10 juillet, 2013

Lavrov : les projectiles contenant du gaz sarin ont été produits sur le territoire contrôlé par l'opposition syrienne

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Les projectiles contenant du gaz sarin ont été produits en Syrie sur le territoire contrôlé par l'opposition syrienne, a communiqué mercredi le ministre des Affaires étrangères de Russie, Sergueï Lavrov, au cours d'une conférence de presse.

« D'après nos données complémentaires, les projectiles et cet agent (sarin) ont été produit en février dernier sur le territoire syrien qui se trouvait à l'époque sous le contrôle de l'Armée syrienne libre par un groupe affilié à cette Armée syrienne libre », a dit le ministre.

Europe : l’assistanat, la dette, l’immigration et la fin des Nations

иммигранты из Африки

Pas un jour ne passe sans qu’on ne parle de la fin de l’Europe : Certains voient dans les restrictions budgétaires ou dans l’immigration massive incontrôlée, les prémisses du « suicide » de la civilisation européenne, ou du moins d’un déclin inéluctable des valeurs chrétiennes qui ont fondé notre culture « anté-immigrationiste ».

N’avons-nous pas seulement atteint les limites du système socialiste de l’après-guerre, conçu comme « filet » social et pour protéger le travailleur contre le patronat, et qui a lentement dérivé vers un assistanat de masse y compris pour des populations extra-européennes qui ne voient dans cette Europe de la Dette et de l’aide sociale qu’un Eden transformé en enfer pour les autochtones.
L’Europe occidentale se distingue de tous les autres systèmes politico-économiques de la planète par un système d’aides sociales et de redistribution qui a été au sommet (ou au paroxysme) ces 20 dernières années, alors que « les trente glorieuses » se sont terminées, comme d’ailleurs l’immigration dite de travail en 1973-74 (20 ans avant). Le premier chômage structurel date de cette époque et comme les pays étaient prospères, il était logique que l’on aidât les victimes de la crise pétrolière qui avaient perdu leurs emplois et se retrouvaient sans le sou. Les gouvernements créèrent dès lors un état-providence solide qui prenait à sa charge les laissés pour compte d’une crise que l’on pensait passagère.
Si les années 80 furent marqués par le Thatchérisme et l’ère Reagan, l’Europe ne revint pas par la suite au modèle social-démocrate. Au contraire, on amplifia le système d’aides en même temps qu’on appliqua la politique du regroupement familial pour les immigrés (regroupement qui constitue l’essentiel encore actuellement de l’immigration en Europe).
Les années 90 marquèrent la chute du communisme. En Russie, ce fut l’ère Eltsine et les privatisations sauvages qui instaurèrent une classe ultra-capitaliste ; les oligarques. Le modèle choisi fut donc celui d’un libéralisme absolu copié sur les USA (mais en pire !) sur le plan économique. Aucune redistribution des richesses dans l’immédiat postsoviétique, soit la presque totalité d’une population au bord de la disparition. En effet, les jeunes fuyaient du pays, la démographie plongeait et le pays fit même faillite. Le traumatisme de « la thérapie de choc » qui fit basculer la Russie soviétique dans une Russie du capitalisme fou n’étant pas un vain mot.
En Europe, au contraire, on accéléra le regroupement familial, l’ONU profita du monde unipolaire dirigé par les financiers de Wall Street pour américaniser l’Europe un peu plus et on commença le programme de « remplacement de population » (regroupement familial, régularisation des réfugiés et des clandestins), on renforça les programmes « égalitaires », les hausses d’impôts et les transferts vers les pays intégrant l’UE dont l’économie post-soviétique était au fond des abysses et l’aide sociale inexistante.
Dix ans plus tard, les années 2000 furent marquées par l’émergence en tant que puissance de la Chine qui, bien que communiste politiquement, applique un régime économique de nouveau ultra-libéral avec aussi une émergence d’oligarques. Nouveau point commun avec la Russie de Eltsine : aucun système d’aide social n’accompagne le développement du pays qui ressemble de plus en plus à une usine géante du mondialisme avec son lot de pollution, de néo-esclavagisme (ouvriers sous-payés, travail des enfants, salaires ne permettant pas de vivre décemment) avec une classe dirigeante de milliardaires qui n’ont rien à faire du « petit peuple ».
Pendant ce temps, en Europe, la crise s’approfondit, on ne remet pas en cause le système de plus en plus avantageux d’aides sociales ni l’immigration de remplacement. On fait le deuil de l’Europe des Nations au profit d’une commission apatride et d’un multiculturalisme voué à l’échec. En même temps, les caisses sont vidées par l’assistanat pour les allochtones et autochtones et les pays se retrouvent tous surendettés.
2013 : l’Europe est en pleine suite de la crise des subprimes ; la dette n’est plus possible à gérer, le multiculturalisme est devenu synonyme de conflit larvé entre communautés et le chômage ne semble pas connaître de changement positif (bien au contraire). Alors, après des décennies de politique du déni, l’Europe occidentale n’a plus de choix que de se soumettre à des banquiers cosmopolites et de détruire le seul système d’aides sociales généralisé de la planète. Le socialisme n’existe plus que sur les pancartes des partis, les nations européennes sont divisées et les institutions non-élues de Bruxelles prennent le gouvernail du bateau « Europe » à la dérive. Pour montrer que nous sommes à la pointe du progrès « moral », on adjoint au multi-culti, l’arc en ciel (mariage pour tous, théorie du Genre, Femenisation …)
Au même moment, la Russie de Poutine se relève et émerge ; la Chine est en passe de devenir la première puissance du Monde et les monarchies pétrolières achètent des pans entiers des fleurons européens à coup de pétro-dollars. Quant aux USA, ils sont sans doute mal en point mais leur situation économique n’a rien à voir avec le cauchemar européen.
Le point commun de la Chine, de la Russie, des Emirats mais aussi de l’Inde, de l'Afrique du Sud et des USA, est qu’il n’y existe pas de système d’assistanat financé par la dette, que les impôts sur le travail y sont très faibles (où ils représentent un tiers ou un quart de celui de l’Europe) et que l’immigration de remplacement n’y existe pas ou y est rejeté. Le multi-culti à l’américaine n’ayant absolument rien à voir ni dans ses formes ni dans ses proportions avec le multiculturalisme européen. De plus, la dette US est en dollar, donc les américains disposent du luxe de payer leur dette avec une monnaie qu’ils impriment à leur guise.
S'agissant de la Chine et la Russie, la dette est marginale, l’immigration de remplacement ou clandestine est combattue voire interdite, et le système d’aides sociales dans les limbes. Le taux d’imposition y est également très faible. Le multi-culti et l’« arc en ciel » y sont absents ou font l’objet de législations interdisant l’homophilie. Les FEMEN et autres excitées anarcho-féministes y risquent des peines de prison. Quant à la théorie du genre, elle s’est arrêtée aux frontières des pays les plus « atteints » de l’UE.
Dès lors, comment s’étonner que dans une économie mondialisée et en crise globale, l’Europe de l’Ouest avec son assistanat, sa dette et sa politique d’immigration massive et chaotique doivent payer des décennies de contre-sens économiques et politiques. Les dirigeants européens et la population qui était sous influence des médias du pouvoir et des lobbies financiers ont continué à se gaver d’un système économique et politique sans craindre l’arrivée de l’addition qui se promettait d’être indigeste. Voilà, maintenant que l’Europe des Nations qui a laissé faire, laissé aller (même involontairement) se trouve sous tutelle des financiers, sous les coups du multiculturalisme, et n’a plus qu’à regarder les couleurs de l’arc en ciel et les poitrines des FEMEN pour se consoler. C’est en quelque sorte l’Histoire des nations européennes condamnées à assister à leurs propres funérailles tout en étant conscientes mais désormais impuissantes. N
 
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2011-2013 : Que sont devenus les ennemis jurés d'Assad?


IRIB- plus de deux ans après la guerre totale déclenchée contre la Syrie,
force est de constater qu'il y a une véritable débandade dans le camp des anti Assad . Que sont devenues ses principales figures ?
-Recep Erdogan: En septembre 2011, le premier ministre turc criait à la foule : " je vais prier d'ici peu à la mosquée Omeyyade..." peu de temps après, le m^me Erdogan décriait sans ambage sur CNN et au cours d'un entretien avec la journaliste Amanpour, l'administration Obama pour son refus d'attaquer militairement la Syrie. Debka décrivait à l'époque comment les terroristes en action à Idleb et à Alep recevaient des ordres de kleur centcom situé à Ghazi Antab, ville du sud est de la Turquie. deux bataillons terroristes du nord de la ville d'Idleb et du nord est à Alep opéraient et opèrent toujours sous le commandement des officiers turcs. Il y a à peine deux mois , Erdogan a réitéré ses promesses du feu d'enfer en direction d'Assad à Reyhanli, victime d'un double attentat terroriste qu'il a attribué à Damas mais qui finalement a semblé être l'oeuvre de ses protégés qaidistes. "Heureusement que le gouvernement Assad s'approche de sa fin, a encore affirmé à Reyhanli Erdogan ..Que s'est-il passé donc pour que le trublion Erdogan choissie de se taire ces temps-ci et de'éviter de monter au créneau et de crier la fin du "régime alaouite"? C'est du côte de Park Gezi qu'il faut chercher la réponse ... la répression sanglante des protestations contre un projet urbain à Istanbul ont violemment secoué les fondement du régime d'Erdogan accusé désoemais par une partie de l'opinion turque d'autoritarisme . la Turquie est donc le premier pays anti 'résistance à s'être heurté un défi sécuritaire de taille Erdogan a réprimé les protestations, il n'en reste pas moins que le mouvement de protestation se poursuit, grèvant chaque jour une parcelel de la légitimité du gouvernement Erdogan

-Hamad Al Thani : le putchiste dès sa première heure, l'ex émir qatari restera dans les annales de l'Histoire à titre de macro-pion US. c'est de loin, l'élément central du camp anti Résistance, celui qui a fait plus d'efforts que tout autre pour détrôner Assad, démembrer la Syrie et pavoiser le terrain à l'émergence du grand Moyen Orient. Son horde  multinationale de takfiris, ses milliards de gazo dollars dépensés, ses tentatives pour acheter les russes, les iraniens, les syriens, ses manoeuvres diplomatiques au seins de la Ligue arabe, du CCGP , tout et tout font de lui "le valet-roi" de l'Ampir.Savid Roberts, membre du bureau d'études sécuritaires et défensives en Grande Bretagne fait partie des rares analystes qui soulignait l'imprudence de l'ex émir et son attitude folle d'aller toujours plus en avant avec un aventurisme qui sied mal à un dirigeant politique : " si Assad reste au pouvoir, Hamad aura tout perdu . il s'est tellement investi dans ce projet, qu'il ne peut plus s'en dissocier ..... " et bien c'est ce qui est arrivé ... Hamad a jeté l'éponge sous pression de Washington et a cédé place à son fils Tamim qui semble vouloir rompre avec les ambitions maximalismes de son père

-Mohamad Morsi
c'est un coup d'étal illégitime qui a fini par effacer de la scène Morsi n'empêche que le président déchu n'a pas été non plus un enfant de choeur et ses soutiens aux terroristes salafistes en action en Syrie l'ont placé dans l'illégitimité totale. en nomvembre dernier et en réaction au discours de sortie de crise d'Assad, Morsi a exigé "le départ d'Assad et son jugement pour crime de guerre "!! A Téhéran où il était venu participer à la conférence de l'OCI, Morsi a qualifié Assad de Tyran et loué "la révolution des syriens contre le Tyran" et puis la cerise sur le gateau , il a annoncé au cours de l'une des fameuses conférences des "Amis de la Syrie", la dernière, la rupture des relations Le Caire- Damas . où est Morsi à l'heure qu'il est ? en détention aux mains de l'armée !:!

-Youssef Qaradawi
ce curieux vallet de l'Empir qu'une journaliste egyptienne traitait de caméléon nous a habitué à ses zigzag : un temps partisan du Hezbollah, il le quialifie aujourd'hui de parti de Diable. il n'a jamais donner l'ordre du jihad contre le régime sioniste mais a exhorté des milliers de jeunes salafistes à partir en Syrie et faire le jihad contre leurs frères syriens. dans le temps il louait Assad. Assad est aujourd'hui pour lui un tyran"dont il faut verser le sang" . ses sorties sur Al Jazeera restent sans doute l'épiside le plus noire de la vie médiatique de l'oumma islamique dans la mesure où c'est de ces sorties que provient cette haine interconfessionnelle qui secoue en ce moment le monde musulman. où est Qaradawi? expulsé de son palais au Qatar, il se trouve en Egypte entre le marteau de l'armée et l'enclume d'une opinion egyptienne qui l'accuse de complicité via de fausses fatwa avec le régime Morsi!!

Syrie: l’opposition veut une trêve à Homs pour cause de Ramadan


. © Georges Gobet La communauté internationale doit faire pression sur le président Bachar al-Assad afin qu’il accepte une trêve pour le ramadan dans la ville dévastée de Homs, dans le centre du pays, a indiqué la Coalition de l’opposition syrienne.
“Nous, la Coalition nationale (de l’opposition NDLR), appelons la communauté internationale à faire pression sur le régime et ses alliés afin qu’ils acceptent une telle trêve, pour faire cesser l’effusion de sang syrien pendant le mois sacré” de jeûne musulman, a déclaré Ahmad Assi al-Jarba, selon des propos tenus à Istanbul lundi, deux jours après son élection à la tête de la Coalition, et mis en ligne mercredi.
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Egypte: "négation des processus démocratiques" (député russe)

Les récents événements survenus en Egypte sont aux antipodes des processus démocratiques
Les récents événements survenus en Egypte sont aux antipodes des processus démocratiques, il s'agit d'une manipulation dans l'intérêt de certaines forces, étrangères notamment, a déclaré mercredi le président de la Commission des affaires étrangères de la Douma, Alexeï Pouchkov.
"Ce qui se passe actuellement en Egypte est la négation des processus démocratiques, c'est une sérieuse manipulation de la part de certaines forces, qui se trouvent notamment hors des frontières de l'Egypte", a déclaré le député lors d'une conférence de presse consacrée à la situation en Egypte.
Selon lui, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis jouent un rôle dans la tension qui est à l'œuvre dans le processus politique égyptien.
"Le processus en Egypte ne peut pas être démocratique, on y renverse un président démocratiquement élu, et tous les "soulèvements populaires" sentent la manipulation", a indiqué le président de la Commission des affaires étrangères de la Douma.
Il a rappelé que les événements actuels en Egypte rappelaient les "révolutions oranges" menées dans certaines républiques d'ex-URSS, lorsque les masses populaires sont mobilisées grâce à de l'argent étranger, même si ces masses ne constituent pas la majorité de la population du pays en question.
Le 3 juillet au soir, l'armée égyptienne a nommé Adly Mansour, président de la Haute Cour constitutionnelle, au poste de président intérimaire du pays, écartant Mohamed Morsi, président issu des Frères musulmans et contesté par des manifestations monstres. La Constitution a été suspendue, et la chambre haute dominée par les islamistes, qui assurait l'intégralité du pouvoir législatif, a été dissoute.

Egypte: les erreurs de Washington risquent de déstabiliser la région (expert)

Les erreurs de Washington risquent de déstabiliser la région

La position américaine sur la crise politique en Egypte et les erreurs diplomatiques commises risquent de déstabiliser la région dans son ensemble, estime Alexandre Dzasokhov, secrétaire général adjoint de la Commission nationale russe pour l'UNESCO.
"Les Etats-Unis risquent de créer une situation géopolitique dangereuse, y compris pour eux-mêmes", a indiqué M.Dzasokhov lors d'une conférence de presse consacrée aux perspectives d'évolution de la crise politique en Egypte.
"La politique de Washington et les actes du département d'Etat vis-à-vis de la situation en Egypte peuvent être qualifiés d'erreurs majeures", a-t-il souligné. 
"Les Américains ont d'abord lâché [l'ancien raïs Hosni] Moubarak, et ils ne l'ont pas fait par le biais de négociations, tout s'est passé en coulisse. Ils ont ensuite misé sur l'armée à qui ils débloquent plus d'un milliard de dollars par an et ont conduit au pouvoir le maréchal [Mohamed Hussein] Tantaoui", a expliqué le responsable.
Mais, peu de temps après, les Etats-Unis ont "abandonné M.Tantaoui pour soutenir publiquement Mohamed Morsi. En un laps de temps très court le monde a été témoin de quatre changements de la politique étrangère et de la diplomatie américaines", a conclu M.Dzasokhov.
Le vice-président de la Douma (chambre basse du parlement russe) et président du Parti libéral-démocrate de Russie (LDPR) Vladimir Jirinovski a de son côté déclaré que toutes les révolutions avaient un seul commanditaire, dont le but était de déstabiliser le monde dans son ensemble pour créer un terrain propice à une révolution financière à l'échelle mondiale.

Insolite ! Le corps d'un instituteur refuse d'aller au cimetière Huit (08) fois.

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Le corps d'un jeune instituteur a rebroussé chemin à 8 reprises, avant de désigner son père comme l'auteur de sa mort (Ph. DR)
Huit (08) fois. C'est l'épreuve qu'ont endurés des porteurs qui tentaient de conduire le corps d'un jeune instituteur nommé Jean-Pierre N'Gbesso, au cimetière de son village natal d'Offoriguié, mais qui ont toujours rebroussé chemin.
Ce fait insolite que relaie une dépêche de l'Agence ivoirienne de presse, s'est produit, le samedi 06 juillet 2013, à Offoriguié, village situé à 7 Km de son chef-lieu de département, Agboville. «Cinq fois, le samedi et trois fois le dimanche matin», a confié un instituteur venu accompagné son collègue à sa dernière demeure.
Ajoutant que pour éviter toute suspicion, le corps a été porté soit par des collègues instituteurs, soit par les populations allochtones. Mais, à chaque fois, soutient la même source, le corps est revenu dans la concession familiale.
Pis, le cercueil a volontairement heurté le père du défunt ainsi que plusieurs personnes du village, avant que les accusés, qui sont manifestement de la même confrérie de sorciers, ne passent à l'aveu. Le père de N'Gbesso, affirme toujours notre source, a avoué après de fortes pressions, avoir mis fin aux jours de son fils qui aurait acheté une tronçonneuse et un conteneur pour faire du commerce.
Selon ce dernier (lui-même instituteur à la retraite), son fils N'Gbesso qui a eu son rappel, aurait dû plutôt lui remettre de l'argent que de faire des dépenses qu'il n'agrée pas. Pour le punir donc, il ne s'est pas empêché de le livrer à sa confrérie. Après ces aveux qui ont jeté l'émoi dans le village, un rituel dont la mise en œuvre requiert des talents spécifiques, a été fait ; permettant ainsi au corps de regagner le royaume des morts.
A Offoriguié, l'on est plus que convaincu que «les morts ne sont pas sous la terre, ils sont dans l'arbre qui frémit, ils sont dans le bois qui gémit, ils sont dans l'eau qui coule (…) Ils sont dans la foule...», comme l'écrit si bien Birago Diop dans son ouvrage ''Le souffle des ancêtres''.
G. DE GNAMIEN 
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infodrome.com

Afghanistan: Karzaï fâché contre Washington

Izvestia

Le président afghan Hamid Karzaï accuse Barack Obama de mener des négociations avec les talibans dans son dos, écrit le quotidien Izvestia du 10 juillet 2013.
De son côté le président américain rappelle que ses soldats risquent leur vie pour défendre le régime de Karzaï. Cette querelle a tout de suite fait naître des informations sur la possibilité d'un retrait anticipé des troupes américaines. Qui plus est, les Etats-Unis pourraient réduire leur aide financière à Kaboul, aujourd’hui de 3 milliards de dollars par an.
Les bases afghanes abritent actuellement 63 000 militaires américains qui devraient quitter le pays d'ici fin 2014. Le contingent de la Force internationale d'assistance et de sécurité (FIAS) comprend au total près de 98 000 personnes.
Mais qu'est-ce qui a poussé Karzaï - créature des Américains - à aggraver tellement ses relations avec Washington ? Surtout en ce moment, alors que les talibans consolident leurs forces au sud et à l'est du pays et annoncent ouvertement leur volonté de faire chuter le pouvoir ?
"La majorité du contingent de la FIAS quittera le pays d'ici fin 2014 indépendamment des circonstances et Karzaï devra faire face aux talibans avec ses propres moyens, explique Viatcheslav Nekrassov, secrétaire responsable du groupe pour le travail avec l'Assemblée nationale d'Afghanistan au Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement russe). Il lui faut donc se montrer comme un leader dur et énergique, car d'après ce que nous dit l'expérience historique, seuls ces gens-là sont en mesure de garder les rênes d'un Etat composé de plusieurs tribus. En même temps Washington tente de s'entendre avec les talibans par ses propres canaux sans Karzaï, ce qui souligne le caractère fantoche du gouvernement afghan".
La démarche du président afghan pourrait s'expliquer par des raisons extérieures.
"Le Pakistan, sur le territoire duquel le mouvement Taliban s'est formé dans les années 1990, n'apprécie pas la perspective de négociations séparées entre les Américains et les talibans, estime Chakh Makhmoud de l'Institut d'études orientales auprès de l'Académie russe des sciences. C'est pourquoi des hauts fonctionnaires pakistanais viennent régulièrement à Kaboul pour pousser Karzaï vers plus d'indépendance".  
L'Afghanistan, ruiné par la guerre permanente, force son président à écouter tous les conseils.
"Il comprend qu'il ne peut pas compter uniquement sur l'Amérique, indique Viatcheslav Nekrassov. Il lui faut construire des relations avec les pays voisins, notamment le Pakistan. Les Etats-Unis évacueront leurs forces et le puissant Islamabad sera toujours à proximité". 
Karzaï veut préserver la continuité du pouvoir, ce qui le pousse à faire preuve de ses qualités de leader, même au détriment de ses relations avec l'Occident.
"Suite à la présidentielle de 2014, il voudrait laisser un successeur en mesure de poursuivre sa politique d'amélioration des relations avec les pays voisins", remarque Viatcheslav Nekrassov.
Ce successeur pourrait être Abdoul Quayum Karzaï, l’un des frères du président actuel. Les rumeurs disent que cet homme est l’un des trafiquants les plus puissants du pays, qui exporte 94% des tous les opiacés du monde.
"Hamid Karzaï voudrait évidemment garder le pouvoir, bien que la Constitution interdise plus de deux mandats présidentiels successifs, estime Chakh Makhmoud. Pour le moment il affirme ne pas avoir assez d'argent pour les élections tandis qu'il dépense chaque mois 500 millions de dollars pour son administration".
Cela dit, si Karzaï pose pour la troisième fois sa candidature, cette démarche pourrait provoquer un scandale. Selon la mission onusienne en Afghanistan, il lui avait fallu près d'un million de votes truqués - le total des électeurs afghans se chiffre seulement à 17 millions de personnes - pour gagner les élections en 2009.

L'Egypte, terrain de confrontation pour le Qatar et l'Arabie Saoudite

катар саудовская аравия египет флаги

L’Egypte est devenue un champ d’opposition non seulement entre les partisans du pouvoir laïque et les islamistes, mais aussi entre des acteurs étrangers luttant aussi pour influencer sur ce grand pays arabe. Deux monarchies du Golfe Persique – le Qatar et l’Arabie Saoudite - prennent une part active dans cette lutte.

Après les tirs effectués par les militaires sur les manifestants devant l’état-major de la garde républicaine, le parti salafiste « An-Nour » a refusé de participer aux négociations avec les nouveaux pouvoirs égyptiens. Mais récemment, les salafistes approuvaient la destitution du président Mohamed Morsi. C’est un nouveau témoignage d’une scission entre les islamistes égyptiens. C’est que les Frères musulmans et « An-Nour » ont des protecteurs étrangers. Ici le commentaire du président de l’Institut russe du Proche-Orient Evgueny Satanovski :
« Non seulement en Egypte, mais aussi dans tous les pays du « printemps arabe », le Qatar a soutenu et continuera à soutenir les Frères musulmans et les mouvements alliés. Par exemple, les leaders de « An-Nahda » en Tunisie ou ceux du « Hamas » à Gaza. Les salafistes – c’est la créature de l’Arabie Saoudite. L’Arabie Saoudite a chaleureusement félicité la junte militaire et Adli Mansour, président actuel par intérim, qui ont chassé les Frères musulmans. Mais cela montre que dans la péninsule arabique, le vieux proverbe russe « Si la vache du voisin meurt, c’est très bien » est actuel ».
Doha et Riyad apportent un soutien à leurs protégés. En premier lieu, financier. Le journal Financial Times assure que le Qatar a « investi » en Egypte huit milliards de dollars. La chaine de télévision Al-Jazeera du Qatar apportait au gouvernement de Morsi une aide informationnelle. Il n’est pas étonnant qu’après la destitution de Morsi, la diffusion d’Al-Jazeera soit interdite en Egypte, qu'il y ait eu des perquisitions dans les bureaux de la chaine de télévision, et que le chef de l’antenne au Caire ait été retenu.
L’Egypte n’est pas le seul pays qui soit l’objet de lutte entre Doha et Riyad. Les deux monarchies rivalisent aussi dans les pays du Maghreb, en Syrie, au Liban, au Yémen, en Palestine, pratiquement sur tout le territoire du grand Proche-Orient.
Les experts croient que la destitution de Mohammed Morsi est un coup dur pour les positions du Qatar, en Egypte et dans tous les pays du « printemps arabe ». S’assurant que le pouvoir des Frères musulmans et de leurs protecteurs au Qatar n’est pas si fort que cela, leurs adversaires dans d’autres pays commenceront une offensive.  N

Les 100 films les plus influents de 1916 à 2012

Les 100 films les plus influents de 1916 à 2012
© Twentieth Century Fox France
De The Dark Night Rises à Atlantis, en passant par le Magicien d’Oz, le collectif Arg!Team a réalisé une infographie des «100 films les plus influents de 1916 à 2012».
Star Wars, le Parrain, Titanic sont des films qui ont marqué leur temps et ont cartonné au box office. C’est ce qu’illustre cette infographie réalisée par le groupe Arg!Team, où la barre bleue représente la force d’influence de chaque long métrage. «Ceci n’est pas un avis de cinéphile mais le résultat d’une méthode mathématique. Un algorithme -le PageRank- a permis d’analyser les pages Wikipedia dédiées à ces films et d’en sortir un classement», rapporte buzzerie.com. Et à chaque année son film.
«Voici donc, à travers une infographie plutôt sommaire les films qui sont les plus lus sur Wikipedia. Evidemment, le choix par année est très subjectif. En 2012, c’est The Dark Knight Rises qui a été choisi, tandis que The Artist représente 2011», juge Konbini. C’est pour cette raison que le site propose «un classement un peu plus pertinent», qui serait les 242 meilleurs films selon IMDb.
http://www.newsring.fr/content/upload/editor/2013/0710/112104301.png

newsring.fr

Egypte: arrestation du chef des Frères musulmans ordonnée


. © Mahmud Hams Le procureur général égyptien a ordonné mercredi l’arrestation du Guide suprême des Frères musulmans, Mohamed Badie, et d’autres hauts responsables de la confrérie dans le cadre des violences qui ont fait plus de 50 morts lundi, a-t-on indiqué de source judiciaire.
Selon la même source, ils sont accusés d’incitation à la violence, en relation avec ces heurts sanglants survenus devant le siège de la Garde républicaine au Caire, durant une manifestation de partisans du président islamiste déchu Mohamed Morsi.
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L‘économie et Berlusconi mettent le gouvernement sous pression


. © Abbas Momani Nervosité des partisans de Silvio Berlusconi face à ses déboires judiciaires, mauvais signaux en provenance du FMI et de l’agence Standard and Poor’s: deux mois après sa formation, le gouvernement italien de coalition gauche-droite mené par Enrico Letta est sous pression.
Mercredi matin, députés et sénateurs du PDL, le parti du Cavaliere, ont menacé de boycotter les travaux du Parlement ainsi qu’une réunion de la majorité prévue jeudi.
Objet de leur ire: la convocation surprise d’une audience de la Cour de Cassation en plein été, le 30 juillet, pour statuer sur une condamnation du magnat des médias pour fraude fiscale dans l’affaire Mediaset, du nom de son empire médiatique.
L’enjeu pour le Cavaliere, condamné le 8 mai à quatre ans de prison dont trois amnistiés et à une interdiction d’exercer tout mandat public pendant cinq ans, est d’importance. S’il ne court aucun risque de se retrouver derrière les barreaux, notamment en raison de son âge, 76 ans, il redoute de se voir privé de son mandat de sénateur.
Chacun tablait sur une audience de la Cour de Cassation en novembre, voire plus tard. Mais la plus haute juridiction pénale a indiqué avoir avancé l’audience afin d‘éviter la prescription d’une partie des accusations contre le Cavaliere.
“Une précipitation totalement injustifiée”, a tonné l’un de ses avocats, Franco Coppi, tandis que ses partisans dénonçaient “une justice sommaire”, allant jusqu‘à réclamer un retour aux urnes face à un “complot politico-judiciaire”.
Sans se départir de son apparente – et désormais habituelle – placidité, Enrico Letta répète pour la énième fois que cet épisode ne “met pas en péril la stabilité du gouvernement”. Il a appelé à “l’esprit d‘équipe” et “la cohésion” pour surmonter la crise économique.
Il a affiché la même sérénité après la décision de l’agence américaine Standard and Poors de dégrader la note de la troisième économie de la zone euro de BBB+ à BBB, le niveau de… la Bulgarie. L’agence américaine se base sur des prévisions de croissance en berne :-1,9% du PIB cette année et +0,5% en 2014, des prévisions plus pessimistes que celles du FMI (-1,8% et +0,7%). Elle craint de plus que Rome ne tienne pas ses engagements budgétaires.
Tout en jugeant cette dégradation “peu généreuse”, le chef du gouvernement, Enrico Letta, a reconnu que la péninsule était toujours “sous surveillance spéciale” mais n’a pas voulu dramatiser. Pris en tenailles entre ses engagements de rigueur budgétaire envers l’Europe et les promesses de baisses d’impôts du parti de Silvio Berlusconi. Il a même confirmé la suspension de la taxe immobilière sur la résidence principale, un point non négociable pour le Cavaliere.
Pour l’analyste Christian Schulz de la banque Berenberg, cette dégradation montre que les élections législatives de février et l’impasse politique qui a suivi “ont affaibli la discipline fiscale”. Il cite en particulier le report d’une hausse prévue de la TVA et “des programmes d’investissement modestes”.
Mais l’avertissement de l’agence de notation peut aussi aider le Premier ministre à “restaurer le sens du réalisme et de l’urgence”, souligne-t-il.
De leur côté,les analystes d’Unicredit, la plus grande banque italienne, estiment que la dégradation de la note peut provoquer une “instabilité à court terme” mais devrait avoir “un impact très limité” sur les taux d’intérêt. Ils relèvent de plus que l’Italie se trouve en position “très favorable” sur le marché de la dette, le Trésor italien ayant déjà atteint 66% de ses emprunts à moyen et long terme cette année.
Signes modestes mais encourageants mercredi, la production industrielle est repartie à la hausse (0,1%) en mai et le Trésor a pu emprunter comme prévu 7 milliards d’euros à court terme, à des taux toutefois en légère hausse.
“Nous pouvons voir les premiers signes de croissance”, a prédit le ministre des Finances, Fabrizio Saccomanni.
Mais pour le gouverneur de la banque centrale, Ignazio Visco, le pays est encore en phase de “transition difficile”, notamment en raison d’un “risque de ralentissement de l‘économie mondiale”.
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L’emploi des armes chimiques en Syrie est le fait des rebelles

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La Russie a transmis le 9 juillet au Secrétaire Général de l’ONU le dossier confirmant que l’usage des armes chimiques en Syrie a été le fait des combattants de l’opposition et non pas de l’armée syrienne.

Les accusation lancées contre Bachar Assad et faisant état des méthodes barbares de conduite de la guerre ont servi de prétexte aux États-Unis et certains pays de l’UE pour lever l’embargo sur les livraisons d’armes aux rebelles syriens.
Les experts russes ont établi que ce sont précisément les rebelles qui ont tiré le 19 mars dernier un missile chargé se sarin contre une banlieue d’Alep. Les preuves auxquelles se réfère la partie russe ont ceci d’important qu’à la différence des données américaines reçues par intermédiaires interposés, elles ont été recueillies sur place et testés dans les laboratoires russes certifiés par l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OPCW). Le transport, le stockage et l’anlyse d’échantillons se faisaient en stricte conformité avec les règles de cette organisation.
Les analyses effectuées sur place ont démontré qui ce sont les rebelles qui ont tiré le missile non guidé « Bachaïr-3 » chargé de sarin, - a fait savoir l’ambassadeur russe auprès de l’ONU Vitali Tchourkine. Le missile a fait 26 morts dont 16 militaires syriens et 86 personnes ont été intoxiquées à des degrés divers. Les experts russes ont abouti à la conclousion que le sarin était de fabriication artisanale, - a précisé Vitali Tchourkine :
« Les résultats des analyses montrent à l’évidence que le projectile utilisé était de fabrication artisanale et chargé de sarin également de fabrication artisanale. D’une part, absence de stabilisants chimiques dans les échantillons prélevés montre que la date de fabrication était relativemen récente et,d’autre part, le projectile utilisé n’était pas conçu pour l’usage chimique pas plus que l’hexogène qui n’est pas utilisé dans les munitions standard ».
Ce fait disculpe entièrement Damas qui est accusé de faire recours aux armes chmiques puisque les projectiles standard de ce type contiennent des éléments différents.
Les États-Unis ont déclaré n’avoir pas encore reçu les conclusions russes mais ont à l’avance douté de leur crédibilité, - a déclaré le secrétaire de presse de la Masion Blanche Jay Carney :
« Rien ne nous permet de supposer que quelqu’un d’autre que le gouvernement syrien ait pu utiliser l’arme chimique ou avoir cette possibilité. Nous doutons sérieusement que les armes chimiques aient pu être utilisées à l’insu du gouvernement syrien ».
Créée en 1997 avec le concours de l’ONU, l’OPCW est le principal organe international habilité à confirmer l’usage des armes chimiques. La Syrie avait déjà annoncé qu’elle invitait les experts de l’OPCW pour instruire soigneusement les cas d’utilisation des gaz de combat par les combattants de l'opposition.

Les fonctionnaires américains doivent se surveiller les uns les autres


 
L'administration Obama travaille sur la mise en œuvre d'un programme d'espionnage qui obligera 5 millions de fonctionnaires fédéraux à se surveiller mutuellement, dans le but de dénoncer au gouvernement tout comportement ou changement d’attitude « suspects ». Les techniques d’analyse du comportement qui sont employées, n’ont pas démontré scientifiquement leur efficacité.
Ce Programme, appelé « Insider threat Program », implique les millions de fonctionnaires fédéraux et les contractants qui doivent rapporter tout « comportement ou personne à haut risque ». Ceux qui refusent de s’y soumettre s’exposent à des amendes et des poursuites.
Le président américain Barack Obama a ordonné la mise en œuvre du programme en Octobre 2011, lorsqu’il est apparu que Bradley Manning, un Analyste du renseignement qui officiait pour une brigade en Irak, avait transmis des centaines de milliers de documents classés secrets au site Wikileaks qui les avait révélés au grand public. Tous les ministères et organismes fédéraux - y compris ceux qui n'ont rien à voir avec la sécurité nationale, comme le ministère de l'Éducation et le Peace Corps - sont soumis à ce programme.
Ce programme, sur lequel les médias traditionnels sont restés très discrets, permet de déclencher une enquête de sécurité lorsque les fonctionnaires montrent des « indicateurs de comportement posant une menace interne ».
Les fonctionnaires et les entrepreneurs sont incité à épier le mode de vie, l'attitude et le comportement de leurs collègues, et d’accorder une attention particulière aux détails singuliers de l’existence, tels que difficultés financières, problèmes conjugaux, déplacements ou tendance à faire des heures supplémentaires inhabituels, et à les signaler, pour permettre aux agents de stopper une éventuelle violation du secret avant qu’elle ne soit commise. Les responsables de ce programme auront un accès régulier à toutes les données sur le personnel, la paie, les dossiers disciplinaires, ainsi que les dossiers de leurs contacts personnels, leurs données numériques, informatiques et financières.

express.be

En 1998, les Chinois ont fermé l'aéroport Kai Tak de Hong Kong. Découvrez ici pourquoi...


Les autorités chinoises ont décidé de fermer l'aéroport Kai Tak de Hong Kong il y a 15 ans, après une longue série d'incidents. Tous ceux qui ont atterri à Kai Tak se souviennent probablement de l'atterrissage périlleux, s’effectuant en longeant des montagnes escarpées et en frôlant des immeubles, ce qui permettait aux passagers de jeter des coups d’œil sur les salles à manger des habitants. L'aéroport était devenu tristement célèbre pour les multiples atterrissages manqués, avec des avions qui se retrouvaient dans l'eau, en raison de la courte longueur de la piste, qui ne mesurait que 3.300 mètres.
Kai Tak était considéré comme le test ultime pour connaitre l'expertise d'un pilote de ligne. Les pilotes qui devaient y poser des avions recevaient une formation spéciale, pour apprendre à maîtriser une manœuvre surnommée « le virage de Hong Kong » (« Hong Kong turn »).
La descente vertigineuse sur le port et sur les immeubles environnants dans une ville très densément peuplée ont fait de Kai Tak le 6ème aéroport le plus dangereux du monde. Au total, 270 personnes y ont perdu la vie au cours de 12 accidents différents. L'accident le plus mortel s'est produit en 1965, lorsqu’un avion Hercules de l’US Marines a plongé dans la mer juste après le décollage, tuant 59 passagers. En 1967, 24 autres passagers sont morts au cours d’un atterrissage réalisé alors qu’un typhon s’était abattu sur Hong Kong. 
Une illustration tirée de la simulation avec laquelle les pilotes devaient s'exercer pour maîtriser le "virage de Hong Kong".
Une vue aérienne de Kai ak, reconverti en quai pour les bateaux de croisière.
Une photo de Kai Tak prise alors que l'aéroport était encore opérationnel. 
express.be

Poutine se dote d'une voiture anti-frappe nucléaire !!


IRIB- Le président russe Vladimir Poutine recevera très prochainement sa voiture personnelle qui diffère quelque peu d'autres voitures :
elle est invulnérable aux attaques chimiques et atomiques et permet à son occupant de diriger depuis l'espace intérieur les opérations de guerre! c'est un conscruteur automobile russe qui a fabriqué au bout de six ans de travail minutieux cet automobile dont toutes les pièces sont de conception intérieure.  Cette voiture est vraisemblablement plus sophistiquée que celle d'Obama . elle est blindée et pèse 3.5 tonnes avec des vitres pare-balle et pare-missiles. la voiture est également resistant aux frappes chimiques et mêmes nucléaire. un système de guidage électronique de très haute performance contrôle tout . ce système permet au président d'être en contact permanent avec les salles de conférence, des réunions de guerre

GAZ SARIN. Syrie : la mauvaise foi et la colère américaine après l’annonce russe



Obama and Putin at the G8 summit.

Alors que la Russie dit avoir les preuves que les terroristes qui sévissent en Syrie usent du gaz sarin, les Etats-Unis s’énervent et rejettent tout de go, ces dernières, sans même les avoir vu. Ceci est la preuve que leur parti pris univoque est clownesque. Le soutien principal de cette bande de renégats et d’assassins qui ont utilisé du gaz sarin lors de combats, le 19 mars près d’Alep, à Khan Al-Assal -nous l’affirmions par ailleurs-, voit peu à peu ses plans diaboliques battre de l’aile.

Ce que Carla Del Ponte avait dit, était vrai. L’ambassadeur russe auprès de l’ONU, M. Vitali Tchourkine, ne parle pas en l’air, ou avec les journalistes du journal propagandiste Le Monde, pour apporter les preuves de ses dires. En effet, des experts russes ont recueilli des échantillons sur le site de l’attaque, à Khan Al-Assal, et les preuves ont été transmises au secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, dans un document de 80 pages environ. Est-ce que la France a fait cette démarche ? Non.
La France, avec ses « preuves », n’a transmis l’ensemble de ses résultats qu’aux Etats-Unis ? Pourquoi ? Simplement parce que les Américains ne feront pas une contre-expertise qui révélera le pot aux roses. Or, Moscou déclare qu’il enverra ces preuves aux pays occidentaux (Etats-Unis, France, Royaume-Uni), qui ont de leur côté accusé l’armée syrienne d’avoir eu recours à plusieurs reprises à des armes chimiques contre les terroristes, sans pour autant apporter des preuves factuelles, jouant un sempiternel entre-soi ridicule et pesant.
Les pays occidentaux sont à l’origine du drame que vivent les Syriens. Figurez-vous que ces gens n’ont qu’une chanson à la bouche depuis deux ans : « Bachr al-Assad doit partir » !, comme si ce slogan pouvait régler la crise. Ils n’ont jamais tendu la main au Gouvernement syrien. Or, Moscou, plusieurs fois, a invité les deux camps à la modération. Après l’élection du nouveau chef de la coalition de l’opposition, Moscou a encore demandé à rencontrer ce dernier. C’est bien la preuve que Moscou recherche la paix contrairement aux autres…
L’Occident n’a qu’un seul but, exacerber les rivalités religieuses entre sunnites et chiites, affaiblir la Syrie, se débarrasser de ses propres djihadistes et de permettre que les arabes s’entre-tuent entre eux. Demain, sans doute, ça va être le tour de l’Afrique noire…

2.000 soldats libyens seront formés par la Grande-Bretagne


IRIB- Le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, a annoncé, le 9 juillet, que 2.000 soldats libyens seraient formés, par petits groupes, dans le Cambridgeshire.
Ces stages, d’une durée de 10 semaines, consisteront à donner une instruction de base, en matière de combat d’infanterie. Selon William Hague, les frais seront à la charge du gouvernement libyen, et non à celle des contribuables britanniques. Londres «croit, fermement, qu’une la Libye stable, ouverte et démocratique, contribuant à la sécurité régionale, est dans l’intérêt du Royaume-Uni», a-t-il ajouté. «La formation des personnels des forces armées libyennes, au Royaume-Uni, fait partie d’un programme plus large, en matière de défense et de sécurité, mis au point avec les Etats-Unis, le France et l’Italie», a expliqué Philip Hammond, le ministre britannique de la Défense, décision prise, en marge de la réunion du G-8, en Irlande du Nord.

Grèce : de la lumière au bout du tunnel ?

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L’économie grecque continue d’engloutir des milliards, mais à présent ses créanciers internationaux sont en somme satisfaits par le déroulement des réformes anticrises.

Les consultations du gouvernement de Grèce avec la troïka de créditeurs internationaux – Banque centrale européenne, Commission Européenne et le Fonds Monétaire International – ont duré une semaine. Finalement il est devenu possible d’octroyer à Athènes une nouvelle tranche d’aide de 8,1 milliards d’euros, dont les Etat européens prêteront 6,3 milliards d’euros.
La décision sur un nouveau paquet d’aide à la Grèce a été prise lundi, le 8 juillet, à la réunion du Conseil des ministres des Finances des pays de la zone euro (Eurogroupe). L’aide financière se fournie par tranches. L’octroi de ces moyens financiers sera assorti d’une série de conditions – le gouvernement grec aura à accélérer l’application des réformes, afin de déboucher au début de 2014 vers un commencement de la reprise économique (le rapport mentionne le chiffre 0,6 %). Il s’agit, notamment, de restructurer le secteur public avec licenciement avant fin 2013 de 4000 fonctionnaires. De plus, 12 500 fonctionnaires et d’agents du secteur public devront passer dans la réserve.
Les premiers 4 milliards d’euros seront prêtés déjà à la mi-juillet, si le parlement grec adopte vers le 19 juillet le Code fiscal revu, ainsi que des projets de loi sur la réduction des emplois et des salaires dans le secteur public. A sa réunion du 29 juillet le FMI décidera du sort d’encore 1,8 milliards d’euros qui iront au service de la dette d’Etat. Si les réformes sont heureusement appliquées Athènes obtiendra en octobre encore un milliard d’euros.
Cette nouvelle tranche d’aide financière doit être vue comme une mesure urgente de salut de l’économie grecque. Le problème est que les défauts systémiques de l’économie sont toujours là – difficultés dans la sphère sociale, niveau record de chômage, baisse de la consommation et des activités, réduction du PIB (de près de 7 % durant 2012).
On ne saura évaluer l’effet de la nouvelle enveloppe d’aide à la Grèce qu’à l’expiration d’un certain temps, lorsque les réformes lancées commenceront à être pleinement réalisées, considère l’analyste de « Investcafé » Anna Bodrova.
« En gros, toutes les mesures anticrises touchant l’économie grecque ont un effet différé. Cela veut dire que nous ne pourrons voir certains moments positifs dans les secteurs de l’économie grecque avant le milieu de l’année prochaine, étant donné son disfonctionnement important - dans le secteur bancaire, dans l’infrastructure et dans le domaine du business. Et pour voir quelques germes ici il faut du temps ».
Les sceptiques continuent toutefois d’affirmer que l’économie grecque commence de plus en plus de rappeler un panier percé qui a déjà englouti plus de 200 milliards d’euros. D’après tout, les partenaires des Grecs pour la zone euro n’ont d’autre solution que de continuer d’administrer des injections financières.

Syrie: le Congrès US bloque les livraisons d'armes à l'opposition (journal)

Syrie: le Congrès US bloque les livraisons d'armes à l'opposition

Les partisans des Frères musulmans, expulsés des pays arabes du golfe Persique


IRIB-Le Conseil de Coopération du Golfe Persique (CCGP) expulse les membres et les partisans des Frères musulmans résidant dans les pays arabes du Golfe Persique.
Les pays du CCGP ont préparé un accord sécuritaire prévoyant expulser les ressortissants étrangers soupçonnés d'être liées aux Frères musulmans, a révélé aujourd'hui mercredi le quotidien koweitien, Al-Siyassiya. Lors de leur réunion à Riyad, les vice-ministres des Affaires étrangères des pays du CCGP ont préparé un plan préventif  pour identifier les personnes liées aux Frères musulmans et qui se sont rendues dans ce pays avant de les expulser ultérieurement, a écrit ce quotidien. Les participants à cette réunion ont préconisé d'identifier  les membres des Frères musulmans résidant dans les pays du CCGP, qui sont actifs dans les secteurs privés et publics et de surveiller leur liaison avec les chefs de ce groupe, a ajouté Al-Siyassiya. L'armée égyptienne a destitué, il y a 7 jours, Mohamed Morsi, président égyptien, issu des Frères Musulmans. L'armée a également arrêté 300 membres de cette confrérie et désigné Adly Mansour pour diriger par intérim le pays.

Exclusif : le président Bouteflika est sorti des “Invalides” et sera de retour mercredi


Info Algérie1 : Le président de la république, Abdelaziz Bouteflika, est sorti aujourd’hui mardi de de l’Institution nationale des Invalides (Paris), après avoir suivi une période de soins et de réadaptation fonctionnelle, a appris Algérie1 de très bonnes sources.
Pour éviter une cohue journalistique, puisque plusieurs organes de la presse française et en particulier les télévisions, campent non loin du centre de soins, le président Bouteflika est sorti très discrètement de la structure médicale, et se trouve à l’heure où nous mettons en ligne dans un hôtel parisien.
L’avion présidentiel est, quant à lui, arrivé mardi dans un aéroport de la capitale française et, en toute probabilité, le président Bouteflika s’envolera pour Alger mercredi, premier jour du mois sacré du Ramadhan, après une absence de plus de deux mois.
Le président Bouteflika s’est complètement rétabli, selon les mêmes sources, après l’accident vasculaire cérébral, qui a nécessité, le 27 avril, son transfert à l’hôpital du-Val-De-Grâce, à Paris.
Le président a ensuite quitté l’hôpital, pour une structure de santé aux Invalides, dans la capitale française, pour une période de convalescence, qui vient donc de s’achever.

Le parlement français donne désormais la priorité au logiciel libre

Le parlement français vient d'inscrire pour la première fois dans la loi la priorité au logiciel libre pour un service public, avec l'adoption du projet de loi enseignement supérieur et recherche. L'April, qui a contribué aux débats, se réjouit tout particulièrement de ce vote et félicite les députés et sénateurs d'avoir reconnu l'importance des logiciels libres pour le service public de l'enseignement supérieur, seuls permettant de garantir l'égal accès de tous à ce futur service public. L'association pionnière du logiciel libre en France espère que cette première étape sera suivie par d'autres dispositions législatives en faveur du logiciel libre.

Après le Sénat le 3 juillet 2013, l'Assemblée nationale a adopté le 9 juillet 2013 le projet de loi relatif à l'enseignement supérieur et à la recherche avec notamment son article 6 qui donne la priorité au logiciel libre pour les services et ressources pédagogiques numériques mises à disposition par le service public de l'enseignement supérieur.

L'article 6 du projet de loi précise que :
II. – Au même code de l’éducation, il est rétabli un article L. 123-4-1 ainsi rédigé : « Art. L. 123-4-1. – Le service public de l'enseignement supérieur met à disposition de ses usagers des services et des ressources pédagogiques numériques. « Les logiciels libres sont utilisés en priorité. »

Pour la première fois en France, une priorité au logiciel libre est donc consacrée par la loi. « La priorité au logiciel libre pour le service public de l'enseignement supérieur est une première étape dont nous souhaitons qu'elle sera suivie par la mise en place d'une vraie politique publique en faveur du logiciel libre » a déclaré Lionel Allorge, président de l'April.

Une disposition similaire avait été introduite par le Sénat dans le cadre du projet de loi de refondation de l'école de la République. Mais un amendement du ministre Vincent Peillon, voté par l'Assemblée nationale, avait malheureusement vidé la disposition de sa substance. Dans ce cas précédent, le ministre avait avancé de prétendues "difficultés juridiques" pour ne pas vouloir d'une priorité législative au logiciel libre. L'April avait alors communiqué aux parlementaires et au gouvernement une analyse sur la validité juridique d'une disposition législative donnant la priorité au logiciel libre (PDF, 7 pages).

« Au cours des débats autour du projet de loi refondation de l'école, le gouvernement et les parlementaires avaient visiblement subi des manipulations de lobbys, prétendant une impossibilité de donner la priorité au logiciel libre. Saluons l'évolution positive du gouvernement et des parlementaires, qui remet l'intérêt général devant l'intérêt particulier de quelques entreprises. Le logiciel libre est un moyen de s'assurer que tout le monde ait accès à l'information, et que les élèves ne soient pas de simples consommateurs de produits numériques » a déclaré Jeanne Tadeusz, responsable des affaires publiques à l'April.

« Le logiciel libre est l'incarnation informatique de notre devise républicaine, "Liberté, Égalité, Fraternité", et permet l'appropriation par tous de la connaissance et des savoirs. Il est donc fondamental qu'il soit intégré en priorité à notre système éducatif. Merci aux députés et aux sénateurs d'avoir, pour la première fois en France, introduit une disposition législative donnant la priorité au logiciel libre », déclare Frédéric Couchet, délégué général de l'April.

Le texte n'attend plus désormais que sa promulgation par le Président de la République.

Mars : la NASA répond à un astronaute en herbe de 7 ans et demi

Mars : la NASA répond à un astronaute en herbe de 7 ans et demi
Dexter, 7 ans et demi, rêve d'aller sur Mars
«Chère Nasa,je m’appelle Dexter. J’ai entendu que vous envoyiez deux personnes sur Mars et j’aimerais y aller, mais j’ai 7 ans et demi et je ne peux pas. J’aimerais y aller dans le futur, qu’est-ce que je dois faire pour devenir astronaute?»
C’est la lettre qu’a écrit Dexter, 7 ans et demi, qui rêve de faire partie du prochain voyage de l’agence spatiale américaine sur Mars. Une demande inédite qui n’est pas restée sans réponse. Au contraire, la NASA a envoyé en retour un courrier en bonne et due forme accompagné de quelques cadeaux pour Dexter. Dans l’enveloppe, le petit garçon a pu trouver des photos, un autocollant et un marque-page.
Une consolation pour le jeune Dexter à qui la NASA explique qu’il sera peut être dans quelques années «un des pionniers qui pourrait aider à mener des activités dans le monde pour mieux comprendre notre terre pour explorer l'espace».
http://www.newsring.fr/content/upload/editor/2013/0709/142100157.jpgLa lettre de Dexter pour la NASA
Miss Kelly a eu moins d'attention en 1962
Miss Kelly aurait pu être une pionnière elle aussi. Seulement, en 1962, quand elle a demandé à intégrer la NASA, l’agence spatiale n’avait pas encore ouvert ses portes aux femmes. Dans ce courrier réapparu sur Imgur, la NASA rejette la demande de Miss Kelly.
«Nous n’avons pas de programmes avec des femmes astronautes et nous n’envisageons pas d’en créer» affirmait l’agence à la pointe de la conquête spatiale, mais pas du féminisme.
http://www.newsring.fr/content/upload/editor/2013/0709/145640759.jpgLa lettre de réponse à Miss Kelly.

newsring.fr

Carla Bruni continue de voyager gratuitement


Carla Bruni continue de voyager gratuitement

PARIS (NOVOpress) –
Un aller-retour pour New York, le 23 juin, n’a rien coûté à Carla Bruni, a dénoncé hier le syndicat SUD Aérien. Le montant du voyage a coûté 8.400 euros, soit plus de quatre fois le salaire moyen d’un employé d’Air France, mais la somme a été réglée par la compagnie aérienne. « Il est de tradition que les anciens présidents de la République et leurs familles puissent bénéficier des facilités de transport dans la classe de réservation la plus élevée », fait valoir un porte-parole d’Air France.

Les anciens présidents de la République bénéficient après leur départ de l’Élysée d’avantages matériels et humains à vie sur le dos des contribuables. Ces atouts sont régis par une loi du 3 avril 1955, enrichie en 1985 par des avantages en nature dont des voyages gratuits autant qu’ils le souhaitent sur Air France et avec la SNCF. Les classes populaires et moyennes ayant du mal à joindre les deux bouts supporteront-ils encore longtemps les privilèges du marigot politicien ?

Washington à Morsi : "tu resteras président si ...."

IRIB-a en croire le journal New York Times, quelques heures avant le coup d'état contre Morsi, les Etats Unis auraient proposé un marché à ce dernier et promis de l'aider à se maintenir au pouvoir. "c'est ce qu'ont annoncé les conseillers de Morsi , précise le journal.
" quelques heures avant le putsche, le ministre des AE de l'un des pays arabes a contacté Morsi en lui disant qu'il était porteur d'un message de la part de Washington... ce ministre lui aurait proposé de changer de premier ministre et de cabinet et de remplacer les gouverneurs des provinces s'il veut profiter du soutien US" selon le journal, citant les conseillers de Morsi, " ce dernier a mis les mains à la gorge en affirmant qu'il préfererait mourir plutôt que se résigner à une telle demande" "Jusqu'à la dernière minute Morsi ne croyait ni à un coup d'état ni à la perte de son pouvoir" 

Algérie : les takfiris de retour .....

IRIB-Dans le cadre des enjeux des prochaines présidentielles 
et avec la maladie du président de la république, des nouveaux gueules et de nouveaux visages tentent de tremper l’opinion publique pour tremper leurs seaux dans la politique et de refaire de nouveaux maquillages  à leurs visages empestés par le sang et les malheurs de la décennie noire .Après Mokri du MSP , Djamel Benabdeslam  de l’Algérie nouvelle et Menasra du Front pour le changement , c’est au tour du leader de l’ex- émir de l’AIS,  Madani Mezrag  qui tente de se réhabiliter à travers une initiative islamiste. Dans ce cadre, l’ex- « émir » de l’Armée islamique du salut (AIS), Madani Mezrag qui signe son retour médiatique à travers, « Echourouk TV » aurait rencontré la semaine dernière, le président du front de la justice et le développement (FJD), Abdellah Djaballah  » sachant qu’il s’agit d’une première rencontre entre les deux hommes depuis de longues années. Selon des rapports médiatiques, cette rencontre a eu lieu au siège du parti de Djaballah à  » la demande de Mezrag « , cependant l’initiative de l’ex- »émir » de l’AIS n’est pas encore claire. Toutefois les deux hommes auraient évoqués la situation politique du pays et les différentes initiatives lancées sur la scène politique, dans le cadre d’union du courant islamiste en perspective des prochaines présidentielles. Il est à noter que Medani Mezrag qui a bénéficié des mesures de la charte pour la paix et la réconciliation nationale, n’a pas le droit de reprendre l’activité politique, d’ailleurs, le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme (CNCPPDH) avait précisé dans un précédent entretien à un quotidien national que « tous les leaders de l’ex-FIS et de l’ex-AIS sont interdits de revenir sur la scène politique « . Il est à rappeler que dans une lettre qu’il a adressée à ses ex-compagnons de maquis, l’ex- »émir » de l’Armée islamique du salut (AIS), Madani Mezrag, a fait savoir qu’il s’organisait de façon officielle et légale, dans une association à dimension sociale et politique, dont le but est de servir les citoyens et bâtir le pays. Pour Farouk Ksentini :  » Il est quasiment impossible pour cet homme de revenir à la politique. Le texte de loi portant Charte pour la paix et la réconciliation nationale, interdit strictement aux personnes impliquées dans la tragédie nationale, d’activer sous toute couleur politique qu’elle soit. La loi est votée par voie référendaire par le peuple algérien, ce qui fait que juridiquement, le retour de Madani Mezrag en politique est tout simplement exclu. Dans ce contexte, le Front pour la justice et le développement (FJD) créé par Abdellah Djaballah à la veille des précédentes élections législatives, tiendra la réunion de son Madjliss Echoura, vendredi prochain. Djeballah va examiner avec les cadres de son parti, la question de soutenir un seul candidat pour les prochaines présidentielles, un candidat qui représentera le courant islamiste et l’opposition en général. Selon des échos du parti, à l’exception de la prise de contact entre le président du MSP, Abderrezak Mokri et Abdellah Djaballah, dans le cadre du colloque international sur le défunt, Cheikh Nahnah, le FJD n’a pas été contacté par les initiateurs de la démarche portant  » soutien d’un seul candidat de l’opposition  » dans le cadre des prochaines présidentielles. Ce n’est pas tout, puisque Djaballah ne semble pas motivé sur cette question, même si la décision finale sera prise dans le cadre des institutions du parti, qui est toujours en phase de construction. Cependant, Djaballah ne dit pas clairement qu’il ne se présentera pas à la prochaine présidentielle. Par ailleurs, les tentatives du nouveau président du MSP, Abderrezak Mokri autour des prochaines élections présidentielles, n’ont pas encore abouti à un consensus, ni dans le courant islamiste, ni ailleurs, sachant que la nouvelle direction du MSP a eu des discussions aussi avec le RCD, ce qui est une première dans l’histoire politique. Le RCD recevra aujourd’hui, une délégation du Mouvement Ennahdha. Il s’agit d’un rapprochement contre nature entre Islamistes et Laics, mais sans engagements clairs.                   
Source : Les Débats

L'Arabie et les Emirats promettent 8 milliards de dollars à l'Egypte

RYAD - L'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, deux monarchies pétrolières du Golfe, ont annoncé mardi des aides de 8 milliards de dollars, dont deux mds USD en dons, à l'Egypte pour soutenir son économie, six jours après la destitution par l'armée du président islamiste Mohamed Morsi.

Selon l'agence officielle saoudienne Spa, Ryad a décidé l'octroi d'une aide de 5 milliards USD qui se compose ainsi: un dépôt, sans intérêt, de deux milliards de dollars à la Banque centrale d'Egypte, un don d'un milliard de dollars et l'équivalent de deux milliards en produits pétroliers et gazier.

Le ministre saoudien des Finances, Ibrahim al-Assaf, cité par l'agence Spa, a précisé que Cette aide, décidée par le roi Abdallah, était destinée à soutenir l'économie de l'Egypte face aux défis que rencontre ce pays, confronté à des difficultés économiques et à une instabilité politique depuis la chute du régime de Hosni Moubarak en 2011.

L'Arabie saoudite a favorablement accueilli la destitution la semaine dernière de M. Morsi. Le roi Abdallah a été le premier chef d'Etat étranger à féliciter le président par intérim Adly Mansour quelques heures après sa nomination.

Pour leur part, les Emirats arabes unis ont annoncé plus tôt dans la journée une assistance à l'Egypte de 3 milliards de dollars, dont un don d'un milliard de dollars et d'un dépôt, sans intérêt, de deux milliards de dollars à la Banque centrale égyptienne.

L'annonce de cette assistance a été faite par le conseiller à la sécurité nationale des Emirats, cheikh Hazaa ben Zayed Al-Nahyane, à l'issue d'une rencontre au Caire avec M. Adly Mansour, selon l'agence officielle des Emirats Wam.

Le responsable émirati s'est rendu au Caire à la tête d'une importante délégation de son pays.

Cheikh Hazaa a renouvelé à l'occasion les félicitations des dirigeants des Emirats à M. Mansour, en affirmant la solidité des relations entre les deux pays et sa conviction qu'elles allaient se développer, selon l'agence.

Les Emirats sont convaincus que le peuple égyptien aura la capacité de surmonter la passe difficile qu'il traverse et relever les défis, a notamment déclaré cheikh Hazaa, selon l'agence Wam.

Les Emirats se tiennent aux côtés de l'Egypte et de son peuple en ce moment crucial de leur histoire, a-t-il ajouté.

Le Qatar, principal soutien des Frères musulmans, a été le principal pourvoyeur de fonds de l'administration Morsi.

Ce riche pays gazier avait annoncé le 10 avril 2013 son intention d'acheter des obligations égyptiennes pour trois milliards de dollars qui allaient s'ajouter à une assistance financière de 5 milliards de dollars.

Le Qatar a réagi avec réserves à la mise à l'écart de M. Morsi, en affirmant toutefois son intention de continuer à soutenir l'Egypte.

Doha a condamné lundi les violences qui ont fait des dizaines de morts parmi les partisans de M. Morsi au Caire tandis que la presse du Qatar n'a cessé de mettre en garde contre un scénario à l'algérienne en Egypte.

Ce pays d'Afrique du nord a connu une dizaine d'années de violences après l'interruption du processus électoral en 1990 alors que les islamistes étaient donnés vainqueurs.


(©AFP /

Moscou affirme que les rebelles ont utilisé du gaz sarin en Syrie

. © Gerard JulienMoscou a la preuve que les rebelles syriens ont utilisé du gaz sarin le 19 mars près d'Alep, dans le nord de la Syrie, a indiqué mardi l'ambassadeur russe auprès de l'ONU Vitali Tchourkine. Les Etats-Unis ont rejeté ces affirmations, estimant n'avoir vu encore aucune "preuve".
Des experts russes ont recueilli des échantillons sur le site de l'attaque, à Khan al-Assal, et les preuves ont été transmises au secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, a précisé l'ambassadeur russe.
Ces preuves seront aussi communiquées dès ce mardi aux puissances occidentales (Etats-Unis, France, Royaume-Uni) qui ont de leur côté accusé l'armée syrienne d'avoir eu recours à plusieurs reprises à des armes chimiques contre l'opposition.
Selon l'ambassadeur russe, les rebelles syriens ont utilisé un "projectile non guidé" de type "Bachar 3", et les échantillons recueillis après l'attaque sur le site de Khan al-Assal par des experts russes ont été analysés par un laboratoire russe compétent en matière d'armes chimiques.
26 morts
"Les résultats indiquent clairement que le projectile était rempli de gaz sarin", un puissant neurotoxique, a-t-il affirmé. Ce tir sur Khan al-Assal, localité qui était tenue par l'armée syrienne, a tué 26 personnes dont 16 soldats syriens, a-t-il précisé.
Le projectile et son contenu étaient récents, mais "pas de fabrication industrielle", a souligné M. Tchourkine, qui a refusé de spéculer sur la manière dont l'opposition aurait pu se procurer du gaz sarin. Il a cependant indiqué que la "Brigade Bachar al-Nasser affiliée à l'Armée syrienne libre", avait dès février commencé à produire des missiles "Bachar 3" de façon artisanale.
Mission d'enquête
Le gouvernement syrien a demandé une enquête de l'ONU sur l'incident de mars à Khan al-Assal. Mais il insiste pour que les enquêteurs onusiens se concentrent sur cette attaque, attribuée par Damas à l'opposition, au détriment des autres incidents attribués par Londres, Paris et Washington à l'armée syrienne.
Cette divergence a empêché jusqu'à présent la mission d'enquête mise en place par l'ONU, et dirigée par le suédois Ake Sellstrom, de se rendre sur place.


(ats /