01 avril, 2011

Mystérieuse visite à Londres d'un envoyé du fils Kadhafi

LONDRES (AFP)

AFP/EURONEWS/Archives

Le fils du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, Seif Al-Islam, dans un entretien sur la chaîne Euronews diffusé le 16 mars 2011.

Un proche conseiller du clan Kadhafi à Tripoli a passé plusieurs jours à Londres cette semaine et a rencontré des responsables britanniques avant de regagner Tripoli, a indiqué vendredi la BBC.

Le quotidien The Guardian a été le premier a évoquer dans son édition de vendredi la visite à Londres de Mohammed Ismail, un proche conseiller de l'un des fils de Mouammar Kadhafi, Seïf al-Islam.

Interrogé vendredi matin, le Foreign Office a indiqué "nous n'allons pas fournir un compte-rendu au jour le jour de nos contacts avec les responsables libyens."

"Dans tous les contacts que nous avons, nous disons clairement que Kadhafi doit partir", a souligné le porte-parole, sans pour autant confirmer la visite.

Selon la BBC, Mohammed Ismail aurait été envoyé à Londres pour tenter de trouver une porte de sortie au dirigeant libyen.

The Times donne une autre version, assurant qu'il s'agissait d'une simple "visite familiale", et que le gouvernement britannique, profitant de l'occasion, l'aurait chargé d'un message au colonel Kadhafi.

Citant une source anonyme au sein du gouvernement britannique, le Guardian avait précisé que la rencontre secrète n'était que l'une de celles organisées ces deux dernières semaines entre les deux pays.

Mohammed Ismail est présenté comme un personnage-clé de l'entourage de Saïf al-Islam et a représenté Tripoli dans des négociations d'achat d'armements, dans des télégrammes diplomatiques révélés par WikiLeaks.

L'information intervient au lendemain de la défection de l'ancien chef des services de renseignement et ministre libyen des Affaires étrangères Moussa Koussa, arrivé mercredi soir sur le petit aéroport anglais de Farnborough, après une mystérieuse "visite privée de 48 heures" en Tunisie.

Le même jour, le chef de la diplomatie britannique, William Hague, avait annoncé l'expulsion de cinq diplomates libyens, soupçonnés de menacer la sécurité des opposants libyens.

Allemagne: Angela Merkel opérée d'un genou

BERLIN - La chancelière allemande Angela Merkel, 56 ans, a été opérée avec succès du genou gauche jeudi soir et va devoir marcher quelques jours avec des béquilles, a annoncé son porte-parole Steffen Seibert vendredi.

L'intervention chirurgicale liée à une lésion au ménisque interne gauche s'est "déroulée avec succès" et la chancelière a "pu quitter l'hôpital jeudi soir", selon M. Seibert.

Il a précisé que la chef du gouvernement, qui a été opérée dans un grand hôpital berlinois, travaillait de chez elle ce vendredi mais participerait à l'inauguration de la foire de Hanovre (nord) dimanche où elle doit tenir un discours.

Mme Merkel sera en compagnie du Premier ministre français François Fillon, dont le pays est cette année invité d'honneur de la Foire de Hanovre.

En revanche, elle n'effectuera pas de visite de stands comme elle devait le faire lundi matin.

Le ménisque est un petit cartilage situé entre le fémur et le tibia. Il a stabilise le genou et joue un rôle d'amortisseur.

M. Seibert a assuré que l'opération de la chancelière n'était liée ni à une chute ni à un accident.

(©AFP

Les Français prévoient de moins partir en vacances cette année

droit-finances.commentcamarche.net
Les Français prévoient de moins partir en vacances cette année
Deux tiers des Français (66%) devraient partir en vacances cette année, selon Protourisme, jeudi 31 mars. Comme l'avait déjà indiqué Relaxnews en février dernier, en se fondant sur les chiffres préliminaires du cabinet d'ingénierie touristique, cela représente une baisse des intentions de départ de 6 points par rapport à 2010. Interrogé par Relaxnews le 18 février dernier, époque où les chiffres n'étaient que préliminaires, Didier Arino, directeur associé de Protourisme, soulignait déjà qu'il s'agissait de "la pire étude jamais réalisée" par le cabinet. Autre constat : le budget vacances sera en baisse de 7% en 2011.

D'après Protourisme, 3 millions d'individus renonceraient à leurs vacances cette année.
D'après ces résultats définitifs, plus de la moitié des partants (52%) disent opter pour la France. 23% s'envoleront pour l'étranger alors qu'un quart (25%) assure prévoir les deux. Le pays pourrait gagner les faveurs des touristes étrangers comme français en raison de l'instabilité du Maghreb et du Moyen-Orient ajouté à l'augmentation soutenue des tarifs vers les autres destinations.
Le budget vacances des Français devrait en outre chuter pour atteindre 2.079 euros en moyenne (-7,2%), comme l'avait indiqué Relaxnews au début du mois.
Les sondés estiment qu'ils dépenseront 99 euros par jour en moyenne, comme l'an dernier. La différence viendrait de la durée des séjours, qui tombera à dix-huit jours contre vingt-trois en 2010. Selon l'étude, commentée par Didier Arino du cabinet Protourisme, les Français se serreront la ceinture sur les sorties au restaurant en premier lieu, suivi des cadeaux et de l'hébergement.
Protourisme a réalisé son étude auprès d'un échantillon de 3.028 personnes de 15 ans et plus par téléphone et 2.050 personnes via Internet, du 22 janvier au 7 mars dernier. La méthode des quotas croisés a été utilisée.

Pas d'alliance pour le prince William

lexpress.fr/Pas d'alliance pour le prince William

Prince William fait du football australien au Nord de Melbourne,le 21 mars 2011.

David Cheskin/REUTERS

Selon le magazine People, le prince ne souhaite pas porter de bague. Que l'on se rassure, Kate Middleton aura droit à son bijou bling-bling.

Scandale! Selon un porte-parole de la famille royale, cité par le magazine américain People, le prince William ne portera pas d'alliance. En revanche, la mariée Kate Middleton, pourra exhiber un anneau doré très spécial. La bague sera fabriquée avec de l'or issu d'une ancienne mine du Pays de Galles. Cette petite quantité d'or a été conservée par la famille royale depuis longtemps et la reine en a donné une partie en cadeau à William il y a plusieurs années. Un joailler a été chargé d'en faire un anneau pour Kate.

Cette désicion de ne pas porter son alliance vous surprend-t-elle? Portez-vous votre alliance? Sinon, pourquoi?

Miami: Nadal affrontera Federer en demi-finale

TENNIS - L'Espagnol élimine Tomas Berdych en trois sets...

Après 22 confrontations, les deux hommes commencent à bien se connaître. Le 23e face-à-face entre Roger Federer et Rafael Nadal aura lieu samedi, en demi-finale du tournoi Masters 1000 de Miami après la victoire de l’Espagnol face à Tomas Berdych, en trois sets 6-2, 3-6 et 6-3. Pour rejoindre le Suisse dans le dernier carré, le numéro un mondial a donc sorti l'artillerie lourde. Bousculé par le Tchèque jusqu’au huitième jeu de la troisième manche, Nadal a breaké Berdych avant de conclure sur son service.

Le retour de Sharapova

De son côté, Federer n’a pas beaucoup sué pour sortir Gilles Simon. Le numéro 3 mondial a profité de l'abandon du Français, handicapé par un torticolis. Simon n’est resté que dix minutes sur le court, jetant l’éponge à 0-3 dans le premier set.

Chez les femmes, Maria Sharapova fête son retour en grâce. L’ancienne numéro 1 mondiale retrouve la finale d'un tournoi pour la première fois depuis 2009 (à Tokyo). Elle a battu en demi-finale Andrea Petkovic en trois manches 3-6, 6-0, 6-2. La Russe, qui affrontera Viktoria Azarenka en finale, s’assure aussi une place dans le top 10 au classement WTA. Une première depuis 2008.

R.S.

Euro-2012. La Bosnie suspendue, la France perd un adversaire

LaDepeche.fr
Mathieu Valbuena et Karim Benzema lors du match contre la Bosnie le 7 septembre 2010.
Mathieu Valbuena et Karim Benzema lors du match contre la Bosnie le 7 septembre 2010. Boris Horvat AFP

La Fifa et l'UEFA ont tranché ! La Bosnie-Herzégovine a été exclue de toute compétition internationale à partir du 1e avril et jusqu'à nouvel ordre.

Selon le site officiel de l'instance dirigeante du football européen, la Bosnie n'a pas "adopté les statuts selon les exigences minimales de l'UEFA et de la Fifa". En effet, la présidence de la fédération bosnienne de football est constituée de trois personnes, ce qui est contraire aux règlements de la Fifa et de l'UEFA. Le 29 mars dernier, la 'assemblée général de la fédération bosnienne n'a pas modifié ce mode de fonctionnement. En conséquence de quoi les instances internationales du football ont suspendu la Bosnie-Herzégovine de toutes les compétitions internationales que ce soit en clubs ou en équipe nationale, jusqu'à ce que la situation soit conforme aux règlements internationaux.

La France, dans le même groupe, perd donc provisoirement un adversaire dans la course à la qualification à l'Euro-2012.

Nicolas Sarkozy en grosse tête: "Rendez-nous notre Zozo"

lepost.fr


Il était 19h30, jeudi soir, quand une soixantaine de riverains ont manifesté à Angers pour réclamer le retour de la grosse tête « Zozo ».

Une grosse tête qui représentait la caricature de Nicolas Sarkozy et qui se trouvait dans une cage avec la mention « Zozo Doué », au rond-point de l’Horloge, lieu de la manif.

Cette grosse tête devait ouvrir le carnaval d’Angers, samedi.

Une "création" de la maison de quartier du Lac du Maine.

« Zozo » avait été embarquée il y a une semaine au commissariat de police de la ville après la plainte du directeur du Zoo de Doué-la-Fontaine.

Une plainte qui depuis a été retirée, indique Ouest France.

Le parquet enquête toujours sur cette "éventuelle" offense au chef de l'Etat.

Jeudi, les manifestants ont scandé en chœur « Rendez-nous notre zozo ! ».

Puis avant de se séparer, ils ont déposé des nains de jardin, des bougies et une photo de la « grosse tête » de Nicolas Sarkozy portant l’inscription « Rendez-nous Zozo ».

Les joyeux lurons n’ont pas manqué d’observer une minute de silence…

Demain, le carnaval aura lieu dans les rues d’Angers.

Mais sans Zozo...

Crise en Côte d'Ivoire: Gbagbo traqué, encerclé, et même en fuite?

D'après Jeune Afrique, le président battu aurait fui. Sa situation semble désespérée.

De la fumée s'échappe du centre ville d'Abidjan
De la fumée s'échappe du centre ville d'Abidjan | REUTERS

Abandonné par ses soutiens
L'évènement déterminant de la journée de jeudi n'a pas forcément été l'encerclement d'Abidjan par les forces rebelles. Mais la fuite du général Mangou, homme fort du régime Gbagbo, qui par son autorité et son charisme avait tenu l'armée à bout de bras. Réfugié dans l'ambassade d'Afrique du Sud avec femme et enfants, il lâche le président déchu, envoyant le signal que pour lui, la partie est perdue.

Lâché par les pays voisins
D'après le spécialiste de l'Afrique, Antoine Glazer dans Le Figaro, "le Burkina Faso et le Nigéria ont probablement contribué à armer et entraîner les forces rebelles." Et ce discrètement, car une partie des pays de la région étaient favorable au président sortant (l'Angola par exemple), et que le Nigéria, principale force de la région, a une présidentielle et des législatives sur le feu ces prochains jours. Mais le résultat est là: la progression des forces pro-Ouattara a été fulgurante.

Entouré par un dernier carré de fidèles
Si l'issue de ce qui est en train de devenir la bataille d'Abidjan ne fait guère de doute, son déroulement, lui, peut varier. Cela va dépendre de la volonté de Gbagbo de se battre jusqu'au bout, dans son quartier de la ville bunkérisé, entouré par un mouvement de jeunesse appelé les Jeunes Patriotes, fanatisés par Charles Blé Goudé, leur leader. Abidjan, où 55% des électeurs ont voté Gbagbo à la dernière présidentielle (qui remonte à fin novembre!): mais un soulèvement populaire en faveur du président sortant paraît peu probable. C'est surtout la lassitude qui prévaut parmi les civils, confrontés depuis des mois à des restrictions sévères (approvisionnement en nourriture difficile, difficultés pour retirer de l'argent à la banque, milices nocturnes pour se protéger des pillards...)

Acculé sans porte de sortie?
D'après Libération, des diplomates s'activent en coulisses pour proposer (à nouveau) à Gbagbo une porte de sortie en exil. Mais rien ne dit que les violences cesseraient avec le départ du président sortant. Alassane Ouattara a assuré que "son intégrité physique sera assurée". "Il reste à savoir si le camp Gbagbo comprend que le jeu est fini ou s'il préfère jouer Fort Alamo", résume un diplomate, cité par lemonde.fr. Un haut responsable militaire confie au Parisien son analyse: "Gbagbo ne partira que les pieds devant." Même s'il quittait le pays, la justice internationale cherchera à lui mettre le grappin dessus. Pourtant, d'après Jeune Afrique, le président déchu est en fuite.

Carla Bruni renonce à la chanson pour Nicolas Sarkozy

LaDepeche.fr
L'épouse de Nicolas Sarkoz Carla Bruni dans le sud-ouest de la France, le 12 septembre 2010
L'épouse de Nicolas Sarkoz Carla Bruni dans le sud-ouest de la France, le 12 septembre 2010 Lionel Bonaventure AFP

Carla Bruni-Sarkozy prend son rôle de première dame très au sérieux. La chanteuse a décidé de ne pas sortir d'album avant 2012 afin de soutenir son mari qui va se consacrer à l'élection présidentielle.

Alors que son nouvel album était prévu pour septembre 2011, Carla Bruni a volontairement mis sa carrière de côté au profit de celle de son mari. Ses fans devront donc patienter jusqu'à 2012 pour trouver son nouvel opus dans les bacs. Les plus impatients devront se contenter de la reprise de Douce France en italien, dévoilée par Le Midi Libre en février. La chanteuse sera aussi une des vedettes du Festival de Cannes 2011 puisque le film Midnight in Paris de Woody Allen, dans lequel elle fait ses classes, sera projeté en ouverture du festival. Le film sortira sur les écrans français le 11 mai prochain.

Quand l'or redeviendra monnaie

La Chine est tranquillement en train de construire ses réserves d'or. Elles totalisaient 600 tonnes en 2004. Puis, en avril 2009, on nous a annoncé qu'elles s'élevaient à 1 054 tonnes. Et il se murmure depuis Pékin que les banquiers centraux veulent multiplier ce chiffre par dix.

Entre-temps, la Chine a légèrement réduit ses parts dans le Trésor américain pendant trois mois d'affilée. L'avoir total en janvier était de 1 150 milliards de dollars -- en baisse de 1,75% depuis octobre.

Ce sont là les premières étapes vers ce qui peut être considéré comme la "remonétisation" de l'or -- ce qui arrivera bientôt à l'Amérique.

L'histoire est un pendule.

"Une fois que l'or et l'argent-métal ont été inscrits dans la constitution", observe notre ami David Baker, ancien vérificateur général aux comptes américains, "personne n'aurait pensé qu'ils seraient remplacés par le papier en moins de 60 ans". Mais le pendule a oscillé ; les Etats de l'Union ont émis leurs célèbres billets verts au cours de la guerre de Sécession.

Puis le pendule est revenu à son point de départ, les critiques du billet vert purent "avec succès mettre en avant un programme de rétablissement de l'or. Mais avant la Conférence économique mondiale de Londres en 1933, le monde aura été choqué par le rejet par Roosevelt de l'étalon-or". Le pendule oscille à nouveau.

Aujourd'hui, "une série de crises, comme ce fut le cas à Rome, pourrait au final faire revenir le pendule vers l'or", écrit Baker.

▪ En d'autres termes, nous nous approchons de la fin du règne de l'étalon-dollar que nous avons évoquée dans Le déclin du dollar. Les moins de quarante ans n'ont jamais connu qu'un monde dans lequel toutes les monnaies de la planète flottent librement les unes par rapport aux autres, et ce monde est sur le point de mourir. Et Baker investit en conséquence.

Fin 2010, il a commencé à accumuler les actions d'une petite société minière aurifère appelée Orezone. "Notre coût initial était de 78 cents ; aujourd'hui il est de 3,61 $", nous expliquait Baker au cours d'un après-midi d'hiver dans son bureau situé à la périphérie de Baltimore. "J'ai liquidé les deux tiers des actions que je possédais et elles représentent encore l'une de nos plus importantes positions. Je ne peux m'en empêcher !"

C'est là un bon problème. Et il se pose à Baker parce que celui-ci souhaite aller plus loin qu'un gestionnaire de portefeuille classique... aussi loin que le Burkina Faso. Arrêtons-nous un instant pour situer ce pays sur une carte, ainsi vous pourrez vous repérer (si, enfant, vous étiez un fana de géographie, vous l'avez connu sous le nom de Haute Volta).

"Je lis les publications trimestrielles de ces gestionnaires de hedge funds", nous raconte Baker, entouré de photos de famille, de CD de compositeurs comme Brahms et d'un tas d'études sur les entreprises. "Ils sont réellement absorbés par la vision macro-économique, mais ils ne savent pas vraiment ce qu'ils font, ils se contentent donc d'acheter des GLD [les ETF sur l'or]".

"Ou bien ils embaucheront deux célèbres analystes canadiens. Puis, j'étudie ce qu'ils possèdent ; ils possèdent Gabriel Resources parce que John Paulson en possède. Cela ne craint rien. Ou bien ils ont acheté une quelconque grande entreprise sud-africaine parce qu'elle est bon marché par rapport aux réserves dans le sol lorsqu'ils l'analysent au travers de leur sélecteur d'actions".

"Ils n'ont pas de politique cohérente pour ce qui est de réellement connaître le fond des choses, et pour réellement trouver ces entreprises dont personne n'a entendu parler".

Baker si. Sa société, Gaineswood Investment Management, a pris d'importantes positions dans de minuscules sociétés minières aurifères travaillant en dehors des sentiers battus d'Amérique, d'Australie et d'Afrique du Sud.

Le Burkina Faso est en plein milieu d'une formation géologique appelée la ceinture birimienne... la plus riche source de croissance pour les minières aurifères ces dernières années.

Plusieurs minières en Afrique occidentale ont fait mieux encore en consolidant leurs avoirs fonciers. "Au Canada, 12 entreprises peuvent se partager un district. Une entreprise peut posséder un bloc ou un demi bloc. Mais en Afrique occidentale, ces types possèdent tout. Ils ont beaucoup de temps devant eux, beaucoup de terre et aujourd'hui ils ont levé beaucoup plus d'argent, ils peuvent donc continuer à avancer... et nous continuerons à recueillir ces surprises qui vont dans le bon sens".

"Telle est notre philosophie : trouver une opportunité là où, par exemple, une seule équipe a trouvé 1,2 million d'onces d'or. Mais avec toutes les nouvelles découvertes qu'ils font, ils vont probablement bientôt annoncer qu'ils en ont trouvé deux, puis 2,5, et l'année prochaine ils annonceront trois puis 3,5 puis quatre... et ce n'est pas fini grâce à cette gigantesque région qui reste encore à explorer".

▪ Avant d'aller plus loin, que les choses soient claires : Bill Baker n'est pas un chercheur d'or classique. Il n'est pas plus le trader classique qui joue le marché actions à la baisse.

"Le timing ou la possibilité d'une catastrophe financière est impossible à prévoir", écrit Baker dans Endless Money. "Au mieux, ce pourrait être comme une alerte ouragan : la tempête pourrait frapper ici, ou bien là, ou bien elle pourrait être déclassée en tempête tropicale ou bien elle pourrait se diriger complètement ailleurs".

Mais cela ne signifie pas que les investisseurs ne devraient pas se préparer aux catastrophes financières... ou à la mort des devises papier. Les catastrophes financières deviennent de plus en plus probables dans ce monde trop endetté qu'est le nôtre... et la mort des devises papier devient de plus en plus une certitude. Le meilleur moment pour se préparer est de le faire à l'avance.


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Russie: le président Medvedev limoge 10 généraux de la police

MOSCOU (AFP)

AFP/KREMLIN POOL/Archives

Le président russe Dmitri Medvedev, le 21 mars 2011 à Moscou

Le président russe Dmitri Medvedev a relevé de leurs fonctions dix généraux du ministère de l'Intérieur, dont plusieurs responsables régionaux de la police, a annoncé vendredi le Kremlin, qui a lancé une vaste réforme de la police notamment en raison de la corruption.

Les généraux limogés comprennent notamment le ministre de l'Intérieur de la république de Iakoutie (Sibérie), le chef de la police de la région de Voronej (centre), le chef adjoint de la police de la région d'Ekaterinbourg (Oural), indique le communiqué du Kremlin.

La présidence ne précise pas les motifs de ces limogeages.

Une source au ministère russe de l'Intérieur citée paer l'agence Ria Novosti a affirmé qu'il y avait "plusieurs motifs" à ces limogeages, certains généraux ayant atteint la limite d'âge, d'autres ayant demandé à être relevés de leurs fonctions, et d'autres encore dans le cadre de la réforme de la police.

Le président russe a déjà limogé une douzaine de hauts responsables du ministère de l'Intérieur et de la police depuis le début de l'année.

M. Medvedev a lancé une vaste réforme de la police russe notamment en raison de la corruption, un mal endémique en Russie qui touche particulièrement les forces de l'ordre.

Cette réforme prévoit notamment la révision des effectifs des forces de l'ordre.

Un tiers des délits de corruption sont commis par des policiers, selon des statistiques officielles.

Côte d'Ivoire: la bataille d'Abidjan fait rage, Gbagbo n'a "pas l'intention de se rendre


ABIDJAN (AFP)

Les forces d'Alassane Ouattara prêtes à s'emparer du palais présidentiel le 1er avril 2011 à Abidjan

La bataille d'Abidjan faisait rage vendredi, les troupes d'élite du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, qui s'accroche désespérément au pouvoir, opposant une résistance acharnée aux combattants de son rival Alassane Ouattara autour de sa résidence et du palais présidentiel.

Laurent Gbagbo n'a "pas l'intention d'abdiquer ou de se rendre à un quelconque rebelle" et dénonce un "coup d'Etat" de son rival Alassane Ouattara, a déclaré vendredi à l'AFP son représentant en Europe, Toussaint Alain, joint à Paris.

Dans le quartier administratif du Plateau (centre), près du palais, les rafales de fusil d'assaut kalachnikov et les tirs d'arme lourde ont résonné toute la nuit, dont certains d'une très forte intensité faisaient trembler les murs des immeubles, ont constaté des journalistes de l'AFP. Les rues étaient désertes, les habitants restaient terrés chez eux.

Situation identique dans le quartier chic de Cocody (nord), près de la résidence présidentielle.

AFP

Carte de Côte d'Ivoire situant les lieux d'affrontements dans le pays et à Abidjan

"Ca n'arrête pas de tirer. Les hommes de Gbagbo résistent sur l'ensemble de leurs positions", a rapporté un habitant tôt dans la matinée. "On entend des coups très sourds d'artillerie, des (lance-roquettes) RPG-7, des mitrailleuses lourdes", a-t-il ajouté.

Un peu plus tard, seules des armes légères retentissaient, et pas dans les environs immédiats de la résidence, a-t-il précisé.

Alors que la ville avait été livrée à la violence et aux pillages, quelque 150 ressortissants français et 350 étrangers d'autres nationalités ont été accueillis depuis jeudi soir sur le camp de Port-Bouët de la force française Licorne à Abidjan, selon l'état-major des armées françaises à Paris.

Les combats très intenses entre les militaires fidèles au président sortant et les Forces républicaines d'Alassane Ouattara, reconnu président par la communauté internationale, ont débuté jeudi soir à Abidjan, la métropole ivoirienne constituant l'ultime objectif des forces pro-Ouattara.

AFP/Archives

Des forces pro-Ouattara le 26 mars 2011 dans le quartier Abobo à Abidjan

Lundi, les Forces républicaines, qui contrôlaient le nord du pays depuis 2002, ont lancé une vaste offensive vers le Sud, pour mettre un terme à la crise née du scrutin présidentiel contesté du 28 novembre ayant fait, selon l'ONU, près de 500 morts, essentiellement des civils.

Elles ont très vite progressé, ne rencontrant guère de résistance sauf dans l'Ouest, région dont est originaire M. Gbagbo, prenant notamment la capitale politique Yamoussoukro (centre) et le plus important port d'exportation de cacao au monde, San Pedro (sud-ouest).

Au cinquième jour de l'offensive, deux questions étaient sur toutes les lèvres: que va faire Laurent Gbagbo, et se trouve-t-il encore dans sa résidence?

Au pouvoir depuis 2000, il ne s'est pas exprimé publiquement depuis des semaines. Son discours à la Nation, maintes fois annoncé, n'est jamais arrivé.

Les forces pro-Ouattara ont dit avoir pris au début des combats la télévision d'Etat RTI, symbole du régime, le privant ainsi d'un moyen de communication essentiel.

AFP

Des miliciens pro-Gbagbo le 31 mars 2011 dans une rue d'Abidjan

Va-t-il démissionner pour éviter un bain de sang à Abidjan, comme l'y exhortent la communauté internationale et le camp Ouattara?

La fin de son régime n'a jamais paru aussi proche mais, jeudi soir, un porte-parole, Toussaint Alain, était catégorique: "il n'a pas l'intention de démissionner, il n'abdiquera pas, il va mener la résistance aux côtés du peuple ivoirien", a-t-il assuré à l'AFP.

Va-t-il se réfugier dans une ambassade étrangère, comme l'affirme la rumeur? Son chef d'état-major des armées, le général Philippe Mangou, a déjà fait défection mercredi soir et s'est réfugié à l'ambassade sud-africaine à Abidjan. Ou se battra-t-il, entouré d'un petit groupe d'irréductibles, jusqu'à la mort?

"Il faut que Laurent Gbagbo se rende pour éviter un bain de sang. On espère qu'il le fera, sinon on viendra le chercher là où il est. S'il démissionne, c'est bien, sinon il sera traduit devant la justice internationale", avait averti jeudi soir Guillaume Soro, Premier ministre de M. Ouattara.

De nombreuses organisations internationales ont affirmé que lui et ses proches étaient susceptibles d'être poursuivis pour "crimes contre l'humanité" et "crimes de guerre" en raison des exactions commises par ses troupes sur les civils.

Libye: des combats autour de Brega, la coalition gênée par le mauvais temps

PRES DE BREGA (Libye) - Des combats opposaient vendredi rebelles et forces fidèles au dirigeant Mouammar Kadhafi près du site pétrolier de Brega, dans l'est de la Libye, alors que le mauvais temps gêne depuis plusieurs jours la coalition dans ses raids aériens.

La ligne de front se situait dans la matinée aux environs de Brega, mais pour la première fois les journalistes ne pouvaient approcher la zone depuis Ajdabiya (80 km de Brega), selon des reporters de l'AFP.

Il était impossible dans l'immédiat de savoir de source indépendante qui contrôlait Brega (800 km à l'est de Tripoli).

Selon le plus haut gradé américain, l'amiral Mike Mullen, "le plus gros problème (de la coalition) ces trois ou quatre derniers jour a été le temps".

"Cela plus qu'autre chose a réduit, sans l'éliminer, l'efficacité" des avions chargés des frappes, qui parfois ne peuvent pas "voir les cibles avec précision", a-t-il expliqué.

Les conditions météorologiques ont permis aux forces loyalistes de mener leur contre-offensive vers l'Est alors que les lignes rebelles étaient étirées, selon lui.

Le chef de la diplomatie allemande, Guido Westerwelle, a estimé à Pékin que le conflit ne pourrait pas être résolu par les armes et appelé Mouammar Kadhafi à un cessez-le-feu.

"La situation en Libye ne peut pas être résolue par des moyens militaires. Il peut seulement y avoir une solution politique et nous devons mettre en route un processus politique", a-t-il déclaré.

"Cela devrait démarrer avec un cessez-le-feu respecté par Kadhafi pour pouvoir démarrer un processus de paix", a ajouté M. Westerwelle.

Si ses troupes ont marqué des points sur le terrain ces derniers jours, Mouammar Kadhafi a en revanche subi un revers sur le plan politique avec le départ pour Londres, annoncé mercredi soir, de son ministre des Affaires étrangères Moussa Koussa, une des principales figures du régime.

"Sa démission montre que le régime de Mouammar Kadhafi, qui a déjà enregistré des défections significatives, est divisé, sous pression et s'effondre de l'intérieur", a déclaré jeudi le chef de la diplomatie britannique, William Hague. "Il s'entretient actuellement de son plein gré avec des responsables britanniques".

Cette défection est "un coup dur" pour Kadhafi et montre que l'entourage du dirigeant n'a plus confiance en son régime, a estimé un porte-parole de la Maison Blanche.

Moussa Koussa, 59 ans, est connu pour avoir activement participé ces dernières années au retour de la Libye dans le concert des nations fréquentables. Il avait été nommé ministre en mars 2009, après avoir été chef des services de renseignements de 1994 à 2009.

Le porte-parole du régime, Moussa Ibrahim, a confirmé la démission de M. Koussa, en soulignant que le régime "ne dépendait pas d'individus". Il a assuré que Kadhafi et ses enfants resteraient dans le pays "jusqu'à la fin".

Le quotidien britannique The Guardian a rapporté qu'un proche conseiller du clan Kadhafi était en pourparlers avec le gouvernement britannique. Mais le Foreign Office s'est refusé à commenter l'information selon laquelle des responsables britanniques avaient rencontré Mohammed Ismail, proche d'un des fils de Kadhafi, Saïf al-Islam, pour des discussions confidentielles.

Jeudi, le colonel Kadhafi avait affirmé que les dirigeants occidentaux avaient "décidé de lancer une seconde croisade entre musulmans et chrétiens à travers la Méditerranée".

"Ils ont commencé une chose grave qu'ils ne peuvent contrôler et qui sera hors de leur contrôle quels que soient les moyens de destruction dont ils disposent", avait-il dit.

L'Otan a pris jeudi matin le commandement de toutes les opérations, assumées depuis le 19 mars par la coalition menée par les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne.

Selon son secrétaire général Anders Fogh Rasmussen, la mission de l'alliance sera accomplie "quand il n'y aura plus de menaces contre la population civile", mais il est impossible de dire à quel moment cela sera le cas.

Il s'est opposé à l'idée d'armer les rebelles, estimant que l'Otan intervient militairement "pour protéger le peuple libyen, et non pour armer le peuple".

Sur le plan humanitaire, un navire humanitaire, en provenance de Malte avec 150 tonnes d'aide médicale et alimentaire, a pu apporter un soutien jeudi aux habitants de Misrata, assiégée depuis plus de 40 jours par les loyalistes, selon un journaliste de l'AFP à bord.

Quelque 7.000 personnes, venues pour la plupart du continent africain, sont par ailleurs prises au piège dans cette ville, la troisième du pays, où elles vivent dans un camp de fortune.

(©AFP /

Abidjan: combats à l'arme lourde dans le quartier du palais présidentiel

ABIDJAN - Des combats à l'arme lourde se déroulaient dans la nuit de jeudi à vendredi à Abidjan dans le quartier central du Plateau, abritant le palais présidentiel, symbole du pouvoir du président sortant Laurent Gbagbo, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Après des tirs sporadiques d'armes légères durant la journée, des tirs très intenses d'armes lourdes ont été entendus à partir de minuit (locale et GMT) et ont duré environ une demi-heure.

Les forces du président reconnu par la communauté internationale Alassane Ouattara livraient au même moment des combats dans le périmètre de la résidence de M. Gbagbo, dans le quartier de Cocody (nord), où elles ont dit avoir pris la télévision d'Etat RTI.

(©AFP

Les forces pro-Ouattara affirment avoir pris la TV d'Etat à Abidjan

ABIDJAN - Les forces du président ivoirien reconnu par la communauté internationale, Alassane Ouattara, ont pris le contrôle de la télévision d'Etat RTI à Abidjan, a affirmé vendredi à l'AFP le porte-parole du ministère de la Défense de M. Ouattara, le capitaine Léon Kouakou Alla.

"Nous nous sommes emparés de la RTI, les Forces républicaines sont à la RTI", a-t-il précisé.

Plusieurs habitants interrogés par l'AFP dans la soirée ont confirmé la coupure du signal.

Des combats à l'arme lourde étaient livrés dans la nuit dans le périmètre de la résidence du président sortant Laurent Gbagbo, en plein quartier chic de Cocody, qui abrite le siège de la RTI.

M. Gbagbo "doit partir, c'est l'objectif à atteindre. Donc on doit s'emparer du palais présidentiel au quartier du Plateau (centre) et de la résidence présidentielle de Cocody", a ajouté le capitaine Alla.

Les forces pro-Ouattara ont lancé lundi une offensive éclair vers le sud, et sont entrées dans la nuit dans la capitale économique ivoirienne afin de mettre un terme à une crise post-électorale ayant fait depuis fin novembre près de 500 morts, essentiellement des civils.

(©AFP

L`organe de sécurité de l`Afrique australe demande à Gbagbo de partir

Les dirigeants d'Afrique
australe, réunis jeudi en sommet à Livingstone, dans le sud-ouest de la
Zambie, ont appelé le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo à quitter
immédiatement le pouvoir "pour éviter de nouveaux bains de sang".
"Le sommet a appelé M. Laurent Gbagbo à remettre le pouvoir au vainqueur
internationalement reconnu de l'élection présidentielle ivoirienne, M.
Allassane Ouattara, avec effet immédiat, afin d'éviter de nouveaux bains de
sangs", ont-ils déclaré dans leur déclaration finale.
Le sommet de Livingstone réunissait le président namibien Hifikepunye
Pohamba, président en exercice de la Communauté de développement d'Afrique
australe (SADC), et ses homologues mozambicain Armando Emilio Guebuza,
sud-africain Jacob Zuma et zambien Rupiah Banda, membres de la "troïka",
l'organe de sécurité de la SADC.
Au quatrième jour de l'offensive des forces soutenant Alassane Ouattara,
reconnu président ivoirien par la communauté internationale, M. Gbagbo a vu
jeudi son appareil sécuritaire s'effondrer, tandis qu'Abidjan était livrée aux
violences et aux pillages.

Abidjan: combats à l'arme lourde dans les environs de la résidence de Gbagbo

ABIDJAN - D'intenses combats à l'arme lourde se déroulaient jeudi soir à Abidjan dans les environs de la résidence du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, ont rapporté à l'AFP des habitants.

"Il y a des combats à l'arme lourde dans le périmètre de la résidence de Gbagbo", située dans le quartier chic de Cocody (nord), a déclaré l'un d'eux.

Depuis 22H00 (locales et GMT), "les tirs sont intenses, et ça tire dans quatre ou cinq directions à la fois. Il y a du monde", a-t-il ajouté.

Deux autres résidents de la zone ont confirmé que le quartier était secoué par le vacarme des tirs.

Au quatrième jour de l'offensive des forces soutenant Alassane Ouattara, reconnu président ivoirien par la communauté internationale, M. Gbagbo a vu son appareil sécuritaire s'effondrer, tandis qu'Abidjan était livrée aux violences et aux pillages.

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Algérie: Bouteflika vante les énergies renouvelables

AFP
Algérie: Bouteflika vante les énergies renouvelables Algérie: Bouteflika vante les énergies renouvelables © AFP

Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a indiqué jeudi que la concrétisation du programme national des énergies renouvelables était au "coeur de la stratégie de lutte contre le chômage et la précarité", en Algérie où le taux de chômage dépasse 20% chez les jeunes.

"Ce programme, qui est d?une importance extrême pour l?Algérie, sera accompagné de mécanismes d?aide à l?emploi et d?un système efficace de soutien aux investissements qui servira de locomotive au développement durable", a déclaré M. Bouteflika dans un message lu en son nom par un de ses conseillers. Le message est adressé aux participants à une journée de réflexion sur le programme des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique.

L'Algérie prévoit d'investir environ 60 milliards de dollars d'ici 2030 pour développer la production des énergies renouvelables, notamment de l'électricité solaire destinée au marché national.

M. Bouteflika a précisé que la mise en oeuvre de ce projet "est ouverte aux opérateurs publics et privés et nécessite la réalisation d?un réseau de sous-traitance nationale pour la fabrication des équipements entrant dans la construction des centrales solaires et éoliennes".

"Des emplois nouveaux seront, en outre, crées grâce aux projets de modifications thermiques, qui seront apportés dans les différents secteurs de l?Industrie, de l?habitat et des transports", a-t-il dit.

En Algérie, le taux de chômage chez les jeunes, qui atteignait 50% il y a dix ans, reste toujours élevé, à plus de 20%, selon le Fonds monétaire international (FMI)

Le chef de l'Etat a promis que l'aide de l'Etat aux promoteurs locaux publics et privés sera "conditionnée" par "l?obligation" de création d?emplois en Algérie.

"Notre stratégie vise à développer une véritable industrie du solaire, associée à un programme de formation et de capitalisation qui, à terme, permettra à nos cadres d?acquérir un savoir-faire efficient notamment en matière d?engineering et de conduite de projets", a-t-il dit.

Ce programme vise à produire une énergie renouvelable de près de 22. 000 MW d?ici 2030 dont 12. 000 MW pour couvrir la demande locale et 10. 000 MW destinés à l?exportation "si les conditions y sont favorables", a ajouté M. Bouteflika