03 juin, 2013

2ème chaine israélienne: l’armée syrienne réalise des exploits importants

La deuxième chaine de télévision israélienne a reconnu que l’armée arabe
syrienne réalise des exploits importants sur le terrain en Syrie, soulignant qu’
« en cas de poursuite de l’armée syrienne sur ce modèle, nous serons face
au danger d’une victoire stratégique iranienne en Syrie.
Sur le terrain, des informations de presse citées par le site arabi-press
ont fait état d’un important incendie qui s’est déclaré dans la partie Nord Est
de l’aéroport international d’Alep.
Par ailleurs, une source responsable dans la ville de Qousseir, encerclée
par l’armée arabe syrienne, a confirmé que des couloirs humanitaires ont été
ouverts pour faire sortir les blessés terroristes de la ville.
Dans un entretien téléphonique avec le site arabi-press, cette source a indiqué que l’armée syrienne permettra à tout blessé parmi les groupes armés d’aller se faire soigner dans les meilleurs hôpitaux syriens, comme le stipule la loi syrienne
au sujet du traitement humain des blessés de l‘ennemi.
 « Quant à ceux qui ne sont pas blessés, ils peuvent choisir la voie sure. Ils veulent des couloirs sûrs, nous leur avons assuré ces couloirs. Qu’ils se livrent à nos forces et nous assurerons leur sureté et le traitement des blessés. Pour ceux qui déposent les armes et qui capitulent, nous leur garantirons un procès juste », a ajouté la source. 

Les Etats-Unis offrent 23 millions dollars pour Belmokhtar et le numéro un de Boko Haram


Les Etats-Unis ont offert lundi jusqu‘à 23 millions de dollars de récompense au total pour toute information conduisant à la capture du jihadiste algérien Mokhtar Belmokhtar ou à celle du chef de la secte islamiste nigériane Boko Haram.
D’autres responsables du groupe Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) sont également visés par ce programme du département d’Etat, baptisé “récompenses pour la justice”, qui offre depuis 1984 des sommes d’argent à tout informateur permettant l’arrestation ou l‘élimination d’individus qui menacent les intérêts des Etats-Unis.
La plus grosse récompense, sept millions de dollars, est réservée au n°1 présumé de Boko Haram, Abubakar Shekau, qui combat actuellement l’armée du Nigeria dans le nord-est du pays.
Une manne de cinq millions de dollars est également offerte à quiconque apportera des renseignements décisifs concernant l’Algérien Belmokhtar, un ancien chef d’Aqmi qui a monté son propre groupe fin 2012.
Donné pour mort par le Tchad en avril, il a menacé il y a dix jours de lancer de nouvelles attaques au Niger après des attentats suicide fin mai. Son groupe avait mené une énorme prise d’otages en janvier dans un complexe gazier en Algérie.
Cinq millions de dollars sont également promis pour la tête de Yahya Abou Al-Hammam, un dirigeant algérien d’Aqmi accusé d‘être impliqué dans le meurtre d’un otage français en 2010.
Malik Abou Abdelkarim, commandant d’Aqmi, et Oumar Ould Hamahathe porte-parole du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), un groupe islamiste chassé du Mali en janvier, sont également la cible de Washington, avec trois millions chacun de récompenses.
“Aqmi est de plus en plus actif dans le nord et l’ouest de l’Afrique. Ils font partie des tout premiers groupes qui kidnappent contre rançons dans la nébuleuse terroriste mondiale”, a expliqué à l’AFP un responsable du département d’Etat.
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Marzouki, une marionnette entre les mains de Sik Salem

Tunisie: Cet ancien flic aux ordres de Ben Ali, comme Anis Mogaadi, Imed Belhaj Khelifa ou Samir Tarhouni, a joué un rôle clef dans le coup d’Etat du 14 janvier 2011. En échange de sa trahison, non seulement il a échappé à la Justice pour les crimes dont il est responsable, mais il a eu droit à une promotion au sein de la Garde présidentielle.



Marzouki, une marionnette entre les mains de Sik Salem
Celui qui a trahi une fois peut trahir une seconde, puis une troisième, puis une quatrième fois. Plutôt que de retenir cette leçon, le président provisoire qui a été désigné par Rached Ghannouchi n’écoute plus que Sami Sik Salem, qu’il a promu en janvier 2012 colonel major et qu’il a pris comme conseiller, outre ses fonctions de directeur de la Garde présidentielle. En échange, Sami Sik Salem et sa mafia ont promis au président provisoire de s’occuper de sa prochaine campagne électorale en lui assurant le succès.
 
Mais le rôle de Sik Salem ne se limite pas à lécher les chaussures de Marzouki comme il léchait les bottes de Seriati et de Ben Ali. Il agit discrètement mais très efficacement pour que le général Ali Seriati, l’ancien ministre de la Défense Ridha Grira et l’ancien ministre de l’Intérieur Rafik Belhaj Kacem restent en prison et pour longtemps.
 
Pourquoi ? Parce que ces trois acteurs majeurs des événements de décembre 2010-janvier 2011 sont des témoins gênants, par rapport à la vérité des événements eux-mêmes et par rapport au scénario que Sami Sik Salem a monté de toute pièce en s’attribuant le rôle du sauveur de ce qu’ils appellent la « révolution du jasmin ». La passation du pouvoir à Mohamed Ghannouchi, le 14 janvier 2011 est plus complexe que ce que pense la majorité des Tunisiens !
 
En effet, le 14 janvier 2011, c’est d’abord au général Rachid Ammar que Sik Salem a téléphoné pour lui dire de se rendre au palais pour prendre le pouvoir. La trahison de son patron Ali Seriati est là. Mais le général Ammar a informé son ministre, Ridha Grira, qui lui a donné l’ordre de ne pas y aller. Sik salem a par la suite appelé Fouad Mbazza, Mohamed Ghannouchi et Abdallah Kallel pour leur dire la même chose. Immédiatement après la transmission du pouvoir, Sik Salem a été arrêté par l’armée et a été détenu 16 jours. Ayant accablé Seriati et d’autres, il a été libéré et a réintégré le ministère de l’Intérieur sans responsabilité particulière. C’est Béji Caïd Essebsi, alors Premier ministre, qui l’a nommé directeur de la Garde présidentielle.   
 
Après avoir joué un rôle dans la répression, puisque l’assassinat de certains manifestants, d'agents de police et de soldats, par des éléments de la Garde présidentielle (par forcément sous les ordres d’Ali Seriati) est un fait avéré selon la note 1013 (voir ci-dessous) ; après avoir ensuite piloté le saccage des domiciles de Slim Chiboub, Sakhr El-Matéri, Belhassen et Imed Trabelsi (en effet, les pilleurs n’étaient pas des manifestants mais des flics sous les ordres de Sik salem), il a semé la désinformation et la zizanie entre les différents services de police, la Défense nationale, la sécurité présidentielle et le RCD.
 
Pour la première fois, Tunisie-Secret affirme que Sami Sik Salem a fait semblant d’obéir aux ordres du général Seriati  pour le trahir le 14 janvier 2011 et le charger par la suite lors de son interrogatoire. Au début de sa trahison, Sik Salem n’a pas agi non plus sous les ordres du général Ammar.Il a agi sous les ordres du chef d’antenne au sein de l’ambassade des Etats-Unis à Tunis. Sami Sik Salem a fait croire par la suite aux islamistes et à Moncef Marzouki qu’il a fait avorté un coup d’Etat de Ridha Grira, Mohamed Ghannouchi, Labidi et le général Ahmed Chabir, ancien directeur des renseignements militaires aujourd’hui à la retraite et très étroitement surveillé.
 
Jusqu’à présent, Sami Sik Salem, Anis Mogaadi, Imed Belhaj khelifa et Samir Tarhouni font croire aux proches et amis du général Ali Seriati qu’ils agissent en vue de sa libération. En réalité, ils agissent dans leurs propres intérêts et se moquent totalement du sort d’Ali Seriati et de l’ensemble des prisonniers politiques.
 
Rappelons que Ridha Grira est arbitrairement maintenu en prison, et que son état de santé est critique. Plusieurs associations tunisiennes ont pris sa défense et des ONG occidentales des droits de l’homme étudient actuellement son cas ainsi que celui de Rafik Belhaj Kacem, injustement condamné à de lourdes peines de prison.Tunisie-Secret.com
 
Lilia Ben Rejeb                 

Marzouki, une marionnette entre les mains de Sik Salem
  tunisie-secret.com

Le sévère coup de semonce d'Obama à l'émir Al Thani !

IRIB-un diplomate arabe à Washigton vient de révéler le contenu d'un message à l'adresse de l'émir Al Thani.
Obama aurait mis en garde L'émir qatari contre son rôle négatif dans la crise syrienne et les évenements d e la région. un contact téléphonique a eu lieu entre les deux hommes le 26 mai dernier . " Obama aurait exprimé sa colère à Al Thani après les révélations faites au sujet du rôle de Doha dans l'attaque contre le consulat US à Benghazi et des tentatives qataries qui ont orienté la crise syrienne dans un sens non souhaité par Washington. et il lui aurait fait savoir que Washington agira désormais à sa guise" " ces propos auraient provoqué la panique de l'émir qui aurait supplié Obama de ne pas l'éliminer de la scène et qu"en échange il ferait tout ce que les Etats Unis souhaiteraient "!! Au cours de sa récente visite à Washington, l'émir a eu du mal à se faire recevoir par Obama qui a demandé au préalable une rencontre sécuritaire entre l'émir Al Thani et  les responsables sécuritaires US Mais qu'a visionné l'émir au cours de cette réunion?  : "au cours de cette réunion des preuves visuelles ont été projetées qui montraient l'implication des éléments liés au Qatar dans le meurtre de l'ambassadeur Stevens à Benghazi ainsi que le soutien du Qatar aux élements extrémistes propres à mettre en danger la sécurité d'Israel.:" et tout ceci montre que c'est le Qatar qui planifie tout en Syrie et en Libye . ce que les Etats Unis n'acceptent pas. Après cette réunion, Obama a directement mis en garde l'Emir : " si vous voulez préserver votre rang et place respectez les intérêts US !!" l'emir aurait quitté la salle , les mains tremblantes et le visage en feu . c'est toute de suite après cette réunion que la presse US s'est lancée dans de violentes charges contre l'Emir Al Thani

L'Europe a volé 1 400 milliards de dollars à l'Afrique!


IRIB-Les flux financiers illicites en Afrique ont été de l’ordre de 1 220 à 1 350 milliards de dollars entre 1980 et 2009, éclipsant les transactions financières enregistrées.
Telle est la conclusion du rapport consacré aux flux financiers illicites dans le continent africain, rendu public à l’occasion des 48es Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) qui se déroulent actuellement à Marrakech, au Maroc. Révélant que les transferts nets de ressources hors d’Afrique sont passés de 597 milliards de dollars à 1 400 milliards de dollars, le document, élaboré conjointement par la BAD et l’ONG Global Financial Integrity (GFI), basée à Washington, conclut que «le déficit net de ressources et les fuites illégales de capitaux compromettent gravement le développement».
Intitulé «Illicit Financial Flows and the Problem of Net Resource Transfers from Africa: 1980-2009», (Les flux financiers illicites et le problème des transferts nets de ressources en provenance d'Afrique : 1980-2009), le rapport n’analyse pas les facteurs à l’origine de ces flux financiers illicites. Cependant, il préconise que des études de cas spécifiques à certains pays devraient être effectuées pour identifier ces facteurs sous-jacents, qui varient probablement d’un pays africain à l’autre. Les rédacteurs du rapport notent aussi qu’une grande partie du produit du trafic de drogue, de la traite d’êtres humains et d'autres activités criminelles – qui se règlent souvent en espèces – n’est pas prise en compte dans ce travail de recherche, sans donner de plus amples détails à ce sujet.
«Plus de mille milliards de dollars se sont échappés frauduleusement d'Afrique au cours des trente dernières années, éclipsant les entrées de capitaux et entravant le développement économique», a commenté l'économiste en chef de GFI, Dev Kar, qui fut auparavant économiste en chef au FMI. «Limiter ces flux sortants devrait être primordial pour les décideurs africains et occidentaux car ils entraînent et subissent à leur tour les contrecoups d’un climat des affaires défavorable et d’une mauvaise gouvernance globale – qui entravent tous deux la croissance économique», a recommandé l’économiste.
«L’idée reçue a toujours été que l'Occident injecte de l'argent en Afrique, grâce à l'aide étrangère et aux autres flux de capitaux du secteur privé, sans recevoir grand-chose en retour. Notre rapport inverse le raisonnement : l'Afrique est en situation de créancier net par rapport au reste du monde depuis des décennies», a, pour sa part, expliqué Raymond Baker, directeur du centre de recherche et de défense GFI, basé à Washington. Comment contenir ces flux financiers illicites en partance d’Afrique ? «Ces sorties sont facilitées par l'opacité financière constatée dans les économies occidentales avancées et les paradis fiscaux. L’application des mesures de transparence en vue de restreindre le secret des paradis fiscaux et les opérations des sociétés écrans anonymes est cruciale si l’on veut freiner les flux illicites», a conseillé Raymond Baker.
Amine Sadek
algeriepatriotique 
 
french.irib.ir/

Syrie: la déclaration britannique sur Qousseir inopportune (Moscou)

Syrie: la déclaration britannique sur Qousseir inopportune (Moscou)

Moscou trouve inopportun le projet de déclaration britannique soumis au Conseil de sécurité de l'ONU sur les événements dans la ville syrienne de Qousseir, a annoncé lundi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Alexandre Loukachevitch.
"Il est difficile de qualifier d'opportun la proposition d'élever la voix de la communauté internationale au moment où l'armée syrienne achève son opération antiterroriste contre les bandits qui ont terrorisé impunément pendant plusieurs mois la population d'une petite ville syrienne", lit-on dans le commentaire de M. Loukachevitch mis en ligne lundi sur le site du ministère.
"Pendant toute cette période, personne n'a accordé la moindre attention aux souffrances des habitants de Qousseir", a ajouté le diplomate.
Il a également indiqué que le Conseil de sécurité n'avait pas réagi non plus à la prise de Qousseir par les insurgés, ni à la transformation de cette ville en fief de la rébellion.
Le 1er juin, la Russie a bloqué au Conseil de sécurité de l'ONU le projet de déclaration sur les événements à Qousseir proposé par la Grande-Bretagne. Moscou a motivé sa décision par le caractère "unilatéral" de ce document.
M. Loukachevitch a dans le même temps souligné que cette démarche de Moscou "ne modifiait en rien sa position concernant la nécessité de stopper au plus vite les violences en Syrie" et "d'engager un règlement politique du conflit".
Selon la partie russe, ce règlement "ne doit pas être effectué sur une base unilatérale, mais conformément au communiqué de Genève du 30 juin 2012 et aux ententes russo-américaines intervenues le 7 mai à Moscou".

Retour vers le futur pour Mourinho !!Chelsea a officialisé lundi le retour sur son banc de José Mourinho.


José Mourinho
José Mourinho est de retour à Chelsea ! - Panoramic
Comme attendu, Chelsea a officialisé lundi le retour sur son banc de José Mourinho. Le Portugais, passé par les Blues de 2004 à 2007, s’est engagé pour quatre ans avec le club londonien !
Le secret le moins bien gardé d’Angleterre a été levé ce lundi. José Mourinho retourne à Chelsea ! Le club londonien a officialisé la nouvelle lundi après-midi via un communiqué publié sur son site officiel. «Je suis ravi du retour à Chelsea de José, a déclaré Ron Gourlay, directeur exécutif des Blues. Son ambition, ses succès continus et sa volonté en font un candidat parfait. Notre but est d'aller toujours de l'avant afin d'obtenir de plus grands succès dans l'avenir et José est notre choix numéro 1 parce que nous sommes persuadés qu'il est le bon manageur pour faire ce travail.» Le Portugais s’est engagé pour quatre ans et retrouve donc un club qu’il a déjà dirigé, de 2004 à 2007, et où il avait hérité de son fameux surnom, «The Special One», dont il s'était lui-même affublé.
josetrophee
Sous sa direction, les Blues de Roman Abramovich avaient connu leur période la plus faste de leur histoire, remportant cinq trophées en trois ans : deux titres de champion d’Angleterre en 2005 et 2007, une FA Cup en 2007 et deux Carling Cup en 2005 et 2007. A Stamford Bridge, où il bénéficie d’une cote d’amour sans égal, Mourinho cherchera à faire oublier la fin de son aventure mouvementée au Real Madrid. Recruté par le président Florentino Perez pour ramener à Santiago Bernabeu la dixième C1 de l’histoire du club, la fameuse Decima, le Portugais a échoué par trois fois en demi-finales.
Et s’il a réussi à remporter une Liga en 2012 et à briser la domination du grand rival, le FC Barcelone, le Mou a passablement égratigné l’image de la Maison Blanche. D’abord lors des clasico violents disputés au printemps 2011, marqués par un engagement physique souvent limite de ses joueurs. Par l’ambiance qu’il a instaurée dans le vestiaire, se mettant peu à peu à dos la majorité de ses joueurs (les Espagnols d’abord jusqu'à Cristiano Ronaldo sur la fin).  Par sa faculté, enfin, à créer la polémique en permanence, un trait de caractère amusant au départ mais qui a fini par user tout le monde à Madrid. A Chelsea, champion d’Europe en 2012 et vainqueur de la Ligue Europa en 2013, Mourinho, vainqueur de deux Ligues des champions avec Porto (2004) et l’Inter Milan (2010), tentera donc d’accrocher une troisième C1 avec un troisième club différent. Une enveloppe de 100 millions d’euros l’attendrait déjà sur le bureau de Roman Abramovich pour recruter…

Kery : ''Celui qui vend le plus est considéré comme le meilleur !''


Les polémiques autour du rap dit « underground » ou « commercial » existent depuis le début des années 90 en France. Elles ne devraient pas cesser de sitôt.

Le plus gros vendeur de disques du moment est-il forcément le meilleur rappeur du moment ? En répondant par l'affirmative à cette question, Maitre Gims devrait être considéré comme le boss du game, si l'on se réfère à ses ventes stratosphériques (disque de platine en une semaine avec Subliminal, Ndlr).
Or, le Leader de la Sexion d'Assaut ne peut échapper aux critiques de « puristes », lui reprochant d'avoir travesti sa musique initiale en « pop-rnb » et de cibler un public particulièrement jeune. En 1996, Doc Gynéco faisait déjà face à une polémique similaire, qu'il avait devancée en sortant le titre « Classez-moi dans le variet' », sur son classique Première Consultation.
Pour certains rappeurs hexagonaux, tels que Booba, le succès commercial d'un album est étroitement lié à sa qualité artistique. « Avant, c'était une dénonciation et quand on avait un trop grand succès commercial c'était presque un signe que l'on s'était un peu fourvoyé. Aujourd'hui c'est le contraire, tous les gens regardent le top album. Celui qui vend le plus de disques est considéré comme le meilleur », constate Kery James, à l'occasion d'un entretien donné sur France Info.

Inondations en Europe: six morts, des milliers de foyers évacués


Au moins six personnes ont trouvé la mort et plusieurs étaient portées disparues lundi à la suite des inondations provoquées par des pluies torrentielles en Europe centrale, où des milliers de foyers ont dû être évacués, principalement en Allemagne, République tchèque et Autriche.
Dans les régions touchées, les mêmes images d’hommes, femmes, enfants, ensemble sous la pluie, se passant des sacs de sables pour construire des digues, ravivent le spectre des inondations de 2002.
En République tchèque, où le gouvernement a décrété l‘état d’urgence dans presque toute la Bohême (ouest), cinq personnes sont mortes et plusieurs autres ont été portées disparues.
Un homme et une femme ont trouvé la mort dimanche dans l‘écroulement de leur chalet près de Prague. Deux autres corps sans vie ont été découverts dans le nord du pays et un homme de 82 ans s’est noyé près de Benesov, à 40 km au sud de Prague.
Le bilan risque de s’alourdir encore car au moins quatre personnes, dont deux hommes qui pratiquaient samedi soir le rafting sur la rivière de Berounka en crue à 30 km au sud-ouest de Prague, étaient toujours portées disparues lundi.
Le métro de Prague a été partiellement fermé depuis dimanche soir et de nombreuses voies ferrées et routes étaient coupées.
Les écoliers et les élèves des établissements de l’enseignement secondaire de Prague ont été invités à rester chez eux lundi, en raison des perturbations dans les transports.
Quelque 2.700 personnes ont été obligées de quitter leurs maisons en Bohème, et des milliers de foyers étaient sans électricité lundi matin.
L’armée a mobilisé environ 2.000 militaires, dont 300 à Prague, pour lutter contre le sinistre.
En Allemagne, la situation empirait dans le sud et de l’est du pays. A Passau, ville bavaroise à la frontière autrichienne, située au confluent du Danube, de l’Inn et de l’Ilz, les records des dernières grandes inondations de 2002 et 1954 ont été battus et l’armée est arrivée à la rescousse pour aider les secours.
“Beaucoup de gens, qui ont déjà dû faire face aux grosses inondations de 2002, refusent de quitter leur maison. On essaye de les convaincre”, a déclaré le maire de Passau, Jürgen Duppen, à la chaîne de télévision N24.
“Nous avons près de 700 secouristes en action. Les quelque 200 soldats appelés à la rescousse arrivent. Il est temps car certaines personnes ont déjà travaillé 36 heures d’affilée”, a-t-il ajouté, soulignant que la “population de Passau a une certaine routine concernant les inondations”.
Dans la Saxe, ancienne région de RDA, aux frontières tchèques et polonaises, des centaines de policiers étaient mobilisés avec des bateaux, sacs de sables et une grue.
“Nous sommes choqués. Nous avons dû sortir très rapidement de chez nous”, a déclaré à la télévision en continu NTV une mère de famille, habitante de Dresde, son petit enfant dans les bras, après avoir passé la nuit de dimanche à lundi dans un local communal réquisitionné pour l’occasion.
En Autriche, les inondations ont fait un mort et deux personnes sont portées disparues. Des centaines d’habitants de la région de Salzbourg et environ 300 autres de la ville de Melk, au nord ont déjà du être évacuées de leurs maisons.
L’armée a été mobilisée pour aider les secours et lutter contre la montée des eaux.
Selon les autorités, le Danube et l’Inn pourraient atteindre voire même dépasser les niveaux de 2002 lors des inondations qui avaient provoqué environ 7,5 milliards d’euros de dégâts.
En Hongrie, le maire de Budapest a déclaré une alerte à l’inondation lundi matin, une crue du Danube étant attendue pour vendredi ou samedi, faisant craindre une situation semblable à celle de 2002.
En août 2002, le niveau du Danube avait atteint 8,49 m à Budapest. Près de 2.000 personnes étaient évacuées et plus de 20.000 travaillaient sur les digues.
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Syrie: l’assaut contre les rebelles de Qousseir entre dans sa 3ème semaine


L’armée syrienne attaquait lundi les rebelles sur plusieurs fronts, notamment à Qousseir où l’offensive menée avec le Hezbollah libanais pour s’emparer de cette ville stratégique est entrée dans sa troisième semaine.
Cette initiative militaire du régime survient au moment où la Coalition de l’opposition est ébranlée par le retrait d’une importante composante de la rébellion qui accuse certains dirigeants d‘être animés par des ambitions personnelles et d’avoir utilisé l’argent à leur profit.
Cette guerre en Syrie a des répercussion dans le Liban voisin. Trois hommes et une femme ont été tués en moins de 24 heures à Tripoli, importante ville du nord du Liban, lors de la reprise d’affrontements entre sunnites et alaouites.
L’armée syrienne, parfois appuyée par le Hezbollah, mène une offensive dans trois secteurs. L’aviation a bombardé Qousseir où les rebelles sont désormais retranchés dans le nord de cette ville, devenue emblématique tant pour le régime que pour les rebelles, située près de la frontière libanaise, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
La Russie a bloqué ce week-end un projet de déclaration du Conseil de sécurité de l’ONU proposé par le Royaume-Uni.
Ce texte soumis samedi exprimait la “grave inquiétude” du Conseil sur le sort des civils bloqués à Qousseir et “demandait au gouvernement syrien d’autoriser un accès immédiat, total et sans entrave” aux organisations humanitaires pour qu’elles puissent les secourir.
La coalition a, dans un communiqué, condamné la position russe, qui “se tient contre le peuple syrien, sa liberté et sa sécurité”. Elle a dénoncé l’“alignement sur Assad” de Moscou et l’accuse d‘être “devenu un partenaire dans le meurtre de civils innocents”.
L’offensive se poursuit aussi dans le nord de la province de Hama (centre), où l’armée régulière s’est emparée de 13 villages, et également au nord d’Alep (nord) pour desserrer l’encerclement de deux villages chiites, selon l’OSDH.
La Coalition de l’opposition, qui était arrivée à un compromis fragile jeudi à Istanbul, a été ébranlée par le retrait d’une importante composante de la rébellion syrienne.
“Nous nous retirons de la Coalition (...) car elle prend des initiatives éloignées de la vraie révolution et ne peut pas représenter la révolution de manière authentique”, affirme dans un communiqué la Commission générale de la révolution syrienne (CGRS).
Membre de la Coalition dès son origine, la CGRS est une des plus anciennes organisations animant sur le terrain la contestation puis la rébellion contre le régime du président Bachar al-Assad. Il s’agit d’un réseau de militants présent à travers la Syrie et lié aux rebelles.
“Des membres de la Coalition sont plus intéressés d’apparaître sur les médias que d’aider la révolution et beaucoup d’argent a été perdu car ils l’ont utilisé pour leurs intérêts personnels alors que le peuple syrien à l’intérieur manquent de tout”, affirme le communiqué.
Le conflit syrien a des répercussions sur le pays du Cèdre. Trois hommes et une femme ont été tués en moins de 24 heures à Tripoli, lors de la reprise d’affrontements entre sunnites et alaouites, a affirmé lundi à l’AFP une source au sein des services de sécurité libanais.
Les derniers affrontements, qui avaient duré une semaine avant de cesser le 26 mai, s‘étaient soldés par 31 morts et 212 blessés.
Les combats, impliquant roquettes RPG, tirs au mortier, obus et armes automatiques, opposent les habitants du quartier sunnite de Bab el-Tabbaneh, favorables aux rebelles syriens, à ceux du secteur alaouite de Jabal Mohsen, qui soutiennent le régime de Damas.
A Saïda, dans le sud, un imam sunnite proche du Hezbollah a affirmé avoir été la cible de tirs, tandis que dans la plaine de la Bekaa (est), la voiture d’un autre imam sunnite également proche du Hezbollah a été mitraillée.
Le ministre israélien de la Défense, Moshé Yaalon, a affirmé lundi que la livraison de systèmes russes de défense antiaériens de type S-300 à la Syrie ne pourrait pas intervenir avant 2014.
“Nous suivons cette affaire avec inquiétude, mais il n’y pas eu de livraisons. Si elles ont lieu, elles n’interviendront pas avant l’an prochain”, a affirmé M. Yaalon.
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Turquie: les manifestants poursuivent leur mobilisation contre Erdogan


Les manifestants turcs restaient déterminés lundi à poursuivre pour la quatrième journée consécutive leur mobilisation contre le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan qui, sûr de lui, a quitté le pays pour une tournée de quatre jours au Maghreb.
Au terme d’une nouvelle nuit de violences entre la police et les manifestants à Istanbul, Ankara et Izmir (ouest), un calme relatif semblait revenu lundi matin dans le pays, premier jour de travail depuis les premiers affrontements sérieux de vendredi dans la mégapole de plus de 15 millions d’habitants.
Mais les manifestants ont promis de maintenir la pression sur le gouvernement. “C’est devenu un mouvement (de contestation) contre le gouvernement qui s’immisce de plus en plus dans notre vie privée”, a expliqué Hamdi, rencontré dimanche soir par l’AFP à Ankara en plein “concert” de casseroles, “nous allons continuer”.
Lundi encore, juste avant de quitter la Turquie pour une tournée de quatre jours dans le Maghreb commençant par le Maroc, le chef du gouvernement a fait peu de cas du défi opposé par les manifestants.
“Nous resterons fermes (...) calmez-vous, nous dépasserons tout ça”, a lancé M. Erdogan à la presse. “Mon pays donnera sa réponse lors de cette élection (ndlr: les élections locales de 2014)”, a-t-il souligné, sûr de sa force électorale, “si vraiment nous avons des pratiques antidémocratiques, notre Nation nous renversera”.
Sur un ton plus conciliant, le président turc Abdullah Gül a lui appelé lundi les manifestants au calme et pris, une fois encore, le contrepied du chef du gouvernement.
“Une démocratie ne signifie pas seulement (une victoire) aux élections (...) Il est tout à fait naturel d’exprimer des opinions différentes (...) par des manifestations pacifiques”, a dit M. Gül à la presse, ajoutant que “les messages de bonne volonté (des protestataires) ont bien été reçus”.
Depuis vendredi, la protestation d’une poignée de militants associatifs contre le projet de destruction d’un parc public d’Istanbul a peu à peu gagné l’ensemble de la Turquie.
Accusé de dérive autoritaire et de vouloir “islamiser” la société turque, M. Erdogan est aujourd’hui confronté à un mouvement de contestation d’une ampleur inédite depuis l’arrivée au pouvoir de son Parti de la justice et du développement (AKP, issu de la mouvance islamiste) en 2002.
“Tayyip démission !”
Dans la nuit de dimanche à lundi, de violents incidents ont à nouveau opposé la police et des milliers de manifestants à Istanbul, autour des bureaux de M. Erdogan, ainsi qu‘à Ankara, dans le quartier résidentiel de Kavaklidere, où les protestataires scandaient “personne ne veut de toi Tayyip !”.
Dimanche, la police turque a également dispersé sans ménagement plusieurs manifestations à Izmir (ouest), Adana (sud) ou encore Gaziantep (sud-est), faisant à chaque fois de nombreux blessés. De nombreux manifestants cités par les télévisions turques ont dénoncé la brutalité des forces de l’ordre.
Les violences des trois derniers jours ont fait plus d’un millier de blessés à Istanbul et au moins 700 à Ankara, selon les organisations de défense des droits de l’Homme et les syndicats de médecins des deux villes.
Ces chiffres n’ont pas été confirmés par les autorités, le ministre de l’Intérieur Muammer Güler évoquant dimanche un bilan de 58 civils et 115 policiers blessés pendant les 235 manifestations recensées depuis mardi dernier dans 67 villes.
Selon M. Güler, la police avait interpellé dimanche plus de 1.700 manifestants dans tout le pays, pour la plupart rapidement relâchés.
Coeur symbolique de la révolte, la place Taksim d’Istanbul a retrouvé un semblant de normalité, à peine encombrée des débris du rassemblement de la veille.
La plupart des commerces ont rouvert leurs portes mais des barricades bloquaient toujours les rues environnantes, signe de la détermination des protestataires à ne pas se laisser reprendre le contrôle de la place par les forces de l’ordre, qui l’ont désertée samedi sur ordre du gouvernement.
La brutalité de la répression a suscité de nombreuses critiques, aussi bien en Turquie que dans les pays étrangers comme les Etats-Unis, le Royaume uni ou la France.
Au sein même du pouvoir, plusieurs voix dissonantes se sont fait entendre pour regretter la brutalité des interventions policières. Comme le vice-Premier ministre Bülent Arinç, qui a prôné le dialogue “plutôt que de tirer du gaz sur des gens”.
Le Premier ministre a reconnu que des “erreurs” avaient été commises par la police et a promis des sanctions contre ses excès. Mais il a répété qu’il mènerait le projet d’aménagement urbain contesté de la place Taksim jusqu‘à son terme. Et, comme un défi aux manifestants, ajouté dimanche qu’il y construirait une mosquée.
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La coalition de l’opposition syrienne perdrait bientôt tous ses membres !

 Une importante composante de la rébellion syrienne a annoncé lundi son retrait de la Coalition de l'opposition en accusant certains dirigeants de servir leurs ambitions personnelles et d'avoir utilisé l'argent à leur profit.
   "Nous nous retirons de la Coalition (...) car elle prend des initiatives éloignées de la vraie révolution et ne peut pas représenter la révolution de manière authentique", affirme dans un communiqué la Commission générale de la révolution syrienne (CGRS).
   Membre de la coalition dès son origine, la CGRS est une des plus anciennes organisations animant sur le terrain la contestation puis la rébellion contre le régime du président Bachar al-Assad. Il s'agit d'un réseau de militants présent à travers la Syrie et lié aux rebelles.
   "Des membres de la Coalition sont plus intéressés d'apparaître sur les médias que d'aider la révolution et beaucoup d'argent a été perdu car ils l'ont utilisé pour leurs intérêts personnels alors que le peuple syrien à l'intérieur manquent de tout", affirme le communiqué.
   La CGRS reproche aussi à la coalition de ne pas avoir respecté son engagement de réserver un tiers des sièges aux rebelles sur le terrain. Le chef de la Coalition George Sabra, a annoncé jeudi l'admission de 51 nouveaux membres, portant le total à 114 membres, dont quinze pour l'Armée syrienne libre.
   "Certains pays sont en train de manipuler la révolution selon leurs intérêts et piétinent le sang de notre peuple", a dénoncé la CGRS, accusant ces pays de monter "les blocs les uns contre les autres".
   Jusqu'à présent, la coalition avait été dominée par les Frères musulmans soutenus par le Qatar, mais l'Arabie saoudite a tenté de
limiter cette influence, ce qui a entrainé des luttes sans fin et un
compromis très instable.
 

Source: AFP

Une importante composante quitte la Coalition de l’opposition syrienne


Une importante composante de la rébellion syrienne a annoncé lundi son retrait de la Coalition de l'opposition en accusant certains dirigeants de servir leurs ambitions personnelles et d'avoir utilisé l'argent à leur profit.
  
"Nous nous retirons de la Coalition (...) car elle prend des initiatives éloignées de la vraie révolution et ne peut pas représenter la révolution de manière authentique", affirme dans un communiqué la Commission générale de la révolution syrienne (CGRS).
  
Membre de la coalition dès son origine, la CGRS est une des plus anciennes organisations animant sur le terrain la contestation puis la rébellion contre le régime du président Bachar al-Assad. Il s'agit d'un réseau de militants présent à travers la Syrie et lié aux rebelles.
 
 "Des membres de la Coalition sont plus intéressés d'apparaître sur les médias que d'aider la révolution et beaucoup d'argent a été perdu car ils l'ont utilisé pour leurs intérêts personnels alors que le peuple syrien à l'intérieur manquent de tout", affirme le communiqué.
  
La CGRS reproche aussi à la coalition de ne pas avoir respecté son engagement de réserver un tiers des sièges aux rebelles sur le terrain.
Le chef de la Coalition George Sabra, a annoncé jeudi l'admission de 51 nouveaux membres, portant le total à 114 membres, dont quinze pour l'Armée syrienne libre.
   "Certains pays sont en train de manipuler la révolution selon leurs intérêts et piétinent le sang de notre peuple", a dénoncé la CGRS, accusant ces pays de monter "les blocs les uns contre les autres".
  
Jusqu'à présent, la coalition avait été dominée par les Frères musulmans soutenus par le Qatar, mais l'Arabie saoudite a tenté de limiter cette influence, ce qui a entrainé des luttes sans fin et un compromis très instable.
Un dirigeant de l'ASL quitte la révolution
le passage de Tal AbiadCette situation révolte plus d’un au sein des dirigeants de l’insurrection en Syrie.
À la fin du mois de mai dernier, un membre important du Conseil militaire de l’Armée syrienne libre (ASL), chargé de superviser et de réorganiser le passage frontalier avec la Turquie de Tal Abiad, à l’est de la Syrie, a décidé de «  se retirer définitivement de l’action révolutionnaire ».
«  J’ai pris la décision de quitter l’action révolutionnaire dans toutes ses formes, militaire et civile, en raison des divergences qui sévissent au sein des factions militaires », a signalé Dr. Omar Dada.
Dans les détails, il explique qu’il ne veut en aucun cas faire part de cette zizanie, « pour sauvegarder ma religion et ma patrie,..., surtout que certains commandants de brigades et de bataillons ne font que courir derrière leurs ambitions et leurs propres objectifs... ».
Dada assure en avoir vu de toutes les couleurs parmi « ces commandants qui ne pensent qu’au pouvoir et au portail », en allusion au passage frontalier entre la Syrie et la Turquie où ont lieu fréquemment des accrochages entre les différentes milices sur fond de butin et de pillage. Il avait été chargé de contrôler la situation dans ce passage où de nombreuses milices ont renoncé à la lutte contre le pouvoir syrien pour s’adonner au trafic et à la contrebande, ce qui leur permet de faire des fortunes.
L’ancien chef de l’ASL, le colonel Riad Assaad, vivant en Turquie depuis l’amputation de sa jambe lors la tentative d’assassinat à son encontre a dernièrement dénoncé l’affairisme des dirigeants de l’insurrection syrienne.

Source: AFP + Arabi-Press

La Syrie retourne avec ironie les mots qu’Ankara avait utilisés contre elle


Commentant les manifestations qui frappent la Turquie et
la répression violente de la part des autorités, la direction syrienne et les médias
officiels reprennent le même vocabulaire dont la Turquie, soutien des rebelles
syriens, a usé à l'égard du président Bachar al-Assad.
   A titre d’exemple, les ministres syriens ont accusé Ankara de "terroriser" sa population et ont décrit le mouvement de protestation comme le "vrai Printemps".
   Dimanche, le
ministère des Affaires Etrangères a "conseillé" aux Syriens d'éviter
de se rendre en Turquie "à cause de la détérioration de la situation sécuritaire".
 La télévision
officielle syrienne couvre les événements en Turquie en continu et a annoncé
dans une alerte que les manifestants réclamaient la démission du
Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan.
   "Vous devez
démissionner si vous respectez réellement la démocratie. Le mouvement en
Turquie est un vrai Printemps", a lancé à Erdogan un expert syrien sur la
chaîne officielle al-Ikhbariya.
   "C'est une
révolution pure car ni le Qatar ni Israël ne sont impliqués", assure la
télévision, qui accuse régulièrement ces deux parties de soutenir les insurgés
syriens.
   Samedi, le
ministre de l'Information Omrane al-Zohbi a repris mot pour mot les appels à la
démission d’Erdogan à l'adresse du président Assad.
   "Le fait
qu'il empêche les manifestations pacifiques prouve qu'Erdogan est déconnecté de
la réalité. Le peuple turc ne mérite pas une telle sauvagerie", a-t-il
dénoncé.
   Dimanche, le
ministre a enfoncé le clou en appelant la Turquie à "libérer tous les
prisonniers de conscience" et en estimant que "rien ne justifiait l'arrestation
d'un si grand nombre de manifestants pacifiques".
   Deux jours de
violents incidents ont fait des centaines de blessés en Turquie, où plus de
1.700 manifestants ont été arrêtés.
   Pour Damas, les images de violences en provenance
d'Ankara constituent une preuve sur la nature répressive du gouvernement islamo-conservateur
d'Ankara.
   La Turquie est
le principal appui à la rébellion, et la longue frontière commune permet le
passage de rebelles et de munitions. Une grande partie du nord syrien est
d'ailleurs hors de contrôle du gouvernement, alors que la Turquie a pillé ses
usines dans la région d'Alep.
   La télévision
syrienne accorde une couverture exceptionnelle aux manifestations contre
"la junte au pouvoir" en Turquie.
   Les médias
syriens assurent même que le projet d'aménagement urbain contesté, à l'origine
de la révolte à Istanbul, vise à construire un centre commercial "financé
par des investisseurs qataris et la famille d'Erdogan".
 Ces médias ont
dénoncé la répression des protestations populaires, des manifestations
pacifiques mais aussi la répression violente de la révolution dans ce pays.
   Le quotidien
al-Watan, proche du pouvoir, résumait ainsi dimanche le sentiment des autorités
syriennes: "Après des dizaines de déclarations critiquant la Syrie, le
Premier ministre a autorisé ses forces à utiliser une force excessive et la
barbarie contre des milliers de manifestants pacifiques".

 

Source: AFP

L’Iran démantèle une cellule "terroriste" liée au Mossad


Le ministre iranien des RenseignementsL'Iran a démantelé un "réseau terroriste" lié au service des renseignements israélien Mossad ayant pour objectif de perturber la prochaine élection présidentielle, c’est ce qu’a affirmé dimanche la radio-télévision Irib sur son site internet, citant un rapport des services secrets.
"Le ministère des Renseignements a identifié et arrêté les membres de ce réseau terroriste et confisqué leur dépôt d'armement", a indiqué Irib, en se basant sur des déclarations du ministère des Renseignements iranien.
Le site de la chaîne a indiqué que la cellule est composée de 12 personnes dont le dirigeant de cette cellule est originaire "d'un pays arabe régional" (Golfe).
"Ce dernier a été recruté par les services de renseignements d’un des pays arabes les plus arriérés et collaborateurs avec les Israéliens". "Les services de renseignements de ce pays arabe", dont le nom n’a pas été dévoilé, "lui a défini les missions à exécuter et lui a facilité l’établissement des liens avec un officier du Mossad". (...) "Cet agent s'est entrainé en Palestine occupée" (entité sioniste), a précisé le ministère des Renseignements iranien.
L’agent le plus dangereux est un homme d’affaire qui se rendait fréquemment à un des pays arabes impliqués. Deux pays arabes sont impliqués dans cette affaire, dont notamment le Qatar, a affirmé un expert iranien cité par la chaine AlMayadeen.
Le ministère iranien des Renseignements iranien a en outre affirmé que le réseau arrêté prévoyait de "mener des attaques terroristes avant et surtout le jour du scrutin (le 14 Juin 2013)", ainsi que de "créer des divisions ethniques et confessionnelles" dans certaines régions multi-ethniques du pays. Les agents visaient à assassiner des personnalités religieuses  en vue de semer la zizanie.
Selon la même source, le réseau a déjà "touché plusieurs cibles dans une ville" et "son responsable principal était en contact avec un quartier général basé en Grande-Bretagne".
Le mois dernier, la République islamique a affirmé avoir condamné à mort deux Iraniens pour espionnage au profit d' « Israël » et des Etats-Unis.
Téhéran a notamment accusé les services de renseignement israéliens et américain d'être derrière les attentats qui ont coûté la vie à plusieurs scientifiques nucléaires iraniens ces dernières années.

almanar.com.lb

Mauritanie : mais où est passé Aziz ? Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Mauritanie : mais où est passé Aziz ?


Mohamed Ould Abdel Aziz, le 26 mars 2013 à Doha. Mohamed Ould Abdel Aziz, le 26 mars 2013 à Doha. © AFP
L'opposition mauritanienne a "exigé", dimanche 2 juin, la publication du bulletin de santé du président Mohamed Ould Abdel Aziz. Selon elle, le chef de l'État est introuvable depuis plusieurs semaines.
Où est passé le président Aziz ? C'est ce que se demande actuellement la coalition de l'opposition mauritanienne. Dimanche, dans un communiqué, elle a vigoureusement réclamé la publication du bulletin de santé du président, « introuvable depuis trois semaines » après, selon elle, un voyage en France pour soigner sa blessure par balle.
La Coordination de l'opposition démocratique (COD), qui réunit une dizaine de partis d'opposition parmi les principaux, « exige » du gouvernement mauritanien la publication d'un bulletin de santé de Mohamed Ould Abdel Aziz « dûment certifié par ses médecins traitants français », peut-on lire dans ce communiqué.
Le président Aziz « est perdu dans les couloirs des hôpitaux français où il se soigne des suites de la blessure » par balle. Le dirigeant mauritanien avait été blessé le 13 octobre 2012 par un soldat mauritanien qui avait tiré par erreur sur le cortège présidentiel à hauteur d'un poste militaire au nord de Nouakchott. Il avait ensuite séjourné en France pour des soins.
"Aucune explication" fournie sur son absence
Mohamed Ould Abdel Aziz est « introuvable » depuis trois semaines, une situation qui selon la COD, « empêche la tenue du Conseil de ministres et bloque, du coup, le fonctionnement de l'État ». « Aucune explication n'a été donnée à son absence » du pays depuis sa participation, le 15 mai à Bruxelles, à une conférence de donateurs sur le Mali à laquelle il avait pris part.
Selon des sources officielles contactées dimanche par l'AFP, le dirigeant mauritanien se trouve en France depuis trois semaines « pour un séjour privé ».
Il doit, selon les mêmes sources, assister mercredi à Paris à la cérémonie de remise du prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la Paix au président François Hollande. Ce prix récompense l'intervention française au Mali, qui a permis de chasser du nord de ce pays les jihadistes liés à Al-Qaïda qui l'ont occupé pendant plusieurs mois en 2012.
(Avec AFP)

 Jeuneafrique.com

Combien ont dépensé la France et la Grande Bretagne pour soutenir le terrorisme en Syrie?


IRIB-l'aide financière française  et britannique est l'un des facteurs de prolongation de l'effusion du sang en Syrie. 
commençons par la Grande Bretagne dont le premier ministre a annoncé aux premières semaines des violences en Syrie en 2011 et devant les députés britanniques deux millions de livres sterling. en mars 2012, ce même PM a débloqué 800000 livres supplémentaires . à l'époque , David Cameron prétendait que cette aide ne revêtait qu'un aspect purement non militaire et qu'elle visait surtout à renforcer les fondements de la société civile. 5 mois plus tard , Hague a fait état d'une aide de 5 millions livres sterling, cette fois destinée à l'ASL, une aide à investir dans des équipements de télécommunication ou encore dans des aides médicales . en octobre 2013 , une nouvelle manifestation de largesse british et de loin la plus grosse a eu lieu: huit millions livres sterling ont été alloués à l'opposition armée . la Grande Bretagne n'a pas oublié entre temps faire des gestes humanitaires en annonçant une aide de 21 millions livres sterling pour des réfugiés. il y a quelques semaines Cameron a encore débloqué 40 millions livres sterling pour l'ASL. bref Cameron a accordé depuis le début des violence quelques 76 millions livres sterlings aux terroristes syriens tantôt de façon directe tantôt sous formes de prétendue aide humanitaire.
.et La France? la France non plus n'a pas lésiné sur aucun moyen pour graisser la patte à l'opposition anti Assad. seule différence, le flou le plus totale règne sur le montant exact de cette aide financière. Fabius l'a annoncé a peine et avancé le chiffre de 1.5 millions de dollars.. mais ces aides comment arrivent-elles aux mains des terroristes? dans des valises!!ces valises bourrées de billets verts sont remises aux représentants des rebelles . ces derniers franchissent les frontières et se rendent en Syrie où cet argent est destiné à l'achat des produits pour les terroristes. l'un d'entre eux est un avocat, le dénommé Abdel Hamide qui aurait reçu des mains de Fabius des millions euros avant de se rendre en Syrie et dépenser cet argent afin d'armer et nourrir les terroristes. .....

source Fars

New York : les femmes se baladent seins nus en toute légalité

New York : les femmes se baladent seins nus en toute légalité
L’Etat de New York a rappelé aux policiers que depuis 1992, les femmes sont autorisées à être topless dans les rues de la ville
Les Femen ne sont pas si avant-gardistes qu’on le pense… A New York, se promener seins nus ne relève pas d’un attentat à la pudeur mais bien d’un droit fondamental, reconnu depuis 1992. En effet, l’Etat a rappelé aux forces de l’ordre américaines que les femmes avaient ce droit, et certains mouvements féministes incitent les femmes à le revendiquer en affichant fièrement leur poitrine dénudée. Les hommes se baladent bien torses nus, pourquoi pas les femmes ?

Les mêmes droits pour tout le monde

Il y a plus de vingt ans, la Haute cour de l’Etat avait jugé, avec l’appui des féministes, qu’on ne pouvait pas empêcher une femme de se balader seins nus puisque les hommes, eux, ne se faisaient jamais arrêter en étant torses nus. Empêcher les femmes de le faire était donc, pour eux, une véritable discrimination. Mais les policiers ont tendance à oublier ce droit et arrêtent très souvent les femmes qui le font en pleine rue. La ville a donc envoyé récemment un mémo aux 34.000 agents de New York pour leur rappeler que cette pratique était tout à fait légale.

mcetv.fr