n’est pas parvenu, malgré 12 ans de guerre et la puissante machine militaire de l’Otan, à venir à bout de l’insurrection des rebelles talibans, ni à leur faire accepter une paix négociée.
Attentats, enlèvements, affrontements armés… les violences sont quotidiennes dans ce pays de 30 millions d’habitants qui compte parmi les plus pauvres du monde, et les quelque 350.000 membres des forces afghanes (policiers, militaires, paramilitaires) qui ont pris le relais de l’Otan pour assurer la sécurité du pays sont loin de présenter les mêmes garanties que les troupes de la coalition, bien mieux équipées et organisées.
Dans ce contexte, la communauté internationale craint une réédition de l‘élection de 2009, marquée par des fraudes massives et les violences des rebelles.
Des responsables occidentaux, mais aussi les bailleurs de fonds de l’Afghanistan, ont prévenu Kaboul que le bon déroulement du scrutin était crucial pour préserver les fragiles acquis de la démocratie afghane.
“Une élection présidentielle transparente, crédible et ouverte à tous est désormais ce qu’il y a de plus important pour la transition démocratique en Afghanistan”, a écrit l’ambassadeur américain James Cunningham, dans une tribune publiée la semaine dernière dans la presse afghane.

Copyright 2013 Agence France-Presse.

Aung San Suu Kyi et le dalaï lama se sont rencontrés à Prague


L’opposante birmane Aung San Suu Kyi et le dalaï lama, chef spirituel des Tibétains, se sont rencontrés en privé en marge d’une conférence internationale ouverte lundi à Prague, au risque de provoquer la colère de la Chine, puissant voisin de la Birmanie.
Aucun détail n’a été donné sur cette rencontre qui a eu lieu dimanche mais a seulement été rendue publique lundi, a indiqué Filip Sebek, porte-parole de la conférence internationale d’intellectuels et d’hommes politiques, Forum 2000.
“Ils se sont rencontrés dimanche, à l’occasion d’une conférence donnée par le dalaï lama”, a-t-il déclaré à l’AFP.
Aung San Suu Kyi et le dalaï lama, qui s‘étaient déjà entretenus l’an dernier à Londres, ont assisté chacun de son côté à l’inauguration du Forum 2000.
Le dalaï lama, prix Nobel de la paix en 1989, a fui le Tibet après l‘échec d’un soulèvement contre la domination chinoise en 1959 et a fondé ensuite le gouvernement tibétain en exil en Inde. Pékin le considère comme un “séparatiste” antichinois.
Lors de sa récente visite en Lituanie, le dalaï lama a toutefois estimé que la Chine était maintenant “plus réaliste” à l‘égard du Tibet, après avoir longtemps suivi une ligne dure.
Le programme de la 17e édition du Forum 2000 qui se tient à Prague lundi et mardi ne prévoit pas d’entretien officiel entre l’opposante birmane et le chef spirituel des Tibétains, selon le porte-parole.
Le Forum 2000, organisé tous les ans à Prague depuis 1997, avait été fondé conjointement par l’ancien président tchèque et artisan de la “Révolution de velours” Vaclav Havel (1936-2011) et l‘écrivain américain Elie Wiesel.
Hommage à Vaclav Havel
Aung San Suu Kyi et le dalaï lama ont profité de leur participation à cette conférence pour rendre hommage à M. Havel, dramaturge anti-communiste et artisan de la chute du régime totalitaire dans son pays.
“Quand je me trouvais pendant de nombreuses années en résidence surveillée en Birmanie, je savais qu’il y avait quelque part dans le monde un homme qui me soutenait et grâce à qui ma liberté restait intacte en dépit de ma détention physique”, a déclaré Mme Suu Kyi, prix Nobel de la Paix en 1991.
L’opposante birmane, âgée de 68 ans, a passé 15 ans en résidence surveillée. Elle n’a jamais rencontré M. Havel en personne.
Ardent défenseur des droits de l’Homme, Vaclav Havel avait passé cinq ans dans les geôles communistes avant d‘être propulsé à la magistrature suprême en 1989. Il a soutenu en 1991 la candidature de l’opposante birmane au Nobel de la Paix.
“Ce qu’il a fait pour la Birmanie, pour les droits de l’Homme et la démocratie dans le monde, est si vaste que nous ne pourrons jamais arrêter d’en parler”, a aussi déclaré Mme Suu Kyi.
Le dalaï-lama, 78 ans, fut l’une des dernières personnalités à avoir parlé à M. Havel avant sa mort en décembre 2011. Il s’est félicité d’avoir pu visiter lors de son actuel séjour à Prague son bureau, “assez petit et assez désordonné”.
“J’ai mis ma tête sur sa chaise et (elle) reflétait son esprit. De cette chaise, je pourrais peut-être transmettre ici une part de sa bénédiction”, a-t-il dit.
“Notre responsabilité, c’est de continuer à porter son voeu, son rêve, sa vision et son esprit”, a souligné le chef spirituel des Tibétains qui avait visité Prague à plusieurs reprises depuis la “Révolution de velours” de 1989.

Copyright 2013 Agence France-Presse.

Turquie: nouveaux heurts entre policiers et manifestants


La police turque est à nouveau intervenue dimanche soir dans plusieurs villes de Turquie avec des grenades lacrymogènes et des canons à eau pour disperser des manifestations contre le gouvernement islamo-conservateur, ont rapporté lundi les médias.
A Istanbul, les unités antiémeutes sont entrées en action quand des centaines de manifestants ont dressé des barricades et y ont mis le feu à Kadiköy, un quartier considéré comme un fief de l’opposition, sur la rive asiatique de la métropole, a affirmé la chaîne de télévision NTV.
Les heurts sont survenus alors que des concerts en plein air pour réclamer “la justice, la liberté et la paix” avaient rassemblé dans l’après-midi plusieurs milliers de personnes à Kadiköy, selon l’agence de presse Dogan, précisant qu’une dizaine de personnes ont été interpellées par la police.
Un journaliste de la chaîne de télévision d’opposition IMC faisait partie des personnes interpellées, a constaté un photographe de l’AFP.
Des heurts ont aussi eu lieu dans un quartier périphérique d’Ankara, où des manifestants avaient érigé des barricades, selon Dogan.
Des échaufourrées ont également opposé jusque tard dans la nuit manifestants et policiers à Antakya (sud), où la foule commémorait le décès d’Ahmet Atakan, un habitant de la ville âgé de 22 ans décédé le 9 septembre lors de heurts avec la police, a indiqué la chaîne de télévision CNN-Türk.
La famille du jeune homme affirme qu’il a été tué par un projectile tiré par la police, ce qu’a démenti le ministre de l’Intérieur Muammer Güler.
Ce décès a relancé l’agitation dans toute la Turquie, trois mois après la fronde antigouvernementale sans précédent qui a secoué le pays en juin.
Ce mouvement a causé la mort d’au moins 6 personnes et fait plus de 8.000 blessés, selon l’association des médecins turcs.

Copyright 2013 Agence France-Presse.

Tirs dans un immeuble de la Marine à Washington, plusieurs blessés


Un tireur a ouvert le feu à plusieurs reprises dans un immeuble de bureaux de la Marine américaine dans le quartier de Navy Yard à Washington, blessant au moins quatre personnes, selon des sources concordantes.
La fusillade a eu lieu à 08H20 (12H20 GMT), affirme dans un communiqué l’US Navy, selon qui le tireur a fait feu à au moins trois reprises dans l’un des immeubles de cette enceinte où travaillent quelque 3.000 employés de la Marine américaine.
La Marine a confirmé qu’une personne avait été blessée tandis que les médias américains, citant la police de Washington, faisaient état d’au moins quatre blessés, parmi lesquels un policier.
Les blessés seraient dans une condition “critique”, a affirmé le Washington Post sur son site internet.
“Les services de secours sont sur place”, selon la Marine qui a ordonné aux employés du site de chercher “un abri sur place”.
Une équipe d’intervention du FBI a été dépêchée sur le site qui était survolé par des hélicoptères tandis que des policiers pénétraient dans l’immeuble 197 où le tireur se serait barricadé dans l’une des pièces.
Le site de Navy Yard à Washington abrite le quartier général du Commandant des systèmes navals de la Marine américaine (NAVSEA), chargé de la conception et de la construction des navires et sous-marins américains.
Il abrite également la résidence du chef d‘état-major de l’US Navy, l’amiral Jonathan Greenert.

Copyright 2013 Agence France-Presse.

Les belles personnes sont plus riches, plus heureuses que les autres... Et elles décrochent un entretien de recrutement plus facilement


Les chercheurs de l’université de Messine et de l’université polytechnique de la Marche ont adressé plus de 10.000 CV, en changeant seulement les noms, prénoms, adresse et la photo pour tester l’impact de l’appartenance ethnique, mais aussi de la beauté. 
D’une manière générale, ils ont été contactés par les recruteurs dans 30% des cas, mais ce taux culminait à 54% pour les CV fictifs des jolies femmes, et à 47% pour ceux des hommes séduisants. Les femmes les moins séduisantes étaient celles qui obtenaient le pire score, avec un taux d'appel du recruteur de seulement 7%. En revanche, les hommes les moins séduisants étaient moins pénalisés, puisqu’ils obtenaient un taux de rappel de 26%.
Lorsque le CV fictif était celui d’un étranger, les taux de rappel tombaient à 13% pour les hommes et à 12% pour les femmes, bien que les résultats des tests portant sur la séduction étaient plus significatifs sur le plan statistique. Les chercheurs n’ont pas trouvé de différences régionales.
Lors d’une précédente étude, réalisée en Argentine, les chercheurs avaient conclu qu’à qualifications égales, les personnes les plus séduisantes étaient 36% plus susceptibles d’être appelées que celles qui ne l’étaient pas.
Par le passé, le physique ne jouait un rôle qu’au moment du premier entretien, mais avec la généralisation des photos sur les CV et les plateformes telles que LinkedIn, la discrimination basée sur la séduction du candidat s’exerce désormais plus en amont.
Cependant, mesdames, si vous êtes jolies, ne criez pas victoire trop vite : une étude israélienne avait en effet conclu que les envois de CV comportant des photos de jolies femmes avaient moins de chance d’aboutir à un entretien. Les CV avec photo d’hommes séduisants, en revanche, ne connaissaient pas le même écueil, et ils étaient plus susceptibles de décrocher un entretien. Les chercheurs avaient attribué ces résultats à la jalousie féminine : 93% des responsables des ressources humaines à qui ils avaient adressé ces candidatures fictives étaient des femmes.

Burkina Faso Sénat : L’Eglise catholique réaffirme qu’elle n’y participera pas

Dans ce communiqué, les Evêques du Burkina clarifient leur position par rapport au sénat suite à leur lettre pastorale. Ils soutiennent qu’ils n’y participeront pas. Parce que « …l’Eglise catholique, fidèle à sa nature et à sa mission ne participe pas aux organes délibératifs, exécutifs, législatifs ou judiciaires »

Sénat : L’Eglise catholique réaffirme qu’elle n’y participera pas Des réactions relatives à la lettre pastorale des Evêques du Burkina Faso en date du 15 juillet 2013 ont révélé une attente de parole forte, claire et constructive au moment où les esprits s’échauffaient notamment autour de la mise en place du Sénat. Des interrogations de nombreux fils et filles de l’Eglise-Famille de Dieu au Burkina Faso et d’autres citoyens persistent au sujet de la position de la Communauté catholique. En outre, des propos tenus avant et après la parution de la « Lettre pastorale » nous sont parvenues et nécessitent des clarifications utiles :
1. L’Eglise catholique, comme à son habitude, au nom de sa mission de service, n’a pas hésité à répondre présente pour participer à la structure consultative qu’est le CCRP en vue de trouver des voies et moyens pour le Bien de notre peuple.
2. La position de notre délégation au Conseil consultatif sur les réformes politiques (C.C.R.P). à propos du Sénat était conforme à nos instructions et soutenait l’inopportunité d’une telle institution (cf. Lettre pastorale n° 20). Lors des débats au CCRP sur le Sénat, afin de sauvegarder notre rôle premier qui est moral et spirituel, et pour ne pas bloquer la marche de l’ensemble vers la mise en place du Sénat, l’Eglise catholique a transformé son opposition en réserve en insistant que ses réserves soient prises en compte et le Sénat est devenu un élément consensuel.
3. A notre Assemblée plénière de juin 2013, nous les Evêques du Burkina, sensibles à la situation sociopolitique nationale, voyant le climat social se dégrader avons voulu attirer l’attention de tous sur un certain nombre de maux qui minent la société et dont la résolution est prioritaire (cf Lettre pastorale n°1 à 12). Tout en réaffirmant que « l’Eglise catholique n’a pas à faire obstacle aux choix institutionnels et à l’adoption du Sénat » (n°20), nous avons soutenu et soutenons que « les institutions ne sont légitimes que si elles sont socialement utiles », favorisant le bien commun, la cohésion sociale, la paix.
4. De notre participation au Sénat. En réponse à la lettre l’invitant à communiquer le nom de son représentant, l’Eglise catholique a été claire :
- « Le consensus sur le Sénat auquel nous avons participé est un consensus sur le principe du Sénat. »
- « La loi organique qui a suivi et qui précise la configuration du Sénat, n’a pas été discutée au niveau du CCRP ni au niveau de son comité de suivi et d’évaluation. On ne peut donc pas élargir à ce niveau notre adhésion consensuelle. »
- « Une discussion sur le projet de la loi organique nous aurait permis en tant qu’autorité morale et religieuse de proposer de ne pas nous inclure comme membre du Sénat, organe délibératif, votant des lois selon des règles de la majorité. Notre participation à un tel processus nous amènerait toujours à un alignement sur telle ou telle position et nous enlèverait ainsi toute possibilité de jouer notre rôle premier d’autorité morale qui est celui d’éclairage, de promotion de la cohésion sociale et de médiation au besoin, tant au service de la majorité que de l’opposition. »
Il est donc clair que l’Eglise catholique, fidèle à sa nature et à sa mission ne participe pas aux organes délibératifs, exécutifs, législatifs ou judiciaires. Le Saint-Siège (Vatican) au niveau international, a un rôle d’observateur dans les Organismes et Organisations internationales et ne prend pas part aux votes.
L’Eglise catholique offre ses services dans les structures consultatives et ses prières pour la cohésion sociale, la justice et la paix.
Que Dieu bénisse notre pays, nos concitoyens et nos gouvernants !
Ouagadougou, 13 septembre 2013
Pour le Conseil permanent
Le Président de la Conférence Episcopale
+ Paul Y. OUEDRAOGO
Archevêque de Bobo-Dioulasso

Matthias Sammer allume Guardiola



Championnats étrangers L'ancien Ballon d'Or estime que son Bayern Munich joue un football "sans émotions".
L'arrivée de Pep Guardiola au début de cette saison a suscité autant d'enthousiasme que de questions. Fort d'un palmarès incomparable, le chantre du tiki taka allait-il réussir dans un championnat allemand bien différent de sa chère Liga ? Après 5 journées de Bundesliga, les Bavarois occupent la 2e place, à deux points du Borussia Dortmund. Auteurs d'un sans faute, les hommes de Jurgen Klopp continuent de donner du fil à retordre à leurs rivaux du sud. Une situation qui fait forcément grincer des dents à l'Allianz Arena.

Matthias Sammer, le directeur technique du Bayern, a ouvertement critiqué son coach. L'ancien défenseur, lauréat du Ballon d'Or en 1996, s'est épanché dans les colonnes du Mundo Deportivo. Selon lui, le jeu proposé par Guadriola n'est pas satisfaisant pour un club comme le Bayern. "Il est temps de le dire publiquement, notre jeu est ennuyeux, on joue un football sans émotions", regrette-t-il. "On a eu beaucoup de succès avec Jupp Heynckes, mais c'est terminé. On est reparti de zéro avec Guardiola"
En effet, le technicien espagnol doit désormais évoluer avec des joueurs bien différents de ceux côtoyés au Camp Nou. Pour le moment, les stats offensives sont bien loin de satisfaire les fans et la direction bavaroise. Avec 9 buts inscrits en 5 matches, on est loin des chiffres affolants signés sous l'égide de Heynckes.
"On doit sortir de cette zone de confort et se secouer. Notre entraîneur doit chaque fois sortir un discours enflammé. Ça ne va pas comme ça", a encore martelé Sammer. Mais le problème se situe-t-il du côté du coach ? Ou les joueurs seraient-ils rassasiés de victoires après leur fabuleux triplé championnat - Coupe d'Allemagne - Ligue des champions de l'an dernier ? Peu importe pour la réponse, pour Sammer, les choses doivent changer. "Nous ne pouvons continuer comme ça"... Serait-ce la fin de l'état de grâce pour le beau Pep ?