08 juillet, 2011

Syrie: le soutien équivoque de Bernard-Henri Levy

syrie.gif

Bernard-Henri Levy est connu de tous les Français, mais cela ne suffit pas à ce brillant intellectuel, inventeur du concept "islamofasciste".

Après la Libye, le voilà qui s'occupe de la Syrie, comme si ce vieux pays n'attendait que lui. Illico, il s'en empare, décide qui et quoi et réunit tout ce qu'il peut d'amis, de connaissances, complices et pique-assiettes lundi dernier à Paris.

Un cocktail, tout le monde le sait, est ce qui se fait de plus chic en matière révolutionnaire...

Les rebelles, les vrais, ceux qui sont dans les rues de Homs ou d'ailleurs ont vite compris le sens de la manœuvre. Un ami d'Israël peut-il être un ami des arabes en général et des Syriens en particulier ? Et dénoncent cette agitation médiatique sinon mondaine.

A Paris, une grande partie des opposants a refusé l'invitation de lundi dernier, ceux qui s'y sont retrouvés ont directement senti le piège et la duperie qui va avec.

Car, comme d'habitude, cet « SOS Syrie » était un podium pour la seule et unique vedette de la soirée: BHL himself !

Avec, en première partie Bernard Kouchner, le ministre le plus proche d'Israël que la République ait connu, Fadela Amara, habituée des lieux où elle s'abstient de causer, Jane Birkin dont le seul titre de gloire fut, jadis, la promotion des seins minuscules, Bertrand Delanoë, à propos duquel tout commentaire est inutile, André Glucksmann qui est philosophe, fut maoïste et expie en encensant le libéralisme mondialiste, Israël, les États-Unis et les vices qui vont avec.

Soutien des plus ambigus, donc et dénoncé par les rebelles syriens qui rappellent que pour BHL, l'indignation est toujours à sens unique.

Ainsi, après le massacre de Jenine, en Palestine, BHL déclare ex cathedra que « l'armée israélienne est la plus humaine du monde », quand cette même armée « si humaine » bombarde Gaza avec des bombes à l'uranium appauvri, ce ne sont que des « dommages collatéraux » et « inévitables ».

Dont acte, comme l'a fait Suhair Atassi, une figure de l'opposition syrienne: « celui qui se fait l'ennemi des droits d'un peuple ne peut prétendre soutenir une révolution fondée sur les mêmes droits ». Et de mettre en exergue ce télégramme de BHL à Netanyahou, assurant ce dernier de la volonté des rebelles libyens de normaliser leurs relations avec Israël, et ce nonobstant le démenti cinglant des intéressés.

Bref, le rendez-vous de Paris fut surtout celui des dupes qui ont constaté que BHL ne roule que pour Israël... et lui !

A Damas, ce type de manœuvre n'a jamais pris. Nous savons, avec Bachar El Assad, que les évènements de Syrie sont une provocation israélo-étasunienne destinée à déstabiliser le pays et, par ricochet, son allié l'Iran.

Le peuple syrien qui sait ce qu'il en est de cette mise en scène soutient, dans son immense majorité, l'équipe gouvernementale. Des manifestations de sympathie au régime ont lieu tous les jours dans les rues de Damas, dont la presse occidentale, bien sûr ! Ne parle pas.

Le jeu des Etats-Unis et de leurs alliés tellement clair, que les rebelles syriens ont expressément adressé une supplique à BHL: « Monsieur Levy, épargnez aux Syriens votre soutien ».

Nous doutons qu'il obtempère...

lepost.fr

Adebayor en colère

Emmanuel Adebayor a fait part de sa colère en apprenant qu'il n'était pas retenu pour la tournée américaine de Manchester City.

Qu'Emmanuel Adebayor n'entre plus dans les plans de Manchester City, l'affaire paraissait entendue. Mais l'attaquant togolais a vécu une grosse déception en découvrant qu'il n'était pas convié à la tournée d'avant-saison de Manchester City aux Etats-Unis, comme il le confiait au Sun : «C'est très douloureux et insultant. Cela en dit long sur le fonctionnement de ce club (...) J'ai reçu simplement un mail m'indiquant que la reprise de l'entraînement était programmée le 9 juillet, avant d'apprendre, de la bouche de certains de mes coéquipiers, que l'équipe partait aux Etats-Unis le 8.» Forcément, difficile de vouloir rester après un tel épisode...

Après Ouagadougou, Kinshasa dotée d’une Maison des Savoirs

Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo est, désormais, dotée d’une Maison des Savoirs. Première en Afrique centrale et au Congo-Kinshasa, cette nouvelle infrastructure a été inaugurée officiellement, hier jeudi 7 juillet, par le secrétaire général de l’OIF, Abdou Diouf.

Après Ouagadougou, au Burkina Faso, Kinshasa, capitale de la RDC vient d’être dotée d’une Maison des Savoirs. Située au quartier Lodja, dans la commune de Kasa-Vubu, cette nouvelle infrastructure a été inaugurée, hier jeudi 7 juillet, par le secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Abdou Diouf. La cérémonie a été présidée par le gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta.

C’était en présence de plusieurs autorités de la capitale, dont le ministre de la Coopération internationale et régionale et président du Comité de pilotage du 14ème Sommet de la Francophonie, Raymond Tshibanda. La cérémonie a également rehaussé de la présence de quelques personnalités venues de l’étranger.

D’une superficie de 600 m2, la Maison des Savoirs de Kinshasa est dotée d’une bibliothèque, d’une ludothèque, d’un espace numérique et des salles de formation. Elle est la quatrième Maison des Savoirs avec celles d’Hué au Vietnam, de Chisinau en Moldavie et de Ouagadougou au Burkina Faso.

L’objectif poursuivi en ouvrant cette Maison des Savoirs à Kinshasa est de favoriser le développement de l’utilisation de nouvelles technologies par le plus grand nombre de personnes et la promotion de la langue française, comme l’a souligné le secrétaire général de l’OIF, Abdou Diouf, dans son mot de circonstance.

Dans son allocution de circonstance, le gouverneur de la ville de Kinshasa a indiqué que la Maison des Savoirs est un important projet conjointement mis en œuvre par la ville de Kinshasa, l’OIF et l’Association internationale des maires francophones (AIMF) et TV5 Monde. Avant d’inviter les bénéficiaires d’utiliser à bon escient cet ouvrage. Car à ses yeux, il s’agit d’un patrimoine commun qu’il faudra préserver.

Saisissant cette opportunité, le chef de l’exécutif provincial a remercié le secrétaire général de l’OIF pour avoir consacré son temps à cette cérémonie qui, d’après lui, restera gravée dans les annales de la culture de la ville-province de Kinshasa.

De son côté, le ministre de la Coopération internationale et régionale a indiqué que la présence du secrétaire général de l’OIF à cette manifestation honore la République démocratique du Congo et singulièrement la jeunesse, bénéficiaire de cet ouvrage.

Pour le président du Comité de pilotage du 14ème Sommet de la Francophonie, la RDC se sent interpellée par la présence du SG de l’OIF à Kinshasa. Un signe qui, selon à Raymond Tshibanda, prouve à suffisance que la coopération entre la RDC et l’OIF est au beau fixe. Le ministre de la Coopération internationale et régionale n’a pas manqué de remercié le secrétaire général de l’OIF, pour tout ce qu’il ne cesse de faire pour la RDC.

Il a, par ailleurs, remercié le gouverneur de la ville de Kinshasa, pour sa contribution à la matérialisation de ce cadre culturel d’une utilité publique.

Une première en Afrique centrale

Le secrétaire général de l’OIF a déclaré : « La Maison des Savoirs de Kinshasa est une infrastructure importante longtemps attendue par la population. Les besoins en matière d’accessibilité au savoir et à la culture sont immenses et demanderaient, pour être comblés, des investissements mille fois plus importants. Néanmoins, nous posons aujourd’hui un jalon important, très important ». Et de noter que ce projet est un des plus porteurs du cadre stratégique décennal de la Francophonie. Un projet sur lequel il fonde personnellement beaucoup d’espoir.

Il a, en outre, indiqué que la Maison des Savoirs de Kinshasa est la première en Afrique centrale et la première en RDC, cet immense pays, ce géant dont le devenir nous tient à cœur et qui accueillera en 2012 le 14ème Sommet de la Francophonie.

Tout en remerciant les autorités de la ville de Kinshasa sans lesquelles cette Maison des Savoirs n’aurait jamais vu le jour, le SG de l’OIF s’est exprimé en ces termes : « Voila un bel exemple d’une municipalité qui a compris que sa raison d’exister ne se limite pas à offrir des services de base à ses citoyens, mais qu’elle a aussi un rôle, tout aussi incontournable, à jouer aux plans éducatif, culturel et communautaire. Voila une ville qui a compris qu’elle peut et doit agir pour le développement ».

La Maison des Savoirs de Kinshasa, et celles d’autres pays, est une contribution de la Francophonie à l’appropriation, par les pays du Sud, des technologies d’information et de communication et un encouragement à leur application dans le domaine éducatif. Avant d’insister sur le fait qu’elle est « un lieu de rencontres, un lieu d’échanges, un lieu où on peut élaborer des projets communs, partager ses rêves et ses appréhensions ».

Dans la même journée, un avenant de l’ordre de 774.000 Euros a été signé en faveur du ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel (EPSP) entre la RDC, l’OIF et l’AUF. Financé par l’OIF, l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) et l’Association pour la promotion et l’éducation et de la formation à l’étranger (APEFE), ce projet concerne la formation à distance des enseignants en RDC.

Selon le ministre de l’EPSP, Maker Mwangu, ce projet va aider son ministère à « tester et valider une stratégie de formation continue des enseignants par l’intermédiaire d’un dispositif de formation en partie à distance ».

Et le ministre de préciser qu’il sera créé deux centres numériques à l’Institut M’Saada (Likasi) et au Complexe scolaire Elimu à Kolwezi, qui vont fonctionner en synergie avec les trois centres des ressources que le ministère de l’EPSP est en train de mettre en place dans les provinces éducationnelles du Katanga.

Source: Le Potentiel

Un proche de David Cameron arrêté dans l'affaire des écoutes

Andy Coulson, l’ex-directeur de la communication du Premier ministre, David Cameron, a été arrêté, vendredi, dans le cadre de l’affaire des écoutes illégales pratiquées par le tabloïd News of the World du temps où il en était le rédacteur en chef, a annoncé Scotland Yard.

Coulson, 43 ans, qui avait dû démissionner en janvier de son poste à Downing street en raison de ce scandale, est «soupçonné de participation à des écoutes téléphoniques illégales» et de «corruption».

Il s’est présenté en début de matinée à un poste de police du centre de Londres, d'après le site du Times, qui fait partie, comme News of the World, du groupe de presse constitué par le magnat américano-australien des médias, Rupert Murdoch, au Royaume-Uni.

Eclaboussé par le scandale, Coulson, dont Cameron avait fait son directeur de la Communication après son arrivée au pouvoir en 2010, avait dû démissionner de ce poste en janvier, après une première vague de révélations sur les écoutes de personnalités menées à grande échelle par le tabloïd dans les années 2000.

Rupert Murdoch a provoqué la stupeur générale en annonçant, jeudi, la fermeture de News Of the World, fleuron de son empire britannique.

Cette annonce a fait suite au tollé provoqué par les dernières révélations sur les écoutes qu’auraient pratiquées le journal sur des proches de fillettes assassinées et de soldats tués en Irak et en Afghanistan.

Le Premier ministre britannique, David Cameron, dans une position délicate depuis plusieurs jours en raison de ses liens avec Andy Coulson, devait tenir une conférence de presse impromptue vendredi matin.

Considéré comme un proche de Rupert Murdoch, il fait face également à une forte pression politique pour geler le dossier sur le rachat de la totalité du bouquet satellitaire BSkyB par le groupe du magnat américano-australien, au vu des dérives au sein de son tabloïd.

(Source AFP)

Retrouvez cet article sur Liberation.fr

La fin de l'épopée des navettes américaines

Le Point.fr -

La fin de l'épopée des navettes américaines

L'ultime vol de la navette Atlantis vise à livrer 3,7 tonnes de vivres et d'équipements à la Station spatiale internationale. © Jim Watson / AFP

Click here to find out more!

La navette spatiale américaine Atlantis doit être lancée vendredi depuis la Floride, avec quatre astronautes à bord, bien que des prévisions météorologiques peu favorables fassent craindre un report de ce dernier tir d'un orbiteur. Il n'y a que 30 % de chances de conditions permettant un décollage à 11 h 26 (17 h 26 à Paris), au milieu d'une fenêtre de tir de dix minutes, selon la météorologue de la base aérienne de Cap Canaveral Kathy Winters, citant un risque élevé de pluies et d'orages autour du Centre spatial Kennedy. En cas de report, la Nasa pourrait tenter de nouveau samedi et dimanche, jours pour lesquels la météo devrait s'améliorer avec respectivement 40 et 60 % de chances d'avoir un temps permettant un lancement.

Si Atlantis ne pouvait décoller dimanche, elle devrait attendre le 16 juillet pour permettre à l'armée de l'air américaine de lancer un satellite de navigation le 14 juillet depuis la base de Cap Canaveral. L'ultime vol d'une navette devrait attirer de 500 000 à 750 000 curieux dans les alentours du Centre Kennedy, selon des estimations de la Nasa, des chiffres similaires à ceux enregistrés lors des ultimes lancements de Discovery et Endeavour. Les journalistes américains et étrangers sont aussi venus en masse assister au dernier lancement d'une navette américaine. La Nasa estime à environ 2 000 leur nombre, soit trois fois plus que d'ordinaire. La Nasa a décidé vers 7 h 30 (heure de Paris) de procéder au remplissage du réservoir externe d'Atlantis avec près de deux millions de litres d'hydrogène et d'oxygène liquide à très basse température.

L'ultime vol d'une navette vise à livrer 3,7 tonnes de vivres et d'équipements à l'ISS, afin de permettre à l'avant-poste orbital d'être approvisionné pour un an. Pour cette mission de douze jours, la navette emporte un équipage composé de trois hommes et d'une femme : le commandant de bord Chris Ferguson, 49 ans, le copilote Doug Hurley, 44 ans, et deux spécialistes de mission, Sandra Magnus, 46 ans, et Rex Walheim, 48 ans. Les trois navettes restantes de la flotte iront dans des musées américains. Les États-Unis dépendront ensuite des vaisseaux russes Soyouz pour envoyer leurs astronautes à l'ISS, et cela, pendant au moins quatre à cinq ans, le temps qu'un vaisseau américain soit prêt à prendre la relève.

Deux nouveaux inculpés dans le camp Gbagbo

ABIDJAN (© 2011 AFP) - Deux personnalités du camp de l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo ont été inculpées, portant à 24 le nombre de figures du régime déchu poursuivies pour détournements de fonds ou atteinte à l'autorité de l'Etat durant la crise post-électorale, a annoncé vendredi le parquet.
Deux nouveaux inculpés dans le camp Gbagbo

© AFP/archives Seyllou Diallo. Laurent Gbagbo le 26 novembre 2010 à Abidjan

Deux personnes supplémentaires ont été "inculpées et placées en détention préventive" pour infractions à caractère économique, détournements de fonds notamment, et infractions contre la sûreté de l'Etat, a déclaré à l'AFP Habiba Coulibaly, substitut et porte-parole du procureur.

Ces personnes, dont elle n'a pas révélé l'identité, sont détenues à l'hôtel La Pergola, à Abidjan.

Jusque-là, 22 personnes - et non 21, comme initialement annoncé -, dont l'ex-Premier ministre Gilbert Aké N'Gbo et plusieurs anciens ministres, avaient été inculpées d'atteinte à la sûreté de l'Etat. Parmi elles, 15 sont aussi poursuivies pour infractions à caractère économique. Toutes se trouvent à La Pergola.

Ces deux enquêtes distinctes ont été ouvertes après la crise post-électorale conclue le 11 avril avec l'arrestation de M. Gbagbo, qui refusait de reconnaître sa défaite à la présidentielle de novembre 2010.

Quelque 3.000 personnes ont trouvé la mort durant la crise.

Une autre enquête portant sur les "crimes de sang" se poursuit, et n'a pas encore donné lieu à des inculpations. Le parquet militaire mène de son côté sa propre enquête sur les crimes de militaires, policiers ou gendarmes.

La justice ivoirienne a par ailleurs lancé quatre mandats d'arrêt internationaux, visant notamment Charles Blé Goudé, figure de proue de l'ancien pouvoir et chef des "jeunes patriotes" pro-Gbagbo.

Régulièrement donné en exil au Ghana ou au Bénin, M. Blé Goudé s'est dit "prêt à comparaître" devant un tribunal ivoirien si le président Alassane Ouattara est également jugé, dans une récente interview à Radio France Internationale.

Laurent Gbagbo est actuellement en résidence surveillée dans le Nord ivoirien, comme son épouse Simone Gbagbo et 13 autres proches.

Millau. Un couple découvre pour 100 000 euros de pièces d'or dans sa cave

AFP
Pièces d'or
Pièces d'or Jacques Demarthon AFP/Archives

Un jeune couple de Français qui faisait des travaux dans sa cave à Millau a découvert dans le sol un petit pot avec 34 pièces d'or antérieures à la Révolution française, trésor évalué à 100 000 euros, selon un numismate contacté vendredi.

Selon le quotidien le Midi Libre, qui révèle l'information vendredi matin, "le petit pot de terre cuite recouvert d'une tuile" était enfoui à 50 centimètres et abritait "34 pièces d'or datées de 1595 à la Révolution, pendant laquelle elles avaient dûes être cachées".

Le numismate de Millau qui a expertisé les pièces, Marc Aigouy a expliqué par téléphone que "ce couple modeste est ravi mais veut garder l'anonymat". Ils habitent une maison de la rue Droite, la plus vieille rue de la cité de Millau, une ancienne voie romaine.

Il a évalué chacune des pièces entre 1 000 et 6 500 euros. "La majorité des pièces qui avaient été thésaurisées étaient des doubles louis déjà rares à l'époque", explique-t-il.

Selon lui la pièce la plus chère est un double louis d'or de Louis XIII de 1640, dont le relief est intact, avec un poinçon de Jean Varin considéré comme "le maître absolu des graveurs de monnaie" en France à cette époque.

"Je leur ai proposé soit de les accompagner pour organiser une vente aux enchères, soit d'acheter moi-même pour réaliser ensuite la vente aux enchères, j'attends leur réponse", ajoute M. Aigouy.

"On peut dépasser les 100 000 euros avec la participation d'acheteurs américains et japonais" estime-t-il.

Le couple ayant trouvé le trésor lui-même à son propre domicile en est totalement propriétaire.

Si les pièces avaient été découvertes par eux sur un terrain public ils auraient dû partager à 50/50 avec l'Etat, et sur un terrain appartenant à un tiers ils auraient dû partager dans les même proportions avec ce propriétaire, rappelle le numismate.

Syrie: manifestation monstre à Hama où l'ambassadeur américain défie Damas

Capture d'écran YouTube d'une manifestation anti-gouvernement à Hama, le 8 juillet 2011
Capture d'écran YouTube d'une manifestation anti-gouvernement à Hama, le 8 juillet 2011
Capture d'écran YouTube d'une manifestation anti-gouvernement à Hama, le 8 juillet 2011 - AFP

L'ambassadeur américain à Damas a défié le régime syrien en se rendant vendredi à Hama, au coeur de la contestation contre Bachar al-Assad où des centaines de milliers d'opposants manifestaient, provoquant la fureur de Damas qui l'a accusé d'avoir rencontré "des saboteurs".

Dans plusieurs villes de Syrie, les autorités ont ouvert le feu sur les manifestants, faisant au moins trois morts, dont deux dans la capitale, et des dizaines de blessés.

Washington avait annoncé jeudi soir que son ambassadeur Robert Ford était parti jeudi dans cette ville située à 210 km au nord de la capitale afin "d'établir le contact" avec l'opposition de cette ville assiégée par les chars.

Il n'était pas clair si le représentant américain se trouvait aux côtés des dizaines de milliers de manifestants massés vendredi après-midi sur la place al-Assi, dans le centre-ville.

"Plus de 450.000 personnes ont manifesté" sur cette place et dans les rues adjacentes, a dit à l'AFP Abdel Karim Rihaoui, chef de la Ligue syrienne des droits de l'Homme.

"Aucune présence des forces de sécurité n'a été signalée", a-t-il souligné.

Paris a également dépêché jeudi son ambassadeur, Eric Chevallier, à Hama afin de témoigner de "l'engagement de la France aux côtés des victimes", a indiqué le Quai d'Orsay, précisant qu'il avait visité un hôpital.

La visite du diplomate américain a déclenché l'ire des autorités syriennes, selon qui les Etats-Unis sont "impliqués" dans le mouvement de contestation et "incit(ent) à faire monter (la tension), ce qui nuit à la sécurité et à la stabilité en Syrie".

"L'ambassadeur américain a rencontré à Hama des saboteurs (...) qui ont érigé des barricades, coupé des routes et empêché les citoyens d'aller à leur travail. L'ambassadeur a incité ces saboteurs à la violence, à manifester et à refuser le dialogue" avec le régime, a accusé le ministère de l'Intérieur.

Selon un opposant syrien ayant requis l'anonymat, il y a "deux explications plausibles" à l'initiative américaine: "soit l'ambassadeur tente d'établir un point de contact, de jouer un certain rôle entre les habitants de Hama et le régime" pour une transition vers la démocratie; soit il entend "relever le moral des habitants en leur disant que les Etats-Unis les soutiennent" et les protègent par sa présence.

Plus tôt dans la semaine, les Etats-Unis avaient exhorté le régime syrien à retirer ses troupes massées aux portes de Hama, redoutant un bain de sang comme en ont connu depuis presque quatre mois plusieurs autres villes rebelles. Au moins 25 civils ont déjà perdu la vie à Hama depuis mardi.

Damas a envoyé ses chars aux environs de la ville en réaction à une manifestation record vendredi dernier, avec un demi-million de personnes. Face à l'arrivée des troupes, des opposants avaient érigé des barricades dans les rues.

Les militants pro-démocratie avaient appelé à manifester ce vendredi sous le slogan "Non au dialogue" avec le régime de Bachar al-Assad. Plus de 1.300 civils sont morts depuis le début de la révolte, le 15 mars, selon des ONG.

"Non au dialogue: quel dialogue alors que le sang a été versé ? Quel dialogue alors que les villes sont assiégées ? Le peuple veut la chute du régime", écrivent les militants anti-régime sur leur page Facebook intitulée "La Révolution syrienne 2011".

"Hama, continuez de vous mobiliser, les lâches (ndlr, les autorités) n'oseront pas (tirer à balles réelles) en présence de l'ambassadeur américain dans la ville", ont ajouté les militants sur Facebook.

En outre, trois manifestants ont été tués vendredi, deux à Damas et un à Dmeir, à l'est de la capitale, par des tirs des forces de sécurité qui tentaient de disperser des manifestations anti-régime, a annoncé à l'AFP Abdel-Karim Rihaoui, de la Ligue syrienne des droits de l'Homme.

Par ailleurs, au moins 24 personnes ont été blessées à Homs (centre) par les tirs, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), qui a précisé que certains étaient "grièvement blessés".

A Idleb, dans le nord-ouest, "les forces de l'ordre tirent à balles réelles et lancent des grenades lacrymogènes sur des milliers de personnes qui manifestent", toujours selon l'OSDH.

Quelque 6.000 personnes ont également manifesté à Kan Safra, une localité proche, malgré la présence massive de l'armée.

Des protestataires avaient déjà été blessés, dont certains grièvement, jeudi soir dans la localité de Harasta, près de la capitale, par les tirs des forces de l'ordre, d'après l'OSDH.

Maria Shriver Drops $10 Million on New Home

ivillage.com

Tim Mosenfelder/Getty Images

Maria Shriver is moving on -- and out. Days after filing for divorce from husband Arnold Schwarzenegger, Shriver has reportedly bought a new $10 million mansion.

Still, she's not going too far from the house she shared with her soon-to-be-ex. According to TMZ.com, Shriver's new home will be in the same exclusive development as her former home in Brentwood, Calif. Though she has been house hunting for the past six months on the west side of Los Angeles, sources say Shriver purposely stayed close to her old home as to make things easier on the couple's two youngest children, Christopher and Patrick.

If you're worried that the hefty $10 million price tag will set Shriver back, don't be. The Governator will reportedly be handing over a "very generous" amount of cash in the divorce settlement. In addition to splitting the couples' worth, Shriver is also seeking spousal support from Schwarzenegger, as well as attorney's fees.

Shriver and Schwarzenegger announced the end of their 25-year marriage in May, after Schwarzenegger publicly admitted to fathering a child with housekeeper Mildred Baena. On the divorce papers filed last week, Shriver cited "irreconcilable differences" as the reason for their split.

Unemployment rises to 9.2% amid weak June job gains

Payrolls rose by only 18,000, the weakest reading since September, the Labor Department says. The number is far below economists' expectations.

Jobs

A job seeker looks at a bulletin board at an employment center in Richardson, Texas. (LM Otero, Associated Press / July 5, 2011)

U.S. employment growth ground to a halt in June, with employers hiring the lowest number of workers in nine months, dampening hopes the economy was on the cusp of regaining momentum after stumbling in recent months.

Nonfarm payrolls rose only 18,000, the weakest reading since September, the Labor Department said on Friday, well below economists' expectations for a 90,000 rise. Many economists raised their forecasts Thursday after a stronger-than-expected reading on U.S. private hiring from payrolls processor ADP, and they expected gains of anywhere between 125,000 and 175,000.

The unemployment rate climbed to 9.2 percent, the highest since December, from 9.1 percent in May.

The government revised April and May payrolls to show 44,000 fewer jobs created than previously reported. The report shattered expectations that the economy was starting to accelerate after a soft patch in the first half of the year.

The private sector added 57,000, accounting for all the jobs created, with government employment shrinking 39,000 because of fiscal problems at local and state governments.

Economic activity in the first six months of the year was dampened by rising commodity prices and supply chain disruptions following Japan's devastating earthquake in March.

Signs the labor market is struggling is a major blow for the Obama administration, which has struggled to get the economy to create enough jobs to absorb the 14.1 million unemployed Americans.

Throngs of Syrian protesters call for regime's demise

Tens of thousands of Syrians demanding the downfall of the nation's autocratic regime poured into the streets of the central city of Hama on Friday in a powerful rebuttal to both President Bashar Assad's much-doubted entreaties to dialogue and his use of extreme force to suppress a popular revolt against his rule.
"The people want the downfall of the regime," they chanted in a deafening roar, holding a massive Syrian flag as well as olive branches and roses in the city's central Asi Square.

Syrian security forces had launched a sweeping military assault on the city last week after massive protests led to the firing of the provincial governor. This week's crowd appeared to be as large as or larger, perhaps protected in part by the presence of U.S. Ambassador to Syria Robert S. Ford. He visited the city Thursday and possibly remained Friday in what the State Department described as a show of solidarity with the people of Hama, enraging Syrian authorities who described it an American "incitement" and interference in the country's affairs.

Bracing bullets and tear gas from security forces and pro-regime gunmen, tens of thousands of Syrians also took to the streets of cities and towns, including the capital, Damascus, and the second largest city, Aleppo, after prayers Friday, many voicing their rejection of a "national dialogue" conference planned for Sunday.

Activists of a network called the Local Coordination Councils reported security forces and un-uniformed pro-regime enforcers opened fire on demonstrators and attacked them in several Damascus suburbs of Qaboon as well as in downtown Homs, where demonstrators tore down a statue of the elder Assad.

"Oh Hama, Duma is with you until death" they chanted in the restive Damascus suburb of Duma, according to activists. "Leave, Leave -- the people want to topple the regime."

Thousands of protesters in the ethnic Kurdish cities of Qamisli and Amouda chanted, "Azadi!" a call for freedom in a language and culture long suppressed by Assad's chauvinistic Arab regime.

Some observers speculated that security forces would focus their energies Friday on the vast belt of towns and cities around Damascus and the third-largest city of Homs, knowing that the mass demonstrations in Hama could inspire similar outbursts of civil disobedience.

"Around 2,000 protesters came out of the mosque and around it staging a peaceful protest, but that ended when … members of the security forces and shabiha fired tear gas and live ammunition at protesters," a man who gave his name as Hossein told The Times in a rushed telephone interview from the streets of Dumeir, a Damascus suburb.

"There is still gunfire at this moment and they're raiding house by house, one after another," he said. "They're making random arrests and taking anyone they see in the streets. There is one martyr, at least."

Protests also broke out in the beleaguered towns of Idleb province, which until Hama erupted in mass protests were the focus of the Allawite Muslim-dominated security forces' violence.

daragahi@latimes.com

Sandels is a special correspondent.

Ex-News of the World royal editor arrested


Clive Goodman, suspended News of The World royal correspondent arrives at the City of Westminster Magistrates Court in central London August 16, 2006. REUTERS/Alessia Pierdomenico

LONDON | Fri Jul 8, 2011 8:28am EDT

(Reuters) - The former News of the World royal editor, jailed in 2007, was arrested over alleged payments to police, a police source said on Friday.

Clive Goodman was jailed for four months in January 2007 after royal staff members complained about voicemail messages having been intercepted relating to Prince William's knee injury.

The latest arrest was in connection with a police operation looking at alleged payments to police by journalists at the News of the World, part of Rupert Murdoch's News Corp.

(Reporting by Avril Ormsby; editing by Keith Weir)

Tour de France «La pause pipi, c’est tout un art»

Carte postale n°7:
Arrêt pipi sur le Tour 2008.
Arrêt pipi sur le Tour 2008.
AFP Photo JOEL SAGET
Par Liza Chaboussant

Les coureurs roulent en général plus de 5 heures par jour. Ils boivent en moyenne 3 litres d’eau par jour, et même s’ils suent beaucoup en course, la pause pipi est indispensable. Mais le peloton doit respecter certaines règles, notamment celle de ne pas être trop près des spectateurs.

Pagaille au sol après l'interdiction de voler de 6 compagnies aériennes gabonaises

Gabon Airlines, seule compagnie à voler en Europe, est clouée au sol au Gabon.
Gabon Airlines, seule compagnie à voler en Europe, est clouée au sol au Gabon.
(CC)
Par RFI

Au Gabon, la suspension de six des huit compagnies aériennes par le ministère des Transports provoque des perturbations dans les transports gabonais et la colère des compagnies. Trouver des places disponibles, notamment pour Port-Gentil, la capitale pétrolière, est devenu problématique.

C'est une décision coupe-gorge, s'est indigné le patron d'une compagnie suspendue. Désabusé, l'homme a refusé de commenter la décision. Au ministère des Transports comme à l'Agence nationale de l'aviation civile (Anac), personne n'est disponible pour donner plus d'explications sur les griefs formulés contre chacune des six compagnies clouées au sol : Gabon Airlines, 2AG, Sky Services, Afric Aviation, La Nationale et une compagnie dont le nom n'a pas été divulgué.

Dans un communiqué, le ministère a évoqué le non respect des normes sécuritaires édictées par l'Organisation de l'aviation civile internationale. En attendant la mise en conformité des six compagnies, la décision a pris au dépourvu de nombreux voyageurs qui ont tenté de trouver des places dans les avions des compagnies aériennes encore autorisées à voler : Allegiance et Afrijet.

La société Air Tourist Allegiance, qui est gérée par Christian Bongo, n'a pas la flotte suffisante pour répondre à la demande des voyageurs. Afrijet, qui appartient notamment au patron des paris mutuels du Gabon et du Mali utilisent trois jets Falcon et ne sert qu'une clientèle d'hommes d'affaires.

Les voyageurs au départ de Libreville sont aujourd'hui contraints de relier par voie terrestre les destinations desservies habituellement par les compagnies : Franceville à 650 km ou Port-Gentil à 140 km. Cette dernière est aussi joignable par bateau.

L'audit à l'origine de la décision du ministère des Transports avait été commandé suite à un amerrissage forcé d'un avion cargo de DHL Aviation le 6 juin dernier, non loin du lycée Léon Mba de Libreville, sans autres dommages que matériels.

Gabon Airlines, fleuron de la famille Bongo, clouée au sol aujourd'hui, est la seule compagnie aérienne autorisée à voler en Europe.

Un détenu mexicain a essayé de s'évader en se cachant dans une valise.

Le détenu qui voulait se faire la malle

| Photo Reuters

Un détenu mexicain a essayé de s'évader en se cachant dans une valise.

Clément Mathieu - Parismatch.com

Ont-ils vraiment cru que leur plan pouvait marcher ? A bien y réfléchir, la tentative d’évasion de Juan Ramirez Tijerina a quelque chose d’aussi improbable que romantique. Et de drôle aussi, si seulement son histoire et celle de sa femme n’était pas aussi navrante. Le jeune homme, incarcéré dans l’état de Quintana Roo, dans le sud-est du Mexique, a été condamné en 2007 pour détention illégale d’arme à feu. 20 ans. Trop long, surtout quand on a justement 20 ans. Alors, il a voulu se faire la malle.

La valise s’ouvre, les gardes rient

Samedi dernier, 2 juillet, María del Mar Arjona Rivero, quitte le Centre de réhabilitation sociale - la prison - de Quintana Roo, après avoir rendu visite à son mari, Juan Ramirez Tijerina. Elle traine une énorme valise qui parait beaucoup trop lourde pour une jeune femme de 19 ans, enceinte. La voyant en difficulté, un des gardes lui lance une plaisanterie. En nage, elle explique transporter son linge sale. Les hommes qui n’auraient rien soupçonné, viennent l’aider. La valise s’ouvre. Les gardes découvrent Juan Ramirez Tijerina, en slip et chaussettes, caché dedans. La vision déclenche le rire, en crescendo, du personnel de la prison et des codétenus du jeune homme.

La suite est moins drôle. María, a dû être hospitalisée en urgence, pour des complications de sa grossesse. La future mère de 19 ans risque jusqu’à cinq de prison. Elle pourrait éventuellement bénéficier de circonstances atténuantes, puisque l’homme qu’elle a voulu faire évader est son mari. Juan Ramirez Tijerina, arrêté alors qu’il s’apprêtait à décharger deux tonnes de cocaïne d’un avion-cargo, ne sortira pas de prison de sitôt. Peut-être trouvera-t-il un nouveau stratagème pour s’évader. Et s’il y parvient, ce sera surement pour retourner travailler pour le redoutable cartel de Sinaloa, qui met à feu et à sang le Mexique pour vendre de la drogue.

MariaPoint final

Real Madrid : Zinédine Zidane "directeur du football de l’équipe première"









Zizou va endosser son nouveau costume au Real Madrid, plus proche du terrain, l’ancien numéro 10 de l’équipe de France vient d’être nommé "directeur du football de l’équipe première". Un titre aux contours encore flous, mais qui correspond d’une certaine façon a un poste de bras droit de José Mourinho en remplacement de Jorge Valdano, remercié à l’intersaison. Zinédine Zidane aura à priori un regard particulier sur le recrutement et un poste qui évoluera avec le temps.

Diallo aurait menti sur sa demande d'asile

CONAKRY (© 2011 Afriquinfos) – Le frère aîné de la supposée victime, Mamadou Dian Diallo, a accordé des interviews à plusieurs médias français pour expliquer la situation de sa sœur.
Diallo aurait menti sur sa demande d'asile

Dominique Strauss-Kahn

La crédibilité de Nafissatou Diallo, la guinéenne qui accuse Dominique Strauss-Kahn d'agression sexuelle, a été fortement mise à mal ces derniers jours. Le frère de l’accusatrice, Mamadou Dian Diallo, est réapparu dans les médias, pour défendre la réputation de sa sœur.

Dans une interview réalisée en Guinée par le quotidien français Le Monde, il dévoile certains aspects inconnus sur sa sœur, mais défend son honneur dans tous les cas. Mamadou Dian Diallo explique que sa sœur a dû mentir à l’administration pour résider aux Etats-Unis, "comme tous les immigrés".

Le guinéen de 49 ans, a tenu à démentir les informations publiées par le journal américain The New York Post, qui associent sa sœur au trafic de drogues et au blanchiment d’argent. Il croit en son innoncence, et rapporte qu'après la supposée agression Nafissatou Diallo l'a appelé en pleurs et lui a juré qu’elle disait la vérité. Il considère donc inacceptable le possible abandon des charges. "Si le procureur arrête les poursuites, c'est qu'il aura été payé pour le faire" a-t-il dit au journal Le Monde.

Pendant ce temps l’avocat de sa petite sœur, Kenneth Thompson, est aussi réapparu pour défendre sa cliente. Dans une interview pour le quotidien The New York Times, Thompson a expliqué que les procureurs lui ont avoué avoir utilisé un résumé de la conversation réelle que Diallo a maintenu avec un détenu, pour arriver à leurs conclusions. De plus, l'avocat maintient que sa cliente dément totalement la transcription au motif qu'elle serait mal traduite. Keneth Thompson va plus loin et évoque même un conflit d'intérêt savec le bureau du procureur - qu'il accuse de discréditer sa cliente à travers ses constantes fuites auprès des médias - en évoquant le mariage entre un des employés du ministère public et un collaborateur de la défense de DSK.

Le 6 juillet dernier, une réunion s’est tenue entre l’avocat de DSK et le procureur de Manhattan, Cyrus Vance Jr. Après la réunion, le procureur a déclaré que l’enquête se poursuivait et William Taylor, avocat de Strauss-Kahn, a affirmé que son client ne plaidera coupable de rien, même si le procureur lui propose un accord.

Afriquinfos

L'Allemagne entérine définitivement l'abandon du nucléaire

BERLIN - La chambre haute du Parlement allemand (Bundesrat) a entériné vendredi à son tour la loi faisant de l'Allemagne la plus grande puissance économique à ce jour à renoncer à l'atome.

Comme à la chambre basse (Bundestag) il y a quelques jours, une écrasante majorité des représentants des Etats régionaux ont voté en faveur du texte qui prévoit que l'exploitation du dernier réacteur nucléaire sera stoppée au plus tard en 2022.

L'Allemagne revient donc à la situation qui prévalait en 2000, quand les sociaux-démocrates et les Verts au pouvoir avaient déjà décidé l'abandon de l'énergie nucléaire.

Ce calendrier avait été abandonné par la coalition conservateurs/libéraux malgré une opinion publique profondément hostile à l'atome civil, comme prévu lors de la campagne des législatives qui a donné à l'automne 2099 un deuxième mandat à la chancelière Angela Merkel.

Elle a fait volte-face en mars après la catastrophe de la centrale japonaise de Fukushima, et décider d'éteindre au plus vite les réacteurs allemands.


(©AFP /

Rennes : Pitroipa pour quatre ans









Après sept saisons passées en Allemagne (Fribourg puis Hambourg), Jonathan Pitroipa (Burkina Faso) a signé un contrat de quatre ans avec le Stade Rennais. Réputé rapide, agile techniquement et doté d’une bonne qualité de passe, l’attaquant est surnommé "le Christiano Ronaldo burkinabè" dans son pays. Le joueur de 25 ans a joué 121 matches de 2008 à 2011 avec Hambourg pour 10 buts marqués

Obesity Rates Are Increasing in 16 States

Study Shows Colorado Has the Lowest Adult Obesity Rate and Mississippi the Highest
By Denise Mann
WebMD Health News
Reviewed by Louise Chang, MD
Mans belly profile

July 7, 2011 -- Adult obesity rates increased in 16 states during the past year, and none of the 50 states showed any decline in their rates of obesity, a study shows.

The findings are from the eighth edition of the "F as in Fat" report put out by the Trust for America's Health and the Robert Wood Johnson Foundation.

Obesity rates have doubled in seven states since 1995 and increased by 90% in 10 other states; 22 states saw obesity rates increase by as much as 80%, the report shows.

The state with the lowest obesity rate today, Colorado, would actually have had the highest rate in 1995, according to the study.

But the report does offer a glimmer of hope: It marks the first time that there were fewer than 20 states with increasing adult obesity rates.

Glimmer of Hope?

From 2006 through 2008, more than 30 states saw increased rates of obesity. During the following two years, the number of states experiencing increases in obesity rates was in the 20s. This year's report showed 16 states with increasing rates of obesity.

"This is a small victory and does not mean we can ease off the gas pedal," said James Marks, MD, MPH, senior vice president of the Robert Wood Johnson Foundation in Princeton, N.J., during a teleconference.

This trend may be due to local, state, and federal efforts aimed at making communities more walkable as well as increasing the availability of fresh fruits and vegetables.

"We have to assume the glimmer of hope we can identify is due to these actions and many more that are beginning to get traction," he says. "What we hope we are seeing in the decline of the number of states with increasing obesity rates is that these actions are starting to slow the rate of the increase. In the not-too-distant future, we hope you see states turn the corner."

Obesity Rates High in the South

The new report breaks down obesity rates and anti-obesity initiatives by state, regions, and ethnic groups and also documents the rise in obesity-related diseases such as diabetes and high blood pressure.

Nine of 10 states with the highest rates of obesity are in the South, while states in the Northeast and West had lower rates, the report shows. Mississippi had the highest adult obesity rates for the seventh year in a row and Colorado had the lowest (less than 20%).

Twenty years ago, no state had an obesity rate higher than 15%, but today 38 states have obesity rates over 25%. Obesity rates are growing rapidly in Oklahoma, Alabama, and Tennessee and at a slower pace in Washington D.C., Colorado, and Connecticut.

Overall, rates of obesity are highest among members of racial and ethnic minority groups, the study showed. Along with the increase in obesity rates comes a corresponding increase in diseases associated with obesity such as diabetes and high blood pressure.

Magic finale to Harry Potter finale

Rupert Grint, Emma Watson and Daniel Radcliffe at the world premiere of Harry Potter And The Deathly Hallows: Part Two

Rupert Grint, Emma Watson and Daniel Radcliffe at the world premiere of Harry Potter And The Deathly Hallows: Part Two



Stars of the Harry Potter films were joined by thousands of fans to bid an emotional farewell to the series.

Emma Watson and Rupert Grint spent hours meeting fans on the red carpet, which stretched from Trafalgar Square to Leicester Square, for the world premiere of Harry Potter And The Deathly Hallows Part Two on Thursday night.

Daniel Radcliffe, who plays the teenage wizard, told the crowd: "Each and every person, not just here in this square but around the world who have watched these films for the last 10 years, they will always carry the films with them for the rest of their lives."

Thousands of people flooded into central London to say goodbye to the hugely popular series, with many camping out for days, often dressed as characters from the hit films.

Others waved placards reading "Potter 'til I die", "Harry Potter is over. See you in therapy" and "Thank you Jo for my childhood".

The night ended with author JK Rowling joining the cast and crew on a stage in the square where they addressed fans.

Watson, who wiped away tears, made a point of thanking her co-star Grint for making her laugh while he admitted making the films had been "the best part of my life".

Producer David Heyman said the three young stars were "still humble, still enthusiastic and still generous" even after the massive success they had enjoyed.

Rowling also wiped away tears before thanking the actors for "the amazing things they did for my favourite characters". Turning to the fans, she said: "Thank you for queuing up for the books for all those years, for camping out in a wet Trafalgar Square."

Other cast members who walked up the red carpet included Robbie Coltrane, who plays Rubeus Hagrid, Tom Felton who plays Draco Malfoy and Julie Walters who plays Molly Weasley.

Latest: 11:32 Cole harassment orde_ Murdoch closes News of the World over hacking scandal Read more: http://www.belfasttelegraph.co.uk/news/loc

By Ian Burrell, Martin Hickman, Cahal Milmo and Oliver Wright
Friday, 8 July 2011

Rupert Murdoch said phone hacking at the News of the World was 'deplorable and unacceptable'

Rupert Murdoch said phone hacking at the News of the World was 'deplorable and unacceptable

Rupert Murdoch announced the closure of the 168-year-old News of the World yesterday in a desperate attempt to limit the ongoing scandal over phone hacking, as the paper's former editor, Andy Coulson, prepared to be arrested.

The shock decision was revealed to staff at Mr Murdoch's News International newspaper in an email from his son James, the News Corp deputy chief operating officer, who said: "The News of the World is in the business of holding others to account. But it failed when it came to itself."

Journalists raged that they had been betrayed by Rebekah Brooks, News International's chief executive, who faces calls for her resignation, after revelations that the NOTW under her editorship hacked the phone of murdered schoolgirl Milly Dowler.

"Murdoch has sacrificed a newspaper to save one woman," said one member of the newsroom on a day of dramatic developments in the phone-hacking scandal. These include:

Ms Brooks visited the newsroom, where she had a terse exchange with the editor Colin Myler, who will bring out the last edition of the paper this Sunday. It is understood she had discussed resigning with James Murdoch but that she did not make an offer to do so.

The final paper, which News International has decided will feature no advertising, will carry a large apology on its front page. The title – which once sold eight million copies a week – was sacrificed as Rupert Murdoch sought to stop the toxic publicity it has attracted.

James Murdoch said: "Wrongdoers turned a good newsroom bad and this was not fully understood or adequately pursued. As a result, the News of the World and News International wrongly maintained that these issues were confined to one reporter. We now have voluntarily given evidence to the police that will prove that this was untrue and those who acted wrongly will have to face the consequences." He also admitted that the NOTW had given misleading evidence to MPs, saying: "The paper made statements to Parliament without being in the full possession of the facts. This was wrong."

Ms Brooks and James Murdoch are in charge of News International's operations at its headquarters in Wapping, east London, and both have been criticised heavily for their failure to uncover the extent of phone hacking.

Rupert Murdoch has a history of closing newspapers in Britain, having shut down Today, the last national title to fold, in 1996. News International confirmed yesterday that 200 members of staff would be invited to seek jobs elsewhere in the organisation.

In the NOTW newsroom, journalists saw the story flash up on television screens. Animosity was directed towards senior executives, with one member of staff describing Ms Brooks' role in the affair as "morally repugnant".

Mr Myler, who was appointed editor in 2007, with a brief to clean up the paper's reputation, reacted angrily to Ms Brooks' invitation for him to address staff. "I will say some words to my staff after you've gone," he is said to have told her.

Rumours were circulating last night that News Corp was planning to return to the Sunday tabloid market by launching The Sun as a Sunday newspaper and that Mr Murdoch had seized an opportunity to be rid of what had become a damaging brand, as well as making cost savings and improving efficiency. The name "Sun on Sunday" has been registered this week along with the domain name thesunonsunday. co.uk, observers noted.

Critics of News International's handling of the phone-hacking inquiry, including Lord Prescott and the Labour MP Tom Watson, were quick to dismiss the closure of the News of the World as a rebranding exercise, which would not draw a line under the affair.

Mr Watson said: "Rupert Murdoch did not close the News of the World. It [was closed by the] revulsion of families up and down the land. It was going to lose all its readers and it had no advertisers left. They had no choice."

Audio from 123-year-old talking doll 'a pretty big first,' historians say

By Jeff Stein, CNN
A recently recovered recording from the first-ever talking doll was produced for Thomas Edison's business venture in 1888.
A recently recovered recording from the first-ever talking doll was produced for Thomas Edison's business venture in 1888.
STORY HIGHLIGHTS

(CNN) -- A recently recovered recording from the first-ever talking doll could also be the first-ever commercial recording, historians said after the audio was posted online by the National Parks Service Wednesday.

The 12-second recording of "Twinkle, Twinkle, Little Star," captured on a ring-shaped cylinder phonograph, was produced for Thomas Edison's failed talking-doll business venture in 1888. The recording eventually found its way to Jerry Fabris, museum curator of the Thomas Edison National Historical Park, who thought that the hopelessly bent, 123-year-old artifact was condemned to eternal muteness.

Then, a few years ago, Fabris saw engineer Carl Haber give a presentation on a new 3-D scanning technology for old records at a conference held by the Association for Recorded Sound Collections. Fabris brought the tin recording, long since separated from the rest of the doll, to the Lawrence Berkeley National Laboratory, where on May 11 Haber and another scientist successfully reproduced the audio.

"That was really exciting," Fabris said, of "arguably the first commercial recording, the earliest documented example of anyone hiring someone to make records, to perform on records, that would then be sold."

"I was hoping to hear Edison, but I was happy to hear any kind of voice," Fabris said.

Patrick Feaster, a historian of the early phonograph, added that the recording has "a number of different significances."

"This was the very first case of a professional recording for an audience -- before it had really been done only for the novelty," Feaster said. "This is the first instance of someone doing it to earn some money, and that's a pretty big first."

Still, while acknowledging Edison's invention was a breakthrough, Paul Israel, director of the Edison Papers at Rutgers University, noted that Edison's project was a commercial bust.

"While it was a very clever idea, both the doll and the recording were a bit too fragile and complicated for children to use," Israel said, adding that the recent discovery indicates that the sound from the dolls was "not terribly clear."

"You can imagine that the women making these recordings had to shout into the cylinder -- and that comes across in the (recovered audio)."

Feaster said that new technologies such as the one used by Haber were giving historians a new ability to, quite literally, listen to the past.

"It gives us a better understanding of the nature of the technical development of recorded sound; with this recording of the toy doll we have a much better sense of what these recordings sounded like," Feaster said. "Until you hear it, can't have a sense of what it sounded like."

Fabris added that the recording marks a key moment in the history of early sound technology.

"It was an interesting time, with Edison trying to move the phonograph from a laboratory invention to the marketplace, from an invention to an industry," Fabris said. "That was always his stated goal: to invent practical things that could be useful."

NASA fuelling Atlantis in slim hope of scheduled liftoff

The space shuttle Atlantis is seen on the launch pad at the Kennedy Space Center Friday, July 8, 2011, in Cape Canaveral, Fla. (AP Photo/John Raoux)

The space shuttle Atlantis is seen on the launch pad at the Kennedy Space Center Friday, July 8, 2011, in Cape Canaveral, Fla. (AP Photo/John Raoux)

Date: Friday Jul. 8, 2011 6:22 AM ET

CAPE CANAVERAL, Fla. — NASA fuelled space shuttle Atlantis for liftoff Friday on the final flight of the 30-year program, even though stormy weather threatened to delay the launch.

Forecasters stuck to their original 70 per cent chance of thunderstorms or rain, as fuel began flowing into Atlantis' tank in the pre-dawn hours.

Mission managers acknowledged it might seem silly to proceed with fuelling, given the dismal forecast, NASA spokesman Allard Beutel said. They said they would reassess the weather at sunrise and decide whether it makes sense to keep counting down.

The four shuttle astronauts were still asleep when the tanking operation began.

"Have you done your rain dance for the day?" joked Aly Mendoza, the tank and booster rocket vehicle manager.

Atlantis holds a year's worth of supplies -- more than 8,000 pounds -- for the International Space Station.

An estimated 750,000 people are expected to jam Cape Canaveral and surrounding towns for this final shuttle launch, reminiscent of the crowds that gathered for the Apollo moon shots.

By late Thursday, dozens of RVs and other vehicles already had claimed prime viewing spots along the Banana River.

NASA must launch Atlantis by Sunday or Monday, otherwise it will have to wait until at least July 16 because of an unmanned rocket launch scheduled for next week.

The 12-day mission will close out the space shuttle program, which began with the launch of Columbia in 1981. Atlantis will join Discovery and Endeavour in retirement, so NASA can focus on sending astronauts to asteroids and Mars. Private companies will take over the business of getting space station cargo and crews to orbit.

Once Atlantis soars, it will be another three years -- possibly five or more -- before astronauts blast off again from U.S. soil.

This will be the 33rd flight for Atlantis and the 135th shuttle mission overall.

"Everybody should be really proud how we've ended and just finishing strong," Mendoza said.

Massacre suspect takes own life

A police car that was both hit and fired upon during a high-speed car chase through Grand Rapids, Michigan (AP)

A police car that was both hit and fired upon during a high-speed car chase through Grand Rapids, Michigan (AP)



A man believed to have shot dead seven people in Michigan has killed himself during a stand-off with police.

Two hostages he was holding were safe, Grand Rapids police chief Kevin Belk said.

Mr Belk said 34-year-old Rodrick Dantzler shot himself inside a Grand Rapids home where he had been holding the hostages.

Dantzler had earlier released a 53-year-old woman. Two other hostages had remained in the home.

A manhunt for Dantzler began after four people were found dead in one Grand Rapids home and three were found in another. Mr Belk said the dead included two children.

The frantic search included a high-speed chase through central Grand Rapids during which Mr Belk says the suspect shot two other people. They did not suffer life-threatening injuries.

The names of the gunman's victims have not yet been released.

"We believe there were prior relationships with at least one person at each location, so we think there were some difficulties there," Mr Belk said.

Records show Dantzler was released from state prison in 2005 after serving time for assault less than murder. A spokesman for the prison system said he had not been under state supervision since then.

Jennifer Aniston, l’étoile du renouveau

Jennifer Aniston, l’étoile du renouveau

| Photo Mario Anzuoni/Reuters



A 42 ans, Jennifer Aniston vient de recevoir son étoile sur le Hollywood Walk of Fame. Une revanche pour l’éternelle Rachel de «Friends», six ans après son divorce d’avec Brad Pitt.

Kahina Sekkai - Parismatch.com

2011, une bonne année pour Jennifer Aniston. Six ans après un divorce qui lui a valu toutes les couvertures des tabloïds, la carrière de l’actrice semble prendre le dessus sur sa vie sentimentale. Elle sera cet été à l’affiche du film «Comment tuer son boss», dans lequel elle incarne une dentiste nymphomane, prête à tout pour coucher avec son assistant, incarné par Charlie Day. Ce dernier, excédé du harcèlement sexuel qu’il subit, complote avec deux amis pour éliminer leurs patrons respectifs. Et à la veille de la sortie du film aux Etats-Unis, Jennifer Aniston a eu l’honneur de poser ses empreintes pour son étoile sur le prestigieux Hollywood Walk of Fame.

Une sacrée évolution de carrière pour celle qui a été révélée par son rôle de petite fille pourrie gâtée par ses parents dans la série «Friends». En dix ans, grâce à Rachel, elle a réussi à devenir «la petite fiancée de l’Amérique», qui était sous le charme du couple qu’elle formait avec Brad Pitt. Deux des acteurs les plus aimés de leur génération, dont le divorce –après la rencontre de l’acteur avec la tentatrice Angelina Jolie- avait fait de Jennifer Aniston la protégée du public. Malgré quelques flops au cinéma, comme «Le chasseur de primes», elle reste une des actrices les plus prisées des producteurs. Et le succès de «Le mytho» en début d’année le prouve: elle est la troisième comédienne la mieux payée d’Hollywood selon «Forbes», et aurait touché 28 millions de dollars entre mai 2010 et mai 2011.

Une vie sentimentale mouvementée

Et côté vie privée, Jennifer Aniston semble s’être posée. Après avoir cumulé les relations ratées, voire «commerciales» –avec Vince Vaughn, Paul Sculfor, John Mayer ou encore Gerard Butler–, elle filerait le parfait amour avec l’acteur et scénariste, Justin Theroux, depuis le début de l’année. Encore une fois, l’actrice a trouvé son compagnon sur un tournage, celui du film «Wanderlust», dont la sortie est prévue pour l’automne prochain. D’après les témoins, les deux collègues s’entendaient bien, mais sans imaginer à plus. Mais, en octobre dernier, Jennifer Aniston a rappelé Justin Theroux, et c’est ainsi que les deux ont débuté leur relation. Officiellement, rien n’est confirmé, et pourtant, ce serait du sérieux entre eux: le comédien a rompu avec sa compagne, après 14 ans passés ensemble, pour s’installer avec la célibataire la plus célèbre d’Hollywood, et les deux tourtereaux s’affichent de plus en plus. Il était même présent lors de la cérémonie sur Hollywood Boulevard hier.

«Ils étaient super mignons», a raconté à «People» un témoin de leur diner après l’avant-première de «Comment tuer son boss», où elle avait pris le soin de laisser son petit-ami dans la voiture pour défiler sur le tapis rouge seule. Mais au restaurant, «il avait son bras autour d’elle et l’embrassait sur la joue. Ils se murmuraient à l’oreille l’un de l’autre.» Etaient également présentes à ce repas au privé Château Marmont Courtney Cox et Chelsea Handler, deux des amies les plus proches de Jennifer Aniston. Le couple arbore depuis des bagues similaires, laissant croire aux tabloïds à une nouvelle union pour l’actrice.Point final

Birthday wish: 'Lost boys' pin hopes on independent South Sudan

As one of the thousands of "lost boys of Sudan," Mawut Mayen remembers eating mud, hiding from death squads and watching a friend die under an acacia tree after civil war invaded his life, destroyed his village and sent him on an extraordinary exodus from his war-torn homeland.

On Saturday, more than two decades later and half the world away, he will watch with equal measures of hope and trepidation as his homeland formally declares its independence from the north, becoming the Republic of South Sudan.

"There's so much uncertainty and insecurity," said Mayen, now 26, living in the United States and working as an industrial engineer for Boeing. "My people have lived with war all their lives. Let South Sudan be free. It's time to end the suffering."

Image: Map of Sudan
Msnbc.com

Despite the pride and hopefulness that Sudanese refugees like Mayen feel as South Sudan becomes the world's newest country, they also recognize the tremendous challenges that lay ahead.

Lise Grande, who leads the U.N.'s humanitarian operations in South Sudan, told the Associated Press this week that the region is "one of the most underdeveloped on the planet." Only 15 percent of the population can read. Most live on a $1 a day. Education and health facilities are sorely underdeveloped.

Of more immediate concern is fighting that has escalated ahead of Saturday's independence along the ill-defined northern border with Sudan. Observers fear it could reignite the 1983-2005 civil war between the mostly Arab north and the south, where traditional African religions and Christianity are practiced. Despite international calls for a withdrawal, northern troops remain in the disputed border region, dueling with rebels and tribes over control of oil-producing land. Susan Rice, U.S. Ambassador to the U.N., on Thursday called the situation a "fragile and fraught

'I want to live in dignity'
For Mayen, the troublesconjure up memories of the perilous journey that he and some 20,000 other Sudanese children — mostly boys — made through Sudan's unforgiving terrain to refugee camps in Ethiopia and later Kenya in the mid-1980s.

Video: Lost Boy embraces new nation (on this page)

Labeled by experts as some of the most traumatized orphans in history, these boys eventually dispersed as refugees worldwide, including some 3,800 to the United States. They became known as the "lost boys of Sudan" when U.N. workers at the Kakuma Refugee Camp in Kenya named them after the rag-tag orphans from "Peter Pan."

Despite the hardships they endured, the Sudanese who resettled in the U.S. have adjusted to American life better than members of many other refugee groups, according to the Office of Refugee Resettlement at the U.S. Department of Health and Human Services. They have learned English, and have done well in school and at work, in many cases sending money back to relatives in Sudan.

South Sudan

But these successes came at a steep cost, Mayen said.

"People in America ask me, 'What are your goals?'" he said. "If you've ever lived in a refugee camp, your goal is to make it to the next day. Nobody should ever have to go through the pain and suffering that the lost boys did. Children should be able to dream."

Santino M. Akot, 36, of Las Vegas, fled his homeland when he was 14 and has no plans to return.

"There were difficulties coming to America," he said. "You needed resources, like clothes and money. You needed to be able to read and write in English. You had few friends. Everything was new. Everyone wanted your money, money you didn't have."

Video: Life in America (on this page)

Now, Akot is trying to provide a better life for his wife and two children. He earns just enough as a casino worker to "make sure my wife doesn't have to work," he said.

He hopes that his people have similar opportunities in their new country.

"I want to live in dignity," he said. "Now, we look to July 9, a day of great world importance. We have to stay strong here in America and in South Sudan. People of South Sudan deserve to live with their dignity. It is time."

Independence Day celebrations
Many "lost boys" have returned to South Sudan ahead of the formal independence ceremony, to join the thousands in the streets of the new capital, Juba, where a digital clock counts down the minutes to independence day. Celebrations are planned in all of the South's 10 states.

Some plan to do more than rejoice at the nation's birth. Aruna Kenyi, a 21-year-old college student from Portland, Maine, left for southern Sudan in late May to see his family for the first time since 1994.

Kenyi was five when a militia torched his village of Kansuk. Now, the senior from the University of Maine in Farmington plans to spend the summer there and help to set up a nutrition program in the schools.

Another "lost boy," Angelo Maker of Newport News, Va., won't be attending the independence celebration in South Sudan. Since the 2005 peace accord with the north, he has traveled back to his homeland several times to help build schools — some of the basic infrastructure the new nation will need if it is to escape the cycle of violence.

Image: "Lost boy" Angelo Maker and Salva Kiir
Photo courtesy of Julie Hill
"Lost boy" Angelo Maker, left, and Salva Kiir who will be sworn in as South Sudan's president. The picture was taken in the president's office in Juba in July 2010.

"It is time to put down the guns," said Maker, who fled the country when he was seven after fighters from north swarmed his village and killed his family.

"I ran for days, crying with no food or water," said Maker, 31. "I walked toward the sunrises with other war orphans, walking for a thousand miles."

Maker described the changes he saw during his last trip in May. "They're building roads and schools," he said. "Children are gathering under the tree and learning to read and write. I see changes and I see hope."

He also has sought to raise awareness about the situation in South Sudan in the U.S., meeting with celebrities and members of Congress.

msnbc.msn.com

Est RDC: reddition d'un colonel et de ses hommes accusé de plus de 200 viols

GOMA (RDCongo) - Un colonel de l'armée congolaise, accusé avec près de 200 soldats d'avoir commis des viols massifs en juin dans l'est de la RD Congo, s'est rendu jeudi avec ses hommes dans un centre de formation de l'armée congolaise, a indiqué vendredi à l'AFP un porte-parole de l'armée.

Le colonel Niragire Kifaru est sorti hier (de la brousse) avec 116 militaires. Ils se trouvent actuellement au centre de formation de Luberizi, à une centaine de kilomètres au nord du territoire de Fizi, au sud de la province du Sud-Kivu (est), a déclaré à l'AFP le lieutenant-colonel Sylvain Ekenge, porte-parole de l'armée dans la région.

Il n'a pas négocié les conditions de sa reddition puisqu'il n'y a pas de conditions à négocier. On lui a intimé l'ordre de sortir et il est sorti de la brousse. Il reste à la disposition des autorités en attendant les résultats de l'enquête militaire. Il n'est pas détenu, a-t-il ajouté.

Selon l'officier, l'enquête est menée par la justice militaire avec quatre magistrats, la police judiciaire, un officier des opérations militaires, deux officiers de sa milice Maï Maï, qui ne l'ont pas suivi, et des agents de la section des droits de l'homme de la Mission de l'ONU en République démocratique du Congo (Monusco).

Le colonel Kifaru, ancien membre d'une milice Maï Maï, aurait déserté d'un centre militaire début juin avec près de 200 soldats, dans le territoire de Fizi. Ils auraient attaqué entre le 10 et le 12 juin les villages de Nyakiele, Kanguli et Abala.


(©AFP /