19 juin, 2013

Dissuasion stratégique: la Russie n'admettra pas de déséquilibre (Poutine)


Dissuasion stratégique: la Russie n'admettra pas de déséquilibre (Poutine)

La Russie n'admettra pas de perturber l'équilibre du système de dissuasion stratégique, de diminuer l'efficacité de ses forces nucléaires, a déclaré mercredi le président russe Vladimir Poutine.

"Nous ne pouvons pas admettre que l'équilibre du système de dissuasion stratégique soit perturbé, que l'efficacité de nos forces nucléaires diminue. Aussi, la mise en place d'une défense spatiale sera-t-elle à l'avenir également l'un des axes clés de notre politique militaire", a indiqué le chef de l'Etat lors d'une réunion consacrée à la commande militaire d'Etat à Saint-Pétersbourg.

fr.ria.ru

Obama appelle la Russie à réduire d’un tiers ses armes nucléaires


Le président américain Barack Obama a appelé mercredi la Russie à approuver une réduction de jusqu‘à un tiers des armes nucléaires, lors d’un discours devant la Porte de Brandebourg, lieu symbolique de Berlin.
“Après un large examen, j’ai décidé que nous pouvions assurer la sécurité de l’Amérique et de nos alliés et maintenir de forts moyens de dissuasion tout en réduisant nos armes stratégiques de jusqu‘à un tiers”, a souligné Barack Obama, lors d’un discours devant 6.000 personnes.
Dans un discours qu’il veut inscrire dans l’Histoire, Barack Obama a proposé de tourner définitivement la page de la Guerre Froide avec une réduction des arsenaux stratégiques nucléaires américain et russe.
“Et j’ai l’intention de chercher à obtenir des réductions négociées avec la Russie pour dépasser les positions nucléaires de la Guerre froide”, a-t-il ajouté.
Il a assuré qu’il organiserait deux sommets sur la sécurité nucléaire au cours de son second mandat entamé en début d’année. “Ce sont des étapes que nous pouvons franchir pour créer un monde de paix et de justice”, a-t-il affirmé.
“Nous allons travailler avec nos alliés de l’Otan pour chercher à parvenir à d’importantes réductions des armes tactiques nucléaires américaines et russes en Europe et établir un nouveau cadre international pour une puissance nucléaire pacifique”, a encore affirmé M. Obama.
Le contexte semble toutefois peu propice pour obtenir un tel geste de la Russie, après l’ambiance glaciale qui a régné entre Obama et le président russe Vladimir Poutine lors du G8 lundi et mardi en Irlande du nord.
Le Président américain cherche à faire du désarmement nucléaire un axe fort de son bilan politique, déjà crédité d’un nouveau traité de réduction des armements négocié avec Moscou lors de son premier mandat. Les deux anciens ennemis de la Guerre froide étaient convenus d’abaisser leur stock à 1.550 ogives.
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L'ex-rebelle libyen devenu vendeur d'armes aux insurgés syriens

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Abdoul Basit Haroun s'exila pendant vingt ans en Angleterre pour fuir le régime de Kadhafi, puis revint en Libye en 2011 pour contribuer à la chute du dictateur. Aujourd'hui, il est l'un des principaux fournisseurs d'armes aux insurgés syriens.
 
Dans sa villa des faubourgs de Benghazi, là où débuta le soulèvement libyen, il a raconté à Reuters, autour d'un café et d'un gâteau fait maison, son parcours et les raisons qui l'ont poussé à soutenir militairement l'opposition syrienne.
 
En deux décennies passées à Manchester, Abdoul Basit Haroun s'était imposé dans la promotion immobilière mais, lorsque l'insurrection éclata en Libye, il n'hésita pas et, à l'approche de la quarantaine, rejoignit les rangs des rebelles.
 
Il forma sa propre brigade à Benghazi et, à la fin du conflit, se mit au service des nouveaux dirigeants libyens pour les aider à tenter de contrôler une situation rendue explosive par l'afflux d'armes dans le pays.
 
Haroun, qui a effectué sa première livraison d'armes aux rebelles syriens en août dernier, en veut aux pays occidentaux de ne pas avoir soutenu militairement plus tôt les adversaires de Bachar al Assad.
 
Une intervention précoce aurait permis d'éviter une régionalisation du conflit, estime-t-il.
 
"Même si la guerre prend fin en Syrie, il y aura une autre guerre dans la région, les sunnites contre les chiites. Au début, il s'agissait seulement de faire tomber Assad. Maintenant, le Hezbollah, l'Iran sont impliqués", dit-il.
 
Haroun utilise les voies aérienne et maritime pour ses livraisons, tout en privilégiant l'avion car le risque d'interception des navires est réel en Méditerranée orientale.
 
Les armes de la rue
 
Avec un associé, qui dispose d'un réseau d'une dizaine de personnes dans les grandes villes libyennes, il collecte les armes, acquises souvent à bas prix dans un pays qui en regorge.
 
Le financement est assuré par quelques hommes d'affaires libyens et la diaspora syrienne, et les armes achetées directement dans la rue.
 
"Nous faisons deux choses super. Nous enlevons des armes de la rue (libyenne) et notre mission est tellement populaire que nous obtenons jusqu'à 50% de remise", explique Haroun.
 
A ses côtés, son jeune fils, impliqué dans les transactions, détaille dans un anglais fortement teinté de l'accent de Manchester : environ 25 dollars pour un fusil mitrailleur C5, près de 120 dollars pour un lance-roquettes RPG.
 
"Si nous avions plus d'argent, nous pourrions retirer toutes les armes de la rue mais pour l'instant il nous faut environ quatre à cinq mois pour rassembler la somme nécessaire à une livraison", assure Haroun.
 
Certaines familles libyennes donnent gratuitement leur arsenal, notamment les armes lourdes qui ne leur sont plus d'aucune utilité depuis la fin de la guerre civile.
 
Les armes sont entreposées par des tiers près de Benghazi, dans un lieu tenu secret, mais qu'un journaliste de Reuters a pu visiter. Dans des conteneurs prêts à être expédiés en Syrie, on trouve des caisses de munitions, des RPG et différents types d'armes légères ou de calibre moyen.
 
28 tonnes d'armes
 
"Ils (les propriétaires du dépôt) n'ont rien à voir avec la livraison, mais nous stockons ici parce que c'est un endroit sûr", explique l'associé d'Haroun, qui ne veut pas donner son nom parce qu'il est ausi impliqué dans l'aide humanitaire aux rebelles syriens.
 
Une fois la cargaison embarquée, les avions spécialement affrétés pour l'occasion décollent vers la Turquie ou la Jordanie, où les armes sont ensuite introduites clandestinement en Syrie.
 
Selon l'associé d'Haroun, environ 28 tonnes d'armes ont ainsi été livrées aux rebelles par les airs depuis août dernier.
 
Le premier navire a été intercepté au large du Liban. Le second, avec les armes cachées sous 460 tonnes de matériel humanitaire, a réussi sa mission en optant pour un parcours plus long, par la Turquie.
 
Les fournisseurs disent ne traiter qu'avec un seul intermédiaire, l'Armée syrienne libre (ASL), une affirmation corroborée par un commandant de l'armée libyenne, Hamed Belkhaïr.
 
"Les armes ne vont pas aux extrémistes, mais seulement à l'ASL", selon le militaire, qui précise que certains de ses collègues ont rencontré des responsables des insurgés syriens et accepté de les aider en livrant des armes.
 
zamanfrance.fr

Syrie: l’opposition déterminée à poursuivre la guerre


. © Daniel Leal Olivas L’opposition syrienne a affirmé mercredi qu’elle poursuivrait la guerre pour renverser Bachar al-Assad faute d’une solution politique prévoyant son départ, au moment où les troupes du régime, appuyées par le Hezbollah libanais, renforcent la pression sur les rebelles près de Damas.
Selon des militants sur place, les forces gouvernementales tentent d‘écraser la rébellion autour de la capitale afin de couper les lignes d’approvisionnement vers les poches insurgées à Damas même.
“La situation humanitaire est très grave. Selon nous, le régime essaye de tester la force des rebelles en vue d’avancer dans le sud de la capitale”, a ainsi affirmé l’un d’eux, Matar Ismaïl, à l’AFP via Internet.
L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a fait état de combats et bombardements à Zayabiya et Babila, deux localités rebelles où cohabitent sunnites et chiites situées non loin de Sayeda Zeinab, lieu saint chiite dans le sud-est de la capitale où “les combattants du Hezbollah sont présents en force”, selon l’ONG.
Le Hezbollah, allié indéfectible de Damas, affirme combattre en Syrie pour empêcher la chute du régime de Bachar al-Assad et défendre les lieux saints chiites.
Il a joué un rôle déterminant dans la capture le 5 juin de Qousseir, ville stratégique proche de la frontière libanaise et son chef, Hassan Nasrallah, a affirmé vendredi que sa formation resterait impliquée dans le conflit.
Ses hommes et ceux de la brigade Abou al-Fadel Abbas, une milice pro-régime composée en majorité de chiites syriens rejoints par des combattants étrangers également chiites, jouent désormais un rôle clé dans les combats autour de Damas, selon M. Ismaïl.
Al-Manar, la télévision du Hezbollah, a d’ailleurs rapporté que l’armée avançait vers Zayabiya.
Les rebelles ont leur base-arrière dans les localités au sud de la capitale et leur éventuelle reconquête par les forces gouvernementales mettrait en difficulté les insurgés retranchés dans les quartiers sud de Damas.
Alors que les troupes gouvernementales, appuyées par le Hezbollah, avancent, le président américain Barack Obama a refusé de préciser la nature de la nouvelle aide américaine aux insurgés syriens. Des responsables américains ont laissé entendre que des livraisons d’armes légères pourraient avoir lieu.
“Tous les moyens, y compris militaire”
Après plus de deux ans d’un conflit qui a fait selon l’ONU 93.000 morts et plus d’1,6 million de réfugiés, l’opposition a exprimé ses réserves quant à sa participation à la conférence Genève-2 à laquelle le G8 a appelé mardi, préférant poursuivre l’option militaire jusqu’au départ de M. Assad.
Cette réunion, proposée par Washington et Moscou, vise à rassembler la communauté internationale autour de représentants de l’opposition et du régime en vue de parvenir à un règlement politique.
Mais Moscou, allié indéfectible de Damas, a déjà prévenu que cette conférence ne devait pas signifier la “capitulation” du régime, coupant court à la condition sine qua non posée par l’opposition.
“Nous sommes engagés à accepter toute solution politique mettant fin au bain de sang et réalisant les aspirations du peuple syrien en vue de la chute du régime d’Assad et du jugement de tous ceux qui ont commis des crimes à l’encontre des Syriens”, indique l’opposition dans un communiqué.
Et pour parvenir à cette fin, l’opposition “se réserve le droit d’utiliser tous les moyens (...) y compris l’action militaire”, ajoute le texte.
M. Assad, qui refuse catégoriquement de quitter le pouvoir, est “la seule source de terrorisme en Syrie”, poursuit l’opposition.
Dans le Golan, après le départ des troupes canadiennes, japonaises, croates, et le début du retrait des Autrichiens, Manille a indiqué qu’elle maintiendrait ses 300 Casques bleus au sein de la Force de l’observation du désengagement sur le Golan (Fnuod) jusqu’au mois d’août au moins, alors que 25 d’entre eux ont été enlevés ces derniers mois.
Ces Casques bleus font partie de la Force d’observation du désengagement sur le Golan (Fnuod) chargée de faire respecter un cessez-le-feu sur le plateau du Golan, région du sud-ouest de la Syrie occupée en grande partie par Israël.
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Les Etats-Unis ne comptent plus soutenir la coalition syrienne


Selon des sources diplomatiques européennes de haut niveau, qui ont requis l'anonymat, les  États-Unis n’estiment plus efficace de soutenir la coalition de l'opposition syrienne comme c'était le cas dans le passé, sachant que de l'administration américaine entend soutenir une coalition militaire transitoire armée, coalition alternative au cas où la coalition actuelle ne répond pas aux conditions américaines, a rapporté le quotidien libanais anNahar.
Les sources en Belgique ont précisé, que « les Etats-Unis attendent à ce que la coalition de l'opposition choisisse un conseil de direction lui le plus tôt possible  , et puis, définir une équipe de négociation au cas où a été adoptée la tenue  d'une conférence Genève 2 » .
Et de poursuivre : «  il est nécessaire d’inclure à cette équipe de négociation, une délégation militaire représentant  l’ASL et pourquoi pas le comité de coordination des forces de changement démocratique  si ce dernier accepte la présence de membres dirigeants de l’ASL au sein de l’équipe »..
Les sources ont précisé qu’ «  en cas d’échec de la coalition à nommer un comité de direction  et à former une équipe de négociation, au cas où une date a été fixée pour la tenue d’une Conférence internationale convenue par les Etats-Unis et la Russie, ceci encouragera l’administration américaine  à trouver un remplaçant à la coalition de l’opposition syrienne ou au conseil national syrien: une troisième formation dans laquelle l’ASL aura droit à une bonne part de participation soit 50% des sièges».
Bref, concluent les sources, « cette troisième formation aura la structure d’un conseil de guerre  qui aura pour mission de diriger la transition, y compris l'action militaire ,  les négociations  et la répartition du pouvoir ».

Source: Journaux

Poutine assure que les armes chimiques de l’ASL sont confectionnées en Irak


Le président russse, Vladimir Poutine a assuré que c'est en Irak que sont confestionnées les armes chimiques déstinées aux miliciens de l'ALS .
Poutine a déclaré que "Moscou dispose des informations qu'il existe en Irak  une usine de fabrication d'armes chimiques pour l'opposition syrienne".
 «Nous disposons d'informations au sujet de l'arrestation de dissidents syriens en Turquie qui avaient en leur  possession des armes chimiques. Et, nous avons consulté  des rapports concernant l'existence d'une usine de fabrication de produits chimiques pour l'opposition syrienne. Ces rapports doivent  être pris au sérieux..».

Poutine qui s'exprimait  lors d'un point de presse, après  la fin du sommet du Groupe des Huit en Irlande du Nord, a souligné que " l'effusion de sang ne peut s'arrêter que par des moyens politiques".
Et de poursuivre: "Toute décision d'armer l'opposition syrienne, basée sur des accusations non étayées contre Damas d'utiliser des armes chimiques provoquera  une escalade de la crise".
Il a ajouté que "lors du sommet, la  Russie a appelé ses partenaires à continuer à travailler pour une conférence Genève - 2" , indiquant  qu'"il ne peut pas parvenir à une conclusion quant à l'utilisation d'armes chimiques en Syrie qu'après avoir enquêté sur tous les rapports de ce sujet".
Il a ajouté: "Nous n'avons pas de données sur l'utilisation par le gouvernement syrien de ce type d'arme."
 «Nous sommes d'accord sur une chose, nous déplorons l'utilisation d'armes de destruction massive, notamment les armes chimiques, quelle que soit la source de cette menace", a-t-il dit.
Dans ce contexte,  une source proche d'un ex-partisan du parti Baas irakien dissout, cité par l'agence d'information iranienne Farsnews,  a révélé dans un rapport publié  le 7 mai  que les armes chimiques utilisées par les rebelles contre des innocents dans la région de Khan alAssal, situé dans la province d'Alep,  au nord-ouest de la Syrie, ont été fournies par les ex-partisans  du régime de Saddam qui travaillent actuellement sous l'égide du vice-président de l'ancien parti Baas Ezzat al-Douri".

almanar.com.lb

Libération des deux Français enlevés sur le pétrolier Adour au large du Togo

PARIS (Xinhua) - Les deux membres d'équipage français, qui avaient été enlevés lundi sur le pétrolier Adour suite au détournement de ce navire le 13 juin, ont été libérés, a-t-on appris d'un communiqué du ministère français de la Défense.

"Ces deux membres d'équipage ont (...) pu retrouver la liberté", a annoncé mardi soir le ministère de la Défense dans un communiqué publié sur son site Internet.
Cette libération est intervenue après que le pétrolier sur lequel travaillaient les deux Français eût été détourné jeudi par des pirates au large du Togo, explique le ministère.
Dès la perte de liaison avec le pétrolier le 13 juin, "des moyens prépositionnels dans la zone ont immédiatement été mobilisés afin d'exercer une surveillance discrète du navire", révèle le communiqué.
"La frégate de lutte anti-sous-marine Latouche-Tréville, (...) qui patrouillait dans le Golfe de Guinée, a rapidement rejoint la zone de piratage afin d'être en mesure d'intervenir si nécessaire. Un avion de patrouille maritime Atlantique 2 en provenance de Dakar a également rallié la zone et réalisé des vols de surveillance maritime dès le 14 juin", détaille le ministère.
"Le 17 juin, après diverses actions de facilitations, le renseignement collecté a indiqué que les pirates avaient quitté l'Adour avec deux membres d'équipage français à bord de deux embarcations différentes, en direction de la côte nigériane", poursuit le texte.
Annonçant la libération des deux Français, le ministère précise que l'équipage de l'Adour aurait repris le contrôle de son navire et qu'aucun blessé ne serait à déplorer parmi l'équipage.
La frégate de lutte anti-sous-marine Latouche-Tréville mobilisée dans l'opération est engagée depuis le 12 avril dans la mission Corymbe, qui est une mission de présence quasi-permanente des forces armées françaises dans le golfe de Guinée, en place depuis 1990, rappelle le communiqué.

Kaboul menace de boycotter les discussions de paix avec les taliban


Le gouvernement de Kaboul a menacé mercredi de boycotter les discussions de paix avec les rebelles talibans à Doha, auxquelles doivent prendre part les Américains, à moins qu’elles ne soient menées exclusivement sous l‘égide des Afghans.
Le Haut Conseil pour la paix (HCP), une instance créée par le président afghan Hamid Karzaï pour tenter de négocier avec les insurgés, “ne participera aux discussions de paix au Qatar à moins qu’elles ne soient menées par les Afghans”, indique la présidence afghane dans un communiqué.
Cette décision a été prise à l’issue d’une réunion à laquelle ont participé le président Karzaï et des responsables du HCP.
Les rebelles talibans ont ouvert mardi un bureau politique à Doha, et Washington a annoncé dans la foulée l’envoi d‘émissaires sur place.
“L’Afghanistan souhaite se joindre aux discussions de paix avec les talibans, mais les signaux de guerre et de massacre qui ont été envoyés en même temps que l’ouverture du bureau (à Doha) vont à l’encontre de la volonté de paix” de l’Afghanistan, ajoute la présidence, en référence à l’attaque de la base de Bagram dans la nuit de mardi à mercredi, qui a coûté la vie à quatre militaires américains.
“Les modalités d’ouverture du bureau taliban au Qatar, et les messages qu’elle envoie, vont à l’encontre des garanties données par les Américains aux Afghans”, insiste la présidence.
“L‘évolution de la situation montre que des interventions étrangères sont derrière le bureau taliban du Qatar”, poursuit le communiqué, sans plus de détail.
Le gouvernement afghan avait suspendu plus tôt dans la journée ses négociations d’accord bilatéral de sécurité avec Washington pour marquer son mécontentement après l’annonce de discussions directes entre les Américains et les talibans.
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Nigeria: 48 morts dans l’attaque d’un village par des bandits


Quarante-huitpersonnes ont été tuées par une bande d’hommes armés lors de l’attaque d’un village du nord du Nigeria, apparemment en représailles à la formation d’une milice privée pour lutter contre des voleurs de bétail, a déclaré mercredi un responsable local.
“Des bandits armés ont mené une attaque mardi matin dans le village de Kizara. Quarante-huit habitants ont été tués par des voleurs de bétail qui sèment la terreur dans l’Etat depuis un certain temps”, a déclaré à l’AFP Ibrahim Birnin-Magaji, porte-parole de l’Etat de Zamfara où se trouve ce village.
Des dizaines d’hommes armés y ont en moto pénétré avant l’aube, a-t-il précisé.
“Certains d’entre eux sont montés sur la colline qui surplombe le village et ils ont tiré dans toutes les directions”, a ajouté M. Birnin-Magaji.
“Ensuite ils sont allés de maison en maison, disant aux habitants qu’ils étaient à la recherche des membres d’une milice locale qui, selon eux, leur avait causé des problèmes.”
Selon M. Birnin-Magaji, le chef local, l’imam en chef et le leader de la milice font partie des victimes.
Il a expliqué que la police de la localité voisine de Keta avait tenté de s’opposer aux assaillants mais que les policiers, dépassés par leur puissance de feu, avaient dû battre en retraite.
Des milices se sont formées dans de nombreux villages du Nigeria pour défendre les habitants contre les voleurs de bétail et d’autres gangs criminels, menant bien souvent à une série de représailles dans une spirale de la violence.
L’Etat de Zamfara, situé dans le Nord Ouest, a été le théâtre de ce type d’affrontement à plusieurs reprises.
Rien ne permet de faire le lien entre cette nouvelle attaque et le groupe islamiste Boko Haram, qui poursuit une insurrection sanglante dans le Nord Est du Nigeria.
L’armée mène depuis la mi-mai une offensive de très grande envergure contre Boko Haram dans trois Etats du Nord Est —Borno, Yobe et Adamawa où l‘état d’urgence a été décrété.
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Somalie: cinq employés de l’ONU tués à Mogadiscio


Cinq employés de l’ONU, trois étrangers et deux gardes somaliens, ont été tués mercredi contre une spectaculaire attaque menée par des insurgés islamistes shebab contre le principal complexe des Nations-Unies à Mogadiscio, ont annoncé à l’AFP des sources onusiennes ayant requis l’anonymat.
Selon un employé local de l’ONU à Mogadiscio et une source onusienne à Nairobi, les trois étrangers sont un salarié de l’ONU et deux contractants. Leurs nationalités n’ont pu être confirmée dans l’immédiat.
L’ONU à Mogadiscio n’a pu être joint pour confirmer officiellement cette information.
Au moins trois civils somaliens ont été tués dans les rues alentour, pris dans les échanges de tirs entre les forces somaliennes et de l’Union africaine (Amisom) et les assaillants, dont un nombre indéterminé étaient parvenus à pénétrer dans l’enceinte onusienne.
L’attaque a pris fin vers 13H15 (10H15 GMT) après environ une heure et demi de combats.
“La situation est désormais sous contrôle et les forces de sécurité somaliennes, épaulées par les troupes de l’Amisom (Mission de l’Union africaine en Somalie) ont pris possession des bâtiments (onusiens) et éliminé les assaillants”, a déclaré à l’AFP Abdulahi Osman, un responsable de la police somalienne.
Aucun tir n‘était plus entendu dans la zone du complexe des Nations unies depuis environ 13H15, selon un journaliste de l’AFP.
Une source onusienne à Nairobi a confirmé sous le couvert de l’anonymat la fin de l’attaque: “c’est terminé, il n’y a plus de combats (...) La fouille du complexe est terminée mais tout le personnel reste pour l’instant dans les pièces sécurisées”.
“La Brigade du Martyr”
Selon cette même source, “vers 11H40 (08H40 GMT) une voiture piégée a explosé devant la porte d’entrée” du complexe, puis un kamikaze a déclenché sa ceinture d’explosif.
Les insurgés islamistes shebab ont revendiqué cette attaque menée selon eux par “la Brigade du Martyr”.
“Nos commandos ont attaqué le complexe de l’ONU (...) nous avons déclenché une explosion et sommes entrés dans le complexe, où nous affrontons actuellement les forces infidèles”, avait déclaré à la mi-journée à l’AFP par téléphone un haut responsable shebab, ayant requis l’anonymat.
La Mission de l’ONU en Somalie (Unisom) a confirmé sur Tweeter que sa principale enceinte faisait l’objet d’une “attaque complexe”.
Le terme “attaque complexe” est employé pour désigner des actions, souvent suicides, menées par des insurgés impliquant l’utilisation combinée de fantassins, de kamikazes et de véhicules piégés.
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Syrie: Obama refuse de préciser la nature de l’aide militaire


Le président Barack Obama a refusé mercredi à Berlin de préciser la nature de la nouvelle aide américaine aux insurgés syriens, après que des responsables américains ont laissé entendre que des livraisons d’armes légères pourraient avoir lieu.
“Je ne peux pas et ne vais pas commenter les détails de nos programmes liés à l’opposition syrienne”, a déclaré M. Obama, lors d’une conférence de presse commune avec la chancelière allemande Angela Merkel.
Un conseiller d’Obama à la Maison Blanche avait promis la semaine dernière pour la première fois un “soutien militaire” à l’opposition syrienne après que les Etats-Unis eurent établi que le régime syrien avait utilisé du gaz sarin contre les rebelles.
Mais l’exécutif américain a toujours refusé jusqu’ici de détailler la forme que pourrait prendre cette aide “militaire”, des analystes pronostiquant des livraisons d’armes légères qui seraient bien insuffisantes pour modifier l‘équilibre des forces sur le terrain.
M. Obama avait mis en garde précédemment contre la fourniture de nouvelles armes aux parties en conflit, limitant le soutien de Washington à une aide humanitaire.
Mercredi à Berlin, il a rejeté les analyses considérant que le soutien accru aux insurgés plaçaient les Etats-Unis sur une pente glissante la conduisant à un nouveau conflit dangereux au Proche Orient.
“Mettre fin à la guerre”
Ces analyses sont “un peu exagérées”, a-t-il dit, excluant notamment “l’idée que les Etats-Unis sont prêts à se jeter complètement et à participer à une nouvelle guerre”.
“Ce que nous voulons, c’est mettre fin à la guerre”, a-t-il affirmé, en appelant de nouveau à une solution politique en Syrie excluant le président Bachar al-Assad.
Parallèlement, la chancelière Angela Merkel a rappelé que l’Allemagne s’interdisait toute livraison d’armes dans des pays en guerre civile, et donc également en Syrie.
“Cela ne veut pas dire que nous ne pouvons pas jouer un rôle constructif” dans ce pays, a-t-elle souligné, évoquant une contribution allemande dans le “processus politique ou l’aide humanitaire”.
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Mali: après l’accord de Ouagadougou, cap sur la présidentielle


L’accord conclu entre le gouvernement malien et les rebelles touareg a ouvert la voie à la présidentielle prévue le mois prochain au Mali, mais Bamako est pressé par le temps, ayant moins de 40 jours pour organiser ce scrutin crucial pour sortir le pays de la crise.
L’accord signé mardi à Ouagadougou après dix jours de négociations avec les Touareg qui occupent Kidal, leur fief du nord-est du Mali, a été bien accueilli au Mali et à l‘étranger.
Le président français François Hollande, qui a pris l’initiative d’intervenir militairement au Mali au début de l’année, a salué mercredi “un texte qui permet de concilier le respect de l’intégrité territoriale du pays et en même temps la reconnaissance des problèmes spécifiques au nord du pays dans la perspective de l‘élection présidentielle prévue a priori le 28 juillet prochain”.
L’accord a permis de lever un obstacle essentiel, celui de Kidal, notent aussi des analystes maliens.
Pour un proche du président malien par intérim Dioncounda Traoré ayant suivi de près les discussions à Ouagadougou, “c‘était ça ou rien. On allait tout droit dans le mur si on n’arrivait pas à obtenir l’organisation de la présidentielle dans la région de Kidal”.
Avant la signature, la tenue de la présidentielle dans le délai fixé paraissait peu probable aux yeux de beaucoup de Maliens, particulièrement en raison du statut de Kidal.
Depuis fin janvier, les rebelles touareg se sont installés dans cette région à la faveur de l’intervention franco-africaine qui a délogé les groupes jihadistes occupant les deux tiers du pays depuis 2012 et ils y refusaient la présence des armée et administration maliennes.
“C’est un accord intermédiaire, pour permettre l’organisation de l‘élection présidentielle” sur l’ensemble du territoire, y compris Kidal. “On n’a pas réglé tous les problèmes, on a déplacé une partie des problèmes”, a déclaré à l’AFP le sociologue Mamadou Samaké.
L’accord entre Bamako et les Touareg du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et du Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA) prévoit un cessez-le-feu et des dispositions qui lèvent des blocages.
En vue de la présidentielle, les forces de défense et de sécurité maliennes doivent entamer “dans les meilleurs délais” un “déploiement progressif” dans la région de Kidal, tandis que des éléments précurseurs seront envoyés dans la ville elle-même “sans délai”.
Les groupes armés touareg devront cantonner leurs hommes mais le désarmement n’interviendra qu’une fois signé un accord “global et définitif de paix” entre les nouvelles autorités installées après la présidentielle, d’une part, et les communautés et groupes armés du Nord, d’autre part.
Matériel électoral réceptionné
La vérification du cantonnement des Touareg peut s’avérer difficile et
le renvoi de leur désarmement à la période post-électorale suscite des inquiétudes.
“Le processus DDR (démobilisation, désarmement, et réinsertion) est long. Il peut durer plusieurs mois. Il faut de la patience, surtout que la machine reste huilée”, renchérit un membre de la mission africaine au Mali Misma.
La présidentielle de juillet est jugée cruciale par la communauté internationale pour aider le Mali à sortir de la plus grave crise de son histoire, ouverte en 2012 par la prise du nord du pays par des groupes jihadistes, un temps alliés au MNLA et délogés début 2013 par l’armée française.
L’opération franco-africaine a permis de chasser les jihadistes des grandes villes, mais des poches de résistance demeurent dans certaines zones, posant la question de la sécurité.
Avant même l’accord, les autorités maliens avaient déjà lancé les opérations préparatoires du scrutin. Mardi, alors qu’une grande partie des Maliens et de la communauté internationale avaient les yeux tournés vers Ouagadougou, le ministère de l’Administration du territoire – en charge de l’organisation des scrutins – réceptionnait du matériel électoral, ont rapporté la télévision publique ORTM et le quotidien national L’Essor.
Une partie “est destinée au remplacement du matériel électoral dans les régions de Tombouctou, Gao et Kidal”, vastes provinces du Nord ayant été sous occupation rebelle et jihadiste, a expliqué à l’ORTM le capitaine Mamadou Sougouna, responsable du ministère de l’Administration territoriale ayant réceptionné le matériel.
Tout doit être y acheminé avec l’appui de l’ONU.
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Syrie : le rush d'armes lourdes en Syrie pour ASL /Al-Nosra en Déroute, par Mireille Delamarre


IRIB-Selon un rapport des services de renseignements allemands dont ...

...certaines informations ont été divulguées par le quotidien Die Welt l'ASL de Salim Idriss - le chouchou d'Hollande et Fabius - est composée à 95% d'extrémistes étrangers et seulement à 5% de Syriens. Ces mercenaires étrangers - une "Légion etrangère" en quelque sorte - viennent en Syrie pour le Djihad en provernance de plusieurs pays africains soutenus et financés par des pays du Golfe et d'autres pays arabes (Jordanie, Egypte notamment).

Selon Die Welt citant des experts du renseignements allemands : " Les renseignements allemands ont une liste officielle et détaillée des nationalités des rebelles en Syrie et leurs localisations dans le pays."

Un membre des renseignements alllemands a dit que certains de ces groupes terroristes en Syrie agissaient en totale coordination avec Al Qaeda mais que ces groupes extrémistes étaient en fait plus dangereux qu'Al Qaeda car ils ne reculent devant rien massacrant femmes et enfants utilisant certains d'entre eux comme boucliers humains afin de faire un maximum de victimes lors des combats avecl'Armée Nationale Syrienne pour accuser cette dernière de massacres.

On estime à 14800 le nombres "d'opposants" armés en Syrie inclus des experts dans différents domaines tels la préparation d'explosifs pour les attentats ou de bombes artisanales. La plupart de ces mercenaires ont été formés sur le tas en Afghanistan en Irak en Libye. Mais certains sont en fait des criminels libérés des prisons du Qatar de l'Arabie Saoudite... "réhabilités" pour le djihad en Syrie.

C'est pourtant à cette "Légion Etrangère" d'Idriss que les US, la Grande Bretagne, La France veulent envoyer des armes lourdes type RPG, MANPADS Missiles sol air....Alors que l'Allemagne d'Angela Merkel a réaffirmé son opposition à l'armement de l'ASL Al Nusra Al Qaeda.

Idriss lui-même a communiqué sa liste auprès des US de la France de la Grande Bretagne réclamant des missiles anti tanks russes - l'Armée Nationale Syrienne est équipée d'armement russe - 100 systèmes de missiles antiaériens, 300 mille balles de Kalachnikov, 50 mille balles de mitrailleuses et 100 mille balles pour toutes sortes de fusils.

Hollande gaspille l'argent des Français en armant la "Légion Etrangère" D'Idriss &C°

Il y a deux mois - avant même que Fabius l'agent d'influence sioniste infiltré au Quai dOrsay fasse son Show à la Colin Powell sur tous les plateaux de TV sur les armes chimiques - l'Arabie Saoudite avec des financements français a commencé à fournir en petites quantités des missiles sol air aux mercenaires de l'ASL &C°. Ces armes ont été fournies principalement par la France et la Belgique et la France a même payé le transport de celles ci acheminées clandestinement via la Turquie en Syrie.

Autre révélation de la presse allemande. Selon le magazine de Der Spiegel l'Arabie Saoudite cherche à obtenir des systèmes portables de défense anti aérienne MANPADS classe Mistral de fabrication européenne.

Le Der Spiegel cite un rapport des services de renseignements allemands et le gouvernement allemand affirmant que ces systèmes de missiles sol air transportables sur l'épaule pouvaient cibler des avions volant à basse altitude ainsi que des hélicoptères.

L'Arabie Saoudite ne cache pas son objectif depuis le début du conflit en Syrie : renverser Bashar Al Assad et le remplacer par un Sunnite homme de paille de la dictature monarchique et de son parrain américain. Le prince Turki bin Faisal a récemment déclaré au Der Spiegel que "le but stratégique pour la Syrie de la monarchie était le renversement immédiat du régime de Bashar al Assad "

La Grande Bretagne elle aussi n'a pas attendu les "révélations" de l'expert en armes chimiques Obama pour armer l'ASL et C°. Reuters a fait état de la fourniture par la Grande Bretagne de missiles sol air en petites quantités à l'ASL &C° il y a deux mois.

Israël et le Qatar s'organisent pour envoyer des armes à l'ASL &C°

Le coordinateur israélien pour les affaires syriennes a rencontré fin Mai des responsables qataris à Londres pour organiser ensemble la fourniture d'armes à l'ASL &C°.

La rencontre qui a duré 4 heures a eu lieu le 20 Mai dans une maison de Londres appartenant à un qatari résidant en Grande Bretagne, Khalid a-Abeed. Il a été décidé qu'Israël préparerait et délivrerait les armes aprés avoir négocié leur achat auprès de fabricants d'armes européens réglerait les factures tandis que le Qatar lui financerait ces achats. Cette rencontre a eu lieu alors même que la France et la Grande Bretagne après de fortes pressions sur les pays membres de l'UE sont parvenues à rendre caduque l'embargo européen sur les armes laissant à chaque pays membre la possibilité d'approvisionner l'ASL &C°.

Le Qatar est le plus gros financeur des mercenaires combattant l'Armée Nationale Syrienne. Selon une enquête publiée en Mai par le Financial Times le Qatar a dépensé des milliards de pétro dollars ces deux dernières années pour financer les terroristes et autres groupes extrémistes combattants en Syrie.

"Le Qatar a dépensé environ 3 milliards de dollars ces deux dernières années pour soutenir l'opposition en Syrie ce qui est de loin la plus grosse dépense faite comparativement à celles d'autres gouvernements. " "Le petit pays avec un énorme appétit" comme le nomme FT est le plus grande donateur d'aide à "l'opposition" syrienne offrant des salaires généreux allant jusqu'à 50 000 dollars par an aux opposants et leurs familles.

Le FT a cependant fait remarquer qu'actuellement l'Arabie Saoudite est en compétition avec le Qatar dans ses dépenses pour armer l'ASL &C° notamment avec des systèmes de missiles sol air portables.

Selon l'Institut de Recherche pour la Paix de Stockholm qui surveille les fournitures d'armes à l'opposition syrienne "le Qatar est le plus gros exportateurs d'armes en Syrie où il a financé plus de 70 avions cargos d'armes envoyées en Turquie entre Avril 2012 et Mai 2013."

Le FT note aussi que " Le coût de l'intervention qatarie en Syrie ne représente qu'une petite partie de l'investissement international du Qatar"

La CIA avec le feu vert de son "protégé" Obama a annoncé accroitre ses livraisons d'armes à partir de la Turquie ce qu'a confirmé sur le terrain le mouvement national kurde pour le changement pacifique. Ce dernier a indiqué avoir reçu des informations que les armes étaient arrivées aux frontières syro turques précisant qu'ily avait des armes lourdes sophistiquées et des missiles thermiques visant à approvisionner des groupes terroristes armés pour qu'ils attaquent la zone d'Ifrine dans la banlieue du gouvernorat d'Alep. Le mouvement a fait savoir que depuis le 25 Mai des groupes terroristes armés, soutenus par des unités de l'armée turque, tentent d'occuper la zone d'Ifrine pour briser la fermeté du peuple kurde et l'obliger à changer ses positions défendant l'unité et la souveraineté de sa patrie syrienne. Le mouvement - partisan d'un règlement pacifique du conflit en Syrie négovié avec l'actuel gouvernement de Bashar al Assad - a appelé le peuple kurde à s'unir face à l'ennemi extérieur.

Mise en garde du président syrien Bashar al Assad

Dans une interview qu'il vient d'accorder au quotidien allemand le Frankfurter Allegemeine Zeitung (FAZ), le président syrien Bashar al Assad a mis en garde les pays de l'UE contre les retombées d'une décision d'armer l'ASL &C°.

""Si les Européens livrent des armes, l'arrière-cour de l'Europe deviendra (un terrain) pour le terrorisme et l'Europe en paiera le prix...La conséquence de livraisons d'armes serait une exportation directe du terrorisme en Europe...Des terroristes reviendront (en Europe) avec une expérience du combat et une idéologie extrémiste...Le terrorisme signifie ici le chaos et le chaos mène à la pauvreté. Et la pauvreté signifie que l'Europe perd un marché important ...L'Europe, que cela lui plaise ou non, n'a pas d'autre choix que de coopérer avec l'Etat syrien".

La politique du "chaos constructif" a été adoptée par Hollande et sa clique néo con atlantiste pro sioniste non seulement en matière de politique étrangère (Mali Syrie...) mais également en politique intérieure pour cacher sa trahison de la France qu'il détruit de l'intérieur pour mieux aider à l'asservir à la domination mondiale ultra libérale fasciste - PRISM - US/UE/Sionisme.

Bataille d'Alep : le jour J s'approche!


IRIB- Près de dix jours après le début de l'opération Tempête du nord , les événements semblent se précipiter sur le terrain.
les soldats de l'armée nationale se poursuit de plus bel. les voies d'acheminement et de trafic d'armes et de terroristes ont été coupées et tout semble être prêt pour lancer la grande bataille. l'offensive à propre parler aura lieu à partir de quatre axes situés dans la banlieue d'Alep . dans le sud d'Alep, les accrochages sporadiques ont lieu entre les soldats et les terroristes . dans la banlieue nord d'Alep au contraire, les combats d'une très grande intensité se déroulent car c'est dans le nord d'Alep que les terroristes sont essentiellement concentrés. ces derniers jours, l'armée syrienne n'a cessé de progresser et elle a libéré plus de 12 villages situés à proximité de la première base des terroristes à savoir la ville de A'zaz . la tactique adoptée par l'armée consiste à viser les petits villages , à couper les liens entre les différentes milices puis à s'en prendre aux villages situés non loin des frontières turques . cette tactique rend plus facile l'accès prochain à la ville d'A'zaz . la décision de reprendre le contrôle de cette ville a en quelque sorte permis une certaine emprise sur les groupes rebelles , lesrebelles ont été en quelque sorte "orientés" dans le sens voulu par l'armée , disent les experts militaires . "lesterroristes ont ainsi quitté leurs positions dans la banlieue d'Alep et se sont retirés vers la ville et c'est consécutivement à cette anancée que l'armée a lancé son offensive contre Tal Rafaat , une localité qui est le second lieu de rassemblement des terroristes à Alep. la vraie bataille de libération d'Alep , selon les experts, se concentrrera sur plusieurs axes . l'offensive sera très rapide et éclaire . la place de Jabari devra être reprise en deux jours selon le plan de guerrede l'armée. les opérations se poursuivent dans l'ouest d'Alep tandis que dans le nord seuls quatre villages sont encore aux mains des rebelles. le coaur de la ville d'Alep est entre les mains d'Al Nosra, soitdes terroristes qui connaissent bien les combats de rue et qui n'hésitent à commettre des pires atrocités. la ville est également dynamitée. les soldats de l'armée ne disposent que d'unetrès étroite marge de manoeuvre . le plan d'attaque pourrait donc avoir besoin de quelques changement conjoncturels.

Sommet du G8 en Irlande du Nord Pourquoi Obama n'est pas devenu l’ami de Poutine

Pourquoi Obama n'est pas devenu l’ami de Poutine

Un sommet de glace: c'est probablement ainsi que la rencontre entre Poutine et Obama à Belfast restera dans l'histoire des relations russo-américaines. Sans lyrisme, sans un "regard qui sonde l'âme". Mais l'absence d'entente cordiale entre les dirigeants russe et américain signifie-t-elle pour autant que les relations entre les deux pays se dégradent ?
Non. Si l’on omet les dossiers transitoires qui divisent les deux pays en ce moment, la Syrie notamment, c'est exactement le contraire.
A l'époque soviétique les rencontres entre les dirigeants de Moscou et de Washington étaient plutôt rares. Cependant la rareté des réunions était largement compensée par la cordialité voire l’aspect carnavalesque de leur atmosphère.
Pendant la Seconde guerre mondiale le président américain Franklin Roosevelt aimait narguer avec Joseph Staline le premier ministre britannique Winston Churchill lors des réunions des "Trois grands" (Big Three). Par exemple, selon la journaliste américaine Lynne Olson, l'une des sessions de la conférence de Téhéran en 1943 a commencé par un mot de Roosevelt à l'oreille de Staline : "Winston est grincheux ce matin. Il s’est probablement levé du pied gauche !".
Lors de la rencontre de Leonid Brejnev avec Richard Nixon en 1974, le porte-parole du président américain avait supplié le traducteur personnel du secrétaire général soviétique, Viktor Soukhodrev, d'éviter à tout prix de se retrouver dans le champ des appareils photo et des caméras de télévision. Soukhodrev a déclaré plus tard que l'entourage de Nixon voulait donner l'impression qu'ils "communiquent comme des hommes très proches, des amis, si vous préférez".
Le sommet Brejnev-Ford en 1974 est également resté dans les annales par le grand geste du président américain. Ce dernier était sur le point de monter dans l'avion pour repartir mais tout à coup il est descendu pour mettre son manteau sur les épaules de Brejnev. Durant les négociations Leonid Brejnev n'avait pas caché son admiration pour le manteau de Ford, qui le lui a finalement offert.
La rencontre entre Brejnev et Jimmy Carter à Vienne en 1979 était encore plus unique dans l'histoire diplomatique : les présidents des deux pays se sont embrassés sur la bouche…Dans ce contexte, que signifie l'atmosphère glaciale de la rencontre entre Poutine et Obama en Irlande du Nord? Les relations russo-américaines seraient-elles pires aujourd'hui qu'en 1943, 1974 ou 1979?
Poser la question de cette façon serait erroné. Car à l’époque des présidents précédents, la cordialité extérieure des contacts personnels entre les dirigeants des deux superpuissances compensait l'absence totale de cordialité dans les véritables relations entre les deux pays.
Je m'explique. Vous souvenez-vous de l'unique rencontre soviéto-américaine qui se soit terminée sur une note pas du tout amicale? C'était à Vienne en 1961. Nikita Khrouchtchev avait fait l'erreur de croire que son nouvel homologue américain John Kennedy était un jeune homme faible et inexpérimenté avec lequel il était inutile de prendre des gants.
Cette erreur a failli entraîner un Armageddon nucléaire. Convaincu que Kennedy "se coucherait", Khrouchtchev a envoyé des missiles nucléaires à Cuba mais Kennedy ne s'est pas laissé faire. En 1962, l'Amérique et l'Union soviétique se sont retrouvées face au risque réel d'une guerre. Les deux pays ont dû faire marche-arrière de toute urgence.
D’autres moments de tension extrême surviennent toujours aujourd’hui dans les relations entre la Russie et les Etats-Unis. La dernière date de la guerre russo-géorgienne en août 2008. C'était, d'ailleurs, la base de la stratégie du président géorgien Mikhaïl Saakachvili. Il était convaincu que la Russie n'oserait pas attaquer un allié militaire américain aussi loyal que la Géorgie.
Un autre épisode de ce genre s'est produit au Kosovo en 1999. Le général Wesley Clark, commandant des forces de l'Otan en Europe, avait ordonné d'isoler les troupes aéroportées russes qui avaient pris l'aérodrome de Pristina. Mais le général britannique Mike Jackson, à qui l'ordre était adressé, avait remis l'Américain à sa place. Surnommé par ses soldats "Dark Vador" et "Prince des ténèbres", le Britannique intrépide avait répété à Clark : "Je n'ai pas l'intention de déclencher une troisième guerre mondiale pour vous !".
Mais ces deux épisodes sont de rares exceptions qui confirment la règle. Alors que la réalité quotidienne des relations entre la Russie et les USA est tout autre. Les élites politiques des deux pays continuent à ne pas du tout s'apprécier mais la probabilité d'une confrontation militaire directe entre Moscou et Washington relève de la science-fiction.
Par conséquent, les mises sont largement inférieures qu'auparavant lors des rencontres entre les deux présidents. Il me semble donc qu'Obama et Poutine peuvent se permettre le luxe d’une absence totale de cordialité dans leurs relations personnelles.
A une époque la première ministre britannique Margaret Thatcher et le chancelier allemand Helmut Kohl n'éprouvaient pas de grand plaisir à communiquer, engendrant des confusions protocolaires et des querelles pas du tout diplomatiques lors de rencontres au sommet.
Roland Dumas, ancien ministre français des Affaires étrangères, avait évoqué les relations entre ces deux figures politiques : "En décembre 1989 au sommet de l'UE à Strasbourg, le président français François Mitterrand a dû faire un effort surhumain pour réconcilier la première ministre et le chancelier. Devant mes yeux Thatcher disait des choses imprononçables sur Kohl. Ils s'engueulaient violemment".
Est-ce que cela a provoqué une catastrophe dans les relations germano-britanniques ? Non. Seuls les connaisseurs de l'histoire diplomatique européenne se souviennent des conflits entre Thatcher et Kohl. Je pense que le "manque de compréhension" entre Poutine et Obama aujourd'hui fait partie du même registre.
Je ne dirais pas que les relations russo-américaines ont atteint un tel stade de maturité, que les grands différends sur certaines questions ne peuvent rien changer. Il me semble que la maturité des relations implique un tout autre niveau de confiance. Je m'exprimerai donc ainsi : les relations entre Moscou et Washington ne rappellent plus – ni à l'un, ni à l'autre – une bombe qui pourrait exploser à tout moment.
L’opinion de l’auteur ne coïncide pas forcément avec la position de la rédaction

fr.ria.ru

Syrie: L’ordre et la morale sont russes, le désordre et l’immoralité sont occidentaux



syrie1L’ancien Premier ministre Alain Juppé (UMP) a estimé mercredi sur i-télé que "Le principal échec de ce G8 est bien sûr l’incapacité des grands chefs d’Etat et de gouvernement à se mettre d’accord sur la Syrie, le massacre va donc se poursuivre" Pour lui, la Russie est intransigeante et rigide. Bien sûr, lui, il ne l’est pas, alors qu’il exige, en tant que… Syrien, le départ de Bachar al-Assad. Ces gens ont perdu tout sens logique.
S’en prendre à la Russie qui reste dans son bon droit, le droit tout court, c’est refuser de se poser les vraies questions ou simplement la vraie question: a-t-on le droit d’armer une entité non-étatique ? Non. Or, ces gens, violent toutes les lois internationales dont ils se gargarisent en armant des terroristes. Ce n’est pas le cas de la Russie qui arme un Gouvernement légitime, n’en déplaise aux esprits chagrins.
C’est l’Occident qui est intransigeant et veut que seule sa volonté soit faite. Quand un clown-criminel comme BHL-Botul, falsificateur patenté, l’homme qui, quand il a un avis, celui contraire ne peut exister parce qu’il est le droit, Dieu et tutti quanti, n’hésite pas, dans les médias, comme il l’a fait ce matin sur BFMTV, de traiter Vladimir Poutine le président russe de salopard.  Ajoutant que, ceux qui l’écoutent en Europe ou en Amérique le sont aussi.
Bref, le droit ne doit ds’appliquer qu’aux autres mais, pour soi-même, non. La Russie veut simplement faire comprendre aux autres que c’est la fin de la récréation. Il n’est plus possible de ruser en violant des résolutions onusiennes, de contourner les règles internationales comme c’est le cas en Syrie en armant des monstres. L’insulter c’est bien la preuve que les perdants perdent leurs esprits…

G8 : débats acharnés en quête d’une plateforme commune

G8 G 8 большая восьмерка саммит

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Riabkov a qualifié de « substantiel » le bilan du sommet du G8 en Irlande du Nord. Selon le diplomate, cela concerne tant la composante politique que les aspects socio-économiques des activités du G8.

Des débats acharnés sur le problème syrien se sont déroulés au sommet. L’hypothèse de l’isolement de la Russie sur cette question s’est avérée infondée, a souligné Sergueï Riabkov, tout comme la déclaration de la partie canadienne sur le nouveau format « sept plus un ». Au contraire, le degré de coïncidence des opinions des leaders du G8 sur la Syrie exclut que la Russie soit isolée au sein du groupe.
« Les leaders réunis au sommet ont eu beaucoup de temps pour s’entretenir en direct et je suis convaincu que l’incompréhension et les tentatives pour attribuer à la Russie ce qui n’existe pas et ne saurait exister ont été réduites à néant lors de l’entretien en direct du président russe avec le premier ministre canadien. Le processus politique évolue et les interlocuteurs regrettent parfois leurs déclarations. La Russie a exposé sa position d’une manière exhaustive. »
Moscou a réaffirmé son opinion concernant l’emploi d’armes chimiques par les autorités syriennes. Cette question a été à l’origine de discussions sur la nécessité d’envisager des mesures sévères contre Damas. Selon Sergueï Riabkov, seule une expertise internationale peut établir la vérité sur l’emploi des armes chimiques. Il est impossible d’accepter les déclarations non confirmées, a ajouté le diplomate.
« Il convient de commenter le paragraphe du communiqué final concernant l’enquête sur l’emploi des armes chimiques en Syrie. Ce qui est spécifié dans le communiqué n’a pas valeur d’instruction sur le comportement à suivre par la Russie au sein du CS de l’ONU. D’autres lois sont en vigueur au CS, et la Russie précisera sa position dans chaque situation concrète. »
Dans le même temps, les Etats du G8 ne doivent pas prédéterminer les résultats de la formation d’un gouvernement de transition en Syrie. Les déclarations sur le sort du président syrien Bachar al-Assad formulées dans le communiqué final du sommet du G8 seraient nuisibles et inadmissibles pour la Russie, a dit pour conclure Sergueï Riabkov. Moscou exhorte Bruxelles et Washington à évaluer les conséquences des fournitures d’armes à l’opposition syrienne, a-t-il ajouté. Il est possible qu’elles entravent les perspectives du processus politique visant l’instauration de la paix en Syrie. T

french.ruvr.ru

Moscou: un prince saoudien veut ériger la plus haute tour du monde

Le prince saoudien Al-Walid ben Talal

Le prince saoudien Al-Walid ben Talal a révélé lundi son intention de construire le plus haut gratte-ciel du monde dans une des plus grandes villes de la planète, probablement à Moscou, rapportent les médias émiratis.
"Actuellement nous évaluons la possibilité de construire une tour de 1.600 mètres", a déclaré le prince cité par la presse locale.
Outre Moscou, Londres, New York et Shanghai figurent sur la liste des villes candidates pour accueillir ce projet ambitieux. 
"Les parties intéressées doivent nous garantir des allégements d'impôts et un soutien de l'Etat", a-t-il indiqué. 
Déjà évalué à plusieurs milliards de dollars, ce projet risque de buter sur une série de problèmes d'ordre financier et technique, estiment les experts en la matière citant à titre d'exemple la difficulté d'acheminement de l'eau vers les étages supérieurs de l'édifice.
La nouvelle tour est appelée à battre le record établi en 2010 par Burj Khalifa de Dubaï, qui culmine à 828 mètres. Elle lance en outre un défi à la Kingdom Tower de Riyad (1.000 m), dont la construction s'achèvera en 2017.

Moscou et Washington s'allient contre la menace cybernétique

Kommersant

C’est une première : au sommet du G8 Vladimir Poutine et Barack Obama ont signé des accords de confiance dans le cyberespace, écrit le quotidien Kommersant du 19 juin 2013.
La Russie compare cette avancée à la mise en place du "téléphone rouge" entre l'URSS et les USA, une ligne d'urgence visant à prévenir une guerre nucléaire. La Russie veut conclure des accords similaires avec d'autres pays et promouvoir leur adoption dans le cadre de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
"Ces accords sont révolutionnaires, note Andreï Kroutskikh, qui coordonne l'exploitation politique des TIC (technologies de l'information et de la communication) auprès du ministère des Affaires étrangères de Russie. La coopération entre la Russie et les Etats-Unis passe à la phase pratique et c'est un signal clair pour la communauté internationale : les deux pays montrent la nécessité d’une coopération pour la lutte contre les menaces dans l'espace informatique."
Au premier plan de ces mesures : l’utilisation des centres nationaux de réduction des risques nucléaires créés en 1987. Ils travaillent 24h/24 et permettent aux militaires russes et américains de s'informer mutuellement des essais balistiques en cours afin qu'ils ne soient pas interprétés comme des actes d'agression. En 1983, à la veille des exercices Able Archer de l'Otan, le système soviétique d'alerte aux attaques nucléaires s'était notamment déclenché.
Désormais ces centres seront utilisés également pour lancer l’alarme en cas d’attaque contre des sites critiques d'infrastructure informatique. Des lignes de communications et d'échange d'informations sur les incidents informatiques seront aussi mises en place à deux autres niveaux. Premièrement : un canal sera installé entre les superviseurs de la sécurité nationale. Ce canal sera utilisé en cas de crise nécessitant de mettre immédiatement les présidents au courant de la situation. Deuxièmement : une ligne directe entre les centres d'alerte et de réaction aux attaques informatiques (CERT, Computer Emergency Response Team) qui surveillent l'activité malveillante sur les réseaux.
L'élaboration de ces accords a demandé deux ans – ce ne sont donc pas de simples paroles en l’air. Le travail a commencé en juin 2011. Poutine et Obama comptaient signer ces accords en juin 2012 à Los Cabos, au Mexique mais les négociations avaient échoué au dernier moment.
Selon certaines informations, certains termes utilisés dans les accords ne convenaient pas aux parties. Washington mettait l'accent sur la protection physique de ses systèmes informatiques tandis que Moscou voulait se protéger contre l'utilisation malveillante des TIC afin d'éviter de se retrouver victime d'un virus tel que Stuxnet et d'empêcher les nouvelles technologies se transformer en arme de guerre cybernétique.
Il a été impossible de s'entendre à l'époque et les négociations ont été suspendues pendant plusieurs mois. Cependant, après une série d'attaques de hackers contre les banques américaines en août 2012 (Washington soupçonnait l'Iran d'en être l'auteur) les USA ont suggéré à la Russie de reprendre les négociations. Au final, le titre de la déclaration présidentielle reprend la version russe, tandis que son contenu et les trois accords intergouvernementaux auxiliaires incluent les deux versions.
Par ailleurs, les récentes fuites sur la surveillance à grande échelle des utilisateurs d'internet par les renseignements américains devraient renforcer les positions de Moscou dans les négociations. Désormais, Washington pourra plus difficilement se faire passer pour un leader de la lutte pour les droits de l'homme sur le web.

fr.rian.ru

L'Otan établit un couloir aérien vers la Syrie!!(Debkafile)

IRIB selon le site proche des milieux du renseignement de l'armée israélienne,
l'Otan et certains pays occidentaux avec à leur tête la Grande Bretagne viennent d'établir un couloir aérien en direction de la Syrie par où transiter des armes à destination des terroristes ! Israël  se réjouit de la décision US de lever l'embargo sur la livraison d'armes aux terroristes . selon Debka, "deux avions transportant des armes en provenance de la Libye et de l'une des capitales européennes se sont récemment posés à l'aéroport d'Istanbul et leur cargaison a été livrée aux rebelles d'Alep. la cargaison contenait des missiles anti Char, anti avion, des obus de 120mm et montables à bord des jeep!! selon Debka, 27 avions ont décolé ces dernières semaines de l'aéroport libyen à destination de la Turquie et leur convoi ont été transité en Syrie. le journaliste de al télévision d'état syrien qui rapportenetre autre cette information souligne l'extrême joie " qui est celle d'Israël en ce moment puisque les israéliens agissent désormais en tandem avec certains pays arabes pour anéantir la Syrie, un rève qu'ils caressent depuis bien longtemps". Debka fait éagelment remarquer le rôle clés de Londres dans l'ouverture de ce couloir aérien. dans un récent entretien, le président de l'entité sioniste reconnait " les liens qui relient les terroristes salafistes à Israël " en rejetant la possibilité que les armes acheminés pour les rebelles soient utilisées un jour contre israël" . " je crois que la décision de Washington d'armer les rebelles est bien sage et Israël soutient cette décision, dit Peres à Reuters.

Attention à l'arnaque : toutes ces choses qu'il ne faudrait jamais acheter d'occasion

Casques de vélo, lits bébé, casseroles, pneus de voiture... Parfois, mieux vaut payer plus cher pour acquérir un objet neuf, plutôt que d'acheter moins cher un produit d'occasion.

Pas cher, pas cher


Il est déconseillé d'acheter des chaussures d'occasion dans la mesure où elles se seront formées au pied de la personne qui les aura portées avant vous.
Il est déconseillé d'acheter des chaussures d'occasion dans la mesure où elles se seront formées au pied de la personne qui les aura portées avant vous. Crédit Reuters
A l'heure d'Internet et des sites de vente comme eBay, PriceMinister, Amazon ou encore Le Bon Coin, il est quasiment impossible de ne pas trouver le produit de votre choix d'occasion. Mais est-ce bien raisonnable ? Objet vieillot, défectueux, voire carrément dangereux : parfois, mieux vaut payer plus cher pour acquérir quelque chose de neuf. Liste non exhaustive...
Les casques
Peu importe qu'il s'agisse d'un casque de moto ou de vélo : dès qu'il a reçu un choc - même minime - la messe est dite ! Il faut en acheter un autre et se débarrasser de l'ancien car il est irrémédiablement endommagé. Et vu qu'il est impossible de connaître l'histoire d'un casque acheté d'occasion, il est préférable d'acheter un nouvel équipement neuf.
Les lits bébé
Certains enfants n'hésitent pas à maltraiter leur lit : ils sautent dedans, tirent sur les barreaux etc. Du coup, mieux vaut que votre bout de chou ne dorme pas dans un berceau acheté d'occasion et donc potentiellement endommagé. Même chose pour les sièges auto. Selon le New York Times, entre 2007 et 2010, 150 enfants sont morts étouffés ou étranglés à cause d'un lit en mauvais état.
Les chaussures
Il est déconseillé d'acheter des chaussures d'occasion dans la mesure où elles se seront formées au pied de la personne qui les aura portées avant vous. Ce conseil est notamment valable pour les chaussures de sport : une paire de baskets doit être achetée neuve pour éviter l'inconfort ou les blessures.
Les casseroles
Les revêtement antiadhésifs des casseroles s'abîment au fil du temps. Ce qui les rend, d'un part plus difficiles à nettoyer, et surtout potentiellement nocives pour la santé : en s'usant, le fond d'une casserole peut libérer des produits chimiques.
Canapés, matelas et oreillers
C'est une question d'hygiène : même si l'ancien propriétaire a vidé une bombe de Febreze sur son canapé, rien ne prouve qu'il soit propre. Imaginer les acariens, les moisissures et autres bestioles qui pourraient se cacher dans le matelas de quelqu'un d'autre vous convaincra sans doute d'en acheter un neuf.
Les aspirateurs 
C'est un des appareils les plus utilisés dans une maison. Résultat : ils s'usent assez rapidement. Si vous avez besoin d'un aspirateur en bon état pour dépoussiérer tout votre appartement, il serait préférable d'investir un peu plus mais dans un objet flambant neuf.
Les pneus de voiture 
Acheter des pneus usagés n'est jamais une bonne idée, car la chape peut être abimée. Cela vous fera plus mal au portefeuille de les acheter en magasin, mais la sécurité avant tout !
Les logiciels
Les logiciels sont codés pour être utilisés sur un nombre limité d'ordinateurs. Vous pourriez donc vous faire arnaquer si vous acheter une copie utilisée. Et maintenant que vous savez ce qu'il ne faut PAS acheter d'occasion, voici les objets sur lesquels vous pouvez économiser en les achetant de seconde main : les vélos ; les voitures ; les livres ; les habits d'enfants ; les appareils électroménagers exception faite des aspirateurs (réfrigérateurs, machines à laver etc.) ; les meubles ; DVDs, lu-Rays et jeux vidéos.

atlantico.fr

Syrie: l’armée tente d‘écraser les rebelles près de Damas


L’armée syrienne tente mardi d‘écraser les bastions rebelles autour de Damas, a indiqué l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) faisant état combats dans plusieurs secteurs.
“Les troupes gouvernementales combattent les rebelles à Zamalka, et Mleiha, à l’est de Damas, maintiennent le siège de Douma (nord-est) et pilonnent Daraya et Moadamyat al-Cham, au sud-ouest de la capitale”, a précisé cette ONG basée en Grande-Bretagne, ajoutant que des affrontements opposaient également rebelles et soldats dans la région de Qadam, au sud-ouest de Damas.
Damas est entouré de zones chaudes, de Daraya (sud-ouest) à Douma (nord-est).
“Le régime tente de remporter des victoires autour de Damas pour rendre la confiance à ses partisans”, a dit à l’AFP le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane. Mais la Ghouta orientale, qui borde l’est de la capitale, “est très différente de Qousseir”, ancien bastion rebelle tombé le 5 juin aux mains du régime après trois semaines de combats, relève-t-il.
Le militant Ahmad al-Khatib, basé à Damas, décrit la région de la Ghouta orientale comme étant “le talon d’Achille” de la zone. “Le régime pilonne les régions avant de donner l’assaut car son infanterie est faible”, explique M. Khatib, membre de la Commission générale de la Révolution syrienne (CGRS).
Hezbollah
“Les combats sont féroces, mais personne n’en sort vainqueur pour le moment. Le siège imposé par l’armée rend la situation difficile, cependant la position des rebelles de l’Armée syrienne libre (ASL) dans la Ghouta orientale est beaucoup plus solide qu’elle ne l‘était à Qousseir”, explique de son côté un autre militant, Abou Nadim, basé à Douma.
Mais la situation humanitaire dans les régions rebelles se dégrade. “Il n’y a pas de médicaments, les produits alimentaires sont rares. Nous nous nourrissons de pain sec”, affirme-t-il à l’AFP via internet.
Par ailleurs, à Sayeda Zeinab, haut-lieu chiite religieux dans le sud-est de Damas, les combats font rage entre rebelles d’un côté et forces gouvernementales et combattants chiites libanais du Hezbollah de l’autre, selon l’OSDH qui s’appuie sur un large réseau de militants et médecins à travers la Syrie.
Le Hezbollah combat en Syrie aux côtés de l’armée régulière dans plusieurs régions, notamment au sud-est de Damas, dans la province centrale de Homs, et à Alep dans le nord, souligne M. Abdel Rahmane.
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Canada: accusé de corruption, le maire de Montréal démissionne


Le maire de Montréal Michael Applebaum a annoncé sa démission mardi en raison des poursuites judiciaires qui le visent, tout en affirmant son innocence et sa volonté de se défendre contre les accusations de complot et de corruption.
“Je maintiens mon innocence”, a déclaré l’homme politique de 50 ans, affirmant son “intention de (se) battre” après s‘être vu signifier lundi 14 chefs d’accusation par une unité anti-corruption de la police québécoise.
“Etre maire n’est pas une tâche qu’on peut faire en se défendant face à des accusations et vous comprendrez que je mettrai toutes mes énergies dans ma défense et ma famille”, a-t-il dit.
Il avait été arrêté lundi et longuement interrogé par l’unité anti-corruption de la police sur une affaire de pots-de-vin, antérieure à sa nomination comme édile, avant d‘être remis en liberté.
“Je n’ai jamais pris un sou à personne”, a encore lancé M. Applebaum, premier maire anglophone de Montréal en un siècle, qui avait succédé en novembre dernier à Gérald Tremblay, démissionnaire en raison de soupçons de corruption pesant sur son équipe.
Il a quitté le grand hall de l’Hôtel de ville sans répondre aux questions des médias.
Les élections municipales n’auront lieu que le 3 novembre prochain. Un maire intérimaire va être choisi dans les prochains jours au sein du conseil municipal.
“La campagne électorale a déjà commencé”, a constaté une conseillère municipale respectée, Chantal Rouleau. “C’est un jour triste pour Montréal, mais il fallait bien nettoyer toute cette saleté qui s’y est incrustée”, a-t-elle ajouté.
Dans le sillage de la démission du maire, un élu municipal du parti Projet Montréal, François Croteau, a annoncé sa candidature aux fonctions de maire intérimaire, et d’autres annonces devaient suivre.
M. Applebaum se trouvait depuis la veille sous une forte pression de la classe politique québécoise. La Première ministre Pauline Marois avait dit clairement qu’il serait bien inspiré de quitter ses fonctions.

Tout n’est pas pourri
Les habitants de Montréal semblaient accueillir sa décision avec soulagement.
“C’est une décision respectable, c’est ce qu’il devait faire”, a estimé Jérôme Martin, auteur-compositeur de 34 ans, rencontré dans une rue proche de l’Hôtel de Ville. “Mais en même temps, c’est comme une admission de culpabilité, cela veut dire qu’il n’a pas de munitions pour se défendre”.
Un avocat quadragénaire, Me David Temim, fumant une cigarette devant l’entrée d’un immeuble de bureau, pense que cette démission porte un coup dur à la mairie. “C’est terminé, la crédibilité du conseil municipal”, dit-il, préconisant la mise sous tutelle de la ville “pas pour six mois, mais pour deux ou trois ans”.
Effectivement, depuis un an, Montréal vit au rythme de révélations faites devant la commission d’enquête publique, dite Commission Charbonneau, sur un vaste système de corruption impliquant responsables municipaux, partis politiques, entrepreneurs du BTP et criminalité organisée.
Mme Marois a néanmoins affirmé qu’il n‘était pas nécessaire de mettre Montréal sous tutelle gouvernementale, estimant en substance que tout n’est pas pourri à la mairie et qu’il y a des conseillers municipaux bénéficiant de la confiance des habitants et capables de prendre le relais.
Les médias canadiens ont identifié les deux dossiers immobiliers de l’arrondissement Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, dirigé à l‘époque par M. Applebaum, qui auraient donné l’occasion aux versements de pots-de-vin de plusieurs dizaines de milliers de dollars entre 2006 et 2011.
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Mousson en Inde: 120 morts, des milliers de personnes bloquées


Des hélicoptères militaires ont lancé des colis de nourriture à des milliers de personnes coincées par les inondations dans le nord de l’Inde, où au moins 120 personnes ont péri depuis la fin de la semaine dernière, ont indiqué les autorités, prises au dépourvu par une mousson précoce.
Depuis l’arrivée de la mousson sur le nord du pays, avec deux semaines d’avance sur la date habituelle, les Etats d’Uttarakhand et de l’Himachal Pradesh ont reçu un volume de précipitations trois fois supérieur à la normale en cette période de l’année.
“Au moins 110 personnes sont mortes. Le gouvernement de l’Etat et l’armée tentent de secourir des milliers de touristes qui sont coincés près des endroits inondés et des lieux saints hindous”, a déclaré Jaspal Arya, ministre des Secours en Uttarakhand.
Les autorités ont annulé les pèlerinages, nombreux dans l’Uttarakhand, baptisé “l’Etat des dieux” en raison de la multitude des temples et des lieux de pèlerinage.
Des pans entiers du temple de Kedarnath ont été recouverts de boue mardi et quelque 10.000 pèlerins sont coincés à proximité, a ajouté le ministre auprès de l’AFP.
Les pluies violentes de la mousson ont démarré samedi dans cette région du nord et une quarantaine de camps d’assistance ont été depuis montés pour accueillir touristes, pèlerins et habitants. Selon le secrétaire en chef de l’Etat, Subash Kumar, 21 ponts se sont effondrés, isolant plusieurs villages.
Dans l’Himachal Pradesh, l’Etat voisin, des inondations ont détruit plus de 500 maisons et au moins dix personnes sont mortes dans des glissements de terrain.
L’arrivée de la mousson avec deux semaines d’avance sur la date habituelle a pris par surprise les autorités du pays et souligné une nouvelle fois les lacunes des programmes de prévention et de secours.
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A Berlin, Obama veut s’inscrire dans l’Histoire


Dans un discours qu’il veut inscrire dans l’Histoire, Barack Obama va proposer mercredi devant la Porte de Brandebourg berlinoise de tourner définitivement la page de la Guerre Froide avec une réduction significative des arsenaux stratégiques nucléaires américain et russe.
Cinquante ans presque jour pour jour après le “Ich bin ein Berliner” de John F. Kennedy, et 26 après que Ronald Reagan a lancé son “M. Gorbatchev, abattez ce Mur”, Obama va plaider pour un désarmement nucléaire massif.
Il doit aussi avoir un entretien en tête à tête avec la chancelière Angela Merkel, avec laquelle il a développé une relation empreinte de respect mais qui a déjà fait savoir qu’elle réclamerait des détails sur les programmes d’espionnage du net, qui viseraient singulièrement les étrangers.
Lors de son discours, Obama va proposer de ramener à 1.000 têtes les arsenaux nucléaires des Etats-Unis et de la Russie, et suggérer également une réduction des arsenaux nucléaires tactiques en Europe.
“Nous allons tenter de négocier ces réductions avec la Russie afin de continuer à dépasser les positions qui avaient prévalu pendant la Guerre Froide”, a indiqué un responsable américain.
Le contexte semble peu propice pour obtenir un tel geste de la part de la Russie, après l’ambiance glaciale qui a régné entre Obama et le président russe Vladimir Poutine lors du G8 en Irlande du nord
M. Obama va également s’engager à participer à un sommet sur la sécurité nucléaire à La Haye l’année prochaine et à organiser un sommet équivalent en 2016, dernière année de sa présidence.
Le Président américain cherche à faire de la lutte pour le désarmement nucléaire un axe fort de son bilan politique, déjà crédité d’un nouveau traité Start de réduction des armements négocié avec Moscou lors de son premier mandat. Les deux anciens ennemis de la Guerre froide étaient convenus d’abaisser leur stocks à 1.550 ogives.
Obama demeure extrêmement populaire en Allemagne où il avait été accueilli comme une rock star par 200.000 personnes il y a cinq ans, alors simple candidat.
Dans un sondage publié par l’hebdomadaire Die Zeit, il considéré par 42% des Allemands comme un meilleur dirigeant politique qu’Angela Merkel, qui malgré sa très forte popularité, n’est considérée que par 34% des personnes interrogées comme la meilleure dirigeante des deux.
Depuis ses appels à une alliance transatlantique pour “changer le monde” en combattant le terrorisme, le réchauffement climatique, le conflit du Proche-Orient ou la pauvreté, Obama a pourtant dû prendre la mesure de la résistance au changement, dans son pays comme à l‘étranger.
Mais le Président ne devrait pas s’attarder sur la frustration liée à certains ce ces espoirs, selon son conseiller adjoint pour la sécurité nationale, Ben Rhodes. “Chaque fois qu’un président parle à Berlin, notre histoire d’après-guerre est en toile de fond,”, expliquait-il en amont de la visite. “C’est ici que les présidents sont venus pour parler du rôle du monde libre”, selon lui.
“Son message essentiel sera que pour faire face au défis d’aujourd’hui il faut le même niveau d’engagement citoyen et le même militantisme que ce que prônait Kennedy”, selon lui.
Lorsqu’il rencontrera Angela Merkel en milieu de journée à la chancellerie, M. Obama sera pressé de questions sur le programme de l’Agence américaine de sécurité nationale (NSA) qui collecte des données circulant sur le net et fouille des relevés téléphoniques, aux Etats-Unis et à l‘étranger. La question est particulièrement sensible dans un pays où une partie de la population était constamment espionnée par la police politique de l’ex-RDA communiste, la Stasi.
“Je vais réclamer plus de transparence”, a averti lundi Mme Merkel, qui a grandi en ex-RDA, comme le Président de la république Joachim Gauck qui recevra M. Obama en début de matinée.
Obama, qui est arrivé mardi soir à Berlin en provenance du sommet du G8 en Irlande du Nord, a assuré se féliciter du débat entre protection des données personnelles et défense contre le terrorisme.
Mais il n’est pas certain qu’il satisfasse les Allemands, tant ses explications ont été jusqu‘à présent floues.
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Nigeria: 9 étudiants tués lors de l’attaque d’une école


Neuf étudiants ont péri dans l’attaque de leur école de Maiduguri, capitale de l’Etat de Borno, dans le nord-est du Nigeria, et fief de Boko Haram, par des hommes en armes qui ont ouvert le feu, a-t-on appris mardi par des habitants.
Les représentants des forces de l’ordre n’ont pu être joints immédiatement pour commenter cette attaque, survenue lundi après-midi dans un établissement privé du quartier de Jajeri, dans la banlieue de Maiduguri.
Peu après le début de l’examen de fin d’année, “les hommes de Boko Haram sont entrés et se sont mis à tirer dans tous les sens dans le hall d’examen”, a déclaré Mohammed Saleh, parent d’un des défunts, à l’AFP.
“Neuf étudiants ont été tués sur le coup, c’est ce que nous ont rapporté les représentants de l‘école aujourd’hui, quand ils sont venus nous présenter leurs condoléances”, a-t-il précisé.
“J‘étais à l’intérieur de l‘école, lundi après-midi, quand j’ai entendu des coups de feux”, a rapporté à l’AFP David Buba, un étudiant. “J’ai vu les gens courir et je me suis caché jusqu‘à ce que je voie des cadavres évacués du hall d’examen 30 minutes plus tard”.
Selon des témoignages, une autre attaque de Boko Haram s’est produite dans une communauté de pêcheurs au bord de la rivière Alau, à 10 kilomètres de Maiduguri, mais on ignore à quel moment elle est survenue et le nombre exact de victimes qu’elle a fait.
Déjà, dans la nuit de dimanche à lundi, des membres présumés de Boko Haram avaient ouvert le feu sur une école secondaire de Damaturu, dans l’Etat voisin de Yobe, tuant sept étudiants et deux professeurs. Deux agresseurs avaient également été tués, selon l’armée.
L’armée a lancé à la mi-mai une offensive de très grande envergure contre le groupe Boko Haram dans les Etats de Borno, Yobe et Adamawa (nord-est) où l‘état d’urgence avait été décrété.
Dans un message audio obtenu mardi par l’AFP, le porte-parole présumé de Boko Haram, Abu Zinnira, a déclaré mener une “guerre ouverte” à la jeunesse de Maiduguri et de l’Etat de Yobe, l’accusant d’avoir collaboré avec l’armée nigériane contre le groupe islamiste.
“Nous vous déclarons une guerre ouverte parce que vous avez formé une alliance avec l’armée et la police nigériane pour combattre nos frères”, dit-il dans un message d’une minute en haoussa, la langue la plus répandue dans le nord du Nigeria.
“Nous appelons tous les parents qui tiennent à la vie de leur fils de l’empêcher de mettre nos membres en danger, sinon il est mort”, menace-t-il.
Dans un communiqué publié lundi, le général Olukolade, porte-parole des armées, avait mentionné les actions de jeunes organisés au sein de milices privées “organisées pour aider à repérer les terroristes au sein de leurs communautés” dans les régions concernées par l‘état d’urgence. C’est sans doute à ces jeunes que fait allusion le message de Boko Haram.
Les attentats de Boko Haram et la répression de l’insurrection par les forces de sécurité ont fait au moins 3.600 morts depuis 2009, selon l’ONG Human Rights Watch.
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Afghanistan: Kaboul suspend les discussions avec Washington


Le gouvernement afghan a suspendu mercredi les négociations avec Washington sur un accord bilatéral de sécurité en réaction à l’annonce de discussions entre les Américains et les rebelles talibans, a annoncé le porte-parole du président afghan Hamid Karzaï.
“Il y a une contradiction entre ce que le gouvernement américain dit et ce qu’il fait en ce qui concerne les discussions de paix”, a déclaré à l’AFP le porte-parole, Aimal Faizi. Les talibans ont ouvert mardi un bureau politique à Doha, Washington annonçant dans la foulée l’envoi d‘émissaires sur place.
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La Syrie portera plainte contre la Tunisie devant le Tribunal de la Haye

C’est le journal syrien « Al-Watan » qui l’a annoncé hier 17 juin : la Syrie a constitué des dossiers à charge contre le gouvernement tunisien qu’elle va porter devant le Conseil de Sécurité de l’ONU et devant la Cour Internationale de Justice (CIJ). Principaux accusés, Rached Ghannouchi et Moncef Marzouki. Le premier pour avoir organisé l’expédition de jeunes Tunisiens en Syrie, le second pour avoir laissé faire cette opération criminelle pour plaire aux Qataris.



La Syrie portera plainte contre la Tunisie devant le Tribunal de la Haye
Soutenu par des juristes et des enquêteurs occidentaux indépendants, le gouvernement syrien a pu constituer un dossier accablant contre la Troïka au pouvoir et plus particulièrement contre la section des Frères musulmans en Tunisie, le mouvement Ennahda.

Ce dossier est principalement constitué par les témoignages des dizaines de terroristes tunisiens arrêtés en Syrie, par les plaintes des familles syriennes dont ces terroristes ont massacré leurs proches et pillé leurs maisons, par des documents ultra-secrets qui prouvent l’implication directe des autorités tunisiennes, politiques, policières et douanières, et même par les plaintes de deux familles tunisiennes dont les enfants ont été tués par l’armée arabe syrienne et dont nous ne révèlerons pas les noms pour des raisons faciles à deviner.

Deux experts Allemands qui ont contribué à la constitution de ce dossier ont déclarés qu’au-delà des meurtres et des pillages, qui relèvent du simple droit pénal, la somme des affaires collectées pourrait en revanche relever du crime contre l’Humanité. C’est la raison pour laquelle le gouvernement syrien s’adressera d’abord à la Cour Internationale de Justice (CIJ), dont le siège est à la Haye et qui constitue le principal organe judiciaire des Nations Unies.

C’est plus exactement par le biais de la Russie, qui est membre permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU, que les Syriens comptent présenter à cette instance le dossier, qui sera aussi appuyé par la Chine, autre membre du Conseil de Sécurité. Avec ces deux alliés de taille, l’instauration d’un Tribunal Pénal International, à l’instar de l’ex-Yougoslavie ou du Liban, pourrait voir le jour pour juger certaines personnalités politiques tunisiennes, dont Rached Ghannouchi et Moncef Marzouki.

Toujours selon « Al-Watan », le même dossier a été constitué contre le gouvernement turc, qui n’est par contre pas concerné par les crimes contre l’humanité, puisque les Syriens n’ont pas arrêtés des terroristes de nationalité turque. L’implication du gouvernement turc se limiterai au soutien logistique aux terroristes en assurant leur transfert jusqu’aux frontières turco-syriennes.

Tunisie-Secret a déjà révélé plusieurs fois le degré d’implication de la Tunisie dans l’exportation des terroristes tunisiens vers la Syrie. Preuves à l’appui, nous avons démontré l’implication de Rached Ghannouchi en personne, qui a confié cette mission criminelle à Saïd Ferjani, l’homme de l’ombre. C’est ce dernier qui a coordonné toute l’opération avec l’un des anciens proches collaborateurs de Ben Laden, le terroriste libyen Abdelhakim Belhadj.

L’ancien terroriste Habib Ellouze, qui est aujourd’hui membre de l’Assemblée constituante, et l’obscurantiste Adel Almi, ont donné des consignes pour que leurs imams dans les différentes mosquées du territoire tunisien se chargent de l’endoctrinement et du recrutement des futures djihadistes. Les jeunes Tunisiens qui ont été envoyé au Djihad ont été tous entrainés en Libye, soi-disant pour un stage d’étude coranique, avant de prendre l’avion vers la Turquie. Toute cette opération qui s’est étalée sur plus d’une année a été financée par des fonds saoudiens et qataris.

Degré supérieur de l’abjection, parmi ces centaines de jeunes envoyés en Syrie avec leur consentement ou par ruse, il y avait un jeune handicapé qui s’appelle Hamza Iqbal. Selon son frère Mohamed, il ne pouvait pas porter une arme mais servir lui-même de chaire à canon pour un attentat suicide.Tunisie-Secret.com

Karim Zmerli


tunisie-secret.com
Témoignage des parents des terroristes Tunisiens emprisonnés en Syrie.