19 novembre, 2012

Une société russe pourrait créer des sites énergétiques en Syrie

La société russe Technopromexport mène des négociations sur la construction de plusieurs sites énergétiques en Syrie, sans passer par des investissements russes ou étrangers, a annoncé à RIA Novosti le PDG de l'équipementier, Oleg Issaïev.
"Nous menons des pourparlers intenses avec la Syrie en dépit des hostilités et de la situation politique complexe à l'intérieur de ce pays. Riche d'une expérience significative de travail en Syrie, la société Technopromexport est prête à retourner dans ce pays", a indiqué M.Issaïev.
"Toutefois, compte tenu de la situation en Syrie, nous n'examinerons pas la possibilité de mobiliser des investissements russes ou étrangers. Mais si le financement des projets est assuré, nous sommes prêts à les mettre à l'exécution. Par exemple, à construire une centrale dans la ville d'Alep", a expliqué le responsable avant de conclure que les partenaires syriens proposaient à Technopromexport sans passer par des appels d'offres.

almanar.com.lb/

Les bassidjis attendent les ordres pour libérer Jérusalem


Le chef des bassidjis iraniens, le général Mohammad Reda Naqdi a assuré que ses forces attendent impatiemment les ordres du guide suprême de la revolution islamique en Iran, le grand Ayatollah  Sayed Ali Khamenei, pour libérer Jérusalem al-Quds.
Le général Mohammad Reda NaqdiSelon la chaine de télévision iranienne arabophone AlAlam, le général qui dirige ce corps de volontaires affilés aux Gardiens de la révolution qui compte 11 millions d'éléments,  a tenu ses propos lors d’un point de presse : « les mesures prise par les pays de la région se sont bornées à la convocation des ambassadeurs, ce qui n’est pas suffisant, vu la gravite de la situation », a-t-il déploré.
«  Nous nous attendons à ce que l’Égypte fasse preuve de plus de force et de solidité, et de s’impliquer plus sur la scène d’une façon plus sérieuse pour défendre Gaza. Une intervention de sa part, accolée au soutien du peuple va arrêter les agressions et les crimes sionistes à Gaza », a-t-il poursuivi.
Assurant que « les forces de mobilisation en Iran et dans le monde attend avec impatience les ordres du commandant de la révolution islamique (Ali Khamenei) pour libérer Jérusalem des sionistes occupants», il a souligné que «malgré l'agression contre Gaza, le processus d'élimination de l'entité sioniste est devenu très proche ».

almanar.com.lb

RDC: nuit calme à Goma après l'offensive rebelle


La nuit de dimanche à lundi a été calme à Goma, capitale régionale du Nord Kivu dans l'est de la République démocratique du Congo, même si quelques tirs ont été entendus alors que les rebelles du M23 s'installent sur leurs positions à 5 km de la ville, a constaté l'AFP La nuit de dimanche à lundi a été calme à Goma, capitale régionale du Nord Kivu dans l'est de la République démocratique du Congo, même si quelques tirs ont été entendus alors que les rebelles du M23 s'installent sur leurs positions à 5 km de la ville, a constaté l'AFP
La nuit de dimanche à lundi a été calme à Goma, capitale régionale du Nord Kivu dans l'est de la République démocratique du Congo, même si quelques tirs ont été entendus alors que les rebelles du M23 s'installent sur leurs positions à 5 km de la ville.
 
Les rebelles ont mené ce week-end une importante offensive jusqu'aux portes de Goma, provoquant la fuite de chefs militaires et de civils dimanche.
Dans un message, le gouverneur de la province, Julien Paluku, affirme lundi être resté en ville et appelle "les populations à vaquer à leurs occupations". "Il n'y a rien à craindre", assure-t-il.dans ce message transmis par Clément Sibomana, son porte-parole,
Les écoles sont restées fermées ainsi que les boutiques. La circulation est rare sauf quelques patrouilles des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC). Des blindés légers des Nations unies sont également visibles à certains carrefours.
La route qui mène au nord de la ville et longe l'aéroport est également déserte. Vers Munigi, lieu où se sont arrêtés les rebelles du M23 dimanche midi après avoir été la cible d' hélicoptères de l'ONU, l'armée régulière ne tient qu'une position à moins d'un kilomètre des lignes rebelles, a constaté l'AFP.
Son porte parole affirme que le gouverneur a parcouru la ville afin de rassurer les habitants.
Selon lui, 17.000 personnes ont quitté le camp de Kanyarucinya pendant l'avancée du M23 sur Goma. Elles se sont réfugiées dans le camp de Mugunga, au sud de la ville.
Selon le gouverneur, "il n'y a rien à craindre, la ville est protégée par la communauté internationale qui soutient le chef de l'Etat Joseph Kabila". "La ville de Goma est sous protection des forces régulières et de celles des Nations unies" ajoute-t-il. 

Syrie: deux des plus importants groupes islamistes rejettent la Coalition


Des groupes islamistes armés, notamment les deux plus importants, Liwaa al-Tawhid et Front al-Nosra, qui combattent à Alep, ont annoncé leur rejet de la Coalition nationale syrienne et se sont prononcés pour un Etats islamique, selon une vidéo diffusée sur internet. Des groupes islamistes armés, notamment les deux plus importants, Liwaa al-Tawhid et Front al-Nosra, qui combattent à Alep, ont annoncé leur rejet de la Coalition nationale syrienne et se sont prononcés pour un Etats islamique, selon une vidéo diffusée sur internet.
Des groupes islamistes armés, notamment les deux plus importants, Liwaa al-Tawhid et Front al-Nosra, qui combattent à Alep, ont annoncé leur rejet de la Coalition nationale syrienne et se sont prononcés pour un Etats islamique, selon une vidéo diffusée sur internet.
 
"Nous, les factions combattantes sur le terrain de la ville d'Alep et de sa province, annonçons notre rejet du complot que représente ce qu'on appelle la Coalition nationale et nous sommes mis d'accord à l'unanimité sur l'instauration d'un Etat islamique juste", affirme la vidéo.
Parmi les 14 organisations signataires de cet appel figurent notamment Liwa al Tawhid, Front al-Nosra et Kataëb Ahrar Cham. Al-Nosra a revendiqué de nombreux attentats contre le régime en Syrie.
"Nous refusons tous les plans extérieurs, que ce soit les coalitions ou les conseils (faisant allusion au Conseil national syrien) qui nous sont imposés d'où qu'ils viennent", ajoute la déclaration.
Sur la vidéo, apparaissent une trentaine d'hommes assis, dont certains sont en treillis, autour d'une table et celui qui lit la déclaration porte une barbe. Derrière lui est accroché un drapeau islamiste noir avec les mots "il n'y pas d'autre dieu que Dieu) et un coran se trouve devant lui.
Quand, il a fini de lire la déclaration, un homme derrière lui brandit un coran en réclamant que "le coran soit la Constitution" avant de scander "Allah Akbar" que tout le groupe reprend derrière lui.
Il s'agit des groupes combattants les plus important dans le nord de la Syrie, qui est quasiment entièrement aux mains des rebelles.

Accalmie des tirs de roquettes à Gaza, négociations au Caire


GAZA/JERUSALEM (Reuters) - L'aviation israélienne a bombardé lundi plusieurs dizaines de cibles dans la bande de Gaza, où les tirs de roquettes en direction de l'Etat hébreu se sont faits plus rares sur fond de grandes manoeuvres diplomatiques au Caire.
Dix civils et deux cadres militaires du Djihad islamique ont été tués dans cette dernière vague de raids aériens, qui a en outre fait une trentaine de blessés, selon des responsables médicaux. Après six jours d'affrontements, le bilan est désormais de 85 morts.
 
Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon est attendu au Caire pour se joindre aux efforts de paix. Il sera mardi en Israël. L'Egypte est en pointe depuis le début pour tenter de négocier une trêve. Ses représentants ont rencontré dimanche les deux parties.
Selon la presse israélienne, une délégation israélienne s'est rendue au Caire pour des discussions. Un porte-parole du gouvernement s'est refusé à tout commentaire.
Le président égyptien Mohamed Morsi a rencontré Khaled Méchaal, chef de file du Hamas, mouvement islamiste qui dirige la bande de Gaza, ainsi que Ramadan Challah du Djihad islamique. Mais le communiqué publié après la rencontre ne dit pas si les négociations ont été concluantes.
Dans un message diffusé sur Facebook, Izzat Richek, proche conseiller de Khaled Méchaal, écrit que le Hamas acceptera un cessez-le-feu seulement si Israël "cesse son agression, met fin à sa politique d'assassinats ciblés et lève le blocus de Gaza."
De son côté, le vice-premier ministre israélien, Moshe Yaalon a fait la liste de ses conditions sur Twitter : "Si le calme prévaut dans le Sud, si le peuple israélien n'est la cible d'aucun tir de missile ou de roquette, ni d'attentat terroriste préparé dans la bande de Gaza, nous n'attaquerons pas".
LOURD TRIBUT
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui briguera un nouveau mandat le 22 janvier, a averti dimanche qu'Israël était prêt à étendre son offensive, officiellement destinée à mettre fin aux tirs de roquettes palestiniennes sur son territoire.
"Le Hamas et les organisations terroristes nous font payer un lourd tribut et les Forces de défenses israéliennes sont prêtes à étendre leurs opérations de façon significative", a-t-il déclaré en conseil des ministres, sans plus de précisions.
Le secrétaire général de l'Onu a exprimé sa préoccupation dans un communiqué avant son départ pour le Proche-Orient et a évoqué la mort des 11 civils Palestiniens dimanche, dans un raid aérien qui visait la maison d'un membre présumé du Hamas.
"Je suis profondément attristé de la mort annoncée de plus de dix membres de la famille Dalou (...) et par la poursuite des tirs de roquette contre les localités israéliennes qui ont tué plusieurs civils israéliens. J'appelle les parties à coopérer aux efforts menés par l'Egypte pour parvenir à un cessez-le-feu immédiat."
L'armée israélienne a précisé que la cible de l'attaque était Yihia Abayah, un responsable militaire du Hamas chargé des tirs de roquettes. Un porte-parole de Tsahal a dit ne pas savoir si Abayah faisait partie des victimes mais a reconnu des pertes civiles.
Selon Tsahal, 544 roquettes en provenance de Gaza se sont abattues depuis mercredi en Israël, où elles ont fait trois morts et plusieurs dizaines de blessés, 302 ont été interceptées et 99 n'ont pas atteint le territoire israélien.
Aucun tir en provenance de la bande de Gaza n'a toutefois eu lieu entre minuit et le levé du jour, rapporte l'armée israélienne. Trois ont été signalés dans la matinée, mais Tsahal ne fait pour le moment état d'aucune victime.
Elle dit en outre avoir procédé dans la nuit à 80 raids aériens contre des "sites souterrains de lancement de roquettes, des tunnels et des camps d'entraînement terroristes", ainsi que des "bâtiments appartenant à des hauts responsables terroristes".
En visite en Israël, le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius a offert l'aide de la France dans la quête d'un cessez-le-feu. "Les deux mots d'ordre ce soir, c'est urgence et cessez-le-feu", a-t-il dit.
Bertrand Boucey, Guy Kerivel, Danielle Rouquié et Jean-Philippe Lefief pour le service français

L’Iran appelle les pays du Golfe et la Turquie à armer les Palestiniens

Ali LarijaniLes pays de la région doivent envoyer des armes aux Palestiniens pour combattre Israël, déclare le président du Parlement iranien, Ali Larijani.
Le président du Parlement iranien, Ali Larijani, a appelé dimanche les pays de la région à envoyer des armes aux Palestiniens pour combattre « Israël ».
"Les actions politiques de certains pays de la région sont utiles mais pas suffisantes. Aujourd'hui, on attend d'eux qu'ils envoient une aide militaire" aux Palestiniens (victimes d’une offensive israélienne), affirme M.Larijani, dont le pays soutient les mouvements de la résistance palestinienne.
"Les Etats-Unis et l'Occident envoient des armes au régime sioniste. Pourquoi dès lors ne faudrait-il pas envoyer des armes à la Palestine?", ajoute-t-il.
Il assure également que certains pays de la région ont "commis une erreur stratégique en provoquant un conflit interne en Syrie par l'envoi d'armes" aux groupes rebelles syriens.
"On attend de certains pays de la région qu'ils changent leur comportement et qu'au lieu d'encourager un conflit entre deux groupes musulmans en Syrie, ils envoient ces armes en Palestine pour combattre le régime sioniste", insiste-t-il, en visant implicitement les pays du Golfe et la Turquie.
Le Qatar, l’Arabie saoudite et d’autres pays de la région appellent officiellement à armer les rebelles syriens pour se « défendre » contre le régime syrien. Ce qui n’est pas le cas pour les Gazaouites.