10 juin, 2013

La France autorise le cannabis dans les médicaments


Les médicaments peuvent à présent contenir du cannabis en France. ©Phovoir
Les médicaments peuvent à présent contenir du cannabis en France. ©Phovoir (destinationsante.com)
Le cannabis fait désormais partie des principes actifs autorisés dans les médicaments vendus en France. En effet, depuis le mercredi 5 juin, un décret autorise l’utilisation de cette substance psycho-active et de ses dérivés naturels dans les spécialités pharmaceutiques prescrites dans l’Hexagone. Publié au Journal Officiel, ce texte est entré en vigueur dès le lendemain.
Depuis moins d’une semaine, des médicaments contenant du cannabis ou ses dérivés naturels peuvent se voir délivrer une autorisation de mise sur le marché (AMM) par l’Agence nationale du Médicament et des Produits de Santé (ANSM). Cette décision est conforme à une directive européenne. Ce texte autorise en outre « les opérations de transport, d’importation, d’exportation, de détention, d’offre, de cession, d’acquisition ou d’emploi relatives à ces spécialités ». Pour le moment, « aucune AMM n’a encore été obtenue par un médicament à base de cannabis dans l’Hexagone », nous précise l’ANSM.
Soulager les malades de sclérose en plaques
En février dernier, la ministre de la Santé, Marisol Touraine, avait indiqué être favorable à l’étude par l’ANSM du dossier concernant le Sativex® (Bayer), un médicament à base de dérivés naturels du cannabis. Jusqu’à la publication du décret ce 5 juin, « le Code de Santé publique ne permettait pas de délivrer une AMM à une spécialité à base de dérivés naturels de cannabis en France », précise l’ANSM. En revanche « des médicaments à base de dérivés de synthèse de cannabis, comme le dronabinol, ont reçu des autorisations temporaires d’utilisation (ATU) ces dix dernières années. »
Le Sativex® est déjà disponible dans plusieurs pays européens et au Canada. Il se présente sous la forme d’un spray buccal permettant de diminuer les douleurs et les contractures sévères et résistantes de certains patients atteints de sclérose en plaques (SEP).

midilibre.fr

Syrie : des missiles israéliens découverts à Jarmana, des terroristes tués à Deir Ezzor

IRIB – Les unités de l'armée syrienne ont découvert et confisqué un véhicule équipé de 10 missiles israéliens L.A.W, ainsi que plusieurs ceintures explosives appartenant aux terroristes, dans la région de Jarmana, dans la banlieue de Damas.
D'autre part, les forces de l'armée syrienne ont tué plusieurs terroristes dans la banlieue de Rastan, de Talkahk et de Hassiya et détruit des équipements qui leurs appartenaient. Les forces de l'armée syrienne ont aussi détruit des cachettes des terroristes dans le village Al-Hesn dans la banlieue de Talkakh, mais aussi, dans le village d'Al-Ghajar, dans la banlieue de Rastan.

Mondial 2014: le Burkina Faso y croit, le Niger est éliminé

Le Burkinabè Jonathan Pitroipa, après son but contre le Togo, pendant la CAN 2013, le 3 février 2013.
Le Burkinabè Jonathan Pitroipa, après son but contre le Togo, pendant la CAN 2013, le 3 février 2013.
REUTERS/Thomas Mukoya

Par RFI
L’équipe du Burkina Faso s’est relancée en éliminatoires de la Coupe du monde 2014, ce 9 juin 2013 à Niamey. Les Bukinabè ont arraché une précieuse victoire 1-0 au Niger. Les Nigériens sont, eux, éliminés de la course au Mondial 2014.

Les Burkinabè l’ont fait : ils se sont imposés à Niamey, la citadelle imprenable du Mena depuis plusieurs mois. Les vice-champions d’Afrique ont gagné 1-0 au Niger, ce 9 juin 2013, grâce à un but tardif de Jonathan Pitroipa (81e).
Ce résultat fait la joie des Etalons et le désespoir des Nigériens. Avec 6 points, l’équipe du Burkina Faso prend la deuxième place du groupe E, en éliminatoires de la Coupe du monde 2014. Le Niger, de son côté, est éliminé. Avec 3 points, Moussa Maazou et ses partenaires ne peuvent plus rattraper le Congo, premier avec 10 points, à deux journées de la fin de la phase de poules.
2 juin 2012 -
Burkina Faso - Congo 0-3 sur tapis vert
3 juin 2012 -
Niger - Gabon 3-0 sur tapis vert
9 juin 2012 -
Gabon - Burkina Faso 1-0
Congo - Niger 1-0
23 mars 2013 -
Congo - Gabon 1-0
Burkina Faso - Niger 4-0
8 juin 2013 -
Gabon – Congo 0-0
9 juin 2013 -
Niger – Burkina Faso 0-1
14 au 18 juin 2013 -
Congo – Burkina Faso
Gabon – Niger
6 au 10 septembre 2013 -
Burkina Faso – Gabon
Niger – Congo

Equipes J G N D B
C Diff. Pts
1. Congo 4 3 1 0 5 0 +5 10
2. Burkina Faso 4 2 0 2 5 4 +1 6
3. Gabon 4 1 1 2 1 4 -3 4
4. Niger 4 1 0 3 3 6 -3 3
J : joués ; G : gagnés ; N : nuls ; D : défaites ; B : buts marqués ; C : encaissés ; Diff. : différence de buts ; Pts : points

Mondial 2014: le Burkina Faso y croit, le Niger est éliminé

Le Burkinabè Jonathan Pitroipa, après son but contre le Togo, pendant la CAN 2013, le 3 février 2013.
Le Burkinabè Jonathan Pitroipa, après son but contre le Togo, pendant la CAN 2013, le 3 février 2013.
REUTERS/Thomas Mukoya

Par RFI
L’équipe du Burkina Faso s’est relancée en éliminatoires de la Coupe du monde 2014, ce 9 juin 2013 à Niamey. Les Bukinabè ont arraché une précieuse victoire 1-0 au Niger. Les Nigériens sont, eux, éliminés de la course au Mondial 2014.

Les Burkinabè l’ont fait : ils se sont imposés à Niamey, la citadelle imprenable du Mena depuis plusieurs mois. Les vice-champions d’Afrique ont gagné 1-0 au Niger, ce 9 juin 2013, grâce à un but tardif de Jonathan Pitroipa (81e).
Ce résultat fait la joie des Etalons et le désespoir des Nigériens. Avec 6 points, l’équipe du Burkina Faso prend la deuxième place du groupe E, en éliminatoires de la Coupe du monde 2014. Le Niger, de son côté, est éliminé. Avec 3 points, Moussa Maazou et ses partenaires ne peuvent plus rattraper le Congo, premier avec 10 points, à deux journées de la fin de la phase de poules.
2 juin 2012 -
Burkina Faso - Congo 0-3 sur tapis vert
3 juin 2012 -
Niger - Gabon 3-0 sur tapis vert
9 juin 2012 -
Gabon - Burkina Faso 1-0
Congo - Niger 1-0
23 mars 2013 -
Congo - Gabon 1-0
Burkina Faso - Niger 4-0
8 juin 2013 -
Gabon – Congo 0-0
9 juin 2013 -
Niger – Burkina Faso 0-1
14 au 18 juin 2013 -
Congo – Burkina Faso
Gabon – Niger
6 au 10 septembre 2013 -
Burkina Faso – Gabon
Niger – Congo

Equipes J G N D B
C Diff. Pts
1. Congo 4 3 1 0 5 0 +5 10
2. Burkina Faso 4 2 0 2 5 4 +1 6
3. Gabon 4 1 1 2 1 4 -3 4
4. Niger 4 1 0 3 3 6 -3 3
J : joués ; G : gagnés ; N : nuls ; D : défaites ; B : buts marqués ; C : encaissés ; Diff. : différence de buts ; Pts : points

Missiles russes: l'Iran refuse de recevoir les Tor au lieu des S-300

Missiles russes: l'Iran refuse de recevoir les Tor au lieu des S-300
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Les missiles sol-air Tor que la Russie a proposé de livrer à l'Iran à la place des S-300 ne conviennent pas au système de défense iranien, a déclaré lundi à Moscou l'ambassadeur iranien Mahmoud Reza Sadjadi.
"Le système Tor qu'on nous a proposé ne peut pas remplir les fonctions des S-300 dans le cadre du système spécial de défense que nous avons créé", a indiqué M.Sadjadi lors d'une conférence de presse.
La Russie a signé un contrat d'environ 800 millions de dollars avec l'Iran sur la livraison de cinq unités complètes de missiles sol-air S-300 en 2007. En 2010, Moscou a rompu le contrat en application de la résolution 1929 du Conseil de sécurité de l'ONU interdisant la livraison d'armes conventionnelles à Téhéran. Le ministère iranien de la Défense a porté plainte auprès de la Cour internationale d'arbitrage de Genève contre l'exportateur d'armes russe Rosoboronexport. La République islamique cherche à obtenir 4 milliards USD de réparations. Selon les médias, Téhéran est prêt à retirer sa plainte si Moscou honore le contrat.
Le directeur du holding russe de hautes technologies Rostec Sergueï Tchemezov a déclaré fin mai que la Russie avait peu de chances de gagner le procès et que Moscou cherchait à régler l'affaire à l'amiable, mais "en vain".
Les missiles sol-air S-300 peuvent abattre les avions et les missiles balistiques. Le système S-300 est capable d'attaquer six cibles à la fois et a une portée de 200 kilomètres.
Les missiles sol-air Tor ont quant à eux une portée de 12 kilomètres.

Rumeurs de coup d’État militaire contre Hollande

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Un groupe d'officiers de l'armée française se présentant comme le « Mouvement Marc Bloch », avait déjà dit à haute voix en mars dernier que le gouvernement devait arrêter de massacrer la défense du pays car les services de sécurité du pays sont menacés de ne pas pouvoir défendre le territoire, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur.

Ce mouvement faisait suite aux colères de nombreux soldats français qui n'avaient pas été payés durant plusieurs mois en temps et en heure et dont les épouses avaient lancé un cri avec « Un paquet de Gauloises » sur le Net. A une époque où les actes de violences augmentent en France et en dehors de ses frontières, on apprend que l'armée ne pourrait plus défendre son pays et que l’État mettrait sur écoute les militaires critiques envers la politique du gouvernement. Des cadres de l'armée penseraient à un coup d’État militaire pour sauver la nation. C'est le groupe Lys Noir qui revient l'affirmer en disant que Hollande ne peut pas terminer son mandat.
Mouvement Marc Bloch. S'adressant à leurs concitoyens dans une lettre publiée sur Francetvinfo en mars dernier, de jeunes officiers se définissant comme tels et disant appartenir à différents corps de l'armée française, se sont engagés pour défendre leurs compatriotes, les intérêts de la France. En faisant référence à Marc Bloch, ces jeunes officiers font appel à l'esprit de la résistance au sein de l'armée qui est devenu leur idéal aujourd'hui. Pour la petite histoire, on peut lire dans le courrier du Mouvement que « Marc Bloch a dénoncé les dysfonctionnements administratifs de l’armée et l’abandon moral des élites françaises des années 1930. Marc Bloch fut aussi un officier exemplaire pendant deux guerres mondiales, et un résistant de la première heure fusillé par les nazis. Nous nous réclamons de lui car il était un vrai soldat et un analyste lucide des travers qui avaient précipité la France dans la défaite ».
Destruction de l'armée française. Déjà, pendant l'année 2011, on a pu lire que 10 000 soldats étaient privés de leur solde. « Les primes de mission dangereuse ne sont pas payées, ce qui représente un important manque à gagner », avait dénoncé les familles de soldats. En 2012, ce sont des milliers de soldats qui n'ont pas touché leur solde pour le mois de décembre et qui n'ont pu que puiser dans leur épargne pour payer les fêtes de fin d'année. Régulièrement, de nombreux soldats perçoivent 150 euros par mois pour vivre. Endettés, nombreux sont ceux qui ont été précipités dans une situation financière catastrophique avec des découverts à la banque et l'obligation de vivre chez leurs parents. Le pire est que ces fonctionnaires de l’État ont l'interdiction de donner leur avis personnel sur leur situation sous peine de sanctions disciplinaires. Dans une vidéo postée sur le site Secretdefiance qui évoque aussi Lys Noir,le général Général Vincent Desportes explique qu' « au Mali, l'armée s'est battue avec du matériel âgé de 40 ans, avec des véhicules sans air conditionné. Que seulement 10 % de l'armée de terre est au standard. Que l'armée française est dans les mains des États-Unis. Que les États-Unis vont bientôt larguer la France et qu'il faut sauver l'armée française car quand vous n'avez plus de défenses, vous êtes attaqués. La version du livre blanc 2013 montre que l'armée ne sera pas modernisée ».
Enfants de soldats. Parmi les manifestants du Printemps françaisqui sont des veilleurs et qui ont été arrêtés par la police, on trouve des enfants de soldats de l'armée française et de nombreux catholiques. Ces enfants de soldats dont les parents ont pour mission de se sacrifier pour la France ne peuvent pas aujourd'hui accepter et avaler que leur pays les traite comme des criminels. « 750 veilleurs et manifestants du printemps français ont été arrêtés» critiquent-ils. Même si le discours tenu dans le magazine en ligne Arsenal semble aller loin dans le souhait d'un coup d’État militaire, il ne cache pas pour autant un profond malaise dans la société qui est réellement divisée. Il suffit de lire ces phrases pour le comprendre : « En revanche, maintenant c'est clair. Nous persistons à penser que la survie de la France des gens bien élevés ne tient plus qu'à une réaction brutale, désespérée et sauvage des officiers catholiques. Nous ne voyons de salut que dans l'action de capitaines aux œillets sortant des casernes pour installer le digne Jean-Pierre Chevènement à l’Élysée, sinon la sainte affaire de salut dont parlent la plupart des officiers catholiques en privé échouera et nous n'aurons plus qu'à faire place net au Grand Remplacement ». Les membres d'Arsenal précisent : « Nous ne connaissons pas Béatrice Bourges. Si le Printemps français est bien une sorte de mai 68 ou de Printemps arabe, nous en sommes évidemment. Si le Printemps français c'est uniquement le groupe coopté par Béatrice Bourges autour de la marque déposée Printemps français, nous n'en sommes évidemment pas. Nos rapports structurels avec Béatrice Bourge sont donc inexistants et le resteront. Ce n'est pas du mépris. Les acteurs d'une Révolution n'ont pas à se connaître ». Arsenal dénonce la volonté des services de police de faire un lien entre le Lys Noir et Béatrice Bourges et précisent qu'ils sont des « éléments plus radicaux que Béatrice Bourges ».

french.ruvr.ru

Le tournant d’Al-Qusseir : l’armée syrienne en passe de remporter la guerre


Prédisant chaque semaine un effondrement du pouvoir syrien, les Etats-Unis, la Grande Bretagne, la France, Israël, la Turquie, le Qatar et l’Arabie Saoudite sont obligés de déchanter devant les offensives victorieuses de l’armée syrienne et particulièrement celle qui a permis la libération totale de la région d’ Al-Qusseir qui a rendu, dorénavant,  impossible l’infiltration et l’approvisionnement en armes des mercenaires islamistes engagés par leurs sponsors dans une guerre d’extermination du peuple syrien.
Toute l’infrastructure militaire, édifiée pendant deux années dans la ville susnommée et dans les dizaines de villages de cette région, a été complètement détruite par les troupes syriennes épaulées par les forces de défense nationale ( civils syriens en armes, l’équivalent de nos patriotes durant la décennie rouge) et des éléments du Hezbollah libanais.
Cette main mise sur la région d’Al-Qusseir, hautement stratégique, a permis aussi de rétablir la jonction et les liaisons entre les régions littorales de la mer méditerranée avec le centre et le sud du pays. Ce qui va permettre à l’armée syrienne d’acheminer renforts et armes aux différentes régions du nord en passant par la province de Lattaquié vers Alep et Idlib
Le bilan définitif des opérations militaires avancé par l’Armée syrienne à Al-Qusseir est le suivant :
- Plus de 2.745 terroristes tués ;
- plus de 1.000 terroristes  faits prisonniers
- 200 terroristes blessés arrêtés alors que 344 mercenaires blessés ont été acheminés par les groupes terroristes vers les hôpitaux de la localité d’Arssal au Liban voisin.
Sale temps pour les mercenaires
Après Qousseir sur la frontière libanaise, l’armée syrienne a engrangé, un autre succès en libérant Qouneitra, seul point de passage sur le Golan sur la ligne de cessez-le-feu avec Israël, dans un nouveau coup dur porté aux djihadistes au lendemain de leur défaite dans la ville stratégique d’ Al-Qusseir.
L’objectif est désormais de déloger les mercenaires de la ville de Homs, à 35 km au nord de Qousseir et d’Alep plus au nord-est, où l’armée a massé des milliers de soldats dans la région pour couper les voies d’infiltration de combattants et les sources d’approvisionnements en armes à partir de la Turquie. Des combats se déroulent aussi sur d’autres fronts, en particulier à l’intérieur de Alep (nord) et Hama (centre). Et pour empêcher l’afflux d’armes en provenance de Jordanie, l’armée s’est récemment emparé de Kharbat Ghazaleh, un point de transit sur l’autoroute Jordanie-Damas.
La nouvelle stratégie gagnante de l’armée syrienne consiste depuis plusieurs semaines, à reprendre le dessus sur les mercenaires, en leur coupant toutes les voies de circulation et d’approvisionnement. L’armée insiste sur le contrôle des axes qui relient les grandes villes et les régions, pour couper les mercenaires de leurs bases arrières au Liban, en Turquie et en Jordanie, avant de leur donner le coup de grâce.
Voyant leur guerre par procuration chancelante devant les rudes coups assénés par l’armée syrienne ragaillardie par les nombreux succès militaires sur le terrain et sur tous les fronts, les sponsors des mercenaires islamistes veulent, dans une tentative aussi désespérée que pathétique, rééditer le coup de Colin Powell au Conseil de sécurité, exhibant une fiole, sur soit disant des armes chimiques pour justifier l’invasion de l’Irak en 2003.
Cherchant donc à faire accroire que du gaz sarin a bien été utilisé par les troupes syriennes, Laurent Fabius, le ministre des affaires étrangères français, sans aucune preuve, tente de former une coalition internationale, pour attaquer la Syrie, à l’image de celle constituée par Sarkozy qui a agressé et détruit la Libye.
Ces accusations, récurrentes du reste, sont proférées dans le but de freiner l’offensive de l’armée syrienne qui avance vers Homs et Alep. Lorsque ces deux villes tomberont, cela donnera  le coup de grâce aux jihadistes affiliés à Al Qaïda et sonnera la fin de la guerre.
L’erreur des occidentaux est d’avoir sous estimé le nationalisme syrien qui transcende les communautés et la solidité d’un système de pouvoir qui intègre toutes les communautés. L’armée syrienne, contrairement à ce que veulent faire croire les sponsors des jiahdistes, est formée dans sa grande majorité de sunnites. Les forces de défense nationale sont, quant à elles formées, de sunnites, chrétiens, druzes, alaouites, kurdes…unis pour sauver leur patrie des envahisseurs islamistes, ces criminels égorgeurs et violeurs.
La prédiction du martyr Cheikh Mohamed Said Ramdane Al Bouti, sur “la fin proche” de la secte des assassins, engagée dans une guerre génocidaire contre le peuple syrien, est entrain de se réaliser.
Aujourd’hui, avec ces succès sur le terrain, le gouvernement syrien apparaît en position de force, comme il ne jamais été depuis deux ans, surtout dans la perspective d’une conférence de paix internationale, dite Genève 2, que Moscou et Washington cherchent, non sans difficultés, à réunir en juillet prochain.

algerie1.com

Préparation des paras russes pour la Syrie

Nezavissimaïa gazeta

Le ministère de la Défense russe prépare une éventuelle opération de maintien de la paix au Proche-Orient, écrit le quotidien Nezavissimaïa gazeta du 10 juin 2013.
Si le Conseil de sécurité des Nations unies décidait d'envoyer des casques bleus russes sur le plateau du Golan, il s'agirait très certainement d'un bataillon de la 31ème brigade d'assaut aéroportée – équipé du matériel standard.
A la demande du ministère, cette unité qui ne compte que des militaires sous contrat a commencé sa préparation le 1er janvier 2013, selon une source du ministère.
L'officier qui a livré ces informations explique que les unités aéroportées ont une grande expérience des opérations de maintien de la paix et c'est pourquoi il a été décidé d'envoyer des paras sur la ligne de démarcation entre les forces israéliennes et l'armée syrienne, au lieu de la 15ème brigade de maintien de la paix de l'armée de terre.
Certains officiers de la 31ème brigade aéroportée ont déjà mené de telles opérations au Kosovo et en Abkhazie, participé aux opérations contre la Géorgie pendant la guerre d'août 2008 et ont également protégé des sites militaires russes et l'ambassade au Kirghizstan pendant les émeutes survenues dans ce pays à l’été 2010. Il est également prévu de renforcer ce bataillon aéroporté par un groupe d'aviation constitué d’hélicoptères de transport et de combat Mi-8 et d’hélicoptères d'attaque Mi-24.
Cette option est très plausible : samedi dernier l'ambassadeur de Russie à l'Onu Vitali Tchourkine a déclaré que la Russie pouvait envoyer environ 300 casques bleus sur le terrain - "soit près d'un bataillon" - dans la zone de démarcation entre la Syrie et Israël sur le plateau de Golan. A la question de savoir s'il serait nécessaire de changer le mandat des casques bleus en raison du risque de confrontation entre l'armée et l'opposition syrienne, Tchourkine a répondu qu'il était nécessaire de faire en sorte que le "personnel de la Fnuod (Force des Nations unies chargée d'observer le dégagement) soit plus en sécurité dans la zone de démarcation". D'après l'expérience de l'Onu, ce sont les groupes d'aviation qui y contribuent quand il s’agit d’une mission de maintien de la paix.
Et les pilotes militaires russes n’en sont pas à leur premier théâtre d’opérations.
"Le ministère de la Défense a bien fait de charger les troupes aéroportées de cette mission de maintien de la paix. Dans ma carrière j'ai eu l'occasion d'observer à plusieurs reprises leurs opérations au Kosovo et dans d'autres points chauds : ils étaient efficaces. Je suis persuadé qu'ils accompliront leur mission au Proche-Orient", a déclaré le général Leonid Ivachov, qui fut pendant plusieurs années à la tête de la Direction principale de la coopération militaire internationale auprès du ministère de la Défense. Selon lui, "les paras russes ont fait leurs preuves en tant que casques bleus à la fin des années 1990 et au début des années 2000".
A en juger par les déclarations officielles du Kremlin et du ministère de la Défense, les troupes aéroportées russes compteront bientôt parmi les principaux "fournisseurs" de casques bleus dans le monde. "Nous continuerons à coopérer avec nos partenaires de l'Onu pour le maintien de la paix", a déclaré vendredi dernier le président Vladimir Poutine pendant une réunion avec les généraux.
Plus tôt, le général Vladimir Chamanov, chef des troupes aéroportées, avait évoqué les plans de ses unités. Selon lui, "le ministère de la Défense a décidé de recréer le poste de commandant adjoint des forces de maintien de la paix et de la Force collective de réaction rapide (KSOR), qui commandera une section de huit hommes. Parmi ses missions, cette section sera chargée de travailler avec l'état-major interarmées de l'OTSC (Organisation du traité de sécurité collective) et avec les organismes de l'état-major interarmées qui coopèrent avec l'Onu. L'état-major interarmées a ordonné de former la 31ème brigade comme des casques bleus et de créer, dans chacune des quatre divisions, un bataillon entièrement composé de militaires sous contrat. "Nous tenterons d'accomplir cette tâche d'ici le 1er juillet et les bataillons de maintien de la paix apparaîtront dans les divisions pas plus tard que le 1er septembre 2013".

fr.rian.ru

Les pays les plus espionnés par les USA


L'Agence de sécurité nationale (NSA)  aux Etats Unis reconnait espionner  l'Iran, le Pakistan, La Jordanie, l'Égypte  et l'Inde.
C’est le journal The Guardian qui rapporte cette information. Les documents confidentiels auxquels se réfère le journal confirment l'usage d'un logiciel par NSA du nom de " source de renseignement illimité”, logiciel qui permet la collecte d'informations à partir des réseaux d'ordinateurs et des réseaux de téléphonie. " c'est un logiciel qui permet aux usagers de choisir une destination et d'en observer des renseignements", explique le journal.
Et de poursuivre : " l'Iran est la principale cible de l'Agence américaine... plus de 14 milliards rapports sont parvenus à cette agence sur une période de trente jours du premier au 30 mars 2013 ... Viennent ensuite le Pakistan avec 13.5  et la Jordanie avec 12.7 milliards rapports".

Source: Irib

Syrie: l'armée lance une opération à Alep (TV)

Syrie, Alep

L'armée syrienne a lancé une opération nommée Orage du nord destinée à libérer la ville d'Alep de la présence d'extrémistes armés, annonce une source militaire, citée dimanche par la chaîne télévisée libanaise Al-Manar.
Selon la source, l'armée syrienne, soutenue par les blindés, a lancé une attaque d'envergure dans la ville d'Alep, la capitale du nord de la Syrie. Plusieurs quartiers ont été libérés ce matin.
"L'armée syrienne qui a donné une leçon aux groupes armés à Qousseir, continuera à frapper l'adversaire jusqu'à ce qu'il ne reste plus un seul terroriste ou mercenaire sur le sol syrien" a déclaré le premier ministre Wael al-Halki, cité par l'agence el-Watan.
Selon lui, la Syrie "est ouverte à toute initiative de règlement de la crise qui garantirait son intégrité territoriale".

Turquie: Erdogan passe à la contre-offensive contre les manifestants


Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a lancé dimanche la contre-offensive face aux dizaines de milliers de manifestants qui réclament depuis dix jours sa démission en mobilisant ses partisans et en prévenant que sa patience avait “des limites”.
Alors que les protestataires ont une nouvelle fois occupé la rue à Istanbul, Ankara ou Izmir (ouest), le chef du gouvernement a renoué avec sa rhétorique offensive contre les “pillards” et les “extrémistes”, et dénoncé un complot “organisé à l’intérieur et à l’extérieur” du pays.
Tout au long de la journée, il a multiplié les discours télévisés devant des foules de partisans réunis par son Parti de la justice et du développement (AKP) pour occuper l’espace médiatique, un enjeu vital dans l’affrontement qui l’oppose aux manifestants qui défient son autorité.
A son arrivée en fin de journée à Ankara, M. Erdogan a laissé paraître son impatience devant la persistance de la contestation. “Nous restons patients, nous sommes toujours patients, mais notre patience à des limites”, a-t-il menacé.
“Nous ne rendrons pas de comptes à des groupes marginaux mais devant la nation (...) la nation nous a amenés au pouvoir et c’est elle seule qui nous en sortira”, a-t-il poursuivi devant la foule chauffée à blanc qui scandait “La Turquie est fière de toi”.
Le Premier ministre a donné rendez-vous à ses adversaires aux élections municipales de mars 2014. “Soyez patients encore sept mois au lieu d’occuper (le parc) Gezi (à Istanbul) ou (le parc) Kugulu (à Ankara)”, a lancé M. Erdogan. “Vous parlez de démocratie, de libertés et de droits, mais vous ne les obtiendrez pas par la violence mais par la loi”.
Un peu plus tôt, il avait demandé à ses troupes réunies à Adana (sud) de donner à la jeunesse qui conteste son pouvoir à Istanbul, Ankara et dans plusieurs villes de Turquie “une première leçon par des voies démocratiques, dans les urnes”.
Depuis le début du mouvement, les manifestants accusent le chef du gouvernement, leur principale cible, de dérive autoritaire et de vouloir islamiser le pays.
Alors que le Premier ministre prononçait son énième discours de la journée à Ankara, la police est intervenue en soirée à quelques kilomètres de là pour disperser un rassemblement de plusieurs milliers de personnes à grand renfort de canons à eau et de gaz lacrymogènes. Plusieurs personnes ont été interpellées.
En même temps que les diatribes du Premier ministre, des dizaines de milliers de manifestants ont occupé tout l’après-midi la place Taksim d’Istanbul pour un concert-meeting où les harangues anti-Erdogan ont succédé aux chansons assourdissantes et aux slogans “gouvernement, démission !” repris par la foule.
Épreuve de force
Taksim et le petit parc Gezi, dont la destruction annoncée a lancé la fronde le 31 mai, avait enregistré samedi soir sa plus forte affluence depuis le début du mouvement, dopée par la présence de milliers de supporteurs des clubs de football rivaux de la ville, Galatasaray, Fenerbahçe et Besiktas, réconciliés pour l’occasion.
Buse Albay, une architecte de 25 ans, a promis de rester sur la place “aussi longtemps qu’il faudra”, jusqu‘à la démission de M. Erdogan. “Les gens veulent leur liberté et ils le disent”, a-t-elle ajouté.
A Izmir (ouest), des milliers de manifestnats ont également défilé, selon un photographe de l’AFP.
Des incidents violents ont déjà eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche à Ankara. Et, selon les médias turcs, des échauffourées ont été signalées à Adana (sud) à l’issue d’une manifestation entre opposants et partisans du Premier ministre.
Ces incidents et la stratégie de la confrontation à nouveau adoptée par M. Erdogan dimanche, à la faveur de son déplacement à Adana, suscitent questions et inquiétudes sur la suite du mouvement et les risques d’escalade entre les deux camps.
Le prix Nobel de littérature Orhan Pamuk, une voix respectée en Turquie, a lui-même confié son désarroi après plus d’une semaine d’une contestation sans précédent depuis l’arrivée au pouvoir de l’AKP en 2002.
“Je suis inquiet car il n’y a toujours pas en vue de signes d’un dénouement pacifique”, a déclaré l‘écrivain lors d’une conférence à Rome, cité par la presse turque, “Je comprends la façon de protester des gens”.
L’AKP a d’ores et déjà prévu d’organiser deux réunions publiques de masse samedi prochain à Ankara et le lendemain à Istanbul, officiellement pour lancer sa campagne pour les élections municipales de l’an prochain. Une nouvelle occasion pour le Premier ministre de répondre aux dizaines de milliers de Turcs qui le narguent, souvent bière à la main, devant les caméras du monde entier.
La vague de contestation qui secoue depuis dix jours la Turquie a affaibli son gouvernement, critiqué par des alliés clés comme les Etats-Unis ou l’Union européenne pour la brutalité de la répression policière.
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