10 novembre, 2010

ATTENTAT DE KARACHI - Accoyer pourrait inscrire la demande du juge au bureau de l'Assemblée



Source AFP


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Bernard Accoyer (UMP) envisage d'inscrire à l'ordre du jour du prochain bureau de l'Assemblée la demande d'un juge d'instruction d'accéder au compte rendu des auditions parlementaires sur l'attentat de Karachi en 2002. Le président de l'Assemblée nationale envisage d'"inscrire à l'ordre du jour" du prochain bureau de l'Assemblée, en décembre, "la question de principe soulevée par la demande d'un juge d'instruction d'obtenir communication des enregistrements d'auditions non publiques d'une commission d'information parlementaire", a indiqué son entourage.

Des parties civiles dans l'enquête sur l'attentat de Karachi ont annoncé mercredi leur intention de porter plainte pour "entrave à la justice" contre Bernard Accoyer, qui a refusé jusqu'à présent de transmettre à la justice le contenu d'auditions de la mission parlementaire sur l'attentat de Karachi.

BÉBÉ SECOUÉ - Une nounou condamnée à deux ans de prison ferme



Source AFP


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Une assistante maternelle de 51 ans, accusée d'avoir secoué un bébé dont elle avait la charge et qui était décédé peu après, a été condamnée mercredi à cinq ans de prison, dont trois avec sursis, à l'issue de son procès aux assises de Loire-Atlantique. L'accusée a été placée sous mandat de dépôt et elle a, en outre, l'interdiction définitive d'exercer une activité en contact avec les enfants. "Trois à quatre ans" de prison ferme avaient été requis par l'avocat général, tandis que la défense réclamait l'acquittement au bénéfice du doute.

Le 18 avril 2006, les parents de Louan, âgée de près de cinq mois, l'ont confiée pour la troisième journée à cette assistante maternelle agréée à Savenay (Loire-Atlantique). À l'heure du déjeuner, la nounou s'est précipitée chez ses voisins pour prévenir les secours, car le bébé n'allait pas bien. Hospitalisée dans un état neurologique "très perturbé", Louan est décédée le 13 mai 2006, près d'un mois après son admission. Les analyses pratiquées par les médecins légistes ont conclu à un décès "des suites d'un traumatisme causé par un secouage violent".

Après plusieurs heures de garde à vue, l'assistante maternelle a reconnu, "agacée" par les pleurs de l'enfant, "l'avoir saisie de manière brusque sous les aisselles sans prendre soin de lui maintenir la nuque". Mais elle a toujours nié farouchement l'avoir secouée violemment.

OBAMA – ASIA

U.S. President Barack Obama has told the United States’ economic partners that their own prosperity is linked to America’s, and that all must work together to ensure a global recovery.

Mr. Obama released his message in a letter Wednesday to 20 leaders of the world’s largest economies, known as the G20. The group is set to meet Thursday in Seoul, South Korea.

In the letter, Mr. Obama says the United States will do its part to restore strong economic growth and keep world markets calm. He says the most important contribution the United States can make toward this goal is to boost the economic recovery at home by creating jobs and raising incomes.

He says increasing consumer demand in countries with surpluses, and increasing savings in countries with deficits, can spur strong global growth.

Mr. Obama could be on the defensive at the summit, due to the U.S. central bank’s plan to buy $600 billion in long-term government bonds. Some nations say this will give American goods an unfair advantage on world markets.

Trade balances and currency exchange rates have emerged as top issues at the summit. China is under pressure to allow the value of its currency to rise. That would make its exports more expensive and reduce its huge trade surplus, which rose by more than 50 percent in the last month alone.

Earlier Wednesday, wrapping up a visit to Indonesia, Mr. Obama delivered a major speech saying the United States is not and never will be at war with Islam.

In his speech at the national university in Jakarta, the president said the al-Qaida terrorist network and its affiliates have no claim to be leaders of Islam or any other religion.

Some information in this story was provided by AP.

Le canular qui a affolé la Haute-Garonne

internet

Le canular qui a affolé la préfecture
Le canular qui a affolé la préfecture
Le canular qui a affolé la préfecture

Un canular circule sur internet depuis quelque temps. Quelquefois assorti d'un logo de la préfecture, cet « hoax » - comme on appelle communément ce type de message - annonce l'arrivée d'une métamphétamine à la fraise, à destination des enfants.

Cela s'appelle « Strawberry Quick » ou encore « Strawberry met » en référence à la métamphétamine dont cette nouvelle drogue serait la variante acidulée. Ce serait une sorte de fraise tagada qui « grésille et pétille dans la bouche », et envoie ses très jeunes usagers, dès que sonne la cloche, « planer » au-dessus de leur cour de récré.

Ce canular venu d'internet
a pris de telles proportions que la préfecture de Haute-Garonne s'est fendue d'un communiqué indiquant qu'il s'agissait d'une fausse mise en garde, et qu'il convient de ne surtout pas relayer cet « hoax ». Il faut dire que « l'alerte » circulant sur la toile est rédigée comme un message officiel de la préfecture de Haute-Garonne, dotant même le message d'un logo du ministère de l'intérieur… pour donner à l'histoire encore plus de crédibilité.

La rumeur, de l'arrivée de cette drogue fictive, largement relayée sur internet, a même donné lieu à la création de groupes sur les réseaux sociaux dont Facebook. Loïc Armand, directeur par intérim du cabinet du Préfet de la Haute-Garonne, précise que ce genre de canular est rarissime. Le message pouvait être facilement identifié, via ses erreurs d'orthographe. Il précise par ailleurs qu'« aucun cas de deal de drogue dans les écoles primaires n'a jusqu'à présent été rapporté ».

Il reste toutefois conseillé d'inviter les enfants à la prudence face à tout inconnu leur faisant quelque proposition que ce soit. Les enfants, quant à eux, peuvent continuer à engloutir les fameux bonbons à la fraise en toute quiétude. Le seul véritable risque pour eux se limitant aux caries !

Huit mois de prison ferme pour un étudiant "casseur" de Lyon

Reuters



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LYON (Reuters) - Le tribunal de Lyon a condamné mercredi à huit mois de prison ferme un étudiant qui avait participé aux violences en marge des manifestations lycéennes de la mi-octobre.

Le tribunal a condamné Fabien Philipoff, 22 ans, à 12 mois de prison dont six avec sursis pour "rébellion". Il a également été condamné à deux mois de prison ferme supplémentaires pour avoir refusé de se soumettre à des tests ADN.

Le tribunal a également prononcé une peine de deux ans de privation de ses droits civiques, civiles et de famille ainsi que 3.500 euros de dommages et intérêts.

L'étudiant avait le 15 octobre cassé le doigt d'un policier qui venait de l'interpeller après qu'il avait brisé les vitres de cinq voitures.

Le tribunal a accordé au jeune homme, qui vient de passer un mois en détention préventive à la prison de Corbas, un régime de semi-liberté. Il lui permet de reprendre ses activités, mais l'oblige à rentrer chaque soir au centre de détention.

Cette condamnation est la plus importante de toutes celles prononcées pour les violences constatées en marge des manifestations étudiantes.

L'étudiant en licence de Sciences politiques a été présenté comme un "casseur" par le parquet et les parties civiles.

"C'est un authentique casseur", a dit dans son réquisitoire le procureur de la République. "Il faut faire la part des choses entre les vrais casseurs, ceux qui viennent pour ça, qui préméditent leur action, et les collégiens, et Fabien Philipoff fait partie de la première catégorie."

Il a brandi à l'audience un tract retrouvé en plusieurs exemplaires sur le jeune homme conseillant notamment, pendant les manifestations, de ne pas porter de papiers d'identité, d'éviter la vidéosurveillance, de se masquer, de se munir de sérum physiologique contre les gaz lacrymogènes et de refuser de donner son ADN et ses empreintes digitales.

Le prévenu a partiellement reconnu les faits qui lui sont reprochés, notamment "avoir cassé quelques voitures mais pas toutes celles de la rue", et blessé involontairement le policier en se débattant pendant son arrestation.

"Il s'agit d'un gosse de 22 ans", a fait valoir l'avocat du jeune homme, David Metaxas.

Catherine Lagrange, édité par Yves Clarisse

Pourquoi signer la convention sur les sociétés militaires privées

Jean Guisnel

Défense ouverte

Le Point.fr



Pourquoi signer la convention sur les sociétés militaires privées

Les sociétés militaires privées peuvent signer une convention © Sipa


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Bruno Delamotte, 40 ans, est le président du directoire de la société Risk & Co, qui se définit comme "spécialiste français du conseil en sûreté et intelligence stratégique". L'entreprise compte 120 employés, travaille sur tous les continents et réalisera 16 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010. Bruno Delamotte signera prochainement la convention sur les sociétés militaires privées, que la Suisse a mise au point. Il a accepté d'expliquer au Point.fr les raisons de ce choix, et revient sur le contexte politico-économique français autour des sociétés militaires privées.

Le Point.fr : Quelle attitude comptez-vous adopter vis-à-vis de la convention sur les sociétés militaires privées, que la Suisse propose à la signature des États et des entreprises ?

Bruno Delamotte : Nous avons demandé la communication des "instruments" nécessaires et mon entreprise va la signer. Nous adhérons aux principes fondateurs de cette convention qui cadre de manière cohérente les activités des entreprises de sécurité. Elles s'obligent ainsi à respecter les droits de l'homme en s'interdisant officiellement de recourir à la torture ou à l'emploi des armes à des fins offensives, etc. Il n'y aura aucune ambiguïté entre nos activités et celles de mercenaires, que nous ne voulons pas pratiquer. Nous sommes dans une situation de défenseurs, en aucun cas d'agresseurs.

Mais est-ce mal d'être un "mercenaire" ?

Tout dépend de ce que recouvre ce terme. En France, il est connoté de façon négative. C'est beaucoup moins vrai dans le monde anglo-saxon, sans doute parce que les références sont différentes. Personnellement, ce terme me pose un problème quand on l'associe à un rôle offensif. Mais je n'assimile pas le simple fait de porter une arme à du mercenariat.

Votre entreprise compte 120 personnes. Combien d'entre elles sont susceptibles de porter une arme ?

Aujourd'hui, aucun personnel de Risk & Co ne porte d'arme. Et pas plus de 15 de nos employés seraient susceptibles d'être concernés par des missions qui l'exigent. Mais actuellement, le contexte ne se prête pas à ce qu'une entreprise française propose ces prestations. Nos clients français ne sont d'ailleurs pas demandeurs, sauf concernant l'Irak et l'Afghanistan, mais ils s'adressent alors à des prestataires anglo-saxons que nous guidons. Dans les autres cas, les Français s'appuient sur des forces de sécurité locales assistées par un expatrié. Et très rarement sur des moyens privés. L'objectif étant de se prémunir des conséquences pénales d'une éventuelle fusillade. Hors d'Irak et d'Afghanistan, les Anglo-Saxons ne sont pas très éloignés de cette position.

Est-ce à cause des contraintes de la loi française que vos employés ne portent pas d'armes ?

Mais il n'y a aucune interdiction française à porter une arme à l'étranger ! Si nous ne proposons pas ce service, c'est, encore une fois, qu'il n'y a pas de demande. La loi sur le mercenariat de 2003 ne concerne pas notre situation. Fournir des gardes armés à l'étranger ne nous poserait aucun problème juridique, ni aucun souci vis-à-vis des autorités françaises. C'est l'usage qui pourrait être fait des armes qui pourrait être répréhensible, pas le fait d'en détenir. De plus, l'arme est l'arbre qui cache la forêt. Cela impose des autorisations, des voitures blindées, etc. Autant de moyens aussi complexes à réunir que coûteux au point d'être souvent hors de portée des sociétés françaises.

Dès lors que cette convention existe, des entreprises comme la vôtre peuvent-elles poursuivre leurs activités sans la signer ?

Chacun voit midi à sa porte. À mes yeux, tout ce qui va vers une régulation internationale de notre activité est souhaitable, car il s'agit d'une activité mondialisée. Il faut s'extraire du piège d'une réglementation française trop contraignante. Actuellement, le gouvernement réfléchit sur les bonnes mesures à prendre pour faire émerger de bons outils de régulation et inciter à l'apparition d'acteurs français dans ce domaine. J'espère qu'il ne réfléchit pas uniquement à une loi, car ce n'est pas ainsi que l'on créera un "champion national". Ce n'est pas un schéma franco-français qui permettrait de nous jauger face à nos concurrents. Il faut voir la situation lucidement : dans ce secteur, de nombreuses entreprises ont leur siège en France, tout en gérant leurs activités depuis des pays tiers. Nous sommes à Dubaï, d'autres sont à Londres, à Malte ou en Irlande.

Quelles sont les difficultés des entreprises françaises de votre secteur ?

Nous avons sans doute un problème de taille critique vis-à-vis de nos concurrents anglais et américains. Risk & Co va réaliser 16 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010, ce qui équivaut à celui, cumulé, d'entreprises comme Épée, Amarante, Anticip Consultants, Gallice Security, et quelques autres encore. Or nos concurrents anglo-saxons ne nous regardent même pas si nous n'atteignons pas 20 millions de dollars de chiffre d'affaires. Un véhicule blindé pour transporter des hommes d'affaires sur le sol irakien coûte au bas mot 100.000 euros, et certains concurrents en possèdent 150 ! Nous devons grandir, très vite, et nous adapter, sous peine d'être définitivement exclus du marché, en prenant soin d'éviter les montages branlants et autres reconnaissances strictement hexagonales agitées comme un étendard pour mieux cacher une certaine vacuité des prestations.

Lutte contre le banditisme Six présumés malfrats aux arrêts


La Brigade de recherche de la gendarmerie de Ouagadougou a animé une conférence de presse au camp Paspanga de Ouagadougou, le mardi 9 novembre 2010. La rencontre a permis de faire le point de l’arrestation de six bandits qui opéraient dans les secteurs n°6, 24 et 25 de Ouagadougou.

La brigade de recherche de la gendarmerie de Ouagadougou a appréhendé un réseau de six présumés bandits qui sévissaient dans les secteurs n°6, 24 et 25 de Ouagadougou. "En effet, à partir d’avril 2010, la brigade de recherche a enregistré 15 plaintes relatives aux cambriolages de magasins et de boutiques dans les différents secteurs de la ville de Ouagadougou", a précisé le lieutenant Issa Paré, commandant la compagnie de gendarmerie du Kadiogo. Procédant aux investigations, les éléments du lieutenant Issa Paré ont pu mettre la main sur un taxi et les six membres sur sept du groupe dont le chef de gang est le sieur Idrissa Sawadogo dit "Dri" qui avait pu échapper au démantèlement de l’année dernière.

"Les autres éléments du groupe sont Issouf Porgho, Abdoulaye Ouédraogo dit Ablassé, Issouf Ilboudo, Saïdou Gnoumou (le chauffeur du groupe) et Bassirou Bagagnan. Ce dernier identifiait les boutiques et magasins à cambrioler. Le fugitif répondant au nom de Yannick sans autre précision est détenteur des pistolets", a affirmé le commandant de la compagnie de gendarmerie du Kadiogo. Le matériel et les moyens utilisés par les malfrats pour dépouiller leurs victimes étaient constitués d’un taxi servant de transport des marchandises, de pistolets, de cordes et d’outils sophistiqués (marteaux, tournevis, cisailles).

A l’aide de ces outils, ils tenaient en respect les vigiles et forçaient les cadenas et les serrures des portes des boutiques et magasins pour y accéder . Au cours de leurs opérations, les bandits ont emporté des marchandises diverses à savoir : 140 cartouches de cigarettes, 20 cartons de savon, 5 sacs de riz de 50 kg, 26 bidons d’huile de 20 l, 1 bidon d’huile de 5l, 4 cartons de cube Maggi, des cartes de recharge d’une valeur de 101 000 F CFA, 60 pièces de trois pagnes, une moto de marque Nano et une forte somme d’argent estimée a environ 3 000 000 F CFA.

Idrissa Sawadogo, récidiviste…

En février 2009, la brigade de recherche de la gendarmerie a démantelé un groupe de 5 bandits armés, composé essentiellement de repris de justice, qui cambriolaient les boutiques et magasins dans la ville de Ouagadougou. Au cours de l’interpellation de ce groupe, trois ont été déférés et deux ont pu échapper pour se rendre en Côte d’Ivoire. L’un des fuyards (Idrissa Sawadogo dit Dri) n’a pas lâché prise et est revenu au Burkina Faso et a reconstitué un autre groupe qui opère de la même façon, avec le même mode opératoire.

Selon le lieutenant Issa Paré, le démantèlement de ce réseau de malfrats qui a sévi pendant longtemps, a été possible grâce à une bonne collaboration de la population en particulier des personnes de bonne foi. "Nous exhortons encore une fois la population à collaborer davantage avec les forces de défense et de sécurité dans la lutte inlassable contre l’insécurité qui mine nos villes et campagnes", a-t-il conclu.

sidwaya

Cholera Reaches Haitian Capital

Haitian authorities have confirmed at least 73 cases of cholera in Haiti’s capital Port-au-Prince, where officials fear a possible escalation of the epidemic.

The deputy director of the Pan American Health Organization, Dr. Jon Andrus, said the crowded capital is “ripe for the spread of cholera” because of the poor water and sanitation conditions.

Speaking in Washington Tuesday, Andrus said there will likely be a large upsurge in the number of cases in the city in the coming days.

Andrus said although the impact of Hurricane Tomas was less than expected, flooding pushed rivers over their banks and likely aggravated the health crisis.

Hundreds of thousands of people have been living in tent cities in Port-au-Prince since January’s devastating earthquake.

Andrus said his agency expects the cholera epidemic to continue next year, with some 270,000 cases possible.

Haiti’s health ministry says 583 people have died in the cholera outbreak. Earlier Tuesday, medical officials confirmed the first fatality from the disease in Port-au-Prince.

The general director of the Ministry of Health, Gabriel Timothe, described the epidemic as a problem of national security with more than 9,000 people being hospitalized since the outbreak began late last month.

U.S. State Department spokesman P.J. Crowley says the United States is working with Haiti to control the outbreak. He says Haiti has launched an aggressive response, and he notes that the mortality rate has fallen significantly compared to the number of cases.

Officials first reported the outbreak in the Artibonite region north of the capital, and the disease has spread to half of the Caribbean nation’s 10 administrative regions.

The ingestion of contaminated food or water causes cholera, which can quickly lead to severe dehydration and death.

Some information in this story was provided by AP, AFP and Reuters.

Report Finds ‘Significant Weaknesses’ in US Effort to Stop Mexico Gun Trade

The U.S. Department of Justice says efforts to keep U.S. firearms out of the drug war in Mexico been hampered by failures of a federal agency tasked with tracing and seizing the weapons.

A report by the department’s Office of Inspector General says the Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives has significant weaknesses in its plan to stop the cross-border gun trade.

The report criticizes the agency’s “Project Gunrunner” for targeting less important arms dealers, instead of higher-level traffickers and smugglers.

It also says the ATF does not consistently share strategic information with its partners in Mexico and the United States.

In response, ATF Deputy Director Kenneth Melson pointed out some of the agency’s successes, such as increased investigations of suspected traffickers and gun dealers. He said the agency is committed to building on these successes and improving the program.

Some information in this story was provided by AP and Reuters.

New Latvian FM Survives No-confidence Vote

Latvia’s new Foreign Minister Girts Valdis Kristovskis has survived a no-confidence vote after being accused of making derogatory comments about the country’s Russian-speaking minority.

Lawmakers Tuesday voted 51 to 36 in favor of Kristovskis who took office only a week ago. The opposition called the vote after the publication of emails the foreign minister exchanged with a Latvian doctor, critical of ethnic Russians in the Baltic state.

Kristovskis rejected allegations that he agreed with discriminatory remarks.

He became foreign minister in the center-right government of Prime Minister Valdis Dombrovskis last week.

The Russian-speaking minority make up more than a quarter of Latvia’s 2.2 million population.

Russian-speaking settlers came to Latvia and other Baltic states during the Soviet communist era, which ended in 1991.

They frequently complain of discrimination.

Some information in this story was provided by AFP and Reuters.

Emile Paré recrute à la frontière du Niger



Parti tôt de Ouagadougou, Emile Paré et son équipe ont parcouru 320 km pour aller recruter leurs électeurs parmi la population de Matiakoali, à moins de 100 km de la frontière du Niger, le lundi 8 novembre.

A Matiakoali, commune rurale située à 94 km de Fada N’Gourma, des femmes et des hommes dansent au son du Dandjéngou (Kundé) et de calebasses. Sous un flamboyant ombragé, ils se partagent du zoom-koom. Entre-temps, une camionnette arrive de Fada, descend de jeunes gens, un groupe électrogène et du matériel de sonorisation. Chanteurs et danseurs retrouvent de l’entrain et de l’énergie. C’est dans cette ambiance de fête que le Dr Pargui Emile Paré a fait son entrée à Matiakoali. La population est alors debout au cri de « Emile Paré au pouvoir », « MPS, au pouvoir ».

Pour faire passer son message, le leader socialiste s’est démarqué du candidat Blaise Compaoré, le président sortant qu’il attaque, attaque dès qu’il en a l’occasion. Ainsi a-t-il fait comprendre à la population de Matiakoali qu’en 23 ans de pouvoir, Blaise Compaoré n’y est pas encore venu. « Aujourd’hui je suis avec vous aux confins du Burkina Faso pour montrer que le monde paysan est le fer de lance de notre développement économique », a-t-il dit. Mais il a surtout demandé à la population de lui faire confiance parce qu’il est « capable de transformer le Burkina Faso » sur la base des ressources humaines et naturelles disponibles. De Matiakoali, il a lancé l’idée d’un développement à la fois spécifique et complémentaire des régions.

Il s’agit, selon lui, de développer chaque région selon ses potentialités économiques dans un esprit d’unité nationale et non dans l’esprit où chaque ministre draine les investissements de son département vers sa province natale. A ce propos, il a suggéré d’ancrer le développement de la région de l’Est dans la transformation des produits laitiers et plus généralement agropastoraux.

Des vieux et des coutumiers au meeting de Paré

Alors qu’il était toujours accueilli par la frange jeune lors de ces derniers meetings, le candidat soutenu par le Collectif pour une alternance progressiste (CAP, 4 partis) a rencontré de nombreuses personnes âgées parmi lesquelles, des chefs coutumiers. « Salue les papas et les mamans », a lancé le candidat ; une phrase qui ne faisait pas partie des ses habitudes jusque-là. La veille, il avait lancé une attaque en règle contre les chefs coutumiers qu’il a accusés de mobiliser la population au profit d’un seul candidat, le président sortant. Il avait aussi demandé aux jeunes d’expliquer à leurs parents absents à son meeting, que leur avenir est avec le candidat du CAP.

Matiakoali représente la 5e sortie et le 3e meeting du Dr. Paré. Ses lieutenants en ont profité pour montrer à la population comment voter et qui voter le jour du 21 novembre 2010. Le candidat à voter sans hésiter selon eux, celui « qui est en bas, seul et burkinabè (boubou traditionnel), celui qui prendra la place des autres (candidats) qu’on a mis ensemble », a soutenu le directeur national de la campagne du candidat, Kofi Palé. « Allez chercher vos cartes avant que le CDP ne les fasse disparaître », a-t-il ajouté en riant.

Après quelques conciliabules, son équipe de campagne a repris la route de Fada N’Gourma. Une assemblée prévue dans la cité du Yendabili n’a finalement pas eu lieu. Après les Hauts-Bassins, le Centre-Nord, le Plateau central et la région de l’Est, "le Chat noir" compte diriger sa machine vers le Centre-Sud, puis le Sud-Ouest.

sidwaya

Guerre d'Irak, supplice de la baignoire: Bush ne regrette rien

Guerre d'Irak, supplice de la baignoire: Bush ne regrette rien

Guerre d'Irak, supplice de la baignoire: Bush ne regrette rien


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Guerre en Irak, suspects soumis au simulacre de noyade: dans ses mémoires publiés mardi aux Etats-Unis, George W. Bush assume les décisions les plus emblématiques de sa présidence et assure qu'il referait la même chose pour "défendre les Américains".

"Je suis fermement convaincu que renverser Saddam (Hussein) était une bonne décision", écrit l'ex-chef d'Etat dans "Decision Points", ses mémoires qui sortent mercredi en français sous le titre "Instants décisifs".

L'ancien président (2001-2009) assure toutefois que "personne n'a été aussi écoeuré et en colère que moi quand on n'a pas trouvé d'armes de destruction massive" en Irak, alors que cela avait justifié les hostilités contre le régime de Saddam Hussein.

Mais "l'Amérique est plus sûre sans un dictateur meurtrier qui cherche à se procurer des armes de destruction massive et soutient le terrorisme au coeur du Moyen-Orient", ajoute M. Bush, dont l'intervention en Irak en 2003 a profondément divisé les alliés occidentaux.

George W. Bush raconte aussi qu'il a demandé à ses généraux un plan pour frapper l'Iran afin de détruire d'éventuelles installations atomiques, avant de renoncer à une telle opération sur la foi de renseignements indiquant que Téhéran n'avait pas "de programme nucléaire militaire actif".

Il révèle aussi qu'il a résisté en 2007 à des pressions d'Israël qui lui demandait de bombarder un site syrien soupçonné de cacher un réacteur atomique.

Après les attentats du 11-Septembre, quelques mois après son arrivée au pouvoir, George W. Bush engage une "guerre contre le terrorisme" qui se traduit par l'invasion de l'Afghanistan, puis par le recours à des techniques controversées d'interrogatoire de suspects de terrorisme, notamment le supplice de la baignoire (waterboarding).

Dans ses mémoires, l'ex-président reconnaît avoir lui-même ordonné d'utiliser cette "simulation de noyade" à l'encontre du cerveau auto-proclamé du 11-Septembre, Khaled Cheikh Mohammed.

Ce dernier s'est révélé "difficile à faire craquer", poursuit M. Bush. "Mais quand il l'a fait, il nous a appris beaucoup de choses", notamment un projet d'attentat à l'anthrax contre des cibles américaines.

Les autres détenus soumis aux "techniques d'interrogatoire renforcées" de la CIA ont permis de déjouer des attentats contre des ambassades et des bases américaines à l'étranger, ainsi qu'à Londres, affirme l'ancien président.

Devant ces révélations, Amnesty International a appelé l'administration Obama à enquêter sur les aveux de M. Bush et à engager éventuellement des poursuites judiciaires contre lui pour avoir ordonné des actes de torture.

Sur un plan personnel, George W. Bush révèle un incident de sa jeunesse au cours duquel s'est forgée son hostilité à l'avortement: il a dû conduire sa mère à l'hôpital alors que cette dernière venait de faire une fausse couche.

"Je ne me serais jamais attendu à voir le foetus, qu'elle avait conservé dans un bocal pour l'apporter à l'hôpital. Je me souviens m'être dit: voilà une vie humaine, un petit frère ou une petite soeur".

L'ancien dirigeant revient aussi sur son combat contre l'alcoolisme, qu'il dit avoir vaincu à l'âge de 40 ans en renouant avec la foi.

Il raconte un incident survenu à la table de ses parents alors qu'il était avant cela sous l'emprise de l'alcool. S'adressant à une amie de ces derniers, il lui demande "comment c'est l'amour après 50 ans".

Quelques années plus tard, cette dernière lui renverra la politesse en lui retournant la question pour son cinquantième anniversaire... lepoint

La RADDHO encourage les citoyens à retirer leurs cartes d’électeur

Citoyenneté et processus électoral



Dans le but de renforcer la démocratie par la participation des citoyens au processus électoral, la section Burkina Faso de la rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO) a organisé courant octobre 2010, une série d’activités parmi lesquelles, un tournoi de handball qui a réuni des jeunes de plusieurs sensibilités.

A quelques jours seulement de l’élection présidentielle au Burkina Faso, plusieurs mouvements de la société civile ne cessent de se mobiliser autour d’un seul et unique objectif : encourager les citoyens burkinabè à aller voter et à choisir librement leurs représentants. Dans ce contexte, la section Burkina Faso de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (RADDHO) avec l ‘appui de l’ambassade des Etats-Unis au Burkina Faso, a mis en place un projet « Citoyenneté et Processus électoral » de la RADDHO.

Le tournoi de handball organisé à cet effet et ayant regroupé des jeunes de plusieurs sensibilités politiques avait pour objectif de mobiliser les citoyens afin qu’ils aillent retirer leurs cartes d’électeur.

En effet, aux dires des organisateurs, le processus d’inscription sur les listes électorales s’étant soldé par un relatif succès, si rien n’est fait pour montrer aux citoyens les enjeux d’une élection, on peut s’attendre à ce que les citoyens ne se mobilisent pas de nouveau pour aller chercher leurs cartes d’électeur. Or, compte tenu du fait que l’élection est la source de la légitimité des gouvernants et de leurs décisions, un faible taux de participation ruinerait notre processus démocratique en cours.

C’est pour cette raison que la RADDHO a profité de ce tournoi de handball pour appeler tous les citoyens à renforcer la démocratie en participant à cette élection présidentielle. Car, une participation massive des citoyens aux élections, aura pour avantage de consolider les acquis démocratiques du Burkina Faso.

sidwaya

Haïti: un mort et 73 malades du choléra à Port-au-Prince

Haïti: un mort et 73 malades du choléra à Port-au-Prince

Depuis que l'épidémie s'est déclarée à la mi-octobre, le choléra a tué 583 personnes et provoqué l'hospitalisation de plus de 9.000 personnes dans le pays le plus pauvre du continent américain. Le précédent bilan faisait état de 544 morts et de plus de 8.000 hospitalisations.


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Le choléra, responsable du décès de 583 personnes et de plus de 9.000 hospitalisations depuis la mi-octobre en Haïti, a fait un mort et 73 malades confirmés à Port-au-Prince où les organisations internationales s'attendent à ce que l'épidémie se "propage rapidement".

L'épidémie de choléra, maladie hautement contagieuse, est maintenant considérée comme "une question de sécurité nationale", a annoncé le directeur général du ministère de la Santé haïtien, Gabriel Thimoté, lors d'une conférence de presse.

Depuis que l'épidémie s'est déclarée à la mi-octobre, le choléra a tué 583 personnes et provoqué l'hospitalisation de plus de 9.000 personnes dans le pays le plus pauvre du continent américain. Le précédent bilan faisait état de 544 morts et de plus de 8.000 hospitalisations.

Si l'épidémie s'est déclarée dans le nord d'Haïti, elle a désormais atteint la capitale, Port-au-Prince. Parmi les nouveaux décès recensés par les autorités, il y a un mort du choléra confirmé à Cité-Soleil, quartier le plus pauvre de Port-au-Prince, a en effet indiqué Gabriel Thimoté mardi.

Ce décès s'est produit à l'hôpital Ste-Catherine, tenu par Médecins sans Frontières-Belgique, ont révélé les autorités.

L'Organisation panaméricaine de la santé (OPS), émanation de l'OMS, a pour sa part indiqué que le ministère de la santé avait aussi fait état de 73 cas confirmés de choléra à Port-au-Prince.

"Port-au-Prince est un bidonville étendu où les conditions sont très mauvaises en matière d'installations sanitaires et d'eau. Ce sont des conditions optimales pour une propagation rapide du choléra", a indiqué mardi le docteur Jon K. Andrus de l'OPS. "Nous devons nous tenir prêts. Il n'y a pas d'hésitation à avoir", a-t-il insisté.

Plus de 200 personnes atteintes de diarrhée sévère, un symptôme du choléra, ont été traités ces trois derniers jours à Port-au-Prince dans les centres hospitaliers tenus par Médecins sans frontières (MSF), a en outre annoncé l'organisation humanitaire.

"Il y a des cas suspects un peu partout dans le pays. Selon nos équipes, des cadavres sont abandonnés dans les rues de certains villages", a assuré à l'AFP Stefano Zannini chef de mission de MSF en Haïti.

Le docteur Ariel Henry, directeur de cabinet du ministre de la Santé, interrogé mardi par l'AFP, avait auparavant souligné qu'il n'y avait pas pour l'heure "de flambée" de la maladie dans la capitale, tout en reconnaissant l'existence de "cas isolés".

Mais les mauvaises conditions d'hygiène dans les camps de réfugiés du séisme du 12 janvier font craindre une aggravation de l'épidémie.

La précarité dans de nombreux camps à travers le pays est accentuée par les volumes d'eau --vecteur du choléra-- accumulés lors du passage de l'ouragan Tomas en fin de semaine dernière.

Tomas, qui a fait 21 morts en Haïti, a en grande partie épargné Port-au-Prince. Le sud-ouest du pays a lui énormément souffert. La ville de Léogâne s'est retrouvée totalement inondée.

Et, selon la porte-parole du Bureau de coordination des Affaires humanitaires de l'ONU (OCHA) Elisabeth Byrs, ces inondations ainsi que les nouveaux déplacements de population entraînés par l'ouragan "multiplient" les risques de propagation du choléra.

Selon une projection de l'OPS se fondant sur le précédent de l'épidémie de choléra apparue en 1991 au Pérou avant de s'étendre à d'autres pays, l'épidémie apparue en Haïti pourrait faire jusqu'à 270.000 malades si elle continue pendant plusieurs années.

lepoint

Blaise Compaoré aux forces vives du Centre “Il n’y a pas de développement sans la qualité des hommes”


Le candidat de la majorité présidentielle, Blaise Compaoré a eu un échange direct avec les forces vives de la région du Centre, le mardi 9 novembre 2010 au Palais des sports de Ouaga 2000. Commentaire sur son programme « Bâtir, ensemble, un Burkina émergent », engagement des différents acteurs pour la victoire du 21 novembre 2010, étaient les moments forts de cette rencontre d’environ deux heures d’horloge.

Opérateurs économiques, chefs coutumiers, représentants des secteurs structurés et informels, forces vives de la région du Centre, tous partisans du candidat Blaise Compaoré étaient à l’école de l’émergence. Dans le Palais des sports, ces couches socio-professionnelles avaient rendez-vous avec le « candidat » du Burkina émergent. Les femmes fortement représentées donnaient du ton en vue du 21 novembre 2010. « On va voter Blaise Compaoré » ; ou encore « Blaise Compaoré, victoire », scandaient-elles. Arrivé à 10 heures, le candidat Blaise Compaoré a situé l’objet de la rencontre. « Je suis venu pour un commentaire éclairé de mon programme ».

Le programme du candidat Blaise Compaoré est « bâtir, ensemble un Burkina émergent ». Les grandes lignes de ce programme ont été expliquées avec des exemples à l’appui. Pour Blaise Compaoré, les années à venir, plus que par le passé, la question de santé sera traitée avec efficacité. « Il n’y a pas de nation moderne développée sans la qualité des hommes et des femmes ». En ce qui concerne la région du Centre, le candidat Blaise Compaoré veut relever le défi de doter chaque arrondissement de Ouagadougou d’un hôpital et également reconstruire le Centre hospitalier universitaire Yalgado-Ouédraogo.

« Nous voulons avoir des hôpitaux dans les arrondissements de Ouagadougou et nous allons les réaliser. Même l’hôpital Yalgado, nous allons bientôt le raser pour en construire un autre plus beau et de plus performant », promet Blaise Compaoré. Aussi l’accent sera mis sur l’éducation, la formation, la création de l’emploi, la formation des jeunes, l’accroissement de la production, la création d’environnement favorable et la promotion du genre. « Le Burkina Faso a besoin d’une énergie créatrice et il faut donner les moyens aux femmes pour qu’elles puissent apporter leur contribution au développement du pays », précise Blaise compaoré sous des applaudissements nourris des femmes de la région du Centre.

Blaise Compaoré reconnaissant aux devanciers

Tout en invitant les populations du Centre à s’engager pour relever les nouveaux défis, il a salué la mémoire des devanciers qui ont organisé et construit la région du Centre. Ainsi, un hommage fut rendu aux empereurs mossé et à leurs ministres et aux hommes qui ont travaillé pour que cette partie du monde existe et soit émancipée. De ces acteurs, le candidat Blaise Compaoré s’est rappelé les premiers maires de la ville de Ouagadougou, tels Joseph Ouédraogo, Joseph Conombo…, les religieux comme Mgr Thévenou, Pasteur Compaoré Nana et le premier président de la communauté musulmane, Ousmane Sibiri…

« Notre génération a trouvé un pays libre et indépendant et notre mission, c’est de le conduire plus loin vers l’épanouissement économique et social », a indiqué Blaise compaoré. Le directeur régional de la campagne présidentielle du Centre, Simon Compaoré, les différents représentants, des femmes, des hommes d’affaires, des jeunes, des anciens, des chefs coutumiers ont rassuré le candidat Blaise Compaoré de sa victoire au soir du 21 novembre 2010. « Si ce sont des votes qui te feront président, tu le seras », a lancé le représentant du secteur informel.

Les chefs coutumiers ont à l’occasion donner trois noms ou titre de guerre à Blaise Compaoré. « Naaba Nakin », qui signifie que quelle que soit la taille de la porte de la famille tout le monde y entrera. Pour eux, ce nom lui est donné pour son esprit de rassemblement. Le deuxième nom est « Naaba Rawingma ». Et l’explication est que les hommes peuvent se trahir mais ils ne pourront jamais trahir Dieu. Enfin, le troisième nom est « Naaba Douni Rima », ce nom lui est donné pour ces actions qui transcendent les frontières du Burkina.

Boureima SANGA

sidwaya

Miley Cyrus : son incroyable anniversaire

actustar.com



Miley Cyrus : son incroyable anniversaire
Miley Cyrus : son incroyable anniversaire hiMedia

Ce n'est pas tous les jours qu'on fête ses 18 ans ! Et pour l'occasion, il faut réussir à marquer le coup ! Le 23 novembre prochain, Miley Cyrus fêtera son 18ème anniversaire. Et c'est en famille que la chanteuse souhaiterait le célébrer, malgré le divorce actuel de ses parents.

Elle a expliqué au magazine People qu'elle ne ferait pas de folies et qu'elle organiserait une petite fête avant de s'offrir des vacances en famille. La jeune femme voudrait se reposer au bord de la mer, faire de la plongée et des balades en bateau. Quel programme !

Marée noire aux USA: la commission d'enquête fustige les compagnies impliquées

Marée noire aux USA: la commission d'enquête fustige les compagnies impliquées

Les groupes impliqués dans la marée noire du golfe du Mexique, BP, Halliburton et Transocean, auraient pu éviter l'accident de la plateforme et manquent de "culture de la sécurité", ont affirmé mardi des responsables de la commission chargée d'enquêter sur la catastrophe.


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Les groupes impliqués dans la marée noire du golfe du Mexique, BP, Halliburton et Transocean, auraient pu éviter l'accident de la plateforme et manquent de "culture de la sécurité", ont affirmé mardi des responsables de la commission chargée d'enquêter sur la catastrophe.

Avant l'explosion de la plateforme Deepwater Horizon le 20 avril, "chacune des compagnies disposait de données et chacune était responsable d'opérations", a rappelé Richard Sears, un expert mandaté par cette commission indépendante de sept enquêteurs mise sur pied par l'administration Obama.

"Et si les données avaient été partagées de manière différente et si les opérations avaient été menées de manière différente, je pense que cette catastrophe aurait pu être évitée", a-t-il ajouté. "Pour un certain nombre de raisons, cela ne s'est pas passé comme cela, et c'est dommage".

"BP, Halliburton et Transocean sont des groupes importants opérant dans le golfe du Mexique et ils ont de toute évidence besoin d'une réforme de fond en comble", avait affirmé plus tôt dans la journée William Reilly, co-président de cette commission.

"Il est peu de dire qu'il n'y avait pas de culture de la sécurité sur cette plateforme" de forage pétrolier exploitée par BP, et dont l'explosion le 20 avril dernier a fait 11 morts et provoqué la plus grave marée noire de l'histoire des Etats-Unis, selon lui.

"Nous savons qu'une culture de la sécurité doit venir d'en haut pour imprégner une entreprise", a ajouté M. Reilly, ancien président de l'Agence pour l'environnement (EPA), sous le président Ronald Reagan.

M. Reilly a encore dénoncé "une culture de la complaisance" au sein des trois grandes entreprises qui toutes ont pris "de mauvaises décisions" alors qu'elles s'apprêtaient à terminer le forage du puits dit "Macondo" à 1.500 mètres sous la mer.

"Il semble qu'il y ait eu précipitation dans la réalisation" du puits "et il faut se demander d'où vient cette motivation qui pousse les gens à ne pas attendre que soit livré un béton de bonne qualité", a-t-il ajouté.

La commission, qui rend compte de ses travaux provisoires depuis lundi à Washington, avait déjà dénoncé le mois dernier la nature défectueuse du béton fourni par Halliburton comme étant une des causes de l'accident.

Les membres de la commission se sont aussi interrogés sur le fait que le personnel de BP et de Transocean sur la plateforme n'ait pas détecté les défauts de ce ciment dont les signes de dysfonctionnement étaient visibles sur des écrans d'ordinateurs sur le site mais aussi à terre, montrant une accumulation anormale d'hydrocarbures dans le conduit du puits.

Les techniciens de la plateforme ont en outre mal interprété un autre test de pression, le lisant à tort comme une réussite, a noté la commission.

M. Reilly a qualifié BP, en charge de l'exploitation du puits, Halliburton, fournisseur, et Transocean, propriétaire de la plateforme, de "traînards" en matière de sécurité. "Il est de notoriété publique que BP a eu des problèmes dans ce domaine", a-t-il ajouté.

La veille, Fred Bartlit, chef des enquêteurs de la commission nationale, avait toutefois estimé que la cupidité n'avait jamais prévalu sur la sécurité au cours du forage du puits.

"En aucune circonstance nous n'avons vu un être humain prendre consciemment une décision motivée par l'argent plutôt que par la sécurité", avait-il affirmé lundi.

AFP

Etats-Unis: 42 millions de dollars avaient été versés à 5.500 fausses victimes des nazis

Le procureur fédéral de New York, Preet Bharara, lors d'une conférene de presse le 16 octobre 2009 2010 AFP
Le procureur fédéral de New York, Preet Bharara, lors d'une conférene de presse le 16 octobre 2009 Mike Nagle AFP/Getty Images/archives

Quelque 5.500 personnes ont reçu frauduleusement aux Etats-Unis 42,5 millions de dollars payés par l'Allemagne en se faisant passer pour des victimes de la Shoah dans le cadre d'une vaste escroquerie, a annoncé mardi le procureur fédéral de New York.

Dix-sept personnes, en majorité d'origine russe, ont été inculpées dans cette affaire. Six d'entre elles font partie de l'organisation "Claims Conference", basée à New York et qui vient en aide aux victimes du nazisme pendant la Seconde Guerre mondiale, dont elles détournaient les fonds, selon un communiqué du bureau du procureur, Preet Bharara.

Ces six personnes "étaient censées examiner et approuver les requêtes légitimes" de vraies victimes, explique le communiqué. "Au lieu de cela, elles auraient validé plus de 5.500 demandes frauduleuses (...). En contrepartie, ces employés gardaient une partie de l'argent pour eux-mêmes" et leurs complices.

"S'il y avait une organisation dont on pouvait espérer qu'elle serait à l'abri de la cupidité et l'escroquerie, c'est la Claims Conference, qui aide chaque jour des milliers de victimes", a regretté le procureur. "Tristement, ceux viennent en aide aux victimes se retrouvent à leur tour victimes de duperie".

L'escroquerie exploitait les différents cas d'indemnisation, financés par l'Allemagne, prévus par la Claims Conference.

Quelque 4.957 personnes ont ainsi frauduleusement reçu un versement de 3.600 dollars entre 2000 et 2009, pour un montant total de 18 millions de dollars, en prétendant avoir été contraintes de quitter leur ville d'origine à cause des nazis.

Or, "un grand nombre de personnes ayant reçu frauduleusement de l'argent sont nées après la Seconde Guerre mondiale et au moins une d'entre elles n'était même pas juive", selon le procureur, qui souligne l'intervention de complices recrutés pour fournir des faux documents.

Quelque 658 personnes ont également reçu des versements mensuels de 411 dollars, pour un total de 24,5 millions de dollars, après avoir affirmé avoir vécu dans des ghettos pendant 18 mois ou plus, ou dans des camps de travail ou de concentration pendant six mois ou plus.