16 décembre, 2011

Instances politiques en Afrique de l’ouest francophone

Les jeunes femmes faiblement représentées dans les instances politiques en Afrique de l’ouest francophone, selon une étude - Les jeunes femmes sont faiblement représentées dans les instances politiques en Afrique de l'ouest francophone, indique une étude menée conjointement par le Centre de recherche sur les politiques sociales (CREPOS) et l’association Afriques Créatives et publiée jeudi à Dakar. Entamée en janvier 2011, l'étude a été menée dans quatre pays de la sous-région, Sénégal, Burkina Faso, Mali et Togo.

Au Sénégal, notamment, elle a été menée dans les zones rurales et urbaines des régions de Dakar, Saint-Louis et Matam, Kolda, Ziguinchor, Kaffrine, Fatick et Thiès.

L’objectif était de comprendre la nature, les formes, les obstacles et les perspectives de la participation citoyenne des jeunes femmes d’Afrique de l’ouest francophone et leur contribution au changement, aux différents échelons des instances de décision, institutionnelles ou non, communautaires locales, nationales, régionales et globale.

Selon un des rapporteurs, Marie-Solange Ndione, les recherches menées ont montré que la place des jeunes femmes de 18 à 35 ans dans les instances politiques a été toujours insignifiante et invisible, car celles-ci sont restées prisonnières du système patriarcal qui a institué une nette séparation entre les rôles masculins et féminins, les laissant à la marge du pouvoir.

En Afrique de l’ouest francophone, les femmes représentent quantitativement moins de 20 pc des décideurs politiques, tous lieux d’action confondus à savoir: gouvernement, parlement, partis, syndicats, organisations politiques, indique l'étude.

Il s’y ajoute, après analyse des résultats de cette étude, qu’il y a de nombreux obstacles qui limitent encore la participation des jeunes femmes au niveau de ces instances.

Ce sont, entre autres, le faible niveau d’instruction et de scolarisation, leur sexe, leur âge, les conflits de rôles, les stéréotypes et les contraintes sociales, la rivalité entre femmes.

Ainsi, pour une bonne prise en compte de la participation politique des femmes, Elhadj Oumar Diop, chargé de cours à la Faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD), recommande de renforcer la formation politique et le leadership des femmes, de développer des programmes destinés prioritairement aux femmes, de mettre en place des approches différentes, de sensibiliser les femmes et les homme et de promouvoir la parité.

Selon lui, la question de la participation des jeunes femmes dans la politique en Afrique doit être une problématique nationale pour aider les uns et les autres à prendre conscience de la nécessité de sensibiliser les jeunes femmes à avoir une connaissance plus approfondie des rouages de l’Etat, de la mécanique institutionnelle afin de faciliter leur prise de décision politique.

L’égalité des sexes dans l’exercice du pouvoir est un défi majeur en Afrique, a estimé M. Diop.

Pana

Instances politiques en Afrique de l’ouest francophone

Les jeunes femmes faiblement représentées dans les instances politiques en Afrique de l’ouest francophone, selon une étude - Les jeunes femmes sont faiblement représentées dans les instances politiques en Afrique de l'ouest francophone, indique une étude menée conjointement par le Centre de recherche sur les politiques sociales (CREPOS) et l’association Afriques Créatives et publiée jeudi à Dakar. Entamée en janvier 2011, l'étude a été menée dans quatre pays de la sous-région, Sénégal, Burkina Faso, Mali et Togo.

Au Sénégal, notamment, elle a été menée dans les zones rurales et urbaines des régions de Dakar, Saint-Louis et Matam, Kolda, Ziguinchor, Kaffrine, Fatick et Thiès.

L’objectif était de comprendre la nature, les formes, les obstacles et les perspectives de la participation citoyenne des jeunes femmes d’Afrique de l’ouest francophone et leur contribution au changement, aux différents échelons des instances de décision, institutionnelles ou non, communautaires locales, nationales, régionales et globale.

Selon un des rapporteurs, Marie-Solange Ndione, les recherches menées ont montré que la place des jeunes femmes de 18 à 35 ans dans les instances politiques a été toujours insignifiante et invisible, car celles-ci sont restées prisonnières du système patriarcal qui a institué une nette séparation entre les rôles masculins et féminins, les laissant à la marge du pouvoir.

En Afrique de l’ouest francophone, les femmes représentent quantitativement moins de 20 pc des décideurs politiques, tous lieux d’action confondus à savoir: gouvernement, parlement, partis, syndicats, organisations politiques, indique l'étude.

Il s’y ajoute, après analyse des résultats de cette étude, qu’il y a de nombreux obstacles qui limitent encore la participation des jeunes femmes au niveau de ces instances.

Ce sont, entre autres, le faible niveau d’instruction et de scolarisation, leur sexe, leur âge, les conflits de rôles, les stéréotypes et les contraintes sociales, la rivalité entre femmes.

Ainsi, pour une bonne prise en compte de la participation politique des femmes, Elhadj Oumar Diop, chargé de cours à la Faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD), recommande de renforcer la formation politique et le leadership des femmes, de développer des programmes destinés prioritairement aux femmes, de mettre en place des approches différentes, de sensibiliser les femmes et les homme et de promouvoir la parité.

Selon lui, la question de la participation des jeunes femmes dans la politique en Afrique doit être une problématique nationale pour aider les uns et les autres à prendre conscience de la nécessité de sensibiliser les jeunes femmes à avoir une connaissance plus approfondie des rouages de l’Etat, de la mécanique institutionnelle afin de faciliter leur prise de décision politique.

L’égalité des sexes dans l’exercice du pouvoir est un défi majeur en Afrique, a estimé M. Diop.

Pana

Instances politiques en Afrique de l’ouest francophone

Les jeunes femmes faiblement représentées dans les instances politiques en Afrique de l’ouest francophone, selon une étude - Les jeunes femmes sont faiblement représentées dans les instances politiques en Afrique de l'ouest francophone, indique une étude menée conjointement par le Centre de recherche sur les politiques sociales (CREPOS) et l’association Afriques Créatives et publiée jeudi à Dakar. Entamée en janvier 2011, l'étude a été menée dans quatre pays de la sous-région, Sénégal, Burkina Faso, Mali et Togo.

Au Sénégal, notamment, elle a été menée dans les zones rurales et urbaines des régions de Dakar, Saint-Louis et Matam, Kolda, Ziguinchor, Kaffrine, Fatick et Thiès.

L’objectif était de comprendre la nature, les formes, les obstacles et les perspectives de la participation citoyenne des jeunes femmes d’Afrique de l’ouest francophone et leur contribution au changement, aux différents échelons des instances de décision, institutionnelles ou non, communautaires locales, nationales, régionales et globale.

Selon un des rapporteurs, Marie-Solange Ndione, les recherches menées ont montré que la place des jeunes femmes de 18 à 35 ans dans les instances politiques a été toujours insignifiante et invisible, car celles-ci sont restées prisonnières du système patriarcal qui a institué une nette séparation entre les rôles masculins et féminins, les laissant à la marge du pouvoir.

En Afrique de l’ouest francophone, les femmes représentent quantitativement moins de 20 pc des décideurs politiques, tous lieux d’action confondus à savoir: gouvernement, parlement, partis, syndicats, organisations politiques, indique l'étude.

Il s’y ajoute, après analyse des résultats de cette étude, qu’il y a de nombreux obstacles qui limitent encore la participation des jeunes femmes au niveau de ces instances.

Ce sont, entre autres, le faible niveau d’instruction et de scolarisation, leur sexe, leur âge, les conflits de rôles, les stéréotypes et les contraintes sociales, la rivalité entre femmes.

Ainsi, pour une bonne prise en compte de la participation politique des femmes, Elhadj Oumar Diop, chargé de cours à la Faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD), recommande de renforcer la formation politique et le leadership des femmes, de développer des programmes destinés prioritairement aux femmes, de mettre en place des approches différentes, de sensibiliser les femmes et les homme et de promouvoir la parité.

Selon lui, la question de la participation des jeunes femmes dans la politique en Afrique doit être une problématique nationale pour aider les uns et les autres à prendre conscience de la nécessité de sensibiliser les jeunes femmes à avoir une connaissance plus approfondie des rouages de l’Etat, de la mécanique institutionnelle afin de faciliter leur prise de décision politique.

L’égalité des sexes dans l’exercice du pouvoir est un défi majeur en Afrique, a estimé M. Diop.

Pana

Ligue des Champions - Le rêve continue pour l'OM et l'OL

Qualifiés in-extremis, Lyon et Marseille ont hérité de huitièmes de finale à leur portée. Les Lyonnais défieront l'APOEL Nicosie, l'adversaire que tous les deuxièmes du groupe voulaient rencontrer. L'OM sera opposé à l'Inter Milan pour une revanche de leur quart de C3 en 2004, gagné pour Marseille.

San Siro - 0

Lyon et Marseille s'en sortent bien. Sortis de leur poule à la deuxième place après une dernière journée à suspense, Gones et Phocéens craignaient d'hériter du FC Barcelone notamment en huitièmes de finale. Le tirage au sort de la Ligue des Champions leur a plutôt souri. Lyon se retrouve face à l'APOEL Nicosie et l'Olympique de Marseille défiera l'Inter Milan. Sur le papier, cela semble évidemment plus compliqué pour l'OM. Les Milanais, vainqueurs de l'épreuve en 2010, connaissent toutefois un début de saison compliqué. Ils sont ainsi septièmes de la Serie A même s'ils redressent la tête depuis quelques semaines. "Tout est possible. On va jouer ce coup à fond", a confié Cédric Dufoix, le secrétaire général du club olympien. Ce duel aura en plus une saveur particulière. C'est le seul choc des huitièmes de finale entre anciens vainqueurs. C'est aussi la revanche du quart de finale de la Coupe de l'UEFA en 2004, remporté par l'OM de Didier Drogba.

Pour Lyon, c'est un saut dans l'inconnu. Présent pour la neuvième fois consécutive à ce stade de la compétition grâce à leur incroyable 7-1 au Dinamo Zagreb, les protégés de Jean-Michel Aulas s'offrent l'adversaire qui semblait le plus abordable du premier chapeau. Surprises de la première phase de la C1, les Chypriotes, qui ont un budget de 9.5 millions d'euros, ont étonné tout le monde en terminant devant le Zenit Saint-Pétersbourg et le FC Porto, dernier lauréat de la Ligue Europa. L'OL devra donc s'en méfier. Mais Jean-Michel Aulas reconnaissait que l'OL a bénéficié de "l'un des tirages les plus cléments de ces dernières années". "C'était probablement le club le plus abordable, a avoué le président de l'OL au micro d'Eurosport. Nous partirons avec un a priori favorable. Ce qui ne veut pas dire qu'il faudra faire un exploit. L'APOEL a fait des grosses performances à l'extérieur. Il faudra faire la différence à Gerland." Heureux, JMA a toutefois prévenu : "Des fois, le Père Noël est une ordure", a-t-il glissé avec le sourire.

Dans les autres huitièmes de finale, l'affiche opposera l'AC Milan à Arsenal avec un duel à distance qui fait déjà saliver entre Robin Van Persie et Zlatan Ibrahimovic. "On aurait préféré d'autres équipes, c'est évident, a réagi David Myles, le secrétaire général de Gunners. Milan est un club fantastique, avec une grande équipe. J'espère qu'on passera ce test." Le CSKA Moscou et Leverkusen devront, eux, en découdre avec les deux ogres espagnols. Les Russes défieront les Merengue et les Allemands sont opposés aux Blaugrana avec Leverkusen. Chelsea, le deuxième représentant de la Premier League, se frottera au bouillant Naples de Cavani. Le FC Bâle d'Alexander Frei, qui est l'autre surprise de ces huitièmes de finale, aura fort à faire avec le Bayern Munich du Ribéry-Robben. Enfin, Benfica et le Zenit St-Pétersbourg vont se retrouver.

Les huitièmes de finale de la Ligue des Champions :

Les matches aller se disputeront les 14-15 et 21-22 février, et les matches retour les 6-7 et 13-14 mars

Olympique Lyonnais - APOEL Nicosie

Olympique de Marseille - Inter Milan

Naples - Chelsea

AC Milan - Arsenal

FC Bâle - Bayern Munich

Bayer Leverkusen - FC Barcelone

CSKA Moscou - Real Madrid

Zenith Saint-Petersbourg - Benfica

Glenn CEILLIER / Eurosport

Google : Les mots les plus recherchés en 2011

Le moteur de recherche, grand ordonnateur du Web d'aujourd'hui a livré ce jeudi son classement des mots-clé les plus tapés en 2011.

Rebecca Black a été la personne qui a connu la plus forte progression de recherche sur Google en 2011
Rebecca Black a été la personne qui a connu la plus forte progression de recherche sur Google en 2011 SIPA/Chris Pizzello/AP/SIPA

Le classement 2011 des recherches les plus populaires sur Google est pour le moins surprenant. En se basant en effet sur les «recherches qui ont le plus progressé» au cours de l'année, des surprises apparaissent. Ainsi la recherche numéro 1 dans le monde est Rebecca Black. La jeune chanteuse qui a accédé à la postérité avec ce que des mauvaises langues qualifient de pire chanson du monde, Friday - les paroles faisaient pourtant "Oo-ooh-ooh, hoo yeah, yeah / Yeah, yeah / Yeah-ah-ah / Yeah-ah-ah / Yeah-ah-ah / Yeah-ah-ah / Yeah, yeah, yeah" en introduction - devance ainsi Google +. Un petit malin avait même voulu faire croire que Bob Dylan était à l'origine de cette chanson en créant un fake assez réaliste.

Le Facebook killer a au moins réussi son pari s'il voulait créer le buzz parce que cette année, le site de Mark Zuckerberg n'est pas dans le classement. En même temps avec une audience déjà au firmament en 2010, il était difficile pour le réseau social aux 600 millions d'amis d'enregistrer une marge de progression importante. Ryan Dunn, l'ex-membre de Jackass mort le 20 juin dans un accident de voiture après une soirée trop arrosée ferme ce podium.

Voici les suivants :

4. Casey Anthony. Le procès de cette jeune femme accusée d'avoir tué son enfant a profondément divisé les Etats-Unis. Elle a finalement été acquittée.

5. Battlefield 3. Concurrent direct et de poids de Call of Duty : Modern Warfare 3, le jeu vidéo Battlefield 3 a remporté la bataille de la progression Web. Sur les consoles le match est pourtant plus serré. Chaque jeu peut revendiquer des millions de partisans et de détracteurs.

6. L'iPhone 5. Ecran plus grand, fin de bouton home, design plus fin, plus rond, pendant des mois et des mois le nouvel appareil d'Apple a maintenu les fans de la marque à la pomme en haleine. Finalement rien ne change ou presque. Merci Siri de nous amuser un peu avec tes réponses parfois sorties de nulle part.

7. Adele. La chanteuse britannique à fleur de peau a enchanté la planète entière avec son album 21 et ses tubes comme Rolling in the deep ou Someone like you.

8. Fukushima. Evidemment la catastrophe nucléaire qui a ébranlé le Japon et une bonne partie des pays nucléarisés ne pouvait pas échapper à ce classement.

9. Steve Jobs. La mort le 5 octobre 2011 du patron/gourou d'Apple a crée un tsunami (sans mauvais jeu de mot par rapport au numéro précédent du présent classement) de réactions. Du portrait de Steve Jobs en post-it sur un Apple Store à l'étudiant de Hong Kong qui connaît la postérité du jour au lendemain avec son logo d'Apple redessiné les initiatives pour lui rendre hommage ont été légion.

10. L'iPad2. Apple encore et toujours. L'iPad qui définitivement truste la tête du marché des tablettes malgré la concurrence qui commence sérieusement à sorganiser.

Cette année a aussi été marquée, et c'est à signaler, par les recherches sur les chiens qui ont explosé, au détriment des chats. Les « Lol cat » ne sont donc plus les rois d'Internet et ça c'est triste.