WASHINGTON - Le gouvernement américain contestait vendredi soir un abaissement de la note attribuée à la dette publique des Etats-Unis qu'envisagerait l'agence Standard and Poor's, selon les chaînes ABC et CNN.
L'Etat fédéral prévoit et se prépare à un abaissement par l'agence de notation Standard and Poor's de la note des Etats-Unis, a indiqué le correspondant d'ABC à la Maison Blanche sur le site internet de la chaîne, citant deux responsables gouvernementaux.
La note de la dette américaine attribuée par Standard and Poor's est actuellement AAA, la meilleure possible.
Mais ce journaliste citait un troisième responsable selon lequel S&P a fait une grave erreur dans ses projections, à cause d'hypothèses et de calculs faux.
Un journaliste politique renommé de CNN, John King, a confirmé sur le site internet Twitter que S&P avait notifié aux Etats-Unis qu'il allait abaisser sa note, mais qu'il réexaminait cette décision après des contestations de la Maison Blanche.
Selon ce journaliste, les analystes de l'agence refaisaient leurs calculs, après s'être entendus dire que leur erreur se montait à des milliers de milliards de dollars.
L'un des responsables a affirmé au journaliste d'ABC qu'il n'était pas à 100% sûr qu'un abaissement serait annoncé et qu'il ne savait pas de combien de crans la note serait abaissée, le cas échéant.
La chaîne CNBC a également affirmé qu'un abaissement de la note des Etats-Unis était en cours de discussion.
La Maison Blanche et le département du Trésor se sont refusés à dire si S&P avait pris une telle décision, dont ils seraient prévenus, ou quand elle pourrait le faire.
Les Etats-Unis sont notés AAA par Standard and Poor's depuis 1941. Mais l'agence a prévenu dès avril qu'elle pourrait abaisser cette note, et a annoncé en juillet qu'il y avait plus d'une chance sur deux pour qu'elle le fasse sous trois mois. Elle serait la première agence de notation à prendre cette décision.
(©AFP /
05 août, 2011
Google's self-driving wreck: Really human error?
When a self-driving car crashes, one just has to wonder about those robots. Are they really all they're cracked up to be? Or might they be just as cracked as the rest of us?
Should you have, this morning, been unreasonably detained by aggressive machines, may I tell you that Google's famed, futuristic, liberating, and ultimately superhuman machine, the self-driving Prius, was involved in a fender bender.
What seems evident from shots of the scene is that Google's robot machine ran into the back of another Prius. You might think that it was on robotic autopilot and this was some sort of mating ritual.
You might also think that a Google representative rushing to the defense of our future controllers by issuing a statement to Business Insider that a human had been driving might smack of the convenience of being chauffeur-driven.
Google claims that a real, live human being was driving the car. When it comes to robot machines, what does "driving" really mean? With all things that are supposedly autonomous, there is still a human being somewhere in the system. But where, exactly?
When it comes to unmanned military drones, for example--or even Rupert Murdoch's-- there is still the question of human action or inaction.
iRobot CEO Colin Angle once explained to CNET's Jonathan Skillings: "You know, AI is not to the point where a machine should be making a life-or-death decision, and I wouldn't even be able to tell you when I thought that might actually come to pass."
So here we have a robotic Prius hitting a nonrobotic Prius. The news came out only because a passer-by happened to take a photograph. Is it unreasonable to imagine that the human who was "driving" stepped in because the robot was, well, having a moment?
And, though Google might--in a left-brained manner--want us to believe that is human error, its deftly phrased spokes-quote didn't suggest there was any error at all. Please bathe in the words of the Google rep: "One of our goals is to prevent fender benders like this one, which occurred while a person was manually driving the car."
So the "person" was "manually driving the car." But no word on whether the "person" made a mistake. Or whether the car did.
The implication is, though, that humans make errors, machines don't. This, some might imagine, ought to have been the Google motto from the very beginning. Others might imagine that it always has been.
However, as a weak and worried human, might I appeal to Google to release all recorded evidence of this accident--every log, every piece of data? That way, we can all be entirely clear that a careless human brought needless embarrassment to one of the world's most progressive companies. Or not.
I have e-mailed Google with that request. Just because, well, I've always been on the side of the humans, and we've been blamed for far too much lately
Read more: http://news.cnet.com/
People: Lady Gaga n'urine pas n'importe où
People: Lady Gaga n'urine pas n'importe où; Lady Gaga : Elle a été photographiée en train d'uriner dans une tasse; Jane Fonda : A 73 ans, elle expose son corps parfait et révèle ses blessures; Amy Winehouse : sa maison de Londres, QG d'un centre de réhab!
Notre revue de presse people du 5 Août 2011
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Lady Gaga : Elle a été photographiée en train d'uriner dans une tasse
Comme Madonna avec le livre SEX en 1992, Lady Gaga publiera son propre ouvrage de photographies le 22 novembre prochain. Pendant dix mois, le photographe Terry Richardson l'a suivi dans ses moindres faits et gestes. Il l'a même photographié alors qu'elle était en train d'uriner dans une tasse révèle la chanteuse. Et apparemment, cela ne l'a pas dérangé puisque c'est pour de l'art. Un cliché qu'on devrait sûrement retrouvé dans ce livre qui contiendra 350 photos. (www.newsdestars.com) Tout est possible pour se faire remarquer!
Jane Fonda : A 73 ans, elle expose son corps parfait et révèle ses blessures
Elle a 73 ans, mais elle pourrait donner des complexes à n'importe quelle fille de 20 ans. Jane Fonda, qui nous a éblouis à Cannes cette année, vient de prendre la pose pour le magazine Harper's Bazaar et s'est glissée dans une robe transparente Stella McCartney pour éblouir les lecteurs. Car la comédienne fameuse, bien dans son corps, n'a pas peur d'exhiber sa silhouette parfaite qui fait des envieuses. Mais au fil de l'interview, Jane Fonda déclare qu'elle n'a pas toujours été bien dans sa peau. Et qu'elle a été, de longues années, victime de boulimie. (www.purepeople.com) Il ne doit plus rester beaucoup de pièces d'origines sur cette star richissime!
Amy Winehouse : sa maison de Londres, QG d'un centre de réhab!
C'est lors des funérailles d'Amy Winehouse, prématurément disparue le 23 juillet dernier à l'âge de 27 ans , que son père Mitch a annoncé sa volonté de créer une fondation . Alors que l'accès aux centres de désintoxication gratuits tient du parcours du combattant en Angleterre, il a décidé d'en fonder un. Et le Sun vient de le révéler, la maison de 2, 5 millions de £ de la chanteuse, située dans le quartier de Camden à Londres, devrait être le siège de cette fondation. (www.public.fr) Dommage qu'il faille attendre la mort d'une jeune fille pour faire une bonne action.
Source: Yahoo News
Comme Madonna avec le livre SEX en 1992, Lady Gaga publiera son propre ouvrage de photographies le 22 novembre prochain. Pendant dix mois, le photographe Terry Richardson l'a suivi dans ses moindres faits et gestes. Il l'a même photographié alors qu'elle était en train d'uriner dans une tasse révèle la chanteuse. Et apparemment, cela ne l'a pas dérangé puisque c'est pour de l'art. Un cliché qu'on devrait sûrement retrouvé dans ce livre qui contiendra 350 photos. (www.newsdestars.com) Tout est possible pour se faire remarquer!
Jane Fonda : A 73 ans, elle expose son corps parfait et révèle ses blessures
Elle a 73 ans, mais elle pourrait donner des complexes à n'importe quelle fille de 20 ans. Jane Fonda, qui nous a éblouis à Cannes cette année, vient de prendre la pose pour le magazine Harper's Bazaar et s'est glissée dans une robe transparente Stella McCartney pour éblouir les lecteurs. Car la comédienne fameuse, bien dans son corps, n'a pas peur d'exhiber sa silhouette parfaite qui fait des envieuses. Mais au fil de l'interview, Jane Fonda déclare qu'elle n'a pas toujours été bien dans sa peau. Et qu'elle a été, de longues années, victime de boulimie. (www.purepeople.com) Il ne doit plus rester beaucoup de pièces d'origines sur cette star richissime!
Amy Winehouse : sa maison de Londres, QG d'un centre de réhab!
C'est lors des funérailles d'Amy Winehouse, prématurément disparue le 23 juillet dernier à l'âge de 27 ans , que son père Mitch a annoncé sa volonté de créer une fondation . Alors que l'accès aux centres de désintoxication gratuits tient du parcours du combattant en Angleterre, il a décidé d'en fonder un. Et le Sun vient de le révéler, la maison de 2, 5 millions de £ de la chanteuse, située dans le quartier de Camden à Londres, devrait être le siège de cette fondation. (www.public.fr) Dommage qu'il faille attendre la mort d'une jeune fille pour faire une bonne action.
Source: Yahoo News
Editor's Choice July payrolls rise may soothe recession fears EU leaders in crisis talks, ECB offers limited help World stocks lose $2.5
NEW YORK |
(Reuters) - Apparently, his rent is too damn low.
Jimmy McMillan, the 2010 New York gubernatorial candidate who founded the Rent Is Too Damn High Party, says his landlord is trying to kick him out of his rent-controlled apartment in the trendy East Village of Manhattan in order to raise the rent.
The landlord has filed court papers to evict him, claiming McMillan's primary residence is in Brooklyn, not Manhattan, and thus he should not continue to benefit from rent control, McMillan said.
"It's a baseless case," said the loquacious activist, whose white mustache-and-sideburns combination, black gloves and memorable soundbites during election debates last year made him a celebrity in New York.
"That's my apartment. If I live there one day out of the year, that's my business. If I stick my butt in the door and break wind, if I stick my face in the window and belch, it's none of your business."
McMillan claims the Brooklyn address serves as his party headquarters and that the St. Mark's Place apartment in dispute remains his residence. His son, who is unemployed, continues to live there, he said.
The landlord of the building could not be reached for comment.
McMillan said he has rented the apartment since the 1970s and now pays a monthly rent of $872.96, though his last three rent checks have been sent back.
He said he has instructed his attorney, whose name he could not remember offhand, to file a counter-claim against the landlord.
(Editing by Barbara Goldberg and Jerry Norton)
New Jobs Report Bodes Well For Economy, Analysts Claim
New Jobs Report Bodes Well For Economy, Analysts Claim (Credit: Poco a poco)
The good-news/bad-news came in rapid succession as the close of this week, with a new jobs report pointing in a slightly positive direction, even as Wall Street had one of its wildest weeks in several years.
According to a government report, the U.S. job market in July added 117,000 jobs, brining the national unemployment rate from 9.2 to 9.1 percent. Although the numbers may have showed a relatively small change, the report was considered good news for the Obama administration, which has seen most all economic news this summer be worse than expected. The report capped a week that began with what-could-be-called a resolution to the debt-ceiling debate.
“We have to create more jobs than that each month to make up for the more than 8 million jobs that the recession claimed,” Obama said during a speech, according to Fox News. “We need to create a self-sustaining cycle where people are spending and companies are hiring and our economy is growing, and we know that will take some time.”
The news will undoubtedly do little to lessen the contention of the ongoing debate about why there is a lack of jobs, and whose fault it is.
“As another month of dismal job growth passes and worldwide market panic intensifies, politicians in Washington continue to act as spectators to our great nation’s economic freefall. We can and must do better,” said SEIU International President Mary Kay Henry, reported Fox News. “Instead of killing jobs with more cuts, we need politicians to end the tax giveaways and loopholes for CEOs and big corporations — and use that money to invest in jobs that allow our families to realize our own, new American Dream.”
Obversely, the 2012 GOP presidential candidates certainly did not pass up any opportunities to lay the bad economy on Obama.
“Today’s unemployment report represents the 30th straight month that the jobless rate has been above 8 percent,” said Mitt Romney, who is considered the frontrunner for the nomination. “The administration promised with their $800 billion stimulus that they would keep unemployment below that number. When you see what this president has done to the economy in just three years, you know why America doesn’t want to find out what he can do in eight.”
A variety of factor likely contributed to the wild week on the Wall Street, including the overseas markets. On Thursday, the Dow Jones dropped 513 points amid a massive sell-off. It was the most striking decline since late 2008, when many analysts predict the current crisis began. As of press time Friday, the market was fluctuating wildly between highs and lows.
Flooding in Charlotte prompts evacuations, motorist rescues
Charlotte, North Carolina, received 3 inches of rain, with more in some places, a fire department spokesman said.
STORY HIGHLIGHTS
- NEW: Parts of Interstate highways 77, 485 and 85 were flooded and temporarily shut down
- Charlotte, North Carolina, is under a flash flood watch
- Massive flooding prompts the evacuation of two neighborhoods near downtown
Is severe weather happening where you are? Share your story.
(CNN) -- Massive flash flooding Friday prompted rescue operations of trapped motorists and the evacuation of at least two neighborhoods in Charlotte, North Carolina, authorities said.
Charlotte Fire Department spokesman Capt. Robert Brisley said the city received three inches of rain, with more in some places. The fire department was evacuating two neighborhoods next to flooded creeks near downtown, he said.
Brisley said authorities and responders were carrying out at least 16 rescues of persons trapped in flooded vehicles.
The city was under a flash-flood watch.
Jennifer Frost, spokeswoman for Charlotte-Mecklenburg Storm Water Services, said rain began to fall about lunch time; one gauge registered about 5 to 6 inches about mid-afternoon.
In her nine years of working in the area, Frost said she "never seen anything like this before."
"It came down very fast," she added. "It got so dark downtown, it looked like night."
Parts of Interstate highways 77, 485 and 85 were flooded and temporarily shut down during the storm, she said.
One hotel lobby interior was turned into a waterfall as heavy rain accumulated on the roof and poured through the lobby's light fixtures, forcing the collapse of a desktop-sized section of the ceiling, according to one hotel visitor who shared his video of the spectacle with CNN.
Why is Italy now at center of Europe's debt crisis?
By Laura Smith-Spark, CNN
Italy has found itself at the center of mounting economic concerns in recent days. Fears that it might default on its huge debt have pushed up the cost of government borrowing and led Prime Minister Silvio Berlusconi to address lawmakers in a bid to reassure the markets.
Stock markets in the United States and Europe have taken a dip amid anxiety that the kind of troubles seen elsewhere in Europe might drag Italy down, too.
So what is behind the current crisis around Europe's third largest economy? And what could it mean for Europe and the world if it escalates
Domenico Lombardi, a senior fellow at the Brookings Institution and former IMF executive board member, says the roots of Italy's troubles lie in its huge public debt and low growth rate.
Italy's economy has been growing at only 0.3%, he said, and most importantly is projected to grow at a similarly feeble rate for the next few years.
"This very low rate of growth really is one of the lowest in the world," he said, "and on top of that Italy has a very high public debt."
That debt stands at about 120% of gross domestic product (GDP) -- or in other words, a fifth more than the country's annual economic output -- and is one of the highest in the world, bar that of Greece, which has had to be bailed out by Europe.
Put these two factors together in Italy and it "becomes clear that the economy is not going to be able to generate enough resources to pay for its debt," Lombardi says.
Douglas McWilliams, chief executive of the London-based Centre for Economics and Business Research, also believes that Italy is not growing strongly enough to prevent its GDP ratio rising to unsustainable levels.
He warned in a report Thursday that Italy was "bound to default" on its debt, saying: "Greece cannot sort out its debt problem and realistically the same is the case for Italy."
Berlusconi sought to push back against such fears with an address to Parliament Wednesday in which he said the economic challenges Italy faces need "to be tackled with determination and without panic."
"We do not deny we are facing a crisis," he said, but insisted Italy's banks, institutions and political system were strong enough to cope.
"Our economy is solid," he said. "Our banks are solid. They are well capitalized. They have liquidity. They have overcome the stress tests."
But the speech was light on concrete policy measures, analysts say, and may not have been enough to deter market speculators who now have Italy in their sights.
Stocks close mixed in volatile trading day
n volatile trading Friday, the Dow Jones industrial average swung between triple-digit point gains and losses as investors couldn't make up their minds whether it is safe to buy stocks again after Thursday's 513-point drubbing.After a better-than-expected report on jobs, stocks started the day higher but those gains evaporated as investors kept looking for reasons to sell. Then at midday stocks recovered and continued to bounce back and forth into positive and negative territory.
The Dow swung in a 416-point range as it fell as much as 244 points and rose as high as 171 points before closing up 61 points, or 0.5%, to 11,445.
The Standard & Poor's 500 index dipped 0.70, or 0.1%, to close at 1,199.37. Technology stocks, which had been an area of strength all year, took the brunt of the selling today as the tech-heavy Nasdaq composite index dropped 23.98, or 0.9%, to 2,532.41.
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VIDEO: Financial advisor gives tips for investors
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STORY: Keep your portfolio balanced
"The overhang of what has been going on the last few days has spiraled," says Oliver Wiener, trader at BTIG. "In a normal cycle (you) would have seen a normal unwind. But the way the market is trading … when things are going to go down, the volatility uncoils very fast."
All three major stock market indexes remain squarely in a correction, signaled by a decline of 10% or more from their highs. Investors have been selling on fears the problems with the economy are serious, says Michael Holland of Holland and Co. It's "the realization that the problems are really deep and the solutions are not going to be quick. Each day is another reminder of the deep-seeded nature of the problem," Holland says.
Yet, investors would be foolish to sell at these depressed prices, Holland says. "Fortunes are made in situations like this. I would not be a seller, (but) looking for things to own," Holland says.
Stock trend
Dow Jones industrial average, five trading days
And there's a clear battle between those worried the economy's problems are serious and investors looking to scoop up bargains, Wiener says. "There's support around here, and people trying to hunt bargains due to the speed of the move," he says.
Investors are increasingly concerned about the economy in the U.S. and abroad. Among the issues: The building financial crisis in Europe; hiring in the U.S. that is too slow to significantly lower the unemployment rate; anemic growth in manufacturing, the service sector and a decline in consumer spending; and the belief that the government has might not do more to stimulate the economy.
European leaders have interrupted their summer vacations for emergency meetings. They are trying to craft a plan that would prevent Italy or Spain from becoming the latest countries in the region to require large-scale financial help.
The two countries have Europe's third and fourth largest economies. But European leaders and central bankers might not have the cash needed to prop them up until a larger financial rescue fund can be established by a broader group of financial leaders.
The U.S. economy added 117,000 jobs in July, and hiring in May and June were not as bad as reported previously, the Labor Department reported. The unemployment rate inched down to 9.1% from 9.2%, partly because some unemployed workers stopped looking for work. Health care providers and
"From an economic standpoint, 117,000 jobs is hardly sufficient to boost the economy," he said. He said it is impossible to tell how long the nervousness will affect the market, but he said it will more likely be years than months.
About twice as many jobs as that must be created every month in order to rapidly reduce the unemployment rate. It has been above 9% nearly every month since the recession officially ended in June 2009. Many economists fear that the economy might dip back into recession.
Overseas markets also fell. Tokyo, Hong Kong and China all closed down 4%. Taiwan lost 6%. In Europe, shares recovered some of their losses after plunging to their lowest levels in more than a year. Germany's DAX index fell 2.8%. Other indexes showed smaller losses.
The yield on the 2-year Treasury note fell to 0.29%, after brushing a record low of 0.26% earlier Friday. Frightened investors are buying Treasurys, sending their prices higher and yields lower. The yield on the benchmark 10-year Treasury note rose to 2.48% after hitting a low since last year of 2.34%.The rush to buy Treasurys is another key reason why markets are moving up and down in such big swings, said Karen Shaw Petrou of Federal Financial Analytics. Many investors are seeking a safe haven from unstable equity markets.
Contributing: Associated Press
Boy who was stuffed in oven: Don't jail my dad
NEW YORK — A Staten Island boy, whose father burned his hands on the stove and then tossed him naked into an oven, begged a Staten Island judge on Friday to go easy on his father. The youngster's emotional appeal worked.
"He made a big mistake, but really somewhere in his heart, he is funny, lovable, caring, and a great father," Chris Moss, 11, said of his father, James, who admitted to the horrific crime. "Everybody in my family ... is giving him a second chance, will you? I just can't see my dad taken away from me. Right now I'm crying because he is the only dad I need."
The Staten Island district attorney's office asked for the maximum sentence, seven years in prison, arguing that Moss inhumanely punished his son last year because he thought he stole $20 from his wallet.
Moss was sentenced to four months of weekends in prison at Rikers Island. The 53-year-old will also be put on probation for five years, must live away from his son for one year and take anger management classes.
"This court feels compelled to temper justice with compassion," said Judge Robert Collini, according to the Staten Island Advance. The judge said Moss had shown "uninhibited remorse," the paper reported.
Erin Moss told the court her husband of 24 years worked part time as a maintenance man and never complained about staying home with his two children as "Mr. Mom" while she studied nursing.
"This is not something that ever happened in our life," she said. "I was the disciplinarian. He was the softie."
She said that on May 12, 2010, he "snapped and lost it."
Prosecutors say Moss beat the boy with a spatula, put his hands over two hot oven burners until the skin peeled, punched him in the face and then shoved him into an oven for several minutes.
"I'm going to burn you alive," Moss reportedly yelled, according to court papers.
He did not turn on the oven. The boy's hands were burned when his father held them over the burners.
Later, as skin peeled from the boy's singed hands, Moss refused to get his son medical attention, prosecutors said. The father ordered the boy to sit naked on the floor "like a dog," prosecutors said.
Erin Moss, who was not home at the time of the abuse, eventually took her son to a hospital, where the boy was treated for second- and third-degree burns and cuts.
Moss pleaded guilty to all seven counts of the indictment against him, including two counts of second-degree assault, which carried a possible seven-year sentence.
"We made what we believed was a very persuasive sentence recommendation to the court that significant jail time was appropriate considering the harm that was inflicted upon this child at the hands of his own father," said Staten Island District Attorney Daniel Donovan. "The judge in this case imposed a sentence which he believed was right, considering everything that was before him."
When expressing his remorse before the court, James Moss expressed admiration for his son.
"My son is a better man than me," he said, according to the Advance. "I'm very sorry for what I did."
WNBC TV and Reuters contributed to this report.
ETATS-UNIS - Le démocrate Louis Magazzu dit être «tombé dans un piège»..
A croire que les hommes politiques américains ne retiendront jamais la leçon: prendre une photo tout nu face à son miroir puis l'envoyer à une femme sur Internet ne se termine jamais bien. Dernière victime, Louis Magazzu, un élu local démocrate du New Jersey, forcé de démissionner cette semaine après la publication d'un cliché compromettant sur un site Internet tenu par un opposant.
«Lou», séparé de son épouse depuis deux ans et en cours de divorce, a entretenu une relation épistolaire et téléphonique pendant plusieurs années avec une inconnue qu'il dit n'avoir «jamais rencontrée». Récemment, cette dernière lui aurait demandé une photo sans le bas. Malheureusement pour l'élu, le cliché a atterri entre les mains du site MagazzuWatch.com, qui l'a aussitôt publié.
«Je ne savais pas qu'elle travaillait avec un ennemi politique pour distribuer ces photos», a-t-il accusé. Le webmaster, lui, jure qu'il ne s'agissait pas d'un coup monté machiavélique et que la photo lui a simplement été envoyée. Qu'importe, Louis Magazzu rejoint Anthony Weiner, Christopher Lee et d'autres élus partis chercher «une aide spirituelle» pour retrouver le droit chemin.
P.B.
L'enlisement du conflit libyen inquiète les députés
Les combats entre rebelles (photo) et forces loyalistes n'ont pas cessé sur le terrain depuis la première frappe le 18 mars dernier.
afp.com/Gianluigi Guercia
De plus en plus de voix s'élèvent en France contre la conduite de l'opération militaire en Libye. L'unité des insurgés soulève de nombreuses interrogations.
Cinq mois après la première frappe aérienne, l'intervention initiée par la France et pilotée par l'Otan en Libye est-elle en train de s'enliser? Alain Juppé a été catégorique ce jeudi sur France 2: "On ne peut pas parler d'enlisement". Pourtant, certaines voix s'élèvent depuis quelques semaines pour demander des comptes à l'exécutif.
L'affaire se complique jour après jour pour la coalition. Au retrait de la Norvège, annoncé le 10 juin, s'ajoute désormais le retour au bercail toulonnais, pour plusieurs mois de "régénaration" matérielle et humaine, du seul porte-avions de la flotte militaire française, le Charles-de-Gaulle. Le tout saupoudré de tensions au sein des rebelles et du CNT, seul interlocuteur reconnu par les membres de la coalition, à la suite de l'assassinat du général Younes.
Le CNT en question
Plusieurs fois annoncé à l'agonie, Mouammar Kadhafi reste insaisissable et s'est même payé le luxe d'annoncer jeudi, par l'intermédiaire de son fils, avoir rallié à sa cause certains islamistes proches des insurgés.
Le 12 juillet dernier, déjà, Bernard Cazeneuve, député socialiste et secrétaire de la commission de défense nationale, pointait du doigt les faiblesses de la méthode française dans ce conflit, tout en réaffirmant le soutien des socialistes à l'intervention.
Aujourd'hui interrogé par LEXPRESS.fr, le député souligne l'"erreur" que constituait "l'adoubement du CNT dans la précipitation et sans concertation avec les autres pays européens".
Bernard Cazeneuve réclame ainsi, au nom du groupe PS, "un débat en septembre afin de dresser un bilan très concret de l'intervention". Il insiste sur la nécessite de réunir au plus vite les conditions politiques d'un départ du guide libyen. Une issue, qui passe par l'intensification du dialogue avec toutes les parties concernées, et notamment la Ligue Arabe et l'Union Africaine.
Axel Poniatowski, député UMP du Val d'Oise et président de la commission des affaires étrangères à l'Assemblée, concède que le visage présenté par le CNT depuis quelques jours, est "une donnée préoccupante". "Il est urgent d'obtenir des éclaircissements sur la réalité du front commun de tous les insurgés libyens", ajoute-t-il.
Une commission d'enquête réclamée par les communistes
Le député communiste Jean-Jacques Candelier, lui aussi secrétaire de la commission de la défense nationale et des forces armées de l'Assemblée nationale, indique ce vendredi avoir demandé la création d'une commission d'enquête sur l'opération militaire en Libye.
Arguant que la protection des civils n'est qu'un "prétexte", l'élu déclare que "pour l'instant, le but des opérations en Libye n'est pas encore révélé aux Français". Il s'appuie sur une fameuse phrase du théoricien militaire autrichien Carl Von Clausewitz, "la guerre n'est qu'un prolongement de la politique par d'autres moyens", pour accuser Nicolas Sarkozy de poursuivre en Libye une "politique cynique au service des puissances d'argent".
Cette initiative agace Axel Poniatowski, président UMP de la commission des affaires étrangères à l'Assemblée: "Les communistes sont le seul groupe parlementaire à avoir voté contre cette intervention, et ils ne savent pas comment sortir de cette position. Ou bien il font peu de cas des droits de l'Homme, ce que je pense, ou bien ils apportent un soutien indirect à Kadhafi", assène le député du Val d'Oise.
L'opération libyenne devrait animer les bancs de l'Assemblée à la rentrée.
Le Botswana promet d'intensifier l'interdiction de fumer dans les lieux publics
GABORONE (Xinhua) - La police du Botswana a juré vendredi de jouer un rôle plus actif pour garantir une application efficace de la Loi contre le tabagisme, qui interdit de fumer dans les lieux publics, la promotion et la publicité pour le tabac ainsi que ses produits dérivés dans le pays.
Debswana Diamond Company Ltd à Gaborone au Botswana
La première adjointe du Commissaire principal du Service de police du Botswana Helen Magora Tumediso a déclaré lors d'un atelier d'application de la loique la police est en train d'améliorer la mise en application de la loi.
Mme Magora a reconnu que la mise en application de la loi de 1992 a été négligée par les autorités, et qu'il y avait un besoin d'encourager et d'améliorer son application. Elle a ajouté que la mise en application de la lutte contre le tabagisme présente des défis tels que le manque de sensibilisation sur la question chez les agents responsables de l'application.
"Il y a généralement un manque de connaissances sur les dispositions de la loi et comment elle peut être reliée aux nombreuses autres lois", a-t-elle dit.
Selon Magora, les policiers avaient besoin de formation afin d'apprécier la profondeur de ces questions, en particulier parce que le service de police devrait appliquer toutes ces lois dans leur intégralité.
S'exprimant lors de la réunion, la présidente du Réseau Anti Tabac (ATN) Bontle Mbogwe a indiqué qu'il faut s'occuper de toute urgence de l'énorme quantité de tabac de contrebande qui entre au Botswana
Plus d'1 milliard d'euros pour planter 1 million d'hectares de forêts
BRAZZAVILLE (© 2011 AFP) - Le Congo va consacrer 1.200 milliards de Fcfa (1,8 milliard d'euros) sur dix ans, avec l'appui des partenaires, pour réaliser la plantation d'un million d'hectares de forêts, a annoncé vendredi à la presse le ministre de l'économie forestière, Henri Djombo.
© AFP/Archives Desirey Minkoh. La réserve naturelle de Lefini, ay nord de Brazzaville, en février 2002
"Les objectifs spécifiques du programme peuvent se décliner comme suit: mettre en place et gérer 1 million d'hectares des plantations domaniales et privées avec des essences exotiques et à croissance rapide et des espèces locales", a expliqué le ministre Djombo à propos du projet qui doit démarrer en novembre 2011 pour s'étendre jusqu'en 2020.
Selon le ministre, le projet, qui s'inscrit dans le Programme national d'aménagement et de reboisement (PNAR), vise également à "intégrer les peuples autochtones dans la réalisation des plantations à usage multiple et la satisfaction de leurs besoins alimentaires; puis contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique".
"Les financements du programme proviendront de l'Etat congolais (200 milliards de Fcfa sur fonds propres, 300 millions d'euros) et des investisseurs et promoteurs privés, des bailleurs de fonds et des donateurs variés (1000 milliards de Fcfa, 1,5 milliard)", indique une note de présentation.
Les études de faisabilité du projet ont été réalisées grâce à un financement de la Banque mondiale et de la Banque africaine de développement (BAD), selon M. Djombo.
La forêt couvre entre 60 et 65% du territoire congolais (342.000 km2) et 10% de la superficie du Bassin du Congo, considéré comme le deuxième poumon écologique de la planète avec 220 millions d'hectares.
EN DIRECT. Bourses : Sarkozy va s'entretenir avec Obama ce soir
ARCHIVES. Nicolas Sarkozy va s'entretenir avec Barack Obama vendredi soir sur la crise qui secoue les Bourses actuellement. | AFP/Jewel Samad
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Du jamais vu depuis la création de l'indice CAC 40 en 1987 : ce vendredi la Bourse de Paris a clôturé à la baisse pour la dixième séance consécutive. En début d'après-midi, le Cac 40 avait pourtant rebondi et s'était hissé quelque temps dans le vert, tandis que Wall Street ouvrait à la hausse. Une bonne nouvelle avait été annoncée : aux Etats-Unis, le taux de chômage est descendu de 0,1 point à 9,1% en juillet. Le secteur privé a connu 154 000 embauches nettes, à lui seul, sur le mois. Mais cela n'a pas suffi pour redonner du dynamisme aux places européennes. La bourse de New York fluctue sans cesse.
Nombre de places financières européennes ont ouvert vendredi en forte baisse, craignant une dégradation de la croissance mondiale et une propagation de la crise européenne de la dette à l'Italie et à l'Espagne. Les mesures prises jeudi par la Banque centrale européenne (BCE) n'avaient pas calmé les inquiétudes.Tokyo a clôturé à -3,72%.
20h20. Berlin, Paris, Rome et Londres veulent aller vite. Un porte-parole de la chancellerie allemande annonce qu'Angela Merkel s'est entretenue séparément par téléphone en soirée avec le président français Nicolas Sarkozy puis avec les Premiers ministres italien Silvio Berlusconi et britannique David Cameron. «Tous veulent une mise en œuvre rapide des propositions du sommet du 21 juillet» de la zone euro à Bruxelles, déclare-t-il. Lors de ce sommet de Bruxelles, le couple franco-allemand avait annoncé vouloir faire, d'ici fin août début septembre, des propositions pour améliorer la gouvernance de la zone euro sans dévoiler de détails.
20h10. Sarkozy et Berlusconi ont décidé de convoquer un G7 finance anticipé. Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi annonce qu'«avec le président français, nous avons pris la décision d'anticiper à dans quelques jours la convocation d'un G7 des ministres des Finances». «La situation est très difficile et elle réclame des interventions coordonnées. Il faut reconnaître que le monde est entré dans une crise financière globale qui concerne tous les pays», a souligné le chef du gouvernement italien.
20 heures. Sarkozy s'entretiendra avec Barack Obama ce soir. Le président de la République française et son homologue américain doivent ensemble évoquer la situation financière actuelle ce soir, selon nos information. Comme nous l'annoncions, il a dialogué par téléphone avec le Premier ministre espagnol José Luis Zapatero et la chancelière allemande Angela Merkel. Il s'est également entretenu avec le président du Conseil italien, Silvio Berlusconi.
19h50. Zapatero et Berlusconi s'en prennent aux «mouvements spéculatifs». Les chefs de gouvernements espagnol José Luis Rodriguez Zapatero et italien Silvio Berlusconi ont évoqué les nouveaux records atteints vendredi matin par les primes de risque (qui mesurent le risque payé par un pays sur le marché obligataire par rapport à l'Allemagne) de leurs deux pays. Tous deux «considèrent comme peu compréhensibles les fortes fluctuations et les mouvements spéculatifs des marchés de la dette souveraine». Après les rumeurs d'intervention de la BCE pour acheter des obligations italiennes et espagnoles, ces primes de risque sont retombées vers les 370 points de base pour l'Espagne et à 375 points pour l'Italie (contre 408 point pour l'Espagne et 407 pour l'Italie dans la matinée).
18h50. Wall Street repart à la hausse. Le Dow Jones gagne 1,12% après avoir perdu près de 2%, et le Nasdaq 0,15%.
18h45. Baroin : «Ne pas douter de la détermination des Européens». Invité de France Info, le ministre de l'Economie estime qu'il faut« garder la tête froide». «Les marchés financiers ne doivent pas douter de la détermination des Européens à mettre en œuvre le nouveau plan de sauvetage de la Grèce», a-t-il expliqué. Il a souhaité que sa déclinaison dans chaque pays «soit effectuée le plus rapidement possible». «Il est clair» aussi «que la zone euro n'est pas optimale dans son fonctionnement et qu'il faudra formuler des propositions en matière de renforcement de la gouvernance», a concédé le ministre, rappelant que le couple franco-allemand avait été chargé de faire des propositions sur le sujet.
18h10. La Bourse de New York se replie. Le Dow Jones perd 1,43% et le Nasdaq 2,69%. Si l'annonce de la création de 117 000 postes supplémentaires a d'abord provoqué un soulagement, les mauvais indicateurs des derniers jours sur les services et la baisse des commandes à l'industrie sont rapidement revenus à l'esprit des courtiers qui se sont concentrés sur les aspects négatifs du rapport sur le chômage, à savoir le niveau inchangé du nombre d'intérimaires et une baisse de la population active, ont expliqué les analystes de Charles Schwab.
18 heures. La Chine conseille aux Occidentaux des «mesures concrètes». La Chine estime vendredi que les accords sur la dette aux Etats-Unis et en Europe ne seraient pas suffisants pour sauver leurs économies respectives et que des «mesures concrètes» doivent être prises pour rééquilibrer l'économie mondiale. «Le seul moyen que les Américains ont trouvé pour améliorer la croissance économique a été de contracter de nouveaux prêts pour financer les anciens», déclare l'agence officielle Xinhua (Chine Nouvelle) dans un commentaire. Après des semaines de bataille, républicains et démocrates s'étaient mis d'accord le 2 août sur le relèvement du plafond de la dette.
17h45. Madrid et Milan limitent la casse. L'indice Ibex-35 des principales valeurs de la Bourse madrilène clôture en légère baisse de 0,18%, après une forte chute de 3,89% la veille, repassant sous la barre symbolique des 9 000 points pour la première fois depuis juin 2010. Madrid avait connu une forte hausse dans la matinée : des rumeurs de marché évoquaient une possible intervention de la BCE. Milan a perdu 0,7%.
17h39. Dixième séance consécutive de baisse à Paris. La Bourse de Paris a abandonné 1,26% vendredi, finissant à un nouveau plus bas depuis juillet 2009 et signant sa dixième séance consécutive de baisse, du jamais vu depuis la création de l'indice CAC 40 en 1987. Le CAC 40 a cédé 41,79 points à 3.278,56 points. Le volume d'échanges a été particulièrement fourni, à 7,396 milliards d'euros, signe de tensions inhabituelles sur les marchés.
17h36. En Allemagne, le Dax termine en recul de 2,78%. Londres perd 2,71%.
17h30. Baroin est rentré à Paris pour suivre «au plus près» la situation. Le ministre de l'Economie qui se trouvait dans la Creuse est rentré jeudi soir à Paris après concertation avec Nicolas Sarkozy et François Fillon afin de suivre la situation dans la zone euro et «de faire le point avec ses équipes», annonce l'Elysée.
17h25. Barack Obama : l'économie américaine va «s'en sortir». «Je souhaite que les Américains et nos partenaires à travers le monde sachent ceci: nous allons nous en sortir, les choses vont s'améliorer», a déclaré le président des Etats-Unis.
16h45. Berlusconi et Zapatero ont dialogué ensemble. Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi s'est entretenu vendredi au téléphone avec son homologue espagnol José Luis Zapatero et le président de l'Union européenne, Herman Van Rompuy, pour des «consultations sur la situation économique actuelle», indique une source gouvernementale. Aucune autre précision n'a été donnée sur la teneur de ces entretiens.
16h20. La Suède pourrait être touchée. La croissance économique suédoise, l'une des plus fortes d'Europe, peut être affectée par les turbulences actuelles, reconnaît le ministre des finances conservateur Anders Borg. «Nous recevons encore de l'économie suédoise des signaux d'un développement solide mais la situation devient sérieuse en termes de risques», a-t-il ajouté.
16h05. New York et Paris dans le rouge. A Wall Street, le rebond a été de courte durée. Le Dow Jones perd 0,14% et le Nasdaq 1,23%, avant de se reprendre. Dans le sillage de la Bourse américaine, Paris chute à -0,44%.
16 heures. L'Espagne critique envers la BCE. La ministre espagnole de l'Economie Elena Salgado reproche à la BCE d'avoir créé de la confusion sur les marchés jeudi. Elle regrette que la Banque centrale ait racheté «des bons irlandais et portugais». «Ces deux pays qui ont déjà des programmes d'aide financière, donc ce n'était pas prévu qu'une telle intervention soit nécessaire» a-t-elle critiqué, alors que les marchés attendaient vainement un geste envers les obligations espagnoles ou italiennes Ce vendredi, des rumeurs de marché vendredi laissaient entendre qu'elle avait finalement décidé de le faire, ce qui a fait repasser dans le vert la Bourse madrilène.
15h35. La Bourse de New York ouvre en hausse. Le Dow Jones gagne 0,45% et le Nasdaq 0,98%. La veille le Dow Jones avait perdu 4,31% pour retrouver son niveau de décembre, et le Nasdaq 5,05%.
15h15. Fillon suit «très attentivement la situation». Le Premier ministre français a multiplié les contacts, avec Nicolas Sarkozy, la directrice générale du FMI Christine Lagarde ou encore le président de la Commission européenne José Manuel Barroso, indique Matignon.
15h05. La Bourse suisse se redresse. L'indice SMI des 20 valeurs vedettes de la Bourse suisse ne perdait plus que 0,15% (7,94 points à 5.277,31 points), après avoir ouvert en forte baisse de -3,9%.
14h48. Wall Street attendu en hausse. Le contrat sur le Dow Jones gagne 0,74%.
14h33. La Bourse de Paris rebondit. Grâce aux chiffres de l'emploi aux Etats-Unis, le Cac 40 a rebondi de près de 2% en quelques minutes.
14h30. 117 000 créations d'emplois aux Etats-Unis en juillet. Le chômage est à 9,1%. Ces chiffres étaient très attendus par les marchés.
14h24. Natixis en tête du CAC 40. La valeur de la banque prend 8,57% à 3,00 euros.
14h06. Fannie Mae demande 5,1 milliards de dollars. L'organisme d refinancement hypothécaire américain semi-public a besoin de l'aide du Trésor pour éponger son déficit.
14 heures. Le CAC 40 passe dans le vert. Après plusieurs tentatives au cours de la matinée, l'indice parisien a franchi la barre des 3320 points, clôture de jeudi soir. Il progresse de 0,13% à 3324 points.
13h57. Baylet pour un « gouvernement économique européen ». Selon le président du parti radical de gauche, un tel gouvernement permettrait « d'ajuster les politiques budgétaires des Etats ».
13h46. Une coordination avec le G7 et le G20 est capitale pour Rehn. « La crise actuelle ne concerne pas que l'Europe, mais a une dimension et des répercussions mondiales. C'est pour cela qu'une solution à l'échelle mondiale doit être apportée », déclare le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn.
13h40. Le CAC 40 proche de la stabilité. L'indice parisien ne recule plus que de -0,40%. Toutefois, les analystes guettent avec anxiété la diffusion à 14h30 du rapport sur l'emploi et le chômage américains pour juillet, un indicateur mensuel majeur pour évaluer la santé de la première économie mondiale.
13h30. L'Espagne et l'Italie n'auront pas besoin de plan d'aide, assure le commissaire européen aux Affaires économiques, Olli Rehn car «leurs fondamentaux économiques ne le justifient pas».
12h51. Rehn appelle à la patience. L'Europe travaille « nuit et jour » sur la crise de la dette, assure le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn. Il s'agit «d'une affaire de semaines et de non de mois», souligne-t-il, de nombreuses avancées étant attendues en septembre, quand les Parlements nationaux devront adopter les décisions prises le 21 juillet, lors d'un sommet extraordinaire de la zone euro.
12h13. La note souveraine de l'Irlande inchangée. L'agence de notation Standard and Poor's a maintenu vendredi la note de la dette à long terme de l'Irlande, à BBB+.
12 heures. Les Bourses européennes toujours dans le rouge. Le CAC 40 perd 1,43%. C'est la dixième séance de baisse d'affilée à Paris. Londres et Francfort sont également encore à la baisse. A la mi-journée, l'indice Footsie-100 perd 2,79% et le DAX30 2,51%.
11h53. Détente des taux espagnols et italiens. Les rendements à dix ans espagnols baissent à 6,053% et italiens à 6,135%. Ils s'étaient envolés en début de matinée
11h47. Une déclaration pour « rassurer ». Le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn s'exprimera vers 12h20 à Bruxelles pour « inviter au calme » et clarifier les propos de José Manuel Barroso.
11h34. L'inflation grecque baisse. Le taux d'inflation en Grèce a enregistré une baisse de 2,4% en juillet.
11h01. La croissance accélère en Italie. Elle de à 0,3% au deuxième trimestre contre 0,1% au premier trimestre
11 heures. Le CAC 40 se stabilise autour de 3290 points, soit une baisse d'environ 1% par rapport à hier.
10h54. Milan réduit ses pertes. Les valeurs bancaires rebondissent grâce à des rumeurs concernant une possible intervention de la BCE.
10h38. La Bourse de Londres chute. L'indice Footsie-100 lâche 2,76%. Les valeurs bancaires plongent.
10h30. Shanghai finit en baisse. La Bourse de Shanghai clôture à - 2,15% .
10h26. -13% en une semaine. Par rapport à son cours d'ouverture de lundi (3718 points), le Cac 40 perd plus de 13 % sur la semaine.
10h21. Papandréou écrit à Barroso. Dans une lettre au président de la Commission européenne, le Premier ministre grec souligne que les décisions prises par les dirigeants des pays membres de la zone euro doivent « être mises en route maintenant et adoptées par les parlements nationaux là où cela est nécessaire ».
10h19. Paris chute à nouveau. Après un plus haut à 3 315,17 points vers 10 heures, tout proche de son cours de clôture d'hier, le CAC 40 replonge, à - 1,33%.
10h13. Hong Kong termine en baisse. La Bourse perd 4,29% avec 20 946,14 points à la clôture.
10h11. La croissance espagnole ralentit. L'économie espagnole a ralenti sa croissance au deuxième trimestre, à 0,2% contre 0,3% au premier.
9h59. Madrid repasse dans le vert. Les valeurs bancaires sont hausse.
9h58. Le CAC 40 réduit encore ses pertes. Paris n'est plus qu'à -0,20%.
9H47. La Royal Bank of Scotland dans le rouge. La banque britannique détenue à plus de 80% par l'Etat annonce une perte nette de 1,425 milliard de livres (1,64 md EUR) pour le 1er semestre 2011.
9h26. Dexia perd plus de 5%. Les investisseurs sanctionne la publication d'une perte nette de la banque franco-belge au deuxième trimestre.
9h12. Le Cac 40 réduit ses pertes. Il est en baisse de - 2,11%.
9h10. Le Dax dégringole. La Bourse de Francfort chute quelques minutes après l'ouverture et perd 3,91%.
9 heures. La Bourse de Paris ouvre en baisse de 3,07 %. Londres ouvre aussi sur une chute de 2,51% et Milan sur une baisse de 3,5%. Le Dax perd 2,60% et la Bourse de Madrid 2,40%.
8H55. Un rachat de dette espagnole ou italienne ? L'un des membres du conseil des gouverneurs de la BCE, le Belge Luc Coene, n'exclut pas un rachat de titres de dettes italienne ou espagnole. « On l'a déjà fait dans le cas de la Grèce, je ne vois pas pourquoi il y aurait veto contre cette possibilité-là , assure-t-il sur RTBF 1.
8h50. Les deux Bourses de Moscou plongent. Le RTS perd près de 3,7% et le Micex plus de 3%.
8h26. Les marchés sont dans l'attente des chiffres de l'emploi américain pour juillet. L'agenda de la séance d'aujourd'hui est dominé par la publication, à 14h30, de ces chiffres.
8h20. Paris attendu en baisse à l'ouverture. A une quarantaine de minutes de l'ouverture de la séance, le contrat à terme sur le CAC 40 perd 2,09%.
8H05. L'euro vaut 1,4123 dollar. La devise européenne est en hausse par rapport à la monnaie américaine.
8 heures. Tokyo perd près de 4%. En clôture, l'indice Nikkei recule de 3,72% à 9.299,88 points. La Bourse de Sydney finit aussi sur une chute de 4%
7h40. « La crise est devant nous ». C'est ce qu'affirme l'ancien ministre de l'Economie Michel Sapin sur Europe 1.
Face au au dévissage des Bourses, le député socialiste parle de « situation alarmante ».
6 heures. Le ministre des Finances australien intervient. Wayne Swan affirme que les fondamentaux économiques de son pays sont solides dans l'espoir de calmer les investisseurs, alors même que la Banque centrale d'Australie revoit en nette baisse ses estimations de croissance pour 2011. Celle-ci ne serait plus que de 3,25%, contre « un peu plus de 4% » lors du précédent rapport trimestriel publié en mai.
4 heures. La panique gagne tous les marchés asiatiques. Imitant les Bourses européennes et américaines, les marchés asiatiques chutent. Tokyo, qui en dévissant de 3,36%, tombe à des niveaux inconnus depuis les jours qui ont suivi le séisme dévastateur du 11 mars, Hong Kong perd 4,02%, Séoul 2,91% et Shanghai 1,82%.
2 heures. Tokyo et Sydney en baisse dès l'ouverture. La Bourse de Tokyo ouvre en forte baisse de 1,97%. Sydney perd de son côté 2% dès l'ouverture.
23H15. Les Bourses latino-américaines à la baisse également. Dans la foulée de Wall Street, les places latino-américaines ont enregistré de fortes baisses. En Amérique du sud, toutes les chutes ont excédé 3%. Ainsi, Sao Paulo perd 5,72%, Buenos Aires 6,01%, Santiago 3,94% et Bogota 3,23%. La Bourse de Mexico a pour sa part subi une chute de 3,37%.
23 heures. Chute de Wall Street. Minée par les craintes de voir l'économie mondiale ralentir, la bourse de New York enregistre une forte baisse. Le Dow Jones a perdu 4,31% pour retrouver son niveau de décembre, et le Nasdaq 5,08%. En quelques jours seulement - depuis le 21 juillet - le Dow Jones a perdu plus de 1 300 points. Il est revenu à son niveau de clôture du 9 décembre, après sa pire séance en terme de pourcentage depuis février 2009.
Bourses européennes : Sarkozy téléphone à Trichet, Merkel et ZapateroNombre de places financières européennes ont ouvert vendredi en forte baisse, craignant une dégradation de la croissance mondiale et une propagation de la crise européenne de la dette à l'Italie et à l'Espagne. Les mesures prises jeudi par la Banque centrale européenne (BCE) n'avaient pas calmé les inquiétudes.Tokyo a clôturé à -3,72%.
20h20. Berlin, Paris, Rome et Londres veulent aller vite. Un porte-parole de la chancellerie allemande annonce qu'Angela Merkel s'est entretenue séparément par téléphone en soirée avec le président français Nicolas Sarkozy puis avec les Premiers ministres italien Silvio Berlusconi et britannique David Cameron. «Tous veulent une mise en œuvre rapide des propositions du sommet du 21 juillet» de la zone euro à Bruxelles, déclare-t-il. Lors de ce sommet de Bruxelles, le couple franco-allemand avait annoncé vouloir faire, d'ici fin août début septembre, des propositions pour améliorer la gouvernance de la zone euro sans dévoiler de détails.
20h10. Sarkozy et Berlusconi ont décidé de convoquer un G7 finance anticipé. Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi annonce qu'«avec le président français, nous avons pris la décision d'anticiper à dans quelques jours la convocation d'un G7 des ministres des Finances». «La situation est très difficile et elle réclame des interventions coordonnées. Il faut reconnaître que le monde est entré dans une crise financière globale qui concerne tous les pays», a souligné le chef du gouvernement italien.
20 heures. Sarkozy s'entretiendra avec Barack Obama ce soir. Le président de la République française et son homologue américain doivent ensemble évoquer la situation financière actuelle ce soir, selon nos information. Comme nous l'annoncions, il a dialogué par téléphone avec le Premier ministre espagnol José Luis Zapatero et la chancelière allemande Angela Merkel. Il s'est également entretenu avec le président du Conseil italien, Silvio Berlusconi.
19h50. Zapatero et Berlusconi s'en prennent aux «mouvements spéculatifs». Les chefs de gouvernements espagnol José Luis Rodriguez Zapatero et italien Silvio Berlusconi ont évoqué les nouveaux records atteints vendredi matin par les primes de risque (qui mesurent le risque payé par un pays sur le marché obligataire par rapport à l'Allemagne) de leurs deux pays. Tous deux «considèrent comme peu compréhensibles les fortes fluctuations et les mouvements spéculatifs des marchés de la dette souveraine». Après les rumeurs d'intervention de la BCE pour acheter des obligations italiennes et espagnoles, ces primes de risque sont retombées vers les 370 points de base pour l'Espagne et à 375 points pour l'Italie (contre 408 point pour l'Espagne et 407 pour l'Italie dans la matinée).
18h50. Wall Street repart à la hausse. Le Dow Jones gagne 1,12% après avoir perdu près de 2%, et le Nasdaq 0,15%.
18h45. Baroin : «Ne pas douter de la détermination des Européens». Invité de France Info, le ministre de l'Economie estime qu'il faut« garder la tête froide». «Les marchés financiers ne doivent pas douter de la détermination des Européens à mettre en œuvre le nouveau plan de sauvetage de la Grèce», a-t-il expliqué. Il a souhaité que sa déclinaison dans chaque pays «soit effectuée le plus rapidement possible». «Il est clair» aussi «que la zone euro n'est pas optimale dans son fonctionnement et qu'il faudra formuler des propositions en matière de renforcement de la gouvernance», a concédé le ministre, rappelant que le couple franco-allemand avait été chargé de faire des propositions sur le sujet.
18h10. La Bourse de New York se replie. Le Dow Jones perd 1,43% et le Nasdaq 2,69%. Si l'annonce de la création de 117 000 postes supplémentaires a d'abord provoqué un soulagement, les mauvais indicateurs des derniers jours sur les services et la baisse des commandes à l'industrie sont rapidement revenus à l'esprit des courtiers qui se sont concentrés sur les aspects négatifs du rapport sur le chômage, à savoir le niveau inchangé du nombre d'intérimaires et une baisse de la population active, ont expliqué les analystes de Charles Schwab.
18 heures. La Chine conseille aux Occidentaux des «mesures concrètes». La Chine estime vendredi que les accords sur la dette aux Etats-Unis et en Europe ne seraient pas suffisants pour sauver leurs économies respectives et que des «mesures concrètes» doivent être prises pour rééquilibrer l'économie mondiale. «Le seul moyen que les Américains ont trouvé pour améliorer la croissance économique a été de contracter de nouveaux prêts pour financer les anciens», déclare l'agence officielle Xinhua (Chine Nouvelle) dans un commentaire. Après des semaines de bataille, républicains et démocrates s'étaient mis d'accord le 2 août sur le relèvement du plafond de la dette.
17h45. Madrid et Milan limitent la casse. L'indice Ibex-35 des principales valeurs de la Bourse madrilène clôture en légère baisse de 0,18%, après une forte chute de 3,89% la veille, repassant sous la barre symbolique des 9 000 points pour la première fois depuis juin 2010. Madrid avait connu une forte hausse dans la matinée : des rumeurs de marché évoquaient une possible intervention de la BCE. Milan a perdu 0,7%.
17h39. Dixième séance consécutive de baisse à Paris. La Bourse de Paris a abandonné 1,26% vendredi, finissant à un nouveau plus bas depuis juillet 2009 et signant sa dixième séance consécutive de baisse, du jamais vu depuis la création de l'indice CAC 40 en 1987. Le CAC 40 a cédé 41,79 points à 3.278,56 points. Le volume d'échanges a été particulièrement fourni, à 7,396 milliards d'euros, signe de tensions inhabituelles sur les marchés.
17h36. En Allemagne, le Dax termine en recul de 2,78%. Londres perd 2,71%.
17h30. Baroin est rentré à Paris pour suivre «au plus près» la situation. Le ministre de l'Economie qui se trouvait dans la Creuse est rentré jeudi soir à Paris après concertation avec Nicolas Sarkozy et François Fillon afin de suivre la situation dans la zone euro et «de faire le point avec ses équipes», annonce l'Elysée.
17h25. Barack Obama : l'économie américaine va «s'en sortir». «Je souhaite que les Américains et nos partenaires à travers le monde sachent ceci: nous allons nous en sortir, les choses vont s'améliorer», a déclaré le président des Etats-Unis.
16h45. Berlusconi et Zapatero ont dialogué ensemble. Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi s'est entretenu vendredi au téléphone avec son homologue espagnol José Luis Zapatero et le président de l'Union européenne, Herman Van Rompuy, pour des «consultations sur la situation économique actuelle», indique une source gouvernementale. Aucune autre précision n'a été donnée sur la teneur de ces entretiens.
16h20. La Suède pourrait être touchée. La croissance économique suédoise, l'une des plus fortes d'Europe, peut être affectée par les turbulences actuelles, reconnaît le ministre des finances conservateur Anders Borg. «Nous recevons encore de l'économie suédoise des signaux d'un développement solide mais la situation devient sérieuse en termes de risques», a-t-il ajouté.
16h05. New York et Paris dans le rouge. A Wall Street, le rebond a été de courte durée. Le Dow Jones perd 0,14% et le Nasdaq 1,23%, avant de se reprendre. Dans le sillage de la Bourse américaine, Paris chute à -0,44%.
16 heures. L'Espagne critique envers la BCE. La ministre espagnole de l'Economie Elena Salgado reproche à la BCE d'avoir créé de la confusion sur les marchés jeudi. Elle regrette que la Banque centrale ait racheté «des bons irlandais et portugais». «Ces deux pays qui ont déjà des programmes d'aide financière, donc ce n'était pas prévu qu'une telle intervention soit nécessaire» a-t-elle critiqué, alors que les marchés attendaient vainement un geste envers les obligations espagnoles ou italiennes Ce vendredi, des rumeurs de marché vendredi laissaient entendre qu'elle avait finalement décidé de le faire, ce qui a fait repasser dans le vert la Bourse madrilène.
15h35. La Bourse de New York ouvre en hausse. Le Dow Jones gagne 0,45% et le Nasdaq 0,98%. La veille le Dow Jones avait perdu 4,31% pour retrouver son niveau de décembre, et le Nasdaq 5,05%.
15h15. Fillon suit «très attentivement la situation». Le Premier ministre français a multiplié les contacts, avec Nicolas Sarkozy, la directrice générale du FMI Christine Lagarde ou encore le président de la Commission européenne José Manuel Barroso, indique Matignon.
15h05. La Bourse suisse se redresse. L'indice SMI des 20 valeurs vedettes de la Bourse suisse ne perdait plus que 0,15% (7,94 points à 5.277,31 points), après avoir ouvert en forte baisse de -3,9%.
14h48. Wall Street attendu en hausse. Le contrat sur le Dow Jones gagne 0,74%.
14h33. La Bourse de Paris rebondit. Grâce aux chiffres de l'emploi aux Etats-Unis, le Cac 40 a rebondi de près de 2% en quelques minutes.
14h30. 117 000 créations d'emplois aux Etats-Unis en juillet. Le chômage est à 9,1%. Ces chiffres étaient très attendus par les marchés.
14h24. Natixis en tête du CAC 40. La valeur de la banque prend 8,57% à 3,00 euros.
14h06. Fannie Mae demande 5,1 milliards de dollars. L'organisme d refinancement hypothécaire américain semi-public a besoin de l'aide du Trésor pour éponger son déficit.
14 heures. Le CAC 40 passe dans le vert. Après plusieurs tentatives au cours de la matinée, l'indice parisien a franchi la barre des 3320 points, clôture de jeudi soir. Il progresse de 0,13% à 3324 points.
13h57. Baylet pour un « gouvernement économique européen ». Selon le président du parti radical de gauche, un tel gouvernement permettrait « d'ajuster les politiques budgétaires des Etats ».
13h46. Une coordination avec le G7 et le G20 est capitale pour Rehn. « La crise actuelle ne concerne pas que l'Europe, mais a une dimension et des répercussions mondiales. C'est pour cela qu'une solution à l'échelle mondiale doit être apportée », déclare le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn.
13h40. Le CAC 40 proche de la stabilité. L'indice parisien ne recule plus que de -0,40%. Toutefois, les analystes guettent avec anxiété la diffusion à 14h30 du rapport sur l'emploi et le chômage américains pour juillet, un indicateur mensuel majeur pour évaluer la santé de la première économie mondiale.
13h30. L'Espagne et l'Italie n'auront pas besoin de plan d'aide, assure le commissaire européen aux Affaires économiques, Olli Rehn car «leurs fondamentaux économiques ne le justifient pas».
12h51. Rehn appelle à la patience. L'Europe travaille « nuit et jour » sur la crise de la dette, assure le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn. Il s'agit «d'une affaire de semaines et de non de mois», souligne-t-il, de nombreuses avancées étant attendues en septembre, quand les Parlements nationaux devront adopter les décisions prises le 21 juillet, lors d'un sommet extraordinaire de la zone euro.
12h13. La note souveraine de l'Irlande inchangée. L'agence de notation Standard and Poor's a maintenu vendredi la note de la dette à long terme de l'Irlande, à BBB+.
12 heures. Les Bourses européennes toujours dans le rouge. Le CAC 40 perd 1,43%. C'est la dixième séance de baisse d'affilée à Paris. Londres et Francfort sont également encore à la baisse. A la mi-journée, l'indice Footsie-100 perd 2,79% et le DAX30 2,51%.
11h53. Détente des taux espagnols et italiens. Les rendements à dix ans espagnols baissent à 6,053% et italiens à 6,135%. Ils s'étaient envolés en début de matinée
11h47. Une déclaration pour « rassurer ». Le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn s'exprimera vers 12h20 à Bruxelles pour « inviter au calme » et clarifier les propos de José Manuel Barroso.
11h34. L'inflation grecque baisse. Le taux d'inflation en Grèce a enregistré une baisse de 2,4% en juillet.
11h01. La croissance accélère en Italie. Elle de à 0,3% au deuxième trimestre contre 0,1% au premier trimestre
11 heures. Le CAC 40 se stabilise autour de 3290 points, soit une baisse d'environ 1% par rapport à hier.
10h54. Milan réduit ses pertes. Les valeurs bancaires rebondissent grâce à des rumeurs concernant une possible intervention de la BCE.
10h38. La Bourse de Londres chute. L'indice Footsie-100 lâche 2,76%. Les valeurs bancaires plongent.
10h30. Shanghai finit en baisse. La Bourse de Shanghai clôture à - 2,15% .
10h26. -13% en une semaine. Par rapport à son cours d'ouverture de lundi (3718 points), le Cac 40 perd plus de 13 % sur la semaine.
10h21. Papandréou écrit à Barroso. Dans une lettre au président de la Commission européenne, le Premier ministre grec souligne que les décisions prises par les dirigeants des pays membres de la zone euro doivent « être mises en route maintenant et adoptées par les parlements nationaux là où cela est nécessaire ».
10h19. Paris chute à nouveau. Après un plus haut à 3 315,17 points vers 10 heures, tout proche de son cours de clôture d'hier, le CAC 40 replonge, à - 1,33%.
10h13. Hong Kong termine en baisse. La Bourse perd 4,29% avec 20 946,14 points à la clôture.
10h11. La croissance espagnole ralentit. L'économie espagnole a ralenti sa croissance au deuxième trimestre, à 0,2% contre 0,3% au premier.
9h59. Madrid repasse dans le vert. Les valeurs bancaires sont hausse.
9h58. Le CAC 40 réduit encore ses pertes. Paris n'est plus qu'à -0,20%.
9H47. La Royal Bank of Scotland dans le rouge. La banque britannique détenue à plus de 80% par l'Etat annonce une perte nette de 1,425 milliard de livres (1,64 md EUR) pour le 1er semestre 2011.
9h26. Dexia perd plus de 5%. Les investisseurs sanctionne la publication d'une perte nette de la banque franco-belge au deuxième trimestre.
9h12. Le Cac 40 réduit ses pertes. Il est en baisse de - 2,11%.
9h10. Le Dax dégringole. La Bourse de Francfort chute quelques minutes après l'ouverture et perd 3,91%.
9 heures. La Bourse de Paris ouvre en baisse de 3,07 %. Londres ouvre aussi sur une chute de 2,51% et Milan sur une baisse de 3,5%. Le Dax perd 2,60% et la Bourse de Madrid 2,40%.
8H55. Un rachat de dette espagnole ou italienne ? L'un des membres du conseil des gouverneurs de la BCE, le Belge Luc Coene, n'exclut pas un rachat de titres de dettes italienne ou espagnole. « On l'a déjà fait dans le cas de la Grèce, je ne vois pas pourquoi il y aurait veto contre cette possibilité-là , assure-t-il sur RTBF 1.
8h50. Les deux Bourses de Moscou plongent. Le RTS perd près de 3,7% et le Micex plus de 3%.
8h26. Les marchés sont dans l'attente des chiffres de l'emploi américain pour juillet. L'agenda de la séance d'aujourd'hui est dominé par la publication, à 14h30, de ces chiffres.
8h20. Paris attendu en baisse à l'ouverture. A une quarantaine de minutes de l'ouverture de la séance, le contrat à terme sur le CAC 40 perd 2,09%.
8H05. L'euro vaut 1,4123 dollar. La devise européenne est en hausse par rapport à la monnaie américaine.
8 heures. Tokyo perd près de 4%. En clôture, l'indice Nikkei recule de 3,72% à 9.299,88 points. La Bourse de Sydney finit aussi sur une chute de 4%
7h40. « La crise est devant nous ». C'est ce qu'affirme l'ancien ministre de l'Economie Michel Sapin sur Europe 1.
Face au au dévissage des Bourses, le député socialiste parle de « situation alarmante ».
6 heures. Le ministre des Finances australien intervient. Wayne Swan affirme que les fondamentaux économiques de son pays sont solides dans l'espoir de calmer les investisseurs, alors même que la Banque centrale d'Australie revoit en nette baisse ses estimations de croissance pour 2011. Celle-ci ne serait plus que de 3,25%, contre « un peu plus de 4% » lors du précédent rapport trimestriel publié en mai.
4 heures. La panique gagne tous les marchés asiatiques. Imitant les Bourses européennes et américaines, les marchés asiatiques chutent. Tokyo, qui en dévissant de 3,36%, tombe à des niveaux inconnus depuis les jours qui ont suivi le séisme dévastateur du 11 mars, Hong Kong perd 4,02%, Séoul 2,91% et Shanghai 1,82%.
2 heures. Tokyo et Sydney en baisse dès l'ouverture. La Bourse de Tokyo ouvre en forte baisse de 1,97%. Sydney perd de son côté 2% dès l'ouverture.
23H15. Les Bourses latino-américaines à la baisse également. Dans la foulée de Wall Street, les places latino-américaines ont enregistré de fortes baisses. En Amérique du sud, toutes les chutes ont excédé 3%. Ainsi, Sao Paulo perd 5,72%, Buenos Aires 6,01%, Santiago 3,94% et Bogota 3,23%. La Bourse de Mexico a pour sa part subi une chute de 3,37%.
23 heures. Chute de Wall Street. Minée par les craintes de voir l'économie mondiale ralentir, la bourse de New York enregistre une forte baisse. Le Dow Jones a perdu 4,31% pour retrouver son niveau de décembre, et le Nasdaq 5,08%. En quelques jours seulement - depuis le 21 juillet - le Dow Jones a perdu plus de 1 300 points. Il est revenu à son niveau de clôture du 9 décembre, après sa pire séance en terme de pourcentage depuis février 2009.
LeParisien.fr 
Espionnage: Cuba confirme la condamnation d'Alan Gross
La Cour suprême de Cuba a confirmé vendredi la condamnation de l'Américain Alan Gross à une peine de 15 ans de prison pour espionnage au profit des Etats-Unis.
Alan Gross, qui séjournait à La Havane pour le compte d'une entreprise de sous-traitance du département d'Etat, est emprisonné depuis vingt mois. Il avait été placé en détention le 3 décembre 2009.
En mars 2011, cet homme de 62 ans avait été déclaré coupable d'avoir introduit à Cuba des équipements de communication internet pour le compte d'un programme américain visant à promouvoir les réformes politiques sur l'île.
Alan Gross s'est défendu de vouloir nuire au régime cubain et a expliqué qu'il cherchait simplement à étendre l'usage d'internet au sein de la petite communauté juive de l'île.
Dans un communiqué, le gouvernement de La Havane a déclaré qu'Alan Gross avait bénéficié de tous les droits et garanties prévus par la Constitution cubaine.
Le cas d'Alan Gross a replacé les relations américano-cubaines au point mort après une brève détente dans les mois qui ont suivi l'accession de Barack Obama à la présidence des Etats-Unis en janvier 2009.
Washington réclame la libération immédiate de son ressortissant. Son épouse, Judy Gross, plaide pour qu'il soit relâché pour raisons humanitaires.
Leur fille, ainsi que la mère d'Alan Gross, sont atteintes d'un cancer et Alan Gross souffre lui-même de problèmes de santé. Il a perdu 45 kilos depuis sa détention.
Dans un communiqué, l'avocat d'Alan Gross, Peter Kahn, avoue qu'il n'est pas surpris par la décision de la justice cubaine. Il réclame une solution diplomatique et une intervention du président cubain Raul Castro.
«Alan et toute sa famille paient un tribut personnel énorme à la longue querelle politique entre Cuba et les Etats-Unis», dit-il.
Cuba reproche depuis longtemps aux Etats-Unis de détenir injustement cinq ressortissants cubains condamnés en 1998 pour espionnage.
Reuters
L'oganisme de refinancement Fanny Mae va demandé 1 milliard de dollars au Trésor américain
Fannie Mae a annoncé vendredi qu'il demanderait 5,1 milliards de dollars supplémentaires (3,6 milliards d'euros) au Trésor, la fragilité du marché de l'immobilier contribuant à creuser les pertes du géant américain du rehaussement de crédit. Le numéro un américain a par ailleurs fait état vendredi d'une perte nette part du groupe de 5,2 milliards de dollars, soit 90 cents par titre, au deuxième trimestre. Avec le chômage élevé et la poursuite des saisies immobilières, Fannie Mae prévoit que le marché immobilier continue de rencontrer des difficultés avec des pressions baissières sur les prix.
La perte que le groupe a accusé d'avril à juin «reflète la poursuite de la faiblesse dans le logement et sur le crédit immobilier qui reste sous pression avec le niveau élevé du chômage, le sous-emploi et le déclin prolongé des prix des maisons depuis le pic atteint au troisième trimestre 2006.»
Avec Reuters
Record historique pour le CAC 40 avec dix séances de baisse consécutives
BOURSE - Depuis sa création en 1987, l'indice phare n'avait jamais connu une telle déconvenue...
C’est le genre de record dont les investisseurs se passeraient bien. Vendredi, le CAC 40 a signé sa deuxième semaine de baisse ininterrompue. Du jamais vu depuis sa création, il y 24 ans. A la clôture, il a abandonné 1,26% à 3.278, 56 points finissant à un nouveau plus bas depuis juillet 2009. Avec une chute de 3,07% à l’ouverture, la nervosité était palpable. Le CAC s’est ensuite progressivement ressaisi, repassant même en territoire positif, après la publication d’un rapport sur l’emploi meilleur que prévu et d’une légère baisse du chômage aux Etats-Unis.
Inquiétudes aux Etats-Unis et en Europe
Mais ce rebond a été de courte durée. Une nouvelle fois, le pessimisme a repris le dessus. Les marchés s’inquiètent toujours de la situation économique de la première puissance mondiale même si le plafond de la dette a été relevé cette semaine. L’Europe est l’autre principale source d’inquiétude. En dépit d’un second plan de sauvetage pour la Grèce, les investisseurs craignent à présent que l’Italie et l’Espagne ne soient pas en mesure de rembourser leur dette.
Mais nombreux analystes s’accordent pour dire que les marchés boursiers sont irrationnels et cèdent à la panique. En effet, la situation des entreprises est rassurante. Au premier semestre de cette année, elles ont fait quasiment autant de profits que sur l’ensemble de l’année 2008. «Elles sont très profitables et sont, à la différence des Etats, peu endettées. Nous sommes face à une crise de la dette et non à une crise des entreprises», résume François Chaulet, associé-directeur de Montségur Finance.
Le CAC 40 va rester très volatil
Quoi qu’il en soit, la Bourse de Paris va continuer à être très volatile au cours des mois à venir. Avec deux échéances politiques majeures, les élections présidentielles française et américaine, de mai et novembre 2012, le CAC 40 risque de jouer encore au yo-yo. «La Bourse va demeurer un placement très risqué jusqu'a la fin de l’année prochaine», pronostique Marc Touati, directeur des études économiques de la compagnie financière Assya.
M.B.
Paris et Rome ont décidé de convoquer un G7 finance anticipé
ROME - Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a annoncé vendredi qu'avec le président français Nicolas Sarkozy ils avaient décidé de convoquer dans quelques jours une réunion anticipée des ministres des Finances du G7.
Avec le président français (Nicolas) Sarkozy, nous avons pris la décision d'anticiper à dans quelques jours la convocation d'un G7 des ministres des Finances, a déclaré M. Berlusconi.
La situation est très difficile et elle réclame des interventions coordonnées. Il faut reconnaître que le monde est entré dans une crise financière globale qui concerne tous les pays, a indiqué M. Berlusconi, en soulignant avoir parlé aussi avec les dirigeants européens, allemand et espagnol.
Le Cavaliere a déclaré à des journalistes que la réunion se tiendrait dans quelques jours et pourrait ouvrir la voie à un sommet des dirigeants du G8 si les ministres des Finances réussissent à se mettre d'accord sur un plan d'action commun.
La France assure actuellement la présidence des G7-G8 et du G20.
M. Berlusconi a également indiqué qu'il s'entretiendrait avec le président américain Barack Obama vendredi soir.
Le chef du gouvernement italien s'est déjà entretenu par téléphone avec son homologue espagnol José Luis Zapatero et avec le président de l'Union européenne, Herman Van Rompuy, pour des consultations sur la situation actuelle économique
Rien de ce qui se passe ne peut être mis sur le compte d'un seul gouvernement. C'est quelque chose qui relève de la situation financière mondiale, a-t-il encore affirmé.
(©AFP /
Avec le président français (Nicolas) Sarkozy, nous avons pris la décision d'anticiper à dans quelques jours la convocation d'un G7 des ministres des Finances, a déclaré M. Berlusconi.
La situation est très difficile et elle réclame des interventions coordonnées. Il faut reconnaître que le monde est entré dans une crise financière globale qui concerne tous les pays, a indiqué M. Berlusconi, en soulignant avoir parlé aussi avec les dirigeants européens, allemand et espagnol.
Le Cavaliere a déclaré à des journalistes que la réunion se tiendrait dans quelques jours et pourrait ouvrir la voie à un sommet des dirigeants du G8 si les ministres des Finances réussissent à se mettre d'accord sur un plan d'action commun.
La France assure actuellement la présidence des G7-G8 et du G20.
M. Berlusconi a également indiqué qu'il s'entretiendrait avec le président américain Barack Obama vendredi soir.
Le chef du gouvernement italien s'est déjà entretenu par téléphone avec son homologue espagnol José Luis Zapatero et avec le président de l'Union européenne, Herman Van Rompuy, pour des consultations sur la situation actuelle économique
Rien de ce qui se passe ne peut être mis sur le compte d'un seul gouvernement. C'est quelque chose qui relève de la situation financière mondiale, a-t-il encore affirmé.
(©AFP /
Crise : Berlin, Paris, Rome et Londres veulent aller vite
BERLIN - Berlin, Paris, Rome et Londres veulent une mise en oeuvre rapide des propositions du sommet de Bruxelles du 21 juillet sur la crise et la zone euro, a indiqué vendredi un porte-parole de la chancellerie à Berlin.
La chancelière allemande Angela Merkel s'est entretenu séparément par téléphone en soirée avec le président français Nicolas Sarkozy puis avec les Premier ministre italien Silvio Berlusconi et britannique David Cameron, a précisé le porte-parole.
Tous veulent une mise en oeuvre rapide des propositions du sommet du 21 juillet sur la zone euro à Bruxelles, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la chancellerie sans donner plus de détails.
Lors du sommet de Bruxelles, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel avait auparavant annoncé, sans dévoiler de détails, vouloir faire d'ici fin août début septembre des propositions pour améliorer la gouvernance de la zone euro, sérieusement mise à mal par la crise de la dette .
(©AFP
La chancelière allemande Angela Merkel s'est entretenu séparément par téléphone en soirée avec le président français Nicolas Sarkozy puis avec les Premier ministre italien Silvio Berlusconi et britannique David Cameron, a précisé le porte-parole.
Tous veulent une mise en oeuvre rapide des propositions du sommet du 21 juillet sur la zone euro à Bruxelles, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la chancellerie sans donner plus de détails.
Lors du sommet de Bruxelles, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel avait auparavant annoncé, sans dévoiler de détails, vouloir faire d'ici fin août début septembre des propositions pour améliorer la gouvernance de la zone euro, sérieusement mise à mal par la crise de la dette .
(©AFP
Portraits Yingluck Shinawatra : leader ou poupée Thaïlandaise ?
La future Premier ministre thaïlandaise, Yingluck Shinawatra, a démenti mercredi les rumeurs selon lesquelles son frère Thaksin, ex-chef de gouvernement aujourd'hui en exil, obtiendrait un poste dans son administration. ( Pornchai Kittiwongsakul )
C.G avec A.B | 05.07.2011, 12h01 | Mise à jour : 05.08.2011, 20h00
| Réagir
Yingluck Shinawatra, soeur de l'ancien chef de gouvernement en exil Thaksin Shinawatra, vient d'être élue Premier ministre de Thaïlande ce vendredi par l'assemblée nationale. Cette élection fait suite aux résultats des législatives de juillet accordant la majorité absolue à la coalition menée par Yingluck, le Puea Thai. Devenant la première femme à occuper ce poste, elle doit encore finaliser son gouvernement et devrait être formellement approuvée par le roi dans les jours à venir.
Présidente du groupe SC Asset Corp., une entreprise d'immobilier de l'empire familial, cette femme d'affaires de 44 ans a su tirer parti de la notoriété de sa famille et plus particulièrement de celle de la notoriété des hommes qui la composent. « C'est une formule très efficace en Asie, relève l'analyste et auteur Chris Baker. Les femmes y puisent un important capital politique d'un aïeul masculin ». Benazir Bhutto au Pakistan, Indira Gandhi en Inde ou Corazon Aquino aux Philippines ont elles aussi accédé au sommet grâce aux hommes de pouvoir de leur famille.
Le « clone de son frère », pour les analystes
Yingluck est-elle réellement une femme de pouvoir ? Les analystes en doutent. Petite dernière d'une famille de neuf enfants, elle a su obtenir le soutien d'une grande partie de la population et écraser la campagne de son opposant, le premier ministre sortant Abhisit Vejjajiva, en séduisant par ses sourires et son énergie. Mais derrière le joli minois de Yingluck transparaît son frère Thaksin Shinawatra, de 17 ans son aîné, premier ministre déchu et exilé à Dubaï depuis 2006. A la mort de leur père, c'est lui qui l'élève. Elle est même décrite aujourd'hui par les analystes comme le « clone » de son frère. Elle serait alors une simple marionnette du milliardaire qui continuerait de prendre toutes les décisions depuis l'émirat arabe.
Ainsi « Il ne fait aucun doute que Yingluck Shinawatra a gagné ces élections parce qu'elle est la soeur de Thaksin », estime Andrew Walker, spécialiste de la politique thaïlandaise à l'Université nationale australienne de Canberra.
« Elle a plus de pouvoir que les gens ne se l'imaginent », précise néanmoins Michael Montesano, de l'Institut d'études sur l'Asie du Sud-Est à Singapour.
Une « poupée manipulée », pour les féministes
Les Thaïlandaises accueillent l'arrivée de Yingluck avec modération. Les organisations de défense des droits de la femme du pays, dont les taux de féminisation des fonctions de direction sont parmi les plus élevés de la planète, y voient moins un progrès pour les droits de la gente féminine et l'égalité des sexes qu'une poupée manipulée par un homme.
Yingluck, qui a connu une ascension fulgurante ces dernièrs mois, ne semble pas s'imposer par des idées paritaires. Ainsi, comme l'explique Arpaporn Sumrit, du Centre d'études sur les femmes de l'université de Chiang Mai (nord) « Elle a peut-être l'anatomie d'une femme mais elle pense comme un homme ». Elle ajoute que Yingluck « n'a jamais rien fait pour promouvoir les droits des femmes » .
Il s'agira pour le nouveau premier ministre de ne pas décevoir car, comme le souligne Awdrew Walker, « beaucoup de femmes, jeunes ou âgées, seront ravies et inspirées par la stupéfiante ascension au sommet de Yingluck ». Pour preuve, Nattamon Tassanakulpan, 21 ans, a voté pour le Puea Thai lors des élections législatives et veut des résultats. « Je suis plutôt féministe et je veux voir ce que ça fait d'avoir une femme Premier ministre ». En accédant à cette fonction, Yingluck Shinawatra devient la dixième femme depuis 1986 à diriger un pays asiatique.
Vidéo. L'interview de Yingluck Shinawatra pendant la campagne
Présidente du groupe SC Asset Corp., une entreprise d'immobilier de l'empire familial, cette femme d'affaires de 44 ans a su tirer parti de la notoriété de sa famille et plus particulièrement de celle de la notoriété des hommes qui la composent. « C'est une formule très efficace en Asie, relève l'analyste et auteur Chris Baker. Les femmes y puisent un important capital politique d'un aïeul masculin ». Benazir Bhutto au Pakistan, Indira Gandhi en Inde ou Corazon Aquino aux Philippines ont elles aussi accédé au sommet grâce aux hommes de pouvoir de leur famille.
Le « clone de son frère », pour les analystes
Yingluck est-elle réellement une femme de pouvoir ? Les analystes en doutent. Petite dernière d'une famille de neuf enfants, elle a su obtenir le soutien d'une grande partie de la population et écraser la campagne de son opposant, le premier ministre sortant Abhisit Vejjajiva, en séduisant par ses sourires et son énergie. Mais derrière le joli minois de Yingluck transparaît son frère Thaksin Shinawatra, de 17 ans son aîné, premier ministre déchu et exilé à Dubaï depuis 2006. A la mort de leur père, c'est lui qui l'élève. Elle est même décrite aujourd'hui par les analystes comme le « clone » de son frère. Elle serait alors une simple marionnette du milliardaire qui continuerait de prendre toutes les décisions depuis l'émirat arabe.
Ainsi « Il ne fait aucun doute que Yingluck Shinawatra a gagné ces élections parce qu'elle est la soeur de Thaksin », estime Andrew Walker, spécialiste de la politique thaïlandaise à l'Université nationale australienne de Canberra.
« Elle a plus de pouvoir que les gens ne se l'imaginent », précise néanmoins Michael Montesano, de l'Institut d'études sur l'Asie du Sud-Est à Singapour.
Une « poupée manipulée », pour les féministes
Les Thaïlandaises accueillent l'arrivée de Yingluck avec modération. Les organisations de défense des droits de la femme du pays, dont les taux de féminisation des fonctions de direction sont parmi les plus élevés de la planète, y voient moins un progrès pour les droits de la gente féminine et l'égalité des sexes qu'une poupée manipulée par un homme.
Yingluck, qui a connu une ascension fulgurante ces dernièrs mois, ne semble pas s'imposer par des idées paritaires. Ainsi, comme l'explique Arpaporn Sumrit, du Centre d'études sur les femmes de l'université de Chiang Mai (nord) « Elle a peut-être l'anatomie d'une femme mais elle pense comme un homme ». Elle ajoute que Yingluck « n'a jamais rien fait pour promouvoir les droits des femmes » .
Il s'agira pour le nouveau premier ministre de ne pas décevoir car, comme le souligne Awdrew Walker, « beaucoup de femmes, jeunes ou âgées, seront ravies et inspirées par la stupéfiante ascension au sommet de Yingluck ». Pour preuve, Nattamon Tassanakulpan, 21 ans, a voté pour le Puea Thai lors des élections législatives et veut des résultats. « Je suis plutôt féministe et je veux voir ce que ça fait d'avoir une femme Premier ministre ». En accédant à cette fonction, Yingluck Shinawatra devient la dixième femme depuis 1986 à diriger un pays asiatique.
Vidéo. L'interview de Yingluck Shinawatra pendant la campagne
Leparisien.fr 
Portraits Yingluck Shinawatra : leader ou poupée Thaïlandaise ?
La future Premier ministre thaïlandaise, Yingluck Shinawatra, a démenti mercredi les rumeurs selon lesquelles son frère Thaksin, ex-chef de gouvernement aujourd'hui en exil, obtiendrait un poste dans son administration. ( Pornchai Kittiwongsakul )
C.G avec A.B | 05.07.2011, 12h01 | Mise à jour : 05.08.2011, 20h00
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Yingluck Shinawatra, soeur de l'ancien chef de gouvernement en exil Thaksin Shinawatra, vient d'être élue Premier ministre de Thaïlande ce vendredi par l'assemblée nationale. Cette élection fait suite aux résultats des législatives de juillet accordant la majorité absolue à la coalition menée par Yingluck, le Puea Thai. Devenant la première femme à occuper ce poste, elle doit encore finaliser son gouvernement et devrait être formellement approuvée par le roi dans les jours à venir.
Présidente du groupe SC Asset Corp., une entreprise d'immobilier de l'empire familial, cette femme d'affaires de 44 ans a su tirer parti de la notoriété de sa famille et plus particulièrement de celle de la notoriété des hommes qui la composent. « C'est une formule très efficace en Asie, relève l'analyste et auteur Chris Baker. Les femmes y puisent un important capital politique d'un aïeul masculin ». Benazir Bhutto au Pakistan, Indira Gandhi en Inde ou Corazon Aquino aux Philippines ont elles aussi accédé au sommet grâce aux hommes de pouvoir de leur famille.
Le « clone de son frère », pour les analystes
Yingluck est-elle réellement une femme de pouvoir ? Les analystes en doutent. Petite dernière d'une famille de neuf enfants, elle a su obtenir le soutien d'une grande partie de la population et écraser la campagne de son opposant, le premier ministre sortant Abhisit Vejjajiva, en séduisant par ses sourires et son énergie. Mais derrière le joli minois de Yingluck transparaît son frère Thaksin Shinawatra, de 17 ans son aîné, premier ministre déchu et exilé à Dubaï depuis 2006. A la mort de leur père, c'est lui qui l'élève. Elle est même décrite aujourd'hui par les analystes comme le « clone » de son frère. Elle serait alors une simple marionnette du milliardaire qui continuerait de prendre toutes les décisions depuis l'émirat arabe.
Ainsi « Il ne fait aucun doute que Yingluck Shinawatra a gagné ces élections parce qu'elle est la soeur de Thaksin », estime Andrew Walker, spécialiste de la politique thaïlandaise à l'Université nationale australienne de Canberra.
« Elle a plus de pouvoir que les gens ne se l'imaginent », précise néanmoins Michael Montesano, de l'Institut d'études sur l'Asie du Sud-Est à Singapour.
Une « poupée manipulée », pour les féministes
Les Thaïlandaises accueillent l'arrivée de Yingluck avec modération. Les organisations de défense des droits de la femme du pays, dont les taux de féminisation des fonctions de direction sont parmi les plus élevés de la planète, y voient moins un progrès pour les droits de la gente féminine et l'égalité des sexes qu'une poupée manipulée par un homme.
Yingluck, qui a connu une ascension fulgurante ces dernièrs mois, ne semble pas s'imposer par des idées paritaires. Ainsi, comme l'explique Arpaporn Sumrit, du Centre d'études sur les femmes de l'université de Chiang Mai (nord) « Elle a peut-être l'anatomie d'une femme mais elle pense comme un homme ». Elle ajoute que Yingluck « n'a jamais rien fait pour promouvoir les droits des femmes » .
Il s'agira pour le nouveau premier ministre de ne pas décevoir car, comme le souligne Awdrew Walker, « beaucoup de femmes, jeunes ou âgées, seront ravies et inspirées par la stupéfiante ascension au sommet de Yingluck ». Pour preuve, Nattamon Tassanakulpan, 21 ans, a voté pour le Puea Thai lors des élections législatives et veut des résultats. « Je suis plutôt féministe et je veux voir ce que ça fait d'avoir une femme Premier ministre ». En accédant à cette fonction, Yingluck Shinawatra devient la dixième femme depuis 1986 à diriger un pays asiatique.
Vidéo. L'interview de Yingluck Shinawatra pendant la campagne
Présidente du groupe SC Asset Corp., une entreprise d'immobilier de l'empire familial, cette femme d'affaires de 44 ans a su tirer parti de la notoriété de sa famille et plus particulièrement de celle de la notoriété des hommes qui la composent. « C'est une formule très efficace en Asie, relève l'analyste et auteur Chris Baker. Les femmes y puisent un important capital politique d'un aïeul masculin ». Benazir Bhutto au Pakistan, Indira Gandhi en Inde ou Corazon Aquino aux Philippines ont elles aussi accédé au sommet grâce aux hommes de pouvoir de leur famille.
Le « clone de son frère », pour les analystes
Yingluck est-elle réellement une femme de pouvoir ? Les analystes en doutent. Petite dernière d'une famille de neuf enfants, elle a su obtenir le soutien d'une grande partie de la population et écraser la campagne de son opposant, le premier ministre sortant Abhisit Vejjajiva, en séduisant par ses sourires et son énergie. Mais derrière le joli minois de Yingluck transparaît son frère Thaksin Shinawatra, de 17 ans son aîné, premier ministre déchu et exilé à Dubaï depuis 2006. A la mort de leur père, c'est lui qui l'élève. Elle est même décrite aujourd'hui par les analystes comme le « clone » de son frère. Elle serait alors une simple marionnette du milliardaire qui continuerait de prendre toutes les décisions depuis l'émirat arabe.
Ainsi « Il ne fait aucun doute que Yingluck Shinawatra a gagné ces élections parce qu'elle est la soeur de Thaksin », estime Andrew Walker, spécialiste de la politique thaïlandaise à l'Université nationale australienne de Canberra.
« Elle a plus de pouvoir que les gens ne se l'imaginent », précise néanmoins Michael Montesano, de l'Institut d'études sur l'Asie du Sud-Est à Singapour.
Une « poupée manipulée », pour les féministes
Les Thaïlandaises accueillent l'arrivée de Yingluck avec modération. Les organisations de défense des droits de la femme du pays, dont les taux de féminisation des fonctions de direction sont parmi les plus élevés de la planète, y voient moins un progrès pour les droits de la gente féminine et l'égalité des sexes qu'une poupée manipulée par un homme.
Yingluck, qui a connu une ascension fulgurante ces dernièrs mois, ne semble pas s'imposer par des idées paritaires. Ainsi, comme l'explique Arpaporn Sumrit, du Centre d'études sur les femmes de l'université de Chiang Mai (nord) « Elle a peut-être l'anatomie d'une femme mais elle pense comme un homme ». Elle ajoute que Yingluck « n'a jamais rien fait pour promouvoir les droits des femmes » .
Il s'agira pour le nouveau premier ministre de ne pas décevoir car, comme le souligne Awdrew Walker, « beaucoup de femmes, jeunes ou âgées, seront ravies et inspirées par la stupéfiante ascension au sommet de Yingluck ». Pour preuve, Nattamon Tassanakulpan, 21 ans, a voté pour le Puea Thai lors des élections législatives et veut des résultats. « Je suis plutôt féministe et je veux voir ce que ça fait d'avoir une femme Premier ministre ». En accédant à cette fonction, Yingluck Shinawatra devient la dixième femme depuis 1986 à diriger un pays asiatique.
Vidéo. L'interview de Yingluck Shinawatra pendant la campagne
Leparisien.fr
Deux Canadiens soupçonnés de terrorisme envisageaient un attentat en France
Deux Canadiens soupçonnés de terrorisme ont discuté en 2000 d'un plan visant à faire exploser un avion en direction de la France, selon la transcription par les services de renseignement canadiens d'une conversation diffusée vendredi par le quotidien La Presse.
Les Montréalais d'origines marocaine, Adil Charkaoui, et soudanaise, Abousfian Abdelrazik, qui demandent d'importants dommages et intérêts au gouvernement canadien pour les avoir soupçonnés de terrorisme, avaient planifié de faire sauter un avion, possiblement un vol d'Air France, entre Montréal et Paris, selon ces documents.
«Si nous partions d'ici pour aller, par exemple, en France. Le voyage serait long. Nous pourrions tous nous enregistrer le même jour et chaque personne embarquerait séparément. Il y en aurait deux en avant, deux au (inaudible, selon la transcription) et deux derrière. Six en tout», dit M. Charkaoui à M.Abdelrazik, selon ce document classé «secret» et obtenu par le journal.
Abousfian Abdelrazik juge ensuite ce plan «dangereux», selon le document. Puis, Adil Charkaoui rétorque: «J'ai un stylo en forme de porte-clés, tu sais ce que veut dire porte-clés en arabe, c'est quelque chose pour mettre tes clés. C'est quelque chose de très pur, à 100%. Lance ça dans l'avion et tout l'avion explose».
Si la conversation cryptée par les services de renseignement date de 2000, le document en faisant état a été rédigé quatre ans plus tard et était destiné au ministère canadien des Transports.
Adil Charkaoui avait été soupçonné d'être un agent dormant d'Al-Qaïda. Arrêté en mai 2003, il a passé 21 mois en prison en vertu d'un «certificat de sécurité», un dispositif légal controversé permettant d'emprisonner sans procès et d'expulser un étranger censé représenter un risque pour la sécurité du Canada.
M. Charkaoui, qui n'a jamais fait l'objet d'une accusation formelle, demande environ 25 millions de dollars américains au gouvernement pour dommages-intérêts.
Abousfian Abdelrazik est, lui, soupçonné de s'être entraîné au milieu des années 90 dans un camp d'Al-Qaïda et d'avoir aidé d'autres personnes à s'y rendre, dont Ahmed Ressam, condamné par la justice américaine pour avoir essayé de commettre un attentat à l'explosif dans l'aéroport de Los Angeles fin 1999.
M. Abdelrazik a été écroué en 2003 par les autorités soudanaises. Il a passé plus d'un an en prison dans son pays d'origine, mais a ensuite été bloqué au Soudan parce que son nom avait été ajouté à la liste onusienne des personnes soupçonnées de terrorisme.
L'homme, aujourd'hui âgé de 49 ans, a gagné en 2008 l'ambassade canadienne à Khartoum, où il a vécu pendant un an, le Canada refusant de lui fournir un nouveau passeport pour rentrer chez lui car son nom figure sur la liste noire de l'ONU.
Le Canada a finalement été obligé de le rapatrier à la suite d'une décision de justice. M. Abdelrazik, qui mène actuellement une campagne pour le retrait de son nom de la liste onusienne des présumés terroristes, réclame 27 millions de dollars en dommages-intérêts au gouvernement canadien.
La fuite de ce document secret dans les médias «semble être une tentative de saper les efforts de M. Abdelrazik pour rétablir sa réputation auprès des Nations unies», a déclaré à l'AFP son avocat Khalid Elgazzar, précisant que son client était «déçu» de ces allégations.
© 2011 AFP
Le gouvernement décide de remblayer des puits de diamant creusés dans les parcelles résidentielles au Centre-est
KINSHASA (Xinhua) -- Le gouvernement provincial a décidé de remblayer, dans les prochains jours, tous les puits de diamant creusés de manière clandestine, dans les parcelles résidentielles de la cité de Tshishimbi, dans la province du Kasaï Oriental , au Centre de la RDC.
M. Ngandu Mulombelayi, réagissait aux plaintes de la société civile de la région, qui fustigeaient le manque de suivi de la part des autorités politiques et administratives pour écarter ce danger permanant en pleine cité.
On rappelle que la société civile a exprimé ses inquiétudes face à l'avenir de la cité minière de Tshishimbi, chef-lieu du territoire, exposée au danger des puits et autres galeries souterraines d'exploitation de diamant dans les parcelles résidentielles.
La société civile qui atteste la mort d'une dizaine de personnes dans ces puits, a relevé le fait que non seulement les puits ne sont pas remblayés, mais que les habitants continuent à creuser d'autres sous l' œil impuissant de l' autorité territoriale.
Dans certaine parcelles, on y trouve des puits de plus e 35 m de profondeurs, indique-t- on.
En RDC, les gisements des diamants sont concentrés au Kasaï Oriental et Occidental.
PARIS - Des jumeaux nés de mère porteuse bloqués en Inde pour complément d'information sur la filiation
PARIS - Des jumeaux de trois mois nés en Inde de mère porteuse sont bloqués dans ce pays, le Conseil d'Etat ayant annulé un jugement administratif qui enjoignait les autorités françaises de délivrer des documents de voyage permettant de les ramener en France, a-t-on appris vendredi.
Selon Libération, les parents de ces jumeaux sont deux homosexuels qui après 15 ans de vie commune, ont recouru à la gestation pour autrui - légale en Inde mais pas en France - pour fonder une famille. Le père génétique, dont le visa expirait samedi, a été contraint de regagner la France en laissant les enfants derrière lui, selon le quotidien.
Dans une décision du 8 juillet, communiquée vendredi à l'AFP, le Conseil d'Etat a annulé un jugement rendu le 24 juin par le tribunal administratif de Paris, qui demandait au ministère des Affaires étrangères de faire bénéficier les jumeaux, dans les trois jours, d'un document de voyage leur permettant d'entrer sur le territoire national.
Le ministère des Affaires étrangères avait déposé au Conseil d'Etat un recours en référé (procédure d'urgence) contre ce jugement. Il arguait notamment que les documents qui lui ont été présentés (tests ADN, actes de naissance indiens ....) ne permettaient pas d'établir de façon probante la filiation paternelle des enfants, nés le 12 mai 2011, ni la renonciation de la mère à ses droits parentaux.
Le père maintient au contraire que la filiation des enfants à son égard est établie et ne fait l'objet d'aucune action en contestation.
Dans sa décision, le Conseil d'Etat a relevé des "contradictions" entre les différentes pièces fournies et "des incertitudes quant à l'identité et la volonté exactes de la mère des enfants", et a donné raison à l'administration qui argue que des vérifications plus poussées sont nécessaires.
© 2011 AFP
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