24 août, 2012

La mère d'Obama nue sur Internet !

Les Anonymous ont encore frappé !

Cette fois-ci, ils s'en sont pris au président des Etats-Unis en diffusant sur Twitter des photos dénudées, affirmant qu'il s'agissait-là de la mère de Barack Obama. Tous les détails !
Encore une attaque des désormais célèbres pirates informatiques Anonymous. Cette fois, le collectif a décidé de poster un message sur Twitter, accompagné de trois photos en noir et blanc, datant des années 50.Le message est clair : "Dear Mr Barack Obama, here is a picture of your mom" ("Cher M. Barack Obama, voici une photo de votre mère"). L'une des photos révélées montre une famille, qui serait celle de la mère du président des Etats-Unis, Ann Dunham. Les deux autres photos laissent à penser qu'il s'agit de la même femme, mais nue...
Le message posté par le groupe Anonymous, sur son compte Anonymous Operations, précise que les images auraient été trouvées sur le forum 4Chan. Elles auraient d'ailleurs déjà fait le tour de la toile à l'occasion de la campagne présidentielle de Barack Obama en 2008. Aujourd'hui, certains voient ce geste des Anonymous comme une réplique aux attaques des Etats-Unis contre Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, site à l'origine de la révélation de nombreux scoops ultra-secrets depuis juillet 2010.
Découvrez les images :



planet.fr

ATHLETISME - Blake est devenu le 2e homme le plus rapide de l'histoire...


Le Jamaïcain Usain Bolt, sextuple champion olympique, a dominé le 200 m de la réunion de Lausanne, en 19 sec 58, mais c'est bien son jeune compatriote et dauphin des Jeux Yohan Blake qui a fait s'enthousiasmer le public en s'adjugeant le 100 m en 9 sec 69, jeudi soir.
Quand Bolt se contentait de faire le «boulot», à distance de sa marque planétaire (19.19), Blake, également triple médaillé à Londres, mettait le feu à la piste et aux tribunes. Champion du monde du 100 m, Blake, 22 ans, est devenu sur les hauteurs du lac Léman le 2e performer de l'histoire sur la distance, à égalité avec l'Américain Tyson Gay, derrière Bolt justement, dont le record du monde est perché à 9 sec 58.
«Mon coach (Glen Mills) me l'avait dit que je pourrais courir plus vite (que 9 sec 75 en finale à Londres), beaucoup plus vite. J'ai eu un petit rhume après les Jeux», a remarqué Blake, surnommé «la Bête» pour son acharnement à l'entraînement.
Bolt ne coupe pas son effort
«Je dois encore améliorer ma technique de course pour exprimer tout mon potentiel. Et je travaille beaucoup pour y parvenir», a ajouté le jeune homme, qui s'alignera encore sur 100 m dans une semaine à Zurich, Bolt restant sur le demi-tour de piste au Letzigrund. Du haut de sa stature de commandeur, Bolt a donné le change. «Je suis satisfait du chrono. Ma saison n'a pas toujours été facile mais je suis heureux de la manière dont elle se termine», a déclaré la mégastar du sprint, auto-proclamée «légende vivante».
Bolt a certes devancé largement le Néerlandais Churandy Martina (19.85), mais au prix d'un effort soutenu jusqu'à la ligne d'arrivée. «La Foudre», si souvent insolente de facilité avec ses adversaires, a dû pousser sur ses longues jambes dans les 30 derniers mètres.
Contrairement à Bolt, tous les champions olympiques n'ont pas tenu leur rang londonien. A l'instar de Blake, dauphins et dauphines avaient une motivation supplémentaire pour briller. Ainsi, les Américaines Dawn Harper et Carmelita Jeter ont remporté respectivement les 100 m haies et 100 m. Jeter y est parvenue à la photo-finish (10.86), face à la Jamaïcaine Shelly-Ann Fraser-Pryce, double championne olympique de la ligne droite.
Egalement vice-champion olympique à Londres, l'Américain Jason Richardson a fait sien le 110 m haies (13.08 face à un vent contraire de 0,6 m/s). Mais son compatriote Aries Merritt, or olympique et candidat déclaré au record du monde, avait laissé tristement les starting-blocks, éliminé pour faux-départ.
Lavillenie vainqueur mais fatigué
Le Qatarien Moutaz Essa Barshim Ahmed, en bronze à Londres, n'avait pas caché sa déception. Alors, il a exprimé ce ressentiment en battant Ivan Ukhov, champion olympique. Et égalé, en effaçant une barre à 2,39 m, la meilleure performance mondiale (MPM) du Russe, qui n'a pourtant pas démérité (2,37 m).
Paul Kipsiele Koech, lui, n'était pas aux Jeux, repoussé par l'altitude -son talon d'achille- de Nairobi où avaient été disputées en juin lieu les sélections kényanes. Ayant retrouvé la Ligue de diamant, Koech a repris sa marche triomphale (8:05.80).
Championne olympique en 2008, mais au pied du podium à Londres, la Kényane Pamela Jelimo a devancé (1:57.59) la Russe Mariya Savinova (1:58.10), médaille d'or à Londres. Renaud Lavillenie, roi de la perche aux Jeux, a tenu tous ses objectifs de l'année, le quatrième et dernier en remportant pour la 3e fois -une première dans sa discipline- la ligue de diamant.
«Mon corps est fatigué et la victoire avait plus d'importance que la hauteur», a estimé le Clermontois, vainqueur avec 5,80 m.
© 2012 AFP