01 juillet, 2013

Syrie : « la capitale de la révolution » sur le point de tomber

Longtemps surnommé "la capitale de la révolution", il semble que le tour de la ville de Homs soit venu pour être sécurisé.
 La bataille bat son plein dans les quartiers Khalidiyyé et Bab Houd. Signe que défaite des miliciens ne devrait pas tarder , leurs principaux alliés, les monarchies arabes du Golfe ont demandé au Conseil de sécurité des Nations Unis d'intervenir pour empêcher ce qu’elles ont qualifié être « le massacre à Homs ».
Samedi, la Coalition nationale de l'opposition avait exhorté les pays occidentaux et arabes la soutenant à prendre des mesures, notamment "une zone d'exclusion aérienne et des frappes militaires" sur des bases du régime, sous prétexte que l'attaque contre Homs "menace l'unité de la Syrie".
 AlKaryateine : le choc, comme pour Qouseir
La ville d'AlKaryateineDepuis Qousseir, plusieurs localités sont tombées entre les mains des forces gouvernementales : dont les plus importantes ont été Tal Kalakh, et puis la ville d’AlKaryateine, sécurisée vendredi dernier.
Cette dernière requiert une importance stratégique surtout qu’elle est reliée au sud par la série montagneuse de Kalamoune, aux confins avec la province de Damas.
Un milicien de l'ASL tué à AlKaryateineLa chute de cette ville a été un choc pour les rebelles. « A l’instar de Qousseir, les miliciens ont pris la fuite, dans un mouvement chaotique, il n’y avait même pas de cellule commune pour le coordonner », regrette le comité de coordination de la révolution de la ville, cité par le site Arabs-Press.
Aussi choqué, l’activiste de l’opposition Mohammad AlHomsi ne comprend plus ce qui se passe : «  que se passe-t-il donc dans les provinces de Homs, ce front-là est du ressort de l’organisation de l’Etat-major commun des milices, et devrait avoir reçu un nouvel armement de qualité. «  Franchement, ma raison et ma tête ont cessé de réfléchir... c’est étrange... je ne comprends plus rien », a-t-il écrit sur son compte.
Fateh HassouneComme après chaque défaite, les cris à la trahison fusent de toutes parts. Dans le cas d'alKaryateine, il a été lancé par le rassemblement des journalistes de Homs, qui a tenu pour responsable le général Fateh Hassoune, le commandant du front de Homs. Il lui reproche de ne pas avoir armé les rebelles, et de n’avoir rien fait pour démanteler le siège contre la ville.

Les sources de l’insurrection armée syrienne parlent de 30 chars, sans compter les lance-missiles et la lourde artillerie qui ont été amenées dans la ville par les forces régulières.
Le plan malicieux
Zahrane Allouche au milieuPour Zahrane Allouche, le chef de la milice salafiste Brigade de l’Islam, l’avance rapide de l’armée régulière dans ces régions relève "d’un plan malicieux". Après Qousseir, les milieux proches de l’AAS avaient laissé croire que la prochaine bataille devrait avoir lieu à Alep. Les miliciens s’y seraient entassés.
«  Le régime a occupé la ville d’AlKaryateine à l’aide de 23 véhicules blindés, mais grâce à un plan malicieux, et ce pour séparer le nord du sud, après avoir profité de la chute de Qousseir, pour atteindre le Kalamoune », a-t-il écrit sur son site.

La défaite de Chams AlFourate
Le colonel de l'ASL Ahmad GedaaneA Deir Ezzor, la situation des miliciens s'empire aussi. Ils ont subi une défaite importante selon leur aveu ces derniers jours, signalés sur leurs sites.

Pourtant, quatre milices du front Al-Nosra, dont la Brigade Tawhid, celle de Bader et des Sahabas (Les compagnons du prophète) avaient mobilisé toutes leurs forces pour s’emparer d’un barrage militaire gouvernemental, « AlMasmaka » situé à proximité de l’aéroport.
Omar Obeid AlSafraniA peine l’opération baptisée Chams AlFourate (Le soleil de l’Euphrate) a été lancée que la riposte de l’AAS a été fulgurante: à coup d’artillerie lourde, de lance-roquettes et de mitrailleuses moyennes et lourdes, leur infligeant de lourdes pertes.
Cela fait depuis plus d’un an que les rebelles en Syrie tentent de s’emparer de cet aérodrome. Sans parvenir à leurs fins. Le bilan diverge d’une source à l’autre : le nombre de tués vacille entre 50 et 100. Selon Arabi-Press, de nombreux chefs de milices en font partie, dont le colonel déserteur Ahmad Gedaane AlNarjes, le lieutenant déserteur Omar Obeid AlSafarani.
   
Terrain ailleurs
Un mersenaire saoudien ( Rami AlYahia Abou-Malek) de l'ASL, tué à AlepDans la province d’Al Qnaïtra au sud de la capitale syrienne, 25 miliciens ont été arrêtés dans une opération de ratissage menée par l’AAS, a indiqué le correspondant de la chaine Russia Today.
Au-dessus de Nobbol, une de deux localités chiites du nord d’Alep assiégées par les miliciens, un hélicoptère a été abattu, avec à son bord des enseignants du ministère de l’éducation venus effectuer des examens officiels de fin d’année aux étudiants du Brevet d’études secondaires.

Dans la province de Hama, une explosion a eu lieu dans la provinL'hélicoptère qui a été abattu à Nobbolce de Hama tuant et blessant des civils syriens.
Des sources sécuritaires syriennes ont indiqué pour le site Arabi-Press que l’explosion est due à une voiture piégée stationnée a proximité du centre culturel dans la localité de Sabboura.
Dans la province de Hassaké, l'armée de l'air syrienne a bombardé des repères des miliciens takfiris du Front al-Nosra, tuant un certain nombre d'entre eux, selon le site Syrian Documents.
Un pilote jordanien rejoin l'insurrection
le pilote jordanienUn pilote jordanien a dait défection et rejoint les rangs de la milice du Front Al-Nosra en Syrie. L'information a été confirmée par un dirigeant du courant salafiste en Jordanie, qui a requis l'anonymat et selon lequel le capitaine Atallah AlMajali ( 29 ans) entretenait des liens étrois avec son courant.
Selon ses proches,  l'officier de l'armé de l'air royale a rejoint la Syrie via la Turquie une semaine après avoir obtenu une promotion.
Depuis mars 2011, plus de 500 membres du courant salafiste jordanien ont rejoint l'insurrection en Syrie, d'après les révélations de ses dirigeants.




Source: almanar.com.lb

Snowden demande l'asile politique en Russie

Эдвард Сноуден утечка информация сша прослушка телефон

L'ancien employé des services secrets américains Edward Snowden a déposé dimanche la demande d'asile politique en Russie.

Le New York Times en fait état se référant à une source anonyme dans le service d'immigration russe.
Les autorités russes n'ont présenté aucune confirmation officielle de cette information. Pourtant, le président de Russie Vladimir Poutine avait déclaré aujourd'hui que Snowden pourrait rester en Russie à condition de « cesser les activités visant à causer du tort à nos partenaires américains ».
Poutine a supposé que Snowden n'accepterait pas une telle condition car il se considère comme combattant pour les droits de l'homme.

french.ruvr.ru

Une cargaison humanitaire turque "pleine d'armes" arrive en Syrie....

IRIB-selon les sources syriennes, une cargaison d'armes vient d'arriver à Saragheb dans la banlieue d'Idleb en provenance de la Turquie .
ce convoi a été transité sous couvert d'aide humanitaire. c'est sous l'enseigne du croissant rouge turc que le convoi mortel a été transporté jusqu'aux rebelles de l'ASL qui pour l'acquérir se sont mis à disputer . les repairs d"Al Nosra ont été visés à Banach dans la banlieue d'Idleb . des dizaines de terroristes ont été tués et blessés.

Les chars égyptiens déployés sur les frontières de Gaza

IRIB-pour la première fois, les chars égyptiens ont été déployés ce lundi le long des frontières égypto-israéliennes parallèlement aux violentes manifestations qui ont fait 15 morts et des centaines de blessés depuis deux jours. près de trente chars ont été ainsi déployés dans deux localités est et ouest de rafah et autour de la base militaire de l'armée dans cette région.

Egypte: le bilan des morts dans les affrontements à travers le pays s'élève à 16

LE CAIRE (Xinhua) - Au moins huit personnes ont été tuées lors d'affrontements durant la nuit devant le siège des Frères musulman (FM) au Caire, augmentant le nombre de morts dans les manifestations anti-président de dimanche à 16, a déclaré lundi un responsable du ministère de la Santé du pays à Xinhua.

"Huit personnes ont été tuées dans les affrontements au siège des Freres musulmans, trois à Assiout, une à Fayoum, une à Alexandrie, une à Kafr al-Sheikh et une autre à Beni Souef, tandis qu'au moins 781 personnes ont été blessées", a expliqué le porte-parole du ministère de la Santé Yahya Moussa, notant que l'une des victimes est morte près du palais présidentiel en raison de la suffocation.
Un témoin à proximité du siège des Frères musulmans a déclaré que les affrontements entre les membres du parti des Frères musulmans et des assaillants de manifestants anti-président ont éclaté dimanche soir.
Plusieurs siège des frères musulmans dans différents gouvernorats ont été attaqués et incendiés lors des manifestations de masse de dimanche, où des centaines de milliers d'Egyptiens ont envahi les grandes places du pays pour commémorer le premier anniversaire du président pro-islamiste Mohamed Morsi pour le presser de démissionner et d' organiser une nouvelle élection présidentielle.

Mali: la nouvelle mission de l’ONU opérationnelle


La nouvelle mission de paix de l’ONU au Mali, la Minusma, a officiellement été mise en place lundi et aura la difficile mission d’assurer la sécurité et la stabilité de ce pays en crise où doit avoir lieu une élection présidentielle à risques dans tout juste quatre semaines.
Lors d’une cérémonie à Bamako marquant la mise en place de la Minusma, Bert Koenders, représentant de l’ONU au Mali, a tenu à remercier “pour le travail accompli” les 6.300 soldats de la force africaine (Misma) présents dans le pays et désormais intégrés à la mission de l’ONU.
“Notre mandat est la sécurisation des grandes agglomérations du Nord, la protection des civils” et de leurs droits, mais aussi “la médiation politique”, a précisé M. Koenders.
Les ministres maliens de la Défense et des Affaires étrangères, Yamoussa Camara et Tiéman Hubert Coulibaly, ont assisté à cette cérémonie, ainsi qu’Hervé Ladsous, chef des opérations de maintien de la paix de l’ONU et Pierre Buyoya, représentant de l’Union africaine (UA) au Mali, ancien chef de la Misma.
Après la cérémonie, le président malien par intérim, Dioncounda Traoré, a reçu les dirigeants de la Misma et de le Minusma. Il a évoqué le scrutin présidentiel à venir, reconnaissant que “ces élections ne seront pas parfaites”.
“Cela est impossible quand on regarde l’abîme d’où nous sortons, mais elle ne nous ramèneront pas dans la crise” pendant laquelle “nous avons payé un lourd tribut”, a-t-il ajouté.
Commandée par le général rwandais Jean-Bosco Kazura, la Minusma sera composée d’ici fin décembre de quelque 12.600 hommes (militaires et policiers) et devra assurer la sécurité du Mali, en particulier de sa vaste partie nord, soit les deux-tiers du pays.
A la faveur d’un coup d’Etat militaire à Bamako le 22 mars 2012, cette région et ses principales villes, Gao, Tombouctou et Kidal, ont été occupées les mois suivants par des groupes jihadistes et criminels liés à Al-Qaïda qui y ont commis de nombreuses exactions.
Ils en ont en grande partie été chassés par l’intervention de l’armée française qui a débuté le 11 janvier et se poursuit aujourd’hui en appui au forces ouest-africaines et tchadiennes de la Misma.
Toutefois, des éléments jihadistes résiduels y sont encore présents et y ont encore récemment commis des attentats suicide.
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, notait lui-même début juin que s’ils avaient perdu “l’avantage tactique” et une grande partie de leur “sanctuaire” dans le nord du Mali, les groupes jihadistes y avaient toujours “la capacité de faire peser une menace importante”, ainsi que “des réseaux de soutien et des structures de recrutement”.
Soutien français

La Minusma pourra encore compter pendant un temps sur les 3.200 soldats français toujours présents au Mali – au plus fort de l’intervention française ils étaient 4.500 – qui, selon Paris, vont progressivement diminuer pour n‘être plus qu’un millier à la fin de l’année.
Les troupes qui compléteront les forces africaines de la mission de l’ONU devraient venir de pays africains comme le Burundi et d’autres continents. Il n’est pas garanti que l’ensemble des soldats ouest-africains de la Misma qui la composent désormais avec ceux du Tchad, restent tous sur place.
Les armées africaines disposeront en effet d’un “délai de grâce” de quatre mois pour se mettre aux normes requises par l’ONU en termes d‘équipements, d’armements, de formation et de discipline, selon des diplomates onusiens.
Avec l’armée malienne humiliée en 2012 par les groupes armés et aujourd’hui en pleine recomposition, un des premiers défis de la Minusma va être d’assurer la sécurité lors du premier tour de la présidentielle qui doit avoir lieu le 28 juillet.
Trente-six personnes dont quatre anciens Premiers ministres se sont portés candidats au scrutin, dont la tenue à la date prévue n’est pas totalement assurée, en dépit des assurances de la France qui a fait pression pour que l‘élection ait bien lieu en juillet.
Le président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) du Mali a récemment déclaré qu’il serait “extrêmement difficile d’organiser” cette élection à la date prévue tant les “défis à relever” sont encore nombreux.
Il a cité le peu de temps restant pour distribuer des cartes à près de 7 millions d‘électeurs et la situation à Kidal, ville du nord-est du pays occupée par la rébellion touareg où l’armée malienne ne s’est toujours pas déployée en dépit d’un accord signé le 18 juin à Ouagadougou.
Dans un communiqué publié samedi à Ouagadougou, les rebelles touareg ont affirmé que “rien ne justifie un report” de la présidentielle “sous un quelconque prétexte lié à la région de Kidal”.
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Affaire Snowden: Washington fournira toutes les informations demandées par ses alliés

DAR ES SALAAM - Les Etats-Unis fourniront à leurs alliés européens toutes les informations qu'ils réclament sur les activités d'espionnage électroniques dont est accusée une agence américaine contre leurs représentations à Washington et à l'ONU, a assuré lundi le président Barack Obama à Dar es Salaam.

Washington continue d'évaluer le contenu d'articles de presse citant des documents fournis par l'ancien consultant de la NSA Edward Snowden et les Etats-Unis communiqueront (ensuite) de manière appropriée avec leurs alliés, a poursuivi M. Obama en visite en Tanzanie.

Quand nous aurons une réponse, nous ferons en sorte de fournir toutes les informations voulues par nos alliés européens, a assuré M. Obama.

L'Union européenne (UE), elle aussi ciblée par la NSA, ainsi que plusieurs pays européens ont sommé lundi Washington de s'expliquer sur ces accusations.

La Direction nationale du renseignement américain (ODNI), qui chapeaute les 17 agences de renseignement du pays dont la NSA, avait déjà indiqué plus tôt dans un communiqué transmis à l'AFP que les Etats-Unis répondront de façon appropriée à l'UE et à ses Etats-membres par les canaux diplomatiques.

Le président américain a également sous-entendu lundi que les pays européens se livraient à des activités similaires d'espionnage et souligné que les agences américaines de renseignement continueraient leurs activités.

Il y a une chose que (les Etats-Unis et ses services de renseignement) continueront de faire, c'est d'essayer de comprendre mieux le monde et ce qui se passe dans les capitales de par le monde, a expliqué M. Obama. Ils cherchent des vues de l'intérieur, au-delà de ce qui est disponible dans les sources ouvertes.

Dans les capitales européennes, il y a des gens intéressés, si ce n'est par ce que je mange au petit déjeuner, du moins par ce que seraient mes propos si je parlais à leurs dirigeants, a-t-il affirmé.

Le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, avait déjà affirmé lundi que la recherche d'informations sur d'autres Etats n'était pas inhabituelle pour un grand nombre de pays.

Auteur de révélations explosives sur les programmes de surveillance des télécommunications, Edward Snowden est coincé depuis une semaine à l'aéroport de Moscou-Cheremetievo, où il est arrivé en provenance de Hong-Kong, son passeport ayant été annulé par les Etats-Unis qui réclament son extradition pour espionnage.


(©AFP

Israël: les "Femmes du mur" défient les ultra-orthodoxes

L'esplanade du "kotel", le mur occidental, lieu de recueillement le plus symbolique du judaïsme, déjà habituellement séparée en deux sections - une pour les hommes, l'autre pour les femmes- est en ce petit matin de juin traversé par des cordons de police.
 
L'esplanade du "kotel", le mur occidental, lieu de recueillement le plus symbolique du judaïsme, déjà habituellement séparée en deux sections - une pour les hommes, l'autre pour les femmes- est en ce petit matin de juin traversé par des cordons de police.
Raison de cette présence policière massive: les "femmes du mur", un groupe de femmes la plupart inspirées par le judaïsme libéral, accordant une place égale aux hommes et aux femmes dans les rituels religieux. Elles prient dans l'espace réservé aux femmes mais en lisant la Torah à haute voix et en utilisant, pour certaines d’entre elles, tefilins (phylactères en cuir), talit (châle de prière) et kippa, des pratiques contraires à celles des juifs ultra-orthodoxes qui contrôlent le mur.
« Tsss, tsss…vous êtes des bêtes, la preuve la police vous a mises dans un enclos », lance une femme ultra-orthodoxe, vêtue d’une longue jupe noire et la tête couverte, à l'adresse du groupe séparé du reste de la section des femmes par une barrière et un cordon policier.
Chaque mois, les "femmes du mur" se rendent pour la prière traditionnelle de rosh hodesh (début du mois dans le calendrier hébraïque) au mur occidental, ultime vestige du second Temple juif détruit par les Romains en 70 de l'ère chrétienne, placé sous l'autorité du rabbinat ultra-orthodoxe.
Ces derniers temps, l'hostilité des hahedim («craignant Dieu", ultra-orthodoxes) à leur égard a redoublé à mesure qu'elles s'assuraient le soutien de la justice et d'un nombre croissant de personnalités politiques.
L'organisation de femmes, créée en 1988, a récemment obtenu l’appui de la justice israélienne qui leur a reconnu le droit de prier comme elles l’entendent, réinterprétant en leur faveur une décision de la Cour Suprême israélienne de 2003.
Une mère et sa fille prient enlacées. Une jeune femme serre le bébé de quelques mois qu'elle porte drapé sur sa poitrine. Une autre disparaît presque dans le châle de prières à fleurs brodées rouges dans lequel elle s'enveloppe comme pour se protéger des invectives des femmes ultra-orthodoxes.
Alors que les prières de ces derniers mois avaient été marquées par des arrestations parmi les "femmes du mur" et des incidents, parfois violents, avec les fidèles orthodoxes, début juin près de 300 femmes ont pu pour la première fois prier et chanter dans un calme relatif, sous escorte policière.
"Le fait pour une femme de prier avec un talit, des tefilins ou une kippa n’est pas interdit par la halaha (la loi juive). Il s’agit même de pratiques qui étaient en vigueur au XIIIe et XIVe siècle", souligne la députée (Yesh Atid, centre droit) Aliza Lavie, présidente de la commission parlementaire sur le statut des femmes. "Les femmes du mur remettent en cause les normes imposées par les ultra-orthodoxes, qui ne sont que leur interprétation du judaïsme", ajoute cette juive pratiquante.
Une tension croissante
La polémique grandissante autour des revendications des « femmes du mur », loin de se limiter à une controverse entre différents courants du judaïsme, est un des signes de la tension croissante entre le monde ultra-orthodoxe et le reste de la société israélienne, religieuse ou non.
L’influence politique des ultra-orthodoxes, et leur monopole sur les affaires religieuses et une partie de la vie civile, sont en effet de plus en plus contestés en Israël.
Pour la première fois depuis plusieurs décennies, le nouveau gouvernement israélien, mis en place au printemps, ne compte pas de partis ultra-orthodoxes qui servaient depuis des années de pivot dans les coalitions.
La ministre de la Justice Tzipi Livni a publiquement exprimé son soutien aux “femmes du mur” en déclarant notamment, le mois dernier, qu’il “était temps – au niveau constitutionnel, social et culturel – d’appliquer une politique tolérante et pluraliste dans l’Etat d’Israël”.
«Je suis optimiste, les choses sont en train de changer au niveau politique», estime Valérie Stessin, une femme rabbin du mouvement conservateur, membre des "femmes du mur".
En avril, juste avant le précédent de la justice israélienne en faveur des « femmes du mur », cette mère de deux enfants, ordonnée rabbin en 1993, a été arrêtée par la police avec quatre autres femmes pour avoir prié avec un talit.
Elle connaissait les risques, mais, dit-elle, "je ne supportais plus l’idée de vivre dans un pays qui se veut démocratique avec un monopole ultra-orthodoxe sur un site qui est soi-disant à tout le monde ».
Reste que contrairement aux Etats-Unis, d’où son originaires nombre de femmes de l'organisation, le judaïsme libéral – conservateur et réformé – reste très minoritaire en Israël. Seulement 7,1% des Juifs israéliens se définissent comme réformés ou conservateurs, contre 26,5% qui disent appartenir au judaïsme orthodoxe, selon le centre de recherches Israel Democracy Institute (IDI).
En réaction aux "femmes du mur", des femmes orthodoxes ont créé l’organisation « femmes pour le mur » qui accusent leurs coreligionnaires de provocation.
"Je respecte le désir de ces femmes de prier comme elles le souhaitent, mais pourquoi quelques centaines d’entre elles imposeraient leurs pratiques à des milliers de gens qui viennent quotidiennement prier au mur et sont attachés aux rites orthodoxes", lance Leah Aharoni, cofondatrice de l’organisation.
« Ces pratiques marchent très bien aux Etats-Unis mais pas ici, en Israël. Contrairement à ce que sous-entendent les femmes du mur, nous ne sommes pas soumises ou opprimées, nous sommes seulement attachées à nos traditions », ajoute-t-elle.
« Le phénomène des ‘femmes du mur’ n'est pas très populaire en Israël », reconnaît la députée de Yesh Atid Aliza Lavie. Et d’ajouter : « Mais le mur est un symbole pour l’ensemble des Juifs pas seulement pour les orthodoxes. Il faut trouver un moyen de diviser l'espace public pour que cela convienne à tout le monde ».
Un compromis est en gestation, sous l’égide de l’ex-dissident soviétique Natan Sharansky, dirigeant de l'Agence juive,qui prévoit notamment la création d’un troisième espace de prières au mur, pour les fidèles non orthodoxes.
AFP

Snowden: la Russie “ne livre jamais personne”, déclare Poutine


La Russie ne “livre jamais personne”, mais a, dans le passé, procédé à des échanges a déclaré lundi le président russe Vladimir Poutine, interrogé sur le sort de l’ex-informaticien du renseignement américain Edward Snowden.
“La Russie ne livre jamais personne, et n’a pas l’intention de le faire.(...) Dans le meilleur des cas, nous avons échangé des agents de notre renseignement extérieur contre (des individus) arrêtés et condamnés en Russie”, a déclaré M. Poutine lors d’une conférence de presse.
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Egypte: l’armée appuie les revendications du peuple


L’armée égyptienne a prévenu lundi qu’elle interviendrait si les revendications du peuple n‘étaient pas satisfaites dans les prochaines 48 heures, au lendemain de manifestations massives pour le départ du président Mohamed Morsi.
Cette annonce a été accueillie par une explosion de joie des manifestants anti-Morsi rassemblés place Tahrir au Caire, qui estiment que l’armée pousse ainsi le président vers la sortie.
Dans un message lu à la télévision, le commandement militaire a “réitéré sa demande pour que les revendications du peuple soient satisfaites” et a “donné (à toutes les parties) 48 heures, comme dernière chance de prendre leurs responsabilités face aux circonstances historiques auxquelles le pays fait face”.
“Si les revendications du peuple ne sont pas satisfaites durant cette période, (les forces armées) annonceront une feuille de route et des mesures pour superviser leur mise en œuvre”, selon cette déclaration.
“Morsi n’est plus notre président, Sissi avec nous”, ont scandé les manifestants, en référence au général Abdel Fattah al-Sissi, chef de l’armée et ministre de la Défense, dont la photo est apparue à l‘écran pendant la lecture de la déclaration.
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Espionnage: une pratique "normale" pour les USA (Kerry)

Espionnage: une pratique "normale" pour les USA (Kerry)
15:58 01/07/2013
MOSCOU, 1er juillet - RIA Novosti
Les Etats-Unis ne voient rien d'anormal dans la collecte d'informations sur d'autres pays, a fait savoir le secrétaire d'Etat américain John Kerry en réponse aux déclarations indignées de l'Union européenne concernant les écoutes pratiquées par Washington dans les missions diplomatiques de l'UE, a annoncé l'agence Reuters.

"La recherche d'informations sur d'autres pays n'est pas inhabituelle", a estimé lundi M. Kerry lors d'une conférence de presse au Brunei. Il répondait ainsi à la préoccupation exprimée par la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton au sujet de l'espionnage électronique dirigé contre l'Union européenne.

Le secrétaire d'Etat américain a dans le même temps refusé de commenter les révélations d'Edward Snowden au motif que ces dernières avaient été publiées au moment où il effectuait une visite à l'étranger. 

Le quotidien britannique Guardian a publié un document secret fourni par l'ex-consultant de la National Security Agency (NSA) Edward Snowden. Ce document daté de septembre 2010 contient la liste de 38 ambassades et missions diplomatiques décrites comme des "cibles" de la cybersurveillance américaine.

Parmi ces dernières figurent les représentations de l'UE, de la France, de l'Italie, de la Grèce, du Japon, du Mexique, de la Corée du sud, de l'Inde et de la Turquie.

M. Snowden est recherché aux Etats-Unis pour avoir révélé l'existence d'une décision judiciaire autorisant les services secrets américains à contrôler les communications téléphoniques assurées par l'opérateur Verizon. Il a en outre divulgué des informations sur le programme de surveillance électronique PRISM permettant à la NSA de recueillir les données personnelles d'utilisateurs d'Internet.
 
Washington estime que ces fuites ont causé un énorme préjudice à la sécurité nationale des Etats-Unis.
 
M. Snowden, dont les autorités américaines ont invalidé le passeport, se trouve actuellement dans la zone de transit de l'aéroport de Sheremetyevo.

fr.ria.ru/

Russie: des ONG servent de couverture à des activités illégales (Justice)

Le ministère russe de la Justice

Les contrôles imprévus d'ONG sont nécessaires, de nombreuses organisations de ce type servant à légaliser des activités illégales, a indiqué lundi Anna Kotova, directrice adjointe du département pour les ONG du ministère russe de la Justice.

"Ces derniers temps, on découvre une multitude de cas d'utilisation d'ONG comme couverture d'activités illégales", a déclaré Mme Kotova.

A titre d'exemple, la responsable a évoqué un cas dans la région de Kaliningrad, où le ministère de la Justice et les organes fiscaux ont découvert une organisation de vétérans dont le chiffre d'affaires s'élevait à des milliards de roubles sans qu'aucun impôt ait été perçu. 

Quoi qu'il en soit, Mme Kotova n'a pas pu citer le nombre exact d'ONG de ce type détectées l'année dernière.

fr.ria.ru

Espionnage: l'Italie, confiante, attend les informations des USA

ROME - L'Italie a demandé aux États-Unis des éclaircissements après les révélations sur leur programme d'espionnage, mais s'est déjà déclarée confiante dans les explications qui seront apportées par Washington, selon un communiqué du ministère italien des Affaires étrangères publié lundi.

Nous avons demandé les éclaircissements nécessaires sur cette affaire très délicate et les États-Unis nous ont assurés que tous les éclaircissements seront donnés à l'égard de l'Union européenne et des États-membres, écrit la ministre Emma Bonnino dans le communiqué. Nous sommes confiants dans le fait que toutes les informations et assurances nécessaires seront données dans l'esprit de collaboration et d'amitié qui caractérise le rapport entre nos deux pays, conclut le texte.

L'Union européenne, Paris et Berlin ont déjà réclamé des explications à Washington, à la suite de nouvelles allégations, attribuées au fugitif américain Edward Snowden, selon lesquelles Washington a espionné les bureaux de l'UE à Bruxelles et la mission diplomatique de l'UE à Washington.

Lundi, le président français François Hollande a demandé aux Etats-Unis que l'espionnage de l'UE cesse immédiatement.

L'Italie, alliée très proche des Etats-Unis, était restée en retrait jusqu'ici, avant de publier un communiqué à la tonalité nettement plus conciliante que ceux de ses partenaires européens.


(©AFP /

Egypte: quatre ministres démissionnent du gouvernement

LE CAIRE - Quatre ministres égyptiens ont présenté lundi leur démission, au lendemain de manifestations massives contre le président islamiste Mohamed Morsi, a indiqué à l'AFP un haut responsable gouvernemental.

Les ministres du Tourisme, de l'Environnement, des Communications, et des Affaires juridiques et parlementaires ont remis ensemble leurs lettres de démission au Premier ministre Hicham Qandil, selon la même source.

Le ministre du Tourisme, Hicham Zaazou, avait déjà voulu démissionner le mois dernier en raison de la nomination comme gouverneur de la région très touristique de Louxor d'Adel al-Khayyat, membre d'un parti islamiste lié à un groupe radical ayant revendiqué en 1997 une attaque qui avait coûté la vie à 58 touristes étrangers près de cette ville.

Le président Morsi avait nommé M. Khayat le 16 juin, en même temps que 16 autres nouveaux gouverneurs, dont sept de son mouvement des Frères musulmans.

M. Zaazou était revenu sur sa décision après le départ du gouverneur controversé.

Les démissions de lundi interviennent au lendemain de manifestations monstres appelant au départ du président Morsi, qui ont fait 16 morts selon le ministère de la Santé.


(©AFP

Espionnage de la NSA : "Nous demandons que cela cesse immédiatement"

François Hollande a indiqué que le programme d'espionnage américain est "inacceptable". L'Allemagne et l'Italie ont également réagi.

François Hollande à Bruxelles le 28 juin 2013. (Michel Euler/AP/SIPA)
François Hollande à Bruxelles le 28 juin 2013. (Michel Euler/AP/SIPA)
En marge d'une visite à Lorient, François Hollande est revenu sur les révélations sur le programme d'espionnage américain qui aurait visé l'Union européenne: "Nous demandons que cela cesse immédiatement".
"Nous ne pouvons pas accepter ce type de comportement entre partenaires et alliés", a-t-il ajouté, jugeant également que "les éléments sont déjà suffisamment réunis pour que nous demandions des explications".
 
Le président a aussi déclaré qu'"on ne peut avoir de négociations ou de transactions" avec les Etats-Unis "qu'une fois obtenues (les) garanties" sur une cessation de l'espionnage de l'Union européenne et de la France. Cela vaut "pour la France mais ça vaut pour toute l'Union européenne, tous les partenaires des Etats-Unis".
Le programme d'espionnage américain aurait visé les institutions de l'UE et des millions de citoyens européens, alors que, dernier épisode en date, le quotidien britannique "The Guardian" a affirmé, dimanche 30 juin que la France, l'Italie et la Grèce figuraient parmi les 38 "cibles" surveillées par l'Agence nationale de sécurité (NSA) américaine.
Les Etats-Unis doivent "rétablir la confiance" avec leurs alliés européens, après les révélations sur leur programme d'espionnage, a déclaré de son côté  un porte-parole de la chancelière Angela Merkel. Le gouvernement allemand a communiqué aux Américains son "étonnement" durant le week-end, a déclaré le porte-parole, Steffen Seibert, ajoutant que cette affaire devait faire l'objet d'éclaircissements.

L'Italie confiante

"Nous avons demandé les éclaircissements nécessaires sur cette affaire très délicate" et les États-Unis "nous ont assuré que tous les éclaircissements seraient donnés à l'égard de l'Union européenne et des États-membres", écrit la ministre italienne des Affaires étrangères Emma Bonino dans le communiqué. "Nous sommes confiants dans le fait que toutes les informations et assurances nécessaires seront données dans l'esprit de collaboration et d'amitié qui caractérise le rapport entre nos deux pays", conclut le texte.
Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a demandé un contrôle de la sécurité de la Commission, après les allégations sur l'espionnage des institutions de l'UE par les Américains, a annoncé lundi sa porte-parole.

tempsreel.nouvelobs.com

Les USA minimisent les accusations sur les écoutes


BANDAR SERI BEGAWA, Bruneï (Reuters) - Tous les gouvernements ou presque, et pas seulement les Etats-Unis, ont recours à "de nombreuses activités" pour sauvegarder leurs intérêts et leur sécurité, a déclaré lundi John Kerry, premier dirigeant américain à réagir aux informations sur les écoutes des pays de l'Union européenne par Washington.
Le scandale des programmes de cybersurveillance et d'écoutes, mis en oeuvre par l'Agence nationale de sécurité (NSA), a pris un tour nouveau ce week-end avec les révélations du Spiegel et du Guardian sur l'espionnage supposé de l'UE et de pays européens par les Etats-Unis.
"Chaque pays confronté aux affaires internationales mène de nombreuses activités afin de protéger sa sécurité nationale, et tous les types d'informations y sont utiles", a dit John Kerry, lors d'une conférence de presse à l'occasion d'un sommet à Brunei, sur la sécurité en Asie.
"Tout ce que je sais, c'est que ce n'est pas inhabituel pour de nombreux pays", a ajouté le secrétaire d'Etat américain.
John Kerry a précisé qu'il avait eu une conversation téléphonique avec Catherine Ashton, chef de la diplomatie de l'UE, et qu'ils avaient évoqué le sujet des écoutes, sans donner plus de détail, ce que la Commission européenne a confirmé.
La Commission a également annoncé que l'ambassadeur des Etats-Unis auprès de l'UE, William Kennard, avait été convoqué par Pierre Vimont, qui dirige le service diplomatique européen.
TENSIONS AVEC PÉKIN
L'Allemagne a estimé pour sa part que les Etats-Unis auraient un comportement "inacceptable" et digne de la guerre froide si les informations du Guardian et du Spiegel étaient avérées, et que cela mettrait en danger les négociations d'un traité de libre échange transatlantique, officiellement lancées il y a deux semaines lors du sommet du G8.
Le Guardian écrit que l'ambassade de France aux Etats-Unis ainsi que la mission française aux Nations unies avaient été placées sur écoute par les services américains. Le Spiegel affirme, lui, que les représentations de l'UE avaient également été mises sur écoute à Washington, à Bruxelles et à l'Onu.
John Kerry a en outre dit avoir évoqué avec le ministre chinois des Affaires étrangères le sort d'Edward Snowden, l'ancien consultant de la NSA, qui a été le premier à l'origine de révélations sur les programmes d'écoutes de l'agence.
Les Etats-Unis reprochent à Pékin de ne pas avoir facilité l'arrestation d'Edward Snowden, qui s'est réfugié un temps à Hong Kong. L'informaticien, qui a demandé l'asile à l'Equateur, se trouve désormais dans un aéroport russe, où il attend une réponse de Quito.
"L'administration Obama considère que nos amis chinois auraient pu changer le cours des choses", a expliqué John Kerry.
En France, des dirigeants politiques de différents camps, du Front de gauche au Front national en passant par Europe Ecologie-Les Verts (EELV) ont multiplié les appels à accorder l'asile politique à Edward Snowden.
Julien Dury pour le service français, édité par Gilles Trequesser

Hugh Jackman ne supporte plus les rumeurs sur son homosexualité


Hugh Jackman sait tout faire. héros de Wolverine : le combat de l’immortel, chanteur dans Les Misérables et danseur à Broadway, mais il y a une chose qu'il ne peut pas faire: arrêter les rumeurs sur sa sexualité. Ces rumeurs à propos de son homosexualité ont commencé au moment où il jouait le chanteur homosexuel Peter Allen à Broadway. Depuis, l'acteur australien n'arrive plus à les arrêter. Même s’il reconnaît que « sur certains point c’est un compliment », l’acteur ne supporte plus l’effet que cela a sur sa femme, la productrice Deborra-Lee Furness.
Mariés depuis 17 ans, Hugh Jackman doit sans cesse réfuter la rumeur. " Si je l’étais, je l’assumerai " a encore déclaré l’acteur de 44 ans hier dans l’émission 60 minutes à la télévision australienne. " Selon moi, ce n’est pas ce qui définit une personne de toute façon. Mais ça m’énerve à cause de ma femme. Je l’entends répéter " ceci est complètement fou ! ". Sa femme Deborra-Lee Furness qui décrit Hugh dans les médias australiens comme " presque parfait ".
Deborra-Lee, qui a 13 ans de plus que Hugh Jackman, trouve que la question est "oppressante". "S'il était gay, très bien, il dirait qu'il est gay". "Le problème c’est que ce n'est pas vrai." Le couple a deux enfants, Oscar et Ava.

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Cirque du Soleil, une acrobate française fait une chute mortelle

Sarah Guyard-Guillot, 31 ans, mère de deux enfants, connue sous le nom d'artiste de Sassoon s'est tuée samedi soir lors d'un spectacle d'acrobatie.

Photo d'illustration.
Photo d'illustration. © AFP
Une artiste du Cirque du Soleil s'est tuée samedi soir lors d'un spectacle d'acrobatie à Las Vegas, aux États-Unis, a indiqué dimanche le cirque canadien dans un communiqué. Sarah Guyard-Guillot, 31 ans, mère de deux enfants et connue sous le nom d'artiste Sassoon, est décédée samedi peu avant minuit au centre médical universitaire de Las Vegas (Nevada, ouest) où elle avait été transportée après une chute de 15 mètres de haut, lors du show "Kà", au théâtre MGM Grand, a indiqué à l'AFP l'institut médico-légal du comté de Clark.
"Toute la famille du Cirque du Soleil est profondément attristée par la mort accidentelle de Sarah (Sassoon) Guyard, artiste de la production Kà", écrit le cirque dans un communiqué diffusé dimanche. "J'ai le coeur brisé", a déclaré le fondateur du cirque québécois, Guy Laliberté. "Nous sommes complètement anéantis par cette nouvelle. Sassoon était une artiste présente dans Kà depuis l'origine du spectacle en 2006 et elle faisait partie intégrante de notre famille très liée du Cirque du Soleil. Cela nous rappelle, avec beaucoup d'humilité et de respect, combien chacun de nos artistes est extraordinaire, et cela chaque nuit", a-t-il ajouté. Les représentations de Kà seront suspendues jusqu'à nouvel avis, indique le communiqué.

Tombée sur la scène devant les spectateurs

Il s'agit du premier accident mortel survenu lors d'un spectacle de ce cirque, selon le quotidien Las Vegas Sun qui a été le premier à rapporter l'accident. Selon des spectateurs, l'accident s'est produit presque à la fin du spectacle, dans une scène de bataille. L'acrobate, qui était hissée vers le haut par un câble, est tombée sur la scène devant les spectateurs après s'être détachée du câble de sécurité. Les spectateurs ont d'abord cru que cette chute faisait partie de la chorégraphie avant de se rendre compte de la gravité de l'accident.
Le Cirque du Soleil, qui a fêté en 2009 son 25e anniversaire, a été créé au Québec en 1984 et est depuis devenu une multinationale du spectacle. Ses représentations ont été vues par plus de 100 millions de personnes dans 300 villes du monde entier. Parmi ses créations les plus représentatives des dernières années, figurent Kà, mais aussi "Alegría", "LOVE", "Saltimbanco", "Quidam" et "OVO".

lepoint.fr

Les mannequins féminins minces et séduisants rendent aussi les hommes malheureux


© - Marina Schiettecatte
On sait que la représentation améliorée des mannequins dans les magazines nuit à la confiance en elles des femmes. Mais une étude menée par une équipe de l’Université du Missouri a démontré que les femmes n’étaient pas les seules victimes des photos retouchées de modèles, et que les hommes aussi pouvaient en souffrir quand ils retrouvaient ces images dans les magazines de lifestyle masculins tels que Maxim et FHM hommes.
Les représentations améliorées de corps féminins minces et sans défaut apparent ont eu un impact négatif dès le début sur la vision que les femmes ont de leur propre corps. Elles finissent par se trouver trop grosses et laides. Mais ces photos retouchées ‘émasculent’ les hommes, d’une certaine manière.
Au cours de ses recherches, Jennifer Aubrey de l'Université du Missouri et son équipe ont demandé à des jeunes hommes étudiants de regarder des magazines présentant des femmes dans des poses sexy, comme celles que l'on trouve dans le magazine Maxim. Les chercheurs ont constaté que les jeunes rapportaient avoir une plus grande conscience de leur propre aspect physique après les avoir lus. Cela s’explique par le fait qu’ils pensent qu’ils doivent se hisser au même niveau de séduction que ces modèles pour pouvoir prétendre sortir avec elles. « Les hommes pensent que pour vivre une histoire d'amour ou avoir des relations sexuelles avec des femmes de ce calibre qu’ils voient dans le magazine Maxim, ils doivent aussi être séduisants», affirme Aubrey.
Les recherches menées par son équipe ont montré en outre que les photos des mannequins féminins avaient une influence encore plus négative que celles des mannequins masculins musculeux.

Pourquoi Edward Snowden cache son téléphone portable dans un réfrigérateur


Edward Snowden, l’homme qui a révélé l’immense programme d’écoutes américain « PRISM », a l’habitude placer son téléphone portable dans un réfrigérateur pour que ses conversations ne soient pas interceptées par les services de renseignements.
Pendant un dîner secret avec ses avocats à Hong Kong, avant son départ pour Moscou, Snowden avait insisté pour que ses collaborateurs placent leur téléphone dans le réfrigérateur. « Il s’agit de bloquer le signal radio qui peut être utilisé pour transmettre des données vocales et par conséquent de bloquer tout l’audio », a expliqué Adam Harvey, un expert en produits contre-espionnage interrogé par le New York Times.
En effet, les réfrigérateurs possèdent de grosses parois de métal capables de produire un effet « cage de Faraday », « un espace impénétrable où les ondes radio ne passent plus », empêchant ainsi la transmission de données. Les parois métalliques créent une sorte de barrière électromagnétique. « Il s’agit d’une cage de Faraday parfaite qui va bloquer tous les signaux radio, sauf si vous avec l’intention de vous servir un Martini », a souligné Harvey qui a testé cette solution. Toutefois, tous les réfrigérateurs n’ont pas le même niveau d’isolation. « Enterrer son téléphone dans un tas de vêtements peut être également une solution alternative et fiable pour quelqu’un qui cherche à tromper des oreilles indiscrètes », a encore indiqué l’expert.
Mais pourquoi ne pas simplement éteindre son téléphone ou retirer la batterie ?, s’interroge le journaliste du New York Times. « Beaucoup de téléphones modernes ont des états intermédiaires entre complètement allumé et complètement éteint, durant lesquels certains circuits sont alimentés et d’autres, non », a indiqué Seth Schoen, technicien expert du groupe américain de défense des libertés civiles Electronic Frontier Foundation. « Ces modes permettent au dispositif mobile de se « réveiller » de manière autonome dans certaines conditions comme la pression d’une touche ou encore la réception de certaines données internet à travers une connexion Ethernet câblée, plus connue sous le nom de Wake-on-LAN (permettant à un ordinateur éteint d'être démarré à distance) ».
En ce qui concerne le retrait de la batterie, il n’est pas sûr que des données ne soient pas interceptées car « certains dispositifs, outre la batterie traditionnelle, utilisent une batterie supplémentaire pour la gestion de la mémoire et il se peut que des programmes espions comme ceux de Carrier IQ soient capables de traquer ce type de batterie », conclut Harvey.

PRISM : Au moins 7 pays européens auraient des accords avec la NSA



Capture-d’écran-2013-06-30-à-11.21.59Un article publié sur le Guardian, puis retiré ensuite au motif d’un complément d’investigation, fait état de ce ce témoignage, étrangement proche de ce que nous vous racontons ici depuis le début des révélations de Edward Snowden. Certes, puisque le Guardian l’a retiré, les révélations sont sujettes à caution. Mais vu la posture actuelle de Berlin, on sent qu’on n’est pas spécialement loin d’une minicrise diplomatique de circonstance, parfaitement ridicule, qui n’est là que pour faire diversion. Le Guardian aurait-il été rappelé à l’ordre par les autorités britanniques pour ne pas jeter de l’huile sur le feu ou nous prépare t-il au contraire une réponse du berger à la bergère à Angela Merkel ?
Vous le savez, Internet n’est que la plus grosse machine à copier du monde. L’article du Guardian est donc disponible sur Pastebin et de toutes façons j’en conserve également une copie (txt).
Et ces nouvelles révélations de Wayne Madsen, un ancien officier de la NAVY qui a travaillé pour la NSA pendant 12 ans, confirme 4 pays que nous vous avions par ailleurs cité comme impliqués dans la surveillance de masse, et plus ou moins directement liés au programme global des autorités américaines. Selon Wayne Madsen, on parle en fait de 7 pays européens qui auraient des accords secrets avec les USA sur des questions de SIGINT (le renseignement de source électromagnétique) :
  • Le Royaume-Unis
  • L’Allemagne
  • Les Pays-Bas
  • La France
  • Le Danemark
  • L’Italie
  • L’Espagne
Tout de suite, on comprend mieux que les politiques européens jouent les vierges effarouchées, et que Fleur Pellerin minimise à ce point PRISM et surtout tout les programmes qu’il y a autour que tout ça est en ligne sur Reflets depuis une bonne semaine dans la quasi indifférence des médias français. Y aurait-il un embargo de la presse sur les questions que nous n’avons de cesse de marteler ?… Nous allons y revenir. Continuons dans les révélations de Wayne Madsen.
L’article du Guardian fait dans un premier temps état de documents déclassifiés (publiés par la DISA) où les USA classent les états par degré de confiance qu’ils leur accorde. Une confiance de niveau 1 est accordée aux pays qui ont rejoint de l’UKUSA : Le Royaume-Unis, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Une confiance de niveau 2 est accordée à l’Allemagne et à la France. Outre que l’on ne peut que se réjouir des bonnes relations que nous avons avec nos amis américains, on parle quand même ici d’un degré de confiance dans le cadre de programmes internationaux de SIGINT et de surveillance de masse.
Under international intelligence agreements, confirmed by declassified documents, nations are categorised by the US according to their trust level. The US is first party while the UK, Canada, Australia and New Zealand enjoy second party relationships. Germany and France have third party relationships.
Madsen explique que depuis la fin de la seconde guerre mondiale, les USA se taillent la part du lion tendis que les « Third Parties », la France et l’Allemagne accèdent à des renseignements grandement épurés de leur contenu.
D’où Madsen de dénoncer vivement ce que nous dénoncions ici, à savoir l’hypocrisie crasse des politiquesavec en tête de ligne, Angela Merkel qui se paye clairement la tête du monde quand elle demande énergiquement des explications  aux USA et qu’elle s’en prend de manière sèche aux britanniques.
Madsen said he was alarmed at the « sanctimonious outcry » of political leaders who were « feigning shock » about the spying operations while staying silent about their own arrangements with the US, and was particularly concerned that senior German politicians had accused the UK of spying when their country had a similar third-party deal with the NSA.
(…)
« I can’t understand how Angela Merkel can keep a straight face, demanding assurances from [Barack] Obama and the UK while Germany has entered into those exact relationships, » Madsen said.
Quand Der Spiegel explique que les institutions européennes sont espionnées en profondeur, ça pose un peu problème, certes, mais il faut se demander qui a fait entrer le loup dans la bergerie…
Nous vous disions aussi qu’étrangement, la France, on ne l’entend pas trop à ce sujet, ou quand on l’entend c’est parce que la CNIL a créé un groupe de travail. Vous noterez au passage que ce n’est pas la DCRI qui se retrouve saisie par un juge pour enquêter… non, au lieu de ça, contre toute logique, nous avons un groupe de travail de la CNIL… (NDLR : « n’a peur la NSA » ).
Un peu plus loin Madsen confirme encore une fois ce que nous pointons du doigt depuis presque deux ans maintenant et dont nous vous reparlions encore, peu avant les révélations de Edward Snowden : l’espionnage des câbles sous-marins, et en toile de fond : les écoutes « décentralisées », hors de nos frontières. Là où ça devient embêtant, c’est quand Madsen déclare que ces 7 pays donnent gentiment leur consentement pour que les USA : interceptent une masse de données énorme, portant sur des appels téléphoniques, des emails, et les simples visites sur des sites web (bref, tout le trafic), sur 14 câbles sous marins :
Madsen said all seven European countries and the US have access to the Tat 14 fibre-optic cable network running between Denmark and Germany, the Netherlands, France, the UK and the US, allowing them to intercept vast amounts of data, including phone calls, emails and records of users’ access to websites.
Et le problème n’est pas nouveau. Le SIGINT a connu ses plus belles heures pendant la guerre froide et est aujourd’hui devenu avec Internet un enjeu stratégique de premier plan. En 2001, la commission européenne s’était déjà questionnée sur Echelon mais ces accords avec la NSA sont restés secrets, et donc, passés sous silence. Vu l’implication direct de 7 pays européens, on comprend bien pourquoi.
The covert relationship between the countries was first outlined in a 2001 report by the European parliament, but their explicit connection with the NSA was not publicised until Madsen decided to speak out.
(…)
« A lot of this information isn’t secret, nor is it new, » Madsen said. « It’s just that governments have chosen to keep the public in the dark about it. The days when they could get away with a conspiracy of silence are over. »
Maintenant que l’on commence à avoir une idée un peu plus précise de la portée de PRISM et de ce sport pratiqué par nos « grandes démocraties » qu’est l’interception de masse et la surveillance à grande échelle de toutes nos communications, il va falloir que nos politiques s’expliquent… et pas Fleur Pellerin dont ce n’est pas le rôle, mais des explications du Ministère de la Défense Nationale (on peut rêver), du Quai d’Orsay ou de la place Beauvau pourraient probablement nous apporter un éclairage plus sérieux que les gogogadgétocloudsouverain® ou les onsavépa® qui ne trompent personne de Fleur Pellerin.
Source : http://news360x.fr/prism-au-moins-7-pays-europeens-auraient-des-accords-avec-la-nsa/
 
globalepresse.com/

La Croatie, nouveau membre de l’UE, promet d’aider les Balkans


La Croatie est entrée lundi dans l’Union européenne, montrant la voie aux autres dirigeants des Balkans réunis à Zagreb, mais ce moment historique a été assombri par la morosité ambiante en Europe et le peu d’enthousiasme pour ce nouvel élargissement.
Venus féliciter la Croatie pour sa performance européenne, les chefs d’État de huit nations des Balkans se sont réunis dans la journée pour “montrer à l’UE qu’il y a de la volonté politique pour résoudre les questions encore ouvertes” entre les pays de cette région troublée par les guerres ayant suivi le démantèlement de l’ex-Yougoslavie dans les années 1990.
Lundi, la presse croate était enthousiaste mais sans déborder.
“Bonjour citoyens de l’Union européenne”, titrait en une le quotidien Jutarnji List tandis que l’influent Vecernji List affirmait: “Un rêve est devenu réalité”.
Mais en Allemagne, le Süddeutsche Zeitung titrait à l’adresse de la Croatie: “Mal préparée à entrer dans l’UE, une joie contenue”.
“Le prochain enfant à problème arrive dans l’UE”, faisait valoir Die Welt dressant le portrait sévère d’un pays handicapé par la bureaucratie, qui peine à attirer des investisseurs.
“Rien ne va changer pour nous et cette entrée dans l’UE va nous coûter cher”, prédit Sreten Ilicic, un chauffeur de taxi zagrébois, ne dissimulant pas son hostilité pour le bloc des 28.
Lors de son premier jour en tant qu’État membre, la Croatie a accueilli les présidents de la Slovénie, de la Serbie, de la Bosnie, de la Macédoine, du Monténégro, mais aussi du Kosovo, qui a proclamé son indépendance de la Serbie en 2008, ainsi que l’Albanie.
“Notre groupe souhaite aider au règlement des questions ouvertes” dans cette région où les relations entre les voisins sont difficiles et marquées par les conflits ayant suivi le démantèlement sanglant de la fédération communiste yougoslave, a dit le président croate Ivo Josipovic à l’issue de la réunion.
Il a indiqué qu’il s’agissait d’une initiative conjointe avec la Slovénie, première ex-république yougoslave à avoir intégré l’UE (2004), et que les participants souhaitaient la répéter et inviter de hauts dirigeants européens à les rejoindre.
“Pour l’instant, notons la bonne volonté du président français François Hollande d‘être avec nous lors de la prochaine réunion”, a-t-il indiqué.
Avec le feu vert à la Serbie pour l’ouverture des négociations d’adhésion et celui accordé au Kosovo pour la conclusion d’un accord de stabilisation et d’association, première étape d’une longue marche vers l’UE, la poursuite du processus d‘élargissement dans les Balkans semble assurée.
Mais à Bruxelles, les analystes font valoir que ce processus risque d‘être plus long et mené avec davantage de prudence que les précédents.
Et le Süddeutsche Zeitung rappelait lundi qu’il reste à résoudre “le plus grand problème de l’après-Yougoslavie, (cette) Bosnie-Herzégovine qui fonctionne à peine”, toujours divisée en deux entités croato-musulmane et serbe. “C’est aux Croates de faire de (leur) adhésion une success-story en montrant aux autres pays des Balkans le chemin”, fait valoir le SZ.
Parmi les pays des Balkans, le Monténégro a ouvert en juin dernier ses négociations d’adhésion à l’UE tandis que les autres sont à des divers stades dans le processus de rapprochement.
L’adhésion croate à 00H00 locales (dimanche 22H00 GMT) à l’UE, premier pays à intégrer le bloc européen depuis l’adhésion en 2007 de la Roumanie et de la Bulgarie, a été vécue comme un moment historique, mais les festivités ont été assombries par les difficultés économiques.
“Ne laissons pas le nuage de la crise économique assombrir notre optimisme. La crise est un défi, une invitation à faire demain un jour meilleur qu’aujourd’hui”, avait lancé le président croate à l’adresse de ses compatriotes.
La Croatie est en récession depuis 2009 et le chômage touche 20% des quelque 4,2 millions d’habitants.
En Croatie, le PIB est de 39% en dessous de la moyenne européenne, seules la Roumanie et la Bulgarie se plaçant derrière Zagreb, selon l’office des statistiques de l’UE.
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Egypte Le limogeage du criminel Hamad entraine la chute du traitre Morsi

Tous les pouvoirs ont été transférés à l’armée égyptienne en attendant l’organisation d’élections présidentielles anticipées. Celui qui rompait il y a quelques jours ses relations diplomatiques avec la Syrie en appelant au djihad dans ce pays a été congédié à son tour. C’est l’effet immédiat du coup de balai américain dans le régime mafieux et terroriste du Qatar dont Obama aurait « tardivement » découvert les turpitudes. Mais c’est surtout la conséquence du sursaut nationaliste égyptien, ce qu’on ne peut pas dire des Tunisiens qui ont accepté la domination étrangère et la soumission aux Frères musulmans locaux.



Le limogeage du criminel Hamad entraine la chute du traitre Morsi
C’est Mustapha Bakri (vidéo) , rédacteur en chef de l’hebdomadaire égyptien « Al-Ousboou » qui a déclaré hier dimanche, 30 juin, que l’administration américaine mènent des contacts pressants avec les différentes forces politiques du pays pour trouver une sortie de crise rapide face aux dernières manifestations au Caire. Dans cette interview sur Al-Arabiyya, Bakri a dit que « le bureau des Frères musulmans se réunit en ce moment et qu’il a accepté la décision d’une période de transition pour organiser des élections présidentielles anticipées », tout en maintenant Morsi, mais désormais sans aucune prérogative.

Mustapha Bakri a précisé que tous les pouvoirs seront transmis à l’armée égyptienne, que le procureur général a été démis de ses fonctions et que des élections législatives urgentes seront organisées avant les élections présidentielles. Il a annoncé aussi que le bureau des Frères musulmans a décidé de démettre le gouvernement de Hichem Qandil et la désignation de Mohamed El- Baradei comme chef de gouvernement pour la période de transition.

Le journal « Al-yawm al-Sabii » a par ailleurs révélé que les différents mouvements islamistes égyptiens se sont réunis ce dimanche au palais Al-ittihadiyya et qu’elle s’est terminée vers minuit. C’est une réunion extraordinaire que Mohamed Morsi a tenu avec ces différentes mouvances de l’islamisme pour sonder leurs opinions au sujet des derniers événements qui ont déjà fait trois morts. CNN a parlé de 33 millions de manifestants contre Morsi, que cette même télévision présentait il y a une année comme un sauveur et musulman "modéré" !

L’administration Obama est évidemment derrière ce coup de théâtre. Par cynisme et pragmatisme, les Américains –surpris par l’allergie anti-isamiste égyptienne- essayent de placer d’autres suppôts un peu mieux présentables que les barbus en costume cravate. Pour nous, ce n’est pas le début de la délivrance en Egypte, ni le commencement d’une nouvelle révolution. Il s’agit plutôt d’un coup de poker américain qui annonce le début de la guerre civile en Egypte.

Et les Tunisiens dans tout cela ? Ils végètent dans l’odeur nauséabonde de leurs villes, s’habituent à l’insécurité galopante induite par le crime organisé et la violence islamo-salafiste, se lamentent de la cherté de la vie, de la constitution qui n’est toujours pas prête, racontent des blagues sur leur nouvelle « élite » politique…mais ne se révoltent pas comme le peuple égyptien. Ils attendent une fatwa de Qaradaoui, des appels à l’insurrection d’Al-Jazeera et une mobilisation de Freedom House et de l’organisation CANVAS-OTPOR, pour réitérer le coup de janvier 2011.

On comprend mieux maintenant pourquoi Rached Ghannouchi voulait s’assurer la "fidélité" de l’armée et pourquoi le traître et désormais déserteur, le maréchal Ammar, a quitté le navire ! Tunisie-Secret.com

Ryad presse l’UE d’envoyer des armes aux rebelles syriens


Ryad presse l'UE d'envoyer des armes aux rebelles syriensL'Arabie saoudite a pressé dimanche l'Union européenne (UE) de mettre en application sa décision de lever l'embargo sur les armes à la rébellion syrienne.
Cet appel a été lancé par le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud Al-Fayçal, lors d'une réunion conjointe entre l'UE et les monarchies du Conseil de coopération du Golfe (CCG), dimanche à Manama.
Cité par l'agence officielle Spa, le prince Saoud a déclaré que son pays appelait l'UE à "commencer immédiatement la mise en oeuvre sa décision" de lever l'embargo sur les armes à l'opposition syrienne, prise fin mai mais qui ne devrait pas entrer en vigueur avant le 1er août.
"La résistance syrienne (qui compte des milliers de combattants étrangers-NDLR) ne lutte pas seulement contre un régime qui a perdu sa légitimité mais elle est également engagée dans une guerre atroce contre un occupant étranger", a ajouté le ministre, citant "le Hezbollah et d'autres forces soutenues par les Gardiens de la révolution d'Iran et bénéficiant d'un apport illimité en armes russes".
Dans son intervention à la réunion de Manama, à laquelle assistaient la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton et des représentants des 27 pays de l'UE, le ministre saoudien a énergiquement défendu la rébellion qui lutte contre les autorités syriennes.
"Comment peut-on comparer les deux protagonistes: l'un reçoit des armes sans conditions pour tuer son peuple et attiser une sédition confessionnelle, alors que l'autre se voit interdire les armes dont il a besoin pour se défendre, au prétexte fallacieux avancé par certains pays européens que ces armes tomberaient entre les mains d'extrémistes", a-t-il prétendu.
La communauté internationale doit "bannir la fourniture d'armes au régime syrien et réclamer le retrait des forces étrangères d'occupation de Syrie", a encore dit le prince Saoud, exhortant à changer l'équilibre des forces sur le terrain en faveur de la soi-disant Armée syrienne libre, "seul moyen de renforcer les chances d'un règlement pacifique", selon Fayçal.
Dans leur communiqué final, les participants à la réunion de Manama n'ont cependant fait aucune référence à la fourniture d'armes à la rébellion syrienne. Le texte met l'accent sur l'urgence d'un règlement politique du conflit en Syrie et l'organisation d'une conférence internationale de paix, dite Genève II.

Source: almanar.com.lb

Près d'un quart des Russes (23%) sont contre une séparation de la Tchétchénie de la Russie

Kommersant

Près d'un quart des Russes (23%) sont contre une séparation de la Tchétchénie de la Russie et une partie d’entre eux approuvent même les méthodes "musclées" auxquelles le pouvoir a recours pour maintenir l'intégrité territoriale du pays, indiquent les experts du centre Levada cités lundi par le quotidien Kommersant. Selon les sociologues, les citoyens ne perçoivent pas pour autant la Tchétchénie comme un territoire russe – en raison de ses "mœurs particulières".
Un récent sondage du centre Levada montre que 24% des Russes sont "favorables" à une séparation éventuelle de la Tchétchénie de la Russie, alors que 27% "ne seraient pas très impressionnés" par un tel évènement. 13% sont prêts à "accepter" l'indépendance de la Tchétchénie bien qu'ils ne l'apprécient pas. Il est notable que 13% des personnes sondées estiment que la sécession de la Tchétchénie est déjà un fait accompli. 10% soulignent la nécessité d'empêcher la séparation de la république par tous les moyens disponibles, y compris militaires.
"Des tirs pendant les mariages, des informations concernant des représentants des forces de l’ordre tchétchènes opérant dans d'autres régions du pays, le comportement des Tchétchènes dans les villes russes - tout cela provoque l’angoisse de la population", estime Alexeï Grajdankine, directeur adjoint du centre Levada. Selon lui, la xénophobie va croissant et les Russes sont tentés de créer une "barrière" entre eux et tout le Caucase du Nord. Les citoyens perçoivent toujours la Tchétchénie comme une "bombe à retardement" et pas comme "une partie de la Fédération de Russie".
"Les personnes interrogées y voient un territoire avec une gestion propre et un ordre très particuliers, ce qui donne l'impression que les organismes fédéraux ne le contrôlent pas", conclut-il.         
"Les normes du droit russe ne sont pas appliquées en Tchétchénie - Ramzan Kadyrov est le tsar et le dieu de la république. C’est pour ça que les citoyens perçoivent ce territoire comme étranger à la Russie, estime Valeri Solovei, professeur à l'Institut d'Etat des relations internationales de Moscou. Selon les Russes, les habitants du Caucase du Nord bénéficient de privilèges infondés, ne respectent pas les lois russes et imposent leurs propres règles".   
Valeri Rachkine, député communiste et vice-président du comité de la Douma (chambre basse du parlement russe) pour les affaires de nationalité, explique les résultats du sondage par "la politique nationale lancée dans les années 1990". Il affirme que le jugement du quart des Russes favorables à une sécession de la Tchétchénie est "totalement erroné" car les deux peuples "ont vécu dans l'amitié pendant des siècles", alors qu'aujourd'hui on voit une "régression à l’âge des cavernes". D'après lui, la guerre en Tchétchénie et la décrédibilisation de l'amitié entre les Russes et les peuples caucasiens - ces derniers ayant "exploité la charité russe" - se sont traduites par la volonté de certains citoyens de se séparer du Caucase du Nord. "La politique nationale actuelle nous mène vers un effondrement et il faut donc la changer", juge Valeri Rachkine.  
Selon le centre Levada, 28% des citoyens russes estiment que les fonds fournis aux républiques du Caucase du Nord sont "majoritairement volés", tandis que 21% sont sûrs que cet argent est utilisé d'une manière "moins efficace" que dans d'autres régions. "Ces suspicions de détournement ne sont pas du tout liées à l’image renvoyée par les chaînes de télévision fédérales : elles sont toujours fortes, notamment s'il s'agit de sommes considérables et des projets de grande envergure", conclut Alexeï Grajdankine.

fr.rian.ru

La Mauritanie compte produire 65% de ses besoins alimentaire en 2013

NOUAKCHOTT (Xinhua) - La Mauritanie prévoit la production de 65% de ses besoins alimentaires en 2013, grâce à de nouveaux aménagements agricoles qui vont booster la production céréalière, a revelé dimanche le ministre mauritanien du Développement rural.

Mohamed Elmoctar Ould Mbareck, qui s'exprimait à l'occasion du lancement de la campagne agricole 2013-2014, a souligné que son pays réalisera "un bond qualitatif sans précédent", avec "une forte productivité pour couvrir au moins 65% des besoins alimentaires en céréales, notamment en riz et en blé".
 "La production agricole va atteindre en 2013 quelque 310.000 tonnes dont 200.000 tonnes en riz et le reste en sorgho et maïs notamment", a-t-il ajouté. Il a en outre souligné que son pays "envisage la production de sucre en 2015 en coopération avec le Soudan, après avoir introduit avec succès la culture du blé".
La production agricole en Mauritanie, fortement marquée par la succession des années de sécheresse ne produit que 30% des besoins alimentaires du pays, selon les statisques officielles.
Les autorités du pays ont procédé ces dernières années à l'aménagement de surfaces cultivables importantes sur la vallée du fleuve Sénégal (sud du pays) pour chercher à combler le déficit céréalier ou de le résorber.
Pays désertique à plus de 70%, avec une population à majorité rurale, la Mauritanie dispose également de richesses maritimes et minières qui fournissent aujourd'hui plus de 90% des entrées du trésor public.

Mali: la nouvelle mission de stabilisation de l’ONU est en place


La nouvelle mission de stabilisation de l’ONU au Mali, la Minusma, a été officiellement mise en place lundi lors d’une cérémonie à Bamako, a constaté un journaliste de l’AFP.
En présence de Hervé Ladsous, patron des opérations de maintien de la paix de l’ONU, la Minusma a pris le relais de la force panafricaine, la Misma, dont les quelque 6.000 hommes ont été intégrés à la mission de l’ONU à quelques semaines d’une importante élection présidentielle.
Commandée par le général rwandais Jean-Bosco Kazura, la Minusma devrait être composée d’ici fin décembre de quelque 12.600 hommes (militaires et policiers) et devra assurer la sécurité du Mali, en particulier de sa vaste partie nord, soit les deux-tiers du pays.
A la faveur d’un coup d’Etat militaire à Bamako le 22 mars 2012, cette région et ses principales villes, Gao, Tombouctou et Kidal, ont été occupées les mois suivants par des groupes jihadistes et criminels liés à Al-Qaïda qui y ont commis de nombreuses exactions.
Ils en ont en grande partie été chassés par l’intervention de l’armée française qui a débuté le 11 janvier et se poursuit aujourd’hui.
La Minusma et l’armée malienne pourront encore compter pendant un temps sur les 3.200 soldats français toujours présents au Mali – au plus fort de l’intervention française ils étaient 4.500 – qui, selon Paris, vont progressivement diminuer pour n‘être plus qu’un millier à la fin de l’année.
Le premier tour de la présidentielle est prévu le 28 juillet au Mali.
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Etats-Unis: 19 pompiers tués dans un incendie en Arizona


Dix-neuf pompiers ont trouvé la mort dans un incendie en Arizona, dans le sud-ouest des Etats-Unis, le bilan le plus lourd pour des pompiers américains depuis les attentats du 11-Septembre.
Ils ont péri en tentant de contenir les flammes sur la colline de Yarnell, à quelque 120 km au nord-ouest de Phoenix, a précisé à l’AFP le bureau du shérif du comté de Yavapai.
Un responsable de l’office des forêts de l’Etat avait de son côté parlé lui aussi, à la télévision CNN, de 19 pompiers portés disparus, et expliqué qu’ils appartenaient à une équipe locale d’urgence qui creusait une ligne de pare-feu pour empêcher l’extension du sinistre.
“Dans des circonstances normales, lorsqu’on creuse une ligne de pare-feu, on s’assure qu’on a une bonne voie pour s‘échapper et on prévoit une zone de sécurité”, a déclaré Art Morrison. “A l‘évidence, leur zone de sécurité n‘était pas assez grande et l’incendie les a rattrapés”, a-t-il ajouté.
Le chef des pompiers de la ville de Prescott, Dan Fraijo, s’est dit “dévasté” par la mort des 19 pompiers. “Nous prenons des précautions, mais parfois malheureusement cela ne suffit pas”, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse.
Le président Barack Obama a rendu hommage aux hommes tués. “C‘était des héros, des professionnels très compétents qui, comme beaucoup dans notre pays chaque jour, se sont mis en danger pour protéger la vie et la propriété de gens qu’ils ne rencontreront jamais”.
“Le gouvernement fédéral aide déjà, et nous restons en contact avec les autorités de l’Etat et locales pour apporter tout le soutien nécessaire”, a-t-il ajouté, dans une déclaration publiée lundi matin.
Une page de Facebook a été créée en mémoire des pompiers tués.
L’incendie, qui couvre 400 à 500 hectares et se déplace rapidement, selon le site de presse Arizona Republic, n‘était toujours pas maîtrisé dans la nuit de dimanche à lundi.
Les résidents de la zone de Yarnell Hill et Peeples Valley étaient en cours d‘évacuation, et une aide fédérale était attendue lundi. Quelque 250 habitations risquent d‘être détruites, soit environ la moitié de la petite ville de Yarnell, selon les autorités.
Si l’incendie en lui-même n’est pas exceptionnel, le nombre de pompiers tués est le plus important pour un incendie de forêt aux Etats-Unis depuis 1933, et le plus lourd depuis les attentats du 11 septembre 2001 contre les tours jumelles du World Trade Center à New York, où 340 pompiers avaient trouvé la mort.
Parlant d’un “jour noir” pour l’Etat, le gouverneur de l’Arizona Jan Brewer a rendu hommage aux hommes tués dimanche.
“Il faudra plusieurs jours, peut-être plus, pour que l’enquête révèle ce qui a causé cette tragédie, mais pour l’essentiel, c’est quelque chose que nous savons déjà, dans nos coeurs : combattre le feu est un travail dangereux”, a-t-elle déclaré.
Le sénateur Jeff Blake a de son côté indiqué qu’il était en contact avec les autorités locales et nationales pour “s’assurer que toutes les ressources nécessaires seront mises en oeuvre” pour venir à bout de l’incendie.
L’incendie de Yarnell est le pire d’une série de feux de forêts que connaît actuellement l’Arizona. Il y a deux semaines, dans l’Etat voisin du Colorado, un feu de forêt a tué deux personnes et détruit 360 maisons, l’incendie le plus dévastateur qu’ait connu cet Etat.
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Faim dans le monde: l’ONU pense atteindre ses objectifs pour 2015


. © Japan Coast Guard L’ONU pense possible d’atteindre son objectif de réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la proportion de la population qui souffre de la faim dans le monde, selon un rapport publié lundi.
“Des progrès substantiels et significatifs ont été accomplis pour parvenir” à plusieurs des objectifs du Millénaire (OMD), “y compris réduire de moitié le nombre de personnes vivant dans l’extrême pauvreté ou réduire de moitié la proportion de la population sans accès durable à l’eau potable”, souligne le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, dans le rapport.
Outre la réduction de la pauvreté, les OMD, fixés en 2000, consistent à assurer l‘éducation primaire pour tous, promouvoir l‘égalité des sexes, réduire la mortalité infantile, améliorer la santé maternelle, combattre le sida, le paludisme et d’autres maladies, préserver l’environnement et mettre en place un partenariat mondial pour le développement.
D’après le rapport, des progrès considérables ont été accomplis dans le domaine de la santé, notamment dans la lutte contre le paludisme et le VIH.
Par ailleurs, d’après de nouvelles estimations, une personne sur huit dans le monde (870 millions de personnes dont 852 millions dans les pays en développement) ne mange pas assez, indique le rapport annuel de l’ONU sur la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement (OMd).
Si ces chiffres restent élevés dans l’absolu, il n’en demeure pas moins que “la proportion de personnes sous-alimentées dans le monde est tombée de 23,2% en 1990-1992 à 14,9% en 2010-2012”, écrivent les experts.
Contrairement à ce que les spécialistes avaient prévu, les taux de faim chronique des populations n’ont pas enregistré de pics lors de la crise économique de 2007/2009 et ce malgré la surchauffe des prix alimentaires durant cette période.
Ces résultats suggèrent que “les progrès réalisés pour réduire la faim dans le monde ont été plus importants que prévus” et qu’“il est possible” d’atteindre la cible relative à la réduction de la faim, considère l’ONU.
Néanmoins, préviennent les experts, des disparités subsistent de par le monde, que cela soit en matière de faim ou d’autres thématiques liées au développement.
Le rapport de l’ONU recommande d’ailleurs à la communauté internationale d’axer son attention sur ces disparités entre régions, entre pays mais également au sein même des pays. Ainsi par exemple, 83% de la population n’ayant pas accès à une source d’eau potable de meilleure qualité vivent dans des communauté rurales.
Selon l’ONU, la réalisation des objectifs du Millénaire pâtit de la diminution de l’aide financière globale, les pays les plus pauvres étant les plus touchés. En 2012, l’aide bilatérale publique au développement accordée aux pays les moins avancés a chuté de 13%, à environ 26 milliards de dollars (19,8 milliards d’euros).
A moins de 1.000 jours de la date-butoir de la réalisation des OMD, l’ONU cherche par ailleurs à élaborer un programme “ambitieux mais réaliste” pour la période qui suit.
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