14 février, 2012

Excédé, il explose l'ordinateur de sa fille par balles !réponse pour le moins radicale aux provocations de sa fille à son encontre sur Facebook.

Un père de famille américain a eu une réponse pour le moins radicale aux provocations de sa fille à son encontre sur Facebook.

La jeune Hannah Jordan, 15 ans, n'aurait pas dû exprimer de façon trop ostentatoire ses plaintes à l'encontre de son père sur le réseau Facebook. Car la réponse de Tommy Jordan a été pour le moins... radicale. Excédé par l'attitude de la demoiselle, celui-ci lui a concocté une contre-attaque sacrément osée. Il s'est ainsi mis en scène dans une vidéo de plus de huit minutes postée sur YouTube dans laquelle il apparaît assis dans un fauteuil de jardin, chapeau sur la tête et cigarette en main, en train de régler ses comptes avec sa progéniture.

"Ce (film) est pour ma fille Hannah, et surtout pour tous ses amis sur Facebook qui trouvaient que son petit message rebelle (sur le site) était mignon", lance-t-il d'emblée avant d'énumérer ses griefs. Ceux-ci concernent les plaintes de Hannah sur les tâches ménagères qui lui sont confiées à la maison. "Te payer pour tes corvées? ça va pas, non? ta vie n'est pas tellement difficile, mais elle va l'être", balance le paternel qui finit par se lever et orienter la caméra sur un objet posé sur le gazon du jardin. "Ça c'est ton ordinateur portable", dit-il avant de présenter ce qu'il tient en main. "Ça, là, c'est mon calibre .45", explique-t-il en désignant son pistolet... avant de balancer neuf balles dans l'engin, pourtant fraîchement réparé par ses soins !

Une scène surréaliste conclue par une boutade assez incroyable : "Il faut aussi que tu me les rembourses (les balles) parce qu'elles coûtent chacune à peu près un dollar". Une correction publique qui alimente le débat sur le Web, la vidéo ayant fait un sacré buzz, plus de 21 millions de vues en moins d'une semaine.

Regardez la vidéo du père tirant dans le PC de sa fille en cliquant ci-dessous:

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Mali: "exécutions sommaires" de militaires dans le Nord, selon Paris et Bamako


 Heurts entre police et des familles de soldats combattant les rebelles touaregs, le 2 février 2012 à Bamako, au Mali AFP

L'offensive de rebelles touareg dans le nord du Mali depuis la mi-janvier a été marquée par des "exécutions sommaires" de dizaines de militaires, mais aussi de civils, à Aguelhok (nord-est), a annoncé lundi un ministre français, ce qu'a confirmé l'armée malienne à Bamako.

"Il y a eu effectivement des violences absolument atroces et inadmissibles à Aguelhok, il y a eu effectivement des exécutions sommaires, des soldats, des personnes - on parle d'une centaine - qui ont été capturées et ont été froidement exécutées", a déclaré le ministre français de la Coopération, Henri de Raincourt.

M. de Raincourt, qui s'est rendu au Mali le 9 février, n'a pas précisé qui en était responsable, mais a souligné que "certains prétendent que la méthode utilisée pour l'exécution s'apparente à celle utilisée par Al-Qaïda".

Selon le chef de la diplomatie française, Alain Juppé, "on ne sait pas très bien quelle est la part que joue Al-Qaïda ou Aqmi (dans ces attaques), mais il y a eu des massacres tout à fait épouvantables et que nous avons condamnés".

Selon une source française proche du dossier, "au total, il y a eu 82 morts exactement, pas de civils".

Le chef de la Direction de l'information et des relations publiques (Dirpa) du Mali, le colonel Idrissa Traoré, a confirmé "ces exécutions sommaires" le 24 janvier à Aguelhok, indiquant qu'elles ont également visé des civils.

"Il y a eu effectivement des exécutions sommaires ce jour, des personnes ont été égorgées, d'autres ont tout simplement reçu une balle dans la tête", et il y a eu des "civils" parmi les victimes de ces exécutions qui ne peuvent avoir été commises que par "ces gens" d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a-t-il dit.

Il a affirmé ne pas pouvoir donner "le nombre exact" de tués, parlant "d'au moins une soixantaine de personnes qui ont été exécutées". Un officier qui a enterré des victimes de ces exécutions, contacté par l'AFP, a affirmé avoir compté "97 soldats tués".

Le colonel Traoré a précisé qu'une "commission nationale d'enquête s'est rendue sur les lieux" la semaine dernière.

Le 26 janvier, le gouvernement malien avait annoncé que des membres d'Aqmi et des rebelles touareg avaient attaqué ensemble Aguelhok.

Connexion entre Aqmi et MNLA

C'était la première fois qu'il était fait état d'une connexion d'Aqmi avec le MNLA, mouvement politico-militaire né fin 2011 de la fusion de groupes rebelles touareg. Dans le même temps, Paris avait affirmé n'avoir "aucune indication" sur des liens entre Aqmi et la rébellion touareg dans les combats.

Aguelhok, à 150 km au nord-est de Kidal, a été le théâtre de violents combats qui "ont forcé environ 4.000 personnes à fuir et à s'installer dans les villages environnants, la plupart dans des conditions très précaires", selon le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).

Une mission du CICR et de la Croix-Rouge malienne était sur place il y a moins d'une semaine, pour évaluer la situation. Le CICR a distribué des vivres aux déplacés.

Le Mali est confronté depuis le 17 janvier à des attaques de rebelles touareg contre plusieurs localités et objectifs de l'armée dans sa partie nord. Les assauts sont menés par des hommes du MNLA et d'autres rebelles, dont des hommes lourdement armés rentrés de Libye où ils avaient combattu pour le régime de Mouammar Kadhafi, aujourd'hui déchu.

Les affrontements ont poussé des dizaines de milliers d'habitants à fuir ces zones: il y a des déplacés internes au Mali (au moins 30.000 recensés par le CICR, sans compter 20.000 autres évoqués par des sources locales) et au moins 13.000 réfugiés en Mauritanie, 10.000 au Niger, 3.000 à 8.000 au Burkina Faso.

Lundi, le président malien Amadou Toumani Touré a fait une brève visite à Ouagadougou pour participer à une rencontre régionale. En marge des travaux, il s'est entretenu avec son homologue burkinabè Blaise Compaoré, dont le pays abrite quelque 10.000 réfugiés maliens.

Parmi ces réfugiés, d'après le gouvernement burkinabè, figurent "72 militaires et paramilitaires", dont un commandant de gendarmerie ayant récemment affirmé à la presse locale que les rebelles réclamaient "l'indépendance du Nord-Mali".

Un officiel malien a souhaité que Ouagadougou puisse le "faire taire" ou le remettre à Bamako pour qu'il soit jugé.

Le FC Barcelone au Stade de France pour jouer sa finale de la Coupe du Roi?

Le consortium du Stade de France a peut-être trouvé une solution pour réconcilier la France et l'Espagne sur le terrain sportif. Dans son édition de mardi, France Football évoque l'envie du consortium d'accueillir à Saint-Denis le FC Barcelone pour sa finale de Coupe du Roi contre l'Athletic Bilbao le 25 mai prochain.

Madrid ne veut pas accueillir le Barça

Comment le SDF peut-il prétendre accueillir un match entre deux équipes espagnoles? Pour la simple et bonne raison que les stades de grande capacité manquent de l'autre côté des Pyrénées. Rivalité oblige, le Real Madrid ne souhaite pas libérer Santiago-Bernabeu à son rival catalan et il n'est pas possible pour une question d'équité que la finale se déroule au Nou Camp de Barcelone.

Avec 40.000 supporters basques attendus, le Stade de France et ses 80.000 places a quelques arguments pour lui. Et puis si la France a bien organisé par le passé un Trophée des champions de foot à Montréal et une finale de Coupe de la Ligue de handball à Miami, les Espagnols peuvent bien investir le 93.

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Libye, les secrets de la victoire occidentale

Chaque fois que l’Occident intervient, des hommes des forces spéciales sont présents sur le terrain.

Un combattant pointe son arme sur une tapisserie à l'effigie de Kadhafi à Syrte le 12 octobre 2011. Reuters/Esam Al-Fetori

l'auteur

Roman Rijka

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Février 2011: il y a bientôt un an, l’insurrection commençait en Libye. Dans un premier temps, le régime du colonel Kadhafi a semblé marquer des points. Méthodiquement, il a entrepris d’écraser les rebelles, jusqu’à ce que la résolution 1973 soit votée au Conseil de sécurité des Nations unies, le 17 mars. Autorisant l’imposition d’une zone d’exclusion aérienne, elle a permis aux forces alliées, essentiellement américaines, britanniques et françaises, de procéder à des frappes sur des objectifs tactiques et stratégiques. Peu à peu, les rebelles au sol et les avions de l’OTAN dans les airs ont fini par grignoter la capacité de résistance des forces de Kadhafi, jusqu’à l’épilogue sanglant de Syrte et la mort de Kadhafi.

Mission secrète britannique

Depuis règne dans le pays la paix douteuse que l’on sait. Et, un an plus tard, le voile se lève progressivement sur ce qui s’est passé sur le terrain. Ainsi, le site de BBC News vient-il de publier un long article de Mark Urban, le spécialiste des questions de défense et de diplomatie de Newsnight, journal des informations de la nuit de BBC2, intitulé L’histoire de la mission secrète britannique pour battre Kadhafi.

L’article commence par ces mots: « La campagne britannique visant à renverser Mouammar Kadhafi a eu un côté public — les avions larguant des bombes, ou encore les bâtiments de la Royal Navy pénétrant dans les eaux libyennes —, mais elle a aussi eu un côté secret. »

Notons au passage que pour Mark Urban, les opérations occidentales se résument à la participation de son pays, chauvinisme que l’on considèrera comme naturel, bien qu’agaçant. Soulignons de plus qu’il a toujours été évident que cette guerre avait « un côté secret », comme toutes les autres guerres, d’ailleurs. Nous l’avions rappelé alors, et bien d’autres l’avaient eux aussi indiqué, comme L’Express ou Marianne 2; les frappes aériennes modernes ne peuvent s’effectuer sans la présence au sol, et donc en territoire ennemi, d’éclaireurs, des unités d’élite chargées d’identifier les cibles et de les illuminer pour les avions de combat.

Fine fleur de l’armée britannique

Mark Urban, cependant, va plus loin. Il dépeint en détail diverses opérations menées par la fine fleur de l’armée britannique, mais aussi les difficultés auxquelles se sont heurtées les forces spéciales.

Il rappelle que « La première intervention importante d’unités britanniques en Libye a été une mission de sauvetage orchestrée quelques semaines après le début du soulèvement. Le 3 mars, des C-130 de la Royal Air Force ont été envoyés sur une piste dans le désert, à Zilla, dans le sud du pays, pour sauver des expatriés travaillant dans le pétrole. La récupération de 150 étrangers, dont une vingtaine de Britanniques, et leur transfert à Malte se sont déroulés sans heurt, bien qu’un des appareils ait été touché par des tirs venus du sol ».

A bord se trouvaient deux douzaines d’hommes du C Squadron du Special Boat Service (SBS), qui avaient pris part à la sécurisation de la piste.

Tout ne s’est pas toujours aussi bien passé. Peu de temps après, une équipe du MI6, l’équivalent britannique de la DGSE, était envoyée sur place pour prendre contact avec l’opposition libyenne. Accompagnée d’un groupe de six hommes du E Squadron,

« unité particulièrement sensible des forces spéciales », tous armés mais en civil, l’équipe a été prise pour des mercenaires par les rebelles, et arrêtée. « Résultat de ce fiasco, les partisans d’un recours aux forces spéciales pour faire tomber le régime se sont retrouvés sur la touche pendant des mois, » écrit Urban.

Du côté français, rien de comparable, semble-t-il, même s’il est probable que les services spéciaux de la Défense ont dû eux aussi tenter d’établir très tôt des liens avec le CNT. Peut-être est-ce dans ce contexte qu’il faut comprendre l’étrange affaire de la Secopex, une société française de sécurité privée dont cinq membres ont été pris dans une échauffourée avec des rebelles en mai 2011. Bilan, un Français tué et quatre interpellés.

Limités par la lettre de la Résolution 1973, les alliés ne pouvaient espérer déployer de gros bataillons pour épauler les troupes disparates et d’une efficacité relative alignée par l’opposition libyenne. Pourtant, poursuit Urban, « à Downing Street, des personnalités de haut rang étaient persuadées qu’à elles seules, les frappes aériennes ne suffiraient pas à atteindre les objectifs escomptés. »

Maintenant que l’Occident était officiellement engagé dans une opération militaire contre Kadhafi, une réalité commençait à se faire jour. A moins de les former et de les encadrer, jamais les rebelles ne pourraient triompher.

Des officiers britanniques ont donc été dépêchés en Libye pour y jouer le rôle de conseillers techniques, vieil euphémisme qui n’est pas sans rappeler les riches heures de la guerre froide, quand Soviétiques et Américains s’affrontaient par procuration dans les pays du Tiers Monde. Curieusement, à en croire l’article de Mark Urban, ce serait le bombardement accidentel de colonnes du CNT par des appareils de l’OTAN, au début du mois d’avril, qui aurait fait pencher la balance en faveur de ceux qui préconisaient un soutien plus direct.

« Des officiers britanniques et français sur le terrain furent autorisés à coordonner les opérations plus étroitement avec le CNT […] pour éviter que de tels accidents ne se reproduisent. […] Très vite, selon des sources bien informées, ils en seraient venus à coordonner des frappes aériennes. »

Militaires occidentaux travaillant main dans la main avec les forces spéciales qataries

Au fil de la lecture de l’article, un tableau plus précis de l’intervention au sol se dessine. On y voit des militaires britanniques et français travailler main dans la main avec les forces spéciales qataries, qui « auraient fourni des équipements comme des missiles antichars Milan » aux rebelles.

Des Emiratis, des Jordaniens et des Egyptiens, en particulier des commandos de l’Unité 777, auraient eux aussi eu leur mot à dire dans cette grande internationale de la guerre clandestine. 24 hommes du D Squadron du 22 SAS Regiment auraient pris part à cet effort.

« Ils redoutaient d’être repérés par la presse, mais ce ne fut pas le cas. “Nous sommes nettement plus efficaces quand il s’agit de nous fondre dans la masse, commente une source proche du D Squadron. Notre équipe a réussi à rester en contact avec les commandants du CNT sans être compromise. »

Une absente de marque, l’armée américaine. En réalité, il est certain que les SEALs, les Rangers et autres Delta Force sont intervenus, mais le Pentagone, souvent prompt à mettre en avant l’efficacité présumée de ses opérations, semble avoir cette fois choisi la discrétion.

Du reste, rappelle Mark Urban,

« l’essence même de ces unités veut qu’elles opèrent dans le plus grand secret, offrant à leurs maîtres politiques des solutions qu’ils préfèrent parfois ne pas revendiquer publiquement ». Autrement dit, les forces spéciales permettent aux démocraties d’agir de temps à autre d’une façon que la démocratie, théoriquement, réprouve. Comme dans le cas de la mort de Kadhafi, exécuté par des rebelles après la quasi-destruction de son convoi par des appareils de l’OTAN. « Des soldats britanniques sur le terrain y ont-ils participé ? Pour l’heure, personne ne le reconnaît. »

Tout ce que l’on consent à admettre, du côté des autorités britanniques, c’est que l’intervention des SAS, par exemple, a « fait une formidable différence ». Jusqu’à quel point, le MI6 n’en dira pas plus, lui qui se montre déjà plus disert que ses homologues français ou américains.

En fin de compte, l’article de la BBC ne devrait ne nous apprendre qu’une chose : chaque fois que l’Occident intervient, chaque fois que ses avions larguent des bombes sur de nouveaux ennemis dans des pays lointains, que ce soit en Afrique ou ailleurs, cela signifie que, sur place, des hommes des forces spéciales sont présents. Même si, à chaque fois, les gouvernements vont s’ingénier à nous assurer qu’aucun soldat n’a été déployé au sol.

Roman Rijka

Rihanna, un nombril dans l'armee

Il faut croire qu'être blonde donne des ailes à Rihanna.

Toujours plus sexy ces derniers jours, la Barbadienne a montré de quoi elle était capable. Nous voilà convaincus, la chanteuse sait séduire, peu importe son accoutrement. Preuve en est, si ce week-end, elle a joué les divas en robe décolletée jusqu'au nombril aux Grammys, elle a également fait rougir ces messieurs en tenue de camouflage.

Dans un style très 90's, elle mixe baggy militaire, casquette portée en biais et assortie, avec des baskets Adidas rembourrées. Un ensemble lourd qu'elle allège efficacement avec un cropped top assez court pour dévoiler son nombril. Un look de bad girl qui fait visiblement rire Rihanna, dont l'allure prend du galon avec un teddy très coloré. Entre look de teenager et détails tendances, la nouvelle blonde fait son petit effet. De quoi donner envie de s'engager dans l'armée pour certains.

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600 euros d'amende pour avoir montré ses fesses à Elizabeth II

Un Australien devra payer une amende de plus de 600 euros pour avoir montré ses fesses à la reine d'Angleterre lors de sa visite en octobre dernier, mais il a prévenu mardi qu'il recommencerait.

Liam Warriner, 22 ans, barman à Sydney, était poursuivi pour trouble à l'ordre public, lors de la visite d'Elizabeth II en Australie à l'automne 2011. Il a comparu devant le tribunal de Brisbane (ouest) et plaidé coupable. La cour lui a infligé mardi une amende de 750 dollars australiens (609 euros).

Lorsque le cortège royal d'Elizabeth II traversait la ville de Brisbane, capitale de l'Etat du Queensland, Liam Warriner a baissé son pantalon et couru une cinquantaine de mètres à hauteur des motards de l'escorte, avec un drapeau australien fiché entre les fesses, selon l'agence Australian Associated Press.

Il a expliqué à la police que son geste était une protestation politique pour montrer son mépris envers la monarque et les élites, a-t-il été dit au juge lors du procès.

A la sortie du tribunal, le jeune homme a affirmé qu'il recommencerait lors de visites de hauts dignitaires. «A tous ceux qui se croient importants ou croient appartenir à l'élite, je montrerai mes fesses avec joie!», a-t-il lancé.

La visite de dix jours en Australie de la reine d'Angleterre, chef d'Etat de cette ancienne colonie britannique, avait attiré les foules. Mais le débat sur l'instauration d'une République revient régulièrement dans l'actualité, les anti-monarchistes estimant que le basculement pourrait se faire après le décès d'Elizabeth.

(AFP)

Google-Motorola Mobility : la Commission européenne valide le rachat

Google-Motorola Mobility : la Commission européenne valide le rachat Business - Les services européens en charge de la concurrence ont donné leur feu vert sans condition ; ils ont tout de même soulevé la question de l’usage des brevets qui participent aux standards techniques de l’industrie (3G, 4G/LTE).

Google a obtenu lundi l’aval de la Commission européenne pour le rachat de Motorola Mobility.

«Nous avons autorisé le rachat de Motorola Mobility par Google parce que, au terme d'un examen minutieux de l'opération envisagée, il apparaît que cette dernière ne pose, en tant que telle, aucun problème de concurrence. Il va de soi que la Commission continuera de surveiller de près le comportement de l'ensemble des acteurs du marché actifs dans le secteur en cause, et en particulier l'usage de plus en plus stratégique qui est fait des brevets», a déclaré Joaquín Almunia, vice-président de la Commission chargé de la concurrence.

De son côté Google a sobrement commenté la nouvelle, estimant qu’il « s'agit d'un jalon important dans le processus d'approbation qui nous rapproche de la clôture de la transaction ».

La Commission attentive à la question des « brevets essentiels »

Si les autorités européennes ont estimé que la transaction « ne modifierait pas significativement la situation sur le marché en ce qui concerne les systèmes d'exploitation et les brevets liés à ce type d'appareils », elles ont toutefois soulevé la question des brevets et en particulier des « brevets essentiels » qui participent aux standards techniques de l’industrie (3G, 4G/LTE).

« La décision d'aujourd'hui ne préjuge pas des problèmes de concurrence que peut entraîner l'utilisation de brevets essentiels liés à des normes sur le marché en général. Cependant, la survenue de tels problèmes ne serait pas spécifiquement imputable à l'opération envisagée ».

Google attend désormais le feu vert du département américain de la Justice (DoJ) qui, d’après Reuters, ne devrait plus tarder. (Eureka Presse)