19 juillet, 2011

Un homme porte un manteau d'abeilles de 26 kilos

Jérémy Santallo | LeMatin.ch

Wang Dalin a remporté la compétition annuelle de manteau d'abeilles dimanche à Shaoyang en Chine en endossant pas moins de 26 kilos d'abeilles.

1 / 5

Wang Dalin recouvert par 26 kilos d'abeilles.

Wang Dalin recouvert par 26 kilos d'abeilles. © Keystone

Comme chaque année, la Chine a accueilli dimanche dernier le concours du plus important manteau d'abeilles.

Pour l'occasion, deux compétiteurs, Wang Dalin et Lu Kongjang, devaient attirer le plus d'abeilles possible sur eux en soixante minutes.

Placé sur une balance et vêtu d'un short, de lunette de plongée et de bouchons pour le nez, Wang Dalin, 42 ans, a remporté la compétition avec un total de 26 kilos d'abeilles sur le dos contre 22,9 à son adversaire.

A noter que le record du monde est toujours détenu par l'Indien Vipin Seth avec 61,4 kilos en 2009, l'équivalent de 63 500 abeilles.

Un trafic de cocaïne a été démantelé en Suisse, en Autriche et aux Pays-Bas

LeMatin.ch & les agences


Les polices suisses, autrichiennes et hollandaises ont mené une action conjointe qui a permis de démanteler un réseau de trafiquants de cocaïne. Entre fin 2010 et la semaine dernière, 19 hommes ont été arrêtés.

Une action concertée des polices st-galloise, du Vorarlberg autrichien et des Pays-Bas a permis de démanteler un réseau de trafiquants de cocaïne. Au total, 19 hommes ont été arrêtés entre la fin 2010 et la semaine dernière, dont treize en Autriche, cinq en Suisse et un aux Pays-Bas.

Les enquêteurs ont saisi un kilo de cocaïne, 80’000 francs de recettes et des armes, indique mardi la police cantonale st- galloise. Les personnes arrêtées ont écoulé plusieurs kilos de poudre blanche. La drogue provenait des Pays-Bas. Elle était transportée jusqu’en Suisse et dans le Vorarlberg en passant par l’Allemagne.

Fin 2010, deux Néerlandais, un Kosovar domicilié dans le Rheintal st-gallois et le chef du secteur autrichien du réseau ont été arrêtés grâce à une collaboration internationale des polices concernées. Depuis le début de l’année en cours, la police st- galloise a pu arrêter quatre dealers dans le Rheintal. Ils vendaient la drogue à des revendeurs.

La dernière arrestation date de la semaine passée. Les enquêteurs néerlandais ont alors mis la main sur un trafiquant à Rotterdam. Parmi les treize hommes arrêtés en Autriche, trois ont d’ores et déjà été condamnés à plusieurs années de prison.

Une bombe fait 18 blessés dans une école en Thaïlande

LeMatin.ch & les agences

Dissimulé dans une moto et déclenché par téléphone portable, l'engin visait des soldats qui venaient d’escorter des enseignants, cibles privilégiées des insurgés, jusqu’à un établissement de la province de Yala.

La province de Yala est l’une des trois provinces touchées par les violences.

La province de Yala est l’une des trois provinces touchées par les violences. © Google Map

Trois enfants et 15 adultes ont été blessés mardi par l’explosion d’une bombe dans une école de l’extrême sud de la Thaïlande, en proie à une insurrection depuis 2004, a indiqué la police.

L’engin explosif, dissimulé dans une moto et déclenché par téléphone portable, visait sans doute des soldats qui venaient d’escorter des enseignants, cibles privilégiées des insurgés, jusqu’à cet établissement de la province de Yala, l’une des trois touchées par les violences.

Sept victimes se trouvaient dans un état grave, a précisé la police, ajoutant qu’aucun soldat n’avait été blessé par l’explosion.
Selon un haut responsable local citant des informations des services de renseignement, les violences pourraient augmenter dans la région à l’approche du ramadan (août).

Dans une attaque séparée, un policier à la retraite de 68 ans a été abattu dans la province de Pattani lundi soir.
L’insurrection, qui est montée d’un cran ces derniers mois, a fait plus de 4.500 morts depuis janvier 2004 dans cette région rattachée à la Malaisie jusqu’au début du XXe siècle et où des groupes rebelles luttent contre la domination de Bangkok.

Le conflit est de nature essentiellement séparatiste, mais s’est alimenté d’une dimension religieuse au sein d’une population majoritairement d’ethnie malaise et de confession musulmane, contrairement au reste de la Thaïlande, essentiellement bouddhiste.

Les rebelles visent autant les forces de sécurité et les civils de confession bouddhiste, que les musulmans qu’ils accusent de collab

L'ONG romande «Nouvelle Planète» fête ses 25 ans

Nouvelle Planète, basée à Lausanne, vient en aide depuis 25 ans aux pays sous-développés et en développement via des projets, des jumelages ou des camps.

NP.jpg

© Nouvelle Planète

Depuis 25 ans, l’ONG suisse Nouvelle Planète (cliquez ici) vient en aide aux pays du Sud par des projets, des jumelages ou des camps. Un engagement pour l’amélioration de la situation des populations «de la base» tout en préservant l’environnement, bien avant que le développement durable devienne à la mode, selon son directeur.

L’ONG a dû s’adapter à la globalisation. «On est partis il y a 25 ans avec des lettres qui mettaient au moins deux semaines à parvenir aux bénéficiaires au Sud. Et maintenant, (...) les personnes du Nord peuvent demander des informations précises très rapidement» à celles du Sud, dit dans un entretien à l’ats le directeur de Nouvelle Planète, Philippe Randin.

Spécificité de l’ONG, les projets sont notamment mis en oeuvre par des camps de trois semaines prévus à chaque fois pour une quinzaine de personnes. Ce type d’échanges permet «de se démarquer d’autres organisations», selon M. Randin qui parle d’une concurrence «pas méchante» entre ONG de développement.

Des classes scolaires, des groupes de scouts ou des particuliers se manifestent et sont encadrés pendant huit mois avant leur départ sur un théâtre d’opération. D’un seul camp il y a 25 ans, le rythme actuel atteint 20 camps annuels, dont une quinzaine pour les jeunes dès 17 ans et cinq à six pour les adultes.

Forêt ou femmes

«Au moment du départ, les gens sont motivés. Ils ont bien compris dans quoi ils s’engageaient», estime M. Randin, qui a repris en 1994 le flambeau de son père, fondateur de l’ONG en 1976 avec l’encouragement de quelques amis. En revanche, des divergences au sein de groupes ont parfois «pourri un petit peu l’ambiance sur place», reconnaît-il.

Parmi les programmes, l’ONG aide notamment les Indiens d’Amazonie tout en protégeant la forêt. Elle insiste aussi sur l’éducation bilingue et interculturelle. Dans les pays du Sahel, elle améliore aussi la situation de groupements de femmes avec des projets comme le séchage de fruits avec l’énergie solaire, l’apiculture ou la fabrication de savon.

«Il faut que les gens sur place aient envie de faire quelque chose pour l’environnement pour que ça marche», dit M. Randin. Les projets sont prévus sur deux ou trois ans. Un suivi est mis en place mais le projet doit pouvoir «tourner tout seul».

Quelque 2500 personnes

Dans les prochaines années, les thèmes liés à l’eau et les minorités ethniques seront importants pour Nouvelle Planète. L’ONG s’inspire de la pensée du médecin français Albert Schweitzer.

Parmi les quelque 2500 personnes qui ont participé à une opération de l’ONG à l’étranger, certaines prolongent ensuite leur engagement, par exemple à la Direction du développement et de la coopération (DDC) ou dans d’autres ONG. La directrice générale de la section suisse d’Amnesty International (AI), Manon Schick, avait 16 ans lorsqu’elle est partie au Burkina Faso avec Nouvelle Planète.

«C’était mon premier voyage en dehors de l’Europe. (...) Je partais avec l’illusion de la personne qui pense qu’on va sauver l’Afrique», a-t-elle confié. Quelques briques d’une école avaient été posées. Mais Mme Schick retient surtout l’échange interculturel, un «tourisme utile» qui lui a valu plusieurs amitiés et d’autres séjours personnels plus tard dans ce pays.

Quatre millions de francs

«Les personnes sur place ont des idées sur comment elles peuvent sortir de la pauvreté ou lutter contre un régime autoritaire», dit- elle. Elle a appris l’importance de l’implication des personnes concernées dans la recherche de solutions durables.

Si les ONG de développement se ciblent sur les populations à la recherche de conditions de vie décentes, son activité actuelle se penche sur celles victimes des régimes autoritaires.

Nouvelle Planète, basée à Lausanne, emploie 4 personnes et est soutenue par de nombreux bénévoles. Le budget atteint 4 millions de francs par an. L’ONG est active dans plus de 20 pays en Afrique, en Amérique latine et en Asie. Elle finance des projets dans des domaines comme l’environnement l’éducation, la santé, le micro- crédit ou encore la promotion des femmes.

Douze personnalités romandes dans un village au Burkina Faso

Douze personnalités romandes se rendront dès le 22 juillet pendant près de dix jours dans le village de Samba, au Burkina Faso, pour participer à un projet de Nouvelle Planète. Le directeur de l’ONG qui fête ses 25 ans n’est pas inquiet sur de possibles dérapages parmi les célébrités.

La candidate vaudoise au Conseil national Isabelle Chevalley et le parlementaire valaisan Narcisse Crettenand, respectivement présidente et vice-président d’Ecologie libérale, mais aussi l’ancien conseiller administratif de Cologny (GE) Roger Meylan seront les responsables politiques présents.

Le conseiller d’Etat socialiste vaudois Pierre-Yves Maillard s’était dit très intéressé mais a dû renoncer pour des raisons d’agenda, selon le directeur de l’ONG, Philippe Randin. Nouvelle Planète voulait par ailleurs éviter la concurrence entre responsables politiques si tous les partis étaient représentés.

Matériel prévu

Les animateurs Kaya Güner et Ana Markovic, le Mister Suisse 2008, Olivier Marilier, la dauphine de Miss Suisse en 2010, Sabrina Guilloud ou encore l’ancienne participante de Koh-Lanta Laurence Bitarelli se rendront également au Burkina Faso.

Les autres personnalités sont toutes actives sur les questions énergétiques. Parmi elles figurent le fondateur de l’expédition Planetsolar, Raphaël Domjan, le responsable des énergies alternatives aux Services industriels de Genève (SIG), Philippe Verburgh, l’ingénieure Nathalie Bachmann et la directrice du salon Energissima, Claire Lise Rimaz.

Le groupe logera dans des cases traditionnelles construites par des associations féminines, sans eau courante ni électricité. Des lits, des moustiquaires et des filtres à eau seront acheminés depuis Ouagadougou.

Pompes ou encore poubelles

Les douze personnalités se lèveront assez tôt avec les sons des animaux sur place. Et elles devraient aussi se coucher tôt.
Chacune d’entre elles pourra choisir les activités auxquelles elle souhaite contribuer. Le groupe sera sur place pendant la saison des pluies durant laquelle les familles burkinabé travaillent aux champs. Le projet prévoit aussi la mise en place de poubelles et la sensibilisation à la question des déchets.

Ces Romands pourront encore aider à équiper un dispensaire et une maternité de panneaux solaires ou de pompes pour les puits.
M. Randin n’est pas inquiet sur un scénario du type de l’émission télévisée «La Ferme Célébrités».

«On s’est posé cette question. On a tout fait» pour que la situation ne dérape pas, dit-il. Exceptionnellement, des possibilités de repli sur la capitale ont aussiété prévues en cas de nécessité.

Musique du monde Le festival Couleurs du monde prend ses quartiers à Six-Fours

Pour cette 11ème édition le festival se déroule à Toulon et autour de son agglomération comme à Six-Fours ou à Sanary. Lundi, l'Inde était à l'honneur place des Poilus. Demain le Venezuela à Six-Fours dès 18h et le Mexique à Sanary à 21h30.

Top départ pour "couleurs du monde".

Top départ pour "couleurs du monde".

Cette 11ème édition du festival "couleurs du monde" présente cette année 12 groupes soit 500 artistes venant du monde entier, de la Sicile à Mayotte en passant par le Sakha, ll'Equateur, la Serbie....A Six-Fours quatre spectacles sont au programme, à savoir l'Inde, le Venezuela (19 juillet à 18h), la Serbie (20 juillet à 18h) et le Burkina Faso (21 juillet) à 18h. A Sanary ce sera le Mexique (mardi 19 juillet à 21h30) et l'Ukraine (jeudi 21 juillet à 21h30).
Lundi soir la place des Poilus a fait la part belle à l'Inde avec l'ensemble folklorique "Panghat", dirigé par l'un des plus grands chorégraphes du pays, Dave Chaitanya. Celui-ci a ouvert des écoles dans tout le pays pour y enseigner son art à la fois sacré et ludique. Malgrè le vent, la foule était au rendez-vous dès 18h, pendant que Paule Zucconi (service animation) et Christiane Bernard (coordinatrice TPM) s'activaient en coulisse. Un défilé était prévu initialement, mais face aux nombreux commerces fermés (eh oui! c'était lundi) et aux spectateurs déjà installés, il fut décidé de l'annuler, d'où une certaine impatience dans la foule. Finalement un peu avant 19h le spectacle a commencé, et l'attente en valait bien la peine. Des couleurs et des couleurs, des images et des sons pleins les yeux pour un public très hétéroclite, des enfants aux grands-parents. A noter que ce mardi soir le Vénézuela est à l'honneur. A cause de la pluie, le spectacle aura lieu à l'espace Malraux. La qualité devrait être au rendez-vous avec le ballet "Mai Quitar".

D. D., le 19 juillet 2011

Autres photos:


Plus de 500 personnes.
Plus de 500 personnes.

Jennifer Lopez dévastée par sa rupture avec Marc Anthony Au fond du gouffre

Jennifer Lopez dévastée par sa rupture avec Marc Anthony
  • Jennifer Lopez dévastée par sa rupture avec Marc Anthony
  • Jennifer Lopez dévastée par sa rupture avec Marc Anthony
  • Jennifer Lopez dévastée par sa rupture avec Marc Anthony
  • Jennifer Lopez dévastée par sa rupture avec Marc Anthony

Voilà un bon moment déjà que ça n’allait plus entre Jennifer Lopez et Marc Anthony. Leurs nombreuses tentatives pour essayer de sauver leur couple n’y auront rien fait.

C’est triste comme un jour sans pain (ou un jour de juillet sous la pluie, tout l’hexagone est bien placé pour le savoir) : Jennifer Lopez et Marc Anthony divorcent après sept ans de mariage et deux enfants, leurs jumeaux de trois ans Max et Emme. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir tout essayé pour sauver son couple : « Ils ont été voir un conseiller conjugal. Elle a été très patiente et amoureuse et faisait absolument tout ce qu’il voulait. Elle a épuisé toutes les possibilités », a révélé une source proche de la chanteuse à Us Weekly. Leur mariage, certains le comparent même « aux montagnes russes » : « Ils entraient dans des colères noires puis devenaient extrêmement romantiques et amoureux », a précisé une seconde source à l’hebdomadaire américain.

>>> Le point sur la (supposée) liaison de J-Lo

Ayant tout fait pour essayer d’éviter ce point de non-retour, la chanteuse au plus beau fessier peine à se remettre : « Elle est dévastée. Elle lui avait consacré beaucoup de temps et l’aimait sincèrement », a précisé la première source. Malgré sa peine, Jennifer Lopez n’en reste pas moins très attentive à l’avenir qu’elle réserve à ses enfants. Elle aimerait obtenir le droit de garde principal et continuer à les élever à Los Angeles. « Elle regarde vers l’avenir. Elle va se replonger à corps perdu dans ses deux activités favorites : son travail et son rôle de mère », a précisé un troisième proche à Us. Aucun mot en revanche sur la rumeur qui dit la chanteuse très proche d’un acteur vu dans son dernier clip.

Marc Anthony, lui, a déjà bien tourné la page. En concert samedi dernier à Bogota, il a harangué la foule et s’est vanté de son nouveau statut de célibataire. Classe.

Suivez l'actu people en temps réel avec Voici sur Twitter et Facebook !

Le président kazakh hospitalisé en Allemagne

BERLIN - Le président kazakh Noursoultan Nazarbaïev a été admis dans un hôpital de Hambourg, dans le nord de l'Allemagne, selon le quotidien allemand Bild mardi.

M. Nazarbaïev, 71 ans, a été transféré à une date indéterminée à la clinique universitaire de Hambourg-Eppendorf, accompagné de sa garde rapprochée, affirme le quotidien populaire allemand.

Contactée par l'AFP, l'établissement n'a ni confirmé ni démenti la présence du chef d'Etat kazakh, se bornant à indiquer qu'aucun dispositif particulier de sécurité (n'était) actuellement en vigueur dans la clinique d'Eppendorf.

Le président est actuellement en vacances, a indiqué pour sa part à l'AFP un porte-parole du ministère kazakh des Affaires étrangères à Astana sans préciser la destination.

Aucune information n'a été ajoutée sur le site internet présidentiel depuis un message de condoléances publié le 12 juillet après le naufrage, deux jours plus tôt, du bateau de croisière Boulgaria sur la Volga qui a fait 114 morts et 15 disparus.

Selon Bild, le ministère allemand des Affaires étrangères a servi d'intermédiaire. Le ministère a démenti auprès de l'AFP avoir joué ce rôle, précisant ne pas avoir eu d'information de la partie kazakhe.

Le président kazakh s'est fait réélire début avril avec plus de 95% des voix. Il s'est fait attribuer en 2010 le titre de Chef de la nation qui lui confère des pouvoirs perpétuels.


(©AFP /

Spain’s borrowing costs surge

Please respect FT.com's ts&cs and copyright policy which allow you to: share links; copy content for personal use; & redistribute limited extracts. Email ftsales.support@ft.com to buy additional rights or use this link to reference the article

Spain's Central Bank & Stock Exchange As Contagion Spreads

Bank of Spain in Madrid

Spain’s borrowing costs surged on Tuesday after investors anxiously eyeing stalled Greek rescue talks demanded sharply higher returns to buy the country’s short-term debt.

Spain sold €3.79bn ($5.4bn) of 12-month bonds at an average yield of 3.702 per cent, significantly higher than the 2.695 per cent paid last month. The treasury sold a further €661m of 18-month debt at an average yield of 3.912 per cent, up from 3.26 per cent in June.

Please respect FT.com's ts&cs and copyright policy which allow you to: share links; copy content for personal use; & redistribute limited extracts. Email ftsales.support@ft.com to buy additional rights or use this link to reference the article

Madrid’s borrowing costs have jumped to fresh euro-era highs in the past two weeks against a backdrop of continued confusion among investors about the eventual fate of Greece’s sovereign debt and an abrupt change in sentiment towards Italy.

Reflecting the deteriorating market for Spanish debt, demand for the 12-month sale, gauged by the so-called bid-to-cover ratio that weighs bids against the total amount of debt on offer, came in at 2.2 times compared with 2.9 times in June. Demand for the 18-month sale was higher than June, however, with cover rising from 3.9 times to 5.5 times.

A package of economic reforms and austerity measures has so far failed to reassure the international investors that Spain – and other European governments – are depending on to roll over national debt needed to finance public expenditure.

“This is no longer a country-specific issue, it is a euro-area problem,” said Javier Díaz Giménez, a professor at IESE business school. “There is no question that both Spain and Italy are too large to be rescued, and unless there is a major change coming from Brussels it is very hard to see how Spain can return to sustainable growth.”

Spain has pledged to trim its budget deficit to about 6 per cent this year from 9 per cent in 2010, in part by trimming public sector wages and privatising part of the national airport authority and state lottery.

On Thursday, Spain plans to sell up to €2.75bn of long-term 10- and 15-year bonds in an auction that will be closely monitored by investors and a nervous government alike.

The yield on the benchmark 10-year government bond, which moves inversely to price, has shot up to 6.37 per cent over the past week, close to levels that in effect closed access to debt markets for Greece, Portugal and Ireland and forced them to accept international rescues.

Ten-year yields eased slightly on Tuesday to about 6.2 per cent, while the spread between equivalent German debt narrowed to 345 basis points, down from a euro-era high of 376bp hit last week.

Last U.S. space shuttle leaves station


Space shuttle Atlantis and International Space Station crew members bid each other farewell as the hatches between the two spacecraft close for undocking in this image from NASA TV July 18, 2011. REUTERS/NASA/Handout

CAPE CANAVERAL, Florida | Tue Jul 19, 2011 6:13am EDT

(Reuters) - The last U.S. space shuttle departed the International Space Station on Tuesday, ending a 12-year program to build and service the orbital outpost, the primary legacy of NASA's shuttle fleet.

Shuttle Atlantis commander Chris Ferguson and pilot Doug Hurley gently pulsed their spaceship's steering jets at 2:28 a.m. EDT (0628 GMT) to pull away from the station as they sailed about 250 miles (400 km) over the Pacific Ocean.

"Thanks so much for hosting us," Ferguson radioed to the station crew. "It's been an absolute pleasure."

"We'll miss you guys," replied station flight engineer Ron Garan. "See you back on Earth."

Flight controllers at NASA's Mission Control Center sat in reverent silence as they watched the last shuttle pulling away from the station, a $100 billion project of 16 countries that has been assembled and serviced during 37 of NASA's 135 shuttle missions.

During their nine-day visit to the station, Ferguson and his crew delivered more than 5 tons of food, clothing, equipment and science experiments, a stockpile intended to bridge a potential year-long gap in U.S. cargo runs to the station.

Atlantis' return to Earth, scheduled for Thursday, will conclude the 30-year-old U.S. space shuttle program, with no replacement U.S. spaceships ready to fly.

NASA has hired two private firms, Space Exploration Technologies and Orbital Sciences Corp., to resupply the station beginning next year. Russia, Europe and Japan also fly freighters to the station.

Astronauts will fly aboard Russian Soyuz capsules at a cost of more than $50 million per person, until and unless U.S. companies are able to offer similar transportation services. Several firms, including Boeing, Space Exploration Technologies and Sierra Nevada Corp. are developing passenger spaceships, but none are expected to be ready until about 2015.

The first U.S. space taxi to reach the station will return home with a prize. In an emotional farewell ceremony Monday, Ferguson presented the station crew with a small American flag that flew during the April 1981 debut flight of sistership Columbia.

The flag was mounted on the vestibule wall of the compartment that leads to the shuttle's now-obsolete docking port. It is promised to the first U.S. company that flies astronauts to the station.

NASA wants to refly the flag aboard the first of its planned spaceships that are designed to carry astronauts to asteroids, the moon and other destinations beyond the station, where the shuttles cannot go.

Before leaving the station's orbit, Hurley slowly circled halfway around the outpost, which had been repositioned to give the shuttle crew an unprecedented sideways perspective, showing four attached Russian ships, a string of laboratory modules and an edge-on view of the station's golden solar panel wings that span the length of a football field.

After about 90 minutes, the Atlantis crew broke formation and slipped off into an orbital sunset east of Australia to begin the two-day trip back to Earth.

"Get her home safely and enjoy the last couple of days in space shuttle Atlantis," astronaut Dan Tani radioed to the crew from Mission Control.

Atlantis is due back at the Kennedy Space Center at 5:57 a.m. EDT (1157 GMT) Thursday.

Libye – Kadhafi, Al Jazeera, l’Afrique et moi.

J’ai récemment collaboré avec la chaîne qatari AlJazeera, à leur demande. Dans une étude intitulée « l’Afrique subsaharienne et la Libye: enjeux et perspectives », ils voulaient en savoir un peu plus sur les fonds d’investissement libyens éparpillés à travers l’Afrique subsaharienne. Je vous offre, ce matin, un extrait qu’ils ont publié, en arabe, sur le site de leur centre d’études. L’image en dessous illustre cette publication.

L’Afrique subsaharienne et la Libye : enjeux et perspectives

La Libye est probablement le pays africain qui a le plus fait pour l’Afrique. Non seulement sur le plan politique en supportant à hauteur de plus de 50% le budget de fonctionnement de l’Union africaine (UA), mais aussi, sur le plan économique, financier et technologique. Ces dernières années, les performances macroéconomiques de l’économie africaine se sont significativement améliorées contrairement à ce que beaucoup croient. Dans cette courte étude, il s’agira de s’appuyer sur les investissements libyens en Afrique subsaharienne, de brosser un tableau du spectre qui gagne les dirigeants et les peuples du berceau de l’humanité pour finir sur l’avenir entre les futures relations de cette Afrique-là, et la future Libye, à l’aulne de l’opération de l’Otan, « Aube de l’Odyssée ».

Les fonds d’investissement libyens.

La Libye a les plus grandes réserves de pétrole en Afrique avec 42 milliards de barils de pétrole et plus de 1,3 billions de mètres cubes de gaz. Or, aujourd’hui, seulement 25% de son territoire sont explorés. Dans les années à venir, ce pays sera probablement le n°1 en Afrique subsaharienne. La multitude des fonds d’investissement libyens, éparses certes, s’appuient sur la Jamahiriya National Oil Corporation (NOC). Ils ont permis à l’économie africaine, malgré la crise mondiale, de progresser considérablement. De 2.6 % en 2009, on estime que le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) a presque doublé pour atteindre 5 % en 2010. Dans toute l’Afrique subsaharienne, Oil Libya a racheté le pétrolier anglo-néerlandais Shell. Au Soudan, en Éthiopie et à Djibouti, le groupe public libyen poursuit son expansion continentale dans l’aval pétrolier (raffinage et distribution). ExxonMobil a chuté de 67 % en Afrique. Et au cours de la même période, la présence de Chevron a régressé de 37 % et celle de Shell de 20 %. Oil Libya, dont le réseau de stations-service a explosé de 596 % en cinq ans sur le continent fait même de l’ombre à Total… Alors que Total qui est le seul pétrolier à résister à la montée exponentielle d’Oil Libya avec ses 4000 stations-service, le libyen fait un bond estimé à 2200 stations-service et son appétit d’ogre continue. La Libye de Mouammar Kadhafi a aussi progressé dans le secteur hôtelier.

La Libya Arab Africa Investment Company (LAAICO) ou encore le fonds Libya Africa Portfolio (LAP), ont investi considérablement dans le secteur du tourisme. Depuis la City londonienne (mise en place du hedge fund), sorte de rampe de lancement appuyée par des traders chevronnés, les investissements de la LAAICO sont passés de 25 millions de dollars en 1991 à 1,5 milliard de dollars en 2008. C’est ainsi qu’on a vu la Libye s’accaparer de prestigieux hôtels à travers l’Afrique, notamment au Mali (hôtel Amitié) ou au Togo. Le cas le plus spécifique et qui interpelle fortement les observateurs avertis vient de Gambie où, on a vu le président de cette République, Yayah Jammeh, vite reconnaître le Conseil national de transition (CNT) libyen. En Gambie, les fonds libyens ont massivement investi dans l’hôtellerie, avec la construction du complexe Jerma Beach Hôtel, la reprise de l’Atlantic Hôtel et du Dream Park. C’est ainsi que ce chef d’Etat est soupçonné de vouloir faire main basse sur ces biens en cas de chute de Mouammar Kadhafi. Le gel des biens libyens dans ce pays ont déjà entraîné des pertes considérables d’emploi…Que ce soit en Guinée, au Sénégal, au Liberia, au Niger ou en Zambie etc. la LAAICO détient, probablement 100% des parts d’investissements du secteur touristique…

Comment l’Afrique voit-elle ce qui se passe en Libye ?

Les subsahariens voient tous d’un mauvais œil ce qui se passe en Libye. Non seulement pour leur sécurité future, mais aussi pour l’avenir de l’Afrique. C’est ainsi que dans les conversations, les peuples fustigent la guerre de « recolonisation » des Occidentaux sous commandement de l’Otan et critiquent leurs dirigeants qu’ils traitent de serviles avec leur silence assourdissant et leur indécision au sein de l’Union africaine (UA). Pire, ces dirigeants sont même considérés comme apathiques et bas… Face à « la guerre de prédation » en cours en Libye, disent-ils, c’est l’Afrique qu’on tue une énième fois. Puisque sur le terrain on parle de l’existence de mercenaires côtés Mouammar Kadhafi, les risques sont multiples. Ne va-t-on pas assister, d’une part, à la déstabilisation du Tchad frontalier ? D’autant plus que, en cas de nouveau conflit tchadien, le Cameroun voisin ne sera pas à l’abri. Que dire du Mali ou du Niger ? C’est chacun qui s’enfuira probablement avec sa kalachnikov. Par manque d’argent, ces derniers seront confrontés au trafic, à la rapine voire au terrorisme pour des revendications politiques. La circulation d’arme qui se pose déjà avec acuité sera encore plus problématique. Véritable danger pour la sécurité des États et de leurs populations. Les groupes terroristes de l’Aqmi (Al Qaïda au Maghreb islamique), présents dans toute la frange sahélienne, se sont renforcés auprès des rebelles libyens et se sont emparés d’importants stocks d’armes.

Les conséquences de la guerre ont déjà provoqué le retour en terre africaine de plus d’un million de migrants qui ont dû fuir la Libye dans des conditions dantesques, souvent dramatiques, sans compter ceux qui ont été tués par les rebelles libyens car soupçonnés d’être des mercenaires. Leurs apports en devises, qui soutenaient leur famille et indirectement l’économie de leur pays se sont évaporés comme neige au soleil. Ainsi, revenant sur le financement libyen du satellite RASCOM dont l’état pétrolier détient 61% des parts, et qui devait permettre à l’Afrique de ne plus dépenser des fortunes en matière de communication, surtout que l’Occident ponce depuis des lustres la coquette somme de 500 millions de dollars par an, voit l’Afrique remise en esclavage. Or, RASCOM devait assurer la couverture universelle du continent pour la téléphonie, la télévision, la radiodiffusion et de multiples autres applications telles que la télémédecine et l’enseignement à distance ; pour la première fois, une connexion à bas coût devait devenir disponible sur tout le continent, jusque dans les zones rurales grâce au système par pont radio WMAX…

Le changement probable des relations Afrique-Libye.

A l’aulne du conflit qui a lieu actuellement en Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste, l’avenir des relations de ce pays africain avec l’Afrique subsaharienne s’inscrira probablement en pointillé. Les risques de pertes d’emploi et la nationalisation par les États où se situent ces fonds libyens risquent d’intervenir rapidement et se poseront indubitablement avec acuité. Entre le Conseil national de transition (CNT) qui réclamera ces fonds et les Gouvernements africains, il y aura un réel problème…En prévision donc, d’un côté, les rebelles libyens, et de l’autre, les États africains où la Libye a massivement investi. Ces derniers s’élèvent à plus de 60 milliards de dollars à travers toute l’Afrique subsaharienne. Le casse tête indescriptible qui se prépare sera un vaste chantier de ruines à restaurer.

Comment procèderont les rebelles libyens s’ils remportent la guerre ? Seul Dieu le sait. Avec 23 unités hôtelières dont est propriétaire la Libya Arab Africa Investment Company (LAAICO), qui se répartissent sur 15 pays, à savoir la Tunisie, l’Afrique du Sud, la Tanzanie, l’Ouganda, le Rwanda, le Gabon, le Congo, le Burkina Faso, le Tchad, la Centrafrique, le Ghana, la Gambie, la Guinée, le Mali et le Togo, il y a de quoi se perdre dans cet abîme, cette marre abyssale… Au total, en Afrique, continent qui compte aujourd’hui 50 pays en incluant Madagascar, et 55 en incluant tous les archipels avec le tout nouveau Sud-Soudan, une trentaine d’entre eux ont bénéficié d’investissements libyens. On peut donc logiquement ajouter dans ce labyrinthe, la Mauritanie, Madagascar, ou Sao Tomé et Principe, sans compter le Cameroun où la Libye voulait implanter le siège du Fonds Monétaire Africain qu’elle voulait mettre sur pied dès 2011. Les rebelles vont-ils poursuivre, aussi, la mise en œuvre de la Banque Centrale Africaine et celle de la Banque Africaine Des Investissements, des vœux de Mouammar Kadhafi qui avait eu l’aval de ses pairs africains ? Là se situe le nœud du problème…

©Allain Jules

Source arabe : Al Jazeera

Dubaï : première bibliothèque numérique au Moyen Orient

Non, les bibliothèques publiques ne sont pas ringardes. Comme beaucoup d’institutions, elles travaillent à leur modernisation et s'adaptent aux nouvelles technologies.

C'est le cas de la bibliothèque Umm Suqeim à Dubaï, qui a franchi le pas en devenant une e-bibliothèque, la première bibliothèque numérique à voir le jour au Moyen Orient.

« C'est un pas de plus vers quelque chose de grand et de différent. La bibliothèque a beaucoup de e-services comme des bases de données qui offrent un accès aux différentes technologies, et il y a plus d’ordinateurs et moins de livres. L’impact que ça a eu en terme de visite a été très positif (…) Nous avons environ 200 visiteurs par jour», explique Eissa Abdulla Khalaf Abdulla de la Bibliothèque Iww Suqeim au Khaleej Times.


Le système comprend trois bases de données : le catalogue public d’information, l’Ebrary, qui fournit un accès à plus de 52.000 livres numérisés et l’ Oxford Islamic Studies Online, base de références bibliographiques et encyclopédiques sur le monde musulman d’environ 3.500 ressources électroniques.

« L’Ebrary est accessible à tout le monde. Il contient plus de 45.000 magazines disponibles en anglais et en arabe. De plus, les usagers peuvent copier n’importe quelle ressource », précise Eissa.

La bibliothèque offre d’autres services tels que l'e-learning pour les non-initiés aux NTIC accessibles au staff comme au public, ainsi que « Découvrir Dubaï » dédié surtout aux touristes pour leur donner accès à des informations utiles (plans, cartes, etc.) sur la ville. La bibliothèque offre également un International Computer Driving License (ICDL) pour aider les étudiants à se familiariser avec l’utilisation de l’ordinateur et l’informatique.

Pour se faire remâcher, la bibliothèque a installé un e-avatar visible à son entrée pour accueillir les visiteurs. Selon Eissa, beaucoup d’habitants de Dubaï ne connaissent pas cette bibliothèque. « Ils voient le e-avatar devant la librairie, sont intrigués et veulent en savoir plus. Des visiteurs viennent du Nigeria et de Singapour juste pour avoir plus d’expérience en e-bibliothèque dans le but d’offrir les mêmes services dans leur pays », ajoute-t-il.

L'expansion d'e-bibliothèque dans la région ne s'arrête pas là. La mise en place de nouvelles bibliothèques numériques est en projet dans les villes de Al Mizhar et Al Barsha.

Crédit Photo : Gulf News Archive

Ramadan-Libye: La Libye va subventionner les prix des denrées alimentaires

Prix des denrées alimentaires en Libye - Les denrées alimentaires de première nécessité seront subventionnées par la Libye au cours du mois de Ramadan qui débutera à la fin de ce mois, annonce lundi le comité populaire général libyen de l’Industrie, de l’Economie et du Commerce.

Le décret arrêté par le comité stipule que les prix de certaines denrées alimentaires de première nécessité tels que les œufs, le poulet, la viande de bœuf et d’agneau importée, le lait stérilisé, les jus de fruit et l’eau minérale produite au niveau local, seront fixés pour le mois de Ramadan, rapporte l’Agence de presse libyenne (JANA), citant un communiqué du département de l’industrie et du commerce.

Le communiqué précise que le comité se chargera de payer aux producteurs et importateurs libyens la différence sur les prix entre celui de l’importation et celui de la vente, en coordination avec le Fonds libyen de stabilisation des prix.

Ainsi, le plateau d’œufs frais de 30 sera vendu à trois dinars libyens, alors qu’il se négociait avant la crise que connaît actuellement le pays entre 3,5 et quatre dinars, le kg de poulet sera vendu à trois dinars contre quatre dinars auparavant et le kg de viande de bœuf importé est fixé à cinq dinars contre six à sept précédemment.

Le kg de viande d’agneau importé a été fixé à 6,5 dinars contre sept dinars auparavant, le litre de lait stérilisé vendu à un dinar reste stable tout comme le litre de jus de fruit, alors que six bouteilles d’eau minérale de 1,5 litre seront vendues à deux dinars.

Afghanistan: 7 policiers empoisonnés puis tués par des insurgés talibans

© AFP Un convoi de policiers afghans, le 24 mai 2011 dans la province du Helmand
© AFP/Archives

KABOUL (AFP) - (AFP) - Les insurgés talibans ont abattu lundi sept policiers afghans dans les faubourgs de Lashkar Gah, capitale de la province méridionale du Helmand, après les avoir rendus inconscients par de la nourriture empoisonnée, ont annoncé mardi les services du gouverneur.

La province du Helmand, un des bastions des insurgés talibans, est la plus meurtrière du conflit afghan, vieux de bientôt dix ans.

"Les insurgés ont d'abord rendu les policiers inconscients en empoisonnant leur nourriture puis les ont tué par balles. Ils se sont enfuis en emportant leurs armes et leurs véhicules", indiquent les services du gouverneur dans un communiqué.

Selon le texte, les sept policiers étaient affectés à la surveillance d'un point de contrôle. Aucun autre détail n'a pu être obtenu. Les insurgés ont fait usage de cette technique à plusieurs reprises dans le passé.

Lashkar Gah est l'une des sept zones du pays où doit être lancé le processus "dit de transition", au cours duquel les forces de l'Otan doivent progressivement transférer d'ici fin 2014, la responsabilité de la sécurité aux forces afghanes.

Le processus a été formellement lancé le 17 juillet dans la province de Bamyan, puis mardi à Mehtarlam et doit l'être mercredi à Lashkar Gah. Il le sera dans les jours suivants dans les villes de Mazar-i-Sharif (nord) et d'Hérat (ouest) et dans les provinces du Panchir (nord-est) et de Kaboul (à l'exception du district de Surobi).

Ce processus doit s'accompagner en parallèle d'un retrait progressif des forces combattantes de la coalition, censé s'achever à la même date.

De nombreux observateurs doutent de la capacité des forces afghanes à assurer seules la sécurité face à une insurrection qui continue de gagner du terrain.

Iran says it's installing new nuclear centrifuges

Iran is installing new uranium enrichment machines to speed progress in its nuclear program, the Foreign Ministry said on Tuesday, a development that may increase Western concern about Tehran's aims.

Foreign Ministry spokesman Ramin Mehmanparast appeared to confirm a Reuters story last week that Iran was installing two newer and more advanced models of the centrifuges used to refine uranium for large-scale testing at a research site.

If Iran eventually succeeds in introducing the more modern centrifuges for production, it could significantly shorten the time needed to stockpile material which can have civilian as well as military purposes, if processed much further.

"By installing the new centrifuges progress is being made with more speed and better quality," Mehmanparast said, adding the move showed Iran was being successful in its "peaceful nuclear activity".

Mehmanparast said Iran had informed the International Atomic Energy Agency about the installment of new centrifuges.

"The agency is aware that our peaceful nuclear activities are progressing ... the installment is a confirmation of the Islamic Republic's success in the nuclear field," he said.

Stalled diplomatic efforts
Iran has for years been trying to develop centrifuges with several times the capacity of the 1970s-vintage, IR-1 version it now uses for the most sensitive part of its atomic activities.

Interactive: How nuclear plants work (on this page) The United States and its allies accuse Iran of trying to develop bombs under cover of its nuclear program. Iran denies the allegation, saying it needs nuclear technology to generate electricity to meet its booming domestic demand.

Iran's refusal to halt uranium enrichment has led to four rounds of U.N. sanctions on the major oil producer, as well as tighter U.S. and European Union restrictions.

Diplomatic efforts to find a solution to Iran's nuclear dispute have stalled, after talks between Iran and six world powers over half a year ago failed to make any progress.

"No new development has taken place regarding the nuclear talks with major powers," said Mehmanparast.

Western diplomats have often accused Iran of deploying stalling tactics in the nuclear dispute with major powers, including the United States, China and Russia, to buy more time while it pushes ahead with its disputed activities.

Copyright 2011 Thomson Reuters. Click for restrictions.

Pop-up churches find school spaces handy but tricky

By Todd Plitt, USA TODAY
Now you see it. Now you don't.

Instant churches (it's mostly churches) are popping up in public schools every weekend and vanishing within hours of the benediction. I wrote about the trend in today's cover story and co-worker Natalie DiBlasio found several examples of convenience -- and conflicts -- that come with the instant church phenomenon.

FOLLOW:Faith & Reason blog on Twitter

While most schools, mindful of constitutional restrictions on the entanglement of church and state, take a strictly hand's off approach. The pop-up prayer sessions can do nothing permanent to the facilities and in most places may not advertise their presence to the general public.

But Linda Streeter, director of community education for the Dysart Unified School District in Phoenix suburb of Surprise, Ariz., one of the nation's fastest growing districts, allows religious groups to advertise their locale with prior approval and lets them set up a portable baptistery on the lawn.

Pastor Jesse Eisenhart of the five-year old True North Church, currently meeting in a middle school gym in Mantua, N.J., says the space has allowed their congregation to double from 250 to 500 worshipers. He says they have met the decor challenges with "creativity" but they also spent $1,000 to install ceiling motors to raise and lower sound speakers -- a permanent installation permitted because it benefits the school.

That's not allowed in New York City, where the board made one school take down a satellite dish it installed without permission.

Rev. Michael Prewitt, now serving as pastor of Calvin Presbyterian Church in Cumberland, R.I., tells DiBlasio about years of church-in-school experiences that he said, "make you feel like a missionary in your own back yard in America" and really bound volunteers to a sense of community.

Still, it could be funny at times. Prewitt says,

We got accused one time of not erasing the wipe-board well enough and leaving 'faint spiritual messages' so that has become a joke among us. Maybe we didn't erase the word Jesus quite enough.

Nowotny Signals ECB May Compromise on Greece


Governing Council Member Ewald Nowotny

Governing Council Member Ewald Nowotny. Photographer: Dieter Nagl/Bloomberg

European Central Bank council member Ewald Nowotny suggested the bank may compromise and allow a temporary Greek default as officials scramble to fix a sovereign debt crisis that’s spreading to Italy and Spain before a leaders’ summit in two days.

As Spanish financing costs surged at a 4.45 billion euro ($6.31 billion) treasury bill auction today, policy makers are trying to ease a split that’s pushed interest rates on Spanish and Italian 10-year debt above 6 percent for the first time since the euro debuted 12 years ago. The ECB has until now argued that any Greek default could spark a new financial crisis, derailing a German push to make investors help foot the bill for a second bailout of the country.

“Nowotny is well known as someone who talks a lot,” said Nick Kounis, head of macroeconomic research at ABN Amro Bank NV in Amsterdam. “He might be revealing that there’s a little bit more flexibility than what was perhaps assumed. On the other hand, we have to be a bit careful with Nowotny. I’d be cautious.”

Nowotny, who heads Austria’s central bank, said there’s “a full range of options and definitions, from a clear-cut default, selective default, credit event and so on.”

“This has to be studied in a very serious way,” he told CNBC in an interview broadcast today. “There are some proposals that deal with a very short-lived selective default situation that will not have major negative consequences.”

Eurobond Fix

The comments come as some finance ministers start to zero in on Eurobonds as part of the fix for a crisis that has ricocheted through the euro region for more than 18 months and is now threatening to engulf two of its biggest members. While jointly issuing bonds with Germany may help debt-laden nations tap markets at lower interest rates, it could also raise borrowing costs for Europe’s largest economy.

The euro rose today on speculation Europe will move closer to resolving the crisis. The currency shared by 17 nations traded at $1.4197 at 12:20 p.m. in Frankfurt, up from $1.4028 yesterday. Yields on Spanish and Italian 10-year bonds retreated from euro-era highs as stock markets rallied.

European Union leaders are meeting on July 21 to hammer out a solution to the Greek debt crisis, which has already spread to Ireland and Portugal. While Germany wants private investors to participate in a second bailout package for Greece, ECB President Jean-Claude Trichet says the central bank won’t accept Greek government bonds as collateral for loans in the event of a default or “credit event.”

‘Case for Independence’

By contrast, Nowotny said it’s up to the Frankfurt-based central bank to decide what collateral it accepts and it “should not be totally dependent on rating agencies.”

“It is our own responsibility, our own decision,” he told CNBC. “We have proved this in the case of Ireland, Greece and Portugal, with regard to what kind of collateral we accept. So there is a certain case for independence. But of course, not with regard to rating agencies but with regard to our own statutes, there are limitations.”

Spanish 10-year yields fell 15 basis points to 6.17 percent as of 10:09 a.m. in London, narrowing the spread over German bunds to 346 basis points. Greek two-year yields surged 113 basis points to 35.5 percent while Italy’s 10-year bond yield dropped 23 basis points to 5.74 percent.

Summit Delays

EU President Herman van Rompuy asked leaders to meet in Brussels to discuss “the financial stability of the euro area as a whole and the future financing of the Greek program.” Yesterday, stocks declined around the world, the euro fell and the cost of insuring European sovereign debt rose to records amid concern the euro region isn’t any closer to solving the crisis a year after Greece’s initial rescue.

A summit was originally mulled for last week before being postponed amid German fears it would backfire without a pact on private-sector involvement. Germany’s government says no extra aid is possible without bondholders staying exposed to Greek debt.

“I don’t expect European leaders to reach a decision this week,” said David Kohl, deputy chief economist at Julius Baer Group in Frankfurt. “They’ll continue to fight over whether to include bondholders or not. Still, a Greek debt restructuring wouldn’t be a solution to the problem.”

The euro-region recovery is losing momentum as leaders struggle to contain the crisis. In Germany, Europe’s largest economy, investor confidence dropped to the lowest in 2 1/2 years in July, the ZEW Center for European Economic Research in Mannheim said today. European economic confidence dropped in June and manufacturing growth slowed.

Nowotny said a full Greek default must be avoided. “That would have very grave consequences, especially with regard to the ECB and the ability of the ECB to accept Greek collateral,” he said.

To contact the reporters on this story: Jana Randow in Frankfurt at jrandow@bloomberg.net; Simone Meier in Zurich at smeier@bloomberg.net

To contact the editor responsible for this story: Craig Stirling at cstirling1@bloomberg.net

Sommet Merkel-Medvedev: l'énergie pour Berlin, la modernisation pour Moscou

HANOVRE (Allemagne) - Angela Merkel recevait mardi Dmitri Medvedev pour un sommet devant accorder une large place à l'énergie, l'Allemagne ayant besoin d'hydrocarbures alors que la Russie cherche des partenaires pour se moderniser.

La chancelière allemande et le président russe ont d'abord participé à une session du Dialogue peterbourgeois, un forum de débats où se retrouvent depuis onze ans les représentants des sociétés civiles des deux pays.

En démocratie on préfère généralement parler de ce qui ne va pas que de ce qui va, a souligné Mme Merkel.

M. Medvedev a aussi appelé les participants à discuter des thèmes les plus difficiles. Il vaut mieux se disputer une bonne fois que garder le silence, a-t-il dit.

M. Medvedev et Mme Merkel, qui parle couramment russe puisqu'elle a grandi dans l'ex-RDA, ont pour leur part affiché leur bonne entente, se tutoyant et évitant de toucher aux thèmes les plus délicats, comme les droits de l'Homme en Russie.

Mme Merkel a néanmoins reconnu que c'était de sa responsabilité que les négociations russo-européennes sur l'abandon des visas étaient bloquées, un sujet important pour Moscou.

Côté allemand, le co-président du Dialogue peterbourgeois, Lothar de Maizière a souligné que la démocratie était nécessaire à une modernisation réelle de la Russie, soulignant que les politiques d'Etats dictatoriaux comme l'Union soviétique et l'Allemagne Nazie n'avaient pas duré.

Nous (Russes et Allemandes) sommes d'accord que la démocratie, les droits de l'Homme et l'Etat de droit sont une nécessité pour une modernisation réelle et durable, a-t-il dit.

Hors des murs de ce forum, dans les couloirs des négociations intergouvernementales, c'est l'énergie qui devait être au coeur des discussions, Moscou souhaitant renforcer encore sa présence dans le secteur en profitant de l'abandon par l'Allemagne du nucléaire d'ici à 2022.

Nous avons discuté des possibilités de collaboration énergétique russo-allemande à la suite de la décision de l'Allemagne de renoncer au nucléaire après la catastrophe japonaise de Fukushima, a souligné Viktor Zoubkov, le vice-Premier ministre russe.

La Russie aimerait développer des centrales électriques au gaz et augmenter ses livraisons à l'Allemagne, qui est déjà son plus gros client, notamment via le gazoduc Nord Stream, dans la Baltique, qui doit être inaugurer en octobre.

Moscou compte aussi sur les investissements allemands pour mettre en oeuvre sa politique de modernisation, le thème central du discours du président russe.

Le patron de la banque russe VEB, Vladimir Dmitriev a indiqué espérer la création d'ici deux à trois ans d'un fond d'un milliard d'euro pour l'innovation dans les petites et moyennes entreprises.

Une conférence de presse de Mme Merkel et M. Medvedev était prévue vers 12H30 GMT, après la signature d'une douzaine d'accords politiques, économiques et universitaires.

La visite du président russe intervient en pleine polémique en Allemagne autour d'un prix accordé puis retiré à son mentor et prédécesseur, le Premier ministre Vladimir Poutine.

Sous le feu de la critique en raison du bilan du dirigeant russe en matière de droits de l'Homme, l'organisation privée Werkstatt Deutschland, qui décerne les prix Quadriga, a renoncé à remettre cette année ses distinctions aux modèles exemplaires d'esprits éclairés et d'efforts pour le bien public.

Les gouvernements allemand et russe ont insisté sur le caractère privé de cette initiative et ont assuré que ce couac ne troublerait pas troubler le sommet Merkel-Medvedev.


(©AFP

Sommet Merkel-Medvedev: l'énergie pour Berlin, la modernisation pour Moscou

HANOVRE (Allemagne) - Angela Merkel recevait mardi Dmitri Medvedev pour un sommet devant accorder une large place à l'énergie, l'Allemagne ayant besoin d'hydrocarbures alors que la Russie cherche des partenaires pour se moderniser.

La chancelière allemande et le président russe ont d'abord participé à une session du Dialogue peterbourgeois, un forum de débats où se retrouvent depuis onze ans les représentants des sociétés civiles des deux pays.

En démocratie on préfère généralement parler de ce qui ne va pas que de ce qui va, a souligné Mme Merkel.

M. Medvedev a aussi appelé les participants à discuter des thèmes les plus difficiles. Il vaut mieux se disputer une bonne fois que garder le silence, a-t-il dit.

M. Medvedev et Mme Merkel, qui parle couramment russe puisqu'elle a grandi dans l'ex-RDA, ont pour leur part affiché leur bonne entente, se tutoyant et évitant de toucher aux thèmes les plus délicats, comme les droits de l'Homme en Russie.

Mme Merkel a néanmoins reconnu que c'était de sa responsabilité que les négociations russo-européennes sur l'abandon des visas étaient bloquées, un sujet important pour Moscou.

Côté allemand, le co-président du Dialogue peterbourgeois, Lothar de Maizière a souligné que la démocratie était nécessaire à une modernisation réelle de la Russie, soulignant que les politiques d'Etats dictatoriaux comme l'Union soviétique et l'Allemagne Nazie n'avaient pas duré.

Nous (Russes et Allemandes) sommes d'accord que la démocratie, les droits de l'Homme et l'Etat de droit sont une nécessité pour une modernisation réelle et durable, a-t-il dit.

Hors des murs de ce forum, dans les couloirs des négociations intergouvernementales, c'est l'énergie qui devait être au coeur des discussions, Moscou souhaitant renforcer encore sa présence dans le secteur en profitant de l'abandon par l'Allemagne du nucléaire d'ici à 2022.

Nous avons discuté des possibilités de collaboration énergétique russo-allemande à la suite de la décision de l'Allemagne de renoncer au nucléaire après la catastrophe japonaise de Fukushima, a souligné Viktor Zoubkov, le vice-Premier ministre russe.

La Russie aimerait développer des centrales électriques au gaz et augmenter ses livraisons à l'Allemagne, qui est déjà son plus gros client, notamment via le gazoduc Nord Stream, dans la Baltique, qui doit être inaugurer en octobre.

Moscou compte aussi sur les investissements allemands pour mettre en oeuvre sa politique de modernisation, le thème central du discours du président russe.

Le patron de la banque russe VEB, Vladimir Dmitriev a indiqué espérer la création d'ici deux à trois ans d'un fond d'un milliard d'euro pour l'innovation dans les petites et moyennes entreprises.

Une conférence de presse de Mme Merkel et M. Medvedev était prévue vers 12H30 GMT, après la signature d'une douzaine d'accords politiques, économiques et universitaires.

La visite du président russe intervient en pleine polémique en Allemagne autour d'un prix accordé puis retiré à son mentor et prédécesseur, le Premier ministre Vladimir Poutine.

Sous le feu de la critique en raison du bilan du dirigeant russe en matière de droits de l'Homme, l'organisation privée Werkstatt Deutschland, qui décerne les prix Quadriga, a renoncé à remettre cette année ses distinctions aux modèles exemplaires d'esprits éclairés et d'efforts pour le bien public.

Les gouvernements allemand et russe ont insisté sur le caractère privé de cette initiative et ont assuré que ce couac ne troublerait pas troubler le sommet Merkel-Medvedev.


(©AFP

Les pluies tuent huit personnes au Brésil et trois au Mexique

Les pluies torrentielles qui frappent l'Etat brésilien de Pernambuco ont fait au moins huit morts. Dans le sud du Mexique, trois personnes ont péri et près de 200'000 ont été affectées par des inondations. Des intempéries ont aussi touché le nord du Guatemala.

Au Brésil, la majorité des personnes décédées ont été emportées dans des glissements de terrain. Selon le dernier bilan des secours, environ 500 familles ont dû abandonner leurs foyers et les habitants sont appelés à quitter le plus rapidement possible leurs maisons. Les glissements de terrain ont également coupé des routes.

Entre 180'000 et 200'000 personnes ont été touchées au Mexique dans les régions de l'isthme de Tehuantepec, Costa et Cuenca del Rio Papaloapan dans l'Etat d'Oaxaca. Les pluies torrentielles ont commencé en milieu de semaine dernière dans le sud et l'est du pays et devraient encore durer deux jours.

Au Guatemala, les intempéries ont fait deux morts et trois disparus dans le département d'Alta Verapaz.



(ats /

Guinée: un mort lors de l'attaque contre la résidence du président

CONAKRY (© 2011 AFP) - Un soldat de la garde présidentielle a été tué mardi lors de l'attaque menée par des militaires contre la résidence du président guinéen Alpha Condé à Conakry, a déclaré à l'AFP François Fall, ministre-secrétaire général de la présidence guinéenne.
Guinée: un mort lors de l'attaque contre la résidence du président

"Il y a eu un mort parmi les soldats de la garde présidentielle" qui défendaient le domicile du chef de l'Etat, a dit M. Fall qui n'a pas fait état d'autre victimes et a affirmé que "pour l'instant", les motivations des assaillants ne sont pas connues.

Le président guinéen Alpha Condé a appelé "au calme" et à "la vigilance" quelques heures après cette attaque contre sa résidence privée.

"Je vous appelle au calme, mais (aussi) à la vigilance et à l'unité nationale. Je ne veux pas de réaction populaire, ni de réaction contre qui que ce soit, laissez l'armée et les forces de l'ordre faire leur travail", a déclaré M. Condé dans une allocution à la radio-télévision publique RTG.

"Ma maison a été attaquée cette nuit, mais je dois féliciter la garde présidentielle qui s'est battue héroïquement de 03H10 (locales et GMT) jusqu'à 05HOO du matin avant d'avoir du renfort", a déclaré M. Condé.

"Je vous appelle au calme", a répété le chef de l'Etat, ajoutant: "nos ennemis peuvent tout tenter, mais ils ne pourront pas empêcher la marche du peuple guinéen vers la démocratie".

"La voie de la démocratie a commencé et cela va continuer, je vous ai promis le changement et, si Dieu le veut, nous aurons ce changement", a-t-il affirmé.

"S'il y a des gens qui veulent développer la haine en Guinée nous ne devons pas les suivre. La Guinée c'est un seul pays, nous sommes unis, nous ne pouvons pas nous développer si nous ne sommes pas unis et nous n'acceptons pas qu'on nous divise", a affirmé le président Condé.

"Je vous pris de rester calme et de continuer votre travail. Je compte sur vous et sur votre sagesse" a-t-il redit, concluant ainsi: "si Dieu le veut et grâce aux prières de nos imams, je conduirai la Guinée à la victoire, c'est-à-dire au développement, au progrès et à l'unité. Je vous fait confiance faites moi confiance".

Des tirs nourris ont été entendus pendant près de trois heures mardi dans le quartier de la résidence du président Condé à Conakry, touchée par une roquette, mais le chef de l'Etat en est sorti indemne. Les motivations des assaillants restaient inconnues mardi matin.

Guinée: Alpha Condé sain et sauf après une attaque contre sa résidence

CONAKRY (Xinhua) - Le président guinéen Alpha Condé est sorti sain et sauf d'une attaque menée par des individus lourdement armés contre sa résidence mardi matin dans la capitale Conakry, a-t-on appris de sources concordantes.
Guinée: Alpha Condé sain et sauf après une attaque contre sa résidence

Carte de la Guinée

L'attaque a eu lieu tôt le matin, la garde présidentielle a réussi à repousser les assaillants mettant hors de danger le président Condé.

Pour l'instant, aucune information n'est disponible sur le commando qui a perpétré l'attaque dont le bilan officiel reste indéterminé.

Alpha Condé a été élu en novembre dernier après des élections considérées comme les premières démocratiques dans le pays indépendant depuis 1958.