20 juillet, 2011

Libye: Dénonciation de la décision de l'UE d’octroyer ses avoirs gelés au CNT

Actualités-Libye - La Libye a rejeté mardi le contenu du communiqué du Conseil des ministres des Affaires de l’Union européenne (UE) ordonnant l’octroi des avoirs libyens au profit du Conseil national de transition (CNT, opposition libyenne à Benghazi).

Le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'UE a demandé lundi aux pays membres de remettre aux rebelles libyens du CNT les avoirs de la Libye soumis au gel dans l'espace européen.

Le comité populaire général libyen des relations extérieures et la coopération internationale a indiqué dans un communiqué publié mardi, que la décision européenne est une violation des résolutions 1970 et 1973 du Conseil de sécurité des Nations unies et une ingérence flagrante dans les affaires intérieures du pays.


Le communiqué dénonce «la politique de l'exagération des médias sur la situation en Libye prise comme prétexte par le Conseil des Affaires étrangères de l'UE pour lancer une campagne politique, militaire et économique contre le paisible peuple libyen, œuvrant à détruire ses capacités civiles et ses infrastructures de base sous prétexte de protéger les civils».

Le comité a renouvelé le refus catégorique de la Libye et son opposition à toute déclaration de quelconque partie constituant une ingérence dans ses affaires intérieures et déterminant son avenir politique que seul le peuple libyen de par sa propre volonté décide et «non pas des gangs de traîtres et des agents soutenus depuis l'étranger».

«Si le désir de l'UE est de contribuer réellement à trouver une solution pacifique à la crise en Libye, elle doit œuvrer pour arrêter l'agression et l'OTAN et cesser de viser les civils libyens, ainsi que de soutenir les efforts pour trouver une solution politique par le dialogue entre les fils du peuple libyen loin de la menace, de l'intimidation et des bombardements», souligne le communiqué.

Pana
lepost.fr/

BURKINA FASO 11e rencontre gouvernement/secteur privé : Plus de 50 préoccupations à solutionner pour une prospérité de l’économie nationale

Cadre de réflexion, d’échange et de partage, la 11è rencontre entre le gouvernement et le secteur privé burkinabé qui a eu pour thème, « Enjeux et modalités de réalisation des projets de partenariat public privé pour la croissance économique au Burkina », s’est achevée dans la même soirée du lundi 18 juillet sur une note de satisfaction. L’ensemble des préoccupations ont eu des réponses et le gouvernement entend accélérer l’exécution des décisions pour une économie prospère au Burkina Faso.

Seul le ministre de l’Agriculture et de l’Hydraulique, Laurent Sédogo n’a pu prendre part à cette rencontre. Tous les ministres étaient présents et chacun a essayé d’apporter des éléments de réponses pour les questions qui le concernaient. L’événement inédit de cette rencontre est par ailleurs cette participation des membres du gouvernement marqué par trois faits. Dont le premier est un secret de polichinelle c’est-à-dire la réduction des portefeuilles ministériels en vue de la réduction du train de vie de l’Etat, ensuite, celui de la sécurité parce que tous les ministres sont venus dans la ville de Sya dans un seul car au lieu des véhicules individuels, et enfin le retour véritable de la paix sur le territoire nationale, d’où ce voyage en commun des membres du gouvernement. Le Premier ministre, Beyon Luc Adolphe Tiao s’en est ainsi réjouit.

En effet, à la suite du cérémonial d’ouverture, le rapport de suivi de la mise en œuvre des recommandations de la rencontre précédente a été présenté à l’assistance par Bernard Zougouri, président du Comité technique paritaire, suivra ensuite la présentation du rapport final de l’étude lu par le professeur Idrissa Mohamed Ouédraogo. Il faut dire que les partenariats public-privé (PPP) sont un mode alternatif de financement du développement. Le professeur s’est aussi attardé sur les enjeux et les risques y afférant. Qu’à cela ne tienne, le Burkina Faso à intérêt d’aller vers cette forme novatrice de financement pour le développement. Quelques expériences de PPP n’ont-ils pas réussi déjà et d’autres, en cours d’exécution dans le domaine aéroportuaire, le transport ferroviaire, les logements sociaux et l’enseignement. Ces résultats sont donc porteurs d’espoir. Djibrila Issa de la Banque mondiale à lui aussi explicité le PPP à travers la présentation du pôle de croissance de Bagré qui en est un modèle type.

Plus de 50 préoccupations et suggestions au menu des échanges L’ensemble de toutes les couches d’activités ont eu leur compte à cette 11è rencontre. Qu’il soit de l’élevage, l’agriculture, le tourisme, les finances, l’habitat, les mines et l’énergie, l’éducation, la sécurité, la justice, la santé etc. C’est ainsi que l’épineuse question des lotissements est revenue sur la table des débats. A cette question, le ministre de l’Habitat, Yacouba Barry a indiqué que tous les cas de lotissement seront examinés. Quant aux préoccupations portant sur les marchés publics, le ministre de l’Economie et des Finances a informé qu’un forum national sera organisé en octobre prochain avec la contribution de tous les acteurs concernés. Il faut dire que l’ensemble des questions des participants ont été prises en compte telles que la libéralisation de certains secteurs d’activité comme l’énergie et les infrastructures routiers. En plus, le Premier ministre a suggéré aux différents ministres de répondre individuellement aux acteurs, même au sortir de cette rencontre. Car pour lui, ce « partenariat public-privé est indispensable pour le dynamisme de l’économie du Burkina ». Désormais, le gouvernement et le secteur privé ne font qu’un pour le bonheur de tous les Burkinabè.


Avis de quelques participants

- Mme Yaméogo Marie Viviane, directrice des éditions Choristri

J’ai été profondément touchée par le thème. Ce qui explique d’ailleurs ma participation. En vérité, il faut reconnaitre qu’au Burkina nous rencontrons beaucoup de difficultés dans l’exercice de nos différentes activités, surtout nous les femmes. En matière de financement, les femmes sont mises à l’écart. Et comme le thème était évocateur, j’ai tenu à participer aux débats afin de m’imprégner des nouvelles formules qu’envisage le gouvernement avec le secteur privé pour un partenariat plus dynamique. J’ai été émue, et je salue à sa juste valeur cette initiative. Vivement que toutes les préoccupations et suggestions puissent être exécutées pour un Burkina encore plus rayonnant.

- Souleymane Guira, PDG de la société SUCOTROP

Nous excellons dans la filière karité et a cette 11è rencontre, nos préoccupations ont eu des solutions. C’est pourquoi, nous remercions l’Etat pour cette attention, mais nous attendons de voir l’application.

- Edorh Hugues, représentant résident de la BOAD

C’est la deuxième fois que je participe à cette rencontre et j’ai retenu que cette rencontre permet aux deux parties d’accorder une attention particulière aux différentes préoccupations qui les concerne. En ce qui nous concerne, nos préoccupations ont une échelle plus élevée, mais je pense que celles concernant les banques ont été prises en compte et je m’en réjouis.

Bassératou KINDO pour le Faso.net

L’article 37 paralyse la politique burkinabè

On a dernièrement tiré le rideau sur le Conseil consultatif sur les réformes politiques (CCRP). Gageons que les conciliabules consensuels ont permis de faire évoluer positivement la démocratie burkinabè. Le hic, c’est que certains ont beaucoup plus devisé sur l’absence d’une fraction des opposants au gouvernement que sur la portée réelle des pourparlers… Mais pourquoi, finalement, devrions-nous paralyser le corpus politique du pays pour quelque modification d’article minime, secondaire même ? Nous imaginons déjà les pontes de l’opposition avaler leur café matinal de travers à la lecture de ces lignes quasi blasphématoires, s’insurger contre tant d’ignorance, fustiger tant de complaisance à l’encontre du pouvoir en place : « considérer la révision de l’article 37 de la Constitution comme futile, quelle infamie ! » Pourtant, ce n’est pas parce qu’une pratique à cours dans la majorité des gouvernements « éclairés » qu’elle doit s’ériger en parangon de l’exercice démocratique.

Nous avons toujours eu en horreur l’utilisation de l’argument « ad hominem », si courant en publicité – « neuf ménagères sur dix ont adopté la lessive trucmuch, c’est donc assurément la meilleure », comme principal motif de justification d’un comportement, d’une manière de penser et d’agir. Non, la limitation des mandats ne révolutionnera pas le paysage politique du Faso. Ce n’est pas une fin en soi. Avant d’appeler au départ d’un dirigeant, même en place depuis trop longtemps, il faut avoir la capacité d’assurer sa succession ; ou du moins un parti fort, un entourage, garantissant de pouvoir revendiquer le poste.

Et c’est tout à fait ce qui pèche, à nos yeux, dans le paysage institutionnel burkinabè : le morcellement des forces politiques de la nation ne permettra, au grand jamais, de lutter à armes égales avec la « machine de guerre » qu’est le CDP. Comment même oser rêver le faire vaciller de son piédestal quand on a que la division des forces et des visions à lui opposer ? 162 insignifiants moustiques ne viendront jamais à bout d’un bœuf en pleine forme. C’est un fait. Dans le même ordre d’idées, l’Histoire nous a démontré que si les différentes hordes ne s’allient pas pour lutter contre celui qu’elles considèrent comme l’oppresseur, leur survie sera plus que compromise. C’est l’absence générale de cohésion tribale qui a précipité les « peaux-rouges » d’Amérique à leur perte. Et c’est la même logique qui semble animer l’opposition burkinabè : trop de chefs, pas assez d’Indiens.

Que Ablassé Ouédraogo, Zéphirin Diabré, voire certains supposés leaders de l’opposition décident de jouer un rôle certain dans l’arène politique est plus que louable. Qu’ils lancent invariablement leurs propres partis au lieu d’appeler au rassemblement ne fait que rajouter de l’eau à notre moulin. Pour espérer quoi que ce soit à l’aune des élections de 2015, les opposants d’hier, à notre sens, devraient se concentrer sur ce qui les unit plutôt que de cultiver leurs apparemment insurmontable antagonismes. Prions pour que la tectonique des plaques transforme ces 162 dérisoires îlots en 16 pays vigoureux, ou même, encore mieux, en six continents herculéens capables de se réunifier en une Pangée toute-puissante si besoin est.

Terminons notre réflexion par une métaphore sportive : pour arriver à mettre K.O. le champion toutes catégories de la politique du Faso, il faut, déjà, avoir l’opportunité de l’affronter en combat singulier et, ensuite, lui opposer un challenger fort, soutenu par une « team » compétente, organisée, rassemblée derrière un même objectif, une même vision. Verdict au prochain round…

Jérémie MERCIER (jeremie.mercier01@gmail.com)

Sidwaya

Marc Anthony admits he is a 'single' man on stage

Jennifer Lopez and Marc Anthony attend a signing ceremony for filmmaking incentive legislation for the U.S. island territory in Bayamon, Puerto Rico, March 4, 2011. (AP / Ricardo Arduengo)

Jennifer Lopez and Marc Anthony attend a signing ceremony for filmmaking incentive legislation for the U.S. island territory in Bayamon, Puerto Rico, March 4, 2011. (AP / Ricardo Arduengo)

Marc Anthony has confirmed he is a "single" man.

The 42-year-old singer -- who announced his split from wife of seven years Jennifer Lopez on Friday -- dedicated his track 'No Hay Nadie Como Ella', which translates in English to 'None Like Her' to his fans at a gig in Bogota, Columbia, on Saturday night in what was believed to be a tribute to his estranged wife.

He told the crowd: "Rumour has it I'm single now. That's why I want to dedicate the next song to you."

However, Marc -- who has two-year-old twins Max and Emme with Jennifer -- left out the lyrics "te amo Lola", or "I love you, Lola", in his song 'Valio La Pena'.

Onlooker Rosa Gomez Klee told Life & Style magazine: "He always says those lyrics in reference to Jennifer. But he skipped that part."

Meanwhile, the pair are said to be "at war" over who should drop out of TV talent show 'Q'Viva! The Chosen' -- devised by media mogul Simon Fuller -- with their split having been "far from amicable".

An insider told the Daily Mirror newspaper: "Simon has been assured Marc and Jennifer are both professional enough to put on a good show regardless of any personal problems they may be having.

"But behind the scenes it's a very different story. They are barely on speaking terms, and only converse to talk about their children. The split is far from amicable although they do hope to be friends in the future.

"The idea was for the couple, along with choreographer Jamie King, to tour 21 countries scouting for fresh Latino talent, but obviously, the last thing either of them feels like doing right now is touring together."

It is believed Jennifer -- who judges 'American Idol' alongside Randy Jackson and Steve Tyler -- will be the one to drop out.

The source added: "Jennifer has been brilliant on Simon's other pet project, 'American Idol,' so the feeling is she will leave Marc to do 'Q'Viva!'

"The only other option is that Marc and Jennifer still do it but travel separately, and have Jamie sit between them on the judging panel. Things could get very awkward."

'Gang of Six' pushes bipartisan plan to cut deficit

WASHINGTON -- The bipartisan "Gang of Six" senators on Tuesday offered a major plan to cut the deficit by almost $4 trillion in the coming decade, but whether it can break through the budget debate will depend on whether Republican lawmakers can find a way to endorse more than $1 trillion in new tax revenues reaped as Congress overhauls the loophole-choked U.S. tax code.

The plan also would repeal a new long-term care program established under 2010's health overhaul and force an additional $500 billion in cuts from federal health care programs in the upcoming decade, according to documents provided to senators but not publicly released.

The revenue increases appear significantly higher than advertised by plan proponents because the measure assumes the more than $1 trillion cost of repealing the alternative minimum tax in the coming decade will be offset by curbing tax breaks as tax reform is debated. The minimum tax was enacted in 1969 to make sure taxpayers pay at least some income tax, but it never was indexed for inflation and now threatens more than 20 million tax filers with big tax increases unless extended in 2012.

The Gang of Six plan is separate from a politically freighted effort to lift the nation's borrowing cap and avoid a first-ever default on U.S. obligations. President Barack Obama and Capitol Hill Republicans, however, have failed to reach an agreement on what kind of spending cuts to pair with any increase in the borrowing cap.

The six senators are Tom Coburn, R-Okla., Mike Crapo, R-Idaho, Saxby Chambliss, R-Ga., Kent Conrad, D-N.D., Mark Warner, D-Va., and Dick Durbin, D-Ill.

Their plan calls for an immediate $500 billion "down payment" on cutting the deficit as the starting point toward cuts of more than $4 trillion in the coming decade that would be finalized in a second piece of legislation. Most of those savings would come from four years of caps imposed on the day-to-day budgets of Cabinet agencies set by the annual appropriations bills.

It also would curb the growth of Social Security benefits by moving to a lower inflation adjustment for annual cost-of-living updates.

Depending on how one keeps score, the measure would save $3.7 trillion to $4.7 trillion in the coming decade. The lower figure is measured against a lower spending "baseline" based on a fiscal 2011 budget law enacted earlier this year. But if measured against Obama's request for the current 2011 budget year -- the standard used by Obama's deficit commission in 2010 -- the plan would save the higher figure.

The tax reform outline would set up three income tax rates -- a bottom rate of 8 percent to 12 percent; a middle rate of 14 percent to 22 percent; and a top rate of 23 percent to 29 percent -- to replace the current system that has a bottom rate of 10 percent with five additional rates, topping out at 35 percent.

It would reduce but not eliminate tax breaks on mortgage interest, higher-cost health plans, charitable deductions, retirement savings such as individual retirement accounts and tax-free savings accounts known as 401(k)s and tax credits for families with children.

Like the president's deficit commission, the Senate group's plan calls for a fundamental overhaul of the tax code that would slash special tax preferences and deductions as a way to lower tax rates -- along the lines of the 1986 tax reform measure signed into law by President Ronald Reagan. It would skim more than $1 trillion of the revenue to reduce the deficit and, advocates said, spur the economy and further fill federal coffers because of growth.

Further complicating matters is the fact that the Bush-era tax cuts expire next year. According to the Congressional Budget Office, extending the Bush cuts amounts to a further tax cut, but Republicans have long insisted that extending the Bush tax cuts and maintaining rates at current levels is simply current policy.

Relative to CBO estimates, therefore, the Gang of Six plan would provide a $1.5 trillion tax cut over 10 years; but measured against current tax policies, it's a tax increase exceeding $2 trillion under Congressional Budget Office estimates.

The plan assumes that the taxes paid on large estates would revert to 2009 levels rather than follow a more generous estate tax cut plan passed last year.

The measure would ensure that both domestic programs and the Pentagon budget absorb cost cuts.

The plan wouldn't produce a balanced budget but would reduce deficits as a share of the size of the economy down to 3 percent by 2014 and down to 2 percent by 2019, levels that would stabilize the debt and ensure that it doesn't swamp the economy by forcing up interest rates and crowding out investment.

The measure also calls for overhauling programs like Medicare, Social Security and farm subsidies. The details of the changes would be left to congressional committees to draw up in a manner similar to the existing budget process.

Much of the responsibility would fall to the powerful Finance Committee, which has sweeping responsibility for tax policy and health care programs such as Medicare. The panel would be directed to find savings from other federal health care programs to cover the $300 billion cost of making sure the fees doctors receive under Medicare aren't cut under an outdated 1997 budget law. It would also have to come up with another $200 billion in health savings to devote to defraying the deficit.

In addition, the Armed Services Committee would be assigned $80 billion in savings, mostly from cuts to military retirement and health care accounts, but the Agriculture Committee would only have to find $11 billion over 10 years from farm subsidies. Conrad and Chambliss are strong supporters of farm programs.

The plan also envisions overhauling laws governing medical malpractice to generate further savings from the health care system.

coshoctontribune.com

At the Theater, You Can Feel the Connection

LONDON -- “MY dear Lady Disdain,” as she is sometimes called, has been struck by a compelling need to confide. And so Beatrice, in the beguiling person of Eve Best, walks to the edge of the stage at Shakespeare’s Globe — the popular Thames-side theater — shedding self-possession with every step. She is wearing an expression we have never seen on her before: elated, aghast and altogether undone.
Manuel Harlan

Eve Best and Charles Edwards in “Much Ado About Nothing” at Shakespeare's Globe, directed by Jeremy Herrin.

ArtsBeat Blog

London Theater Journal

Ben Brantley’s essays from London, where a number of plays, some headed to Broadway, are evoking strong responses from audiences and critics.

Johan Persson

Kristin Scott Thomas and Douglas Henshall in "Betrayal."

She is in love, she tells us in astonishment, and before she can stop herself she has bent down, leaned over and embraced a “groundling” member of the audience, who is standing in the Elizabethan-style open pit. The unsuspecting gentleman reddens. So does Beatrice. So, vicariously, do all of us watching, but it’s a happy burn we feel.

Startling moments of contact like this one, from the Globe’s summer-kissed production of “Much Ado About Nothing,” are happening with blessed frequency all over town. I mean, metaphorically. Kristin Scott Thomas (starring in a gorgeous revival of Harold Pinter’s 1978 drama “Betrayal”), Kevin Spacey (who plays Shakespeare’s demented Richard III) and Dominic West (in the title role in Simon Gray’s 1971 comedy “Butley”) never physically reach out and touch anyone in their audiences.

But like Ms. Best in “Much Ado” each has extraordinary moments in which they connect with us in ways that feel almost embarrassingly intimate. When this occurs, it is as if we have been afforded a clear and unblocked view of a character that no one on the stage has been allowed. We may even feel kind of proud of our insight, though the credit is hardly ours.

There’s an added element in these performances that makes them especially precious. Ms. Best (and Charles Edwards as Beatrice’s reluctant lover, Benedick), Ms. Scott Thomas (and her excellent leading — and misleading — men Douglas Henshall and Ben Miles), Mr. Spacey and Mr. West are all portraying people to whom control is very important, including the control of their own emotions.

The adulterers of “Betrayal,” the mutually attracted quipsters pretending to be adversaries in “Much Ado,” the scheming arch-manipulator who becomes Richard III and the intellectually bullying, alcoholic English professor Ben Butley: these are men and women who wear masks as armor and camouflage and who may well (to paraphrase Hamlet) assume virtues when they have them not.

That sounds like a fair job description of acting, doesn’t it? So when we see the social ice cracking on Ms. Scott Thomas’s exquisitely self-possessed Emma in “Betrayal,” with the possibility of some serious melting to come, we are watching a commanding actress in full control of her craft portraying a commanding woman whose facade is slipping. It’s much the same when Ms. Best’s Beatrice goes soft and solemn in the middle of a volley of witticisms and has to readjust her manner like someone tucking in a loose article of clothing.

The presentation of confusion with clarity, of turmoil with a precision that is legible to the audience (but not to the other characters onstage) is what makes these performances so affecting. In “Betrayal,” directed by Ian Rickson (“Jerusalem”) at the Comedy Theater, there are three such paradoxical portraits. Mr. Miles (as Robert, Emma’s husband) and Mr. Henshall (as Jerry, Emma’s lover and Robert’s best friend) are nearly as moving and unsettling as Ms. Scott Thomas is.

Told in reverse chronology, “Betrayal” follows a shifting romantic triangle with an elliptical terseness (this is Pinter after all) that can come across as chilly. But Mr. Rickson’s interpretation brings out depths of pain and passion I had never felt before. The possibility of physical violence seems to rumble like distant thunder, finally erupting in one moment in a Venice hotel room that knocks the breath out of you.

This production parses jealousy into an emotion that’s not only sexual but also infinitely wistful and thwarted. The characters here are especially envious and suspicious of what the others may or may not know or understand about what has occurred in their shared lives. Knowledge is power in “Betrayal”; it’s what allows you to think you possess someone else.

Taliban: We Were Hacked; Mullah Omar Is Alive

Undated photo reportedly showing Taliban leader Mullah Omar.
AP

Undated photo reportedly showing Taliban leader Mullah Omar.

Quil Lawrence in Kabul

There was a surprising text message sent to reporters in Afghanistan today from a cell phone number that has been used by the Taliban's public relations office, NPR's Quil Lawrence reports from Kabul.

It reported the death of Taliban leader Mullah Omar.

But Taliban spokesmen claim Omar is alive and "told NPR their phones and website had been hacked," Quil says. They "accused western forces of psychological warfare."

According to the Los Angeles Times, the message "announced the death of the 'Amir ul-Momineen,' or commander of the faithful, as Omar is known." As the newspaper adds:

"The reclusive Taliban leader has long been thought by Western officials to be based in or near the Pakistani city of Quetta, though there were reports after the killing of Osama bin Laden that he had been moved to another location."

Now, according to the Times, Taliban spokesman say that "technical workers of the Islamic Emirate's Information and Cultural Commission" — effectively, the Times adds, the "Taliban's IT team" — are investigating.

AMR Splits Record Jet Order Between Airbus, Boeing

AMR Corp. (AMR)’s American Airlines agreed to buy 460 single-aisle jets in the industry’s biggest-ever order, letting Airbus SAS break Boeing Co. (BA)’s two-decade hold over the U.S. carrier.

The order consists of 260 Airbus planes and 200 Boeing 737s, with options and future purchase rights for 465 more, American said today. Based on average prices, the retail value is about $38.5 billion, and the deal includes $13 billion of committed financing from the planemakers on the first 230 jets.

American’s decision means the third-largest U.S. airline will refresh one of the nation’s oldest fleets and reshape the aerospace industry. In buying Airbus’s revamped A320neo jets Fort Worth, Texas-based American helped spur Boeing into offering new engines on its 737, a step the U.S. planemaker had been resisting in favor of developing an all-new plane.

“We expect to have the youngest and most fuel-efficient fleet among our peers in the U.S. industry within five years,” American Chief Executive Officer Gerard Arpey said in a statement.

American’s Boeings will include 100 of a new version of the 737 with upgraded engines, making the airline the first customer for a model that the Chicago-based planemaker’s board still must approve. The Airbus jets will be A320s, split between the current model and the so-called neo version with new engines. Airlines buy at a discount to list prices.

Delivery Schedule

Deliveries will start in 2013 and run through 2022, American said. The airline now flies an all-Boeing fleet, hasn’t ordered Airbus jets since 1987 and retired the last planes from the Toulouse, France-based company in 2009.

American said its upgraded 737s will use the Leap-X engine from CFM International, a joint venture of General Electric Co. (GE) and Safran SA (SAF) of France. CFM competes with United Technologies Corp. (UTX)’s Pratt & Whitney unit on the A320neo.

An engine decision for Airbus hasn’t been made at this point, said Sean Collins, a spokesman for American.

New planes would help American refresh a fleet that in 2010 averaged 15 years of age, tied with Delta Air Lines Inc. (DAL) for the oldest among the six biggest U.S. carriers. Jet fuel and labor are the largest expenses at airlines, so more-economical aircraft would help AMR’s bid to return to profit after two straight annual losses.

AMR said today that its second-quarter loss widened to $286 million, or 85 cents a share, from $11 million, or 3 cents, a year earlier. The loss exceeded the average estimate of 81 cents among 13 analysts surveyed by Bloomberg.

Airbus Gains

The A320neo has become Airbus’s fastest-selling jet since it was introduced at the end of last year. The first neos will be delivered at the end of 2015, and early customers include Deutsche Lufthansa AG (LHA), AirAsia Bhd and Virgin America Inc. The aircraft offers efficiency gains of as much as 15 percent over the current A320, its bestselling jet, Airbus has said.

Airbus has won more than 1,000 firm orders or commitments for the A320neo so far, with 667 commitments at the Paris Air show last month alone.

“Boeing has been passive,” said Jason Adams, an aviation analyst at Nomura International in London. “The Paris Air show was a wake-up call.”

The 737 and A320 compete in the single-aisle segment that makes up the biggest part of the global airline fleet. Boeing predicts that single-aisle jets will make up 70 percent of the total in the next two decades. The aircraft typically seat 110 to 200 passengers.

Today’s announcement eclipsed last month’s agreement by AirAsia Bhd. (AIRA) to buy 200 Airbus A320neos, the industry’s previous largest order.

To contact the reporters on this story: Andrea Rothman in Paris at aerothman@bloomberg.net; Susanna Ray in Seattle at sray7@bloomberg.net; Mary Schlangenstein in Dallas at maryc.s@bloomberg.net

To contact the editors responsible for this story: Benedikt Kammel at bkammel@bloomberg.net; Ed Dufner at edufner@bloomberg.net

Les Nations unies déclarent deux régions du sud de la Somalie en famine

NAIROBI (© 2011 AFP) - Deux régions du sud de la Somalie, frappées par une gravissime sécheresse, ont été déclarées en état de famine par les Nations unies, qui parlent de la "plus grave crise alimentaire en Afrique" en 20 ans et appellent à la mobilisation pour éviter que la situation empire.
Les Nations unies déclarent deux régions du sud de la Somalie en famine

© AFP Mustafa Abdi. Une mère et son enfant à l'hôpital Banadir, le 19 juillet 2011 à Mogadiscio, en Somalie

Selon l'ONU, jusqu'à 350.000 personnes souffrent de famine dans le sud de la région de Bakool et dans celle de Lower Shabelle, toutes deux contrôlées par les insurgés islamistes shebab. Le taux de malnutrition aiguë y dépasse les 30%, et sur une population de 10.000 personnes plus de six enfants de moins de cinq ans y meurent tous les jours.

"Si nous n'agissons pas maintenant, la famine va s'étendre à toutes les huit régions du sud de la Somalie dans les deux mois à venir, en raison de mauvaises récoltes et de l'apparition de maladies infectieuses," a averti à Nairobi le coordinateur humanitaire des Nations unies pour la Somalie, Mark Bowden.

L'ONU estime que près de la moitié de la population somalienne, soit 3,7 millions de personnes dont 2,8 millions vivant dans le sud, sont désormais en situation de crise.

Dans les deux régions frappées de famine, les taux de mortalité et de malnutrition sont comparables ou supérieurs aux précédentes crises qui ont frappé le Niger en 2005, l'Ethiopie en 2001 ou le Soudan en 1998, rappellent les Nations unies.

"Etant donné sa sévérité et son étendue géographique, il s'agit de la crise alimentaire la plus grave en Afrique depuis la famine en Somalie des années 1991/1992", précisent-elles même. Quelque 220.000 personnes avaient péri lors de cette catastrophe.

La situation est particulièrement précaire en Somalie, où à la catastrophe climatique s'ajoutent des conflits armés permanents. Mais plus de 10 millions de personnes sont touchés dans l'ensemble de la Corne de l'Afrique par la sécheresse actuelle, qui selon les Nations unies, serait aussi la pire en des décennies.

Djibouti, l'Ethiopie, le Kenya, l'Ouganda sont affectés. Et les Etats-Unis ont exhorté l'Erythrée à révéler dans quelle mesure elle souffre aussi de la catastrophe climatique.

L'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), selon laquelle la famine a déjà fait des dizaines de milliers de morts en Somalie ces derniers mois, a demandé 120 millions de dollars supplémentaires pour faire face à la crise régionale.

La secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a appelé à des mesures immédiates et d'autres, plus structurelles, pour "renforcer la capacité de la région à réagir à des crises futures".

En Somalie, estimant que la guerre civile incessante, et pas seulement la sécheresse, avait conduit à la famine, le président de la Banque Africaine de Développement, Donald Kaberuka, a jugé que toute solution devait inclure un accord de paix dans le pays.

La sécheresse et les conflits poussent aussi sur les routes des milliers de Somaliens, parfois prêts à entreprendre des semaines de marche pour de rejoindre l'Ethiopie et le Kenya. Ils espèrent trouver dans ces pays voisins une aide humanitaire qui fait cruellement défaut chez eux.

Face à la gravité de la sécheresse, les insurgés islamistes shebab, affiliés à Al-Qaïda et qui contrôlent la plupart du sud et du centre de la Somalie, ont rappelé les travailleurs humanitaires étrangers qu'ils avaient poussés au départ en 2009.

Mercredi, le gouvernement somalien de transition s'est félicité de la déclaration de famine des Nations unies, espérant une recrudescence de l'aide internationale.

"Au moins, le monde reconnaît l'ampleur des souffrances qu'endurent les pauvres Somaliens", a estimé Abdulkadir Moalim Nur, ministre au bureau du président.

"La reconnaissance de la gravité (de la situation) dans ces régions peut aider à faire face à la pénurie de nourriture, avec l'envoi d'aide pour les situations de famine, notamment de médicaments des agences de l'ONU," a-t-il estimé.

Les rebelles de Misrata auraient demandé l'aide de la France

PARIS (Xinhua) - Le président français Nicolas Sarkozy a reçu mercredi au Palais de l'Elysée une délégation de chefs rebelles de la ville libyenne de Misrata, qui a demandé l'aide de la France pour conquérir la capitale libyenne de Tripoli.
Les rebelles de Misrata auraient demandé l'aide de la France

CC by European People's Party. Nicolas Sarkozy 2010

Le président français s'est entretenu dans la matinée de mercredi avec la délégation des rebelles libyens, composée du général Ramadan Zarmuh, du colonel Ahmed Hashem, et du colonel Brahim Betal Mal. L'écrivain français Bernard-Henri Lévy, un des sympathisants les plus résolus de l'opposition libyenne, ainsi que Benoît Puga, le chef d'Etat-major particulier du président français, étaient aussi présents à l'entretien.

"Les commandants insurgés sont venus expliquer au chef de l'Etat que les clés de Tripoli sont à Misrata parce que les combattants de Misrata sont disciplinés, aguerris" et qu'ils ont obtenu déjà une victoire militaire face aux forces pro-Kadhafi, a indiqué M. Lévy à l'issue de la rencontre, cité par l'AFP.

La délégation des rebelles de Misrata a souhaité, selon l'AFP, qui cite des sources proches des rebelles libyens, obtenir de la France une aide équivalente à celle apporté par Paris à ceux du Djebel Nafoussa, région au sud-ouest de la capitale libyenne. La France avait reconnu fin juin avoir livré des armes à ces rebelles pour les aider à combattre contre les forces pro-Kadhafi.

La présidence française a refusé de donner des détails ou des commentaires sur cette rencontre qui s'est déroulée à huis-clos total.

Misrata, ville côtière située à 200 km à l'est de Tripoli et troisième ville libyenne en terme de population, est contrôlé par les rebelles libyens depuis la mi-mai.

Israël et le Liban au cœur d'un vaste bras de fer énergétique

Les gisements gaziers de Tamar et de Léviathan, dont les réserves sont estimées à près de 700 milliards de mètres cubes, devraient permettre à Israël de se défaire de la tutelle énergétique de l'Egypte.

Calcio - AS Roma Baldini se paie Totti

Baldini se paie Totti

Il n’est pas encore directeur général de la Roma, mais Franco Baldini se permet déjà des sorties sur la vie du club. Et pas sur n’importe quel sujet. Le manager général de l’équipe d’Angleterre s’est attaqué au mythe de tout un peuple : Francesco Totti.

"Il est devenu paresseux et doit se recentrer sur son football. Il faut qu’il sorte de sa paresse et doit arrêter de se laisser porter par les événements", a tranquillement déclaré le manager italien dans les colonnes de la Republicca. Histoire de pousser vers la sortie un "totem" un peu encombrant ?

Touché jusque dans ses tatouages S.P.Q.R, le numéro 10 de la Roma n’a pas, mais alors pas du tout apprécié. Selon la Gazetta dello Sport, il aurait déclaré à des amis : "Mieux vaut que je ne réponde pas sinon ça va mal finir".

Baldini a pas l’air au courant que Totti est plus aimé que le Pape à Rome.

AC

Bundesliga - Bayern Munich Ribéry au niveau de Messi ?

Ribéry au niveau de Messi ?

Ribéry est optimiste en ce début de saison et il a envie de le dire. Le milieu de terrain du Bayern Munich, annoncé un temps (il y a longtemps) du côté du Real ou de Manchester pour la somme rondelette de 70 millions d’euros, a connu, depuis, quelques nombreuses difficultés.

À la pelle, les blessures à Munich, les aventures extra-conjugales fâcheuses, et les prestations transparentes en équipe de France. Si bien que plus personne ne parle de lui à Bernabeu ou Old Trafford.

Et pourtant, l’ancien Marseillais a toujours la confiance. "Si je peux être en pleine forme cette saison, que j’arrive à me libérer dans ma tête et que mes relations avec le nouveau coach (Jupp Heynckes, ndlr) sont bonnes. Je peux atteindre le niveau de Messi, ça ne fait aucun doute pour moi", a t-il confié au Bild. Rien que ça.

Vas-y Franky, on attend de voir.

AC

sofoot.com

"400 missiles italiens disparus dans la nature"

Presse internationale, Mercredi 20 juillet. A voir dans la presse internationale ce matin, la suite du scandale News of the World, avec l’auditon de Rupert Murdoch et de son fils. Le magnat australo-américain rejette toute responsabilité dans cette affaire. Et aussi: la disparition de 400 missiles italiens.
Par Hélène FRADE

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On commence cette revue de presse internationale avec l’audition hier devant le parlement britannique des Murdoch père et fils, qui fait la Une de toute la presse anglo-saxonne ce matin.
Je vous propose de commencer avec The Independent, qui consacre sa Une à la réponse la plus importante donnée par Rupert Murdoch aux questions des parlementaires britanniques.
Quand ceux-ci lui ont demandé «s’il acceptait de reconnaître sa responsabilité dans ce fiasco», il a simplement répondu: «non».
«Non», Rupert Murdoch, qui a tout de même accepté de jouer hier la carte de l’humilité, «non» Rupert Murdoch n’est pas responsable de l’espionnage pratiqué à l’échelle industrielle au sein de son groupe News Corp.
A lire également cette fois dans l’édito de The Independent, ces doutes exprimés devant le faux acte de contrition de Rupert Murdoch, qui a pratiqué hier l’esquive plus que l’humilité: «evasion, not humility».
Rupert Murdoch qui a failli recevoir en pleine figure une assiette de mousse à raser, et c’est cet incident qui se retrouve à la Une ce matin de la presse tabloïd, et à la Une, également, du Guardian, qui titre ce matin sur cette fameuse assiette: «Murdoch’s humble pie».
Sur le fond, The Guardian évoque aussi ce matin une autre audition, qui a eu lieu en même temps que celle des Murdoch, et qui a été éclipsée par elle, celle des responsables de la police.
Et puis le scandale a aussi des répercussions outre-Atlantique, où est établie également une partie de l’empire Murdoch, et où l’on n’est pas moins sévère à l’égard de Rupert Murdoch.
A voir notamment avec The Huffington Post: «The willful blindness of Rupert Murdoch», «l’aveuglement volontaire du patron de News Corp», sur ce «récit fictionnel» qui ressemble à ces histoires qu’on a racontées à propos d’Abou Ghraib, d’Enron, de WorldCom, de BP, ou encore de Lehman Brothers.
A voir, toujours du côté américain, ce que dit de tout ça The Wall Street Journal, propriété de News Corp.
Ce matin le journal prend ses distances avec ce titre: «Rupert Murdoch détourne la faute de sa personne».
Et on termine avec un autre scandale, cette fois en Italie: d’après le Corriere della Sera, l’Italie aurait vendu des armes à la Libye après le début de l’engagement de l’Otan dans le pays.
Des révélations qui tombent plutôt très mal pour Silvio Berlusconi en pleine tourmente judiciaire, même si on ignore pour le moment qui est à mettre en cause dans cette affaire.
400 missiles auraient disparu du navire sur lequel ils étaient stockés, au large de la Maddalena, et auraient été vendus à Mouammar Kadhafi grâce à des intermédiaires russes.
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La Chine va aider Maurice pour la création d'un parc technologique

PORT-LOUIS (Xinhua) - Le gouvernement chinois va aider l'île Maurice à mettre sur pied un parc scientifique qui aura pour principal objectif la commercialisation des retombées de la recherche et du développement à Maurice, a appris Xinhua de source du ministère de l'Éducation tertiaire, de la Science et de la Technologie.

Le gouvernement chinois va aider l'île Maurice à mettre sur pied un parc scientifique qui aura pour principal objectif la commercialisation des retombées de la recherche et du développement à Maurice, a appris Xinhua de source du ministère de l'Éducation tertiaire, de la Science et de la Technologie, mercredi 20 juillet 2011.

Une délégation de hauts officiels du ministère de la Science et de Technologie de la République populaire de Chine dirigée par la directrice général adjointe de Torch High Technology Industry Development Mme Xiaoping étaient à Maurice la semaine dernière dans cette optique.

Le ministère chinois opère 84 parcs scientifiques de haute technologie (hi-tech) axés sur trois principaux objectifs : Promouvoir la commercialisation des retombées de la recherche et du développement, Production sur grande échelle des produits innovants, Internationalisation de l'industrie de la technologie.

La délégation chinoise était composée de six hauts cadres. Sa mission était d'établir une possible collaboration entre la République populaire de Chine et la République de Maurice pour la création d'un parc scientifique dans le pays.

Les hauts officiels ont participé à des sessions de travail avec les principaux organismes locaux impliqués dans la recherche : Mauritius Research Council (MRC), Agricultural and Research Extension Unit (AREU), Albion Fisheries Research Centre (AFRC), Mauritius Oceanography Institute (MOI), Université de Maurice (UoM) , Université de Technologie de Maurice (UTM), Mauritius Sugar Industry Research Institute (MSIRI).

Une visite de courtoisie aux ministères de la Science et du Business était aussi au programme.

Xinhua a appris que la délégation chinoise a proposé au MRC la possibilité pour des cadres des instituts de recherche de Maurice de suivre un cours de formation de deux semaines en Chine sur l'établissement de parcs scientifiques. Il a aussi été question que des scientifiques mauriciens suivent des stages de formation dans les parcs scientifiques chinois spécialisés et qu' il y ait un transfert de technologie de la Chine vers Maurice dans les domaines comme la culture des algues marines et l'exploration des propriétés médicinales de certains organismes marins et plantes indigènes de Maurice.

Les différentes initiatives du ministère mauricien de la Science, comme la construction du Business Research Incubator Centre (BRIC) et la tenue des Business Angels Forums, ont été très appréciées par la délégation, qui considère d'ailleurs que c'est un « bon début dans le cadre de la création d'un parc scientifique à Maurice ».

Cette première visite « très fructueuse » marque une étape importante dans la démarche du ministère de concrétiser ce projet, qui a pour ambition de transformer le pays en une plate-forme scientifique de haut niveau. Elle a aussi permis de renforcer les liens existants entre la République populaire de Chine et la République de Maurice dans les domaines de la recherche, de la science et de la technologie.

55 milliards de FCFA de la Banque mondiale au Burkina Faso

En marge de la 11ème rencontre gouvernement/secteur privé, la Banque mondiale a annoncé, mardi à Bobo-Dioulasso, son soutien au projet "Pôle de croissance agrobusiness de Bagré" à hauteur de 55 milliards de FCFA, en vue de booster les secteurs d’activités économiques et occasionner une augmentation de l’investissement privé national et étranger.

Ce projet, note-t-on, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre sur la période 2011-2015 de la Stratégie de croissance accélérée et de développement durable (SCADD) du Burkina qui consiste à réaliser une croissance économique forte, soutenue, génératrice d’effets multiplicateurs sur le niveau d’amélioration de revenus et la qualité de vie des populations.

L’approche préconisée en faveur de l’accélération de la croissance tient au fait que les performances macro-économiques récentes du Burkina sont insuffisantes pour entraîner une réduction significative de la pauvreté.

C’est pourquoi, la SCADD a mis l’accent sur les pôles de croissance.

Le projet, qui a été approuvé par le Conseil d’administration de la Banque mondiale le 21 juin 2011, vise à créer autour de Bagré, une plate-forme d’activités agro-industrielles rentables de production et de commercialisation susceptibles de contribuer significativement à l’amélioration des conditions de vie des populations de la région et à la croissance économique du Burkina.

La Zone d’aménagement hydro-électrique de Bagré couvre une superficie de 500.000 hectares et a été créée pour gérer en grande partie le sous-bassin versant du cours d’eau du Nakambé (la Volta) qui s’étend sur 33.500 km2.

Le barrage produit actuellement de l’électricité qui sert essentiellement à alimenter les villes de Ouagadougou, Koupéla et Tenkodogo (centre-sud).

Autour du Barrage, par ailleurs, 1.880 ha ont été aménagés et alloués à des producteurs locaux pour la culture rizicole.

La zone directement concernée par le barrage "Pôle de croissance" concerne d’abord les terres potentiellement irrigables de 30.000 ha (21.000 en aval avec 7.000 ha qui peuvent être irrigués par gravité et 9.000 en amont du barrage) au sein de la zone appelée "Zone de concentration (ZC)".

Le projet dont la mise en œuvre s’étend sur 6 ans (septembre 2011-août 2017), envisage de financer les canaux d’irrigation pour l’aménagement d’au moins 20.000 ha, le financement des infrastructures de transport, la fourniture en électricité des zones d’habitation de la commune rurale de Bagré.

Il s’agit aussi de la réalisation d’infrastructures et équipements collectifs, notamment de stockage, de transformation, de commercialisation et de communication, le financement d’équipements pour le développement de l’élevage, la fourniture de services financiers et non financiers nécessaires au développement durable des chaînes de valeur et des producteurs.

L’appui à la mise en place d’un système de gestion durable des ressources naturelles de la zone, notamment l’appui à la reforestation et la sécurisation des berges, la mise en place d’un système d’alerte précoce et le renforcement du plan d’évacuation d’urgence du barrage.

Outre la rencontre entre l’équipe du projet et les organisations de la Société civile, la Banque mondiale entend privilégier des consultations avec les autres acteurs tout au long du processus de préparation du projet.

Le projet, qui entend utiliser l’investissement public comme levier pour attirer des investissements privés, a connu le 4 juillet 2011 une signature d’accord de financement entre le gouvernement burkinabé et la Banque mondiale.

La conférence des investisseurs est prévue pour janvier 2012.

A terme, le projet, qui a trois composantes, vise l’amélioration de la capacité institutionnelle, le renforcement du climat d’investissement et les services divers relat

Grèce: troisième jour de grève des taxis

© AFP Les chauffeurs de taxis en grève, le 19 juillet 2011 à Athènes
© AFP Louisa Gouliamaki

ATHENES (AFP) - (AFP) - La Grèce était privée de taxis mercredi, pour la troisième journée d'affilée, après la décision de leur syndicat de poursuivre leur mouvement "sine die" pour protester contre la "dérégulation" du métier.

"La grève se poursuit sine die car il n'y a aucune évolution" sur les discussions avec les autorités, a indiqué un communiqué de la Fédération des propriétaires de taxis du pays.

Publié mardi soir à l'issue d'une réunion du syndicat, ce communiqué précise que la décision de poursuivre la grève a été prise car "aucune rencontre n'a pu être effectuée jusqu'ici avec les responsables" du ministère des Transports.

Observée en pleine saison touristique, cette grève entamée lundi a provoqué d'énormes embouteillages, surtout à Athènes, en raison des rassemblements des milliers de taxis jaunes sur les autoroutes reliant la capitale aux villes du nord et du sud du pays.

L'union grecque des opérateurs de tourisme (Hatta) avait déploré lundi le fait "que le tourisme soit de nouveau victime des intérêts corporatistes".

© AFP Les chauffeurs de taxis en grève, le 19 juillet 2011 à Athènes
© AFP Louisa Gouliamaki

Après une première grève observée le 5 juillet et des discussions infructueuses la semaine dernière avec le ministre des Transports, Yannis Ragoussis, la Fédération s'est dit déterminée à poursuivre son mouvement.

Le porte-parole du gouvernement Ilias Mossialos a qualifié d'"irresponsable" la position du syndicat tandis que le secrétaire d'Etat au tourisme Georges Nikitiades a appelé les grévistes à la retenue pour "ne pas porter un coup au tourisme", moteur de l'économie du pays en grave crise depuis plus d'un an.

Le syndicat proteste contre la décision du ministère publiée début juillet, indiquant qu'il allait "procéder à la dérégulation totale du secteur sans qu'il existe un cadre législatif adéquat en la matière".

La décision sur la dérégulation des taxis s'inscrit dans le cadre de l'ouverture à la concurrence de plusieurs métiers protégés en Grèce, comme les camionneurs, les avocats ou les ingénieurs, entamée en 2010 sous pression de l'Union européenne (UE) et du Fonds monétaire international (FMI), créanciers du pays, tentant de relancer l'économie.

Maroc: saisie de plus de 100 kg de Chira au port de Tanger Med

(RABAT (Xinhua) - Les éléments de la brigade conjointe de la police et de la douane du Maroc, au poste-frontière du port de Tanger Med passagers ( au nord du Maroc), ont saisi mardi 105 kg de Chira en poudre, a rapporté mercredi l'agence MAP.
Maroc: saisie de plus de 100 kg de Chira au port de Tanger Med

Un contrôle routinier a permis de mettre la main sur la drogue, soigneusement dissimulée à l'intérieur d'un véhicule immatriculé en France.

Le véhicule et la drogue ont été saisis, tandis que le chauffeur, un Marocain, a été arrêté et remis à la police judiciaire de Tanger pour complément d'enquête.

Juppé: Kadhafi peut rester en Libye mais à l'écart de la politique

PARIS (© 2011 AFP) - Mouammar Kadhafi pourrait rester en Libye s'il se met à l'écart de la vie politique, a estimé mercredi le ministre des Affaires étrangères français Alain Juppé qui en fait une condition préalable à un cessez-le-feu.
Juppé: Kadhafi peut rester en Libye mais à l'écart de la politique

© AFP Georges Gobet. Le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé, le 18 juillet 2011 à

"L'une des hypothèses envisagées, c'est qu'il séjourne en Libye, mais à une condition, c'est que très clairement il se mette à l'écart de la vie politique libyenne. C'est ce que nous attendons avant de déclencher le processus politique du cessez-le-feu", a déclaré Alain Juppé sur la chaine LCI.

"Le cessez-le-feu passe par l'engagement formel et clair de Kadhafi à renoncer à ses responsabilités civiles et militaires", a-t-il renchéri.

Le maintien en Libye de Mouammar Kadhafi supposerait qu'il ne soit pas livré à la Cour pénale internationale (CPI) qui a délivré un mandat d'arrêt contre lui.

"C'est un point qui n'est pas en discussions aujourd'hui. Il y a des procédures qui doivent être poursuivies et on verra ensuite dans le cadre des négociations les conséquences qu'il faut en tirer", a jugé Alain Juppé.

La CPI a délivré des mandats d'arrêt pour crimes contre l'humanité contre le colonel Kadhafi, son fils Seif a-Islam et le chef des services de renseignements libyens Abdallah Al-Senoussi.

Sur le terrain militaire, alors que les rebelles tentent de s'emparer du site pétrolier stratégique de Brega, le ministre a estimé que "les choses progressent", mais "qu'il n'y a pas encore de basculement spectaculaire".

Il n'a pas voulu fixer de date limite à l'opération. "J'ai entendu à Istanbul (lors la réunion du groupe de contact sur la Libye vendredi) plusieurs responsables de pays arabes musulmans dire que rien ne s'opposait à la poursuite des opérations militaires pendant le ramadan" qui commence début août, a également assuré Alain Juppé.

Les contacts diplomatiques se multiplient ces jours-ci pour parvenir à une solution politique en Libye, entre représentants du régime de Tripoli notamment et des responsables américains ou russes. La semaine dernière, Alain Juppé avait lui-même affirmé qu'il y avait des contacts avec le régime de Mouammar Kadhafi, mais pas de véritable négociation.

Hillary Clinton demande à l'Inde de jouer un plus grand rôle en Asie

MADRAS (Inde) - La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a estimé mercredi que l'Inde devrait jouer un plus grand rôle en Asie, lors d'un discours à Chennai (sud), au deuxième jour d'une visite centrée sur la sécurité et le commerce.

L'Inde a le potentiel de façonner positivement l'avenir de la région Asie-Pacifique (...) et nous vous encourageons à ne pas juste regarder à l'est mais aussi à continuer à vous engager et à agir à l'est, a-t-elle déclaré.

Le choix de Chennai, également appelée sous son ancien nom Madras, est symbolique, a expliqué une source au sein de l'administration Obama accompagnant Mme Clinton, car la ville représente un pont vers l'Asie du sud-est.

Chennai, dans l'Etat du Tamil Nadu, est proche du Sri Lanka.

La chef de la diplomatie américaine a estimé que l'Inde pourrait jouer un rôle en tant qu'allié des Etats-Unis dans des forums régionaux tels que l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (Asean) et lors d'un sommet des pays de l'Asie de l'est cette année.

New Delhi pourrait aussi aider à promouvoir des liens commerciaux dans la région marquée par la violence et les conflits, ce qui pourrait contribuer à la prospérité en Inde, au Pakistan et en Afghanistan, a détaillé Mme Clinton.

Les Etats-Unis ont investi beaucoup d'énergie dans l'approfondissement des liens avec l'Inde, un marché prometteur, qui est aussi vue, à Washington, comme un contrepoids aux ambitions de la Chine en Asie.


(©AFP

Nicolas Sarkozy doit recevoir les chefs militaires des rebelles libyens de Misrata

PARIS (© 2011 AFP) - Le président Nicolas Sarkozy doit recevoir mercredi matin les deux chefs militaires des rebelles de la ville libyenne de Misrata, qui viennent lui demander une aide accrue de la France, a-t-on appris mardi de source proche de la délégation des rebelles libyens.
Nicolas Sarkozy doit recevoir les chefs militaires des rebelles libyens de Misrata

© AFP/Archives Eric Feferberg. Nicolas Sarkozy lors de l'hommage aux soldats français morts en Afghanistan aux Invalides le 19 juillet 2011

Le président français s'entretiendra avec le général Ramadan Zarmuh et avec le colonel Ahmed Hashem, ainsi qu'avec Souleiman Fortia, représentant de la ville de Misrata au sein du Conseil national de transition (CNT), l'organe représentatif de la rébellion, selon la même source.

Cette visite survient alors que les rebelles poursuivent sur le terrain leurs mouvements tactiques en direction de Tripoli.

La présidence française s'est refusée à tout commentaire sur cette rencontre prévue mercredi, à laquelle doit également participer l'écrivain Bernard-Henri Lévy, soutien résolu de la cause des rebelles libyens.

Les rebelles de Misrata viennent chercher "le soutien militaire de la France et l'appui" de l'Otan, au moment où les Occidentaux multiplient les déclarations pour assurer que les jours du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi sont comptés, a indiqué la source proche de la délégation.

Les rebelles de Misrata sont également parmi "les combattants les plus aguerris", ceux qui pourraient mener ou participer à une offensive pour faire tomber la capitale, Tripoli, a-t-on précisé de même source.

Enclave aux mains des rebelles, Misrata, située à 200 km à l'est de Tripoli, est contrôlée par les rebelles depuis la mi-mai, après avoir subi pendant deux mois le siège des pro-Kadhafi.

Premier pays à avoir reconnu la légitimité du CNT, la France est aussi depuis le 19 mars le fer de lance de la coalition conduite par l'Otan et qui est intervenue par des bombardements aériens pour empêcher la reconquête par Mouammar Kadhafi des territoires tombés aux mains des rebelles.

Comme les autres pays occidentaux, Paris exige aujourd'hui que Mouammar Kadhafi quitte le pouvoir.

"Je pense profondément que le compte à rebours est engagé et que, dans ce type d'opération, les choses peuvent aller plus vite qu'on ne le pense", a déclaré mardi le ministre de la Défense, Gérard Longuet.

"Mais je suis d'une prudence de Sioux parce que Kadhafi n'est pas rationnel et qu'il peut opter pour la stratégie du bunker en prenant en otage la population civile de Tripoli", a-t-il ajouté sur France 2. Pour lui, les choses évoluent "parce que l'opinion libyenne, toutes origines confondues, a aujourd'hui la certitude absolue que Kadhafi ne représente plus une solution d'avenir".

Libye : 9 rebelles tués dans l'assaut sur Brega

BENGHAZI (Xinhua) - Neuf rebelles ont été tués et 113 autres blessés mardi dans de violents combats entre les troupes du gouvernement libyen et les forces rebelles dans le port pétrolier stratégique de Brega, a rapporté la chaîne de télévision Free Libya, contrôlée par les rebelles.
Libye : 9 rebelles tués dans l'assaut sur Brega

Char de combat.

La plupart des pertes humaines sont dues à l'explosion de mines terrestres, a fait savoir le porte-parole militaire des rebelles, Ahmed Bani, ajoutant que les forces rebelles se regroupaient dans une zone située à neuf kilomètres de Brega, une ville du nord de la Libye, où se trouvent de nombreuses raffineries.

Les forces gouvernementales auraient enterré quelque 40 000 mines anti-char et antipersonnelles à proximité de Brega, selon les médias contrôlés par les rebelles.

Du côté du gouvernement, le porte-parole Moussa Ibrahim a déclaré mardi que les rebelles n'avaient aucune chance de prendre la ville.

Au cours des derniers mois, les forces gouvernementales et les rebelles se sont battus férocement pour le contrôle des villes d'importance stratégique de Brega et d'Ajdabiya, chaque camp s'étant emparé des deux villes à tour de rôle.