08 novembre, 2010

Les people plongés dans le monde merveilleux de Disney


L'avant-première française du dernier dessin-animé des studios Disney, "Raiponce", s'est déroulée samedi à Disneyland Paris. L'occasion était belle pour les célébrités de fêter l'esprit de noël avec Mickey et ses nouveaux amis.

1. Isabelle Adjani, Romain Duris, Maeva Méline et Sarah Bismuth

C'est la jeune Maeva Méline qui prête sa voix enjouée au personnage de Raiponce. Romain Duris incarne Flynn, le brigand au grand cœur qui fait battre le sien. Isabelle Adjani donne sa voix à la sinistre Mère Gothel, alors que Sarah interprète «Je voudrais», la chanson du générique final

Photo Walt Disney Pictures

Barack Obama danse avec des enfants pour la fête hindoue des lumières

Barack et Michelle Obama dansent avec des enfants le  7 novembre 2010 dans une école de Bombay  lors de la  la fête hindoue des lumières
Barack et Michelle Obama dansent avec des enfants le 7 novembre 2010 dans une école de Bombay lors de la la fête hindoue des lumières Jim Watson AFP

Le président américain Barack Obama en visite en Inde s'est joint dimanche à des célébrations de la fête hindoue des lumières, Diwali, en dansant avec des enfants d'une école à Bombay.

Obama et son épouse, Michelle, se sont d'abord assis en tapant dans leurs mains pendant la représentation d'enfants d'une école du sud de la ville qui célébraient Diwali en costumes colorés.

La Première dame, en robe et cardigan rose, s'est alors levée pour les rejoindre avec enthousiasme avant de persuader son mari, l'air plus réticent, de l'accompagner sur la piste de danse.

Le président, sans veste et manches de chemise retroussées, s'est alors fait expliquer comment remuer les mains et les bras dans la tradition de la danse indienne. Les enfants ont alors réclamé des photos du couple et des autographes.

C'est la deuxième fois que Michelle Obama danse avec des enfants depuis leur arrivée samedi à Bombay.

La veille, elle avait dansé pieds nus sur des airs de Bollywood lors d'une visite à une association caritative qui s'occupe d'orphelins.

La fête de Diwali, qui tombait cette année vendredi dernier, est marquée par plusieurs jours de joyeuses et bruyantes célébrations dans ce pays à large majorité hindoue.

A Bombay, la police a toutefois exceptionnellement interdit les traditionnels tirs de pétard autour de l'hôtel du couple présidentiel pour des raisons de sécurité.

ladepeche

Netanyahu: Military Threat Only Way to Stop Iran

Israeli sources say Prime Minister Benjamin Netanyahu told U.S. Vice President Joe Biden on Sunday that a credible threat of military action is the only way to ensure Iran does not obtain nuclear weapons.

Mr. Netanyahu was quoted as saying that international sanctions have hurt Iran but not enough to make the Islamist state rethink its nuclear program.

The Israeli prime minister met with Mr. Biden in New Orleans, Louisiana.

The West believes that Iran aims to use its uranium enrichment program to build atomic weapons. Tehran has denied the accusations.

President Barack Obama’s administration has so far stressed sanctions and diplomacy as its preferred course in dealing with Iran’s nuclear program.

Mr. Netanyahu is on a five-day visit to the United States. On Monday he will address the annual meeting of the General Assembly of the Jewish Federations of North America, which is being held in New Orleans.

Later on Monday, he flies to New York to confer with U.N. Secretary General Ban Ki-moon. Israeli officials say the prime minister is to present a plan for the withdrawal from the northern sector of a disputed village that straddles the international border where Israel, Lebanon and Syria meet.

Israel captured the village of Ghajar from Syria in the 1967 Middle East war. Then in 2000 after Israel’s withdrawal, U.N. surveyors placed the northern part of the village in Lebanon, leaving Israel in control of the southern half. Israel reoccupied the northern sector of Ghajar in the 2006 conflict with Lebanon’s Hezbollah guerrillas.

When the fighting ended, Israel pledged to pull out of the northern sector but gave no timetable.

Before leaving the United States on Thursday, Mr. Netanyahu will hold talks with U.S. Secretary of State Hillary Clinton, who has told reporters she is working very hard to get the Middle East peace process back on track.

The Israeli leader will not be meeting with U.S. President Barack Obama who is currently out of the country on an Asian tour.

Some information in this story was provided by AFP and Reuters.

Hama Arba Diallo Message de la coalition de 6 partis politiques soutenant la candidature de Monsieur Hama Arba Diallo


Mes chers compatriotes,

Conformément à notre constitution du 2 juin 1991 vous êtes appelés aux urnes le dimanche 21 Novembre pour élire, parmi sept candidats, le Président du Faso. Il s’agit d’un des moments les plus importants pour chacun d’entre vous, pour exprimer votre opinion sur la conduite des affaires de l’Etat : soit vous votez pour la continuité parce que vous êtes satisfaits de la politique actuelle, soit vous votez pour le changement parce que vous n’êtes pas satisfaits de cette même politique.

Bien que les conditions techniques du scrutin soient insatisfaisantes, nous vous invitons à exercer votre devoir citoyen, à exprimer ainsi la volonté du peuple. Il en va ainsi pour le nécessaire renforcement de notre processus démocratique en passe dangereuse de devenir une monarchie, c’est-à-dire un régime où on règne à vie de père en fils, de parent en parent. Mes chers compatriotes, nous vous invitons à voter pour le changement au regard de la politique actuellement menée, politique que nous pouvons succinctement définir en 7 points :

1- la politique menée depuis 19 ans, sans compter les années d’exceptions, constitue un record absolu de durée au Pouvoir dans notre pays, et n’a pas fait reculer la pauvreté, le chômage et les différentes injustices sociales dans notre pays. Bien au contraire, au regard même des statistiques officielles, la pauvreté s’accroit et touche plus particulièrement les plus larges couches de la population que sont les paysans, les femmes et les jeunes. Le chômage demeure endémique et même croissant. Notre système judiciaire, un pilier important de la démocratie souffre des interventions inadmissibles du Pouvoir et les magistrats l’ont vivement déploré dans un mémorandum historique.__

2- La politique menée depuis 19 ans, sans compter les années d’exceptions, constitue un record absolu de durée au Pouvoir dans notre pays, est une politique patrimoniale c’est-à-dire une politique ou les droits et avantages économiques, commerciaux et politiques sont principalement le quasi-monopole des parents et des proches de celui qui nous gouverne. De telles tentations ont existé dans le passé, mais aucun régime n’a atteint le niveau actuel !

3- La politique menée depuis 19 ans, un record absolu dans notre pays, est une politique où la corruption n’a jamais été aussi forte. Aux dires même d’un des tenants du pouvoir « la morale agonise au Burkina Faso’’. Elle doit être maintenant morte car le pouvoir en place s’est rendu incapable de mener une véritable lutte anti-corruption. En continuant ainsi, quels que soient les milliards que nos partenaires financiers extérieurs vont apporter, on ne verra pas de résultats publics concrets en faveur du développement de notre cher pays.

4- La politique menée depuis 19 ans, sans compter les années d’exceptions, constitue un record absolu de durée au Pouvoir dans notre pays, est une politique menée sans un véritable plan d’aménagement du territoire en ce sens que les projets de développement des régions ne se font pas selon les potentialités des différentes régions, mais se font soit à la tête du client, soit selon quelques calculs politiciens et tout cela, sans une vraie coordination intégrée. Cette situation peut créer des frustrations légitimes mais dangereuses pour le renforcement de l’unité nationale.

5- La politique menée depuis 19 ans, sans compter les années d’exceptions, constitue un record absolu de durée au Pouvoir dans notre pays, est une politique de spectacle permanent : nos gouvernants aiment trop à organiser des festivités grandioses dont les intérêts économiques et politiques pour notre pays ne sont pas avérés. Des pays plus nantis que le nôtre ont refusé d’organiser des sommets et des festivités pour leurs coûts financiers trop élevés. Mais nos tenants du Pouvoir, les ont organisés, comme ce fut récemment le cas des koras, et tout ça pour leurs propres images extérieures.

6- La politique menée depuis 19 ans, sans compter les années d’exceptions, constitue un record absolu de durée au pouvoir dans notre pays, a détruit l’homme burkinabè qui est fondamentalement un homme fier, courageux, honnête et travailleur. Aujourd’hui que valent ces vertus ? Presque rien et pire, celui qui s’y attache est considéré comme un idiot, un rêveur ou un naïf. Nous rappelons que pour nous, la richesse principale de notre pays, ce sont ses hommes qui se sont forgé ces qualités d’honneur et de dignité au cour de l’histoire. Ces qualités sont aujourd’hui ridiculisées et honnies par les tenants du pouvoir à travers leurs actes et paroles. On ne peut rien construire à partir d’une population encouragée à abandonner ses propres valeurs au profit du mensonge, de l’hypocrisie, de la veulerie.

7- La politique menée depuis 19 ans, sans compter les années d’exceptions, constitue un record absolu de durée au Pouvoir dans notre pays, est maintenant atteinte de sclérose en ce sens qu’elle ne peut plus rien, rien innover. Il y a une réelle usure du pouvoir qui empêche ceux qui nous gouvernent depuis si longtemps de trouver des solutions nouvelles pour le développement de notre pays. Et parler de pays émergent comme ils le promettent, est un leurre auquel eux-mêmes ne croient guère !

_Mes chers compatriotes, pouvons-nous reconduire un pouvoir aussi frappé d’usure et de sclérose ? Selon tout les bons sens, non ! Alors le 21 novembre 2010, aller pour voter le changement que vous propose notre candidat Mr Hama Arba Diallo dans son programme de gouvernement en 16 points. De ce programme, aujourd’hui nous pouvons extraire les volets politiques, sociaux et de formation.

- Au plan politique, ce programme va donner à notre processus démocratique un contenu réel, ce qui passe par : le strict respect des libertés et droits politiques, économique et sociaux inscrits dans la constitution ; la bonne gouvernance qui inclue la gestion rigoureuse du denier public, la lutte effective contre la corruption, la dépénalisation du délit de presse, la lutte effective contre l’impunité, la lutte pour une administration civile et militaire républicaine, un dernier point mis à mal par le candidat Président Blaise Compaoré qui vient de tenir son meeting de campagne au camp militaire de Dédougou, chose que nous dénonçons avec la plus grande fermeté.

- Au plan social, le programme du candidat se propose de lutter efficacement contre les 6 grands fléaux de notre pays que sont : le chômage grandissant touchant surtout les jeunes et les femmes ; la faible efficacité du système éducatif ; la précarité de la situation sanitaire des populations ; l’absence d’un système généralisé de sécurité sociale ; la discrimination entre les sexes et ce, au détriment de la femme ; l’absence d’un dialogue social honnête et efficient.

_-Au plan de la formation, ce programme mise sur la formation de l’homme qui doit, non seulement savoir mais aussi savoir faire. A cet effet,ce programme inclue les performances suivantes :une région,une ENEP ;10 écoles primaires,un CEG ;20 écoles primaires,un lycée ;une région,une Université ;une province, au moins deux écoles techniques ou professionnelles.

Pour réaliser ces ambitions,il faudra alors assurer une bonne gouvernance économique qui exige une bonne utilisation de deniers publics,un accroissement des recettes budgétaires,une maîtrise des dépenses publiques ,une amélioration de la balance commerciale. Nous somme sûrs que ce programme est réalisable parce qu’il sera d’abord dirigé par des hommes honnêtes, talentueux et intègres qui sauront toujours mettre en avant le bien public car comprenant que faire la politique, c’est avant tout se mettre au service de l’intérêt public, défendre les biens et les intérêts de tous nos compatriotes sans discrimination aucune.

sidwaya

Dominique de Villepin : "Nicolas Sarkozy est un des problèmes de la France"

Source AFP

Dominique de Villepin : "Nicolas Sarkozy est un des problèmes de la France"

Dominique de Villepin a estimé qu'il était "temps que la parenthèse politique que nous vivons depuis 2007 soit refermée" © Maxppp


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L'ex-Premier ministre Dominique de Villepin a estimé dimanche que le président Nicolas Sarkozy était aujourd'hui "un des problèmes de la France" et qu'il était "temps que la parenthèse politique que nous vivons depuis 2007 soit refermée".

"Je dis que Nicolas Sarkozy est aujourd'hui un des problèmes de la France et parmi les principaux problèmes qu'il faut régler et qu'il est temps que la parenthèse politique que nous vivons depuis 2007 soit refermée", a lancé Dominique de Villepin au Grand Rendez-vous Europe 1/Le Parisien. "Une parenthèse parce que les résultats ne sont pas là, parce que notre pays est amoindri, parce que nous sommes divisés, parce que nos principes sont affectés", a-t-il expliqué.

"Moi, je veux me battre pour apporter des solutions. Nous avons besoin de remettre ce pays à l'endroit. Or nous sommes à l'envers. Nous n'avons pas de vision de là où nous devons aller et nous prenons l'eau", a estimé le président du parti République solidaire. "Est-ce qu'on peut se contenter d'analyses simplistes dans ce contexte-là ? Il y a des responsabilités. Il faut les définir pour être capable de tourner une page, il faut que chacun porte ses responsabilités", a-t-il conclu.


Koudougou et Poa mobilisés pour la victoire du « Lion »



Boukary Kaboré dit « le Lion » a procédé, le jeudi 4 novembre 2010, au lancement officiel de sa campagne pour l’élection du Président du Faso dans son fief à Koudougou. Il s’agit d’une caravane qui va relier plusieurs localités du pays pour mobiliser la population autour de sa candidature.

« C’est à Koudougou que j’ai été investi comme candidat à l’élection du Président du Faso. Donc c’est ici que je lance ma campagne. Nous sommes là pour le lancement d’une caravane qui va faire le tour du Burkina Faso et non pour un meeting. Je ne suis plus à présenter à Koudougou car c’est d’ici que toutes les grandes œuvres que j’ai accomplies avec mes camarades pour le pays ont débuté. Je suis un fils de la ville et partant du pays tout entier ». C’est en ces termes que Boukary Kaboré dit « le Lion du Boulkiemdé », candidat de l’Union panafricaine sankariste/Mouvement progressiste a justifié le fait que sa campagne a été lancée le jeudi 4 novembre 2010.

Comme à ses habitudes et ne voulant pas reléguer au second plan les règles traditionnelles, il s’est rendu au domicile du Laalé Naaba Sanem pour recueillir les bénédictions de ses ancêtres avant de s’adresser à la population. Prenant la parole au nom des associations, des personnes physiques et des partis politiques qui soutiennent la candidature du « Lion », Romain Conombo, directeur de campagne du candidat a expliqué aux Koudougoulais qu’avant chaque année électorale, la nature sinistre d’abord le peuple burkinabè pour lui dire que son malheur se trouve dans le choix de son président qui n’a jamais apporté le bonheur dans le pays.

« En 1997, des vents violents ont frappé le Burkina Faso, en 2004 c’était une grave sécheresse qui a détruit les semences et décimé des animaux, en 2009 nous avons vécu le 1er septembre avec des multiples inondations à l’intérieur du pays. Toutes ces années se situent à la veille d’une année de l’élection présidentielle. C’est une façon pour la nature de dire au peuple que Blaise Compaoré est la source des problèmes du pays », a révélé M. Conombo.

A la suite de son directeur de campagne, le candidat « himself » prendra la parole (sous des acclamations bien nourries et des slogans : « Le pouvoir au peuple…) » pour dire qu’il n’est pas un candidat qui fait des promesses. « Je suis venu vous dire que si vous donnez vos voix à un voleur, ne venez pas après me dire que les caisses de l’Etat sont vides. Si vous donnez vos voix à un sorcier, ne me dites pas plus tard que vos enfants meurent. Je ne vous promets rien car la construction du pays incombe à nous tous », a lancé « le Lion ». En outre, il a explicité le contenu de son programme à ses militants. Son plan de developpement est plus orienté vers l’agriculture, la santé et l’éducation.

Sur ce dernier point, le candidat dit qu’il est contre la politique de priorisation de la scolarisation des filles que le Burkina a adoptée depuis un certain temps. Pour lui, « le plan d’éducation ne doit pas s’accentuer uniquement sur le cas des filles. Il faut faciliter l’accès de l’école à tous les enfants burkinabè de 7 ans sans distinction de sexe. Ainsi, les écoles seront pleines de filles parce qu’elles sont les plus nombreuses et non dire que la scolarisation des filles est une priorité de l’Etat », a martelé « le Lion du Boulkiemdé ». De son point de vue, « le Burkina Faso est un malade ambulant ».

Les gens n’ont plus accès à la santé comme au temps de la Révolution où les villageois étaient vite pris en charge lorsqu’ils étaient soufrants. Les produits pharmaceutiques sont chers pour la population et l’accessibilité aux soins dans les centres sanitaires est devenue un luxe pour le citoyen lambda. Toutes ces situations existent parce que « le système est pourri ».

Le candidat a par ailleurs indiqué à la population de Koudougou que le lancement de la campagne électorale par le parti du président sortant, Blaise Compaoré dans la « tanière du Lion Koudougou » est une provocation. Et par cet acte, le candidat Blaise Compaoré a signé sa propre défaite parce qu’il sera « dévoré » au soir du 21 novembre par « le Lion du Boulkiemdé ».

Les propos du « Lion » ont eu un écho positif au sein de la population acquise à sa cause. Issaka Nabi, au nom de tous les militants, fera savoir au prétendant au palais de Kosyam qu’il peut démarrer sa campagne sans crainte. « Nous, militants et fils de Koudougou, allons vous soutenir pour la victoire finale », a-t-il laissé entendre. La première escale de la caravane après son départ de Koudougou a été dans le village natal du candidat, Poa (commune rurale située à 25 km de Koudougou).

On dit souvent que nul n’est prophète chez soi. Mais vu le monde qui attendait « le Lion » dans son fief, tout porte à croire que ses parents le soutiennent avec la dernière énergie. Une haie d’honneur accompagnée de cris de joie ont accueilli Boukary Kaboré. La foule scandait des slogans du genre : « à bas les voleurs de la République », « le Lion au pouvoir », « Boukary président ».

Steven Ozias KIEMTORE

sidwaya

Sénégal/Côte d’Ivoire : le comportement de Wade est discourtois diplomatiquement et inamical humainement selon Cheikh Yérim Seck

Sénégal/Côte d’Ivoire : le comportement de Wade est discourtois diplomatiquement et inamical humainement selon Cheikh Yérim Seck
Le journaliste sénégalais qui travaille à Jeune Afrique renseigne que « depuis les accords de Viennes de 1961 sur les relations diplomatiques et consulaires, le principe de base entre Etats, c’est la courtoisie », ce qui n’est pas selon lui le comportement de Wade. Pour Seck, dans toutes les élections du monde, les chefs d’Etat ont des préférences mais ont une façon discrète et courtoise de l’exprimer. « En diplomatie, tout est forme, tout est apparence, tout est us et coutumes », argumente-t-il.

Pour le journaliste qui considère le comportement de Wade comme discourtois diplomatiquement et inamical humainement, le problème c’est surtout le contexte d’entre les deux tours qui doit justifier la retenue.

Pourtant, rappelle Cheikh Yérim Seck qui était dans l’émission grand jury de la RFM, contre des extrémistes de son parti, Laurent Gbagbo est venu assister à l’inauguration du monument de la renaissance africaine et à inviter Me Wade en Côte d’Ivoire tout cela pour refaire l’axe Dakar/Abidjan.

Ndiaga DIOUF
Pressafrik.com

PiccMi.Com

Meeting de Arba Diallo à Zorgho Le candidat annonce la création de 30 000 emplois par an


Le quatrième meeting du candidat des Forces progressistes et du changement s’est tenu le 5 novembre 2010 à Zorgho dans la région du Plateau central. Face à ses partisans, Arba Diallo a dévoilé ses ambitions pour la jeunesse, comme, la création de 30 000 emplois par an pour les jeunes, s’il était élu au soir du 21 novembre prochain.

C’est aux environs de 18 heures que le candidat des Forces progressistes et du changement Hama Arba Diallo a rencontré ses militants et sympathisants en majorité constitués de jeunes à Zorgho, ville renommée pour son warba. Et c’est par cette danse exécutée par une troupe traditionnelle que le candidat et sa délégation ont été accueillis au centre populaire de loisirs de Zorgho.

Pour le coordonnateur provincial de campagne et de la coalition soutenant la candidature de Arba Diallo, la population burkinabè a maintenant l’occasion d’opérer le changement en choisissant Arba Diallo « l’homme de la situation et aux compétences avérées » ; et le coordonnateur d’assurer le candidat quant à la détermination de la coalition le soutenant, de faire en sorte pour qu’il s’installe dans le fauteuil de Kosyam au soir du 21 novembre prochain.

Puis le représentant des jeunes, Aimé Ouédraogo, a indiqué que Arba Diallo est le premier candidat depuis le début de la campagne à s’intéresser aux jeunes de la province, signe que cette frange de la population constitue une préoccupation pour lui.

Hama Arba Diallo a déclaré lors de son allocution qu’après 23 ans de règne du système au pouvoir, le temps du changement a sonné. Et pour cela, la coalition a des ambitions pour les jeunes et les élèves. Dans cette dynamique, il a annoncé la création de 30 000 emplois par an au profit des jeunes, ainsi que la construction d’écoles et de lycées pour les élèves. Le candidat a aussi promis s’il est élu, de développer l’agriculture, l’élevage, l’industrie et le secteur de la santé. Mais pour que cela devienne réalité, il a appelé à voter pour lui le 21 novembre prochain. Dans cette perspective, il a également exhorté l’assistance enthousiaste, à retirer chacun sa carte d’électeur et à le voter.

Les volets culturel et sportif n’ont pas été occultés et Arba Diallo a beaucoup d’ambition pour développer ces secteurs afin d’avoir « plusieurs Charles Kaboré » (NDLR : professionnel burkinabè évoluant à l’Olympique de Marseille) au Burkina. Pour ce faire, le candidat entend rassembler les talents dans ces domaines, pour un développement harmonieux du pays.

Gabriel Sama

Hahadou Daniel NADINGA

.sidwaya

Burkina-Côte d’Ivoire: destin électoral croisé


Si Compaoré est sûr d’être élu, rien n’est gagné à l’avance pour Gbagbo

Ainsi donc Burkinabè et Ivoiriens iront aux urnes, le même jour, le 21 novembre prochain, pour choisir leur futur président. Les premiers iront voter dans le cadre du premier tour de l’élection présidentielle tandis que les seconds auront à départager les deux challengers arrivés en tête du premier tour de la présidentielle ivoirienne qui s’est tenue le 31 octobre dernier. Coup de destin ou simple hasard de calendrier?

Une chose est certaine, ce croisement est chargé de sens pour le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire, deux pays liés par l’histoire et la géographie, mais dont les relations sont devenues des plus tumultueuses au cours de cette dernière décennie. La pomme de discorde entre les deux peuples «voisins et frères» est, incontestablement, ce que certains qualifient de prétention de l’ancien Premier ministre ivoirien, Alassane Dramane Ouattara à vouloir devenir président de la Côte d’Ivoire. Par deux fois, il a été exclu de la course à la présidence, affublé de la nationalité burkinabè, par les tenants, à l’époque du concept xénophobe de l’ivoirité. Sans oublier qu’à tort ou à raison, Ouagadougou avait également été accusé par Abidjan, de constituer la base arrière d’une certaine rébellion qui avait pris corps dans le nord de la Côte d’Ivoire. Depuis 2002, le pays d’Houphouët se cherche et c’est finalement à Ouagadougou que les protagonistes de la crise ivoirienne ont fini par s’accorder, sous l’égide d’un Facilitateur qui n’est autre le président burkinabè Blaise Compaoré.
Ironie du sort, c’est la première fois que la candidature de Alassane D. Ouattara a été validée. Et curieusement, c’est lui qui sera face au président sortant Laurent Koudou Gbagbo pendant que le chef de l’Etat burkinabè en découdra avec 6 candidats qui sont loin de perturber son sommeil. Si le président Blaise Compaoré est quasiment sûr d’être élu dès le soir du 21 novembre, rien n’est gagné à l’avance à Abidjan. A la vérité, c’est sur cette ultime confrontation entre Gbagbo et Ouattara que se concentrera l’attention de la communauté internationale et surtout des Burkinabè, des millions de Burkinabè vivant toujours en Côte d’Ivoire.

Lutte contre le paludisme : « Focus sur le Sénégal »

Des efforts considérables ont permis au Sénégal d’atténuer sensiblement la morbidité et la mortalité dues au paludisme. Et l’on recense moins d’un cas pour mille personnes à risque. C’est ce qu’ont fait savoir les participants au panel qui s’est tenu, hier, sous la présidence du ministre de la Santé et de la Prévention, Modou Diagne Fada, dans le cadre de la présentation du document intitulé : « Focus sur le Sénégal ». La Directrice exécutive de Roll back malaria, Eva Marie Coll Seck, était la modératrice des débats auxquels l’Organisation mondiale de la Santé a participé.



Lutte contre le paludisme : « Focus sur le Sénégal »

« Entre 2006 et 2009, nos indicateurs de morbidité et de mortalité dues au paludisme sont passés respectivement de 33, 57% à 30, 07 % et de 18, 4% à 4, 41 % », a fait savoir le ministre de la Santé et de la Prévention, hier, lors d’un panel qui s’est tenu à l’effet de présenter le document intitulé « Focus sur le Sénégal ».

« Ces résultats auront un impact favorable sur les Omd (Objectifs du millénaire pour le développement) 4 et 6 », a poursuivi le ministre. Qui ajoutera qu’ « il n’y a pas de place pour la fatalité, dans les fléaux qui nous assaillent ».

A la suite de M. Diagne, la directrice exécutive de Roll back malaria, Eva Marie Coll Seck, s’est félicitée des prouesses réalisées par le Sénégal en la matière, avec moins d’un cas de paludisme recensé pour mille personnes à risques.

« Avec ces progrès, le Sénégal rejoint l’Erythrée, l’Ethiopie, le Rwanda et la Zambie qui, eux aussi, ont réduit de façon significative leur fardeau de paludisme », ajoutera la modératrice des débats.
« Le Sénégal, poursuit l’ancienne ministre de la Santé, est parvenu à réduire de 41 % le nombre de cas de paludisme en une seule année, passant ainsi de 300 000 en 2008 à 175 000 en 2009. Le taux de mortalité des enfants, toutes causes confondues, a reculé de 30 % entre 2005 et début 2009 ».
Le Dr Pape Moussa Thior, coordinateur du Programme national de lutte contre le paludisme au Sénégal, suggérera de reproduire le modèle efficace à une échelle sous-régionale voire régionale, à travers une harmonisation des stratégies de lutte.

Il faut rappeler que les travaux ont recueilli la participation du secteur privé, de l’Oms (Organisation mondiale de la santé) en plus d’autres partenaires. Le roi du Mbalakh, Youssou Ndour, par ailleurs ambassadeur de l’Unicef, a été félicité par le ministre Modou Diagne Fada, pour le rôle déterminant qu’il a joué dans le cadre de la croisade contre la maladie, à côté d’autres artistes et de bonnes volontés.

Thierno Ndiaye, Le Messager

PiccMi.Com -

NATATION - CHAMPIONNATS DU SENEGAL MINIMES ET CADETS : Kaolack et Thiès étaient présents.

Les championnats du Sénégal minimes et cadets se sont tenus ce samedi et dimanche, à la piscine olympique du Point E, avec la participation de tous les clubs de Dakar, sauf de l'ASFA qui n'a pas de petites catégories. Kaolack et Thiès ont marqué leur présence à ce rendez-vous national des tout-petits.



NATATION - CHAMPIONNATS DU SENEGAL MINIMES ET CADETS : Kaolack et Thiès étaient présents.
La manche retour prévue à Dakar dans deux semaines s'annonce donc très compliquée pour les co-équipiers de Diawandou Diagne. Pourtant, les Lionceaux avaient longtemps donné l'impression de pouvoir décrocher un résultat « positif », en atteste le score à la pause (0-0).
Mais en seconde période, tout va s'écrouler pour l'équipe de Boucounta Cissé, battue finalement sur le score final de (2-0). Les deux buts ont été inscrits par Hamza Zakari et le remplaçant Joseph Gordon. L'absence du buteur maison ghanéen Mohamed Nasiru, blessé, a lourdement pénalisé la ligne d'attaque ghanéenne, qui a longtemps buté sur la défense sénégalaise. Les Lionceaux bien regroupés en défense avec Papa Faye et Ibrahim Diédhiou, ont fait bonne garde jusqu'à la fin ou presque de la rencontre quand les Ghanéens ont réussi à se frayer à deux reprises le chemin des buts.
« C'est un résultat positif » déclarait l'entraîneur ghanéen Frimpong Manso à la fin de la rencontre ajoutant qu'il était « satisfait de ses joueurs dont le résultat permet d'envisager la qualification pour le tournoi final ». Son homologue sénégalais, Boucounta Cissé n'était pas abattu par la défaite : « c'est dommage que nous n'ayons pas tenu le match nul jusqu'u bout. 2-0, rien n'est encore joué. Nous pouvons refaire notre handicap dans quinze jours à Dakar. Nous sommes tout à fait capables de réaliser ce qu'ils ont fait chez eux ».
Les Black Starlets du Ghana ont fait donc un pas vers la qualification pour la CAN U-17. Quant aux Lionceaux, ils devront réaliser l'exploit dans deux semaines à Dakar pour accrocher une première qualification de l'histoire de cette compétition

Résultats
Can Cadette
Samedi 6 novembre
Match aller
Ghana / Sénégal 2-0

Les autres résultats
Réunion / Burkina Faso 1-0
Sierra Léone / Cote d'Ivoire 2-2
Tunisie / Gambie 3-2
Gabon / Congo 2-0
Mali / RD Congo 2-0

Blaise Compaoré dans les Cascades "Une région de grande fidélité"


Pour la 6e étape de sa campagne électorale à travers les régions, le Président Blaise Compaoré était, le samedi 6 novembre 2010 à Banfora, dans la région des Cascades. Dans la cité du "Paysan noir" où le président sortant a obtenu un score « confortable » en 2005, les différentes couches de la population de la Comoé et de la Léraba se sont engagées à reconduire « l’équipe qui gagne ».

Certains observateurs s’attendaient à une sortie difficile de la majorité présidentielle et des ABC dans la région des Cascades, au regard de l’état des réalisations de ses engagements pris en 2005 pour « redynamiser » l’économie des Cascades.

Il s’agissait, entre autres, de la réouverture des Grands moulins du Burkina (GMB), la construction d’un stade omnisports et des investissements de près de 4 milliards. Mais c’était peut-être oublier que les Cascades « sont une région de grande fidélité à l’action du président Blaise Compaoré », comme l’a relevé son directeur national de campagne, Assimi Kouanda, à l’ouverture de la rencontre d’échanges avec les populations et les personnes-ressources de la localité. Cette rencontre constitue en effet l’innovation de la campagne du président-candidat. Elle permet à toutes les sensibilités régionales d’avoir une audience publique avec le candidat-président, en dehors des meetings.

Les fils de la région ont apprécié les réalisations du chef de l’Etat au cours de son mandat écoulé. Ils ont décidé de s’engager avec lui pour un autre contrat de 5 ans. Tout en se gardant de citer « le chapelet d’acquis », le directeur régional de la campagne présidentielle des Cascades, Benoît Ouattara, a dit que le bilan du Président dans les Cascades « force l’admiration ».

Son prochain quinquennat va lui permettre de consolider ces acquis. Des électeurs et des représentants, triés sur le volet, se sont succédé pour accorder des primes aux actions du président. Certains intervenants ne se sont pas contentés d’apprécier. C’est le cas de la représentante des femmes, Laurence Héma, qui a demandé au candidat, la réouverture des GMB sous les ovations nourries de l’assistance. Mme Héma a aussi souhaité que le candidat Blaise Compaoré travaille dès sa réélection, à la promotion des femmes dans la décentralisation, à leur égal accès à la terre, au respect du quota genre, au désenclavement des communes rurales des Cascades.

Blaise Compaoré s’est dit réconforté par tous les messages des populations des Cascades qu’il juge limpides. Réconforté, le candidat Compaoré le sera encore plus, au vu de la mobilisation « extraordinaire » pour le meeting au stade provincial de Banfora. Le candidat-président du Faso a rendu hommage aux fils des Cascades qui ont lutté politiquement pour l’indépendance du pays.

Il a cité la première femme ministre au Burkina, Mme Ouézzin Coulibaly/Makoukou, le 1er président de l’Assemblée nationale, Beyon Koné, Fadouga Héma pour ne retenir que ces trois personnalités politiques. « Sans ces hommes, le Burkina Faso ne serait pas ce qu’il est de nos jours », a-t-il dit.

En ce qui concerne la région des Cascades, il a fait un pari pour l’économie, qui consiste à œuvrer à ce que les producteurs abandonnent la daba pour la charrue et la charrue pour le tracteur. Pour soutenir cette ambition, il a promis doter les paysans de 200 000 charrues dont la moitié pour les femmes. Sur la question des industries, le président est persuadé « que les GMB vont redémarrer ».

Le candidat Blaise Compaoré est reparti de Banfora avec un message fort de soutien des notabilités coutumières et religieuses : « Ce quinquennat est déjà acquis pour vous. On ne change pas une équipe qui gagne. Nous n’avons pas besoin de jurer que nous aimons Blaise Compaoré, il le sait et le voit. Nous demandons aux ancêtres et même aux djinns de vous accompagner », ont-il affirmé par la voix de Kalifou Traoré.

Mahamadi TIEGNA

sidwaya

Siao 2010: l’heure des récompenses

Le Ghana grand vainqueur de cette émulation, avec le Prix stand pays du président du Faso

Le Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (Siao) 2010 s’est officiellement achevé le 6 novembre 2010. Ou presque. Les stands sont encore ouverts au public jusqu’à 22h, ce dimanche 7 novembre 2010, et les acheteurs professionnels peuvent encore faire des affaires. Avant de se séparer, artisans et officiels se sont retrouvés ce samedi 6 novembre, au cours d’une soirée de gala, qui a également permis de récompenser les plus imaginatifs d’entre eux.

C’est le Ghana qui est sorti grand vainqueur de cette émulation, lui qui repart avec le Prix stand pays du président du Faso, d’une valeur de deux millions de francs CFA, récompensant les stands officiels des pays participants. Les 2e et 3e prix ont été respectivement remportés par le Mali et le Congo, invité d’honneur de cette édition. En tout ce sont 29 lauréats, des personnalités physiques ou morales, qui ont été distingués. Pendant que les lauréats saluaient le dynamisme du Siao, Moussa Traoré, son directeur général, peut enfin respirer. «Les objectifs que nous nous sommes fixés ont été pleinement atteints, au plan quantitatif et au plan qualitatif. Quantitatif parce que nous avons pu louer une grande majorité de nos stands, attirer plus de 300 acheteurs professionnels et enregistré plus de 300 000 visiteurs. Au plan qualitatif, nous avons pu mettre un accent particulier sur les acheteurs professionnels», s’est réjoui le patron de la biennale de l’artisannat. Des défilés de mode et des prestations musicales ont agrémenté cette soirée de récompenses.
Il est donc certain que lorsque le crépitement des feux d’artifice marquant la fin du Siao se feront entendre sur le coup de 22h ce dimanche 7 novembre 2010, Moussa Traoré, aura des raisons d’être satisfait: il vient de réussir son baptême de feu. Avec 525 stands occupés sur les 578 dressés, la participation effective de plus de 2 000 exposants, il a des raisons de l’être.

Voici la liste exhaustive des lauréats:

N° Ordre

Donateur

Domaine primé

Montant du Prix

Nom & Prénoms des Lauréats

Description sommaire de l’œuvre primée

1

Prix stand pays de SEM le Président du Faso

Stands Pays officiels

1er Prix : 2 500 000 Fcfa

GHANA

Représentant :


2ème Prix : 1 500 000 Fcfa

MALI

Représentant :


3ème Prix : 1 000 000 Fcfa

CONGO Brazzaville

Représentant :








2

Ambassade de France

Prix du Pavillon de la créativité

1er Prix :1 000 000 FCFA

Aboubacar DOUMBIA (Mali)

Couvre lit fait main à base de coton biologique

2ème Prix : 500 000 Fcfa

Madame Mariane MONTAUT (France)

Création murale fait main à base de coton biologique

3ème Prix : 250 000 Fcfa

Madame Elisabeth BADO (Burkina Faso)

Tapis fait main a base de laine de mouton







3

Prix UEMOA

Participation des artisans primés à la foire de Paris

Objet fabriqué en bois ou dérivé

Prix : 500 000 Fcfa

Amadou TALLE Essodé Zam (Togo)

Tapis à base de »LOOFA » dérivé de plante rampante

Perles Collier et accessoires de mode

Prix : 500 000 Fcfa

LOOKENSY Elisabeth

(Cote d’Ivoire)

Ceinture et Collier en perles

Vannerie et fabrication de calebasse

Prix : 500 000 Fcfa

COULIBALY Sidiki

(Cote d’Ivoire)

Lampe Abat-jour en calebasse







4

Prix ZAIN

Environnement

Prix unique :1 000 000 Fcfa

Association des Travailleuses Missionnaires de l’Immaculée Conception

(EAU VIVE)

Glaces à base des produits locaux (karité, jujube, kaga, pain de singe etc….)







5

Prix ECOBANK

Artisanat utilitaire

1er Prix : 1 000 000 Fcfa

NIKIEMA Baba Mahamadi

(Burkina Faso)

Table à manger à base de la récupération de barriques d’huile

2ème Prix : 500 000 Fcfa

BAYIGABOU Adjaté

(Burkina Faso)

Un salon à base de fer forgé et récupération de pneus de mobylettes

3ème Prix : 250 000 Fcfa

Tiendrebéogo Z. Olivier

(Burkina Faso)

Tabouret double face en fer forgé et fil en nyllon







6

Prix OAPI

Artisanat utilitaire

1er Prix : 1 000 000 Fcfa

N’DIAYE Moustapha

(Sénégal)

Fauteuil en capsules

2ème Prix : 500 000FCFA

TRAORE E.Mahamadou (Mali)

Fourneau à gaz pour les blanchisseur







7

Prix de la Commune de Ouagadougou

Artisanat utilitaire

Prix unique :500 000 Fcfa

NIKIEMA Edmond

(Burkina Faso)

Salon en bois et divers matériaux « Petit déjeuner »







8

Prix Coopération Autrichienne

Femmes artisanes méritantes

1er Prix : 1 000 000 Fcfa

Association GAFREH de Bobo Dioulasso

(Burkina Faso)


2ème Prix : 500 000 Fcfa

Association MUNYU de la Comoé (Burkina Faso)


3ème Prix : 250 000 Fcfa

Association BUAYABA de Fada N’Gourma

(Burkina Faso)








9

Prix CCI-BF

Agroalimentaire

1er Prix : 700 000 Fcfa

Centre Ecologique Albert Schweitzer

(Burkina Faso)

Barrette manuelle pour beurre de karité




2ème Prix : 500 000 Fcfa

Sœurs de l’Immaculée Conception de Kossoghin (Burkina Faso)

Mise en valeur de l’argile locale à travers différents produits : suppositoires, baume etc……




3ème Prix : 300 000 Fcfa

Marie Josepha ZOUNDI

Oligo Vita : complément Alimentaire







10

Prix des Engagements Nationaux


1er Prix : 250 000 FCFA

Culture Nomades de Dori de Monsieur Muna LY

Ensemble d’œuvres en matériaux Locaux (tapis muraux, nattes, dessous de table, couvercles en paille etc…







11

Prix de la Marraine du SIAO

Prix Artisan burkinabè

Artisane Africaine

1er Prix :350 000FCFA

Sidonie CONDOMBO

(BurkinaFaso)

Tissage et créativité

2er Prix : 350 000 Fcfa

Bafitigué SANOU

(BurkinaFaso)

Objets en bronze

3ème Prix : 250 000 FCFA

Tapsoba Marcelline

(BurkinaFaso)

Vêtements Tradi-moderne

4ème Prix : 250 000 FCFA

Sana Abdoul Karim

(BurkinaFaso)

Objets en bronze

Prix : 300 000 Fcfa

Amenan Edith KOUASSI (Coted’Ivoire)

Vêtements







12

Prix Etnik Org


Bourse de Formation



UEMOA: Bons débuts du Burkina, le Niger tenu en échec


UEMOA
Par RFI

La première journée de la 4e édition du Tournoi de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine a été marquée par la belle prestation du Burkina Faso vainqueur du Togo 2-0. Le Niger - pays-hôte - a connu une entame plus difficile et concédé le nul (1-1) face à la Guinée Bissau.

de l'envoyé spécial de RFI à Niamey Philippe Zickgraf

Le Burkina Faso s’est logiquement imposé 2-0 lors du match d’ouverture grâce à un doublé d’Abamah Plange, une tête qui lobait le gardien à la 25e mn et un pénalty à la 61e mn après une faute sur Ocansey. Les Burkinabè alignait une équipe bien rodée puisque neuf joueurs de l’ASFA Yennenga, le club phare du pays, figuraient dans le onze de départ, un choix de l’entraîneur Gualbert Kaboré qui a dû faire face à une préparation écourtée. Les Etalons ont exercé une grosse domination et se sont procuré énormément d’occasions dans cette rencontre devant un Togo très vaillant mais inexpérimenté : il n’y a pas de championnat au Togo depuis près de deux ans amis seulement des tournois, ce qui n’est pas l’idéal pour les joueurs.

La surprise Bissau-guinéenne

Le deuxième match de la journée a vu le Niger tenu en échec 1-1 par une bonne équipe de Guinée Bissau. C’est un résultat un peu inattendu car les Bissau-guinéens étaient considérés comme l’équipe la plus faible avec un nul et huit défaites et 3 buts marqués pour 30 buts encaissés lors des précédents tournois. C'est d’ailleurs la Guinée Bissau qui a ouvert le score à la 24e mn par Seydi Malam et les Nigériens ont couru après l’égalisation jusqu’à la 71e mn par Hamza Bayo, d’une magnifique reprise de volée sur un ballon repoussé par le gardien. Ce nul est un peu ennuyeux pour le Mena qui vise une place en finale mais les Nigériens avaient déjà débuté par un nul en 2007 face au Burkina avant d’aller en finale.

Groupe A Groupe B
Dimanche 7 novembre
Burkina Faso - Togo 2-0
Niger - Guinée Bissau 1-1

Mardi 9 novembre 2010
Guinée Bissau - Burkina Faso
Niger - Togo

Jeudi 11 novembre 2010
Togo - Guinée
Niger - Burkina Faso

Lundi 8 novembre
Côte d'Ivoire - Mali (15h00TU)
Sénégal - Bénin (17h00 TU)

Mercredi 10 novembre
Côte d'Ivoire - Bénin
Sénégal - Mali

Vendredi 12 novembre
Mali - Bénin
Sénégal - Côte d'Ivoire

FINALE
Dimanche 14 novembre
Vainqueur Gr. A - Vainqueur Gr B (14h30 TU)

Obama to Focus on Strategic Ties with India

U.S. President Barack Obama will hold official talks with Indian leaders Monday that focus on strategic ties.

Mr. Obama will meet in New Delhi with Prime Minister Manmohan Singh before addressing the Indian Parliament and then attending a state dinner in his honor.

The U.S. president is expected to elaborate on his call Sunday for arch nuclear foes India and Pakistan to talk, and for Islamabad to do more to tackle extremists threatening its neighbor.

Mr. Obama told students in Mumbai Sunday the U.S. is working with Pakistan aggressively to combat the cancer of Islamic extremism, but that progress is not coming as quickly as the U.S. would like.

India blames Pakistan for fostering Islamic extremists who carried out the 2008 Mumbai terror attacks, which killed more than 160 people.

Mr. Obama’s four-day visit to India ends Tuesday.

In Mumbai, Mr. Obama told students gathered at St. Xavier’s College Sunday that India has the biggest stake in Pakistan’s success in the fight against extremists. He said India does not need the distraction of security troubles at a time when it is starting to see success on the global economic stage.

Mr. Obama also said a strong relationship between the U.S. and India has “limitless potential,” potentially serving as an anchor for security, prosperity and progress for Asia as a whole.

Mr. Obama said he believes India is no longer a rising power, but one that is taking its rightful place among world leaders.

Mr. Obama will next visit Indonesia on his 10-day Asian tour. He lived in Indonesia during part of his childhood. He then travels to South Korea for the summit of leaders of the world’s 20 biggest economies.

The president is expected to raise the issue of China’s tight control of its currency, which many lawmakers and business leaders say makes Chinese goods cheaper to sell on world markets. Mr. Obama is also hoping to announce progress on the long-stalled U.S.-South Korea free trade agreement.

President Obama will also visit Japan.

Some information in this story was provided by AFP and Bloomberg.

Lundi matin le tabac augmente...les fumeurs aussi ?

Repères

/ Photo DDM, Thierry Bordas.
/ Photo DDM, Thierry Bordas.
/ Photo DDM, Thierry Bordas.

Et si la nouvelle hausse de 6 % du prix du tabac, qui s'appliquera à partir de demain chez vos buralistes, n'avait pas d'impact sur la consommation de cigarettes en France ? Un petit coup d'œil dans le rétro légitime à lui seul la question. En mai 2001, le prix du paquet le plus vendu en France est de 3,35€. Un peu plus de neuf ans plus tard, le paquet en question sera vendu 5,90€. Soit 76 % d'augmentation. Or, malgré cette hausse massive du prix, entre 2005 et 2010, le nombre de fumeurs a progressé de deux points, passant de 31,8 % à 33,6 % de la population de plus de 15 ans. Selon le « Baromètre santé 2010 » sur « L'évolution du tabagisme en France » publié en octobre par l'INPES (Institut national de prévention et d'éducation pour la santé), il s'agit là de la première hausse « véritablement significative » depuis l'entrée en vigueur de la loi Evin, en 1993. Une hausse qui touche particulièrement les femmes. Groupe des 15-19 ans mis à part, toutes les tranches d'âges féminines de plus de 20 ans ont accru leur consommation de tabac entre 2005 et 2010, les fumeuses quotidiennes passant de 23 % à 25,7 % de la population. Si l'on en croit le Comité national contre le tabagisme, une hausse du prix du paquet de cigarettes inférieure à 10 % ne fait pas baisser la consommation. La dernière hausse enregistrée, de 6 % déjà, il y a tout juste un an, le 9 novembre 2009, confirmant la règle. A l'inverse, la dernière série d'augmentations massives, en 2003 (+8% en janvier, +18 % en octobre et +9 % en janvier 2004), avait conduit à une forte baisse : le nombre de fumeurs était passé de 35 % de la population adulte en 2000 à 30 % en 2005. Dans son baromètre, l'INPES indique que « tous les indicateurs de vente (à la hausse pour les produits de l'industrie du tabac et à la baisse pour les traitements pour l'arrêt du tabac) semblent corroborer la reprise du tabagisme

[…] Il faut toutefois souligner qu'elle s'accompagne d'une baisse du nombre moyen de cigarettes consommées par les fumeurs réguliers, conséquence d'une diminution de la proportion de gros fumeurs », liée à « l'augmentation de l'interdiction de fumer dans les lieux publics, en particulier sur le lieu de travail. » La politique des hausses « homéopathiques » à coup de 30 centimes d'euros ne serait donc pas efficace en terme de santé publique. Pire, elle creuserait un peu plus l'inégalité sociale face à la cigarette, « en particulier parce que les fumeurs les plus précaires semblent avoir plus de difficultés à arrêter de fumer », comme le souligne l'étude du sociologue Patrick Peretti-Watel qui estime que 15 % des fumeurs dépensent plus de 20 % de leurs revenus pour acheter du tabac. « C'est parfois le seul plaisir qu'ils peuvent s'offrir, certains considèrent même cette habitude comme un « loisir bon marché »».

Le chiffre : 30

CENTIMES > D'euro. C'est l'augmentation moyenne par paquet de cigarettes appliquée dès demain. Sur ces 30 centimes, 24 iront dans les caisses de l'État, 2,5 dans celles des buralistes et enfin 3,5 pour les fabricants, à l'origine de la demande de hausse de prix. La hausse moyenne sur le tabac à rouler sera de 40 cts.


La phrase

« Cette augmentation demandée par l'industrie du tabac est calculée au centime près pour ne pas faire baisser la consommation». Office français de prévention du tabagisme, sur son site internet, à propos de la hausse de 6% du prix du tabac.


Buralistes

« L'augmentation relancera le marché clandestin »

À la veille d'une nouvelle augmentation du paquet de cigarettes, la deuxième en un an (lire ci-dessus), Gérard Vidal, président de la Fédération Midi-Pyrénées des buralistes, a la tête des mauvais jours. « Cette hausse a été voulue par les fabricants, acceptée par le gouvernement et subie par 28 000 buralistes », analyse-t-il. « Il ne faut pas se tromper, la hausse des prix rapporte d'abord à l'État. A nous autres buralistes, ça ne profitera que si le volume écoulé reste constant. Or, nous, on est aux portes de l'Espagne », relève encore celui qui est également président national des buralistes frontaliers. À l'heure où depuis quelques mois les volumes écoulés étaient stables, où l'écart de prix entre France et Espagne se réduisait, où la vente transfrontalière n'était plus aussi intéressante en raison notamment du coût du transport, cette nouvelle hausse est de nature à rompre un équilibre fragile et à menacer directement l'existence de certains commerces.

Vente transfrontalière

« Depuis les hausses de 50 % en 2003, qui avaient entraîné la fermeture de 10 % des bureaux de tabac, notre situation reste délicate », confirme Gérard Vidal. « On avait plus que 2 € d'écart par paquet en moyenne par rapport à l'Espagne. Là on va passer à 2,30 €, ça va changer la donne. La vente transfrontalière va repartir de plus belle. Et côté trafic, même si les douanes ont fait un gros travail, pour moi, cette nouvelle hausse va redonner un coût de fouet au marché parallèle. Moi, tous les jours, dans mon bureau de tabac toulousain, je refuse la vente à des gamins qui n'ont pas 18 ans. Mais avec cette nouvelle hausse, on va venir leur vendre directement à la sortie des lycées, à 2 € le paquet. Et on sait très bien que dans ces paquets-là, il n'y a pas beaucoup de tabac et davantage de produits encore plus nocifs… ». Quant à la lutte contre le tabagisme, le débitant a sa petite idée sur l'efficacité d'une politique de santé : « Il faudrait que les prix soient à peu près identiques en Europe et que les contrôles douaniers soient renforcés partout au sein de l'Union. »


L'expert

« Sur 30 ans,une baisse massive »

Le nombre de fumeurs repart à la hausse en France. Cela ne montre-t-il pas la limite des campagnes antitabac ?

Il faut relativiser cette remontée. Elle n'est que très faible et le nombre de fumeurs a très nettement diminué ces dernières décennies. Il y a trente ans, 46 % de la population fumait. Aujourd'hui, ils ne sont plus que 27 % environ. La remontée que l'on constate cette année est de l'ordre de seulement 1 %. Cette petite percée est la conséquence de la diminution de campagnes antitabac d'envergure mais aussi et surtout d'un arrêt de la hausse des prix du tabac. Je ne crois pas, comme l'a déclaré la ministre de la Santé que cette petite remontée ait été provoquée par l'inquiétude que suscite la crise économique.

Pourtant, le prix du tabac a augmenté ces dernières années.

Oui mais beaucoup moins qu'avant 2004, année au cours de laquelle un moratoire a été adopté avec les cigaretiers pour réduire considérablement les hausses jusqu'en 2008. Pourtant, on sait que lorsque les prix grimpent sensiblement, le nombre de fumeurs diminue de manière très significative.

On se rend compte que c'est surtout dans les pays pauvres que l'on fume le plus. Le tabac est-il un indicateur de précarité ?

Oui. Les populations les plus vulnérables, les plus démunies et les moins éduquées sont celles qui fument le plus. C'est dans le tiers-monde, en Asie et en Afrique, que l'on enregistre la plus grande mortalité liée au tabac. Dans ces pays, il n'y a souvent pas de politique de santé développée, de lois réglementant son usage, son négoce… et les cigaretiers l'ont bien compris et en profitent. Mais, malgré ce tableau plutôt noir, nous constatons aussi que dans ces pays le nombre de fumeurs diminue.

Un député suédois d'origine turque expulsé d'Israël

Un député suédois d'origine turque expulsé d'Israël

Un député suédois d'origine turc, qui avait participé à la flottille pour Gaza interceptée le 31 mai par un commando israélien dans les eaux internationales, a été expulsé dimanche à son arrivée à l'aéroport Ben Gourion, a annoncé une porte-parole du ministère de l'Intérieur.


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Un député suédois d'origine turc, qui avait participé à la flottille pour Gaza interceptée le 31 mai par un commando israélien dans les eaux internationales, a été expulsé dimanche à son arrivée à l'aéroport Ben Gourion, a annoncé une porte-parole du ministère de l'Intérieur.

Le parlementaire Mehmet Kaplan ainsi que l'artiste israélien Dror Feiler installé en Suède, qui a renoncé à sa nationalité et qui se trouvait également à bord de l'un des bateaux de la flottille, ont "été expulsés car ils n'ont pas respecté la procédure", a affirmé à l'AFP la porte-parole Sabine Hadad.

"Lors de leur détention après l'arraisonnement des bateaux de la flottille tous les passagers qui étaient à bord ont signé avant d'être expulsés une lettre dans laquelle ils s'engagent à demander un permis d'entrée en Israël auprès de l'ambassade d'Israël de leur pays respectif avant de tenter de revenir", a ajouté la porte-parole.

"Ils étaient parfaitement au courant de ces dispositions qu'ils n'ont pas respectées", a-t-elle poursuivi.

Début octobre, la militante pacifiste nord-irlandaise Mairead Maguire, prix Nobel de la paix, avait elle aussi été interdite de séjour en Israël. Elle avait été auparavant expulsée en juin ainsi que tous les passagers d'un autre bateau humanitaire irlandais qui tentait de briser le blocus maritime imposé à la bande de Gaza.

Le 31 mai, des militants pro-palestiniens ont tenté de forcer ce blocus à bord de plusieurs navires. Neuf passagers turcs ont été tués lors du raid d'un commando israélien contre le Mavi Marmara, un bateau turc de la flottille.

Gebremariam, Kiplagat Win NYC Marathon

African runners won both the men’s and women’s titles at Sunday’s New York City Marathon, while recently rescued Chilean miner Edison Pena reached his goal of finishing the race in under six hours.

Making his debut in the 42.2 kilometer race, Gebre Gebremariam of Ethiopia took the men’s title in two hours, eight minutes and 14 seconds. Kenyan Edna Kiplagat won the women’s race to earn her first major marathon championship in two hours, 28 minutes and 20 seconds.

A different Ethiopian runner, world record holder Haile Gebrselassie, had been favored to win the men’s race. But the legendary distance runner pulled out of the race after about 25 kilometers with an injury to his right knee. He then announced his retirement.

Pena was among the some 45,000 runners taking part in the race and showed the determination that helped him survive more than two months underground. Crowds cheered the 34-year-old Chilean on as he ran the marathon in just under six hours despite a knee injury he suffered in the mine collapse.

Pena had jogged in the mine tunnels until being rescued along with 32 other miners last month.

In the men’s race Emmanuel Mutai of Kenya finished second, 1:03 back, while third place went to his countryman, Moses Kigen Kipkosgei .

For the women, American Shalane Flanagan took second place in her debut marathon finishing 20 seconds back , while Mary Keitany of Kenya was third .

Qantas a découvert des "anomalies" sur des moteurs d'A380

Qantas a découvert des "anomalies" sur des moteurs d'A380

La compagnie aérienne australienne Qantas a annoncé avoir découvert de "légères anomalies" dans certains moteurs équipant ses Airbus A380, ce qui implique qu'ils seront cloués au sol pour plus longtemps que prévu, après une avarie en plein ciel jeudi.


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La compagnie aérienne australienne Qantas a annoncé avoir découvert de "légères anomalies" dans certains moteurs équipant ses Airbus A380, ce qui implique qu'ils seront cloués au sol pour plus longtemps que prévu, après une avarie en plein ciel jeudi.