13 septembre, 2012

Hezbollah/film anti-Islam: les condamnations US ne leurrent personne


Liban/logo du HezbollahLe Hezbollah a publié mercredi un communiqué dans le lequel il a condamné le film américano-sioniste insultant le prophète Mohammad (S).
Pour le Hezbollah, il s’agit d’un « acte immoral violant un des principaux droits de l’Homme à savoir : le respect de ses croyances et de ses sacro-saints en plus du respect de ses sentiments ».
Le Hezbollah a ajouté que « ce film diffusé récemment est un acte suspect financé par des extrémistes coptes et juifs. Il a comme objectif d’attiser la haine et la tension entre les musulmans et les coptes d’Egypte dans le but de les entrainer dans la sédition ».
« Il ne s’agit pas d’actes individuels mais une incarnation de politiques préméditées, reflétant la position réelle de l’alliance américano-sioniste envers l’Islam et les musulmans », a souligné le Hezbollah.
Et d’ajouter: « les communiqués de condamnations américaines ne leurrent personne. S’interrogeant où en sont la position de Ligue arabe et de l’Organisation de la coopération islamique ? Où en est la position des peuples islamiques face à ces insultes répétées ? Il en est de même  pour les organisations des droits de l’Homme et des Nations Unies ».
Le Hezbollah a réclamé, dans ce contexte, des Nations Unies de « promulguer des lois incriminant de tels actes à l’instar des résolutions inculpant l’antisémitisme ».
Et de souligner : « la nécessité qu’il y ait une coopération islamo-chrétienne de haut niveau dans ce sens ».

Le film américano-israélien contre le Prophète (P): une provocation planifiée?


Malheureusement ce n'est pas la première fois que le prophète Mohammad (P) est victime de diffamation par le tandem américano-sioniste!
Souvenez-vous des versets sataniques de Salman Rushdie en passant par les caricatures danoises du prophète Mohammad (P) pour terminer aujourd'hui avec le film "Innocence des musulmans" , un film à petit budget  diffamatoire sur le messager de Dieu (P) .
Car, en effet beaucoup de mystères et de confusion règnent  sur l'identité de l'auteur du film, son casting , sa diffusion voire son timing!
D'abord, rien que de diffuser un tel film à petit budget  sur le prophète Mohammad (P) alors que la région du Moyen-
Orient est en pleine effervescence, que les islamistes sont plus que jamais auparavant présents sur la scène politique
régionale et que les takfiris agissent en liberté sur le terrain est en soi suspect et provocateur! Et pour le faire, on est 
soit  fou,  soit machiavélique!
Ensuite, le cinéaste, qui se qualifie d'Américano-israélien et qui se fait appeler Sam Bacile, semble avoir disparu de la circulation, et pour cause il serait une personne fictive rapporte des sources américaines citées par la chaîne satellitaire Mayadine!
Mercredi soir, une information relayée par les médias américains affirmait qu'un copte vivant dans la banlieue de Los Angeles, Nakoula Basseley Nakoula, était le responsable de la société de production du film et qu'il avait eu maille à partir avec la justice.
  
Des documents judiciaires confirment que Nakoula Basseley Nakoula a été condamné à 21 mois de prison en 2010 pour escroquerie bancaire et qu'il résidait à Cerritos, dans la banlieue sud de Los Angeles.
Or, mardi, Sam Bacile aurait fait  un entretien au Wall Street Journal qualifiant que l'Islam était  "cancer".
Il avait  précisé avoir fait le film  avec 60 acteurs et une équipe de 45 personnes.
Sauf que l'équipe du film s'est démarquée du soi-disant cinéaste en affirmant mercredi, dans un communiqué publié
par le Los Angeles Times que  "Tous les acteurs et toute l'équipe sont bouleversés et ont l'impression d'avoir été
exploités par le producteur"!.
  
"Nous sommes à 100% contre ce film et avons été grossièrement trompés sur ses intentions et objectifs. (...) Nous
sommes choqués par les réécritures radicales du scénario et les mensonges proférés à toutes les personnes
impliquées", ajoute le communiqué. "Nous sommes profondément attristés par les tragédies" survenues en Libye et en
Egypte.
L'actrice Cindy Lee Garcia, qui joue une femme dont la fille est proposée en mariage à Mohammed, a affirmé qu'elle ignorait que le film fût une propagande antimusulmane, ajoutant que des dialogues avaient été doublés après le tournage. Selon elle, "il n'y avait rien sur Mahomet ou les musulmans" dans le film qu'elle a tourné.
  
Le doublage est parfaitement visible sur les 14 minutes du film diffusées sur internet, où des mots sont grossièrement insérés au beau milieu de séquences.
Toujours selon Mayadine, selon des sources cinématographiques américaines, le film n'est pas inscrit à Hollywood, le film n'est projeté dans aucune salle, ce sont juste des séquences qui ont été diffusées sur You Tube!
Est-ce que cela signifie que le film en fait n'existe pas? Qu'il ne s'agit que de séquences d'images doublées de façon
médiocre?
Et si tel est le cas, pourquoi le diffuser dans ce contexte régional? Est-ce pour provoquer une réaction quelque part?
Ou encore pour masquer une "réaction" déjà planifiée? Et pour quelles raisons?
 
Ce qui nous amène ostensiblement à l'affaire de l'assassinat de l'ambassadeur des Etats-Unis à Benghazi avec ses trois diplomates. Un assassinat qualifié dans un premier temps comme une réaction  de colère de la part des hommes armés en colère contre le film en question! Et dans un second temps comme un attentat planifié par des extrémistes qui se seraient  servis de manifestants pour s'en prendre au consulat américain avec des armes de petit calibre mais aussi des lance-roquettes , selon un responsable américain! Soulignant au passage que cet acte porte "clairement la signature d'Al-Qaïda"!
Or, si tel est le cas alors pourquoi la sécurité du consulat n'a pas été renforcée? Sinon, comment expliquer la facilité avec laquelle ces hommes armés ont pénétré dans l'enceinte diplomatique américaine à Benghazi? Et serait-ce une simple coïncidence que cet assassinat soit perpétré le jour de la commémoration du 11 septembre?
A noter que cet assassinat  a provoqué l'envoi de deux navires de la  marine américaine vers les côtes libyennes
aussi, le déploiement d'une équipe d'une cinquantaine de Marines spécialisés dans la lutte antiterroriste en Libye.
Mais encore...
Cet assassinat  intervient au bon milieu d'une campagne présidentielle américaine, entachée par la perte de soldats américains en Afghanistan, par une crise économique alarmante, par un dossier nucléaire iranien qui est toujours non-résolu et surtout par des relations perturbées entre l'entité sioniste et les Etats-Unis!
Bref, autant d'ambiguïté et de mystère  autour de ces deux affaires que seule l'évolution de ses événements pourraient nous guider dans nos réponses.


almanar.com

Le film américano-israélien contre le Prophète (P): une provocation planifiée?


Malheureusement ce n'est pas la première fois que le prophète Mohammad (P) est victime de diffamation par le tandem américano-sioniste!
Souvenez-vous des versets sataniques de Salman Rushdie en passant par les caricatures danoises du prophète Mohammad (P) pour terminer aujourd'hui avec le film "Innocence des musulmans" , un film à petit budget  diffamatoire sur le messager de Dieu (P) .
Car, en effet beaucoup de mystères et de confusion règnent  sur l'identité de l'auteur du film, son casting , sa diffusion voire son timing!
D'abord, rien que de diffuser un tel film à petit budget  sur le prophète Mohammad (P) alors que la région du Moyen-
Orient est en pleine effervescence, que les islamistes sont plus que jamais auparavant présents sur la scène politique
régionale et que les takfiris agissent en liberté sur le terrain est en soi suspect et provocateur! Et pour le faire, on est 
soit  fou,  soit machiavélique!
Ensuite, le cinéaste, qui se qualifie d'Américano-israélien et qui se fait appeler Sam Bacile, semble avoir disparu de la circulation, et pour cause il serait une personne fictive rapporte des sources américaines citées par la chaîne satellitaire Mayadine!
Mercredi soir, une information relayée par les médias américains affirmait qu'un copte vivant dans la banlieue de Los Angeles, Nakoula Basseley Nakoula, était le responsable de la société de production du film et qu'il avait eu maille à partir avec la justice.
  
Des documents judiciaires confirment que Nakoula Basseley Nakoula a été condamné à 21 mois de prison en 2010 pour escroquerie bancaire et qu'il résidait à Cerritos, dans la banlieue sud de Los Angeles.
Or, mardi, Sam Bacile aurait fait  un entretien au Wall Street Journal qualifiant que l'Islam était  "cancer".
Il avait  précisé avoir fait le film  avec 60 acteurs et une équipe de 45 personnes.
Sauf que l'équipe du film s'est démarquée du soi-disant cinéaste en affirmant mercredi, dans un communiqué publié
par le Los Angeles Times que  "Tous les acteurs et toute l'équipe sont bouleversés et ont l'impression d'avoir été
exploités par le producteur"!.
  
"Nous sommes à 100% contre ce film et avons été grossièrement trompés sur ses intentions et objectifs. (...) Nous
sommes choqués par les réécritures radicales du scénario et les mensonges proférés à toutes les personnes
impliquées", ajoute le communiqué. "Nous sommes profondément attristés par les tragédies" survenues en Libye et en
Egypte.
L'actrice Cindy Lee Garcia, qui joue une femme dont la fille est proposée en mariage à Mohammed, a affirmé qu'elle ignorait que le film fût une propagande antimusulmane, ajoutant que des dialogues avaient été doublés après le tournage. Selon elle, "il n'y avait rien sur Mahomet ou les musulmans" dans le film qu'elle a tourné.
  
Le doublage est parfaitement visible sur les 14 minutes du film diffusées sur internet, où des mots sont grossièrement insérés au beau milieu de séquences.
Toujours selon Mayadine, selon des sources cinématographiques américaines, le film n'est pas inscrit à Hollywood, le film n'est projeté dans aucune salle, ce sont juste des séquences qui ont été diffusées sur You Tube!
Est-ce que cela signifie que le film en fait n'existe pas? Qu'il ne s'agit que de séquences d'images doublées de façon
médiocre?
Et si tel est le cas, pourquoi le diffuser dans ce contexte régional? Est-ce pour provoquer une réaction quelque part?
Ou encore pour masquer une "réaction" déjà planifiée? Et pour quelles raisons?
 
Ce qui nous amène ostensiblement à l'affaire de l'assassinat de l'ambassadeur des Etats-Unis à Benghazi avec ses trois diplomates. Un assassinat qualifié dans un premier temps comme une réaction  de colère de la part des hommes armés en colère contre le film en question! Et dans un second temps comme un attentat planifié par des extrémistes qui se seraient  servis de manifestants pour s'en prendre au consulat américain avec des armes de petit calibre mais aussi des lance-roquettes , selon un responsable américain! Soulignant au passage que cet acte porte "clairement la signature d'Al-Qaïda"!
Or, si tel est le cas alors pourquoi la sécurité du consulat n'a pas été renforcée? Sinon, comment expliquer la facilité avec laquelle ces hommes armés ont pénétré dans l'enceinte diplomatique américaine à Benghazi? Et serait-ce une simple coïncidence que cet assassinat soit perpétré le jour de la commémoration du 11 septembre?
A noter que cet assassinat  a provoqué l'envoi de deux navires de la  marine américaine vers les côtes libyennes
aussi, le déploiement d'une équipe d'une cinquantaine de Marines spécialisés dans la lutte antiterroriste en Libye.
Mais encore...
Cet assassinat  intervient au bon milieu d'une campagne présidentielle américaine, entachée par la perte de soldats américains en Afghanistan, par une crise économique alarmante, par un dossier nucléaire iranien qui est toujours non-résolu et surtout par des relations perturbées entre l'entité sioniste et les Etats-Unis!
Bref, autant d'ambiguïté et de mystère  autour de ces deux affaires que seule l'évolution de ses événements pourraient nous guider dans nos réponses.


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Les hommes de la DGSE en appui aux milices de l’ASL EN SYRIE


Les Français qui s'intéressent un tant soi peu à la Syrie ont dû déjà croiser au hasard de la toile ou des journaux la signature de Richard Labévière, un des rares analystes-spécialistes-essayistes un peu « équilibrés » sur cette question.
 Justement, Labévière vient de donner un entretien au Parisien, ce 6 août. Dans lequel il confirme cette information, objet d'un silence vraiment consensuel de la presse française depuis le début de l'année : « Avec le service action de la DGSE, dit Richard Labévière, la France mène des opérations de formation et de soutien à l'ASL et à d'autres groupes armés ». Et notre spécialiste d'ajouter, pour l'édification des lecteurs duParisien, que cette aide française porte plus particulièrement sur l'instruction d'artillerie et les moyens de transmissions.
« Plusieurs dizaines de conseillers militaires participent déjà à un état-major commun turc, américain et français à Chamagh (Turquie) » et cette fine équipe est renforcée encore par des Britanniques. Bref, ce fameux camp spécial américano-ASL en territoire turc, évoqué ces derniers jours par plusieurs sites et médias, certains mainstream, prend de la consistance. Quant à la France, on se doutait que les barbouzes à pied d'oeuvre en Turquie évoquées en octobre dernier par Le Point et le Canard enchaîné n'étaient sans doute pas rentrées à la maison.
Ainsi, un grand nombre de Français sauront désormais que des soldats français, des agents français, aident en ce moment l'ASL à installer le chaos et la guerre civile en Syrie, à une heure où même la grande presse ne peut pus cacher, ni les exactions, ni l'orientation islamiste radicale de ces supposés « combattants de la liberté« .
Justement, dans son entretien au Parisien, Richard Labévière tire la sonnette des Cassandre : « Il y a un vrai danger islamiste » (en Syrie) dit-il. « Plusieurs milliers d'activistes ont passé la frontière en provenance d'Irak, du Liban, de Turquie et de Jordanie« . À ce propos, Labévière donne des estimations des effectifs de ces groupes armés qui se trouvent correspondre à celles que nous avions déjà formulées : de 10 à 15 000 combattants pour tout le pays, dont, dit-il, 3 000 environ « relèvent directement de groupes djihadistes revendiquant l'idéologie d'al-Qaïda« .
Cela peut paraitre peu face à une armée syrienne généralement crédite de 300 000 hommes. Mais outre que 300 000 militaires ne font pas forcément 300 000 soldats aguerris, les bandes, à la notable exception d'Alep aujourd'hui et de Damas la veille, sont éparpillées en des centaines de petits groupes de quelques dizaines de membres qui ont pour eux la mobilité. Et l'armée ne peut mettre des postes dans chaque ville moyenne ou village : on a vu récemment qu'à Anadane, au nord d'Alep, deux ou trois-cents rebelles ont assailli un poste défendu par une cinquantaine de soldats; le subjuguant au termes de plusieurs heures.
Pour en revenir à l'entretien de Labévière au Parisien, il prédit, en cas de chute du régime, un gouvernement des Frères musulmans « au mieux« , ou salafiste « au pire ». Et il conclut par ce slogan des opposants qu'il a personnellement entendu en Syrie : « Les alaouites dans la tombe, les chrétiens à Beyrouth ! »
C'est donc à ce programme que travaillent nos vaillant officiers de la DGSE : on ne s'en étonnera pas dans la France vassalisée de Sarkozy/Juppé et de Hollande/Fabius. Mais on ne peut que le regretter au nom de celle de de Gaulle.
Par Louis Denghien
Source: Mecanopolis

La Syrie vers davantage d’extrémisme


L’un des cofondateurs de la « Jamaa Islamiyya combattante », une faction d’Al-Qaïda œuvrant en Libye a affirmé que l’hégémonie des « djihadistes islamistes » d’Al-Qaïda s’amplifiera en Syrie dans l’avenir et que de nouvelle tactiques seront mises en œuvre.
Dans un article publié dans le Guardian, Noemane Osmane qui a depuis quitté la nébuleuse pour rejoindre la fondation Quilliam à Londres, laquelle étudie les phénomènes liés à l’extrémisme confirme les informations de presse sur la présence de miliciens d’Al-Qaïda en grand nombre en Syrie.
Mais il donne toutefois un chiffre inférieur à celui connu déjà : entre 1000 et 1500 élément alors que de nombreux medias les estiment entre 6 et 7 mille.
Osmane en compagnie d'Abdallah SadekOsmane qui avait connu Oussam Ben Laden et entretient des liens étroits avec le vice-chef de la Jamaa, le Libyen Mahdi Harati qui se trouve actuellement en Syrie, confirme également la version officielle selon laquelle ces groupuscules extrémistes agissent bel et bien sous la coupe de la milice de l’Armée syrienne libre, et entretiennent des liens étroits avec l’Otan, à l’instar de leur consœurs libyennes.
Il atteste l’information selon laquelle ce sont bien des monarchies du Golfe qui financent ces groupuscules, ainsi que des fondations religieuses se trouvant dans ces monarchies.
(À noter qu’Osmane est soupçonné par ses anciens compagnons de route d’avoir été recruté par les services d’espionnage britannique, le MI6, précisément depuis les évènements du 11 septembre).

Seulement 10% d’Islamistes
Miliciens ASL à AlepIl y a deux jours, le centre Quilliam Foundation avait publié dans un rapport que l’ASL est composée à « 10% d'islamistes radicaux », selon ses termes.
"L'influence de groupements djihadistes dans le pays s'accroit, ce qui fait craindre que la nébuleuse Al-Qaïda puisse être derrière le chaos en Syrie", indiquent les auteurs du rapport rendu public lundi, rapporte Ria Novosti.
D'après les experts de la fondation, l'activité croissante des islamistes dans ce pays proche-oriental signifierait que "le soulèvement populaire aborde une nouvelle phase de développement" qui se distingue par un radicalisme accru.
Estimations inférieures aux données sur le terrain
Jacques Bérès

A noter que ce taux est inférieur aux estimations effectuées sur le terrain. Un chirurgien français de Médecins sans frontière, Jacques Bérès qui s’était rendu dans plusieurs régions syriennes, dont entre autre à Alep dernièrement, a rapporté qu’une grande partie des blessés miliciens qu’il a soignés sont «  des fondamentalistes et des djihadistes, qui s’intéressent surtout à l’établissement d’un régime islamistes et de la charia, en vue de l’Emirat mondial ».
Bérès signale aussi que la moitié des rebelles sont des étrangers, ce qui contredit les chiffres d’Ossmane.


Les miliciens n’ont pas été accueillis par les Aleppins
haytham MannaaPour sa part, l’opposant syrien Haytham Mannaa a constaté qu’aucune manifestation d’accueil pour les rebelles n’a été réalisée dans la deuxième métropole de Syrie, Alep, lorsqu’ils l’ont investie.
Dans une interview avec la télévision Al-Mayadine, il a expliquee ceci par le fait que ce sont « les groupuscules takfiris qui étaient en tête des miliciens, qui portaient que le drapeau d’Al-Qaïda, pas même celui de la tutelle » adopté par les miliciens.
«  Comment les gens peuvent-ils les accueillir les bras ouverts ? », a-t-il demandé, signalant qu’ils ont pris peur et ont quitté leur ville.
Terrain

Dans la province sud de Damas, les forces gouvernementales ont repoussé une attaque perpétrée mercredi contre la région du mausolée de Sayeda Zaynab. Selon le site Shukumaku, de violents accrochages ont éclaté dans son entourage, lorsque des forces gouvernementales l’ont investi à partir de plusieurs axes.
Entretemps, les habitants commencent à retourner vers leurs maisons dans la localité de Yelda, nettoyée par les forces de l’ordre.  Selon Arabs Press, cette localité avoisinante de Sayeda Zaynab, est ravagée par les destructions : son hôpital Hariri y a été incendié après avoir été volé. La mosquée Ghazalé aussi a été saccagée, ses portes et fenêtres brisées. Ses réseaux electriques et d’eau ont aussi été détruits. Un atelier pour la construction des engins explosifs y a été découvert.
Dans le quartier Roukneddine à Damas, l’explosion d’une voiture  piégée  a incendié trois voitures appartenant à des civils. Selon le correspondant de Shukumaku, l’engin visait une patrouille des forces de l’ordre qui a échappé à l’attentat.
Dans le gouvernorat d’Idleb, 7 miliciens ont été tués dans une attaque au siège de la radio à Sarakeb, alors qu’à proximité de l’usine de produits laitiers, 4 autres ont été blessés, et deux éléments des forces de l’ordre. Mercredi, 18 militaires réguliers avaient été tués dans ce lieu, dans une attque à la voiture piégée.
Sur le site Syrian Document, des images vidéos de miliciens dans cette région qui tentent de toucher un avion syrien avec l’aide d’une batterie anti aérien, mais sans y parvenir. Mercredi, un député salafiste koweitien a annoncé que les donateurs koweitiens ont fourni des armements anti aériens aux rebelles syriens. Alors que dans le village Kafriyya, un milicien saoudien a été tué et un autre de nationalité turque  a été arrêté dans des accrochages ainsi que deux syriens.
A AlepDans la région de Homs, l’agence Sana a fait état de la mort de plusieurs miliciens dans des combats avec l’armée régulière dans la région de Talkalekh frontalière avec le Liban.
Dans le gouvernorat d’Alep, 15 ont été tués dans la région de Bab, frontalière avec la Turquie et occupée par les miliciens, dans un bombardement héliporté des forces gouvernementales. Les sources rebelles se sont abstenues de préciser qui sont les victimes, ce qui permet de supposer qu’ils sont des miliciens.

Dans la région de Hassaké, les sites syriens ont rendu compte que les groupes rebelles ont attaqué les stations de communications des réseaux de téléphonie mobile, volant certains appareils et installations, et en détruisant d’autres. Ce qui a provoqué une coupure des communications dans cette région.
 
Version AFP-OSDH
  
 
Au moins 11 personnes ont été tuées jeudi matin dans une frappe de l'armée de l'air d'un quartier d'Alep, deuxième ville de Syrie, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Ces nouvelles violences surviennent alors que l'émissaire international Lakhdar Brahimi est attendu à Damas pour sa première visite dans le pays pour une mission qu'il a jugée "extrêmement difficile".
A Alep, où une bataille cruciale a lieu depuis près de deux mois, plusieurs quartiers tenus par les rebelles étaient bombardés par l'armée. Au moins 11 personnes ont été tuées dans un raid aérien d'un hélicoptère qui a frappé un carrefour dans le quartier de Tariq al-Bab dans l'est de la métropole du nord.
   L'ONG n'a pas précisé si les victimes étaient des civils ou des rebelles mais a diffusé une vidéo où apparaissent des corps, la plupart ensanglantés et certains carbonisés, placés dans des pick-up ou sur le trottoir.
   Les Comités locaux de coordination (LCC), l'un des groupes animant la contestation sur le terrain, ont indiqué que l'armée bombardait en outre violemment à l'artillerie le quartier sud de Ferdous, dans cette deuxième ville du pays.
   Dans la province d'Alep, au moins quatre civils ont été tués dans un bombardement de la région de Karam al-Jabal, selon l'OSDH.
   Par ailleurs, un ex-député syrien, Ahmad el-Turk a été tué abattu par les forces de sécurité qui perquisitionnaient sa maison à Harasta (province de Damas) à l'aube et ont arrêté son fils, selon l'ONG ...
   A Damas, une voiture piégée a explosé dans le quartier de Roukneddine (nord) sans faire de victimes alors que l'armée bombardait celui de Tadamoun (sud), selon l'OSDH.
   Les LCC ont fait état de leur côté de violents combats nocturnes entre l'armée régulière et l'Armée syrienne libre (ASL, rebelles) à Qaboun, un quartier rebelle dans l'est de la capitale.




almanar.com.lb

Lavrov: les sanctions des Etats-Unis affectent le monde des affaires russe


Clinton ET LavrovL'introduction des sanctions contre les pays du Moyen-Orient par les Etats-Unis touche directement les intérêts des entrepreneurs russes dans cette région. Les craintes de Moscou ont été entendues par Washington, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov qui s’est entretenu avec la Secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton lors du sommet de l'APEC à Vladivostok.
Le thème principal du sommet de l'APEC à Vladivostok – c’est l'économie, mais les invités n’ont pas pu se passer d’évoquer des aspects politiques de leurs relations. Sergueï Lavrov et Hillary Clinton ont abordé des questions internationales qui sont vraiment d’actualité. Moscou et Washington maintiennent toujours des visions différentes du problème syrien et iranien. Lavrov et Clinton ont souligné que les deux pays ont un seul but - voir une Syrie démocratique et prospère, avec un gouvernement élu par le peuple. La Russie et les États-Unis sont fermement opposés à la prolifération des armes nucléaires. Cependant, Moscou estime que la méthode de résolution des conflits adoptée par Washington – celle de la menace et de l’augmentation de la pression sur la Syrie et l'Iran avec l’introduction des nouvelles sanctions n'apportera pas de résultats souhaités. En plus, cette politique affecte directement les intérêts russes, a souligné Sergueï Lavrov.
« Nous ne sommes pas d'accord avec cela en principe. Pour résoudre les problèmes, il faut impliquer et non pas isoler ceux envers qui nous avons des questions. Les sanctions américaines unilatérales contre l'Iran et la Syrie prennent de plus en plus un caractère extraterritorial, ce qui affecte directement les intérêts du monde d’affaires russe, et les banques russes. Nous avons déjà mentionné clairement que cette approche n’est pas concevable et on nous a entendu. Toutefois, je ne sais pas quel sera le résultat ».
Les relations de ces pays arabes avec l’Union européenne deviennent également de plus en plus tendues. Et lorsque de nouvelles séries de sanctions sont adoptées, les pays européens n’en parlaient pas à la Russie. Maintenant, avec le manque d'unité au sein de la communauté internationale, l’Europe tente d’accuser la Russie et la Chine de déstabiliser la situation dans la région, se référant justement à ses intérêts économiques. Cette position est inacceptable, a noté Lavrov.
« Nous n'avons pas d'intérêts commerciaux spécifiques en Syrie. Nos volumes de coopération économique et des échanges technico-militaires avec ce pays font pâle figure à côté des intérêts de nos partenaires occidentaux, et surtout européens. Et cela est valable non seulement pour la Syrie, mais aussi pour la Lybie. Il existe de nombreuses estimations, qui sont accompagnées par des données statistiques précises – concernant ce qui s’est produit en Lybie, les intérêts qui y étaient impliqués et les espoirs qu’il y avait ».
À la fin de septembre, une Assemblée générale de l’ONU se déroulera à New York. Une réunion séparée y sera consacrée à la Syrie, et lors de cette réunion, la Russie compte proposer à nouveau au Conseil de sécurité d'approuver le communiqué de Genève – la conclusion, à laquelle sont arrivés les membres du Conseil de sécurité et les représentants de la Ligue arabe le 30 juin dernier.
Mais la discussion entre Sergueï Lavrov et Hillary Clinton ne s’est pas uniquement limitée aux problèmes entre les deux pays. Les hauts fonctionnaires ont également évoqué les aspects dans leurs relations, où un progrès a été atteint. L'une des directions, par rapport à laquelle les deux côtés ont exprimé leur satisfaction – c’est la simplification des demandes des visas. Le nombre de formalités liés aux voyages touristiques et des voyages d’affaires pour les citoyens de deux pays s’est réduit sensiblement, tout comme le prix des visas. Selon Clinton, c’est un accord historique.
« Le nouvel accord historique sur les visas entre en vigueur lundi prochain. Cet accord simplifiera sensiblement les formalités de voyage de nos citoyens, tout comme les relations entre les hommes d’affaires. C’est symbolique que tout cela se passe pendant le sommet de l'APEC. Cet accord – c’est un autre point important dans les relations entre nos deux pays. Et nous sommes reconnaissants pour cette possibilité, tout comme pour de nombreuses autres, qui sont proposées par la Russie ».
La discussion sur les relations entre Moscou et Washington aura également lieu lors de la rencontre de Hillary Clinton avec Vladimir Poutine. Dans le cadre de la réception officielle en l'honneur des dirigeants des pays de l'APEC, une rencontre entre le président russe et la secrétaire d'État américaine est également prévue
french.ruvr.ru

Poutine critique ceux qui "couvrent de merde" la Russie


Le président russe Vladimir Poutine a prôné avec ferveur le patriotisme, une "base" pour l'avenir de la Russie, et dénoncé l'attitude de ceux qui en Russie prennent "plaisir" à "couvrir leur pays de merde", dans des propos publiés jeudi sur le site du Kremlin.
 
"Couvrir sa Patrie de merde, ici, c'est toujours le bienvenu, c'est considéré comme un mérite, et beaucoup de gens le font avec plaisir", a déclaré M. Poutine au cours d'une rencontre mercredi avec des représentants associatifs et religieux, selon le site du Kremlin.
 "Aujourd'hui, nous avons complètement arrêté de nous occuper du patriotisme", a-t-il regretté.
 "Nous devons construire notre avenir sur une base solide. Et cette base, c'est le patriotisme", a souligné M. Poutine.
 "Le patriotisme, ce n'est pas seulement un beau mot. Le patriotisme, c'est tout d'abord servir sa patrie, son pays, la Russie, son peuple", a-t-il ajouté.
 
 Le patriotisme, "c'est le respect de son pays et de ses traditions, des valeurs spirituelles de nos peuples (...)", a poursuivi M. Poutine.
 Il a souligné qu'il fallait en premier lieu se concentrer sur l'"éducation patriotique" des jeunes Russes, car "c'est dans l'enfance et la jeunesse que le sentiment patriotique et le système de valeurs morales se forment".
 
Vladimir Poutine a fait du renforcement des valeurs patriotiques en Russie l'une des priorités de son mandat.
 Le patriotisme a également été l'un des fils rouges de sa campagne présidentielle, au cours de laquelle il avait appelé ses partisans à "ne pas regarder à l'étranger" et à "être fidèles à la Russie".

Abdallah II : Israël travaille à bloquer notre programme nucléaire pacifique


Le roi Abdallah II de Jordanie a accusé mercredi « Israël d'entraver le programme d'énergie nucléaire du royaume », dans une interview exclusive à l'AFP.
"La forte opposition au programme d'énergie nucléaire de la Jordanie provient d'Israël", a affirmé le roi dans cette interview.
"Lorsque nous avons commencé à nous diriger vers l'énergie nucléaire à des fins pacifiques, nous avons approché plusieurs pays (...) pour qu'ils travaillent avec nous", a ajouté le souverain.
"Mais nous avons rapidement réalisé qu'Israël faisait pression sur ces pays pour entraver toute coopération avec nous", a ajouté le roi.
"Une délégation jordanienne approche ainsi un partenaire potentiel, et une semaine plus tard, une délégation israélienne vient demander à nos interlocuteurs de ne pas soutenir l'offre jordanienne sur le nucléaire", a-t-il encore dit.
La Jordanie, qui importe 95% de ses besoins en énergie, cherche à développer l'énergie nucléaire pour satisfaire ses besoins intérieurs croissants en électricité.

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