07 juin, 2010

Is there such thing as economic sanctions that don't hurt ordinary people?


As the U.N. Security Council prepares to consider sanctions against Iran in response to its nuclear program, China said on Thursday that any punishment shouldn't affect ordinary Iranians. Is it possible to sanction a country without hurting its people?

Yes. The more targeted a set of sanctions—that is, the more precisely they're directed at individual or corporate malefactors—the less it hurts everyone else. For example, the U.N. could impose travel restrictions on a country's leaders or freeze their overseas bank accounts without affecting the general population. Another common punishment is to figure out which local businesses provide resources to the rogue regime and isolate those companies. If an Iranian car manufacturer contracts with the Iranian Revolutionary Guard, say, the U.N. could ban companies in other countries from doing business with the automaker. It could also prevent international banks from lending the Iranian business money or performing cash transfers. If the car company wanted to buy auto parts from France, for instance, the U.N. could prohibit French banks from facilitating the transaction.
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Generally speaking, the broader the sanction, the greater the collateral damage. The United States currently bans Iranian exports except carpets and such foods as dried fruit. It also prohibits Americans from buying Iranian oil or doing anything else to help Iran's petroleum industry. Such blanket bans damage entire industries—and thus have a ripple effect on the economy at large. Sanctions on Iranian banks, likewise, make it more expensive for ordinary Iranians to borrow money.
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Then again, it's arguably the purpose of broad sanctions to hurt ordinary citizens, who then—at least in theory—force the leadership to comply with the foreign government's demands. In practice, it doesn't always work this way. Sanctions may help regimes amass broader public support. For example, the U.N. oil-for-food program enabled Saddam Hussein to play the benevolent leader while he was president of Iraq, distributing free food to his people. A 1997 study published in the journal International Security found that of the 115 sets of sanctions imposed by the United States, only five achieved their goals, including ending apartheid in South Africa. Another study conducted in the 1990s by the Peterson Institute for International Economics found that 23 percent of sanctions are successful. The United States currently has 19 active sanctions programs.

Explainer thanks Hossain Askari of the George Washington University, Robert Pape of the University of Chicago, and Jeffrey Schott of the Peter G. Peterson Institute for International Economics.

Clubic démonte les rumeurs de la keynote d'Apple


a WWDC (WorldWide Developper Conference) est toujours le terreau des rumeurs les plus folles sur Apple. A quelques encablures de l'heure fatidique (19 heures en France), la rédaction de Clubic a mis en place un dispositif ambitieux. Un journaliste sera présent sur place pour vous livrer toute la présentation de Steve Jobs, en direct du Moscone Center de San Francisco. Histoire de tout savoir avant les autres.
Apple 27/01/10

Pour autant, avant la keynote, se sont les rumeurs qui vont bon train. Vu qu'il est, à l'heure actuelle, difficile voire impossible de confirmer ces informations, ces dernières sont donc à prendre avec des i-pincettes… Pour autant, l'iPhone 4 ou encore Safari 5 sont les rumeurs du moment. Petit cours de rattrapage pré-keynote.

A en croire l'ensemble des observateurs, la présentation de l'iPhone 4 ne fait plus de doutes. Multitâche, il devrait reprendre les nouveautés évoquées pendant la dernière grand-messe d'Apple. Ainsi l'OS 4 ferait son entrée en permettant de créer des dossiers ou devrait également introduire la capacité de synchronisation sans-fil. Les rumeurs parlent également d'une caméra frontale à l'appareil. Une innovation qui ouvrirait la voie à des services de vidéoconférence…

Plus près de nous, alors que le Smartphone n'est pas encore sorti, certains Clubiciens annoncent même la date de sortie de l'iPhone 4G : « Travaillant dans une agence de téléphonie, [...] je vous annonce la date officielle de sortie de l'iPhone 4G...sans doute possible puisque nous en avons été informé en interne de sa sortie...ce sera le officiellement le 27 juin, mais comme c'est un dimanche ils devraient (en théorie) être dispo en agence le 28 ». Certains sites évoquent en effet la date du 25 juin pour les Etats-Unis. L'OS serait même disponible quelques jours avant.

L'autre rumeur qui a le vent en poupe est celle concernant Safari 5. Le navigateur Apple subirait quelques retouches le rendant 25 % plus rapide dans l'exécution des commandes JavaScript en gérant l'accélération matérielle. Selon MacGénération, dans ce flot d'améliorations, on trouverait également une prise en charge optimisée d'HTML5 avec, notamment, la lecture vidéo plein écran et la géolocalisation. Enfin, une mise à jour pour Mac OS 10.6.4 serait aussi au programme.

Voilà pour les rumeurs les plus sérieuses. D'autres évoquent la possibilité de mettre iTunes dans le Cloud. Un choix possible suite au rachat de Lala par Apple cette année. De même, la rumeur court selon laquelle l'Apple TV sera bientôt disponible pour 99 dollars afin de contrer l'offre de Google en la matière.
Reste qu'il n'existe qu'un moyen de connaitre la véracité de ces quelques lignes. Suivre chez Clubic en direct la keynote d'Apple…

Yémen: des bombes à fragmentation américaines utilisées lors d'une attaque


Un missile de croisière américain transportant des bombes à fragmentation a été utilisé dans une attaque qui a fait 55 morts en décembre au Yémen, pour la plupart des civils, a affirmé Amnesty International lundi.

L'organisation de défense des droits de l'Homme basée à Londres a publié des photos montrant, selon elle, des débris d'un missile Tomahawk de fabrication américaine et des bombes à fragmentation encore intactes ayant apparemment servi dans une attaque le 17 décembre 2009 à Al-Maajala (sud).

"Amnesty est extrêmement préoccupée par les preuves que des bombes à fragmentation semblent avoir été utilisées au Yémen", a dit Mike Lewis, un responsable de l'organisation.

Pour sa part, Philip Luther, directeur adjoint d'Amnesty pour le Moyen-Orient et l'Afrique du nord, a estimé qu'un tel raid "contre des militants présumés sans tentative pour les arrêter est pour le moins illégal. Le fait que tant de victimes étaient des femmes et des enfants prouve que l'attaque était foncièrement arbitraire".

Le ministère yéménite de la Défense avait revendiqué la responsabilité de l'attaque contre un camp de formation présumé d'Al-Qaïda, sans mentionner de rôle américain, et annoncé la mort de 24 à 30 militants.

Mais un responsable local avait ensuite affirmé que 49 civils, dont 23 enfants et 17 femmes, y avaient également péri.

Selon Amnesty, qui parle de 55 morts, une commission parlementaire yéménite a confirmé la mort de 41 habitants, dont des femmes et des enfants, et indiqué avoir constaté lors d'une visite du site que "toutes les maisons avaient été incendiées".

D'après le communiqué, les photos montrent des dégâts causés par le missile BGM-190D. "Ce type de missile tiré à partir d'un navire de guerre ou d'un sous-marin est conçu pour porter 166 charges à fragmentation, chacune explosant en 200 sous-munitions à fragments tranchants qui peuvent causer des blessures dans un rayon de 150 mètres".

Washington et Sanaa n'ont pas encore signé la Convention sur l'interdiction des bombes à fragmentation, devant entrer en vigueur le 1er août.