20 juin, 2013

Mohamed Ould Abdel Aziz possède 10 parcelles à Tevragh-Zeina, selon Ould Bederdine


  1. Le député opposant et membre du bureau exécutif du parti Union des forces de progrès (UFP), Mohamed El Moustapha Ould Bederdine aberderdine et maouloud précisé dans un passage de sa question qu’il a adressée au ministre de l’habitat et de l’aménagement du territoire, Bâ Bocar Yahya, lors de son passage ,  mercredi 19 juin, devant le parlement, que le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Azizpossède 10 parcelles aménagées à Tevragh-Zeina, dans la banlieue nouakchottoise.
Et le député de préciser que cela se passe au moment où les mauritaniens faibles sont largués dans des zones sans eau , ni électricité , ni infrastructures de base.Les habitants sont déposés dans des zones enclavées caractérisées par une insécurité galopante et des facteurs climatiques défavorables, a-t-il ajouté.
Selon Ould Bederdine, au moment, où, les mauritaniens croyaient que les problèmes de lotissement sont résolus, ils deviennent de plus en plus compliquer.
Pour conclure son intervention, Mohamed Moustapha Bederdine a affirmé que des centaines de mauritaniens ont vu leurs terrains attribués à des commerçants, à des hommes d’affaires et à des personnes proches du pouvoir, par des services de l’Etat.
Répondant à la question du député, le ministre Bâ Bocar Yahya a signalé que l’expérience de la Mauritanie dans le domaine du lotissement et de l’aménagement du territoire est une référence pour les pays voisins. Pour justifier sa réponse, le ministre a indiqué que 130000 familles ont été loties dans des quartiers où il y a de l’eau , de l’électricité et des routes bitumées.
Il a ensuite dit que la banque mondiale s’est réjouis de la méthode et des solutions entreprises par le gouvernement mauritanien pour assainir son territoire et lotir sa population.


URL courte: http://www.pointschauds.info/fr/2013/06/20/mohamed-ould-abdel-aziz-possede-10-parcelles-a-tevragh-zeina-selon-ould-bederdine/

Riyad Assaad accuse l’opposition syrienne de vouloir l’assassiner


Le commandant de la milice de l’armée syrienne
libre le colonel Riad Assaad a avancé l’hypothèse que des groupes de l’opposition
syrienne seraient derrière la tentative de son assassinat à Deir Ezzor. Dans une
interview à l’agence de presse Asia, Assaad a indiqué qu’avec le temps les
circonstances de l’affaire de la tentative de son assassinat se dévoileront.
« Je ne peux dévoiler certaines informations parce qu’elles sont très dangereuses. Je paie le prix de mes principes et pour cette raison d’aucuns cherchent à m'évincer», a-t-il dit.
« Les dirigeants de l’opposition ne m’ont
pas soutenu lorsque j’ai été victime d’une tentative d’assassinat. Au contraire,
ils ont essayé de me marginaliser parce qu’ils craignent ma présence parmi les
rebelles, et la sympathie du peuple les effrayait », a-t-il estimé,
rejetant les informations faisant état de son rapprochement des Frères
musulmans.
Rappelant ses propos sur la disparition de
certaines aides qui parviennent au commandement central, Assaad a confirmé que « ces
informations sont une réalité. Les aides arrivent chez des groupes déterminés
et non à tout le monde », ajoutant que « le processus de distribution
des aides se fait selon les allégeances, ce qui a provoqué le recul de la
révolution ».
Interrogé sur l’éviction du commandant du
conseil militaire révolutionnaire d’Alep, Assaad a dit : « La
décision d’évincer Akidi est survenue dans le cadre de nos remarques sur le
rôle du commandant central qui regroupe des personnes dirigées par des gens qui
vivent dans les hôtels ».
Expliquant les raisons de son éloignement,
Assaad a prétendu que « cette décision est due aux positions nationales
que nous adoptons, parce que nous n’acceptons pas que quelqu’un nous contrôle
ou nous dicte ses ordres. Ils ont essayé donc de faire pression sur nous en
coupant les voies de ravitaillement matériels et militaires ».
Il a par ailleurs révélé que « la
situation est bonne à Alep malgré la mobilisation du régime en prélude à une
bataille. Le commandement central et certains de ceux qui étaient présents sur
le terrain à Qousseir sont responsables de la chute de la ville »,
exprimant ses craintes quant au prolongement du délai de la révolution  à cause de certains agendas déterminés.
Au sujet de la conférence prévue de Genève
2, Assaad a refusé d’y prendre part parce qu’elle renforce encore plus le
régime, et que son ordre du jour et ses mécanismes ne sont pas clairs ». « Nous
voulons renverser le régime et juger les meurtriers. Il se peut que des
éléments de l’opposition y participent pour signer des accords, mais ceux-ci ne
représentent pas la révolution ».

almanar.com.lb

37 mille viols dans la province de Damas


Le nombre des viols recensés en Syrie a atteint les 37 mille.
Ce constat désolant a été donné par la Commission de réconciliation nationale en Syrie, affilié au ministère syrien de la réconciliation, et cité par le journal syrien AlWatan.
Des militaires gouvernementauxSelon le responsable de cette commission Kassem Sleïmane, ces viols ont été perpétrés dans la province de Damas exclusivement, et plus précisément dans les régions Mliha, Chébaa, et Barze alBalad, les plus touchées par ce fléau, ainsi qu’à Maadamiyya et le quartier Moukhayyam, qui le sont un peu moins.
Le milicien qatari Ali Ayedh Souyane AlJamih qui a combattu dans les rangs de l'ASL, pui du front al-Nosra avant d'être tués à Homs«  Il suffit que le milicien investisse une maison, pour qu’il s’approprie tout ce qui s’y trouve... il s’est passé que des miliciens ont violé une mère, sa fille, sa sœur et une cousine devant leurs proches, sans que rien ne puisse rien faire », explique Souleimane.
Concernant le dossier des kidnappings en Syrie, ce responsabLe journaliste et militant Moustafa AlAhmad qui a été enlevé dans la région de Jarables à Alep par la milice du Front al-Nosra, puis torturé et emmené vers un lieu inconnu.le a signalé  que plus de 1.000 femmes ont été enlevées en Syrie : «  ce dossier des femmes enlevés qui est le plus sensibles de tous, concernant tous les évènements syriens ». a-t-il déploré, indiquant que le nombre total des personnes enlevées en Syrie est de l’ordre de 18 mille approximativement. Sachant que c’est l’argent qui constitue le principal motif des enlèvements.
Décapitation toujours
Les images sont très violentesLe reponsable syrien n'a pas evoqué le nombre de femmes tués durant le conflit par les miliciens.
Fait rarissime, une vidéo-amateur circulant sur la toile a filmé dans une région non identifiée de la province d’Alep, et à une date non signalée l'exécution de deux femmes, pour des raisons non explicitées. Les ravisseurs sont des insurgés de la milice «  Nour esh-Sham» (Lumière du Levant)  qui ont, toujours devant la caméra, décapité un homme qu’ils ont accusé d’être « un chabbih qui a tué des moudjahidines ».

Terrain
A AlepToujours à Alep, rapporte le correspondant de l’agence Russia Today, l’armée syrienne régulière a entamé une opération militaire surprise dans les quartiers de la ville d’Alep, surtout celui de Boustane Alkaser ou des barrages érigés par des miliciens ont été inflitrés.
Dans la province de Damas, des accrochages ont eu lieu à Jobar. Alors que la bataille pour sécuriser le quartier de Sayedda Zaynab se poursuit.
Mercredi, les combats Hopital Imam Khomeynis’étaient axés autour de l’hôpital de l’Imam Khomeiny, dont le sort demeure inconnu.
Certaines sources indiquent qu’il s’est effondré, alors que d’autres assurent le contraire.
Selon Arabi-Press, des dizaines de miliciens de nationalités non syriennes ont été tués dans cette bataille. Parmi lesquels figure leur chef de la milice "Brigade des petits-fils du prophète", Hassan Nmeiri. Alors que dans les rangs des militaires gouvernementaux, le nombre des tués vacille entre trois 7 selon des sources de l’insurrection.
le chef de la milice "Petits-fils du prophète"Alors qu’à Deraa, l’armée gouvernementale a repoussé une tentative d’infiltration des miliciens à travers la frontière jordanienne.
Du côté de Lattaquié, les miliciens ont tenté d’ouvrir un nouveau front qui semble avoir pour but d’alléger la pression sur les autres fronts.

 

Source: almanar.com.lb

La France exclut de fournir des armes aux rebelles syriens



 
 Le chef de la
diplomatie française Laurent Fabius a exclu jeudi à Paris que la France livre à
la rébellion syrienne des armes qui pourraient "se retourner" contre
elle, à deux jours d'une réunion ministérielle à Doha sur l'aide à apporter à
l'opposition au régime de Damas.
   "Nous (la
France) n'allons pas livrer des armes pour qu'elles se retournent contre nous,
c'est une évidence", a déclaré le ministre lors d'un point-presse.
   "Nous avons
toujours dit que nous étions là pour aider la résistance (au régime syrien),
pour trouver une solution politique mais s'agissant des armes, il n'est pas
question de livrer des armes dans des conditions qui ne seraient pas sûres en
ce qui nous concerne", a insisté le ministre.
   "C'est une
des raisons pour lesquelles il faut que nous ayons des concertations avec le
général (Selim) Idriss qui est le commandant militaire sur le terrain" de
la rébellion syrienne, a dit Fabius.
   Il était
interrogé sur les objectifs de la réunion samedi à Doha de onze ministres des
Affaires étrangères de pays membres du groupe des Amis de la Syrie. Aucune
indication n'a été donnée sur une éventuelle présence d’Idriss à cette réunion.
   A Doha, "on
va essayer de faire le point sur la situation sur le terrain et de voir comment
on peut aider la coalition et déboucher sur une situation politique", a
affirmé Laurent Fabius.

Source: AFP

Les secrets stratégiques et nucléaires israéliens sur Internet !

IRIB-Un groupe d’intellectuels et de journalistes israéliens ont créé un site sur Internet sur lequel ils dévoilent tous les secrets stratégiques israéliens, y compris les lieux des armes atomiques.

Le groupe qui s’est donné le nom d’Armageddon a recueilli beaucoup d’informations très sensibles sur les armes stratégiques d’"Israël", ainsi que les endroits de leur fabrication et leur conservation.
Le site, en hébreu, publie des cartes détaillant les lieux des armes nucléaires possédées par "Israël", les lieux de leur conservation.
Le groupe, qui lutte pour un Moyen-Orient sans armes nucléaires, biologiques et chimiques, confirme qu’il a l’appui de personnalités en dehors du groupe à l’exemple du député Dof Hanine du Front démocratique de la paix et de l’égalité. et pour échapper à toute censure militaire israélienne, le nouveau site est hébergé par une entreprise australienne dont le nom est resté inconnu.
Selon le site, ces dernières années, la menace nucléaire est devenue trop forte. L’opinion israélienne ne sait quasiment rien sur ce sujet tellement sensible, à cause de la politique de désinformation adoptée par Isael. Il est alors temps d’agir, dit le groupe.
Se concentrer sur le nucléaire n’est pas été choisi pour contrarier la loi, dit un membre du groupe, mais pour mettre le public au courant, car les autorités israéliennes procèdent de façon permanente à un lavage de cerveau en ce qui concerne les armes nucléaires. Les médias israéliens ne donnent aussi que des informations fausses.
Le député Hanine pense, lui aussi, que le sujet de ces armes doit être connu par le public, car tarder à le faire donnera plus de fils à retordre à "Israël".
Le responsable du site croit qu’"Israël" devient de plus en plus une déchetterie nucléaire. Il attire l’attention sur le fait qu’"Israël" serait effacé de la carte dans le cas d’un tremblement de terre sur la ligne africo-syrienne.
Le bureau du porte-parole de l’armée israélienne dit qu’un contrôle de la légitimité du site est en train d’être effectué.
Remarquons enfin que la page principale du site affiche une carte montrant les sites et les centrales nucléaires israéliens. Et dans le port de Haïfa, plusieurs sous-marins nucléaires accostent. Et sur le terrain de l’aérodrome de Tel Nov, des avions chasseurs nucléaires s’alignent. Et partout en Israel , des armes nucléaires sont amassées, même dans le mont syrien occupé du Golan.
traduit et résumé par le département français du Centre Palestinien d’Information (CPI)
palestine-info.cc

Cinq mille combattants européens en Syrie…

IRIB-Dr. Nabil el-Malasie, membre de l’Institut européen pour les études géopolitiques
et président de la ligue des émigrés syriens en Pologne, a révélé la présence d’environ cinq mille combattants européens aux côtés des rebelles syriens, parmi 30 mille combattants étrangers, sur le territoire syrien. M. Malasie interviewé par Al-Ahednews en marge de sa visite en Syrie en compagnie d’une délégation polonaise, a précisé avoir reçu ces renseignements durant ses entretiens avec de hauts responsables syriens.
Il a toutefois affirmé qu’aucun polonais ne participait aux combats en Syrie.
Selon ses propos, une coordination est en cours entre l’institut européen pour les études géopolitiques et certains pays européens, pour organiser des visites de personnalités européennes en Syrie afin d’y collecter des informations sur la situation au pays, avant la tenue d’une réunion du parlement européen à Strasbourg, pour plancher sur la crise actuelle.
Il a souligné l’importance de telles visites de membres des parlements européens en Syrie pour s’enquérir de la situation sur place et élaborer leur propre évaluation des faits, loin de l’influence des médias.
M. Malasie a dans le même contexte rappelé le grand rôle joué par la diaspora syrienne en Pologne, dans la mesure où elle organise des campagnes de sensibilisation sur les détails de ce qui se déroule en Syrie, en faisant preuve de crédibilité et de professionnalisme.
Le président de la ligue des émigrés syriens en Pologne a estimé que la visite de la délégation polonaise en Syrie revêt une grande importance, puisqu’elle contribue à transmettre les réalités, loin des surenchères exercées par les medias internationaux.
Source: Al-Ahednews

Etats-Unis: des sociétés utilisées pour blanchir de l’argent

Des sociétés installées aux Etats-Unis sont utilisées pour blanchir l’argent issu du trafic de drogue ou d’armes et pour contourner les sanctions internationales contre l’Iran et la Corée du Nord, a affirmé jeudi un haut représentant du Trésor américain.
“Les entreprises créées aux Etats-Unis jouissent d’une apparence de légitimité qui leur donnent accès aux système financier mondial. Mais la vérité gênante c’est que certaines sociétés basées aux Etats-Unis ont été utilisées par des cartels de la drogue et des trafiquants d’armes”, a déclaré David Cohen, sous-secrétaire au Trésor chargé de la lutte anti-terrorisme.
Des sociétés-écrans installées dans le pays ont également été utilisées pour “contourner” les sanctions onusiennes et américaines contre l’Iran et la Corée du Nord, a-t-il ajouté dans une tribune parue dans la revue American Banker.
“En conséquence, les forces de l’ordre sont souvent bloquées par leur incapacité à obtenir des informations précises sur les véritables propriétaires de ces compagnies”, a indiqué M. Cohen.
Le haut responsable ne fait allusion à aucun territoire en particulier mais l’Etat du Delaware (est) est souvent accusé d‘être un paradis fiscal permettant d’ouvrir une société sous un régime comptable opaque et de l’exonérer d’impôts sur les bénéfices réalisés en dehors de son territoire.
Lors de leur sommet en Irlande du Nord des 17 et 18 juin, les pays développés du G8 ont appelé à renforcer la lutte contre l‘évasion fiscale en permettant aux services fiscaux d’obtenir “facilement” les informations sur les réels propriétaires des entreprises.
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sraël viole les droits des enfants palestiniens, selon un organe de l’ONU


Le Comité des droits de l’enfant de l’ONU a accusé jeudi la police et l’armée israéliennes de maltraiter les enfants palestiniens, citant des cas de torture, d’arrestations nocturnes et d’isolement en prison pendant des mois.
“Le Comité exprime sa profonde préoccupation quant aux informations faisant état de l’usage de la torture et de mauvais traitements sur les enfants palestiniens arrêtés (...) et détenus par les militaires et la police”, indique le rapport des experts qui ont publié jeudi leurs conclusions.
Selon le document, des soldats procèdent régulièrement à des arrestations d’enfants, la nuit, dans les “territoires palestiniens occupés”. Ces enfants ont alors “les mains liés” et “les yeux bandés” et sont transférés vers un lieu le plus souvent inconnu de leurs parents.
Les enfants vivant dans “les territoires palestiniens occupés” sont systématiquement sujet aux violences physiques, sexuelles et verbales, et supportent également des humiliations, menaces et privations d’eau, aliments et hygiène après leur arrestation, indique le rapport.
“Ces crimes sont commis depuis le moment de l’arrestation, durant le transfert et pendant les interrogatoires, afin d’obtenir des confessions”, mais aussi avant les procès, ajoute le rapport citant des témoignages de soldats israéliens.
Un motif principal d’inquiétude pour les experts de l’ONU reste le nombré élevé de jeunes Palestiniens dans les prisons israéliennes, la majorité d’entre eux étant accusés d’avoir lancé des pierres.
Depuis 2002, l’armée israélienne a arrêté, interrogé et détenu quelque 7.000 enfants palestiniens ayant entre 12 et 17 ans, soit environ deux par jour, selon le rapport.
En avril, 236 enfants palestiniens, dont 44 ayant moins de 16 ans, se trouvaient dans des centres de détention militaires israéliens, selon le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), qui utilise des statistiques de l’ONG israélienne B’tselem.
Le Comité de l’ONU déplore pour sa part que les enfants palestiniens antant qu’israéliens restent des victimes du conflit, mais il relève que les enfants vivant dans les territoires palestiniens “sont représentés de façon disproportionnée parmi les victimes”.
Le Comité dénonce la discrimination dont souffrent les jeunes Palestiniens, mais aussi les jeunes Bédouins, Arabes et Ethiopiens vis-à-vis des Israéliens, et estime qu’Israël continue de “ne pas tenir compte des droits des enfants palestiniens”.
Le Comité de l’ONU, chargé d‘étudier le respect des droits des enfants dans les différents pays, déplore, par ailleurs, l’absence de coopération des autorités israéliennes en ce qui concernent les droits des enfants palestiniens.
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GB/sanctions: La justice tranche en faveur de l'Iran


IRIB- La politique des sanctions occidentales contre l'Iran a subi un gros revers mercredi,
la Cour suprême britannique désavouant les mesures prises par Londrescontre la plus grande banque privée iranienne, Mellat, accusée d'être liée au programme nucléaire de Téhéran. Déjà en janvier dernier, le Tribunal de l'Union européenne avait annulé les sanctions prises en juillet 2010 par l'UE contre Mellat, estimant que les Européens n'avaient pas pu prouver les liens entre la banque et le programme nucléaire. Les gouvernements des pays de l'UE ont fait appel et attendent le jugement de la Cour européenne de justice. Les activités de Mellat restent suspendues en Europe dans l'attente de cette décision de la Cour de justice européenne. Désormais la banque Mellat peut reprendre ses activités commerciales et ses échanges sur la scène internationale  et réclamer des dommages pour le gel de ses activités depuis 3 ans. En porte-parole de la banque a cependant déclaré que Mellat envisageait de réclamer à Londres des dommages et intérêts qui pourraient "dépasser les 500 millions de livres" (plus de 583 millions d'euros). En octobre 2009 le gouvernement britannique fort du soutien de son Parlement a imposé des sanctions à la banque iranienne Mellat, à la suite desquelles cette  dernière a porté  plainte devant le tribunal contre ce gouvernement. Après des appels non réussis, finalement la banque Mellat  a déféré son dossier devant  la Cour suprême britannique.  Le juge de la Cour suprême Jonathan Sumption a estimé que le gouvernement britannique avait pris une décision "arbitraire", "irrationnelle" et "disproportionnée" en imposant des sanctions à la grande banque privée iranienne. Le gouvernement de Londres a fait part de sa "déception" à la suite de cette décision qui, a précisé une porte-parole, va faire l'objet d'un examen approfondi afin d'en étudier les conséquences sur la politique des sanctions. Les pays occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de l'arme atomique mais Téhéran affirme que son programme nucléaire est purement civil. Le trésor américain qui met en application les sanctions américaines  a annoncé son regret quant à cette décision  et est d'avis que ce tribunal s'est trompé. Et pourtant les sanctions américaines contre la banque Mellat sont maintenues et sur ce fond toute banque qui procède à des échanges avec  elle, son accès au système financier des Etats-Unis  serait coupé.  Auparavant les tribunaux de l'UE avaient, dans certains cas, rendu des verdicts contre les pays occidentaux en rapport avec les sanctions contre l'Iran, dont l'embargo sur quelques banques iraniennes, annonçant que l'UE n'a pas présenté les documents nécessaires pour justifier ses sanctions. Or, la Cour européenne de justice après avoir mené les examens nécessaires en aout 2012 a jugé illégale le fait que 5 autorités bancaires iraniennes sont placées sur la liste des sanctions européennes contre l'Iran. Les Etats-Unis tentent d'intensifier les pressions sur l'Iran, lui imposant une impasse économique. Actuellement, l'UE est arrivée à cette conclusion que non seulement elle a perdu plusieurs opportunités de coopération avec l'Iran, mais encore, les sanctions qu'elle a imposées à l'Iran lui ont causé des malaises juridiques et qu'elle contrainte d'accepter les frais et répercussions  juridiques dus  à des décisions hâtives et irrationnelles et illégales. D'ores et déjà les milieux politiques et juridiques en Europe ont déclaré que la prise de telles décisions juridiques pourrait défier les politiques des sanctions de l'UE contre l'Iran.

L'ex-interprète de Kadhafi : «Le guide m'a affirmé avoir versé 20 millions de dollars à Sarkozy»

Moftah Missouri.
Dans un documentaire, un ex-interprète du «Guide» libyen confirme l'authenticité d'un document sur le financement de la campagne de Sarkozy en 2007. Mais il dément l'accusation selon laquelle Le Figaro aurait tronqué ses propos dans une précédente interview.
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L'ambassadeur Moftah Missouri, l'interprète de Kadhafi, l'homme qui traduisait les entretiens du «guide» avec les journalistes et les chefs d'État francophones, apporte son témoignage dans la polémique sur le financement de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy. Dans l'émission Complément d'enquête sur France 2, jeudi soir, il confirme l'authenticité du document révélé le 28 avril 2012 par le site Mediapart (lien payant). Il affirme ensuite que Kadhafi lui-même lui a assuré avoir versé «20 millions de dollars» (lien payant) à un membre de l'entourage de Sarkozy. Le parquet de Paris a ouvert en avril 2013 une information contre X. Nicolas Sarkozy, qui dément tout versement d'argent de l'ancien dictateur, a porté plainte contre Mediapart en 2012.
Le document est authentique dans sa forme, confirme jeudi après-midi l'ambassadeur Missouri au Figaro, depuis sa résidence de Tripoli. «Il s'agit d'un projet», précise-t-il. La lettre, datée de décembre 2006, est un échange entre deux personnages très proches de Kadhafi. Elle est adressée par Moussa Koussa, à l'époque chef des services de renseignement extérieurs libyens, à Bachir Saleh Bachir, le «secrétaire» de Kadhafi, en fait son directeur de cabinet, par ailleurs gestionnaire des énormes investissements libyens en Afrique.

L'auteur et le destinataire de la lettre démentent

Rédigé en arabe, le document conseille le versement de 50 millions d'euros. «Tout concorde, dit Moftah Missouri au Figaro. La phraséologie, l'entête, les codes mentionnant la personne qui a tapé le document, tout est exact.» Cette lettre est devenue, depuis sa parution, un enjeu des relations complexes entre anciens dignitaires kadhafistes et services secrets occidentaux. Moussa Koussa a démenti son authenticité. Ce fut la seule déclaration publique de celui qui détient tous les secrets de Kadhafi. En disgrâce au moment du déclenchement de la révolution, il avait été exfiltré par les services secrets britanniques dès mars 2011. Depuis, il collabore, sans jamais s'exprimer en public.
Le destinataire de la lettre, Bachir Saleh, a lui aussi démenti. Bachir Saleh, francophone, était au centre des relations franco-libyennes. Il a été exfiltré à son tour, cette fois après la chute de Kadhafi, par les services français. Résidant d'abord en France, Bachir Saleh a quitté discrètement l'hexagone en mai 2012. Il a décollé nuitamment du Bourget à bord d'un avion privé, sur le «conseil» appuyé des autorités françaises. Il serait en ce moment en Afrique-du-Sud.

«Le guide m'a bien parlé de 20 millions de dollars»

Ces deux hommes pourraient en dire plus sur le document. Reste l'ambassadeur Missouri. Le 29 mai 2012, de passage à Paris, il est questionné par Le Figaro sur la polémique. Moftah Missouri réfléchit, pèse ses mots, et répond avec sa clarté habituelle d'ancien étudiant à la Sorbonne: «J'ai eu vent des rumeurs concernant une contribution financière du colonel Kadhafi à la campagne du président Sarkozy. J'ai été pendant quinze ans, en ma qualité d'ambassadeur, l'interprète officiel du colonel Kadhafi. Je n'ai jamais eu connaissance d'un accord financier.» Missouri ne voudra pas en dire plus ce jour-là.
Il dément aujourd'hui que ses propos aient été déformés par Le Figaro. Un journaliste de France 2, cité par Mediapart, cite indirectement l'ex-interprète: «Pour lui, c'était clairement de la part du Figaro une déformation de ses propos, coupés au bon endroit.» Missouri s'insurge: «Je n'ai jamais dit cela à France 2. En ce qui concerne ma déclaration de mai 2012, j'ai dit ce qui est reproduit par Le Figaro, ni plus, ni moins.» Quoi qu'il en soit, l'auteur des présentes lignes, dont la parole et la réputation professionnelle suffiront, confirme avoir repris in extenso les propos de l'ambassadeur en mai 2012.
Aujourd'hui, en revanche, Moftah Missouri reconnaît avoir à l'époque omis de mentionner la confidence de Kadhafi. «Oui, le guide m'a bien parlé de 20 millions de dollars donnés à l'entourage de Sarkozy. Je ne sais pas si le versement a réellement été effectué.» Moftah Missouri ne faisait pas partie du premier cercle de l'entourage du guide. Il n'a jamais été utilisé pour les tractations les plus discrètes. Encore marqué par ses années vécues dans la crainte auprès d'un dictateur paranoïaque et dangereux, l'ancien interprète de Kadhafi livre au compte-gouttes ses morceaux de vérité.

lefigaro.fr

Autorité palestinienne: le Premier ministre présente sa démission


. © ABBAS MOMANI Le Premier ministre de l’Autorité palestinienne Rami Hamdallah a présenté jeudi sa démission au président Mahmoud Abbas, moins de trois semaines après sa nomination, a-t-on appris de source gouvernementale.
“M. Hamdallah a remis sa lettre de démission au président à la suite de divergences avec ses deux vice-Premier ministres”, a-t-on précisé.
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Somalie: les shebab menacent l’ONU


Les insurgés islamistes shebab ont averti jeudi l’ONU qu’elle ne trouverait “aucun refuge sûr” en Somalie, au lendemain d’une attaque suicide spectaculaire à Mogadiscio qui a fait 18 morts, mais le président somalien a promis d’avancer malgré tout vers la paix.
Un commando shebab est parvenu à pénétrer mercredi dans le complexe de l’ONU, situé sur un axe majeur de Mogadiscio reliant l’aéroport au centre-ville, après que les explosions consécutives d’un véhicule piégé et d’un kamikaze à l’entrée eurent ouvert la voie. Les assaillants ont ensuite affronté les forces somaliennes et l’Amisom durant près de 90 minutes avant d‘être abattus ou de déclencher les explosifs qu’ils portaient sur eux.
Le bilan de 18 morts intègre les sept assaillants. Huit personnes travaillant pour l’ONU — cinq Somaliens, deux Sud-Africains et une Kényane — font parties des victimes. Trois civils somaliens ont également été tués, pris dans les échanges de tirs nourris entre membres du commando shebab et les forces somaliennes et de l’Union africaine (Amisom), selon la police somalienne.
“L’opération était destinée à montrer à l’ONU qu’elle ne trouverait aucun refuge sûr en Somalie”, a lancé jeudi le porte-parole des shebab Ali Mohamed Rage – alias “Ali Dheere” (“Grand Ali”) – sur Radio Andalus, l’antenne officielle du mouvement.
“C’est un avertissement pour les mécréants qui rêvent de violer les droits du peuple somalien à l’avenir”, a-t-il ajouté, accusant l’ONU de “recruter des agents pour combattre l’Islam”. Cette “claire démonstration de force montre que ni les tanks et ni un important arsenal militaire n’empêcheront nos moudjahidine de défendre les valeurs de leur religion.”
“La Somalie a tourné une page”
Dans un communiqué diffusé dès mercredi soir, le président somalien, Hassan Cheikh Mohamoud, a cependant estimé que les shebab étaient le “déshonneur” de la Somalie et a assuré que la “violence et la terreur ne feraient pas dérailler” le processus enclenché pour sécuriser la capitale somalienne.
“Au cours de l’année écoulée, la Somalie a tourné une page”, a-t-il poursuivi. “Nous sommes maintenant sur le chemin ferme de la reconstruction et de la réconciliation.”
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, avait auparavant dénoncé une attaque “méprisable” et assuré le président somalien que les Nations unies continueraient d’assurer leur mission de soutien aux jeunes autorités du pays.
A Mogadiscio, le responsable de l’hôpital Medina, Mohamed Yusuf, a indiqué que 18 personnes étaient toujours traitées jeudi dans son établissement, le principal de la capitale. Quatre d’entre elles se trouvaient dans un état grave.
Mogadiscio semblait calme, mais les environs du complexe de l’ONU restaient bouclés.
“La situation est calme (...) les forces de sécurité mènent des opérations,” a indiqué un responsable policier, Abdi Mohamed.
“L’attaque nous a choqués”
Après l’attaque de mercredi, le personnel de l’ONU a lui été déplacé au siège ultra-sécurisé de l’Amisom, dans l’enceinte de l’aéroport de Mogadiscio. Certains, selon une source humanitaire ayant requis l’anonymat, ont été temporairement envoyés à Nairobi, la capitale du Kenya voisin.
“L’attaque nous a choqués (...) Nous ne pensions pas que les shebab pouvaient attaquer une zone tellement défendue,” a raconté un habitant de Mogadiscio, Ali Muktar.
Le président somalien a averti les Somaliens du risque que ces attaques se répètent, et appelé la population à aider les autorités à “dissuader et attraper ces criminels lâches”.
La vie a peu à peu repris son cours à Mogadiscio depuis que les shebab en ont été chassés à l‘été 2011. Mais la ville continue malgré tout de faire l’objet d’attentats-suicide. En avril, une attaque des shebab contre un tribunal y a fait 34 morts.
La Somalie est en état permanent de guerre civile depuis la chute du président Siad Barre en 1991. L‘élection en septembre du président Hassan Cheikh Mohamoud, après plus d’une décennie de gouvernements transitoires sans pouvoir ou corrompus, a suscité l’espoir de doter enfin le pays de l’autorité centrale dont il est privé depuis deux décennies.
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Megaupload : à la recherche des données perdues

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 Megaupload : à la recherche des données perdues


Près d’
un an et demi après la fermeture subite de Megaupload, la bataille judiciaire s’enlise avec, en toile de fond, les lamentations des utilisateurs qui souhaitent remettre la main sur leurs données, inaccessibles depuis lors car confisquées par les autorités américaines.
Sur place, la MPAA (Motion Picture Association of America), qui représente les studios de Hollywood, s’est déclarée favorable à ce processus de récupération, mais si la théorie est bien huilée, ça coince dans la pratique.
Illustration en Europe, où les serveurs saisis, préservés à la demande conjointe du FBI, de Megaupload et de la justice américaine, commencent à être effacés.
Les lignes bougent à l’initiative de l’hébergeur néerlandais LeaseWeb, qui a ouvert le bal en supprimant plusieurs pétaoctets de données.
Sur Twitter, Kim Dotcom, fondateur de Megaupload, évoque « le pire massacre numérique de l’histoire d’Internet, la faute au ministère américain de la Justice« .
Il dit avoir pris contact avec des avocats pour monter un recours contre LeaseWeb, qui aurait agi sans préavis.
L’hébergeur s’en défend et explique que les 630 serveurs concernés – sans compter les 60 saisis par le FBI – représentaient plus de 1% de son parc de quelque 60 000 machines.
LeaseWeb s’était donné un an pour voir s’éclaircir la situation avec la comparution attendue de Kim Dotcom aux États-Unis.
Mais la procédure d’extradition du sulfureux homme d’affaires piétine. La justice néo-zélandaise, chargée du dossier, vient à nouveau de repousser l’échéance.
La décision devait initialement être prise en août 2012 ; la voilà repoussée à novembre 2013, voire à l’horizon 2014.
Et LeaseWeb d’ajouter : « En un an, aucune demande d’accès aux données ne nous est parvenue [...] Nous avons donc commencé à réattribuer, en février 2013, l’espace occupé« .
Les conditions d’utilisation de Megaupload étaient formelles à cet égard, n’offrant aucune garantie quant à l’accès continu aux éléments mis en ligne.
Et le processus est d’autant plus complexe que les ayants droit, quoique favorables à la récupération des fichiers, sollicitent un examen au cas par cas des demandes d’utilisateurs, pour vérifier que les contenus qui seront copiés n’ont pas été illégalement acquis.
Poursuivi notamment pour piratage, infraction au copyright et blanchiment d’argent, Kim Dotcom a signé son come-back dans le business des start-up du Net avec Mega, service de partage de fichiers qui fait couler autant d’encre que feu Megaupload.

leaseweb 
itespresso.fr

Inde: vives tensions entre Africains et Indiens dans la région du Pendjab

Le président de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila.
Le président de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila.
Reuters/Tiksa Negeri

Par RFI
Vingt étudiants originaires de la RDC ont été arrêtés dimanche dernier par la police indienne dans la province du Pendjab, au nord-ouest de l'Inde. Ils sont soupçonnés de vol par les autorités. Plus de 10 000 jeunes Africains résident dans ce pays pour se former et trouver un travail. Mais les tensions avec les Indiens restent vives.

Avec notre correspondant à Bombay, Stéphane Farcis
Ils sont plus de 10.000 jeunes Africains à étudier en Inde. Ils sont en majorité attirés par des formations en informatique d’assez bon niveau, relativement bon marché. Et surtout, les visas pour les suivre sont plus faciles à obtenir ici que dans les pays occidentaux.
Environ 500 d’entre eux se trouvent dans cette ville de Jalandhar, au Pendjab, où ont été arrêtés les étudiants dimanche dernier. Selon Christophe Okito, président de l’Association des étudiants africains en Inde, cette région est la plus hostile aux Africains.
« Les habitants du Pendjab, ils veulent dominer tout le monde, déplore-t-il. Malheureusement pour nous, les Africains, ils cherchent à nous provoquer ou à nous tabasser à chaque fois. C’est insupportable ».
L’année dernière déjà, un étudiant burundais avait été tabassé au Pendjab par des Indiens et avait passé neuf mois dans le coma. M. Okito recommande donc fortement aux futurs étudiants africains d’éviter cette région et de préférer New Delhi ou Bangalore qui sont bien plus cosmopolites.
Des représailles contre les Indiens à Kinshasa
La population congolaise a vivement réagi mercredi 19 juin contre l'arrestation de vingt étudiants congolais en Inde. Plusieurs actes de représailles contre des ressortissants indiens à Kinshasa ont été recensés, comme le rapporte le correspondant de RFI.
En arrivant hier, mercredi, sur le lieu où ils exercent leurs activités, les Indiens ont été surpris par la présence des manifestants qui ont usé de la violence pour les empêcher d’accéder à leurs établissements. « Nous sommes arrivés pour travailler et nous avons trouvé une foule nombreuse, des étudiants et des enfants de la rue qui ont commencé à nous jeter des pierres. Deux ou trois personnes – une femme que j’ai vue moi-même – a été atteinte par des pierres. Elle a été blessée à la figure » raconte un Indien.
Un témoin confirme : « Ils ont tabassé les Indiens, et attaqué leurs magasins. Les gens ont couru de ci de là pour tabasser les Indiens ». Devant ce début de représailles, la police s’est vite déployée dans le centre-ville pour empêcher les débordements.

Le footballeur Lionel Messi mis en examen

Lionel Messi et son père, Jorge, sont accusés de fraude fiscale pour un montant supérieur à 4 millions d'euros.

Soupçonné de fraude fiscale, l'attaquant argentin du FC Barcelone Lionel Messi, quadruple Ballon d'or, a été mis en examen, ont annoncé jeudi 20 juin les médias espagnols. Le quotidien El País précise que Messi et son père comparaîtront le 17 septembre devant un juge, une information qui n'a pour l'instant pas été confirmée par le tribunal.

Au cœur de l'affaire : les droits d'image de l'attaquant vedette du FC Barcelone. Les deux hommes auraient falsifié des déclarations de revenus chaque année de 2006 à 2009, simulant une cession des droits d'image du champion à des sociétés-écrans installées dans des paradis fiscaux, à Belize et en Uruguay. Parallèlement ils auraient signé des contrats pour des prestations de service avec des sociétés implantées dans des juridictions connues pour leurs avantages fiscaux, comme la Suisse ou le Royaume-Uni. Un montage qui aurait permis d'échapper au fisc espagnol "en toute opacité", note la procureure dans un document cité par le quotidien El País.
Messi et son père sont accusés de fraude fiscale pour un montant supérieur à 4 millions d'euros, a fait savoir le pôle financier du parquet de Gava, en Catalogne. D'après le Trésor public espagnol, l'exploitation de son image lui a rapporté 10 millions d'euros entre 2007 et 2009. En 2013, le joueur argentin a perçu 35 millions d'euros, dont 22 millions de droits publicitaires et d'image.
Dans un communiqué publié sur sa page Facebook la semaine dernière, le joueur s'est déclaré "surpris" par cette information. "Nous avons toujours rempli nos obligations vis-à-vis du fisc suivant les recommandations de nos conseillers fiscaux, qui s'efforceront de clarifier cette situation", a-t-il affirmé pour sa défense.

Syrie/no fly zone: Moscou attend toujours les explications de Washington

Syrie, Damas

Moscou n'a pas reçu d'explications des Etats-Unis sur leurs projets d'instaurer une zone d'exclusion aérienne en Syrie, a déclaré jeudi le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
"Nous avons demandé à nos partenaires américains comment nous devions l'interpréter, d'autant plus que les médias américains diffusent des informations selon lesquelles Washington est en train d'élaborer le projet d'une zone d'exclusion aérienne (en Syrie, ndlr) sans attendre la décision du Conseil de sécurité de l'Onu", a indiqué le chef de la diplomatie russe.
"Nous avons posé cette question à nos collègues américains lors du sommet du G8, mais ils n'ont rien répondu", a poursuivi le ministre.
Selon M.Lavrov, un tel comportement de Washington est "préoccupant".
La semaine dernière, les médias occidentaux se référant à des sources diplomatiques ont rapporté que les Etats-Unis examinaient la possibilité de mettre en place en Syrie une zone d'exclusion aérienne, qui s'étendrait au-dessus de la région frontalière avec la Jordanie.

Russie Explosions/Samara: les munitions dispersées continuent de détonner (MSU)

Explosions/Samara: les munitions dispersées continuent de détonner

Les munitions dispersées par les explosions dans le polygone militaire de Tchapaïevsk (région de Samara, Volga) continuent de détonner sur l'autoroute reliant Samara à Volgograd, où la circulation a été interdite, a annoncé jeudi à RIA Novosti le chef adjoint de l'antenne régionale du ministère russe des Situation d'urgence (MSU) Andreï Tretiakov.
Selon lui, le déminage de l'autoroute se poursuit, des explosions isolées se font entendre et les délais d'ouverture de l'autoroute à la circulation ne sont pas connus pour le moment.
"Le volume des travaux est énorme: plus de 11 millions d'obus se trouvaient dans les dépôts du polygone, est il est impossible de dire combien de munitions ont été dispersées par les explosions. Nous avons déminé près d'un kilomètre sur l'autoroute et ramassé près de 100.000 munitions, a indiqué l'interlocuteur de l'agence.
Selon un correspondant de RIA Novosti, le nombre d'explosions s'est accru cet après-midi, provoquées, probablement, par la chaleur.
Deux bombardiers d'eau Be-200 et six hélicoptères continuent d'arroser d'eau le polygone sinistré.
Dans la nuit de mardi à mercredi, un incendie s'est déclaré dans un polygone militaire près de Tchapaïevsk, contenant près de 11 millions d'obus de 30 mm et environ 6.000 obus de 122 mm. 6.500 personnes ont été évacuées des villages avoisinants. L'incident a fait 48 blessés dont 11 hospitalisés.

fr.rian.ru

Commander un drone tueur rend fou!!


IRIB- Les pilotes qui commandent depuis le territoire US les raids aux drones contre la population civile au Moyen Orient,
en Afrique et ailleurs sont victimes des troubles psychologiques. le journal Le Monde rapperte le témoignage cuisant de Brandon Bruyant , pilote de drone, qui tue les afghans à quelques 10000 kilomètres de distance. : " deux de trois hommes que je chassais à coup de missiles ont été tués , le troisième a perdu sa jambe mais il continuait à courir  alorsque le sang giclait de sa blessure..... il était entrain de mourir car il avait perdu beacoup de sang . j'ai fermé mes yeux , je n'en pouvais plus puisque c'était moi, les missiles que je tirais qui tuait! la vie avait perdu sa valeur à mes yeux!! " cela fait 7 mois que le jeune Brayan âgé de 27 ans raconte les horreurs qu'il a commis dans les médias . " le pire c'est que nous , les pilotes des drones , nous ne savons pas ce qui se passe sur le champ de bataille. je ne sais pas si les trois holmmes que j'ai tués faisaient oui ou non partie des Talibans " Brayan s'est mis ensuite à haïr son métier à vouloir s'en échapper et alors son supérieur a dressé une liste de "tous les Talibans " qu'il avait tué : " 1326 hommes entre 2006 et 2011!! mon Dieu, je ne veux pas avoir un tel trophée!! je me hais!!, crie-t-il en larmes sur le plateau d'une chaine US. il souffre de stresse chronique, d'insomnie, d'abus d'alcool, d'impuissance à communiquer .....mais il est remercié par l'armée américaine pour ses "loyaux services rendus à l'Amerique"!!

L'Emir Al Thani, suite et fin ...


IRIB-Hamad Ben Khalifa Al-e Thani connait le même sort que celui de son père , c'est ce qu'a déclaré la chaine de télévision syrienne al-Akhbariya commentant la  passation du pouvoir forcée auquel l'emir Hamad Al Thani devra se soumettre au profit de son fils Tamim sous l'impulsion américaine.
En renversant son père, Tamim se hisse désormais au sommet du pouvoir à la faveur du soutien des Etats Unis qui sembvlent vouloir changer de pion dans la région plutôt que de stratégie.  kl'intronisation de Tamim bien qu'effective n'a pas encore été annoncée officiellement. Quant au premier ministre Hamad Ben Khalifa, il est actuellement assigné à résidence à Doha. Le site Khabar online a diffusé  plus de détails à ce propos avant de révéler que Hamad Ben Jassem Al-e Thani, premier ministre et ministre des affaires étrangères du Qatar s'est réfugié dans la base militaire américaine "al-Aadid".  Quel bilan pour Hamad Al Thani? une allégeance sans fin à l'Empir !! Le 27 juin 1995 Hamad Ben Khalifa a fomenté un coup d'Etat contre son père  en l'assignant à résidence  avant l'envoyer en exil. Al Akhbariya poursuit : " pendant les 18 qui ont duré le mandat de ce valet de l'Empir, Hamad a renforcé la présence US dans la région. la plus grande base américaine au Moyen Orient se trouve au Qatar. c'est à partir de cete base que des centaines d'avions US ont bombardé à partir de 2001 et de 2003 l'Afghanistan et l'Irak . Hamad n'a cessé de servir les intérêts d'Israël en essayant normaliser les liens desrégimes arabes avec Tel Aviv. sa chaine Al Jazira est à l'origine de la manipulation de masses arabes et musulmanes , manipulation qui a rendu le terrain propice au printemps arabe soit ce remodelage des Etats nations de la région , suivant le schéma tracé par l'international Akhvaniste/ salafiste: des emirats libéraux et entièrement au service des intérêts de l'Occident néocolonial.  la Libye , la Tunisie, l'Egypte, la Syrie paient le prix de son allégeance tout comme l'ensemble de la région du Moyen Orient . Son nom entrera dans les annales de l'histoire  à titre de plus grand traitre aux nations du Moyen Orient

La Syrie porte plainte contre la Tunisie et la Turquie !

IRIB-l eministre syrien de la Justicevient de l'affirmer : son pays portera très prochainement plainet contre les gouvernements tunisien et turc pour ingérence dans les affaires intérieures syriennes.
" Des plaintes seront déposées bientôt et elles viseront essentiellement l'Etat turc et tunisien"" Notre plainte ira directement auprès de l'Interpol et cela sera un teste pour cette instance . on aimera savoir à quel point interpol est sicère dans ses prétentions de traqueur des criminels. car ces Etats envoient des terroristes en syrie, desterroristes qu'ils entretiennent "

Pourquoi Poutine soutient la Syrie de Bachar Assad ... par Luc Michel

IRIB-"Poutine n’a aucun tropisme pour les révolutions arabes, quelle qu’elles soient.
Il est l’ennemi des islamistes. Il en fait même une affaire personnelle (…) On le voit mal lâcher Bachar … »
- Le Monde (juin 2012) « Poutine se voit, ainsi que son pays, comme une victime incomprise d’un complot occidental pernicieux qui cherche à déstabiliser la Russie éternelle qui lui tient tant à cœur. Et c’est sur ce point qu’il se rapproche de Bachar al-Assad »
- France 24 (mai 2012)
La tension entre Poutine et les Occidentaux lors du dernier G8 (1) a révélé définitivement tout ce qui séparait Poutine des Occidentaux. Tant au G8 qu’à Moscou au cours des derniers jours, la Russie a elle aussi de fixé ses « lignes rouges » en Syrie. « Froid et distant avec les autres membres du G8, Vladimir Poutine a campé sur ses positions concernant la question syrienne, lors du sommet en Irlande du Nord », commente Francetv info. « Désaccord affiché sur la Syrie entre les huit pays les plus riches. Le sommet du G8 s'est conclu par un communiqué commun dans la douleur, mardi 18 juin. Ce dernier demande de mettre fin aux violences en Syrie, mais ne mentionne pas le sort du chef d'Etat syrien, Bachar Al-Assad, sur lequel les Occidentaux et le président russe s'opposent. »
Le Premier ministre canadien n'a pas hésité à parler d'un "G7+ 1", Vladimir Poutine jouant seul contre les autres chefs d'Etat.
Alban Mikoczy, le correspondant de France 2 à Moscou, fait l’analyse suivante de « l'attitude quasi "désinvolte" de Vladimir Poutine pendant ce G8 » : « Le président russe a fait le service minimum. Lors du sommet, Vladimir Poutine semblait curieusement détendu. Officiellement, il n'a pas entendu les critiques du chef du gouvernement canadien, qui a évoqué un G7+1. Officiellement toujours, il n'a pas trouvé si éloignées les positions des différentes délégations sur les thèmes économiques. Il a même affirmé que sur la Syrie, les objectifs poursuivis étaient les mêmes : le retour de la paix et le respect de l'intégrité, tout en annonçant que les livraisons d'armes russes pouvaient continuer ». Mais, précise Mikoczy, « Vladimir Poutine adresse en fait » un message à la communauté internationale, « il dit en substance : "Je ne bougerai pas d'un pouce, vous pouvez toujours vous liguer contre moi, vous n'obtiendrez rien." Il réclame ainsi d'ouvrir de vraies négociations, mais sur la base de ses propositions sur la Syrie. La première étape pour lui est d'obliger les rebelles à déposer les armes ; dans un second temps, il essaiera de convaincre Damas de constituer un gouvernement d'alliance nationale ».
UN SOUTIEN CONSTANT A LA SYRIE BA’ATHISTE
Derrière la fermeté de Poutine sur la Syrie au G8, il y a un soutien constant à la Syrie ba’athiste.
Déjà en juin 2012, à l’occasion du G20, le président russe Vladimir Poutine Poutine affirmait qu’« en Syrie ce n'est pas aux étrangers de décider qui gouverne » et défendait la politique russe de non-intervention en Syrie. "Nous pensons que personne n'a le droit de décider pour d'autres pays qui devrait être au pouvoir ou pas", avait déclaré V.V. Poutine au cours d'une conférence de presse à l'issue du sommet du G20.
"Ce n'est pas changer de régime qui est important, mais qu'après un changement de régime, qui doit être constitutionnel, un terme soit mis à la violence et que la paix s'installe dans le pays", avait-il ajouté.
LE MAUVAIS SOUVENIR DE LA LIBYE HANTE MOSCOU
Derrière le dossier syrien, il y a évidemment le mauvais souvenir de l’affaire libyenne de 2011, dans laquelle Moscou s’était fait rouler dans la farine par les Occidentaux.
Le président russe avait estimé lors du G20 de 2012 que tous les pays devraient s'asseoir à la table des négociations et élaborer un plan préalable pour permettre une issue négociée à la crise. "Pas comme dans certains pays d'Afrique du Nord où la violence se poursuit bien que le régime ait changé", a-t-il ajouté dans une référence voilée à la Libye, où la Jamahiryia du colonel Mouammar Kadhafi est tombée avec l’agression des Occidentaux. V.V. Poutine s'exprimait alors au lendemain d'une rencontre avec le président américain Barack Obama.
Derrière le soutien au président Assad il y a les maneuvres des USA en Europe orientale, les « révolutions de couleur ». Et aussi le dossier de l’agression contre la Jamahiryenne de Kadhafi. « Poutine est habité par la crainte de subir un jour le même sort qu’un Kadhafi quelconque. Il ne va pas laisser sans réagir Bachar al-Assad être le prochain sur la liste. S’il laisse filer, cela n’en finira plus. A qui le tour? », commentait Le Monde (Paris), dans une analyse reprise des thèses de l’IFRI, un Think Tank français atlantiste.
Et lorsqu’il entend le puissant sénateur US John Mc Cain appeler depuis Tripoli en septembre 2011 les Russes à « prendre les armes » contre son régime (2) il voit à juste raison ses craintes confirmées. Et lorsque des émeutes sont organisées en Russie à l’occasion des législatives de décembre 2011 et de la présidentielle de mars 2012 avec l’argent occidental et ses relais en Russie, avec une gigantesque campagne russophobe des medias de l’OTAN, Poutine ne peut pas y assister sans réagir. En Syrie notamment !
A cela s’ajoute le dossier libyen. Où la Russie et la Chine ont été roulée dans la farine par les USA et l’OTAN au Conseil de sécurité. Poutine « est agacé, et c’est là encore un euphémisme (il emploie personnellement un langage moins châtié) que Dmitri Medvedev, dans un moment d’égarement, ait permis le vote au conseil de sécurité de la résolution autorisant l’intervention française, britannique et américaine en Libye, commentait aussi Le Monde. Il n’aurait jamais baissé sa garde de la sorte. Pas ça, pas lui! Quelle naïveté de croire que ces pays de l’Otan, aidés du seul Qatar, agissaient pour empêcher un massacre à Benghazi… »
La Russie a perdu un grand allié géopolitique en Libye. Il n’y a que l’arrogante absence de culture géopolitique de certains pigistes de RIA pour affirmer le contraire. La politique étrangère de Medvedev dans l’affaire libyenne a été une politique incohérente et qui allait à l’encontre de tous les intérêts nationaux de la Russie. C’était l’avis du dernier ambassadeur de Russie à Tripoli lorsqu’il est rentré en Russie après avoir quitté la Libye à la fin du mois de mars 2011. La Jamahiriya de Kadhafi était le bastion de la Russie en Méditerranée. Avec la Syrie précisément. Kadhafi était extrêmement favorable aux intérêts russes. A la suite de son voyage en Russie en 2009, c’était encore avec Vladimir POUTINE qu’il avait négocié un certain nombre de traités. Les Russes auraient dû disposer d’une base navale à Benghazi. Ajoutons que la Russie était devenue le premier fournisseur d’armes de la Libye et que les Russes étaient privilégiés pour de nombreux contrats pétroliers.
LE CONTEXTE GEOPOLITIQUE ET IDEOLOGIQUE GENERAL OU S’INSCRIT LE DOSSIER SYRIEN
Le dossier syrien s’inscrit aussi dans un contexte géopolitique vital pour la Russie. Qui doit défendre ses intérêts stratégiques et économiques. Et soutenir le régime ba’athiste syrien, qui est un allié de longue date de Moscou, aussi bien de la défunte URSS que de la Russie renaissante de Poutine ; Dont Damas est aujourd’hui le seul véritable point d’ancrage au Moyen-Orient.
A cela s’ajoute aussi des convergences politico-idéologiques. Celui de la longue guerre terroriste dans le Caucase – Tchétchénie, Ingoustan, Dagestan – au sein même de la Fédération russe. Terrorisme appuyé par les services occidentaux, notamment via le régime georgien, bon petit soldat de l’OTAN. Poutine « n’a aucun tropisme pour les révolutions arabes, quelle qu’elles soient. Il est l’ennemi des islamistes. Il en fait même une affaire personnelle », conclut Le Monde. On le voit mal lâcher Bachar … »
Enfin, il y a un arrière-plan beaucoup plus vaste, où se mêle géopolitique et psychologie collective. Où résonne les échos de l’assaut américano-atlantiste pour la domination de l’Eurasie et ceux, sanglants et encore frémissants, de la destruction organisée de l’URSS et de la Yougoslavie socialiste. La chute sanglante de la Jamahiriya de Kadhafi, elle aussi socialiste, a ramené au premier plan ces échos et ces mauvais souvenirs.
En Occident on est d’ailleurs pleinement conscient de cette dimension où la Syrie n’est qu’un révélateur, comme l’a été la Libye. « la vraie raison pour laquelle Poutine va continuer de soutenir le dirigeant syrien Bachar al-Assad est en fait intimement liée à la vision que le chef d’État russe a de lui-même : il se voit comme le garant d’une Russie puissante qui refuse de recevoir la moindre leçon de morale de l’Occident, analysait un chroniqueur de France 24. Poutine est un nostalgique de l’ancienne Union soviétique, et ne s’en cache pas. Pour lui, la chute de l’URSS constitue la plus grande tragédie du XXe siècle. L’homme qu’il juge responsable de cette débâcle, Mikhaïl Gorbatchev, n’est rien d’autre, selon une vision partagée par grand nombre de Russes, qu’un incapable multipliant les erreurs. Il n’est d’ailleurs pas rare de deviner dans chacune des initiatives prises par le dirigeant russe en matière de politique étrangère un sentiment de fierté blessée. »
L’analyse que faisait en juin 2012 France 24 est pertinente : « Poutine se voit, ainsi que son pays, comme une victime incomprise d’un complot occidental pernicieux qui cherche à déstabiliser la Russie éternelle qui lui tient tant à cœur. Et c’est sur ce point qu’il se rapproche de Bachar al-Assad. » Simplement ce que France 24, la très atlantiste TV française, se refuse à voir – ou à avouer – c’est que ce complot est une réalité. Une réalité organisée dans toute l’Eurasie et le Proche-Orient, comme je l’ai souvent analysé.

L’ASSAUT OCCIDENTAL AU PROCHE-ORIENT EST AUSSI UNE GUERRE CONTRE L’EURASIE !
Le problème de la Russie dans cette affaire, c’est que l’agression contre Damas, et avant elle le coup d’état qui a déstabilisé la Libye et l’agression occidentale qui l’a suivi et a conduit à la chute de la Jamahiriya, prennent place dans une série d’événements qui visent en fait au contrôle par les États-Unis de l’Eurasie. C’est le programme défini par Zbigniew Brzezinski dans « LE GRAND ECHIQUIER ». Et je rappellerai, parce que c’est quelque chose qu’on ignore souvent, c’est qu’au moment de l’élection présidentielle américaine de 2008 le principal conseiller de OBAMA en politique étrangère était précisément Brzezinski. D’où l’erreur politique de Medvedev dans le dossier libyen : aller soutenir le renversement du régime libyen, se comporter avec une extrême timidité face à l’agression contre le régime syrien, c’était bien entendu préparer le terrain à la future agression contre la Russie elle-même, qui est le but ultime des Américains.
La vague d’agression contre le monde arabe, et singulièrement contre la Libye et la Syrie est de toute évidence une opération de déstabilisation occidentale similaire aux « révolutions de couleurs » opérées par les USA en Europe de l’Est depuis 2000 et la chute du Président Slobodan Milosevic.
DES REVOLUTIONS DE COULEUR AU SOI-DISANT « PRINTEMPS ARABE »
J’ai été le premier – et le seul – au début du mois de février 2011 (3), depuis Tripoli (Libye) même, à attirer l’attention justement sur les similarités entre les « révolutions de couleur » et le soi-disant « printemps arabe ». Et à annoncer avant l’événement l’agression qui se préparait contre Tripoli et Damas. Depuis d’autres ont refait la même analyse, après-coup. Mais je suis le seul à avoir anticipé les événements.
Ce qui m’interpellait dès le début, c’est que non seulement le scénario est le même que dans les « révolutions de couleur » en Europe de l’Est, mais aussi que les acteurs sont les mêmes (4). Ce qu’on appelle les « révolutions de couleur », c’est une série de coups d’état organisés généralement à l’occasion d’élections, mais aussi de troubles sociaux. Derrière ces opérations, il y a un ensemble d’organismes qui sont de soi-disant « O.N.G. », mais qui en fait sont des organismes d’État américain camouflés, qui sous couvert de « promotion de la démocratie » assurent le financement des oppositions dans les pays que les Américains veulent déstabiliser.
Derrière tout ce système, il y a un groupe international qui s’appelle OTPOR (en serbe : « résistance »). C’est le premier groupe qui a organisé une « révolution de couleur » avec le financement des Américains. Ce sont eux qui ont organisé le coup d’état contre Milosevic en octobre 2000 (5). OTPOR ensuite a été transformé par les Américains, avec d’énormes moyens de financement, en un mouvement international. Qui a organisé à Belgrade, en Serbie, ce qu’on appelle l’école internationale CANVAS. Une école où on apprend à des militants la déstabilisation des régimes. Les cours sont donnés depuis 2009 en arabe et la plupart des activités sur les réseaux sociaux Internet, mais aussi dans les émeutes des villes, lors des soi-disant « révolutions » en Égypte et en Tunisie, venaient de ce groupe. Le groupe OTPOR a également formé et patronné d’autres groupes similaires, que l’on a vus en Algérie, au Yémen, au Bahreïn et aussi dans les tout premiers jours à Benghazi en Libye (6).
LA RIPOSTE DE MOSCOU ET DE L’OTSC
A Moscou, on a pris rapidement l’exacte mesure des événements. L’OTSC, l’Organisation du Traité de Sécurité Collective, cette « anti-OTAN » qui regroupe la Russie, le Belarus, l’Arménie (confrontée au GUAM pro-OTAN), le Kazakhstan, le Kirghistan, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan, a consacré son sommet de novembre 2011 à la relance du cycle des « révolutions de couleur » par l’Occident, via le soi-disant « printemps arabe ».
« L’ex-URSS a trouvé un vaccin contre le Printemps arabe » titrait La Russie d’Aujourd’hui (25 octobre 2011), précisant que « Moscou prend des mesures préventives avec ses voisins ».
C’est tout cela qui explique la position russe dans le dossier syrien. Bien loin de la propagande des media de l’OTAN sur les « ventes d’armes russes à Damas » (sic).

Fake WMD “Intelligence” and Orwellian Double-speak : Washington Is Insane


paulcroberts
In the 21st century the two hundred year-old propaganda that the American people control their government has been completely shattered.  Both the Bush and Obama regimes have made it unmistakenly clear that the American people don’t even influence, much less control, the government.  As far as Washington is concerned, the people are nothing but chaff in the wind.
Polls demonstrate that 65% of the US population opposes US intervention in Syria. Despite this clear indication of the people’s will, the Obama regime is ramping up a propaganda case for more arming of Washington’s mercenaries sent to overthrow the secular Syrian government and for a “no-fly zone” over Syria, which, if Libya is the example, means US or NATO aircraft attacking the Syrian army on the ground, thus serving as the air force of Washington’s imported mercenaries, euphemistically called “the Syrian rebels.”
Washington declared some time ago that the “red line” that would bring Syria under Washington’s military attack was the Assad government’s use of chemical weapons of mass destruction against Washington’s mercenaries.  Once this announcement was made, everyone with a brain immediately knew that Washington would fabricate false intelligence that Assad had used chemical weapons, just as Washington presented to the United Nations the intentional lie via Secretary of State Colin Powell that Saddam Hussein in Iraq had dangerous weapons of mass destruction.
Remember National Security Advisor Condi Rice’s image of a “mushroom cloud over American cities?”  Propagandistic lies were Washington’s orders of the day.
And they still are. Now Washington has fabricated the false intelligence, and president obama has announced it with a straight face, that Syria’s Assad has used sarin gas on several occasions and that between 100 and 150 “of his own people,” a euphemism for the US supplied foreign mercenaries, have been killed by the weapon of mass destruction.
Think about that for a minute. As unfortunate as is any death from war, is 100-150 deaths “mass destruction?”  According to low-ball estimates, the US-sponsored foreign mercenary invasion of Syria has cost 93,000 lives, of which 150 deaths amounts to0.0016%.  If we round up, Washington’s 150 deaths comes to two-thousands of one percent.
In other words, 99.998% of the deaths did not cross the “red line.”  But the 0.002 (rounded up) percent did.
Yes, I know.  Washington’s position makes no sense.  But when has it ever made any sense?
Let’s stretch our minds just a tiny bit farther.  Assad knows about Washington’s “red line.”  It has been repeated over and over in order to create in the minds of the distracted American public that there is a real, valid reason for attacking Syria.  Why would Assad use the proscribed weapons of mass destruction in order to kill a measly 100-150 mercenaries when his army is mopping up the US mercenaries without the use of gas and when Assad knows that the use of gas brings in the US military against him?
As the Russian government made clear, Washington’s accusation is not believable. No informed  person could possibly believe it. No doubt, many Americans wearing patriotism on their sleeves will fall for Washington’s latest lie, but no one else in the world will.  Even Washington’s NATO puppets calling for attacking Syria know that the justification for the attack is a lie. For the NATO puppets, Washington’s money overwhelms integrity, for which the rewards are low.
The Russians certainly know that Washington is lying.  The Russian Foreign Minister Larov said:
“The [Assad] government, as the opposition is saying openly, is enjoying military success on the ground. The [Assad] regime isn’t driven to the wall. What sense is there for the regime to use chemical arms–especially in such small amounts.” 
Larov is a relatively civilized person in the role of Russia’s main diplomat.  However, other Russian officials can be more pointed in their dismissal of Washington’s latest blatant lies.  Yury Ushakov, an aide to Russian President Putin said: “The Americans tried to present us with information on the use of chemical weapons by the [Assad] regime, but frankly we thought that it was not convincing. We wouldn’t like to invoke references to [the infamous lies o] Secretary of State Powell [at the UN alleging Iraqi WMD], but the facts don’t look convincing in our eyes.”  Aleksey Pushkov, the chairman of the Russian Duma’s Foreign Affairs Committee, cut to the chase.
“The data about Assad’s use of chemical weapons is fabricated by the same facility that made up the lies about Saddam Hussein’s weapons of mass destruction. Obama is walking George W. Bush’s path.”
Here in America no one will ever hear straight talk like this from the US presstitutes.
Orwellian double-speak is now the language of the United States government. Secretary of State john kerry condemned Assad for harming “peace talks” while the US arms its Syrian mercenaries.  
Washington’s double-speak is now obvious to the world.  Not only Assad, but also the Russians, Chinese, Iranians, and every US puppet state which includes all of NATO and Japan, are fully aware that Washington is again lying through its teeth.  The Russians, Chinese, and Iranians are trying to avoid confrontation with Washington, as war with the modern nuclear weapons would destroy all life on planet earth.  What is striking is that despite 24/7 brainwashing by the presstitutes, a large majority of the American population opposes obama’s war on Syria.
This is good news.  It means more Americans are developing the ability to think independently of the lies Washington feeds to them.
What the neocon nazis, the bush/obama regime, and the presstitute media have made clear is that Washington is going to push its agenda of world hegemony to the point of starting World War III, which, of course, means the end of life on earth.
Russia and China, either one of which can destroy the United States, have learned that the US government is a liar and cannot be trusted. The Libyan “no-fly” policy to which Russia and China agreed turned out to be a NATO air attack on the Libyan army so that the CIA-sponsored mercenaries could prevail.  
Russia and China, having learned their lesson, are protesting Washington’s assault on Syria that Washington pretends is a “civil war.”  If Syria falls, Russia and China know that Iran is next.
Iran is Russia’s underbelly, and for China Iran is 20% of its energy imports. Both Russian and Chinese governments know that after Iran falls, they are next. There is no other explanation for Washington surrounding Russia with missile bases and surrounding China with naval and air bases.
Both Russia and China are now preparing for the war that they see as inevitable.  Washington’s crazed, demented drive for world hegemony is bringing  unsuspecting Americans up against two countries with hydrogen bombs whose combined population is five times the US population.  In such a conflict everyone dies.
Considering the utterly insane government ruling in Washington, if human life exists in 2020, it will be a miracle.  All the worry about future Medicare and Social Security deficits is meaningless. There will be no one here to collect the benefits.

globalresearch.ca

Faux armes de destruction massive "Intelligence" et double langage orwellien: Washington est fou

Au 21e siècle, la propagande vieille de deux cents ans selon laquelle les Américains contrôlent leur gouvernement a été complètement détruite.
Tant l’administration Bush et les régimes d’Obama ont clairement montré que  les Américains n’ont pas la moindre influence, encore moins de contrôle, sur le gouvernement. Tant que Washington est concerné, les gens ne sont que fétus de paille.
Les sondages montrent que 65% de la population américaine s’opposent à l’intervention américaine en Syrie. Malgré cette indication claire de la volonté du peuple, le régime Obama est en train de concocter un cas de propagande pour armer encore plus les mercenaires de Washington envoyés pour renverser le gouvernement laïque syrien et pour imposer une « zone d’exclusion aérienne » sur la Syrie, qui, si l’on se réfère à la Libye, signifie que les avions des Etats-Unis ou de l’OTAN vont attaquer l’armée syrienne au sol, servant ainsi de forces aériennes aux  mercenaires importés par Washington, pudiquement appelés «rebelles syriens.”
Washington a déclaré il y a quelque temps que la «ligne rouge» qui amènerait la Syrie sous l’attaque militaire de Washington était l’utilisation par le gouvernement Assad d’armes chimiques de destruction massive contre les mercenaires de Washington. Une fois que cette annonce a été faite, toute personne ayant un cerveau savait immédiatement que Washington fabriquerait de faux renseignements certifiant qu’Assad avait utilisé des armes chimiques, tout comme Washington a présenté aux Nations Unies le mensonge intentionnel, via le secrétaire d’État Colin Powell, selon lequel Saddam Hussein en Irak avait des armes dangereuses de destruction massive.
Rappelez-vous l’image de la National Security Advisor Condi Rice de “champignon atomique sur les villes américaines?” Les mensonges propagandistes étaient les ordres du jour de Washington.
Et ils le sont toujours. Maintenant, Washington a fabriqué le faux renseignement, et le président Obama a annoncé avec un visage impassible, qu’Assad de Syrie a utilisé du gaz sarin à plusieurs reprises et que, entre 100 et 150 personnes “de son propre peuple”, -un euphémisme pour les mercenaires étrangers fournis par les Etats-Unis- , ont été tués par les armes de destruction massive.
Réfléchissez à cela une minute. Aussi malheureuse que puisse être toute mort dans une guerre, peut-on appeler  100-150 décès “destruction massive” ?  Selon les estimations les plus faibles, l’invasion des mercenaires étrangers parrainés par les Etats-Unis en Syrie a coûté 93.000 vies, au regard desquelles 150 décès représentent 0,0016%. Si on arrondit vers le haut, les 150 décès de Washington reviennent à deux millièmes de un pour cent.
En d’autres termes, 99,998% des décès n’ont pas franchi la “ligne rouge”. Mais le 0.002% (arrondi) l’ont fait.
Oui, je sais. La position de Washington n’a pas de sens. Mais quand a-t-elle eu un sens?
Nous allons élargir notre esprit un tout petit peu et pousser plus loin. Assad sait que Washington a fixé une “ligne rouge”. Cela a été répété maintes et maintes fois dans le but de créer dans l’esprit du public américain distrait qu’il y a un motif réel et valable pour attaquer la Syrie. Pourquoi  Assad utiliserait des armes de destruction massive interdites pour tuer une infime poignée de 100-150 mercenaires américains alors que son armée est en train de les balayer sans l’utilisation du gaz, et quand Assad sait que l’utilisation du gaz jetterait l’armée américaine contre lui ?
Comme l’a énoncé clairement le gouvernement russe, l’accusation de Washington n’est pas crédible. Aucune personne informée ne pourrait le croire. Sans doute, beaucoup d’Américains portant leur patriotisme sur leurs manches tomberont pour le dernier mensonge de Washington, mais personne d’autre dans le monde ne le fera. Même les marionnettes de l’OTAN de Washington appelant à attaquer la Syrie savent que la justification de l’attaque est un mensonge. Pour les marionnettes de l’OTAN, l’argent de Washington submerge l’intégrité, pour laquelle les récompenses sont faibles.
Les Russes le savent pertinemment que Washington ment. Le ministre russe des Affaires étrangères Lavrov a déclaré: «Le gouvernement [d’Assad], comme le dit ouvertement l’opposition, connaît un succès militaire sur le terrain. Le régime [d’Assad] n’est pas au pied du mur. Quel sens y a-t-il pour le régime d’utiliser des armes, surtout pour si peu “.
Lavrov est une personne relativement civilisée dans le rôle de diplomate principal de la Russie. Toutefois, d’autres responsables russes peuvent être plus rudes dans leur rejet des derniers mensonges flagrants de Washington.
Youri Ouchakov, un collaborateur du président russe Vladimir Poutine a déclaré: “Les Américains ont essayé de nous présenter des informations sur l’utilisation d’armes chimiques par le régime [de Assad], mais à vrai dire, nous avons pensé que ce n’était pas convaincant. Nous ne voudrions pas invoquer les références au [aux mensonges infâmes du] Secrétaire d’État Colin Powell [à l'ONU accusant l’Irak pour les  ADM], mais les faits ne semblent pas convaincants à nos yeux.
Alexey Pushkov, le président de la commission des affaires étrangères de la Douma russe, va droit au but. «Les données sur l’utilisation par Assad d’armes chimiques sont fabriquées par le même établissement qui produisit les mensonges sur les armes de destruction massive de Saddam Hussein. Obama est en train de marcher sur les pas de George W. Bush “.
Ici, en Amérique personne n’entendra jamais  parler aussi franchement dans les médias américains.
Le double langage Orwellien est aujourd’hui la langue du gouvernement des États-Unis. Le  Secrétaire d’Etat John Kerry a accusé Assad de nuire aux «pourparlers de paix», pendant  que les Etats-Unis arment ses mercenaires syriens.
Le double langage de Washington est maintenant évident pour le monde entier. Non seulement Assad, mais aussi les Russes, les Chinois, les Iraniens, ainsi que chaque état marionnette de l’Amérique, ce qui inclut tout l’OTAN et le Japon, sont pleinement conscients que Washington est à nouveau en train de mentir comme un arracheur de dents. Les Russes, les Chinois et les Iraniens essaient d’éviter la confrontation avec Washington, car une guerre avec les armes nucléaires modernes détruirait toute vie sur la planète Terre. Ce qui est frappant, c’est que malgré 24/7 de lavage de cerveau par les presstitués, une grande majorité de la population américaine s’oppose à la guerre d’Obama contre la Syrie.
Ce sont de bonnes nouvelles. Cela signifie que plus d’Américains développent leur capacité de penser indépendamment des mensonges que Washington leur sert.
Ce que les nazis néo-conservateurs, le régime de Bush / Obama et les médias ont montré clairement, c’est  que Washington va pousser son ordre du jour de l’hégémonie du monde au point  de démarrer la Troisième Guerre mondiale, qui, bien sûr, signifie la fin de la vie sur terre.
La Russie et la Chine, l’une comme l’autre pouvant détruire les Etats-Unis, ont appris que le gouvernement américain est un menteur et qu’il n’est pas fiable. La politique “no-fly» libyenne, à laquelle la Russie et la Chine avaient souscrit s’est avérée être une attaque aérienne de l’OTAN sur l’armée libyenne de sorte que les mercenaires parrainés par la CIA puissent l’emporter.
La Russie et la Chine, ayant  appris leur leçon, protestent contre l’agression de Washington contre la Syrie et qui est selon Washington une «guerre civile». Si la Syrie tombe, la Russie et la Chine savent que l’Iran est à côté.
L’Iran est le ventre de la Russie et, pour la Chine l’Iran c’est 20% de ses importations d’énergie. Les deux gouvernements russes et chinois savent que si l’Iran tombe, ils seront les suivants. Il n’y a pas d’autre explication du fait que Washington encercle la Russie avec des bases de missiles et la Chine avec des bases navales et aériennes.
La Russie et la Chine se préparent maintenant à la guerre qu’ils voient comme inévitable. La folle et démente course de Washington pour l’hégémonie mondiale mène les américains sans méfiance vers la confrontation contre deux pays possédant des bombes à hydrogène et dont la population combinée est de cinq fois la population américaine. Dans un tel conflit tout le monde meurt.
Compte tenu de la folie totale du gouvernement à Washington, si la vie humaine exister en 2020, ce sera un miracle. Toutes les inquiétudes sur l’avenir de Medicare et les déficits de la sécurité sociale n’ont pas de sens. Il n’y aura plus personne ici pour recueillir les bénéfices.
Paul Craig Roberts
 Fake WMD “Intelligence” and Orwellian Double-speak : Washington Is Insane, 17 juin 2013
 http://www.globalresearch.ca/fake-wmd-intelligence-and-orwellian-double-speak-washington-is-insane/5339475

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