27 octobre, 2010

Obama: Democrats Need Big Turnout to Win Elections

President Barack Obama delivers remarks at the DCCC reception at the Rhode Island Convention Center in, Providence, Rhode Island, 25 Oct 2010
Photo: AP

President Barack Obama delivers remarks at the DCCC reception at the Rhode Island Convention Center in, Providence, Rhode Island, 25 Oct 2010

President Barack Obama is pushing for a large voter turnout by his Democratic party ahead of next week's mid-term elections, which polls show could see big gains by opposition Republicans.

Mr. Obama said in a radio interview Tuesday that Democrats will win the November 2 elections, provided they get the same voter turnout that put him in the White House in 2008.

He is expected to repeat that theme Wednesday to members of the Organizing for America network that grew out of his presidential campaign.

A Gallup poll indicates Republicans remain in position to seize control of the House of Representatives from Democrats, who have majorities there and in the Senate. Republicans need 10 more seats to take control of the Senate.

Republicans want a big turnout from white voters, men and older voters. Their chances have been helped by the Tea Party movement, a loosely-organized coalition of conservative and libertarian groups committed to smaller government and lower taxes.

Democrats are trying to energize young voters, women and minorities - blocs that supported Mr. Obama in 2008.

All 435 seats in the House of Representatives plus 37 in the U.S. Senate are at stake in next week's balloting.

In addition to the congressional races, many states (37) are holding elections for governor.

White House spokesman Robert Gibbs warned Tuesday of a possible future of, in his words, "gridlock and political gamesmanship." He was responding to a comment by Senate Minority Leader Mitch McConnell. McConnell said this week that after the election, Republicans' single biggest goal will be to ensure that Mr. Obama is not re-elected.

Some information for this report was provided by AP, AFP and Reuters.

Beyoncé

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Lutte contre la fraude 220 millions de F CFA de cigarettes incinérées


La coordination nationale de lutte contre la fraude a procédé, le vendredi 22 octobre 2010, au centre d’enfouissement technique de Bobo-Dioulasso, à l’incinération de plus de 150 000 cartouches de cigarettes de contrebande. Une saisie opérée à Bobo-Dioulasso et ses environs par le service de douanes de l’Ouest, la police, la gendarmerie et la coordination elle-même. Cette saisie représente 220 millions de manque à gagner pour l’économie nationale, n’eut été la vigilance des forces de l’ordre.

Les cartouches saisies sont constituées d’une dizaine de marques interdites d’importation et de vente au Burkina Faso. Selon Prosper Oubda, représentant de la direction régionale des douanes de l’Ouest, « La marchandise destinée à la zone rebelle de la Côte d’Ivoire fait l’objet d’un transit . Et c’est ainsi que certaines personnes essayent de la faire rentrer au Burkina Faso par la contrebande ».

Les 155 000 cartouches ont été saisies au cours de l’année 2010 seulement, dont la moitié par le service des douanes de l’Ouest lors de contrôles de routine et d’opérations en campagne. Avant la mise à feu de la marchandise fraudée, le représentant de la coordination nationale de lutte contre la fraude, l’inspecteur divisionnaire des douanes, Dominique Ouangrawa, a soutenu que la contrebande de cigarettes constitue un des aspects de « nuisance » du phénomène de la fraude sur l’économie nationale et partant, sur tout le pays, par les pertes qu’elle engendre.

Le représentant de la coordination nationale a salué la collaboration entre cette structure et les forces de l’ordre d’une part, et entre les organes de lutte contre la fraude et les populations de l’autre, ce qui a abouti à la saisie d’une telle quantité.

Mahamadi TIEGNA

sidwaya.bf

Bordeaux dit au revoir à la Coupe de la Ligue

Le Stéphanois Sylvain Monsoreau face au Bordelais Michaël Ciani le 26 octobre 2010 à Saint-Etienne.

Le Stéphanois Sylvain Monsoreau face au Bordelais Michaël Ciani le 26 octobre 2010 à Saint-Etienne. PHILIPPE MERLE/AFP

FOOTBALL - A Saint-Etienne en 8e de finale mardi soir, les hommes de Jean Tigana se sont inclinés 1-0...

Battus par Brest à Chaban-Delmas samedi dernier, les Girondins espéraient renouer mardi soir avec le succès, à l’occasion des 8es de finale de la Coupe de la Ligue à Saint-Etienne. Mais dans le chaudron de l’ASSE, les hommes de Jean Tigana ont fait une croix sur cette compétition. Incapables de neutraliser des Verts agressifs et pleins d’envie, ils s’inclinent 1-0 et peuvent regretter une première mi-temps bien trop timide.

Déterminés, les hommes de Christophe Galtier ne tardent pas à refroidir les ardeurs bordelaises. Rivière, parfaitement lancé dans la profondeur côté droit, déborde et sert Ndaw à l’entrée de la surface. Le Stéphanois feinte la frappe puis fusille Carrasso d’un tir en pleine lucarne (11e). Sonnés par ce but, les Girondins souffrent. Dans la foulée, Monsoreau (22e) puis Bergessio (25e) manquent de doubler la mise pour l’ASSE. Côté bordelais, Maazou, bien trop seul en attaque, tente de remettre les siens sur de bons rails (31e, 36e). Sans succès.

Un Jérémie Janot des grands soirs

Mais les partenaires de Fernando s’accrochent et finissent enfin par se créer des occasions. Maazou encore (52e), Ben Khalfallah (53e) et Plasil (54e) prennent leur chance mais butent sur un Jérémie Janot dans un grand soir. C’est ensuite au tour d’Anthony Modeste, à peine entré en jeu en remplacement d’un David Bellion transparent, de se distinguer (73e, 76e) avant que le gardien des Verts ne sorte deux arrêts de grande classe (81e), face à Plasil avec une magnifique claquette, puis face à Jussiê, pour préserver le maigre avantage des siens. Les Girondins multiplient les tentatives en fin de match mais Janot veille. Vaincu, Bordeaux n’a plus qu’à se concentrer sur le championnat, avec dès dimanche, un périlleux déplacement à Monaco.

Lauren Horky

Présidentielle ivoirienne Guillaume Soro rassure le facilitateur Blaise Compaoré du scrutin du 31 octobre


Le Président du Faso, Blaise Compaoré, facilitateur du dialogue direct interivoirien, a reçu en audience, le Premier ministre ivoirien, Guillaume Soro, le mardi 26 octobre 2010 à sa résidence à Kosyam. Guillaume Soro est venu rassurer le facilitateur burkinabè quant à la tenue de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire prévue le 31 octobre prochain.

A l’orée de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, le Premier ministre ivoirien, Guillaume Soro, est venu s’entretenir avec le président burkinabè, Blaise Compaoré, sur la question. Le 31 octobre prochain, les Ivoiriens iront aux urnes pour voter le candidat de leur choix. Pour cela, tout est mis en œuvre, selon le Premier ministre Guillaume Soro, pour que l’élection se déroule dans la transparence la plus totale. A cet effet, "les cartes d’électeurs et les cartes nationales d’identité sont distribuées et nous avons franchi la barre des 80% à l’intérieur du pays", a expliqué Guillaume Soro.

Toutefois, pour permettre aux retardataires de retirer leurs cartes d’électeurs et cartes nationales d’identité, la journée du vendredi 29 octobre 2010 sera décrétée fériée sur tout le tout le territoire ivoirien. Pour le Premier ministre ivoirien, il s’agit d’une mesure prise par le gouvernement ivoirien pour permettre au maximum d’Ivoiriens d’être détenteurs d’une carte nationale d’identité ou d’électeur pour se rendre aux urnes. Il a donc saisi l’opportunité pour lancer un appel à tous les Ivoiriens afin que ceux-ci effectuent le retrait de leurs cartes avant la date butoir du 31 octobre 2010.

La Commission électorale indépendante (CEI), il y a quelques jours, décidait d’adopter la procédure du comptage manuel des résultats de l’élection présidentielle ; nouvelle qui a suscité de nombreuses polémiques. Par conséquent, pour ce qui est du décompte des voix, la CEI procèdera aux comptages manuel et électronique. Cela, a précisé Guillaume Soro, permettra d’assurer plus de fiabilité et de transparence dans les résultats. "Tout le monde devrait être satisfait", a-t-il ajouté.

Assurer la sécurité pendant l’élection

Pour ce qui est du volet sécuritaire lors de l’élection à venir, le déploiement des centres de commandement est déjà effectif et cela se poursuivra jusqu’à la proclamation des résultats. "Si les Ivoiriens veulent que l’élection se déroule sans violence, elle le sera", a indiqué le Premier ministre ivoirien. "Un appel est donc lancé aux candidats à l’élection présidentielle afin que ceux-ci prennent les dispositions nécessaires pour sensibiliser leurs états-majors pour que tout se passe dans la discipline, l’ordre et le calme" , a-t-il insisté.

Guillaume Soro a félicité et encouragé les différents candidats pour le bon déroulement actuel de la campagne électorale même s’il faut noter quelques perturbations imputables au déroulement de toute campagne électorale. Il a également invité tous les Ivoiriens de même que la Communauté internationale et les amis de la Côte d’Ivoire à accompagner ce pays dans sa volonté de faire des élections libres, transparentes et démocratiques.

Lassané Osée OUEDRAOGO

sidwaya.bf

Audience présidentielle La Chine-Taïwan reconnaissante à Blaise Compaoré


Le Président du Faso, Blaise Compaoré, a reçu en audience, dans la soirée du lundi 25 octobre 2010 à sa résidence à Kosyam, le ministre des Affaires étrangères de la Chine-Taïwan, Timothy Chin-Tien Yang. Présent au Burkina Faso pour l’inauguration de l’hôpital national Blaise-Compaoré, le diplomate taïwanais a profité remercier le Président du Faso pour le soutien constant à la demande d’adhésion de son pays aux organisations internationales.

La Chine-Taïwan est reconnaissante au Président du Faso pour son soutien constant à sa demande d’adhésion aux Nations unies et à ses structures spécialisées. C’est ce qu’a indiqué le ministre des Affaires étrangères taïwanais Timothy Chin-Tien Yang à sa sortie d’audience le lundi 25 octobre 2010. Accompagné d’une forte délégation, le chef de la diplomatie taïwanaise, présent au Burkina Faso pour l’inauguration de l’hôpital national Blaise-Compaoré, a profité transmettre au chef de l’Etat les salutations et les remerciements de son homologue taïwanais.

Selon lui, la coopération bilatérale entre la Chine-Taïwan et le Burkina Faso se porte bien. Il en veut pour preuve la réalisation et l’inauguration du Centre national hospitalier universitaire qui porte le nom du chef de l’Etat burkinabè et dont la Chine-Taïwan est le principal bailleur de fonds.

"J’ai assuré au Président du Faso que la République de Chine-Taïwan restera toujours aux côtés du Burkina Faso en tant que partenaire pour l’accompagner dans la construction de son développement", a indiqué le ministre des Affaires étrangères de la Chine-Taïwan, Timothy Chin-Tien Yang.

Lassané Osée OUEDRAOGO

UN: WikiLeaks Files Should Prompt Iraq Abuse Probe

The United Nations’ top human rights official has called on U.S. and Iraqi authorities to investigate allegations of unlawful detainee killings and abuse contained in recently-released secret military documents.

U.N. High Commissioner for Human Rights Navi Pillay said Tuesday the files released by the whistleblower website WikiLeaks indicate U.S. authorities knew about widespread torture and ill-treatment of Iraqi detainees by Iraqi forces, yet transferred thousands to Iraqi custody between early 2009 and July 2010.

Pillay also said the files allegedly refer to “many undisclosed instances in which U.S. forces killed civilians at checkpoints and during operations.”

The commissioner said the information adds to concerns that serious breaches of international human rights law have occurred in Iraq. She urged the U.S. and Iraq to prosecute anyone believed responsible for torture, unlawful killings and other abuses.

Also Tuesday, the U.S. Defense Department’s second highest official called the WikiLeaks documents “stolen material,” saying they give adversaries key insight into how the United States military operates.

U.S. Deputy Defense Secretary William Lynn told reporters during a visit to Baghdad “there are groups out there” that have said they are mining the data to use against the United States. Lynn did not say which groups, or how the Pentagon knew they were researching the material.

Meanwhile, in Washington, a Pentagon spokesman said WikiLeaks may have even more secret material than U.S. officials previously believed.

WikiLeaks last week released nearly 400,000 classified U.S. documents on the Iraq war, and in July posted 77,000 secret U.S. files on the Afghanistan conflict. The website is also believed to have another 15,000 Afghan war field reports, 260,000 diplomatic cables, and U.S. video of casualties in Afghanistan.

The documents published Friday indicate there were 15,000 unknown or unreported Iraqi civilian deaths and that more than 100,000 people were killed following the U.S.-led invasion in 2003.

But General George Casey, who commanded U.S. forces in Iraq from 2004 to 2007, told reporters Monday there was no effort to undercount civilian deaths. In fact, he said, U.S. military personnel went into Iraqi morgues to count civilian casualties.

General Casey, who is now the U.S. Army’s Chief of Staff, also rejected suggestions that U.S. forces turned a blind eye to Iraqi prisoner abuse. He said that U.S. policy was to stop any abuse and then immediately report it to higher American and Iraqi military authorities.

Some information in this story was provided by AP, AFP and Reuters.

Détenteurs de cellulaires 15 décembre, date limite pour se faire identifier

De concert avec les opérateurs de téléphonie mobile et les forces de défense et de sécurité, l’Autorité de régulation des communications électroniques (ARCE) a arrêté la date du 15 décembre 2010 comme délai de rigueur pour l’identification des abonnés aux réseaux mobiles. C’est la substance de la conférence de presse qu’elle a organisée dans ses locaux à Ouaga 2000, le 26 octobre 2010.

Depuis août 2010, l’Autorité de régulation des communications électroniques (ARCE) a entrepris une campagne d’information et de sensibilisation sur l’identification des abonnés. Cette action a été menée en direction des opérateurs de téléphonie mobile, les distributeurs et les sous-distributeurs pour leur faire comprendre la nécessité d’attribuer une puce à un abonné sous condition que celui-ci remplisse une fiche d’identification (contrat d’abonnement) sur la base d’un document administratif tel la carte d’identité, le passeport ou le permis de conduire. La signature de ce contrat d’abonnement marque l’adhésion du client à ce contrat ainsi que de celle de l’opérateur qui le lui propose.

Si l’ARCE tient à cette exigence, c’est parce que, selon son président Mathurin Bako, le secteur des communications électroniques est réglementé aux niveaux national, sous-régional et international. De ce fait, les opérateurs et leurs distributeurs ne sauraient se soustraire à cette obligation. En plus, cette campagne d’information et de sensibilisation a été motivée par des raisons sécuritaires.

Mathurin Bako argumente : “Les forces de sécurité sont confrontées chaque jour à des actes délictueux posés par des criminels qui utilisent les téléphonies mobiles sans laisser de traces. Ce qui ne facilite pas leur poursuite naturellement”. Au regard de cette situation, il est nécessaire, poursuit le président de l’ARCE, de mettre un accent particulier sur l’enregistrement de l’ensemble des utilisateurs du cellulaire dans les bases de données des opérateurs. Et pour cette campagne d’identification, l’autorité de régulation entend couvrir 90% (en attendant d’atteindre le taux de 100%) des abonnés d’ici la date butoir.

Il est alors demandé aux différents clients de s’informer auprès de leur opérateur sur leurs situations d’identification. Car passé ce délai, à compter du 16 décembre précisément, tous ceux qui ne se seront pas fait identifier ou enregistrer dans les bases de données seront purement et simplement suspendus.

Et les concernés pourront se présenter à leurs opérateurs pour se faire connaître afin d’être connectés à nouveau sans aucun frais. Voilà donc qui est dit, et l’ARCE y veillera, déjà que 560 puces, dont l’identité des propriétaires n’est pas connue, ont été saisies.

Nankoita Dofini

lobservateur

Activists, Victims Await US Action Against LRA

Leader of the Lord's Resistance Army, Joseph Kony, (L) and his deputy Vincent Otti in Ri-Kwamba, Southern Sudan (File)
Photo: AP

Leader of the Lord's Resistance Army, Joseph Kony, (L) and his deputy Vincent Otti in Ri-Kwamba, Southern Sudan (File)

Human-rights activists and victims are eagerly awaiting U.S. government action against the East Africa-based Lord's Resistance Army. A U.S. law signed earlier this year mandates President Barack Obama to devise a strategy before November 20 to stop the rampaging rebel group.

John Prendergast of the U.S.-based Enough Project was one of many activists who welcomed the LRA Disarmament and Northern Uganda Recovery Act that was signed into law in May.

"You had a bipartisan consensus bill that had the highest number of cosponsors for an Africa-related bill in congressional history and the highest number of cosponsors for any bill in 2010," said Prendergast.

He says the onus now is on President Obama to stop this group which first started as a rebellion against Uganda's government in the 1980s and evolved into a brutal movement led by Joseph Kony.

"Twenty-five years have gone by where this guy has gone around, blitzing around northern Uganda and now into three or four countries in Central Africa still kidnapping kids, still cutting the lips off of women, still burning buses and villages and doing all kinds of stuff," Prendergast said. "Raping systematically in certain villages with a militia of no more than 600, 700 people, probably the highest ratio of damage to number of militia in the history of warfare, and we cannot do anything about that? No, you are going to do something about it."

Independent journalist Joe Bavier has been investigating recent activities of the LRA for the U.S.-based Pulitzer Center on Crisis Reporting. Bavier says the group scattered in several directions after the failed December 2008 joint attack on a LRA camp in the Garamba forests of the Democratic Republic of Congo by armies of several African countries, with logistical support from the U.S. government.

A woman who gave birth while fleeing from attacks by the Lord's Resistance Army (LRA) in the region sits in a makeshift tent near the south-western Southern Sudan town of Yambio (File)
AFP
A woman who gave birth while fleeing from attacks by the Lord's Resistance Army (LRA) in the region sits in a makeshift tent near the south-western Southern Sudan town of Yambio (File)

"They are everywhere. They have scattered in the northern Democratic Republic of Congo," said Bavier. "They loot, they carry out attacks in southern Sudan. Joseph Kony, himself, and Okot Odhiambo, one of the other commanders that is wanted by the International Criminal Court in The Hague, have been been operating in southeastern Central African Republic. The impact has been felt in an area where there has basically been no protection of civilians."

Since late 2008, the United Nations and aid groups estimate that the LRA has killed more than 2,000 people, abducted a similar number, and displaced hundreds of thousands of others.

Bavier who has been to areas where the LRA recently committed atrocities says people there are aware of the U.S. law and have very high expectations.

"It is a wish list, basically. They really do hope and expect, even in a lot of cases, the Americans deploy troops on the ground in LRA-affected areas, and take care of the military side of this, personally. And they also expect a lot of humanitarian assistance in these areas," he said.

But Bavier says a complicating factor to the issue is that reports indicate Kony may be seeking safety in the war-wracked western Sudan region of Darfur.

"He has long been an ally of Khartoum. And if he can find safe haven and support in Darfur and perhaps create alliances with pro-Khartoum militias, like the janjaweed in Darfur, we may be looking at a whole new ball game," Bavier added.

The janjaweed are pro-Khartoum militias accused of committing atrocities against civilians in Darfur. Like Joseph Kony, Sudan's President Omar al-Bashir is wanted by the International Criminal Court in The Hague on charges of genocide, war crimes and crimes against humanity - charges he denies and calls a Western plot against him.

Kony faces several dozen charges, including murder, sexual enslavement and rape. He has also denied the charges, describing himself as a freedom fighter guided by the Bible's Ten Commandments. Kony says accusations against him are propaganda by Uganda's government.